Deux troublantes confessions

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Deux troublantes confessions Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Deux troublantes confessions
‌‌La scène se passe sur un banc public. Micheline et Viviane, deux femmes d'âge mûr, ont l'habitude de s'y retrouver pour évoquer divers sujets tout en regardant les gens passer. Micheline est mariée, Viviane divorcée et ont pris l'habitude d'exposer l'une à l'autre leur vie intime. Elles appartiennent à une génération qui a eu une vie sexuelle active, sans tabous, bien éloignée de celle d'aujourd'hui. Elles aiment les hommes, en général et en particulier. Elles sont d'ailleurs mères de fils adultes.
Ce jour là, Viviane est curieuse. Sa question à Micheline est directe :
- Dis-moi, Michou, quand est-ce que tu as découvert le sexe, le vrai sexe ?
- Tu veux dire en pratique ?
- Oui mais avant ça : par les livres érotiques ?
- Non, pas par les livres mais par une scène dont j'ai été involontairement témoin. Et elle concerne... mes parents.
- Quoi ? Tu as vu tes parents faire l'amour ? En voyeuse ?
- C'est plus compliqué que ça. Que je te raconte. Je venais d'avoir dix-huit ans, j'étais encore vraiment nunuche, genre bonne élève studieuse éloignée des garçons, et je n'avais pas encore vu le loup. Ma mère m'avait informée que les enfants ne se faisaient pas dans les choux et je savais qu'il fallait en passer par l'accouplement, mais je n'en avais qu'une idée assez vague, plus abstraite que concrète. A l'époque, je me masturbais beaucoup. J'avais pris conscience de mon sexe mais les moindres tentatives de mes petits copains, je les repoussais, plus par peur qu'autre chose.

Un jour que je devais aller en classe, mon prof était absent et j'ai dû rentrer à la maison bien avant l'heure habituelle. En voulant entrer dans ma chambre, j'ai entendu quelque chose qui ressemblait à un sanglot dans celle de mes parents. Il se trouve qu'à ce moment, mon père était en congé et ma mère ne travaillait pas. Mon père faisait-il pleurer ma mère ? Je n'y croyais pas car ils s'aimaient vraiment. Il y avait au-dessus de la chambre une vitre qui donnait sur une remise. J'y suis entrée, prit l'escabeau et je montai dessus pour voir de quoi il retournait. Et là, j'ai vu.
- Tu as vu ton père et ta mère baiser
- C'est le mot. Ils baisaient. Mon père était à genoux sur le lit et léchait le sexe de ma mère qui lui tenait la nuque en gémissant. Je n'aurais jamais cru qu'on puisse faire ça, lécher le sexe d'une femme et que cette femme, en l'occurrence ma mère, y prit un tel plaisir visible. Mais ce n'étaient que les préliminaires. J'ai vu ensuite pour la première fois le pénis de mon père, en pleine érection. J'en ai mis la main sur la bouche tellement j'ai été choquée. Il était gros, monumental même, indécent à mes yeux de vierge. Il était toujours à genoux, ma mère s'est relevée et l'a mis en bouche en lui massant les testicules. Autre choc. Sucer le sexe masculin avec autant de volupté évidente me parut aussi indécent que le cunnilingus, mot dont j'ai appris le sens beaucoup plus tard.

- Tu étais vraiment une vierge effarouchée, Michou, alors que c'est si bon.
- Je ne le savais pas encore, tu penses bien, Vivi. Mais la suite me tourneboula encore plus. La vitre donnait sur le lit dans le sens de la longueur. J'ai entendu clairement ma mère dire : "baise-moi maintenant, je suis à point". Rien que ce mot, déjà, me choquait dans la bouche de ma mère. Mon père était un homme à la virilité très voyante, il avait beaucoup de poils et ma mère ne se rasait pas le pubis, à l'époque c'était inconcevable. Je l'ai vu la brouter encore un peu, ma mère haletait et il est venu la pénétrer. J'ai découvert alors la réalité de l'acte sexuel dans sa traduction la plus crue. Le cul poilu de mon père remuait avec ardeur, les mains de ma mère crispées dessus, comme pour le stimuler. Je voyais ses grosses couilles balloter en cadence, c'était d'une crudité renversante à tel point que j'ai failli tomber de l'escabeau.

