Des époux s'éclatent (1/2)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Des époux s'éclatent (1/2)
SIMON ET CLEMENCE
Simon était en train de superviser la rééducation d'un patient dans son cabinet de kinésithérapie lorsqu'il reçut un coup de fil de sa compagne Clémence sur son téléphone portable :- Chéri, ça te dirait qu'on mange ensemble à la pause déjeuner ?
- Ben, oui, pourquoi pas, tu auras le temps ?
- Oui, j'ai un patient qui s'est décommandé, j'ai une heure devant moi.
- Ok, on se retrouve où ?
- Au petit resto à côté de mon cabinet. Ne sois pas en retard.
- Ok, pas de problème.
Simon marqua un certain étonnement. Clémence, également kinésithérapeute, n'était pas du genre à organiser ce type de rendez-vous rapide, d'autant qu'elle avait l'habitude de déjeuner sur le pouce entre deux patients. Elle avait sûrement quelque chose d'important à lui dire, qu'elle n'aurait pas fait à la maison, devant les enfants. Agés tous les deux d'une trentaine d'années, prototypes des "bobos écolos" se déplaçant à vélo, se réservant chacun leur tour une plage de liberté le week-end pour un footing en solo, ils avaient conservé un physique alerte de sportifs. Clémence était assez solidement charpentée avec des bras et des cuisses musclées révélant la jeune femme en pleine santé. Tous les deux aimaient faire l'amour mais trouvaient difficilement le temps de s'ébattre, le soir les trouvant fatigués par leur journée de travail. Et le week-end, priorité aux deux gosses en bas âge.
Simon retrouva Clémence à l'heure dite devant le restaurant. Un bisou et l'homme s'apprêtait à pousser la porte lorsque la femme l'arrêta :- Arrête, on ne va pas là. On va à côté.
Simon regarda, interdit, sa compagne désigner l'hôtel cossu qui imposait sa masse sur la rue.
- Tu... veux qu'on aille manger là ? Mais ça va être long.
- Non. On ne va pas manger. On va... baiser.
- Quoi ? Tu veux qu'on prenne une chambre pour... ça ?
- Yes sir. Elle est déjà réservée. Tu viens ?
Mais déjà, Clémence précédait Simon en direction de la réception de l'hôtel, un établissement d'une chaine connue pour son confort... et le prix élevé de ses chambres. Moulé dans un jean étroit, son fessier copieux semblait déjà frétiller. Elle s'avança résolument devant la réceptionniste, annonça sa réservation, confia ne pas avoir de bagages, sortit sa carte bleue et paya recta pour une durée de 24 heures. Simon n'en revenait pas de sa détermination, elle qui marquait parfois une certaine réserve, pour ne pas dire de la timidité. Elle prit sa carte d'entrée, saisit la main de Simon et l'entraina vers l'ascenseur. Les portes fermées, elle l'embrassa goulûment et lui dit :- J'espère que tu es en forme. J'ai très envie de ta bite.
De mieux en mieux. Voilà que Clémence parlait cru. A peine arrivés dans la chambre, le couple gagna le vaste lit et commença à se bécoter. Clémence avait posé la main sur la braguette de Simon et constata avec satisfaction qu'il durcissait. Sans tergiverser, elle fit valser ses escarpins, releva son pull par-dessus sa tête et apparut en soutif.
- Enlève-moi vite ce pantalon, que je voie si je te fais envie, dit-elle à Simon.
Elle baissa elle-même son jean et sa culotte en même temps, dégrafa prestement son soutif et apparut nue sur le lit dont elle défit la couette. Allongée sur les coudes, cuisses ouvertes, elle regarda Simon se débarrasser de ses derniers vêtements et lui dit :- On ne va pas faire l'amour comme un vieux couple. On va baiser comme si tu étais mon amant et moi ta maitresse, comme si on commettait l'adultère. Je suis prête à tout. Donne-moi d'abord ta bite à sucer.
