Divorcées mais libérées (2)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-10-2021 dans la catégorie Plus on est
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Divorcées mais libérées (2)
Collègues de travail, toutes deux divorcées récemment, Elise et Samia ont décidé de ne pas renoncer à une vie sexuelle. Après avoir vécu une expérience intense dans une péniche, elles abordent une autre phase de leur nouvelle vie.
********
‌Après leur séance torride dans la péniche avec les deux Belges (lire précédent texte), Elise et Samia avaient éprouvé le besoin d'une pause sexuelle, à la fois pour se remettre de leurs émotions et restaurer leurs chairs quelque peu malmenées par la fougue de leurs amants circonstanciels. Leurs relations se limitaient donc au cadre professionnel, même si sourires et clins d'oeil réciproques marquaient bien que rien ne serait plus entre elles comme avant. Elles s'étaient découvertes mutuellement dans le sexe brut et savaient qu'une partie de leur personnalité collait mal avec l'image respectable qu'ellesdonnaient dans la vie courante. Aussi, quelques semaines plus tard, quand Samia entra dans le bureau d'Elise et ferma la porte vitrée, la directrice comprit que leur discussion sortirait du cadre professionnel.
- Je dois te faire un aveu. Hier soir, j'ai baisé avec mon ex, lui dit la beurette. Je m'étais pourtant jurée de ne plus recommencer et crois-moi, je n'en suis pas fière. Mais quand il s'est approché et m'a pris la main pour la poser sur sa braguette, quand j'ai senti sa queue tendue, j'ai fondu comme la salope que je suis. Il faut dire que je commençais à être dans le besoin. Bref, il faut qu'on ressorte un de ces soirs.
Elise éclata de rire à cette saillie de sa collaboratrice. Et lui dit :- Je dois te faire un aveu. J'ai aussi baisé avec mon ex la semaine dernière alors qu'il était venu me faire signer un papier suite à notre séparation. Mais c'est moi qui lui ai mis la main au panier. Il a été tellement surpris que j'ai dû le sucer longtemps avant qu'il bande convenablement. Bon, ce n'était pas génial mais ça m'a fait du bien sur le moment. Je ne suis pas sûre qu'il reviendra de sitôt. Cela dit, tu as raison, il faut qu'on sorte. Reste à savoir où.
Les deux femmes devisèrent un moment. Pas question de revenir à la péniche et d'ailleurs, elle était sans doute déjà partie avec ses deux Belges. Les autres options (boite de nuit, clubs divers) avaient déjà été éliminées.
- Et si on allait simplement à la piscine ? suggéra Elise. J'y suis allée il y a quelque temps et j'ai vu des maîtres nageurs sexy, sans parler des autres baigneurs. Si on montre qu'on est open, ça peut marcher.
- Ouais... mais toi tu es mignonne et moi avec mes rondeurs et ma cellulite, je crains d'être plutôt un repoussoir en maillot.
- Meeuu non ! Mets-les en valeur, tes rondeurs. Tu as un bikini ?
- Non, juste un maillot une pièce.
- Alors, on va en acheter un ensemble. Et je te jure que tu ne passeras pas inaperçue.
*******Les deux femmes profitèrent de la pause déjeuner pour se rendre dans un magasin spécialisé. Samia eut beau résister, elle finit par céder à un choix d'Elise lui attribuant deux morceaux de tissus se réduisant pour l'essentiel à des ficelles censées maintenir quatre triangles : deux pour masquer les mamelons tout en découvrant 95% des seins, deux pour recouvrir le pubis et la raie des fesses, à condition de ne pas trop bouger.
- Je vais avoir l'air d'une pute, grogna Samia.
- Non, d'une femme qui baise. Et c'est l'essentiel, n'est-ce pas ? Ou alors, contente-toi de ton ex.
L'argument porta. L'achat fut conclu et Elise en profita pour renouveler sa "garde robe" avec un deux pièces tellement réduit qu'on pouvait se demander s'il existait vraiment.
- On voit la raie de ton cul, lui signifia Samia.
- C'est étudié pour, rétorqua Elise, qui savait d'expérience l'attrait qu'exerçait son arrière train sur la gent masculine, au contraire de ses seins menus.
