Des vraies femmes qui aiment les jeunes (1)

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Des vraies femmes qui aiment les jeunes (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Des vraies femmes qui aiment les jeunes (1)
MURIEL



Muriel s'était pourtant jurée, après sa rupture avec son amant Thierry, de ne plus avoir de rapports avec des jeunes hommes. Après avoir bien profité de son corps voluptueux de quinquagénaire épanouie, ce trentenaire marié l'avait laissée tomber comme une vieille peau, non sans lui avoir promis la rupture avec son épouse pour vivre avec elle. Pauvre naïve ! Elle l'avait cru sur parole comme une midinette. Et tout ça parce qu'il la faisait jouir comme personne. Avec lui, elle s'était sentie rajeunie de vingt ans, mouillait comme à ses plus beaux jours, faisait avec lui ce qu'elle n'avait jamais accepté de son ex mari. Il pouvait venir chez elle n'importe quand pour se et la satisfaire. Elle avait fait sa révolution sexuelle. Elle baisait. Mais depuis quelques mois, elle ne baisait plus. Elle avait rangé ses décolletés plongeants sur son opulente poitrine, ses pantalons moulant ses fesses charnues, négligé coiffeur et esthéticienne. Elle se laissait aller. Elle ne faisait plus que se masturber avec son gode surmené.

Et puis, Cédric croisa sa route. Il était membre de la même association qu'elle et elle était tombée vite sous son charme viril de jeune gars de 25 ans, jean, baskets et polo sans manches dévoilant deux beaux biceps. Il avait vite flashé sur cette mature à gros seins et beau cul, à l'air un peu salope, qui le regardait avec l'oeil brillant. "Une femme qui baise", avait-il conclu. Et justement, il cherchait ce profil faute d'avoir trouvé l'âme soeur, ou au moins une fille qui couche sans se faire prier, ce qui devenait de plus en plus rare. Un soir, il l'avait invité à prendre un verre. Elle l'avait beaucoup écouté pendant qu'il parlait en matant ses seins. Et quand elle avait fini par dire "on va chez moi ?", il avait frétillé comme un gardon.

Muriel était arrivée à un âge où les approches de séduction, si prisées de la jeunesse, recelaient quelques limites. Quand un gars lui plaisait, et qu'elle comprenait que c'était réciproque, pourquoi perdre du temps en parlotes ? Elle avait besoin de bite, il avait besoin de chatte, ils étaient deux adultes consentants à mélanger leur corps et c'était l'essentiel. En outre, les dernières fois qu'un homme était entré dans son lit, après sa rupture avec son jeune amant, elle était restée sur sa faim. Dans sa volonté à oublier Thierry et à se "recentrer" sur des hommes de son âge, un peu gras, un peu mous, elle avait réalisé qu'elle ne pouvait plus jouir qu'avec de la fougue, de la raideur, de l'endurance, quitte à se faire un peu secouer. Elle aimait encore trop le sexe pour retomber dans une conjugalité larvée.

Quand elle découvrit le corps nu de Cédric, après un déshabillage express à peine franchie la porte de son appartement, Muriel se dit "bonne pioche". Pectoraux, abdominaux, fessiers, le garçon était un parangon de masculinité. Sa queue droite, tendue, témoignait de l'intensité de son désir. Il bandait dur devant son corps nu, voluptueux de quinquagénaire et elle le récompensa en l'embouchant avant qu'il ne mette sa capote. La pipe, c'était son truc, à Muriel. En levant les yeux, elle le voyait s'abandonner à sa succion, extasié. Mais elle avait trop envie d'être pénétrée pour faire durer sa succion.
Il la prit classiquement dans son lit en missionnaire et elle sut tout de suite qu'elle allait jouir. Il lui mit d'emblée ses pieds sur ses clavicules et cet envahissement massif; profond, sans concession, qui tirait un peu sur ses cuisses pliées mais lui procurait une sensation radicale, lui fit exprimer une multitude de sons de gorge et de ventre qui fit comprendre au jeune homme qu'il était tombé sur un coup en or. Subjugué par la houle de ses seins lourds pendant qu'il l'estoquait, fasciné par son regard éperdu de reconnaissance, Cédric régala sa queue dans le confort d'un déduit juteux qui semblait l'aspirer.

Ce ne fut évidemment pas la seule position qu'ils adoptèrent dans ce long coït où deux corps se découvraient. Elle le chevaucha longuement en se régalant les yeux de son torse musclé, tandis qu'il savourait le balancement de ses deux gros nichons, les plus beaux qu'il ait palpé depuis longtemps. Toujours sur lui, elle lui montra son cul en se penchant très en avant et en effectuant des mouvements giratoires qui la firent couiner à l'autre bout du lit. Ce cul splendide de femme mûre l'inspirait et quand il manifesta l'intention d'entrer entre les deux hémisphères, elle participa en les écartant des deux mains. C'était la première fois qu'il enculait aussi facilement et avec une telle adhésion. Oui, cette Muriel était vraiment un coup en or.
Elle voulait qu'il éjacule dans sa bouche et il se prêta à ce désir alors qu'il aurait bien continué à la limer un peu. Mais il se rattrapa au petit matin car il était resté dormir dans son lit, nu contre elle nue. Elle l'accueillit cuisses ouvertes et mains rivées sur ses fesses pour un accouplement bref mais intense. Puis elle gagna la salle de bain, lui prépara un petit-déjeuner, l'embrassa et s'esquiva en lui demandant de laisser la clé dans la boite aux lettres. Le travail l'appelait.

Quand elle rentra le soir, il n'était évidemment plus là. Il lui avait juste laissé son numéro de téléphone sur un bout de papier. Muriel comprit qu'elle était repartie pour une histoire à la Thierry. Au moins, lui n'était pas marié. Mais elle savait que chaque soir, elle attendrait avec fébrilité le coup de sonnette qui signalerait sa venue. Elle était déjà droguée à sa queue.