L'attitude inattendue de Clémence avait eu pour effet de produire une érection spectaculaire de Simon. Il y a longtemps qu'il ne s'était pas senti aussi long, aussi dur. La bouche gourmande de sa compagne acheva de lui ôter toute inhibition liée à ces circonstances inédites. Tout en se laissant sucer, il bascula pour plonger son museau entre les cuisses ouvertes de Clémence. Il découvrit une vulve déjà aqueuse qu'il parcourut de sa langue, provoquant un frémissement de hanches prometteur. Clémence lui gobait maintenant les couilles et ô surprise, en vint à lui lécher l'anus. "Je suis prête à tout", l'avait-elle prévenu. En effet !
Lorsqu'il se retourna, il rencontra le visage d'une femelle en chaleur, l'oeil pétillant, la bouche humide et à nouveau le verbe cru :- Tu me la mets maintenant ?
Il décida de la faire languir un peu. Il voulait comprendre pourquoi elle était si chaude :- Tu la veux vraiment ?
- Oui, oui, je la veux, s'il te plait, viens.
- Et pourquoi maintenant, en pleine journée de boulot.
- J'ai envie de baiser, c'est tout. Baise-moi.
- Tu t'es fait chauffer par un patient ou quoi ?
- Mais non. j'ai juste besoin de ta bite. Baise-moi, merde !
- Viens la chercher.
Alors, Clémence prit le pénis de Simon à pleine main, la guida vers son antre, entoura les reins de son compagnon de ses jambes et pressa fort. Simon fut englouti d'un trait dans une fente étonnamment douce et humide et Clémence poussa un long râle en fermant les yeux. Jamais Simon n'avait ressenti chez sa compagne un tel besoin de sa queue. Pendant tous leurs ébats, elle ne cessa d'ailleurs de la célébrer, flattant son égo de mâle. Le plus dur pour lui, devant tant d'enthousiasme sexuel, fut de conserver la maitrise de son sperme car il voulait la faire jouir le plus longtemps et le plus souvent possible. La chambre recelait plusieurs possibilités d'ébats. Ils gagnèrent un canapé face à un miroir qui permit une position en levrette et la faculté pour Clémence d'observer les entrées et sorties frénétiques de la queue de Simon dans son antre. Et pour l'homme d'admirer le balancement de ses seins au rythme de ses coups de boutoir. Assis dans le canapé, Simon la laissa s'empaler sur lui et cette fois, Clémence se découvrit via le miroir en train de cavaler sur la bite, rictus aux lèvres et hanches en folie.
C'est elle-même qui le conduisit dans la salle de bains pour se faire prendre assise sur l'ensemble de lavabos, lui debout face à un autre miroir avant qu'elle ne l'entraine à nouveau sur le lit. Le mouvement de son fessier lui inspira un furieux besoin de la sodomiser et elle s'y prêta sans barguigner en se tenant le cul en l'air, lui imposant juste de la "lécher d'abord". Enculer Clémence, cela faisait un bon moment que ce n'était pas arrivé, et il avait fallu une chambre d'hôtel pour en arriver à ce plaisir particulier, qu'elle sembla partager en agitant ses fesses et en émettant quelques gargouillis dans le drap du dessous.
Après avoir bien ramoné son rectum, il essuya sa queue à une serviette de bain et retourna au lit, toujours long et raide. Clémence rayonnait, la main sur sa chatte pour entretenir son excitation :- Chéri, tu me baises vraiment; S'il te plait, encore un peu.
- Tu vas être en retard au boulot.
- M'en fiche. Défonce moi. Fais-moi encore jouir.
Il ne l'avait jamais vue dans un état pareil. Le simple contact de sa queue la mettait en transes. Quand il la pénétra à nouveau en la pliant en deux, elle rugit de plaisir en gigotant sous lui et il comprit qu'il n'allait plus pouvoir se retenir. La pièce s'emplit du choc de leurs peaux et il observa la montée de son orgasme. Quand il vit son visage déformé par la jouissance, il accéléra brutalement son rythme et lâcha tout. Clémence cria et Simon la baillonna, s'attendant à ce qu'une main inquiète frappe à la porte de la chambre. Mais rien ne se passa d'autre qu'une lente décrue du plaisir partagé. Clémence courut uriner puis passa sans transition sous la douche, se rhabilla en hâte et laissa Simon en plan, un bisou sur les lèvres.