Et c'est ainsi qu'un soir, après le boulot, elles firent leur entrée à la piscine municipale...
******En entrant dans la zone du grand bassin, assaillie par l'odeur de chlore et la chaleur moite, Samia se sentit comme à poil et vêtue seulement de son bonnet de bain pour contenir son opulente chevelure de jais. Son maillot lui semblait ridiculement petit. Mais à sa surprise, personne ne sembla faire attention à elle, pas plus d'ailleurs qu'à Elise qui, à l'inverse, semblait parfaitement à son aise et remontait son slip toutes les deux minutes pour tenter de masquer la raie naissante de sa croupe. Samia avait hâte de se glisser dans l'onde. Là au moins, on oublierait son maillot. Bonne nageuse, Elise se lança dans un crawl énergique alors que Samia se contentait d'une petite brasse. Un maitre nageur chevelu, juché sur sa chaise, surveillait le bassin d'un oeil distrait tandis qu'un autre, au crâne rasé, tentait d'apprendre une gamine à nager en l'aidant d'une perche métallique tenue à bout de bras. Le bassin était occupé principalement par des adolescents et des retraités, à l'exception d'une ligne d'eau réservée à des nageurs expérimentés.
Tout en barbotant, Samia observa le maitre nageur chevelu sur sa chaise. Vêtu d'un slip de bain et d'un tee shirt, il était plutôt beau gosse, à peine âgé de 30 ans. Peu probable qu'il s'intéresse à elle. En revanche, elle capta nettement son regard lorsqu'Elise, juste en face de lui, se hissa hors de l'eau, découvrant une bonne partie de son cul bombé avant de remonter son slip d'un air négligent et d'onduler franchement le long du bord. Le maitre nageur la suivit des yeux, visiblement intéressé. Elise accentuait sa cambrure comme si elle devinait l'oeil du mâle. Elle s'assit sur un banc où elle avait posé sa serviette, ôta son bonnet pour découvrir sa chevelure, la secoua, redressa le torse, affectant l'indifférence au regard de plus en plus insistant du maitre nageur. Samia la rejoignit en tentant de maintenir ses aréoles dans le frêle tissu du soutif et lui glissa à l'oreille :- Le mec en face, il n'arrête pas de te mater.
- Je sais. Il est pas mal, hein ?
- Ouais... Tu as fait une touche, c'est clair. Pas comme moi.
- Normal, tu restes dans l'eau. Va donc rôder autour du gars à la perche. M'étonnerait qu'il ne te remarque pas.
- Tu parles. Il y a plein de petites bimbos qui ne demandent qu'à se faire sauter par lui. Je ne suis plus compétitive.
Sur ces entrefaites apparut, sortant de l'eau, une femme au corps menu et sec, elle aussi très sommairement vêtue d'un bikini minimaliste. On pouvait lui donner 50 ans comme 60 ans, selon qu'on observait les rides de son visage, ses muscles saillants ou sa peau satinée. Souriante, elle s'avança vers les deux femmes et leur dit :- Je peux m'asseoir avec vous ? Je m'appelle Magali, et vous ?
S'engagea une présentation réciproque, où la nouvelle venue s'annonça podologue, fan de natation et de course à pied. Samia la complimenta pour son physique et lui demanda si elle avait un secret. Et Magali de répondre :- Oui, j'en ai un. Je baise. De préférence avec des plus jeunes que moi, voire beaucoup plus jeunes...
Les deux interlocutrices furent estomaquées par autant de franchise et Magali éclata de rire avant de poursuivre :- Je vous vois à l'oeuvre depuis que vous êtes là. Vous draguez, hein ? Kevin et Jordan, ils vous plaisent, avouez-le. Oui, je veux parler de nos deux maitres nageurs. C'est vrai qu'ils sont sexy. Et deux bêtes de sexe. Rassurez-vous, je ne vous ferai pas concurrence. J'y suis déjà passée. Mais si je peux vous aider...
Elise bredouilla une réponse qui devait faire croire que non, elles étaient venues pour nager et rien de plus. Samia opina mais Magali repartit d'un nouveau rire.
