Deux couples amis en découverte
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-03-2023 dans la catégorie Plus on est
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Deux couples amis en découverte
La scène se déroule en été, au bord d'une petite rivière dans un coin tranquille, à l'abri des regards. Deux couples d'amis s'y rendent régulièrement pour se baigner et bronzer, même si l'eau est un peu froide. Ils ont la trentaine et ont laissé leurs enfants aux grands-parents le temps d'une semaine de farniente. Elise et Kevin, Julie et Germain sont bien installés dans la vie, les deux hommes sont même collègues de travail. Elise est châtain clair, plutôt petite. Julie est une vraie brune à cheveux longs souvent noués en chignon. Elles sont fort jolies l'une et l'autre mais assez peu satisfaites de leur corps qu'elles jugent "déséquilibré". Elles sont en effet assez fortes en fesses pour une poitrine d'un volume classique et si la cellulite ne les a pas encore envahies, elles ne se cachent pas leur crainte pour l'avenir. Mais pour leurs maris, elles sont "bien roulées" et après tout, c'est l'essentiel. Eux-mêmes sont plutôt bien bâtis car sportifs. Ils pratiquent régulièrement la nage avec palmes dans la même piscine. Leurs épouses sont fières de leur compagnie d'autant qu'ils "assurent" pour parler crûment. Elles aiment autant faire l'amour avec eux que l'inverse.
Précisément, ce jour-là, les deux couples se baignent dans la rivière, comme d'habitude. Ils portent un short de bain, elles un bikini ficelle qui masque l'essentiel. L'intimité amicale des deux couples est assez forte pour qu'Elise n'ait pas de réticence à se montrer très peu vêtue devant Germain et pareil pour Julie devant Kevin. Dans leur location commune, il leur arrive de se croiser entre chambre et salle de bain en petite tenue sans que cela leur pose problème. Chaque couple entend l'autre faire l'amour dans la chambre voisine sans que cela les choque. C'est même l'objet de plaisanteries le lendemain au petit-déjeuner, notamment avec l'imitation des cris de plaisir des deux femmes, qui en rient aussi.
Au sortir de l'onde, le corps d'Elise et Julie affiche une fermeté pulpeuse due à l'eau froide. Les pointes de seins d'Elise saillent sous le tissu léger du soutif avec arrogance. Le slip de Julie moule étroitement sa vulve de manière presqu'indécente et des poils bruns s'échappent au-dessus de l'élastique et au bord des cuisses. Les deux hommes, déjà sur la serviette, les observent avec admiration. Quelles femmes ! La sensualité incarnée ! Elles s'allongent à leur tour pour parfaire leur bronzage, tantôt sur le dos, tantôt sur le ventre en détachant le soutif, tout en papotant. Puis Julie propose une partie de badminton à Elise pour "bronzer actif". Et les voilà sur l'herbe en train d'échanger des coups de raquette.
Les deux hommes les observent à plat ventre. Les échanges de volant font virevolter seins et fesses entre extensions et cambrures. Le spectacle de ces femelles pulpeuses en mouvement laisse de moins en moins insensible les deux hommes :
- Bon dieux qu'elles sont belles, murmure Kevin.
- Tu parles. J'ai la gaule.
- Moi aussi.
- Tu as vu ces culs ? Dire qu'elles en ont honte. Moi, j'adore.
- T'as raison. Elles sont faites pour l'amour, moi je te le dis.
- C'est sûr. Elles aiment ça. On a intérêt à assurer si on veut les garder pour nous.
- Et si on leur proposait de baiser ?
- Là, sur l'herbe ?
- Ben oui.
- Tu crois qu'elles vont accepter de se faire mettre en dehors de la chambre ? L'une devant l'autre ?
- J'en sais rien mais ça vaut le coup d'essayer. Allez, on y va et on verra bien.
Les deux hommes se lèvent et se dirigent vers leurs épouses. L'excroissance sur leur short de bain ne laisse pas place au doute : ils bandent, et pas qu'un peu. Le premier réflexe d'Elise est de leur dire :
- Vous voulez jouer ?
Puis elle constate l'érection spectaculaire des deux maris et comprend vite leur intention, tout comme Julie, qui dit :
- Eh oh, qu'est-ce qui vous prend ? Calmez-vous !