- Excuse-moi chéri, je dois aller au boulot mais merci, c'était génial.
Quand Simon quitta l'hôtel, il évita de regarder du côté de la réception. Pour qui le prenait-t-on ? Alors qu'il n'était que le conjoint d'une femme qui avait voulu vivre un fantasme de fausse adultère ? Il retourna à son tour au travail, impatient de retrouver le soir la mère de famille que Clémence ne tarderait pas à redevenir.
‌‌‌‌CHRISTIAN ET FRANCOISE
Ce soir d'été était si doux que Christian et Françoise décidèrent de quitter leur camping et leur mobil home pour marcher au clair de lune sur le sable dur laissé par la marée descendante de la mer toute proche. L'astre se mirait sur l'onde, éclairant la plage d'une lumière tamisée et transformant les promeneurs comme eux en ombres mouvantes, reconnaissables seulement à quelques mètres. Retraités de fraiche date, Christian et Françoise savouraient ces moments d'intimité poétique et marine. Ils aimaient encore mieux la plage vespérale que celle qu'ils fréquentaient dans la journée, entièrement nus sur sa partie naturiste. Ils avaient accompli quelques centaines de mètres quand ils découvrirent qu'un couple s'adonnait à un bain de minuit. Difficile de loin de lui donner un âge mais ils y prenaient un tel plaisir qu'on pouvait le supposer jeune. Christian et Françoise les regardèrent s'abattre dans les vagues. Ils étaient nus l'un et l'autre, dans la bonne tradition des bains de minuit.
- Et si on faisait comme eux ?
Françoise venait de ressentir une envie furieuse de se baigner. A peine eut-elle prononcé ces mots qu'elle fit passer sa robe d'été par-dessus sa tête, dégrafa son soutien-gorge et baissa son slip, découvrant dans la pénombre son corps aux formes opulentes qui lui filaient parfois des complexes sur la plage quand elle se comparait aux minces trentenaires bronzant dans le plus simple appareil. Au moins, la nuit, elle ne souffrirait pas de la comparaison. Christian se déshabilla à son tour, révélant un corps velu mais sec qui rendait Françoise fière de son accompagnement. Et le couple mûr entra dans l'eau.
Passé le cap de la fraicheur, leur sensation de bien-être, renforcé par leur nudité, fut intense. Ils échangèrent des rires avec l'autre couple qui se révéla beaucoup plus jeune. La femme était une brune à cheveux courts et petits seins, l'homme un gars râblé et musclé. Puis Christian et Françoise se concentrèrent sur leur propre bain, profitant d'une situation nocturne pour le moins inhabituelle, sans soleil pour réchauffer leur peau mais baignant comme dans un liquide amniotique.
Quand ils décidèrent de sortir de l'eau, Françoise avait les pointes de seins dures et Christian la queue tonique. C'est alors qu'ils découvrirent l'autre couple qui était déjà sur le sable. Ce qu'ils virent en premier fut une paire de fesses d'homme entre deux cuisses de femme et ils ne tardèrent pas à comprendre que le jeune couple baisait. La femme exprimait des jappements qui témoignaient de son plaisir tandis que l'homme roulait des hanches, bien enfoncé en elle, le dos verrouillé par deux pieds nus. Christian et Françoise n'avaient pas apporté de serviette. Ils séchaient debout en regardant le couple fornicateur, à la fois interdits et excités. Ils avait déjà vu des couples faire l'amour sur une plage mais jamais d'aussi près et encore moins la nuit, ce qui donnait à cet accouplement un charme particulier. Eux-mêmes, dans leur jeunesse, avaient parfois forniqué sur le sable d'une dune, pris par un besoin urgent, mais cela remontait à loin et même très loin. Le jeune gars besognait dur, totalement indifférent à la présence du couple de senior, ou feignant de l'être. Seule la femme tourna un moment la tête vers les deux voyeurs, qui crurent discerner un sourire dans la pénombre. Christian se glissa derrière Françoise et lui empauma les seins. Elle sentit sa queue raidir sur la raie de son copieux fessier. Il l'embrassa dans le cou et lui murmura à l'oreille :- Cela ne te rappelle rien ?
