Dîner chez les T...

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Dîner chez les T... Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Dîner chez les T...
Comme convenu je suis avec ma mère, au rendez-vous chez les T… J’ai vécu les jours qui nous séparent de ce jour, avec une attente insupportable. Nous sommes reçus dans un premier temps par la mère, Anne.
Une dizaine d’années sont déjà passé depuis notre dernière rencontre. Quoique marqué par le temps, le visage de Madame T… Anne de son prénom. Elle conserve tout de même une expression mutine. Elle a des cheveux argentés, fournis, coupés court. Malgré les rides autour de sa bouche et sur ses joues, ses traits sont fins et réguliers. De sorte qu’au premier abord et en dépit de son âge, cette femme est très avenante.
-Mais entrée donc, vous n’allez pas rester là ! S’amuse-t-elle à nous lancer.
Et nous la suivant dans le salon où nous attends le mari Jean, la fille Valérie avec son époux dont je n’ai pas retenu son prénom et que je nommerais Henri. Je souris à Valérie pour qu’elle sourie à son tour, tant elle je la sens affétée de notre rencontre. Tout le long de l’apéritif elle m’observe à la dérobée. Je la contemple sur son teint et sur sa beauté. Je l’étudie avec intérêt.
Au fil des minutes, j’hésite sur la conduite à tenir. Surtout de ne pas parler du temps passé. A quoi bon ! Nous avons mieux à faire. Elle est d’une sensualité dévorante. Je sens au bout d’une bonne heure, le regard de Valérie constamment sur moi. Elle est vêtue ce soir-là d’une robe de soirée moulante, et ses jambes gainées de nylon rouge, des bottes en daim aux pieds. Quand elle se penche en avant je distingue les marques de sa culotte qu’elle porte dessous.
Comme un fait exprès c’est Valérie qui a décidé qu’on dînera aux chandelles. Et le hasard fait que je suis placé à sa droite. Au cours du dîner, voilà que la coquine ne tarde pas de poser la main sur mon genou et d’une voix changée, me parle tout bas à l’oreille.
-Tout cela me donne une drôle d’envie.
-Oh ! Ton mari ?
-Eh alors, c’est plus excitant tu ne trouve pas ?
Comme elle le faisait jadis, la voilà qu’elle me déboutonne la braguette. Malgré les risques autour de nous, je ne peux résister à cela. Et très vite elle se met à me masser doucement la queue.
-Ne t’inquiète pas ! me murmure-t-elle, la faible lueur que diffusent les bougies, on ne risque pas de voir ce qui se passe sous la table. Mais bon, si tu as peur, j’arrête !
Très vite me viens en mémoire des souvenirs excitant, entre elle et moi, des jeux pervers inventés par elle.
-Surtout pas ! Je m’entends lui dire.
Et je me suis laissé entraîner par le tourbillon pervers.
-Je vois que les années ne t’ont pas calmée de ce côté ! Me fait-elle.
-Je peux en dire de même pour ta part !
-Je parie que tu n’oseras pas faire comme moi.
Piqué au vif, je pose ma main sur son genou gainée, et la fait glisser jusqu’à atteindre sa fourche. Elle ne porte pas de culotte sous son collant. La chatte s’ouvre sous mes doigts, et je sens tout de suite la source qui coule en son centre. Je ne peux m’empêcher de jeter un coup d’œil du côté du mari pour le voir tenir la conversation à son beau-père.
Sa caresse se fait moins mécanique plus vicieuse.
-On aime toujours ça, hein ? Me murmure-t-elle.
Je frictionne pour ma part son sexe à travers le nylon de plus en plus imbibé de plaisir.
-Tu vois dans l’état où tu me mets ! Lâche-t-elle alors que sa main va et vient sur ma hampe bandée.
Je lutte contre le plaisir. Mais instinctif je pousse tout de même ma verge enflammée dans la main.
-C’est bien ! M’encourage-t-elle.
Dans sa voix, se mêlent la méchanceté et la douceur. Elle retrousse le prépuce sans précaution pour me faire mal, sa caresse est en même temps une punition. Elle me branle, et me branle. Le plaisir tremble dans mes reins, sur le point de gicler. De mon côté, je masse avec deux doigts, son bouton à travers le nylon devenue une serpillère.
-Tu aimes ça ? Me murmure-t-elle à l’oreille.
-Oui, j’aime ça !
-Cochon !
-Et toi, cochonne ?
-Je sens que je vais jouir !
-Grosse salope !
-Oui ! Oui ! Oui !
