demande de prêt
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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demande de prêt
Bien coiffée, légèrement maquillée, vêtue d’un tailleur strict, bleu pétrole assez moche, un chemisier blanc, des chaussures à talons qui avait vécu, des collants très plus banals.
Elle s’efface pour me laisser passer dans son bureau. Après avoir fermé la porte elle me prit de m’installer sur le siège visiteur, alors qu’elle prend place derrière son bureau. Le téléphone se mit à sonner. Après s’être excusé, elle tend la main et s’empare du combiné. Je profite de l’instant qui met donner pour admirer le peu qu’elle veut bien m’exhibé. Dans un premier temps ses jambes, puis ses pieds, enfin ce que ses escarpins me permet de voir, le dessus. Frustration ! Je m’imagine alors, comme lors de mes rêves lucides, où tout m’est permis, de me laisser tomber à genoux, de lui arracher les escarpins et de lécher vigoureusement ses pieds ! Une agressivité pervers que je sens peu à peu monter en moi ?
Sitôt l’appareil posé, elle déballe toute une documentation ainsi que des formulaires sur le prêt, et d’autres choses dont elle me vente le contenu. Je fais l’intéressé. Elle sourit, l’air satisfait d’elle, se réjouit visiblement d’être sur le point de conclure un nouveau contrat.
- J’avoue que j’ai des petits caprices. J’aime bien me faire prier si vous voyez ce que je veux dire. Lui dis-je.
- Pardon, je ne vois pas là. Lâche-t-elle, me regardant d’un air étonnée.
- Eh bien, reconnaissez que je suis un client intéressant, enfin à première vue, et que grâce à moi vous allez gagner une prime, je me trompe… ?
Elle bredouille alors :
- Oui… enfin… un peu. Mais... et alors… ?
- Elle est de combien la prime ? Je pense qu’elle doit être conséquente pour me forcer la main.
-Je ne vous force pas la main !
-Je suis venu à vous pour un prêt et voilà que vous me proposer des assurances vie. A part cela vous ne me forcer pas la main ? Dis-je, en jubilant intérieurement.
- Non. Bon, et alors ? Demande-t-elle avec un peu d’agacement dans la voix.
- Ce que je veux dire c’est que pour vous c’est facile. Vous avez votre pigeon, donc moi. Vous me faites signer des formulaires, sans prendre la peine de m’expliquer, ou alors vite fait, et en fin de mois ça tombe, c’est-à-dire que je paye. Avouez que ça ne vous demande pas trop d’efforts.
- Oui… Enfin, c’est mon travail… Je ne vois pas trop où vous voulez en venir.
- Surtout que ce client, vous n’avez pas dû aller le chercher bien loin, c’est du tout cuis pour vous.
- Je ne vous oblige à rien, dit-elle, avec un air mi courroucé mi dépité.
- Ne croyez pas que je veuille vous priver maintenant de votre commission. Je dis juste que, si je veux bien signer et vous permettre de toucher votre commission. Vous… il va falloir la mériter !
Un silence s’installe dans la pièce. Elle pose un regard que je dirais bizarre sur moi. Puis laisse tomber d’une voix blanche :
- Que voulez-vous, en échange ?
- L’escarpin que vous portez…
- Pardon !
-C’est ça ou rien.
-Mais pour qui me prenez-vous ! Je…
- A ce que je sais, vous êtes une fille mère. Et de surcroit assez intelligente, pour savoir qu’un sou est un sou, je me trompe.
Mon ton est soudain devenu un peu plus sévère.
- Mais… mais vous êtes conscient de ce que vous me demandez, là !
-Parfaitement ! Je dirai même que vous deviez même être ravi que je vous demande ça. Sachez que je ne demande pas ça à n’importe qui. Seulement aux femmes que je désire.
-Vous m’en voyez ravi ! De quoi aurai-je l’air de faire cela ? Je n’ai jamais fait ça pour quel client que ce soit…
- Il y a toujours une première à tout.
-Ça va m’aider ! A-t-elle fait tomber.
-Allez ! Ne perdant pas de temps inutilement. Donnez-moi votre escarpin. Ça restera entre nous je vous en donne ma parole.