Mais les deux hommes ont déjà enlacé leurs épouses, qui essaient de les frapper avec leur raquette en protestant :
- Arrêtez ! Laissez-nous jouer !
- Oui. Allez vous calmer dans la flotte !
Mais les maris connaissent leurs points faibles. Un bisou dans le cou pour l'une, une caresse des seins pour l'autre et pour les deux, le contact de la bite bien raide sur leur fessier. Kevin a dégagé facilement le frêle soutif d'Elise qui tombe dans l'herbe et sent les pointes dures sous ses paumes en mouvement. Germain a réussi à glisser une main dans le slip de Julie et son majeur a trouvé à travers la broussaille du pubis la fente qui s'humidifie au toucher. Les protestations faiblissent, elles se débattent moins fort, Julie exprime même un gloussement et Elise dit :
- Vous êtes deux gros cochons. Vous voulez qu'on rentre à la maison ?
- Non. On va vous baiser là, tout de suite.
Nouvelles protestations, mais cette fois, la voix d'Elise et Julie est rauque. Elles résistent mollement à la traction des deux hommes vers la serviette posée en plein soleil. Elles se laissent basculer et répondent aux baisers fougueux de leurs conjoints qui continuent à les peloter. Elles ont fini par s'emparer de la colonne de chair dégagée du short de bain. Elle est longue, dure, prête à l'emploi. Comment résister à un tel désir dispensateur de plaisir ? Finalement, la situation les excite aussi. Il ne s'agit plus cette fois d'entendre le couple ami baiser dans la chambre voisine mais de baiser devant lui. C'est une première. Voir comment l'autre fait l'amour et surtout le faire là, en plein soleil, sur l'herbe, en totale nudité, avec son mâle en superbe érection. Très excitant, non ? Leurs baisers se font plus voraces, leurs mains plus impatientes, elles dégoulinent de désir. L'envie de baiser les a saisies, irrépressible.
Sans se concerter, les deux hommes entament les ébats par un cunni prolongé. Les cuisses féminines se sont ouvertes en grand, comme par réflexe. Une femme qui a envie de baiser ouvre son compas, c'est mécanique. Le jus coule déjà sur le museau des deux lécheurs, fermement maintenu par deux mains aux ongles peints. Elise et Julie roucoulent sur la serviette, relevant parfois la tête pour observer à la fois celle de l'homme, source de leur plaisir et le couple voisin. Elles constatent qu'elles ont la même attitude : langue entre les lèvres, bouche soupirante, main sur la nuque du lécheur. Kevin s'est relevé le premier et expose son membre tendu, qu'Elise vient sucer avec volupté. Mais Germain entend une injonction péremptoire de Julie :
- Viens. Je suis en feu.
Et la brune est la première à être résolument et fougueusement baisée. Elle jappe, elle couine, elle rue dans les brancards, les pieds posés sur l'herbe pour bien répondre aux coups de queue de son mari. Elle baise. Kevin a interrompu son cunni pour observer le coït du couple ami. Il découvre Julie sous un angle évidemment inédit : ses ondulations, ses griffures, ses cheveux défaits étalés sur la serviette, ses seins roulant sur son torse, ses exclamations. Son extase.
- Baise-moi au lieu de mater !
Elise a rappelé Kevin à la réalité du moment. Elle est à quatre pattes, perpendiculairement au couple ami, et présente son cul joufflu, son sourire vertical, offert à la pine dressée de son mari. Comment résister à une telle invitation nonobstant le spectacle offert ? Du reste, Elise et Kevin vont continuer à regarder Julie et Germain tout en baisant eux-mêmes. La peau du bas-ventre de Kevin claque sur celle des fesses d'Elise, dont les halètements, les gémissements, les soupirs rejoignent ceux de Julie, désormais pliée en deux par Germain et profondément pénétrée, les pieds contre les oreilles de son mari.
Sur les serviettes, les positions s'enchainent. On se chevauche, on se prend par derrière, par devant, sur les côtés. On se lèche et on se suce entre deux cavalcades. On se fait durer pour prolonger le plaisir. On commente, on s'encourage, les bites sont célébrées. On observe même une pause pour permettre aux deux hommes de récupérer et on rit de la situation en s'excitant.
- Que tu es vulgaire quand tu baises ! dit Elise à Julie.