- Allons allons, pas de cachotteries. Et puis quoi, il n'y a pas de honte. Tenez, je vais vous dire. Le gars qui apprend à nager, Kevin, il en a une belle grosse. Croyez-moi, on la sent passer. L'autre sur la chaise, Jordan, est une vraie mitraillette. Mais son truc, c'est le cunni. Une vraie langue de chat.
Médusées, Elise et Samia encaissèrent ces informations de "première main", si on ose dire. Elles ne voyaient plus les maitres nageurs du même oeil. Elles remercièrent Magali et se remirent à l'eau car elle les avait passablement échauffées. Elles la virent se diriger en de dandinant vers la chaise du maitre nageur et lui adresser la parole, s'engager vers le fond de la piscine, entrer dans une pièce son petit cul frémissant, puis constatèrent que le maitre nageur de la chaise appelait son collègue afin de le remplacer avant de se diriger à son tour vers la pièce du fond.
Dans l'eau, Elise souffla à Samia :- J'ai comme l'impression que Magali va connaitre un moment de bonheur.
- Ouais. Contrairement à ce qu'elle nous a dit, elle nous fait bel et bien concurrence.
Et les deux femmes sortirent de l'eau, direction les vestiaires, se rhabillèrent et se dirent qu'au moins, leur âge ne serait pas un handicap face aux deux play boys du bassin. C'était déjà ça. Mais l'option piscine s'avérait néanmoins plus frustrante que prévu.
******Lorsqu'elles revinrent dès le lendemain, le maitre nageur au crâne rasé, présent sur la chaise, les salua d'un signe de tête. Bon signe. Au moins, elles ne passaient pas inaperçues. Le chevelu, déambulant au bord du bassin, leur fit même un grand sourire et c'est guillerettes qu'elles entrèrent dans l'eau, bientôt rejointes par Magali, toujours présente. Une discussion s'engagea entre elles dans la partie du bassin où elles avaient pied.
- Vous devriez venir le dimanche matin, il y a le groupe des nageurs avec palmes, ce sont des bons mecs, plus mûrs que les jeunots qu'on voit ici le reste du temps, leur dit-elle.
Elise et Samia notèrent la proposition, laissant supposer que Magali ne souhaitait pas trop qu'elles viennent piétiner ses plates bandes, en l'occurrence les maitres nageurs.
Mais elles se trompaient et la suite des événements allait le leur démontrer. Dans les jours qui suivirent, les signes de tête et les sourires des maitres nageurs se muèrent en conversations après que les deux amies eurent été introduites auprès d'eux par Magali elle-même. Kevin, le crâne rasé, draguait ouvertement Elise et comme celle-ci jouait le jeu en minaudant, Magali finit par lui souffler à l'oreille :- Ne pars pas à la fermeture ce soir, reste près du bassin, ne te rhabille pas.
Samia accepta de se retirer mais Elise la somma de rester :- Ne me laisse pas toute seule. Profite de la piscine, tu l'auras en solo et s'il y a quoi que ce soit, je t'appelle.
Conduite par Magali, Elise gagna la pièce du fond où les maitres nageurs semblaient avoir leurs habitudes. Kevin l'attendait sur un matelas posé à même le sol. Nu. Surprise, elle voulut reculer mais Magali la poussa vers l'homme :- Faut savoir ce que tu veux, ma chérie. Tu allumes et tu veux te tailler ? Assume et tu ne le regretteras pas.
Elise se retrouva sur le matelas, aussitôt entreprise par le maitre nageur qui, d'une main habile, fit sauter le mince soutif et l'embrassa alternativement sur les seins et la bouche. C'était exactement ce qu'il fallait pour la faire fondre. Elle ne lui résista plus, se laissa déculotter, ouvrit ses cuisses pour un cunni qui la fit gémir. Elle le regarda enfiler un préservatif, non sans difficulté, et l'accueillit avec appétit et allégresse, tellement humide que le volume de son pénis, annoncé par Magali, entra comme dans du beurre. Il la labourait avec constance, d'abord avec précaution puis avec de plus en plus de vigueur vu la réponse qu'elle lui adressait tant par son visage extasié, ses cris de plaisir, les soubresauts de son cul que par la pression de ses jambes autour de son dos. Il baisait une belle nana chaude comme la braise et son égo de mâle resplendissait.