Elle se déhanche. Je l’entends sangloter, et plus rien. Et cela jusqu’à ce que le désert soit servie, où elle me chuchote :
-Je compte sur toi pour venir me rendre une visite dans la nuit, enfin si cela est ton souhait !
-Mais il n’est pas question que nous restons.
-C’est bien ce qu’on va voir !
Et là je l’entends interpeler sa mère :
-Maman !
-Oui ma chérie de fille, je t’écoute.
-Tu ne penses pas qu’il serait sage que tout le monde reste dormir ce soir ici ?
-Il faut absolument qu’en reprenne la route ! Répond ma mère.
-Mais il n’en est pas question, lâche Anne, la petite à raison !
-Mais il ne faut pas que cela vous dérange ! Ajoute ma mère.
-Où allez-vous chercher cela.
-Alors, ce serait avec plaisir ! Adjoint ma mère.
Valérie pas mécontente d’elle, me regarde en coin et secoue la tête.
-Toi, tu ne perds pas le nord ! Lui fais-je. Et ton mari, tu en fais quoi ?
Elle me regarde un moment en secouant la tête.
-T’inquiète, j’en fais mon affaire.
-C'est-à-dire ?
-Il dormira !
-Qu’est-ce que tu en sais ?
-Je vais tout faire pour cela ! Et crois moi je suis devenue une experte !
-Décidément, tu n’as pas changé malgré les années, tu as toujours de la suite dans les idées.
-Tâche d’être au rendez-vous, je ne tiens plus !
Je sors de ma chambre et m’avance à pas de loup traverse le couloir pour accéder aux chambres. J’entends encore la voix de Valérie me préciser. Deuxième porte à droite. Je repousse le battant juste assez pour jeter un œil à l’intérieur. Mais je ne vois rien. Tant la chambre se trouve sous son manteau noir.
Je m’avance alors à tâtons jusqu’au côté droit du lit comme convenu, me cognant aux meubles. Je m’agenouille et m’annonce.
-Valérie… Valérie c’est moi comme convenue…
-Oui répond une voix lointaine. Qui passe ses bras autour de mon cou, et écrase sa bouche sur la mienne.
Notre baiser dure longtemps. Ma main se pose sur sa jambe. Elle cède sans mal au jeu. Mes doigts poursuivent leur progression le long de sa cuisse. Je fais une halte étudiant son grain de peau pour une fois nue. Puis glisse sur l’entrejambe pour m’apercevoir qu’elle porte une culotte. Cela m’étonne un instant, mais très vite je mets cela sur le compte du mari ! Ses cuisses s’écartent. Elle me permet ainsi d’effleure les petites lèvres. Une bonne chaleur irradie mon bas-ventre. Mes doigts poursuivent leur exploration. Elle les autorise qu’ils pénètrent son vagin. J’étale sa mouille sur son anus pour y enfoncer mon pouce.
Je m’incline au-dessus de ses cuisses. Je descends sa culotte. Je lèche sa chatte d’une langue hardie. Tour à tour consistante et pointue, évasé et sucrée. J’excite, pourlèche, harcelant son bouton, obligeant sa jouissance.
Les soupirs qu’elle lâche alors que je savoure sa vulve décuple mon plaisir de faire bien. Je branle toujours son trou du cul, alors qu’elle frotte sa vulve à mes lèvres. Je pense vraiment que Valérie est de plus en plus vicieuse et qu’elle aime ce qu’elle est.
J’ai rarement vue une femme dans un tel état ! Je caresse sa poitrine. Je goûte à ses mamelons dilatés. La même vois lointaine m’ordonne de la prendre. Alors je grimpe sur le lit, et pointe ma queue vers sa chatte. Je m’amuse un peu à parcourir sa féminité avec le bout de mon gland, avant de la pénétrer sans difficulté, d’un seul coup. Elle salut cet envahissement d’un long soupir. Je réalise alors l’intensité de son excitation. Son vagin est littéralement inondé. Les parois sont élastiques. Ils vibrent, réagissent au moindre attouchement.
Ma queue est comme aspiré, massé par ses chairs dévorantes et j’ai l’impression que ses dimensions augmentent. Après cette entrée en fanfare, je la ramone, sortant presque complètement de son doux étui à chaque retour. Je me penche en avant pour me réapproprier ses seins. Le mouvement de mon sexe ne perd rien de son ampleur. Le plaisir finit par la submerger. Je finis ma chevauchée par une jouissance.
Un plaisir qui a eut pour effet de me remettre dans le droit chemin. Mais aussi de me rétrocéder l’ordre de retourner dans ma chambre.

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