Docteur Christiane et docteur Christine

- Par l'auteur HDS Micky -
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Auteur femme.
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Récit libertin : Docteur Christiane et docteur Christine Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2022 dans la catégorie Plus on est
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Docteur Christiane et docteur Christine
L'une est spécialiste ORL, l'autre généraliste. L'une a de longs cheveux colorés en blond, l'autre une tête frisée. L'une, sans être grosse, déploie ses rondeurs, l'autre est une petite femme tonique à petits seins et petites fesses. Toutes deux sont divorcées et dans la dernière partie de leur carrière, concentrées sur leur métier, sans attaches familiales. L'une s'appelle Christiane, l'autre Christine et leur proximité va bien au-delà de leurs prénoms. Elles sont amies, se voient régulièrement, se confient leurs secrets autant que leurs patients.
Mais pour ressemblantes qu'elles soient, leur vie comporte malgré tout quelques différences. Alors que Christiane n'a pas de liaison durable, Christine jouit de deux amants réguliers, un kiné et un infirmier, tous deux mariés mais ayant leurs entrées dans son lit ou sur le divan de son cabinet en fonction de leurs emplois du temps respectifs. Christine baise beaucoup et souvent, Christiane assez peu et même trop peu. C'est justement le sujet de leur conversation ce dimanche là, dans l'appartement de Christiane.
- Alors, tu en es où de tes amours ? lui demande Christine.
- Tu veux parler du visiteur médical ? Bof. Cela fait un moment que je ne l'ai pas vu. Je crois qu'il s'est lassé et moi aussi. De toute façon, c'était juste du sexe.
- Ben justement. C'est important à notre âge. Qu'est-ce que tu crois que je fais avec mes deux chevaliers servants ? Du sexe, rien que du sexe. Pour me faire péter les hormones. Sinon, c'est la grande sècheresse. Et c'est ça qui te guette si tu ne baises plus.
- Mais qui veux-tu qui baise une femme comme moi ? Regarde, j'ai prix dix kilos en dix ans. Alors que toi, tu as gardé ton corps de jeune fille. C'est pas juste.
- Tu rigoles ? Plein d'hommes aiment les femmes pulpeuses dans ton genre. Tiens, je vais te dire, j'envie tes nichons. Moi, je ne peux même pas faire de cravates de notaire, dit Christine en tapotant ses petits seins.

Les deux amies rient aux éclats.
- C'est vrai que quand je me regarde à poil dans la glace de ma salle de bains, je me dis que mes seins tiennent encore bien la route même s'ils tombent un peu. Mais je ne vais quand même pas mettre des décolletés au boulot, ou me mettre nue sous ma blouse...
- Et ton cul ? Tu as regardé ton cul ? Une vraie peinture du XVIIIè siècle. Tout pour rendre un homme heureux, enfin un vrai homme.
- Oui, pas comme mon visiteur médical. Il ne s'y intéressait pas, à mon cul. Je ne demandais pourtant que ça.
- Je vois ce que tu veux dire. Mes deux mecs adorent me sodomiser. Mon petit cul les inspire...

Les deux amies rient encore. Elles n'ont guère de secrets l'une pour l'autre.
- Mais bon, revenons à nos moutons, dit Christine. Il faut que tu t'envoies en l'air, c'est vital. Je peux t'aider si tu veux.
- Et comment veux-tu m'aider ? Tu vas me prêter un de tes amants ?
- Pourquoi pas ? Qu'est-ce que tu dirais d'un plan à quatre ?
- Un quoi ? Une partouze ?
- Le vilain mot. Ne me dis pas que ça te choque. On l'a déjà fait, non ?
- C'était une autre époque.
- Et alors ? On rajeunira. Alors, j'arrange ça ou non ?
Christiane ne répondit pas d'emblée. Faire l'amour à côté de son amie, avec qui d'autre pourrait-elle le faire ? Et puis, elle avait si souvent célébré la virilité de ses deux jeunes amants trentenaires qu'une bouffée de désir était née dans son bas-ventre sous exploité. Christine avait raison : elle avait besoin de sexe. Et ce ne serait que du sexe. Elle eut soudain envie de baiser. Et l'allusion à leur jeunesse lui donna à penser. Elle avait raison, au fond.
- Bon, ok, tu vois ça. Et tu me diras où.
*******
Christiane et Christine se connaissaient depuis leurs années d'étudiantes en médecine. Elles s'étaient vite reconnues pour leur joie de vivre qu'elles essayaient de préserver malgré des études éprouvantes nerveusement. Elles s'étaient laissées entrainer par des garçons fêtards, dans la bonne tradition des carabins. Elles avaient fini par intégrer un petit groupe où les fêtes s'étaient peu à peu muées en orgies. Et de la libation à la partouze, il n'y a jamais très loin, surtout dans ce milieu. Christiane et Christine étaient rapidement apparues comme deux vraies baiseuses, capable de passer d'un partenaire sexuel à l'autre sans complication. Dans le groupe figuraient deux autres filles, une brune pulpeuse prénommée Babette et une dénommée Véronique au corps un peu disgracieux mais au visage agréable. Elles étaient devenues deux consoeurs, l'une employée comme médecin dans une grande entreprise nationale, l'autre généraliste spécialisée en homéopathie. Elles ne se voyaient plus que de loin en loin.