En se mettant à quatre pattes pour se faire prendre en levrette, Elise s'aperçut que Magali était nue sur le matelas et participait à leurs ébats en caressant et léchant les couilles du maitre nageur. Pas étonnant qu'il cognât aussi dur ! Mais comme il la comblait, Elise ne fit aucune objection et répondit du mieux qu'elle put en agitant sa belle croupe que Kevin pognait avec une évidente volupté, glissant même son pouce dans son anus, ce qui accrut d'autant son plaisir. Elise savourait le moment de toute sa chair, souhaitant seulement qu'elle durât et le lui signifiant verbalement afin qu'il ne se laisse pas aller prématurément. Mais l'homme était viril et endurant et pas pressé d'abandonner ce morceau de roi.
C'est alors qu'un nouvel événement vint s'ajouter à cette scène d'un érotisme puissant. Samia fit son entrée accompagnée de l'autre maitre nageur, Jordan.
- Alors, les amoureux, ça boume ? s'exclama la beurette, visiblement enjouée et encore toute mouillée, le slip collant à la vulve et les bonnets de son soutif sous les mamelons. Indécente.
L'entrée des nouveaux venus stoppa net les ébats entre Elise et Kevin. Les plaisanteries fusèrent entre les protagonistes. Sans transition, Samia, après s'être attaché les cheveux, se mit à poil de même que Jordan. Tous deux étaient visiblement impatients de passer à l'acte. L'une à genoux, l'autre assis devant elle, tout commença par une fellation en belle et due forme, qui révéla de la part du maitre nageur un pénis long et fin que la langue habile de la beurette mit à la verticale. Elise observait tandis que Kevin, collé à son dos, lui caressait les seins. Magali n'était pas en reste en se touchant le bouton. Et c'est ainsi que le trio assista en direct live à l'accouplement des nouveaux venus sur le matelas.
Samia imposa à Jordan de s'allonger et vint s'empaler sur lui. Samia en train de baiser constituait un vrai spectacle tant elle y mettait de l'ardeur, du verbe, de l'inventivité avec le ballottement rythmé de ses chairs abondantes. Subjugué par une telle générosité, son amant provisoire ruait sous elle, pointu à l'extrême, conscient qu'il lui fallait être à la hauteur d'une telle demande. L'auditoire n'était pas moins emballé si bien que, très échauffé, Kevin culbuta Elise pour lui faire subir son joug au ras des cuisses de Samia. Et c'est ainsi que les deux collègues et néanmoins amies se retrouvèrent en train de baiser côte à côte comme dans la péniche. Cette fois, il n'y avait plus de nouveauté, si ce n'est qu'une troisième larronne prénommée Magali se mêlait aux jeux en stimulant les deux mâles en rut. De la main, de la langue et du verbe. Enervé, Jordan délaissa provisoirement Samia pour adresser à la voyeuse une série de vigoureux coups de bite qui la laissèrent aplatie sur le matelas et calmée pour un moment. Puis il retourna à la beurette pour la prendre en levrette, exactement comme était prise Elise, si bien que les deux amies se firent face et purent observer mutuellement la montée de leur orgasme, non s'être embrassée sur la bouche, ce qui constituait pour elles une première spectaculaire. Elise couina, Samia rugit, toutes deux roulèrent des hanches et leurs amants, eux aussi face à face, éjaculèrent dans leur capote, rincés et comblés.
- On n'a même pas eu le temps de vous enculer ! souffla Kevin, qui s'était pourtant promis d'honorer la croupe majestueuse d'Elise.
- Ce sera pour la prochaine fois, rigola Magali, qui avait repris ses esprits.
La nuit était tombée à l'extérieur et les deux maitres nageurs ne pouvaient pas s'éterniser sur leur lieu de travail. Les femmes ramassèrent leur mince maillot et gagnèrent le vestiaire après être passée sous la douche. Piaillant et gloussant comme des midinettes, heureuses d'avoir pu enchanter leur corps grâce à deux belles bites bien raides. Sans complication et sans lendemain. Bien décidées, avec leur nouvelle amie Magali, à vivre à fond leur sexualité épanouie de femmes mûres. Et déjà se profilait la rencontre avec les nageurs avec palmes... Mais c'est une autre histoire qui sera peut-être contée un jour.
