Délivrance! - histoire érotique

Après quelques années de vie commune, nous décidons, en commun accord, de reprendre notre liberté, chacun de notre côté.
Nous n’avons plus rien à faire ensemble, c'est ma décision.
C’est ainsi que je me retrouve quelques jours plus tard dans mon appartement, célibataire !
Et comme un fait exprès je me retrouve être de service ce soir-là. J’attends la fin de la réception pour inviter mes deux collègues du soir, dont mon ex avant mon mariage, Sylvie, à finir la soirée chez moi. L’autre étant Delphine, une bonne cochonne.
Après avoir verrouillé les portes de la salle de réception, nous voilà tous trois sur le chemin menant jusqu’à chez moi. Je prends un peu de recul pour les regarde trottiner, gaiement, à seulement quelques pas devant moi. Sylvie, avec ses formes agréables, taille étroite et cul pommé. Malgré les années passées, j’imagine encore sa toison courte aussi noire de jais que ses cheveux. Je n’aurais jamais pu choisir mieux comme compagne d’un soir. A ses côtés, Delphine est elle-aussi brune, au visage ravissant, au corps plaisant, qui dégage une aura de sensualité ardente. Qui a maintes fois essayé de m’attirer dans ses filets. Beau fessier sur des jambes de sportive.
Une conjonction de circonstances qui a fait que ces deux rivales me tiennent compagnie pour ma première soirée de célibat.
Arrivés chez moi, je les invite à se poser autour de la fameuse table de sapin. Un des seuls meubles que j’ai accepté d’emmener avec moi lors du partage. Je trouve ce meuble formidable, et bourré de souvenir trépignant. Toujours là à me servir. Offrant grâce à son large plateau, un grand éventail de positions. Je pense que ce meuble et moi c’est une histoire d’amour !
Ma position préférée était de faire s’allonger ma partenaire, dos sur le plateau, et moi assis sur une chaise en face d’elle. Ma bouche à la hauteur de son sexe. Je peux ainsi la lécher tout à mon aise et pendant longtemps. Un vrai régal pour mes partenaires !
Mais revenant à la soirée ; dont le crémant coule à flots, et l’ambiance est des plus chaleureuses et gaie. Delphine s’empare, dans un seau ruisselant de condensation, la bouteille, et se verse une coupe. Emplissant par la même occasion les nôtres. Sylvie lève son verre en me regardant, tout sourire.
-Tchin à tes prochains amours, Alain !
Là, Delphine éclate de rire, à ne plus pouvoir s’arrêter. Entre deux hoquets, elle lâche :
-Moi, je veux bien être la prochaine !
Elle essuie ses larmes, entre deux rires. Elle se lève, s’approche de moi, s’immobilise un long moment. Puis elle incline sa tête sur le côté, et commence à caresser mon visage, me fixant de son plus doux regard.
-Où sont les toilettes ? Me fait-elle.
Je lui montre la porte.
-Je vous abandonne quelques instants. Tacher de rester sage !
Sitôt la porte fermée, c’est au tour de Sylvie de m’approcher, sourire salace aux lèvres. Elle se penche sur mon visage et dépose doucement de légers baisers sur mon front, sur mes joues. Elle se penche aussitôt, sur ma bouche, elle m’embrasse longuement, un doux et tendre baiser.
Vaincu, je me laisse embrasser. Goûtant la douceur de sa bouche. Laissant sa langue veloutée jouer avec la mienne. Mon tempérament de feu ne peut rester muselé bien longtemps, je m’empare du minois de Sylvie que j’étreins de mes mains, et embrasse passionnément la bouche, lui murmurant des mots d’amour enfiévrés, l’embrassant de nouveau, couvrant son visage de baisers enflammés.
Sylvie, très excitée, est prête à tous mes caprices, comme jadis. Alors qu’elle m’aide à me déshabiller, Delphine sort des toilettes. Estomaquée, s’approche de nous pour nous apostropher.
-Faut pas se gêner ! Vous n’allez pas faire ça ici, devant moi, quand même ?
Sylvie lui répond entre deux halètements :
-Ce sont les plus gênés qui partent, ma belle !
Pour ma part, j’ai une autre idée.
-Je veux qu’elle reste, moi. Déshabille-toi Delphine !
-Quoi ? Rétorque Sylvie, offusquée.