- Mais enfin… bredouille-t-elle.
Je sens que la confusion commence à la gagner, à la faire bafouiller. Néanmoins je réalise que face à ma proposition indécente, pas une fois elle m’a prié de quitter son bureau. Ça c’est un signe !
Pour ma plus grande joie, elle se penche au-dessus de ses pieds. Très rouge de honte sans doute mais de colère aussi, elle se déchausse et cela, sans lever les yeux sur moi.
- C’est ridicule tout ça ! Bredouille-t-elle à nouveau, en me tendant le sésame. Je crois même rêver.
Plus rien ne compte à cet instant pour moi, que cette chaussure fraichement retiré d’un beau pied, d’une ravissante femme. Oh putain ! Le sang me claque dans les tempes et ma gorge se resserre. Je ne réfléchis même pas et subis de plein fouet mon désir ardent. Comme télécommander, je tends mon bras et me saisis du précieux sésame. Après avoir scruté l’intérieur je plonge mon nez dedans. La femme semble surprise de mon geste, au point de me dire :
- Mais monsieur, que faites-vous, vous êtes fou, arrêtez, vous me gênée, j’ai déjà assez honte comme cela.
Mais il m’en faut plus pour me dissuader de tout cesser. Surtout que je suis en transe par l’odeur que dégage la chaussure. Sans prendre la peine de l’écouter, je m’imprègne des essences qu’elle dégagea. Soit une forte fragrance de transpiration, très piquante. Mais au lieu de me dégoûter, cela avait plutôt tendance à m’exciter.
- Mmh, ce que vous sentez bon, j’adore votre odeur de pieds. Et je ne serais pas contre de le sentir.
- Comment ! Mais… Enfin… Je pense que vous être là, en pleine démence Monsieur !
- Allez, ne discutez pas ! C’est pour vous le prix à payer, si vous voulez que je consente à vous faire gagner un peu d’argent, en signant votre paperasse.
Commandé par mon excitation je me lève et vais la rejoindre de l’autre côté du bureau. La tête basse, honteuse, elle se décolle du bureau, murmurant :
- Qu’est-ce que vous apprêtez à faire là ? Sachez pour votre gouverne que je ne suis pas une pute…
- Je n’ai jamais ni dit, ni penser à cela de vous. Je veux juste avoir la joie d’embrasser le pied qui vient de me procurer pas mal d’émotion.
- Ne vous gênez surtout pas…
Je m’agenouille devant un pied menu gainé de nylon couleur pêche. Je lui prends la cheville et colle mon nez sous le talon de la banquière.
- Permettez-moi Monsieur, de vous dire que vous êtes un cochon, mais aussi que j’ai honte de moi, de me laisser faire…
Pendant ce temps, moi, je m’enivre de l’odeur forte que dégagé le peton. Je renifle à m’en faire péter les poumons, la senteur musquée et vinaigrée de la plante de la banquière. Et celle-ci, rouge de honte, se laisse faire, finalement gagnée par ma sensualité. Elle arque sa plante, la tendant gracieusement en une belle cambrure devant me visage en extase. Elle ne bouge pas, soumise, humiliée, attendant, comme vaincue.
Je prends l’initiative même d’embrasser sa plante sans aucune plainte sorte de la bouche de la banquière. Alors je profite de sa relâche, pour caresser avec ma langue chaque parcelle de son pied. Goûtant ainsi à sa saveur salée. Je me permets même de téter ses orteils à travers le nylon. Les baignant dans ma salive.
Pas mécontent de moi, je me lève, la bouche plein d’arôme salé, restituant le pied à sa propriétaire, pour aller reprendre a place.
-Eh bien merci, j’ai été ravi de cette petite récréation.
-Tant mieux pour vous ! Fit-elle en se rechaussant.
- Bon. Ma chère banquière. Je ne tiens pas à vous faire mariner plus longtemps. Je ne suis pas si cruel que vous pouvez le pensé. Je vais vous proposer un marché. Vous êtes libre d’accepter ou de refuser. Mais au point où vous en êtes, dis-je avec un grand sourire ironique.