- Tu aurais pu te retirer à ce moment là. Tu en avais assez vu, non ?
- Oui certes, mais j'étais fascinée par le spectacle. Et je n'avais encore rien vu. Mon père s'est relevé, sa virilité toujours aussi exacerbée. Ma mère lui a mis encore quelques coups de langue sur le gland avec un regard qui en disait long sur son désir, pour ne pas dire son animalité. Je ne la reconnaissais pas et je la reconnus encore moins quand elle se mit à quatre pattes, face à la vitre derrière laquelle je me cachais. J'ai eu peur qu'elle me découvre et je me suis baissée vivement. Quand je me suis relevée, mon père était derrière elle, à genoux encore et lui assénait des coups de bite tellement virulents que les seins de ma mère en gigotaient comme deux balanciers de pendule Mais c'est leurs visages qui me fascinaient. Ma mère se passait la langue sur les lèvres, se les mordait, manifestait un plaisir intense tandis que mon père était concentré, crispé même, tout en lui pétrissant les hanches. A un moment, elle a tourné sa tête vers lui pour lui dire quelques mots difficilement compréhensibles d'où j'étais mais j'ai compris "grosse bite" et "t'arrête pas surtout".
- Ils baisaient tes parents, c'est clair. C'était au-delà de l'amour conjugal, ce que tu voyais.
- Tu l'as dit et ça m'a marquée à vie. Et encore plus quand mon père s'est couché et ma mère est venue s'empaler sur lui. D'abord de dos et j'ai vu ses grosses fesses remuer tandis que, ô stupeur, mon père lui mettait le pouce dans l'anus.
- J'adore ça, moi. Continue.

- Puis elle s'est retournée et s'est mise sur ses pieds pour s'empaler à nouveau. D'où j'étais, j'entendais leurs peaux claquer tellement elle y mettait du coeur à l'ouvrage. Là encore, visage en extase et j'avoue que chaque fois que j'ai adopté cette position, j'ai pensé à elle, au plaisir qu'elle y avait pris avec mon père. Je crois qu'on ne ressent jamais aussi bien la bite que dans cette position.
- Je confirme. Mais dis-moi, ça durait, leurs ébats...
- Tu parles. Après ça, ils se sont quand même interrompus; assis en se branlant mutuellement et en se disant des mots que je n'entendais pas. Puis ils se sont mis en travers du lit, mon père debout au bord. Grâce à vue latérale, j'ai pu observer l'activité de son pénis qui entrait et sortait du sexe de ma mère à une cadence de plus en plus rapide. Là, je voyais l'accouplement dans tout son réalisme, sa crudité, ce sexe mâle qui entrait et sortait tandis que ma mère talonnait les reins de mon père pour le forcer à continuer, à aller loin en elle. Puis ils ont joui ensemble et j'ai vu mon père éjaculer, autre révélation, et arroser ma mère de son sperme qui en a porté dans ses doigts pour le lécher. Dégueulasse, je trouvais. Je suis vite descendue de mon escabeau et j'ai attendu dans la cuisine qu'ils sortent. Ils y sont arrivés encore complètement nus et ils ont été surpris de me voir. Ils ont couru se rhabiller et ma mère s'est excusée d'une manière très embarrassée. Elle se doutait que j'avais compris. Mais je ne lui ai jamais rien dit, j'avais trop honte de moi-même, d'avoir été la voyeuse de mes parents en train de faire l'amour. Enfin, de baiser...