Mais quelle époque ! Elles aussi ne faisaient pas de manière pour baiser. Babette était la spécialiste de la cravate de notaire entre ses deux gros seins, au point qu'un gaillard avait prétendu qu'elle avait "un durillon entre les nichons". Véronique présentait une croupe jumentesque que les mâles se faisaient un plaisir d'honorer en la sodomisant, lui procurant de ce fait des orgasmes ravageurs. Christiane et Christine étaient plutôt "multicartes" avec de tels emballements que leurs partenaires avaient parfois du mal à suivre. Une nuit, Christiane, prise d'une véritable folie érotique, avait été honorée par trois garçons à la fois, "un dans chaque trou", lui avait ensuite raconté Christine qui avait constaté l'état second de son amie. Elle lui rappelait encore parfois cet épisode de leur tumultueuse jeunesse, et c'est à celui-ci qu'elle pensait en ce jour où elle s'était vu proposer un "plan à quatre". Elle n'avait jamais autant joui qu'en ce temps là. Pouvait-il revenir trente ans après ?

Christine était visiblement pressée de décoincer son amie. Elle lui proposa un rendez-vous le samedi suivant avec ses deux amants, qui avaient trouvé un prétexte pour échapper à leur épouse.
Christiane et Christine n'étaient plus à un âge où on fait des manières. Quand Rachid l'infirmier et Jordan le kinésithérapeute entrèrent dans l'appartement de leur maîtresse et découvrirent sa pulpeuse collègue, ils comprirent à l'attitude gourmande des deux matures qu'ils n'avaient pas été invités à boire le thé. Christine entra d'emblée dans le vif du sujet :- Mes chéris, je vous présente une amie chère. Elle est en manque d'homme. Réjouissez la.
Et d'ouvrir la porte de la chambre où les quatre entrèrent.

Jordan et Rachid étaient un peu surpris. Certes, ils se partageaient la toubib à tête frisée mais jamais ensemble. Ils s'attendaient encore moins à trouver une autre femme chez leur maîtresse et pas davantage à se trouver mis au défi de les satisfaire toutes les deux dans un plan à quatre. Mais il était hors de question de se dérober. Un peu médusés, ils virent les deux amies se mettre à poil et s'allonger côte à cote en travers du lit, l'œil pétillant et la lippe humide.
Pour Christiane, c'était un retour trente ans en arrière. Combien de fois s'était elle trouvée dans cette situation avec Christine au temps de leur jeunesse débauchée ? Combien de fois avaient elles ainsi baisé côte à cote en se stimulant mutuellement ? La différence, c'était leur corps. Plus de rides, de cellulite, de chair. Mais aussi plus de connaissance de leur corps et de celui de l'homme. Et un appétit sexuel toujours vif. Surtout pour deux jeunes hommes qui allaient assouvir leurs besoins.
- Allez les garçons, montrez à Christiane ce que avez en magasin.

L'invite était directe. Rachid et Jordan avaient beau être habitués au langage vert de Christine, il y avait de quoi être décontenancé. Elle était décidément très chaude aujourd'hui et ça promettait. Du reste, à peine eurent-ils baissé pantalon et caleçon qu'elle vint soupeser leurs parties génitales copieuses de son pied nu.
- Regarde ça, c'est pas beau ? dit-elle à son amie ?

Christiane était bouche bée. Quelles belles bêtes ! Serait-elle à la hauteur ? Banderaient-Ils devant son corps imparfait ? Elle avait tort de s'inquiéter. Les deux gars préféraient les femmes mûres pour la bagatelle. Pas de chichis, que de la bite. Et ces deux là étaient bandantes et d'ailleurs, leur queue avait commencé à croître et embellir. A peine furent-ils nus à leur tour que deux bouches avides gobèrent leur gland. Christiane accompagna sa succion vorace d'une palpation de couilles de Rachid. C'était sa partie préférée de l'homme parce que source du plaisir mutuel. Elle ne tarda pas à y mettre la langue, donnant à la queue de l'infirmier une longueur et une raideur qu'elle jugea époustouflantes. Elle n'avait pas vu ça depuis un bout de temps. Comment encaisserait-elle avec ses chairs intimes si mal préparées ?