- C’est quoi votre marché ? S’exprime-t-elle désormais de façon presque triviale, ayant abandonné les conventions de langage, trahissant chez elle une sorte de désespoir.
- Le marché est simple. Vous faites tout ce que je vous demande, sans rechigner, sans protester, sans discuter chaque ordre. Au moindre refus, au moindre geste d’opposition, à la première parole de rébellion, il n’y aura pas de seconde chance pour vous, je me lève et quitte le bureau. Compris ?
- Et pourquoi pensez-vous que je ferais cela ! dit-elle d’une voix lasse, vaincue.
-Parce que je devine que vous êtes du genre joueuse.
-Et qu’est-ce qui vous fait dire cela ?
-L’instinct. Pour vous prouver ma bonne foi, vous montrer ma bonne volonté, je vais faire un geste.
Je m’approche pour cela de la table où elle a posé les feuillets.
- Voyez, dis-je, j’inscris au bas de la dernière page la mention : Lu et approuvé. Bon pour accord.
Après avoir inscris ses quelques mots, je jette le stylo et reprends place sur la chaise. Attendant la suite. Ses yeux s’arrondirent, incrédules, et je vis une leur, allumée soudain par l’appât du gain. Ca devait tourner comme une lessiveuse dans sa petite tête.
- Qu’est-ce que vous voulez de moi ? Me dit-elle, un peu interloquée.
- Bon, assez perdu de temps en futilités. Passons aux choses sérieuses! Placez votre fauteuil sur le côté pour me faire face. Là je veux que vous écartez au maximum vos jambes, assez pour que j’aperçois un bout de votre culotte. Passez votre main dans votre culotte et posez-la sur votre motte.
-Et c’est tout ! Mais vous êtes vraiment un grand malade !
-Vous ne vous en n’êtes pas aperçu encore ? Vous m’envoyez navré ! Fis-je en me levant.
-Où allez-vous ?
-Ça ne ce voit pas, je pars comme convenue !
-Reprenez votre place, salaud !
-Vous en êtes sûr ?
-Parfaitement ! Réplique-t-elle.
Et là elle s’exécute. Sa respiration a tendance à s’accélérer.
- Vous allez donc, écartez les lèvres et glissez un doigt tout doucement, que vous ferez après, aller et venir de haut en bas.
-Je retire ma culotte ?
-Je l’ai dis de le faire.
-Non !
-Alors…
Comme hypnotisé par ma voix, elle retrousse l’ourlet de sa jupe, m’exhibant sa culotte rose sous le nylon de on collant, elle fait glisser comme convenu un doigt sur sa chatte à travers les étoffes. Mon regard s’arrête à la l‘intersection de ses cuisses, suivant très attentivement le mouvement de sa main sur son sexe. Peu à peu elle prend plaisir à ce caressé devant mes yeux exorbités.
- Faites-moi sentir vos doigts. Lui dis-je.
-Pardon !
-Attention !
Elle me tend sa main, je me penche au-dessus et hume profondément les doigts.
- Quel parfum mon Dieu. Extraordinaire ? C’est un pur bonheur. Vous permettez ?
Sans attendre sa réponse, je passe une langue sur ses doigts. Sans rien accrocher de particulier.
-Content ? Fit-elle en s’essuyant la main contre sa jupe.
-Non ! Je vous propose, enfin si vous le désirez de vous débarrasser de tout ce qui vous empêche à avoir accès à votre jus.
- Je… je les baisse…
- Oh ! Je suis sûre que vous pouvez faire mieux… non ?
Elle plante alors ses ongles dans le tissu du collant et le déchire violement pour libérer la zone la plus sensible de son anatomie. Elle tente de faire pareille à son culotte sans il parvenir. Alors elle se contente juste d’écarter la le tissu afin d’avoir un accès complet à son intimité. Elle a juste une petite bande de poils châtain. Le reste de son sexe est consciencieusement épilé. Un dôme bombé saillit des lèvres intimes.
- Maintenant, introduisez deux doigts dans votre chatte et avec votre autre main chatouillez votre anus du bout d’un ongle.