- Ne te plains pas trop. Tes parents au moins, ils s'aimaient alors que les miens, ils n'arrêtaient pas de s'engueuler et ils ne baisaient sûrement pas, en tout cas ensemble.
- Tu as raison. Et après, il s'est passé quoi ?
- Eh ben, je n'ai eu qu'une hâte, connaitre la même chose. J'ai eu la chance d'être dépucelée par un homme mûr, un ami de mon père, qui m'a vraiment fait connaitre le plaisir dans toute sa crudité. Comme j'avais vu ma mère baiser, je n'avais plus honte. Mais toi, le vrai sexe, c'est quand que tu l'as découvert ?

- C'était différent. A ton âge, j'étais déjà dépucelée mais je n'ai été vraiment satisfaite que beaucoup plus tard.
- Avec ton mari ?
- Non, après mon divorce. Je m'étais mariée jeune et mes rapports ne relevaient que du devoir conjugal. Tout a été différent quand j'ai rencontré Sébastien au cours d'une soirée entre amis. On est vite devenus amants. Il était vraiment cochon et on baisait comme baisaient tes parents. Une vraie révélation alors que j'avais déjà la trentaine. A tel point qu'il a voulu me faire découvrir un sauna libertin. C'est là que je suis vraiment entrée dans le monde du cul. Il n'était que temps, j'étais en train de m'étioler.
- Ah raconte ! Je n'ai jamais essayé ça.
- A dire vrai, je n'étais pas chaude mais Sébastien insistait. Imagine. On rentre, Seb paye, on se met à poil sous un peignoir et on se balade dans un labyrinthe avec plein de couples en goguette et quelques hommes seuls qui te reluquent avec concupiscence. J'étais un peu mal à l'aise mais je me suis sentie mieux à la piscine. Quand j'ai vu un type debout dans l'eau lécher la chatte d'une fille assise au bord, j'ai vraiment compris où j'avais mis les pieds. Seb m'a proposé le même traitement et je me suis laissée faire. En même temps, je voyais des couples baiser dans l'eau et j'ai commencé sérieusement à m'échauffer. Un type est venu et a demandé la permission à Seb de me lécher aussi. Et je me suis retrouvée avec un illustre inconnu en train de me faire un cunni. C'est à ce moment là que j'ai vraiment basculé dans un autre monde sexuel.

- Tu as joui ?
- Ben oui, c'est ça le plus fort. Seb m'a alors relevée et m'a entrainée dans ce qu'on appelle le "glory hole", c'est à dire des trous ou des mecs mettent leur bite pour se faire sucer de l'autre côté, par des hommes ou par des femmes. Il faut te dire que j'adore la fellation. Seb le savait, le coquin. J'ai donc sucé et même provoqué deux éjaculations, comme quoi je m'y prenais plutôt bien. Bref, j'étais dans l'ambiance.
- Et Seb ne disait rien ? Cela ne lui faisait ni chaud ni froid de te voir sucer des mecs ?
- Au contraire, ça l'excitait. A l'époque, j'étais moins ronde que maintenant, j'étais plutôt pas mal et on a commencé à me tourner autour. Moi, j'étais mûre pour baiser, mais avec Seb. Il m'a guidée vers ce qu'on appelle un coin câlin, où il y avait déjà un couple en pleine action. Une femme blanche d'entre deux âges et un homme noir, plus jeune, superbement monté. La femme prenait un panard énorme et je n'avais plus qu'une hâte, c'est d'être baisée à mon tour, même à côté d'un autre couple, ce qui était une première pour moi. Seb m'a prise sans préliminaire tellement j'étais mûre. Je voyais qu'on nous regardait, des hommes et des femmes, et ça m'a vraiment excitée. Je me suis découverte exhib.