- Tu ne t'es pas entendue. Dommage que je n'ai pas enregistré, je pourrais te faire chanter.
- Vous êtes deux belles salopes, dit Germain.
- Ouais, on ne le dirait pas, vous cachez bien votre jeu, poursuit Kevin.
Rires encore. Les propos deviennent de plus en plus crus, autant chez les hommes que chez les femmes. Le mot "bite" revient souvent. Julie est la première, dans le feu de l'action, à demander à se faire "enculer". Elise ne veut pas être en reste. Elles n'ont jamais évoqué, dans leurs conversations de femmes, la question de la sodomie. Elles révèlent en situation l'une à l'autre leur goût pour cette posture que leur croupion généreux a stimulé chez leur conjoint depuis plusieurs années.
Elise est épatée par Germain, dont la bouche vient de se coller à l'anus de Julie. Il la lèche sans restriction abondamment, tout en lui masturbant le clito. Kevin ne lui a jamais fait ça et elle le lui dit. Il répond au défi et vient lui aussi poser sa langue contre le petit trou de son épouse, dont le fessier, en réaction, se couvre de chair de poule. Les deux femmes, face à face, continuent de s'observer. Elles ont le même visage un peu crispé, en attente de l'introduction. Les deux hommes entrent dans le rectum de leur épouse avec l'habileté due à l'expérience. Elles peuvent désormais se découvrir en train de se faire sodomiser en plein air. C'est à celle qui jubilera le plus fort. Les hommes sont survoltés. Les peaux claquent, les culs remuent en toupie, les seins s'agitent entre les bras tendus, les bouches féminines sont béantes, les yeux tantôt clos, tantôt écarquillés. Pour les deux hommes, la situation est devenue intenable. Impossible de ne pas gicler. Germain est le premier à tout lâcher en s'effondrant sur le dos bronzé de Julie.
- Vas-y, maintenant ! crie Elise à Kevin.
Enfin, il éjacule à son tour et Elise se cambre en bramant. Ils ont joui tous les quatre. Ils sont heureux, apaisés. Quelques minutes plus tard, nus, ils vont rincer leurs ébats dans l'eau froide de la rivière, encore étonnés de la scène qu'ils viennent de vivre et du plaisir qu'elle leur a procurée.
Le soir au dîner, encore tout excités, ils parlent de sexe, de leurs goûts, de leurs expressions dans l'amour. Il apparait rapidement qu'ils ont encore envie de baiser. C'est Elise qui dit :
- Et si on recommençait tous les quatre dans le même lit ?
La vaisselle est vite expédiée. Ils se frottent, les femmes gloussent, les hommes bandent, les voix sont rauques. Julie dégage le dessus d'un lit et dispose des serviettes de toilette pour absorber le sperme et ne pas tacher le matelas, qui ne leur appartient pas. Elise est déjà nue, elle s'est déshabillée dans sa chambre et bascule sur le lit, les quatre fers en l'air. Kevin la rejoint, la queue en avant. Ils ont déjà entamé un 69 quand Germain et Julie les rejoignent, eux aussi à poil. Et c'est un joyeux méli mélo de corps impatients, en fusion, dans un choc de peaux et dans un bruit mouillé de sexes joints.
Tout change quand Germain, prit d'une inspiration subite après s'être provisoirement détaché de Julie, tend sa queue à Elise, en train de se faire prendre en levrette. Elle l'embouche illico sous le regard étonné mais nullement courroucé de Julie, comme si cette évolution de leurs ébats relevait d'une logique. Du reste, Julie vient peloter les couilles de Kevin, qui se détache d'Elise et offre à son tour à la brune sa queue à sucer.