Ravie qu’elle n’a pas protesté à ma demande, je la vis s’exécuté. Minutes après minutes, de l’autre côté du bureau, elle est de plus en plus secouée de spasmes. Inconscient Je sortis ma queue de ma braguette. Je ne pense même pas qu’on peut entrer à tout moment dans le bureau. Je n’es jamais éprouvé de telles sensations. D’une voix chaude et envoûtante je désigne ce qu’elle devait faire.
- Du bout des doigts, vous accentuez la pression sur votre clitoris et vous ne le quittez plus. Vous allez le secouer de plus en plus vite.
Elle s’exécute sur le champ.
- Oui comme ça ! Et continuez à fouiller votre chatte. Voilà de cette façon. Vous allez et venez, le plus profond possible. Je vois votre jus dégouline le long de votre cuisses. Vous sentez l’orgasme monter.
Je surpris les pointes de ses seins pointées à travers le chemisier.
- Vous bandez des seins. Votre poitrine s’empourpre. Regardez ma queue que je branle.
Elle fixe intensément ma queue que je manipule avec rage. Je ne quitte pas sa chatte des yeux, qu’elle secoue avec violence. L’orgasme la fait trembler de tous ses membres. Je me sentis décoller, alors qu’elle se serre les cuisses autour de sa main, toujours bien enfoncée entre elles.
Moi, j’éjacule, loin. Le plateau du bureau reçoit même quelques éclats de ma semence.
Alors que je replace mon oiseau dans sa cage, la banquière remet de l’ordre dans sa tenue. Je ferme ma braguette et je m’avance jusqu’au bureau, juste au-dessus du feuillet, que je me saisis.
- Tout bien réfléchie, fis-je en les déchirant, je pense que j’e n’en ai pas besoin.
Ceci fait, je contourne le bureau jusqu’à la porte de sortie.
- Mais… mais, vous avez promis…
- Oui, mais c’était alors sous l’influence de l’excitation. Et comme vous vous en êtes aperçus, le fait d’avoir joui, et cela grâce à vous, ça m’a remis sur les bons rails. Merci à vous !
Je pèse de ma main la poignet et avant d’ouvrir la porte je me tourne vers elle et dis :
- Reprenant rendez-vous, voulez-vous. Mais cette fois-ci un soir…
Elle s’efface pour me laisser passer dans son bureau. Après avoir fermé la porte elle me prit de m’installer sur le siège visiteur, alors qu’elle prend place derrière son bureau. Le téléphone se mit à sonner. Après s’être excusé, elle tend la main et s’empare du combiné. Je profite de l’instant qui met donner pour admirer le peu qu’elle veut bien m’exhibé. Dans un premier temps ses jambes, puis ses pieds, enfin ce que ses escarpins me permet de voir, le dessus. Frustration ! Je m’imagine alors, comme lors de mes rêves lucides, où tout m’est permis, de me laisser tomber à genoux, de lui arracher les escarpins et de lécher vigoureusement ses pieds ! Une agressivité pervers que je sens peu à peu monter en moi ?
Sitôt l’appareil posé, elle déballe toute une documentation ainsi que des formulaires sur le prêt, et d’autres choses dont elle me vente le contenu. Je fais l’intéressé. Elle sourit, l’air satisfait d’elle, se réjouit visiblement d’être sur le point de conclure un nouveau contrat.
- J’avoue que j’ai des petits caprices. J’aime bien me faire prier si vous voyez ce que je veux dire. Lui dis-je.
- Pardon, je ne vois pas là. Lâche-t-elle, me regardant d’un air étonnée.
- Eh bien, reconnaissez que je suis un client intéressant, enfin à première vue, et que grâce à moi vous allez gagner une prime, je me trompe… ?
Elle bredouille alors :
- Oui… enfin… un peu. Mais... et alors… ?
- Elle est de combien la prime ? Je pense qu’elle doit être conséquente pour me forcer la main.
-Je ne vous force pas la main !
-Je suis venu à vous pour un prêt et voilà que vous me proposer des assurances vie. A part cela vous ne me forcer pas la main ? Dis-je, en jubilant intérieurement.
- Non. Bon, et alors ? Demande-t-elle avec un peu d’agacement dans la voix.