- Bon, l'expérience était donc réussie.
- Attends, ce n'est pas fini. Seb me prenait en levrette quand il s'est retiré et qui est venu ? Le Noir ! J'ai senti tout de suite la différence quand il est entré. Sa grosse bite m'a littéralement dévastée tandis que Seb se faisait sucer par la femme entre deux âges en me regardant. Je ne m'en suis pas rendue compte sur le moment mais j'ai gueulé sans pour autant me dégager, au contraire. Je n'avais jamais eu une sensation pareille, d'être aussi bien remplie. J'ai eu un énorme orgasme à tel point qu'il y a eu des applaudissements des voyeurs. Seb a baisé la femme et a éjaculé. Il avait son compte. Mais pas moi.
- Quoi ? Tu avais encore envie après ce traitement ?
- Ben oui. Je n'étais plus moi-même. J'avais un véritable incendie dans le bas-ventre. J'ai voulu ranimer Seb en le suçant mais il m'a dit stop et m'a sortie du coin câlin pour me conduire à un truc bizarre, une vieille bagnole désossée où une sorte de lit avait été installé. Deux mecs m'avaient suivie et Seb leur a dit : baisez-la, elle n'attend que ça.
- Eh ben dis donc, ton petit copain, il n était pas fier.
- Il était surtout très vicieux, ça l'excitait autant de me voir baiser avec d'autres que me baiser lui-même. C'était ça pour lui, le cul, et ça a été ça pour moi aussi par la suite. Tu me demandais qu'elle avait été ma révélation du sexe, eh ben, c'était ça. J'ai eu alors un traitement que je n'aurais jamais imaginé. Sous les directives de Seb, les gars m'ont fait une double.
- Une double ?
- Oui, un dans ma chatte, un dans mon cul, pendant une figure un peu compliquée dont je te passe les détails.

- Et tu as supporté ça ?
- Vaillamment, vu que j'étais un peu stone, mais sans drogue, je tiens à te le dire. J'ai dû ameuter tout le sauna car il y avait un attroupement autour de la bagnole. Les mecs se paluchaient, les filles se branlaient le clito et les pointes de seins en nous regardant. Les deux gars ont fini par gicler dans leur capote et je me suis écroulée, vannée. Seb m'a raccompagnée chez moi et j'ai dormi dix heures d'affilée.
- Eh ben, quelle histoire, j'en suis toute mouillée. Tu m'as donné envie, tiens, mais ce n'est plus de mon âge, hélas.
- Ni le mien et d'ailleurs, j'ai recommencé une ou deux fois avec Michel, mon amant belge, quand il venait me voir. Il est libertin, on se voit de temps en temps, tantôt chez lui, tantôt chez moi, mais on a arrêté le sauna. Pas l'exhib, on baise parfois à la plage naturiste, un peu cachés mais pas trop...
- On peut dire que Seb t'a bien décoincée... Tu le vois encore ?
- Que veux tu, la chair est faible et je suis souvent seule. Mais ce n'est plus une liaison. Il a eu le grand mérite de me faire découvrir mon corps.
- C'est à ce moment là que je t'ai connue. Tu avais vraiment le chaud aux fesses.
- J'étais libre après mon divorce, je voulais profiter de ma liberté sexuelle. Mais je me suis calmée, tu le sais.
- Oui, enfin, c'est toi qui le dis. Tu baises encore.
- Sûrement moins souvent que toi avec ton mari.
- Je n'ai pas à me plaindre, c'est vrai. On n'a jamais été aussi cochons. Quand je pense à toutes ces jeunesses qui font des manières...
- M'en parle pas. Ma belle-fille est choquée que je baise encore. On est née au bon moment, tiens.
- Tout à fait. Bon, il se fait tard, il va falloir rentrer et si monsieur est là, je vais lui faire une surprise. Tu m'as mis le feu.
- Alors, amuse-toi bien. Tu me raconteras, hein ?
- Promis. Allez, bisous et à la prochaine au même endroit.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
C'est encore un superbe texte sur la sexualité féminine, comme sait si bien les écrire Micky...

Histoire Erotique
rgsfdsdfsd

Ce sont en effet des confessions très troublantes, qui ne me laissent pas indifférente. Il est exact que l'on n'oublie pas sa première expérience.
La plume si talentueuse de Micky nous les décrit de telle sorte que nous avons l'impression d'y assiter en direct, en témoins privilégiés.
Quel dommage de ne plus pouvoir doter une note à de tels textes. ce serait 20 évidemment!



Texte coquin : Deux troublantes confessions
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