Dès lors, tout s'enchaine comme un fait irréversible. Germain pénètre Elise en missionnaire pendant que Kevin enfile Julie par derrière. Les deux couples ont basculé dans l'échangisme. Julie croise le regard d'Elise. Elle y lit l'extase qu'elle-même ressent. Cette totale transgression se poursuit dans différentes positions durant lesquelles les peaux des deux couples dissociés demeureront en contact étroit dans une odeur de sueur et de jus intime. Tous sont tellement ardents que le lit médiocre menace à tout instant de s'effondrer. C'est pourquoi Elise prend Germain par la main et l'entraine dans sa propre chambre, laissant son mari en train de se faire chevaucher par Julie dont la croupe décrit comme une série de 8. Elise adopte rapidement la même position et le même enthousiasme. Les portes des chambres sont restées ouvertes, les cris de plaisir des deux femmes se répondent en écho. Puis tout se calme. Les hommes ont éjaculé, les femmes ont pris leur pied, mais chacun reste là où le plaisir les a conduits. Elise dort avec Germain et Julie avec Kevin, poussant l'échangisme jusque dans le sommeil. Ils se retrouvent le lendemain matin au petit-déjeuner, le sourire aux lèvres, avant de commenter leurs ébats de la nuit et décréter que c'était "'une sacrée expérience".
Il leur reste une journée de vacances. Ils la passeront à nouveau au bord de l'eau, nus cette fois, mais sans copuler, comme s'ils étaient rassasiés. Le soir, les couples légitimes se retrouvent dans le lit conjugal redevenu calme. Ils sont convenus, dans la journée, que cette expérience inédite, pour enrichissante qu'elle fut, devait marquer au moins une pause. Pas question de ritualiser cet échangisme. Pour autant, ils se gardent de le décréter sans lendemain. L'essentiel est toutefois de conserver cette amitié devenue particulière. Collègues de travail, Germain et Kevin ne veulent pas non plus faire intervenir leur vie privée de manière excessive dans leurs rapports professionnels. Les deux femmes veulent aussi conserver leur complicité et continuer à faire du shopping ensemble. Mais chacun sait bien qu'un jour ou l'autre, les circonstances aidant, le désir se manifestant, ils se retrouveront à quatre dans le même lit.
La scène se déroule en été, au bord d'une petite rivière dans un coin tranquille, à l'abri des regards. Deux couples d'amis s'y rendent régulièrement pour se baigner et bronzer, même si l'eau est un peu froide. Ils ont la trentaine et ont laissé leurs enfants aux grands-parents le temps d'une semaine de farniente. Elise et Kevin, Julie et Germain sont bien installés dans la vie, les deux hommes sont même collègues de travail. Elise est châtain clair, plutôt petite. Julie est une vraie brune à cheveux longs souvent noués en chignon. Elles sont fort jolies l'une et l'autre mais assez peu satisfaites de leur corps qu'elles jugent "déséquilibré". Elles sont en effet assez fortes en fesses pour une poitrine d'un volume classique et si la cellulite ne les a pas encore envahies, elles ne se cachent pas leur crainte pour l'avenir. Mais pour leurs maris, elles sont "bien roulées" et après tout, c'est l'essentiel. Eux-mêmes sont plutôt bien bâtis car sportifs. Ils pratiquent régulièrement la nage avec palmes dans la même piscine. Leurs épouses sont fières de leur compagnie d'autant qu'ils "assurent" pour parler crûment. Elles aiment autant faire l'amour avec eux que l'inverse.
Précisément, ce jour-là, les deux couples se baignent dans la rivière, comme d'habitude. Ils portent un short de bain, elles un bikini ficelle qui masque l'essentiel. L'intimité amicale des deux couples est assez forte pour qu'Elise n'ait pas de réticence à se montrer très peu vêtue devant Germain et pareil pour Julie devant Kevin. Dans leur location commune, il leur arrive de se croiser entre chambre et salle de bain en petite tenue sans que cela leur pose problème. Chaque couple entend l'autre faire l'amour dans la chambre voisine sans que cela les choque. C'est même l'objet de plaisanteries le lendemain au petit-déjeuner, notamment avec l'imitation des cris de plaisir des deux femmes, qui en rient aussi.
Au sortir de l'onde, le corps d'Elise et Julie affiche une fermeté pulpeuse due à l'eau froide. Les pointes de seins d'Elise saillent sous le tissu léger du soutif avec arrogance. Le slip de Julie moule étroitement sa vulve de manière presqu'indécente et des poils bruns s'échappent au-dessus de l'élastique et au bord des cuisses. Les deux hommes, déjà sur la serviette, les observent avec admiration. Quelles femmes ! La sensualité incarnée ! Elles s'allongent à leur tour pour parfaire leur bronzage, tantôt sur le dos, tantôt sur le ventre en détachant le soutif, tout en papotant. Puis Julie propose une partie de badminton à Elise pour "bronzer actif". Et les voilà sur l'herbe en train d'échanger des coups de raquette.