- Ce que je veux dire c’est que pour vous c’est facile. Vous avez votre pigeon, donc moi. Vous me faites signer des formulaires, sans prendre la peine de m’expliquer, ou alors vite fait, et en fin de mois ça tombe, c’est-à-dire que je paye. Avouez que ça ne vous demande pas trop d’efforts.
- Oui… Enfin, c’est mon travail… Je ne vois pas trop où vous voulez en venir.
- Surtout que ce client, vous n’avez pas dû aller le chercher bien loin, c’est du tout cuis pour vous.
- Je ne vous oblige à rien, dit-elle, avec un air mi courroucé mi dépité.
- Ne croyez pas que je veuille vous priver maintenant de votre commission. Je dis juste que, si je veux bien signer et vous permettre de toucher votre commission. Vous… il va falloir la mériter !
Un silence s’installe dans la pièce. Elle pose un regard que je dirais bizarre sur moi. Puis laisse tomber d’une voix blanche :
- Que voulez-vous, en échange ?
- L’escarpin que vous portez…
- Pardon !
-C’est ça ou rien.
-Mais pour qui me prenez-vous ! Je…
- A ce que je sais, vous êtes une fille mère. Et de surcroit assez intelligente, pour savoir qu’un sou est un sou, je me trompe.
Mon ton est soudain devenu un peu plus sévère.
- Mais… mais vous êtes conscient de ce que vous me demandez, là !
-Parfaitement ! Je dirai même que vous deviez même être ravi que je vous demande ça. Sachez que je ne demande pas ça à n’importe qui. Seulement aux femmes que je désire.
-Vous m’en voyez ravi ! De quoi aurai-je l’air de faire cela ? Je n’ai jamais fait ça pour quel client que ce soit…
- Il y a toujours une première à tout.
-Ça va m’aider ! A-t-elle fait tomber.
-Allez ! Ne perdant pas de temps inutilement. Donnez-moi votre escarpin. Ça restera entre nous je vous en donne ma parole.
- Mais enfin… bredouille-t-elle.
Je sens que la confusion commence à la gagner, à la faire bafouiller. Néanmoins je réalise que face à ma proposition indécente, pas une fois elle m’a prié de quitter son bureau. Ça c’est un signe !
Pour ma plus grande joie, elle se penche au-dessus de ses pieds. Très rouge de honte sans doute mais de colère aussi, elle se déchausse et cela, sans lever les yeux sur moi.
- C’est ridicule tout ça ! Bredouille-t-elle à nouveau, en me tendant le sésame. Je crois même rêver.
Plus rien ne compte à cet instant pour moi, que cette chaussure fraichement retiré d’un beau pied, d’une ravissante femme. Oh putain ! Le sang me claque dans les tempes et ma gorge se resserre. Je ne réfléchis même pas et subis de plein fouet mon désir ardent. Comme télécommander, je tends mon bras et me saisis du précieux sésame. Après avoir scruté l’intérieur je plonge mon nez dedans. La femme semble surprise de mon geste, au point de me dire :
- Mais monsieur, que faites-vous, vous êtes fou, arrêtez, vous me gênée, j’ai déjà assez honte comme cela.
Mais il m’en faut plus pour me dissuader de tout cesser. Surtout que je suis en transe par l’odeur que dégage la chaussure. Sans prendre la peine de l’écouter, je m’imprègne des essences qu’elle dégagea. Soit une forte fragrance de transpiration, très piquante. Mais au lieu de me dégoûter, cela avait plutôt tendance à m’exciter.
- Mmh, ce que vous sentez bon, j’adore votre odeur de pieds. Et je ne serais pas contre de le sentir.
- Comment ! Mais… Enfin… Je pense que vous être là, en pleine démence Monsieur !
- Allez, ne discutez pas ! C’est pour vous le prix à payer, si vous voulez que je consente à vous faire gagner un peu d’argent, en signant votre paperasse.
Commandé par mon excitation je me lève et vais la rejoindre de l’autre côté du bureau. La tête basse, honteuse, elle se décolle du bureau, murmurant :
- Qu’est-ce que vous apprêtez à faire là ? Sachez pour votre gouverne que je ne suis pas une pute…
- Je n’ai jamais ni dit, ni penser à cela de vous. Je veux juste avoir la joie d’embrasser le pied qui vient de me procurer pas mal d’émotion.