J’insiste :
-Aller Delphique, dessape-toi ! Comme tu l’as si bien dit Sylvie, c’est les plus gêné qui partent !
Cela la fait sourire. Alors je la provoque. Pendant ce temps là, dans un coin Delphine poussée par l’alcool, s’exécute sans discuter. Elle ôte précipitamment son haut, sous lequel, elle porte, à la différence de Sylvie, un soutien-gorge. Les tétines de Delphine sont très brunes, légèrement violacées, couvrant une part importante de ses seins. Sylvie, de son côté, commence par me sucer. Donnant au passage de savants coups de langue sur mon gland. Elle adore cela, elle se met comme elle le faisait jadis à feuler comme une grosse salope en chaleur.
Là-bas Delphine se débarrasse de son jean et de sa culotte. Un plaisir pour mes rétines. Je m’extase devant sa chatte bien fournie. Qu’elle exhibe avec fierté à mon regard.
-Putain, la chatte, dis donc ! S’écrie Sylvie en recrachant ma queue, sincèrement admirative de ce qui se place devant nous.
Delphine ne pense même pas à la remercier, fascinée qu’elle est par le spectacle de ses lèvres montant et descendant le long de ma queue.
-Je suis sûr que dans ta bouche, elle serait gâtée aussi, réplique Sylvie, tout en écartant ses lèvres pour libérer mon membre luisant de salive.
Je suis moi aussi désireux que Delphine fasse la démonstration de ses talents. Alors je l’invite à passer à l’acte. En avalant ma queue, Delphine ne peut s’empêcher de grogner, de donner de la voix. Elle fait rouler sa langue épaisse autour du gland, titille le frein avec obstination, tout en flattant mes couilles d’une main agile. Mais l’excitation me dicte à explorer d’autres orifices. Je donne pour ça, en toute logique, priorité à mon ex, la plus excitée des deux. J’écarte ses cuisses, les tiens par les chevilles et sans même ajuster mon coup, la pénètre dans un bruit de ventouse.
Sa poitrine tressaute sous mes coups de boutoirs. Sans forcer le rythme, elle parvient assez vite à l’orgasme, bouche ouverte, dans un grand cri. Alors qu’elle s’affaisse sur le plateau, je pousse Delphine sur la table. Mon pénis dégouline encore de la mouille de Sylvie. Je la fais disparaître sans mal dans l’intimité de Delphine. Je la ramone au petit trot pendant un bon moment. Elle pousse des cris de plus en plus stridents. Sa chatte s’évase à mesure de mes va-et-vient. Aussi large en fait que celle de Sylvie. Qui assise sur une chaise, tout en reprenant ses esprits nous observe, avec attention. Elle m’avoua plus tard, qu’elle non plus n’avait jamais vue deux personnes baiser sous ses yeux.
Soumise, pleine de bonne volonté, Delphine, entre deux plaintes, laisse tomber :
-Dans le cul. Je te veux dans le cul !
Je prends, comme toujours dans ces cas-là, la précaution de recueillir dans mes doigts de la mouille gluante afin de garnir l’entrée de l’anus, préalablement dilaté à l’aide de mes doigts. Bientôt ma queue remplace mes doigts. Il me faut un bon moment pour enfoncer ma queue toujours aussi raide dans le petit trou. Mon ex, qui n’a probablement jamais subi pareil traitement, est à la fois émue et choquée.
-Dans le cul ? Quelle horreur ! S’exclame-t-elle.
Delphine, qui est pour sa part, pas à sa première sodomie, la rassure :
-Sache que c’est bon !
D’ailleurs, elle ne met pas longtemps à jouir, avant de se laisser à son tour tomber comme morte sur le plateau de la table. N’ayant toujours pas joui, j’invite Sylvie à venir prendre place sur la table. C’est en vain, et sans conviction, que Sylvie proteste. Tentant même de se dérober à l’épreuve. Pas sans mal, j’arrive à la caler à plat ventre sous moi
À même le divan, je bloque bras et jambes. Elle ne peut plus se débattre. J’ai des difficultés à glisser ma queue entre ses fesses, mais l’anus, dilaté par l’excitation, est bientôt à portée de mon gland. Des poussées, de plus en plus fortes et prolongées, sont nécessaires pour que je la fasse disparaître dans son sphincter. L’orifice tarde à se détendre pour laisser passer ma queue. Sylvie pousse des hurlements. Puis petit à petit, le passage devient moins étroit. Sylvie gémit même de plus en plus fort. Puis, elle cesse tout à fait. A la fin, j’éjacule au fond de son cul.