Les deux hommes les observent à plat ventre. Les échanges de volant font virevolter seins et fesses entre extensions et cambrures. Le spectacle de ces femelles pulpeuses en mouvement laisse de moins en moins insensible les deux hommes :
- Bon dieux qu'elles sont belles, murmure Kevin.
- Tu parles. J'ai la gaule.
- Moi aussi.
- Tu as vu ces culs ? Dire qu'elles en ont honte. Moi, j'adore.
- T'as raison. Elles sont faites pour l'amour, moi je te le dis.
- C'est sûr. Elles aiment ça. On a intérêt à assurer si on veut les garder pour nous.
- Et si on leur proposait de baiser ?
- Là, sur l'herbe ?
- Ben oui.
- Tu crois qu'elles vont accepter de se faire mettre en dehors de la chambre ? L'une devant l'autre ?
- J'en sais rien mais ça vaut le coup d'essayer. Allez, on y va et on verra bien.
Les deux hommes se lèvent et se dirigent vers leurs épouses. L'excroissance sur leur short de bain ne laisse pas place au doute : ils bandent, et pas qu'un peu. Le premier réflexe d'Elise est de leur dire :
- Vous voulez jouer ?
Puis elle constate l'érection spectaculaire des deux maris et comprend vite leur intention, tout comme Julie, qui dit :
- Eh oh, qu'est-ce qui vous prend ? Calmez-vous !
Mais les deux hommes ont déjà enlacé leurs épouses, qui essaient de les frapper avec leur raquette en protestant :
- Arrêtez ! Laissez-nous jouer !
- Oui. Allez vous calmer dans la flotte !
Mais les maris connaissent leurs points faibles. Un bisou dans le cou pour l'une, une caresse des seins pour l'autre et pour les deux, le contact de la bite bien raide sur leur fessier. Kevin a dégagé facilement le frêle soutif d'Elise qui tombe dans l'herbe et sent les pointes dures sous ses paumes en mouvement. Germain a réussi à glisser une main dans le slip de Julie et son majeur a trouvé à travers la broussaille du pubis la fente qui s'humidifie au toucher. Les protestations faiblissent, elles se débattent moins fort, Julie exprime même un gloussement et Elise dit :
- Vous êtes deux gros cochons. Vous voulez qu'on rentre à la maison ?
- Non. On va vous baiser là, tout de suite.
Nouvelles protestations, mais cette fois, la voix d'Elise et Julie est rauque. Elles résistent mollement à la traction des deux hommes vers la serviette posée en plein soleil. Elles se laissent basculer et répondent aux baisers fougueux de leurs conjoints qui continuent à les peloter. Elles ont fini par s'emparer de la colonne de chair dégagée du short de bain. Elle est longue, dure, prête à l'emploi. Comment résister à un tel désir dispensateur de plaisir ? Finalement, la situation les excite aussi. Il ne s'agit plus cette fois d'entendre le couple ami baiser dans la chambre voisine mais de baiser devant lui. C'est une première. Voir comment l'autre fait l'amour et surtout le faire là, en plein soleil, sur l'herbe, en totale nudité, avec son mâle en superbe érection. Très excitant, non ? Leurs baisers se font plus voraces, leurs mains plus impatientes, elles dégoulinent de désir. L'envie de baiser les a saisies, irrépressible.
Sans se concerter, les deux hommes entament les ébats par un cunni prolongé. Les cuisses féminines se sont ouvertes en grand, comme par réflexe. Une femme qui a envie de baiser ouvre son compas, c'est mécanique. Le jus coule déjà sur le museau des deux lécheurs, fermement maintenu par deux mains aux ongles peints. Elise et Julie roucoulent sur la serviette, relevant parfois la tête pour observer à la fois celle de l'homme, source de leur plaisir et le couple voisin. Elles constatent qu'elles ont la même attitude : langue entre les lèvres, bouche soupirante, main sur la nuque du lécheur. Kevin s'est relevé le premier et expose son membre tendu, qu'Elise vient sucer avec volupté. Mais Germain entend une injonction péremptoire de Julie :
- Viens. Je suis en feu.