- Ne vous gênez surtout pas…
Je m’agenouille devant un pied menu gainé de nylon couleur pêche. Je lui prends la cheville et colle mon nez sous le talon de la banquière.
- Permettez-moi Monsieur, de vous dire que vous êtes un cochon, mais aussi que j’ai honte de moi, de me laisser faire…
Pendant ce temps, moi, je m’enivre de l’odeur forte que dégagé le peton. Je renifle à m’en faire péter les poumons, la senteur musquée et vinaigrée de la plante de la banquière. Et celle-ci, rouge de honte, se laisse faire, finalement gagnée par ma sensualité. Elle arque sa plante, la tendant gracieusement en une belle cambrure devant me visage en extase. Elle ne bouge pas, soumise, humiliée, attendant, comme vaincue.
Je prends l’initiative même d’embrasser sa plante sans aucune plainte sorte de la bouche de la banquière. Alors je profite de sa relâche, pour caresser avec ma langue chaque parcelle de son pied. Goûtant ainsi à sa saveur salée. Je me permets même de téter ses orteils à travers le nylon. Les baignant dans ma salive.
Pas mécontent de moi, je me lève, la bouche plein d’arôme salé, restituant le pied à sa propriétaire, pour aller reprendre a place.
-Eh bien merci, j’ai été ravi de cette petite récréation.
-Tant mieux pour vous ! Fit-elle en se rechaussant.
- Bon. Ma chère banquière. Je ne tiens pas à vous faire mariner plus longtemps. Je ne suis pas si cruel que vous pouvez le pensé. Je vais vous proposer un marché. Vous êtes libre d’accepter ou de refuser. Mais au point où vous en êtes, dis-je avec un grand sourire ironique.
- C’est quoi votre marché ? S’exprime-t-elle désormais de façon presque triviale, ayant abandonné les conventions de langage, trahissant chez elle une sorte de désespoir.
- Le marché est simple. Vous faites tout ce que je vous demande, sans rechigner, sans protester, sans discuter chaque ordre. Au moindre refus, au moindre geste d’opposition, à la première parole de rébellion, il n’y aura pas de seconde chance pour vous, je me lève et quitte le bureau. Compris ?
- Et pourquoi pensez-vous que je ferais cela ! dit-elle d’une voix lasse, vaincue.
-Parce que je devine que vous êtes du genre joueuse.
-Et qu’est-ce qui vous fait dire cela ?
-L’instinct. Pour vous prouver ma bonne foi, vous montrer ma bonne volonté, je vais faire un geste.
Je m’approche pour cela de la table où elle a posé les feuillets.
- Voyez, dis-je, j’inscris au bas de la dernière page la mention : Lu et approuvé. Bon pour accord.
Après avoir inscris ses quelques mots, je jette le stylo et reprends place sur la chaise. Attendant la suite. Ses yeux s’arrondirent, incrédules, et je vis une leur, allumée soudain par l’appât du gain. Ca devait tourner comme une lessiveuse dans sa petite tête.
- Qu’est-ce que vous voulez de moi ? Me dit-elle, un peu interloquée.
- Bon, assez perdu de temps en futilités. Passons aux choses sérieuses! Placez votre fauteuil sur le côté pour me faire face. Là je veux que vous écartez au maximum vos jambes, assez pour que j’aperçois un bout de votre culotte. Passez votre main dans votre culotte et posez-la sur votre motte.
-Et c’est tout ! Mais vous êtes vraiment un grand malade !
-Vous ne vous en n’êtes pas aperçu encore ? Vous m’envoyez navré ! Fis-je en me levant.
-Où allez-vous ?
-Ça ne ce voit pas, je pars comme convenue !
-Reprenez votre place, salaud !
-Vous en êtes sûr ?
-Parfaitement ! Réplique-t-elle.
Et là elle s’exécute. Sa respiration a tendance à s’accélérer.
- Vous allez donc, écartez les lèvres et glissez un doigt tout doucement, que vous ferez après, aller et venir de haut en bas.