- Oh si. On était jeunes.
- Tu veux qu'on fasse pareil ?
Elle minauda, ce qui valait adhésion. Elle glissa sa main dans son dos et lui attrapa les couilles au moment même où la brune s'était mise à quatre pattes et s'offrait à une levrette sur le sable. Ses jappements se mêlèrent au bruit des vagues. Christian prit la robe de Françoise et l'étala, invitant son épouse à s'y allonger. Elle comprit son intention et écarta ses cuisses dodues. A plat vente, il plongea son museau dans sa vulve. Elle sentait la mer et il la parcourut de toute la largeur de sa langue. Françoise gloussait en lui tenait la nuque. La situation l'enchantait. Elle tourna la tête vers l'autre couple qui avait changé de position. La jeune femme cavalait sur la bite de son compagnon à grands coups de hanches. Françoise ressentit alors un grand besoin d'être pénétrée. Elle se mit à quatre pattes en se tournant vers le couple. Son cul bronzé souriait verticalement à la lune. Christian l'enfila sans coup férir et croisa le regard des deux jeunes, qui n'avaient rien manqué de l'évolution de la situation. La jeune femme se releva et se mit à son tour à quatre pattes, face aux seniors, en se rapprochant. Une faible distance séparait désormais les deux couples. Le garçon pouvait aisément mater le balancement des gros seins de Françoise et Christian constater le rictus de plaisir de la fille. Ce fut le début d'une étonnante baise symétrique sous la voûte étoilée, la position d'un couple étant aussitôt imitée par l'autre. Aux jappements de la fille répondaient les couinements de Françoise, caractéristiques de son extase, que Christian n'avait pas entendu aussi prononcés depuis longtemps.
Lors d'une courte pause, ils échangèrent quelques mots pour exprimer le délice de la soirée, en se tutoyant comme de vieux complices.
- Elle est chaude ta femme, dit Christian.
- La tienne aussi.
- Je vais l'enculer maintenant, elle aime ça. La tienne aussi ?
- Elle adore. Hein chérie ?
En réponse, la petite brune se mit à quatre pattes, son mâle positionné derrière elle. Elle grimaça au moment de l'introduction puis ouvrit grand la bouche et répondit à petits coups de fesses. Christian entra plus facilement et fit claquer la peau de son ventre sur le cul plantureux de Françoise qui couina dans la nuit. Sodomisées de conserve, la jeune et la moins jeune rivalisèrent de décibels. Deux couples de marcheurs passèrent à quelques mètres, feignant l'indifférence au spectacle peu banal de ces deux unions sur le sable, si dissemblables d'aspect. D'être vue en pleine fornication stimula l'orgasme de la fille, aussitôt suivi de l'éjaculation de son compagnon. Christian lima Françoise un peu plus longtemps. Son sperme tardait à venir et il se pencha pour empaumer ses seins ballottants, la couvrant comme un chien sa chienne, le cul nerveux et le nez dans le cou de sa femelle. Celle-ci poussa un long feulement qui troua la nuit et enfin, Christian gicla.
Les deux couples se retrouvèrent quelques minutes plus tard dans les vagues, rieurs et apaisés. Ils s'échangèrent leurs prénoms, évoquèrent leurs vacances, avouèrent leur âge et les deux seniors reçurent en échange un hommage appuyé. Ils se quittèrent en s'embrassant après s'être rhabillés et chacun s'en retourna à sa voiture. Ce bain de minuit resterait un doux souvenir de vacances, ni plus ni moins.