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‌Après leur séance torride dans la péniche avec les deux Belges (lire précédent texte), Elise et Samia avaient éprouvé le besoin d'une pause sexuelle, à la fois pour se remettre de leurs émotions et restaurer leurs chairs quelque peu malmenées par la fougue de leurs amants circonstanciels. Leurs relations se limitaient donc au cadre professionnel, même si sourires et clins d'oeil réciproques marquaient bien que rien ne serait plus entre elles comme avant. Elles s'étaient découvertes mutuellement dans le sexe brut et savaient qu'une partie de leur personnalité collait mal avec l'image respectable qu'ellesdonnaient dans la vie courante. Aussi, quelques semaines plus tard, quand Samia entra dans le bureau d'Elise et ferma la porte vitrée, la directrice comprit que leur discussion sortirait du cadre professionnel.
- Je dois te faire un aveu. Hier soir, j'ai baisé avec mon ex, lui dit la beurette. Je m'étais pourtant jurée de ne plus recommencer et crois-moi, je n'en suis pas fière. Mais quand il s'est approché et m'a pris la main pour la poser sur sa braguette, quand j'ai senti sa queue tendue, j'ai fondu comme la salope que je suis. Il faut dire que je commençais à être dans le besoin. Bref, il faut qu'on ressorte un de ces soirs.
Elise éclata de rire à cette saillie de sa collaboratrice. Et lui dit :- Je dois te faire un aveu. J'ai aussi baisé avec mon ex la semaine dernière alors qu'il était venu me faire signer un papier suite à notre séparation. Mais c'est moi qui lui ai mis la main au panier. Il a été tellement surpris que j'ai dû le sucer longtemps avant qu'il bande convenablement. Bon, ce n'était pas génial mais ça m'a fait du bien sur le moment. Je ne suis pas sûre qu'il reviendra de sitôt. Cela dit, tu as raison, il faut qu'on sorte. Reste à savoir où.
Les deux femmes devisèrent un moment. Pas question de revenir à la péniche et d'ailleurs, elle était sans doute déjà partie avec ses deux Belges. Les autres options (boite de nuit, clubs divers) avaient déjà été éliminées.
- Et si on allait simplement à la piscine ? suggéra Elise. J'y suis allée il y a quelque temps et j'ai vu des maîtres nageurs sexy, sans parler des autres baigneurs. Si on montre qu'on est open, ça peut marcher.
- Ouais... mais toi tu es mignonne et moi avec mes rondeurs et ma cellulite, je crains d'être plutôt un repoussoir en maillot.
- Meeuu non ! Mets-les en valeur, tes rondeurs. Tu as un bikini ?
- Non, juste un maillot une pièce.
- Alors, on va en acheter un ensemble. Et je te jure que tu ne passeras pas inaperçue.
*******Les deux femmes profitèrent de la pause déjeuner pour se rendre dans un magasin spécialisé. Samia eut beau résister, elle finit par céder à un choix d'Elise lui attribuant deux morceaux de tissus se réduisant pour l'essentiel à des ficelles censées maintenir quatre triangles : deux pour masquer les mamelons tout en découvrant 95% des seins, deux pour recouvrir le pubis et la raie des fesses, à condition de ne pas trop bouger.
- Je vais avoir l'air d'une pute, grogna Samia.
- Non, d'une femme qui baise. Et c'est l'essentiel, n'est-ce pas ? Ou alors, contente-toi de ton ex.
L'argument porta. L'achat fut conclu et Elise en profita pour renouveler sa "garde robe" avec un deux pièces tellement réduit qu'on pouvait se demander s'il existait vraiment.
- On voit la raie de ton cul, lui signifia Samia.
- C'est étudié pour, rétorqua Elise, qui savait d'expérience l'attrait qu'exerçait son arrière train sur la gent masculine, au contraire de ses seins menus.
Et c'est ainsi qu'un soir, après le boulot, elles firent leur entrée à la piscine municipale...