-Je retire ma culotte ?
-Je l’ai dis de le faire.
-Non !
-Alors…
Comme hypnotisé par ma voix, elle retrousse l’ourlet de sa jupe, m’exhibant sa culotte rose sous le nylon de on collant, elle fait glisser comme convenu un doigt sur sa chatte à travers les étoffes. Mon regard s’arrête à la l‘intersection de ses cuisses, suivant très attentivement le mouvement de sa main sur son sexe. Peu à peu elle prend plaisir à ce caressé devant mes yeux exorbités.
- Faites-moi sentir vos doigts. Lui dis-je.
-Pardon !
-Attention !
Elle me tend sa main, je me penche au-dessus et hume profondément les doigts.
- Quel parfum mon Dieu. Extraordinaire ? C’est un pur bonheur. Vous permettez ?
Sans attendre sa réponse, je passe une langue sur ses doigts. Sans rien accrocher de particulier.
-Content ? Fit-elle en s’essuyant la main contre sa jupe.
-Non ! Je vous propose, enfin si vous le désirez de vous débarrasser de tout ce qui vous empêche à avoir accès à votre jus.
- Je… je les baisse…
- Oh ! Je suis sûre que vous pouvez faire mieux… non ?
Elle plante alors ses ongles dans le tissu du collant et le déchire violement pour libérer la zone la plus sensible de son anatomie. Elle tente de faire pareille à son culotte sans il parvenir. Alors elle se contente juste d’écarter la le tissu afin d’avoir un accès complet à son intimité. Elle a juste une petite bande de poils châtain. Le reste de son sexe est consciencieusement épilé. Un dôme bombé saillit des lèvres intimes.
- Maintenant, introduisez deux doigts dans votre chatte et avec votre autre main chatouillez votre anus du bout d’un ongle.
Ravie qu’elle n’a pas protesté à ma demande, je la vis s’exécuté. Minutes après minutes, de l’autre côté du bureau, elle est de plus en plus secouée de spasmes. Inconscient Je sortis ma queue de ma braguette. Je ne pense même pas qu’on peut entrer à tout moment dans le bureau. Je n’es jamais éprouvé de telles sensations. D’une voix chaude et envoûtante je désigne ce qu’elle devait faire.
- Du bout des doigts, vous accentuez la pression sur votre clitoris et vous ne le quittez plus. Vous allez le secouer de plus en plus vite.
Elle s’exécute sur le champ.
- Oui comme ça ! Et continuez à fouiller votre chatte. Voilà de cette façon. Vous allez et venez, le plus profond possible. Je vois votre jus dégouline le long de votre cuisses. Vous sentez l’orgasme monter.
Je surpris les pointes de ses seins pointées à travers le chemisier.
- Vous bandez des seins. Votre poitrine s’empourpre. Regardez ma queue que je branle.
Elle fixe intensément ma queue que je manipule avec rage. Je ne quitte pas sa chatte des yeux, qu’elle secoue avec violence. L’orgasme la fait trembler de tous ses membres. Je me sentis décoller, alors qu’elle se serre les cuisses autour de sa main, toujours bien enfoncée entre elles.
Moi, j’éjacule, loin. Le plateau du bureau reçoit même quelques éclats de ma semence.
Alors que je replace mon oiseau dans sa cage, la banquière remet de l’ordre dans sa tenue. Je ferme ma braguette et je m’avance jusqu’au bureau, juste au-dessus du feuillet, que je me saisis.
- Tout bien réfléchie, fis-je en les déchirant, je pense que j’e n’en ai pas besoin.
Ceci fait, je contourne le bureau jusqu’à la porte de sortie.
- Mais… mais, vous avez promis…
- Oui, mais c’était alors sous l’influence de l’excitation. Et comme vous vous en êtes aperçus, le fait d’avoir joui, et cela grâce à vous, ça m’a remis sur les bons rails. Merci à vous !
Je pèse de ma main la poignet et avant d’ouvrir la porte je me tourne vers elle et dis :
- Reprenant rendez-vous, voulez-vous. Mais cette fois-ci un soir…
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