Simon était en train de superviser la rééducation d'un patient dans son cabinet de kinésithérapie lorsqu'il reçut un coup de fil de sa compagne Clémence sur son téléphone portable :- Chéri, ça te dirait qu'on mange ensemble à la pause déjeuner ?
- Ben, oui, pourquoi pas, tu auras le temps ?
- Oui, j'ai un patient qui s'est décommandé, j'ai une heure devant moi.
- Ok, on se retrouve où ?
- Au petit resto à côté de mon cabinet. Ne sois pas en retard.
- Ok, pas de problème.
Simon marqua un certain étonnement. Clémence, également kinésithérapeute, n'était pas du genre à organiser ce type de rendez-vous rapide, d'autant qu'elle avait l'habitude de déjeuner sur le pouce entre deux patients. Elle avait sûrement quelque chose d'important à lui dire, qu'elle n'aurait pas fait à la maison, devant les enfants. Agés tous les deux d'une trentaine d'années, prototypes des "bobos écolos" se déplaçant à vélo, se réservant chacun leur tour une plage de liberté le week-end pour un footing en solo, ils avaient conservé un physique alerte de sportifs. Clémence était assez solidement charpentée avec des bras et des cuisses musclées révélant la jeune femme en pleine santé. Tous les deux aimaient faire l'amour mais trouvaient difficilement le temps de s'ébattre, le soir les trouvant fatigués par leur journée de travail. Et le week-end, priorité aux deux gosses en bas âge.
Simon retrouva Clémence à l'heure dite devant le restaurant. Un bisou et l'homme s'apprêtait à pousser la porte lorsque la femme l'arrêta :- Arrête, on ne va pas là. On va à côté.
Simon regarda, interdit, sa compagne désigner l'hôtel cossu qui imposait sa masse sur la rue.
- Tu... veux qu'on aille manger là ? Mais ça va être long.
- Non. On ne va pas manger. On va... baiser.
- Quoi ? Tu veux qu'on prenne une chambre pour... ça ?
- Yes sir. Elle est déjà réservée. Tu viens ?
Mais déjà, Clémence précédait Simon en direction de la réception de l'hôtel, un établissement d'une chaine connue pour son confort... et le prix élevé de ses chambres. Moulé dans un jean étroit, son fessier copieux semblait déjà frétiller. Elle s'avança résolument devant la réceptionniste, annonça sa réservation, confia ne pas avoir de bagages, sortit sa carte bleue et paya recta pour une durée de 24 heures. Simon n'en revenait pas de sa détermination, elle qui marquait parfois une certaine réserve, pour ne pas dire de la timidité. Elle prit sa carte d'entrée, saisit la main de Simon et l'entraina vers l'ascenseur. Les portes fermées, elle l'embrassa goulûment et lui dit :- J'espère que tu es en forme. J'ai très envie de ta bite.
De mieux en mieux. Voilà que Clémence parlait cru. A peine arrivés dans la chambre, le couple gagna le vaste lit et commença à se bécoter. Clémence avait posé la main sur la braguette de Simon et constata avec satisfaction qu'il durcissait. Sans tergiverser, elle fit valser ses escarpins, releva son pull par-dessus sa tête et apparut en soutif.
- Enlève-moi vite ce pantalon, que je voie si je te fais envie, dit-elle à Simon.
Elle baissa elle-même son jean et sa culotte en même temps, dégrafa prestement son soutif et apparut nue sur le lit dont elle défit la couette. Allongée sur les coudes, cuisses ouvertes, elle regarda Simon se débarrasser de ses derniers vêtements et lui dit :- On ne va pas faire l'amour comme un vieux couple. On va baiser comme si tu étais mon amant et moi ta maitresse, comme si on commettait l'adultère. Je suis prête à tout. Donne-moi d'abord ta bite à sucer.