Et la brune est la première à être résolument et fougueusement baisée. Elle jappe, elle couine, elle rue dans les brancards, les pieds posés sur l'herbe pour bien répondre aux coups de queue de son mari. Elle baise. Kevin a interrompu son cunni pour observer le coït du couple ami. Il découvre Julie sous un angle évidemment inédit : ses ondulations, ses griffures, ses cheveux défaits étalés sur la serviette, ses seins roulant sur son torse, ses exclamations. Son extase.
- Baise-moi au lieu de mater !
Elise a rappelé Kevin à la réalité du moment. Elle est à quatre pattes, perpendiculairement au couple ami, et présente son cul joufflu, son sourire vertical, offert à la pine dressée de son mari. Comment résister à une telle invitation nonobstant le spectacle offert ? Du reste, Elise et Kevin vont continuer à regarder Julie et Germain tout en baisant eux-mêmes. La peau du bas-ventre de Kevin claque sur celle des fesses d'Elise, dont les halètements, les gémissements, les soupirs rejoignent ceux de Julie, désormais pliée en deux par Germain et profondément pénétrée, les pieds contre les oreilles de son mari.
Sur les serviettes, les positions s'enchainent. On se chevauche, on se prend par derrière, par devant, sur les côtés. On se lèche et on se suce entre deux cavalcades. On se fait durer pour prolonger le plaisir. On commente, on s'encourage, les bites sont célébrées. On observe même une pause pour permettre aux deux hommes de récupérer et on rit de la situation en s'excitant.
- Que tu es vulgaire quand tu baises ! dit Elise à Julie.
- Tu ne t'es pas entendue. Dommage que je n'ai pas enregistré, je pourrais te faire chanter.
- Vous êtes deux belles salopes, dit Germain.
- Ouais, on ne le dirait pas, vous cachez bien votre jeu, poursuit Kevin.
Rires encore. Les propos deviennent de plus en plus crus, autant chez les hommes que chez les femmes. Le mot "bite" revient souvent. Julie est la première, dans le feu de l'action, à demander à se faire "enculer". Elise ne veut pas être en reste. Elles n'ont jamais évoqué, dans leurs conversations de femmes, la question de la sodomie. Elles révèlent en situation l'une à l'autre leur goût pour cette posture que leur croupion généreux a stimulé chez leur conjoint depuis plusieurs années.
Elise est épatée par Germain, dont la bouche vient de se coller à l'anus de Julie. Il la lèche sans restriction abondamment, tout en lui masturbant le clito. Kevin ne lui a jamais fait ça et elle le lui dit. Il répond au défi et vient lui aussi poser sa langue contre le petit trou de son épouse, dont le fessier, en réaction, se couvre de chair de poule. Les deux femmes, face à face, continuent de s'observer. Elles ont le même visage un peu crispé, en attente de l'introduction. Les deux hommes entrent dans le rectum de leur épouse avec l'habileté due à l'expérience. Elles peuvent désormais se découvrir en train de se faire sodomiser en plein air. C'est à celle qui jubilera le plus fort. Les hommes sont survoltés. Les peaux claquent, les culs remuent en toupie, les seins s'agitent entre les bras tendus, les bouches féminines sont béantes, les yeux tantôt clos, tantôt écarquillés. Pour les deux hommes, la situation est devenue intenable. Impossible de ne pas gicler. Germain est le premier à tout lâcher en s'effondrant sur le dos bronzé de Julie.
- Vas-y, maintenant ! crie Elise à Kevin.
Enfin, il éjacule à son tour et Elise se cambre en bramant. Ils ont joui tous les quatre. Ils sont heureux, apaisés. Quelques minutes plus tard, nus, ils vont rincer leurs ébats dans l'eau froide de la rivière, encore étonnés de la scène qu'ils viennent de vivre et du plaisir qu'elle leur a procurée.
Le soir au dîner, encore tout excités, ils parlent de sexe, de leurs goûts, de leurs expressions dans l'amour. Il apparait rapidement qu'ils ont encore envie de baiser. C'est Elise qui dit :
- Et si on recommençait tous les quatre dans le même lit ?