MARINA



A la fin de la quarantaine, Marina n'était toujours pas mariée et il y avait peu de chances qu'elle le soit un jour. Cadre supérieure, elle avait sacrifié sa vie privée à son travail, qui la satisfaisait pleinement. Ses besoins sexuels, elle les assouvissait de temps à autre avec des hommes de son environnement, souvent mariés, pas toujours très virils, mais attirés par cette belle femme au corps de sportive, résultat de son assiduité aux cours de gym. Le problème est qu'elle connaissait de moins en moins souvent l'orgasme alors que, oui, on pouvait le dire, elle aimait ça, c'est à dire le sexe, sans complication. Si elle fréquentait régulièrement le club Med, c'était pour s'envoyer en l'air avec des types qu'elle ne reverrait jamais plus mais qui avaient flashé sur elle lorsqu'ils l'avaient vu dans son bikini minimaliste. En général, des hommes plus jeunes qu'elle car, elle devait bien se l'avouer, elle aimait les jeunes corps.

Seule dans son lit, son gode à la main, elle se remémorait un épisode particulièrement chaud lors de ses récentes vacances. Au cours de tennis du club Med, elle avait été séduite par le jeune prof, un grand blond aux yeux bleus, lequel, à sa grande surprise, n'avait pas été insensible à son charme. Il lui avait montré un tel intérêt que les autres femmes du groupe, en particulier les jeunes, en avaient pris ombrage. "C'est quand même malheureux que Jordan (le prénom du garçon) préfère une vieille", avait dit une petite brune, assez fort pour que Marina l'entende.

N'empêche que l'affaire avait été rondement menée. Marina et Jordan avait passé la soirée ensemble, avaient dansé ensemble et dans la foulée, avaient baisé ensemble sur la plage, dans l'impossibilité de s'isoler dans leur case respective occupée en colocation. Marina s'était régalée du corps du jeune homme au clair de lune et celui-ci avait trouvé dans la quadragénaire une partenaire passionnée et un rien vicieuse qui convenait parfaitement à sa bite. Cette relation prit une tournure inattendue quand Jordan voulut faire partager sa découverte à son collègue et ami prof de voile prénommée Diego, qui partageait sa chambrée. Un autre beau gosse, brun de peau et de poil, avec lequel Marina se serait bien envoyée en l'air en solo. Mais ils l'entreprirent pour lui proposer un plan à trois pour lequel elle se montra au début assez réticente. Ce n'était pas son habitude, ce genre de gymnastique. Mais les deux gaillards surent habilement la mettre en condition, lui faisant valoir qu'elle n'aurait pas tous les jours deux virilités à son entière disposition. La chaleur de l'été, un peu d'alcool et surtout l'envie de baiser eurent finalement raison de la résistance de la belle quadra. Et c'est ainsi qu'elle se retrouva à poil sur un plumard assez étroit avec deux gars également à poil qui leur tendirent leur queue magistrale à sucer en alternance.

Au souvenir de ces ébats, Marina dans son lit accentua le rythme de sa masturbation via son gode. Il fallait bien qu'elle se l'avoue : elle n'avait jamais pris un panard pareil. Au début, Jordan et Diego la baisèrent à tour de rôle. Elle passait du blond au brun en gigotant sous eux ou sur eux, comblée par la raideur permanente qui envahissait massivement son antre intime et surchauffée. Cavalant sur la bite de Diego, elle suça en même temps celle de Jordan, et lycée de Versailles. Ce qui se produisit ensuite, dans le feu de l'action, Marina s'en souvint en gémissant, comme si le gode la ramenait quelques mois en arrière. Alors qu'elle faisait aller et venir son cul sur la bite tendue de Diego, Jordan se positionna derrière elle et lui intima l'ordre de ne plus bouger. Elle sentit sa langue s'insinuer dans son anus et ne fut pas longue à comprendre son désir. Ce petit salaud allait la sodomiser pendant que sa chatte était prise par son pote. Mais elle était dans un tel état érotique que le gland du blond ne fut pas long à trouver sa place, Marina lui ayant même facilité la tâche en se penchant un peu en avant. Et c'est ainsi qu'elle fut doublement baisée par deux GO qui avaient deviné que cette GM chaude comme la braise et peu farouche allait leur permettre d'assouvir un vieux fantasme : ce taper une meuf en double péné. La sensation de Marina fut si forte qu'elle connut, à la souvenance, un véritable orgasme dans son lit avec son gode. Pas tout à fait à la hauteur cependant de ce qu'elle connut cette nuit là au Club Med : deux beaux mecs pour être toute seule, un dans sa chatte et un dans son cul.

Le lendemain fut cependant un peu difficile car ils ne s'en étaient pas tenus là. Ils rechargeaient vite et ils lui firent passer une nuit quasiment blanche. Un jour avant son départ, car la semaine était vite passée, elle reçut sa dose de sexe pour un bout de temps. Mais au retour, elle put raconter à ses collègues que ses vacances avaient été parfaitement réussies.
Marina finit par s'endormir, son gode à la main. Et le lendemain, dans son service, son regard croisa celui d'un stagiaire d'une vingtaine d'années dont elle s'attribua illico le tutorat. Un blond aux yeux bleus, comme Jordan.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
j'ai 42 ans cela fait 6 ans que je trompe mon mari avec des jeunes hommes,un conseil pour qu 'ils reviennent ou qu'ils vous présentent des copains il faut faire du sexe comme leurs copines ne font pas,ils aiment les cougars très salopes et sans tabous



Texte coquin : Des vraies femmes qui aiment les jeunes (1)
Histoire sexe : Une rose rouge
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