L'attitude inattendue de Clémence avait eu pour effet de produire une érection spectaculaire de Simon. Il y a longtemps qu'il ne s'était pas senti aussi long, aussi dur. La bouche gourmande de sa compagne acheva de lui ôter toute inhibition liée à ces circonstances inédites. Tout en se laissant sucer, il bascula pour plonger son museau entre les cuisses ouvertes de Clémence. Il découvrit une vulve déjà aqueuse qu'il parcourut de sa langue, provoquant un frémissement de hanches prometteur. Clémence lui gobait maintenant les couilles et ô surprise, en vint à lui lécher l'anus. "Je suis prête à tout", l'avait-elle prévenu. En effet !
Lorsqu'il se retourna, il rencontra le visage d'une femelle en chaleur, l'oeil pétillant, la bouche humide et à nouveau le verbe cru :- Tu me la mets maintenant ?
Il décida de la faire languir un peu. Il voulait comprendre pourquoi elle était si chaude :- Tu la veux vraiment ?
- Oui, oui, je la veux, s'il te plait, viens.
- Et pourquoi maintenant, en pleine journée de boulot.
- J'ai envie de baiser, c'est tout. Baise-moi.
- Tu t'es fait chauffer par un patient ou quoi ?
- Mais non. j'ai juste besoin de ta bite. Baise-moi, merde !
- Viens la chercher.
Alors, Clémence prit le pénis de Simon à pleine main, la guida vers son antre, entoura les reins de son compagnon de ses jambes et pressa fort. Simon fut englouti d'un trait dans une fente étonnamment douce et humide et Clémence poussa un long râle en fermant les yeux. Jamais Simon n'avait ressenti chez sa compagne un tel besoin de sa queue. Pendant tous leurs ébats, elle ne cessa d'ailleurs de la célébrer, flattant son égo de mâle. Le plus dur pour lui, devant tant d'enthousiasme sexuel, fut de conserver la maitrise de son sperme car il voulait la faire jouir le plus longtemps et le plus souvent possible. La chambre recelait plusieurs possibilités d'ébats. Ils gagnèrent un canapé face à un miroir qui permit une position en levrette et la faculté pour Clémence d'observer les entrées et sorties frénétiques de la queue de Simon dans son antre. Et pour l'homme d'admirer le balancement de ses seins au rythme de ses coups de boutoir. Assis dans le canapé, Simon la laissa s'empaler sur lui et cette fois, Clémence se découvrit via le miroir en train de cavaler sur la bite, rictus aux lèvres et hanches en folie.
C'est elle-même qui le conduisit dans la salle de bains pour se faire prendre assise sur l'ensemble de lavabos, lui debout face à un autre miroir avant qu'elle ne l'entraine à nouveau sur le lit. Le mouvement de son fessier lui inspira un furieux besoin de la sodomiser et elle s'y prêta sans barguigner en se tenant le cul en l'air, lui imposant juste de la "lécher d'abord". Enculer Clémence, cela faisait un bon moment que ce n'était pas arrivé, et il avait fallu une chambre d'hôtel pour en arriver à ce plaisir particulier, qu'elle sembla partager en agitant ses fesses et en émettant quelques gargouillis dans le drap du dessous.
Après avoir bien ramoné son rectum, il essuya sa queue à une serviette de bain et retourna au lit, toujours long et raide. Clémence rayonnait, la main sur sa chatte pour entretenir son excitation :- Chéri, tu me baises vraiment; S'il te plait, encore un peu.
- Tu vas être en retard au boulot.
- M'en fiche. Défonce moi. Fais-moi encore jouir.
Il ne l'avait jamais vue dans un état pareil. Le simple contact de sa queue la mettait en transes. Quand il la pénétra à nouveau en la pliant en deux, elle rugit de plaisir en gigotant sous lui et il comprit qu'il n'allait plus pouvoir se retenir. La pièce s'emplit du choc de leurs peaux et il observa la montée de son orgasme. Quand il vit son visage déformé par la jouissance, il accéléra brutalement son rythme et lâcha tout. Clémence cria et Simon la baillonna, s'attendant à ce qu'une main inquiète frappe à la porte de la chambre. Mais rien ne se passa d'autre qu'une lente décrue du plaisir partagé. Clémence courut uriner puis passa sans transition sous la douche, se rhabilla en hâte et laissa Simon en plan, un bisou sur les lèvres.