La vaisselle est vite expédiée. Ils se frottent, les femmes gloussent, les hommes bandent, les voix sont rauques. Julie dégage le dessus d'un lit et dispose des serviettes de toilette pour absorber le sperme et ne pas tacher le matelas, qui ne leur appartient pas. Elise est déjà nue, elle s'est déshabillée dans sa chambre et bascule sur le lit, les quatre fers en l'air. Kevin la rejoint, la queue en avant. Ils ont déjà entamé un 69 quand Germain et Julie les rejoignent, eux aussi à poil. Et c'est un joyeux méli mélo de corps impatients, en fusion, dans un choc de peaux et dans un bruit mouillé de sexes joints.
Tout change quand Germain, prit d'une inspiration subite après s'être provisoirement détaché de Julie, tend sa queue à Elise, en train de se faire prendre en levrette. Elle l'embouche illico sous le regard étonné mais nullement courroucé de Julie, comme si cette évolution de leurs ébats relevait d'une logique. Du reste, Julie vient peloter les couilles de Kevin, qui se détache d'Elise et offre à son tour à la brune sa queue à sucer.
Dès lors, tout s'enchaine comme un fait irréversible. Germain pénètre Elise en missionnaire pendant que Kevin enfile Julie par derrière. Les deux couples ont basculé dans l'échangisme. Julie croise le regard d'Elise. Elle y lit l'extase qu'elle-même ressent. Cette totale transgression se poursuit dans différentes positions durant lesquelles les peaux des deux couples dissociés demeureront en contact étroit dans une odeur de sueur et de jus intime. Tous sont tellement ardents que le lit médiocre menace à tout instant de s'effondrer. C'est pourquoi Elise prend Germain par la main et l'entraine dans sa propre chambre, laissant son mari en train de se faire chevaucher par Julie dont la croupe décrit comme une série de 8. Elise adopte rapidement la même position et le même enthousiasme. Les portes des chambres sont restées ouvertes, les cris de plaisir des deux femmes se répondent en écho. Puis tout se calme. Les hommes ont éjaculé, les femmes ont pris leur pied, mais chacun reste là où le plaisir les a conduits. Elise dort avec Germain et Julie avec Kevin, poussant l'échangisme jusque dans le sommeil. Ils se retrouvent le lendemain matin au petit-déjeuner, le sourire aux lèvres, avant de commenter leurs ébats de la nuit et décréter que c'était "'une sacrée expérience".
Il leur reste une journée de vacances. Ils la passeront à nouveau au bord de l'eau, nus cette fois, mais sans copuler, comme s'ils étaient rassasiés. Le soir, les couples légitimes se retrouvent dans le lit conjugal redevenu calme. Ils sont convenus, dans la journée, que cette expérience inédite, pour enrichissante qu'elle fut, devait marquer au moins une pause. Pas question de ritualiser cet échangisme. Pour autant, ils se gardent de le décréter sans lendemain. L'essentiel est toutefois de conserver cette amitié devenue particulière. Collègues de travail, Germain et Kevin ne veulent pas non plus faire intervenir leur vie privée de manière excessive dans leurs rapports professionnels. Les deux femmes veulent aussi conserver leur complicité et continuer à faire du shopping ensemble. Mais chacun sait bien qu'un jour ou l'autre, les circonstances aidant, le désir se manifestant, ils se retrouveront à quatre dans le même lit.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Heureux de retrouver cet angle d'approche de l'exhibitionnisme et de échangisme propre au histoires de Micky. Le déroulement des situations et des actions sont, comme d'habitude,décrit avec soin et prend le lecteur et lectrice par la main pour le conduire vers un état d'excitation qui est inévitable.
Encore, encore...
Encore, encore...
Youpi, revoici Micky et ses récits.
Toujours très excitant, sans aucune vulgarité. On a vraiment envie de vivre ces aventures.
Continuez à nous faire fantasmer et merci.
Toujours très excitant, sans aucune vulgarité. On a vraiment envie de vivre ces aventures.
Continuez à nous faire fantasmer et merci.
Très belle histoire, torride à souhait, sur l'Amour et l'échangisme. Bien écrit, ni vulgaire, comme toujours avec Micky.
Didier
Didier
Voila un beau récit qui en dit long sur la manière dont un couple fidèle ami d'un autre couple fidèle bascule dans l'exhibitionnisme puis dans l'échangisme... c'est doux et bien décrit. Vivement la suite
Merci Micky pour ce superbe texte échangiste! Je me suis mise à la place de ces deux femmes!