******En entrant dans la zone du grand bassin, assaillie par l'odeur de chlore et la chaleur moite, Samia se sentit comme à poil et vêtue seulement de son bonnet de bain pour contenir son opulente chevelure de jais. Son maillot lui semblait ridiculement petit. Mais à sa surprise, personne ne sembla faire attention à elle, pas plus d'ailleurs qu'à Elise qui, à l'inverse, semblait parfaitement à son aise et remontait son slip toutes les deux minutes pour tenter de masquer la raie naissante de sa croupe. Samia avait hâte de se glisser dans l'onde. Là au moins, on oublierait son maillot. Bonne nageuse, Elise se lança dans un crawl énergique alors que Samia se contentait d'une petite brasse. Un maitre nageur chevelu, juché sur sa chaise, surveillait le bassin d'un oeil distrait tandis qu'un autre, au crâne rasé, tentait d'apprendre une gamine à nager en l'aidant d'une perche métallique tenue à bout de bras. Le bassin était occupé principalement par des adolescents et des retraités, à l'exception d'une ligne d'eau réservée à des nageurs expérimentés.
Tout en barbotant, Samia observa le maitre nageur chevelu sur sa chaise. Vêtu d'un slip de bain et d'un tee shirt, il était plutôt beau gosse, à peine âgé de 30 ans. Peu probable qu'il s'intéresse à elle. En revanche, elle capta nettement son regard lorsqu'Elise, juste en face de lui, se hissa hors de l'eau, découvrant une bonne partie de son cul bombé avant de remonter son slip d'un air négligent et d'onduler franchement le long du bord. Le maitre nageur la suivit des yeux, visiblement intéressé. Elise accentuait sa cambrure comme si elle devinait l'oeil du mâle. Elle s'assit sur un banc où elle avait posé sa serviette, ôta son bonnet pour découvrir sa chevelure, la secoua, redressa le torse, affectant l'indifférence au regard de plus en plus insistant du maitre nageur. Samia la rejoignit en tentant de maintenir ses aréoles dans le frêle tissu du soutif et lui glissa à l'oreille :- Le mec en face, il n'arrête pas de te mater.
- Je sais. Il est pas mal, hein ?
- Ouais... Tu as fait une touche, c'est clair. Pas comme moi.
- Normal, tu restes dans l'eau. Va donc rôder autour du gars à la perche. M'étonnerait qu'il ne te remarque pas.
- Tu parles. Il y a plein de petites bimbos qui ne demandent qu'à se faire sauter par lui. Je ne suis plus compétitive.
Sur ces entrefaites apparut, sortant de l'eau, une femme au corps menu et sec, elle aussi très sommairement vêtue d'un bikini minimaliste. On pouvait lui donner 50 ans comme 60 ans, selon qu'on observait les rides de son visage, ses muscles saillants ou sa peau satinée. Souriante, elle s'avança vers les deux femmes et leur dit :- Je peux m'asseoir avec vous ? Je m'appelle Magali, et vous ?
S'engagea une présentation réciproque, où la nouvelle venue s'annonça podologue, fan de natation et de course à pied. Samia la complimenta pour son physique et lui demanda si elle avait un secret. Et Magali de répondre :- Oui, j'en ai un. Je baise. De préférence avec des plus jeunes que moi, voire beaucoup plus jeunes...
Les deux interlocutrices furent estomaquées par autant de franchise et Magali éclata de rire avant de poursuivre :- Je vous vois à l'oeuvre depuis que vous êtes là. Vous draguez, hein ? Kevin et Jordan, ils vous plaisent, avouez-le. Oui, je veux parler de nos deux maitres nageurs. C'est vrai qu'ils sont sexy. Et deux bêtes de sexe. Rassurez-vous, je ne vous ferai pas concurrence. J'y suis déjà passée. Mais si je peux vous aider...
Elise bredouilla une réponse qui devait faire croire que non, elles étaient venues pour nager et rien de plus. Samia opina mais Magali repartit d'un nouveau rire.
- Allons allons, pas de cachotteries. Et puis quoi, il n'y a pas de honte. Tenez, je vais vous dire. Le gars qui apprend à nager, Kevin, il en a une belle grosse. Croyez-moi, on la sent passer. L'autre sur la chaise, Jordan, est une vraie mitraillette. Mais son truc, c'est le cunni. Une vraie langue de chat.