- Excuse-moi chéri, je dois aller au boulot mais merci, c'était génial.
Quand Simon quitta l'hôtel, il évita de regarder du côté de la réception. Pour qui le prenait-t-on ? Alors qu'il n'était que le conjoint d'une femme qui avait voulu vivre un fantasme de fausse adultère ? Il retourna à son tour au travail, impatient de retrouver le soir la mère de famille que Clémence ne tarderait pas à redevenir.
‌‌‌‌CHRISTIAN ET FRANCOISE
Ce soir d'été était si doux que Christian et Françoise décidèrent de quitter leur camping et leur mobil home pour marcher au clair de lune sur le sable dur laissé par la marée descendante de la mer toute proche. L'astre se mirait sur l'onde, éclairant la plage d'une lumière tamisée et transformant les promeneurs comme eux en ombres mouvantes, reconnaissables seulement à quelques mètres. Retraités de fraiche date, Christian et Françoise savouraient ces moments d'intimité poétique et marine. Ils aimaient encore mieux la plage vespérale que celle qu'ils fréquentaient dans la journée, entièrement nus sur sa partie naturiste. Ils avaient accompli quelques centaines de mètres quand ils découvrirent qu'un couple s'adonnait à un bain de minuit. Difficile de loin de lui donner un âge mais ils y prenaient un tel plaisir qu'on pouvait le supposer jeune. Christian et Françoise les regardèrent s'abattre dans les vagues. Ils étaient nus l'un et l'autre, dans la bonne tradition des bains de minuit.
- Et si on faisait comme eux ?
Françoise venait de ressentir une envie furieuse de se baigner. A peine eut-elle prononcé ces mots qu'elle fit passer sa robe d'été par-dessus sa tête, dégrafa son soutien-gorge et baissa son slip, découvrant dans la pénombre son corps aux formes opulentes qui lui filaient parfois des complexes sur la plage quand elle se comparait aux minces trentenaires bronzant dans le plus simple appareil. Au moins, la nuit, elle ne souffrirait pas de la comparaison. Christian se déshabilla à son tour, révélant un corps velu mais sec qui rendait Françoise fière de son accompagnement. Et le couple mûr entra dans l'eau.
Passé le cap de la fraicheur, leur sensation de bien-être, renforcé par leur nudité, fut intense. Ils échangèrent des rires avec l'autre couple qui se révéla beaucoup plus jeune. La femme était une brune à cheveux courts et petits seins, l'homme un gars râblé et musclé. Puis Christian et Françoise se concentrèrent sur leur propre bain, profitant d'une situation nocturne pour le moins inhabituelle, sans soleil pour réchauffer leur peau mais baignant comme dans un liquide amniotique.
Quand ils décidèrent de sortir de l'eau, Françoise avait les pointes de seins dures et Christian la queue tonique. C'est alors qu'ils découvrirent l'autre couple qui était déjà sur le sable. Ce qu'ils virent en premier fut une paire de fesses d'homme entre deux cuisses de femme et ils ne tardèrent pas à comprendre que le jeune couple baisait. La femme exprimait des jappements qui témoignaient de son plaisir tandis que l'homme roulait des hanches, bien enfoncé en elle, le dos verrouillé par deux pieds nus. Christian et Françoise n'avaient pas apporté de serviette. Ils séchaient debout en regardant le couple fornicateur, à la fois interdits et excités. Ils avait déjà vu des couples faire l'amour sur une plage mais jamais d'aussi près et encore moins la nuit, ce qui donnait à cet accouplement un charme particulier. Eux-mêmes, dans leur jeunesse, avaient parfois forniqué sur le sable d'une dune, pris par un besoin urgent, mais cela remontait à loin et même très loin. Le jeune gars besognait dur, totalement indifférent à la présence du couple de senior, ou feignant de l'être. Seule la femme tourna un moment la tête vers les deux voyeurs, qui crurent discerner un sourire dans la pénombre. Christian se glissa derrière Françoise et lui empauma les seins. Elle sentit sa queue raidir sur la raie de son copieux fessier. Il l'embrassa dans le cou et lui murmura à l'oreille :- Cela ne te rappelle rien ?