Elle se détache de moi pour s’asseoir sur le divan, où elle se caresse son pistil gonflé comme du raisin. Le ventre et le cul pleins de mouille, elle jouit juste après moi. Sans pouvoir se retenir, elle évacue sur le divan une flaque de merde mélangée de mon foutre.
Delphine ne peut réprimer une grimace de dégoût. Laissant mes deux partenaires du soir, dorénavant complices, nettoyer les saletés éparpillées sur la table et le divan.
Je me rends dans la suite, dans la salle de bains, pour une douche réparatrice. À mon retour, j’embrasse mes deux maîtresses, les invitant à prendre une douche avant de venir me rejoindre dans le lit.
Après une longue conversation, Delphine se plante devant moi.
-Eh bien Alain, cela te dit que nous faisions des cochonneries devant toi ?
-Je suis ouvert à tout mes belles !
Delphine respire plus vite quand Sylvie lui tripote les tétons, qui s’allongent sur-le-champ. La jeune fille halète. Elle enveloppe Sylvie d’un regard débordant de tendresse. Ses gros mamelons pointent de façon obscène. Sous l’emprise d’une excitation qu’elle ne peut cacher, Delphine empaume à son tour les lourdes mamelles de Sylvie. Le souffle précipité, les deux femmes se malaxent mutuellement les seins, pinçant leurs pointes épaisses qui augmentent de volume. Delphine rend les caresses de sa partenaire avec une science remarquable. Je bande, aimanté par le spectacle alléchant auquel j’assiste. Les yeux vitreux, Sylvie guide la main de Delphine vers son entrecuisse.
-Je suis en eau, mets-moi tes doigts dans la chatte, lâche-t-elle d’une voix sourde.
La jeune fille enfonce trois doigts dans le sexe gluant de Sylvie, puis entame un va-et-vient fiévreux. Ivre de plaisir, Sylvie imite Delphine. Les deux femmes se branlent avec la même frénésie, triturant leurs clitoris en érection, leurs doigts agiles en s’activant dans leurs chattes juteuses, produisent un clapotement obscène.
Folle d’excitation, Sylvie place deux coussins sous elle, exposant en toute impudeur son sexe poisseux.
-Viens, ma petite, lèche-moi, fais-moi jouir ! Lance-t-elle d’une voix qui chavire.
Delphine s’agenouille devant son sexe, et plonge sa langue dans la chatte de Sylvie. Se bourrant de la mouille qui coule en abondance, pompant le clitoris qui sort de sa gangue rose. Je me branle, le regard rivé sur mes deux partenaires. Sylvie, les cuisses largement écartées, frotte sa vulve grasse contre les lèvres de la Delphine qui la déguste avec convoitise. Les lèvres et le menton de Delphine sont maculés de sécrétion. Sylvie laisse échapper un râle, submergée par la jouissance. Elle repousse sa suceuse.
-Elle est à toi maintenant. Me lance-t-elle.
J’ordonne alors à Delphine un :
-Suce-moi !
Elle ne se fait pas répéter. A genoux devant moi, elle avale mon membre. Me suce goulûment, faisant rouler les couilles dans sa main. Alanguie sur le lit, Sylvie regarde Delphine pomper ma queue. Elle se caresse les seins, fait rouler ses gros tétons entre pouce et index. Je repousse Delphine, la positionne à quatre pattes. Par cette pose, elle m’offre son cul. Je m’enfonce en elle d’un profond coup de reins. Elle émet un soupir voluptueux, puis se met à onduler du bassin, projetant sa croupe à la rencontre de ma queue qui la défonce. Ses seins plantureux ballotent sous mes coups de boutoirs.
Notre accouplement bestial met Sylvie dans un état d’excitation indicible. Elle se caresse les seins et la chatte, sans quitter des yeux mon membre viril qui plonge dans la chatte de la jeune fille.
Sylvie accède à la jouissance en même temps que nous. Insatiable, Sylvie, pour conclure la soirée, se fait enculer.