Médusées, Elise et Samia encaissèrent ces informations de "première main", si on ose dire. Elles ne voyaient plus les maitres nageurs du même oeil. Elles remercièrent Magali et se remirent à l'eau car elle les avait passablement échauffées. Elles la virent se diriger en de dandinant vers la chaise du maitre nageur et lui adresser la parole, s'engager vers le fond de la piscine, entrer dans une pièce son petit cul frémissant, puis constatèrent que le maitre nageur de la chaise appelait son collègue afin de le remplacer avant de se diriger à son tour vers la pièce du fond.
Dans l'eau, Elise souffla à Samia :- J'ai comme l'impression que Magali va connaitre un moment de bonheur.
- Ouais. Contrairement à ce qu'elle nous a dit, elle nous fait bel et bien concurrence.
Et les deux femmes sortirent de l'eau, direction les vestiaires, se rhabillèrent et se dirent qu'au moins, leur âge ne serait pas un handicap face aux deux play boys du bassin. C'était déjà ça. Mais l'option piscine s'avérait néanmoins plus frustrante que prévu.
******Lorsqu'elles revinrent dès le lendemain, le maitre nageur au crâne rasé, présent sur la chaise, les salua d'un signe de tête. Bon signe. Au moins, elles ne passaient pas inaperçues. Le chevelu, déambulant au bord du bassin, leur fit même un grand sourire et c'est guillerettes qu'elles entrèrent dans l'eau, bientôt rejointes par Magali, toujours présente. Une discussion s'engagea entre elles dans la partie du bassin où elles avaient pied.
- Vous devriez venir le dimanche matin, il y a le groupe des nageurs avec palmes, ce sont des bons mecs, plus mûrs que les jeunots qu'on voit ici le reste du temps, leur dit-elle.
Elise et Samia notèrent la proposition, laissant supposer que Magali ne souhaitait pas trop qu'elles viennent piétiner ses plates bandes, en l'occurrence les maitres nageurs.
Mais elles se trompaient et la suite des événements allait le leur démontrer. Dans les jours qui suivirent, les signes de tête et les sourires des maitres nageurs se muèrent en conversations après que les deux amies eurent été introduites auprès d'eux par Magali elle-même. Kevin, le crâne rasé, draguait ouvertement Elise et comme celle-ci jouait le jeu en minaudant, Magali finit par lui souffler à l'oreille :- Ne pars pas à la fermeture ce soir, reste près du bassin, ne te rhabille pas.
Samia accepta de se retirer mais Elise la somma de rester :- Ne me laisse pas toute seule. Profite de la piscine, tu l'auras en solo et s'il y a quoi que ce soit, je t'appelle.
Conduite par Magali, Elise gagna la pièce du fond où les maitres nageurs semblaient avoir leurs habitudes. Kevin l'attendait sur un matelas posé à même le sol. Nu. Surprise, elle voulut reculer mais Magali la poussa vers l'homme :- Faut savoir ce que tu veux, ma chérie. Tu allumes et tu veux te tailler ? Assume et tu ne le regretteras pas.
Elise se retrouva sur le matelas, aussitôt entreprise par le maitre nageur qui, d'une main habile, fit sauter le mince soutif et l'embrassa alternativement sur les seins et la bouche. C'était exactement ce qu'il fallait pour la faire fondre. Elle ne lui résista plus, se laissa déculotter, ouvrit ses cuisses pour un cunni qui la fit gémir. Elle le regarda enfiler un préservatif, non sans difficulté, et l'accueillit avec appétit et allégresse, tellement humide que le volume de son pénis, annoncé par Magali, entra comme dans du beurre. Il la labourait avec constance, d'abord avec précaution puis avec de plus en plus de vigueur vu la réponse qu'elle lui adressait tant par son visage extasié, ses cris de plaisir, les soubresauts de son cul que par la pression de ses jambes autour de son dos. Il baisait une belle nana chaude comme la braise et son égo de mâle resplendissait.