- Oh si. On était jeunes.
- Tu veux qu'on fasse pareil ?
Elle minauda, ce qui valait adhésion. Elle glissa sa main dans son dos et lui attrapa les couilles au moment même où la brune s'était mise à quatre pattes et s'offrait à une levrette sur le sable. Ses jappements se mêlèrent au bruit des vagues. Christian prit la robe de Françoise et l'étala, invitant son épouse à s'y allonger. Elle comprit son intention et écarta ses cuisses dodues. A plat vente, il plongea son museau dans sa vulve. Elle sentait la mer et il la parcourut de toute la largeur de sa langue. Françoise gloussait en lui tenait la nuque. La situation l'enchantait. Elle tourna la tête vers l'autre couple qui avait changé de position. La jeune femme cavalait sur la bite de son compagnon à grands coups de hanches. Françoise ressentit alors un grand besoin d'être pénétrée. Elle se mit à quatre pattes en se tournant vers le couple. Son cul bronzé souriait verticalement à la lune. Christian l'enfila sans coup férir et croisa le regard des deux jeunes, qui n'avaient rien manqué de l'évolution de la situation. La jeune femme se releva et se mit à son tour à quatre pattes, face aux seniors, en se rapprochant. Une faible distance séparait désormais les deux couples. Le garçon pouvait aisément mater le balancement des gros seins de Françoise et Christian constater le rictus de plaisir de la fille. Ce fut le début d'une étonnante baise symétrique sous la voûte étoilée, la position d'un couple étant aussitôt imitée par l'autre. Aux jappements de la fille répondaient les couinements de Françoise, caractéristiques de son extase, que Christian n'avait pas entendu aussi prononcés depuis longtemps.
Lors d'une courte pause, ils échangèrent quelques mots pour exprimer le délice de la soirée, en se tutoyant comme de vieux complices.
- Elle est chaude ta femme, dit Christian.
- La tienne aussi.
- Je vais l'enculer maintenant, elle aime ça. La tienne aussi ?
- Elle adore. Hein chérie ?
En réponse, la petite brune se mit à quatre pattes, son mâle positionné derrière elle. Elle grimaça au moment de l'introduction puis ouvrit grand la bouche et répondit à petits coups de fesses. Christian entra plus facilement et fit claquer la peau de son ventre sur le cul plantureux de Françoise qui couina dans la nuit. Sodomisées de conserve, la jeune et la moins jeune rivalisèrent de décibels. Deux couples de marcheurs passèrent à quelques mètres, feignant l'indifférence au spectacle peu banal de ces deux unions sur le sable, si dissemblables d'aspect. D'être vue en pleine fornication stimula l'orgasme de la fille, aussitôt suivi de l'éjaculation de son compagnon. Christian lima Françoise un peu plus longtemps. Son sperme tardait à venir et il se pencha pour empaumer ses seins ballottants, la couvrant comme un chien sa chienne, le cul nerveux et le nez dans le cou de sa femelle. Celle-ci poussa un long feulement qui troua la nuit et enfin, Christian gicla.
Les deux couples se retrouvèrent quelques minutes plus tard dans les vagues, rieurs et apaisés. Ils s'échangèrent leurs prénoms, évoquèrent leurs vacances, avouèrent leur âge et les deux seniors reçurent en échange un hommage appuyé. Ils se quittèrent en s'embrassant après s'être rhabillés et chacun s'en retourna à sa voiture. Ce bain de minuit resterait un doux souvenir de vacances, ni plus ni moins.
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