En se mettant à quatre pattes pour se faire prendre en levrette, Elise s'aperçut que Magali était nue sur le matelas et participait à leurs ébats en caressant et léchant les couilles du maitre nageur. Pas étonnant qu'il cognât aussi dur ! Mais comme il la comblait, Elise ne fit aucune objection et répondit du mieux qu'elle put en agitant sa belle croupe que Kevin pognait avec une évidente volupté, glissant même son pouce dans son anus, ce qui accrut d'autant son plaisir. Elise savourait le moment de toute sa chair, souhaitant seulement qu'elle durât et le lui signifiant verbalement afin qu'il ne se laisse pas aller prématurément. Mais l'homme était viril et endurant et pas pressé d'abandonner ce morceau de roi.
C'est alors qu'un nouvel événement vint s'ajouter à cette scène d'un érotisme puissant. Samia fit son entrée accompagnée de l'autre maitre nageur, Jordan.
- Alors, les amoureux, ça boume ? s'exclama la beurette, visiblement enjouée et encore toute mouillée, le slip collant à la vulve et les bonnets de son soutif sous les mamelons. Indécente.
L'entrée des nouveaux venus stoppa net les ébats entre Elise et Kevin. Les plaisanteries fusèrent entre les protagonistes. Sans transition, Samia, après s'être attaché les cheveux, se mit à poil de même que Jordan. Tous deux étaient visiblement impatients de passer à l'acte. L'une à genoux, l'autre assis devant elle, tout commença par une fellation en belle et due forme, qui révéla de la part du maitre nageur un pénis long et fin que la langue habile de la beurette mit à la verticale. Elise observait tandis que Kevin, collé à son dos, lui caressait les seins. Magali n'était pas en reste en se touchant le bouton. Et c'est ainsi que le trio assista en direct live à l'accouplement des nouveaux venus sur le matelas.
Samia imposa à Jordan de s'allonger et vint s'empaler sur lui. Samia en train de baiser constituait un vrai spectacle tant elle y mettait de l'ardeur, du verbe, de l'inventivité avec le ballottement rythmé de ses chairs abondantes. Subjugué par une telle générosité, son amant provisoire ruait sous elle, pointu à l'extrême, conscient qu'il lui fallait être à la hauteur d'une telle demande. L'auditoire n'était pas moins emballé si bien que, très échauffé, Kevin culbuta Elise pour lui faire subir son joug au ras des cuisses de Samia. Et c'est ainsi que les deux collègues et néanmoins amies se retrouvèrent en train de baiser côte à côte comme dans la péniche. Cette fois, il n'y avait plus de nouveauté, si ce n'est qu'une troisième larronne prénommée Magali se mêlait aux jeux en stimulant les deux mâles en rut. De la main, de la langue et du verbe. Enervé, Jordan délaissa provisoirement Samia pour adresser à la voyeuse une série de vigoureux coups de bite qui la laissèrent aplatie sur le matelas et calmée pour un moment. Puis il retourna à la beurette pour la prendre en levrette, exactement comme était prise Elise, si bien que les deux amies se firent face et purent observer mutuellement la montée de leur orgasme, non s'être embrassée sur la bouche, ce qui constituait pour elles une première spectaculaire. Elise couina, Samia rugit, toutes deux roulèrent des hanches et leurs amants, eux aussi face à face, éjaculèrent dans leur capote, rincés et comblés.
- On n'a même pas eu le temps de vous enculer ! souffla Kevin, qui s'était pourtant promis d'honorer la croupe majestueuse d'Elise.
- Ce sera pour la prochaine fois, rigola Magali, qui avait repris ses esprits.
La nuit était tombée à l'extérieur et les deux maitres nageurs ne pouvaient pas s'éterniser sur leur lieu de travail. Les femmes ramassèrent leur mince maillot et gagnèrent le vestiaire après être passée sous la douche. Piaillant et gloussant comme des midinettes, heureuses d'avoir pu enchanter leur corps grâce à deux belles bites bien raides. Sans complication et sans lendemain. Bien décidées, avec leur nouvelle amie Magali, à vivre à fond leur sexualité épanouie de femmes mûres. Et déjà se profilait la rencontre avec les nageurs avec palmes... Mais c'est une autre histoire qui sera peut-être contée un jour.
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