Comme pour faire écho à son inquiétude, elle vit Christine s'oindre le vagin d'une crème à usage intime mais aussi, ô surprise son anus.
- Fais- en autant, lui dit-elle en lui tendant le tube.
Et Christiane s'exécuta. Devant une préparation aussi prometteuse, les deux gaillards avaient hâte de passer à l'action.
Pour Christiane, la pénétration était l'acte sexuel par excellence. Le reste n'était que des mignardises agréables, simples entrées en matière. C'est pourquoi la vision du pénis tendu de Rachid qui avait jeté son dévolu sur elle pendant que Jordan s'occupait de Christine, l'avait mise dans un état d'excitation extrême. Mais elle appréhendait aussi de souffrir d'un envahissement massif, se jugeant un peu rouillée après une longue abstinence. La dernière fois qu'elle avait fait l'amour, si on peut dire, le visiteur médical quinquagénaire l'avait honorée d'une petite queue assez inoffensive sous un ventre rebondi. Rien à voir avec le gros calibre sous le ventre plat de l'infirmier, de surcroît impatient de s'enfoncer dans ce corps charnu aux seins larges.

Elle essaya de contenir sa poussée en posant une main sur son pubis mais la pression était trop forte et il la pénétra, lentement mais résolument. Christiane écarquilla les yeux et ouvrit la bouche sur un cri d'abord muet puis guttural. D'abord un peu douloureuse, la pénétration suivie d'un rythme cadencé lui procura un plaisir inouï. C'était comme si elle aspirait le pénis. Rachid découvrit avec satisfaction un visage illuminé, rayonnant, extatique et surtout un geste d'un érotisme puissant qu'aucune femme ne lui avait encore offert. Christiane se prit par les pieds et les écarta dans un angle très ouvert, manifestant son adhésion totale à la pénétration. Elle ponctuait chaque coup de queue d'un "oh oui !" sonore qui se mêla aux jappements de Christine, elle aussi considérablement baisée en travers du lit. Dans son extase, Christiane trouva le temps de sourire à la manifestation verbale de son amie, exactement la même qu'au temps de leur jeunesse frivole. Mais sans doute en était il de même pour elle. En tout cas, âge où pas, elles baisaient et pas qu'un peu.

Christine éprouva le besoin de changer de position et se mit à quatre pattes en travers du lit pour se faire prendre en levrette. D'où elle se trouvait, Christiane avait une vue imprenable sur la paire de couilles de Jordan et de les voir ballotter en cadence, pesantes et imposantes, sources de plaisir autant masculin que féminin, lui mit dans la région de son cerveau liée à l'érotisme une fulgurance qui la fit gémir. Elle fut à deux doigts de se détacher de Rachid pour aller lécher et gober ces attributs mâles qui étaient pour Christiane la partie la plus noble de l'homme. Mais à ce moment, Rachid se détacha d'elle et la retourna à son tour pour la prendre par derrière et les deux toubibs se retrouvèrent quasiment face à face dans le vaste lit.

Une fois encore, le flash back s'imposa. Christiane se remémora le jour où la jeune Christine à quatre pattes devant elle, honorée par un solide gaillard qui évoluait dans l'équipe de rugby de la fac de médecine, parvint à articuler :- Oh là là, il m'encule !
C'était sa première fois. Passé le stade de la douleur, Christiane avait vu jouir son amie et s'était retournée vers son tringleur qui la besognait également en levrette :- Fais-le aussi !
Elles avaient connu leur première expérience de sodomie en même temps.
​Trente ans plus tard, le scénario se renouvelait. L'anus bien crémeux des deux quinquagénaires constituait une invitation muette. Quand Christine annonça "enculez-nous maintenant", les deux étalons ne se firent pas prier. C'est l'avantage des vraies femmes, se disaient-ils. Elles appellent un chat un chat et une bite une bite. Ce mot déferla dans leur bouche pour célébrer leur action fondamentale. Elles scrutèrent dans leur visage la montée de leur orgasme. Christiane, dont le corps n'avait pas connu pareille ébullition depuis des lustres, manifestait si bruyamment son plaisir que son amant crut qu'elle avait mal et ralentit ses coups de boutoir. Mais elle vint le chercher du cul avec une telle ardeur qu'il comprit sa méprise. Christine jouit la première et Jordan éjacula dans la foulée, si on peut dire. Rachid estoqua Christiane encore quelques minutes dans un concert de peaux claquées. Le contact des couilles sur sa chatte fit jouir Christiane à son tour et elle s'effondra à plat ventre sur le lit, la tête en feu. L'autre retira sa capote et l'arrosa de son sperme. Et la tension retomba dans la chambre, redevenue silencieuse.
*****Lors de ses consultations suivantes, Christiane eut un peu de mal à se remettre au boulot. Heureusement qu'elle avait du métier. Mais elle pensait parfois davantage à la bite et aux couilles de Rachid qu'aux oreilles de ses patients. Elle avait hâte de le revoir. Christine ne fit pas de difficulté et Rachid encore moins. D'ailleurs, comme il ressentait des bouchons dans son conduit auditif, il prit rendez-vous chez son ORL préférée. Et après l'opération (bénigne), il eut droit à une petite pipe. Ainsi commença une liaison inter âge qui ne pouvait s'interrompre qu'après épuisement (érotique) des deux protagonistes...

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Texte coquin : Docteur Christiane et docteur Christine
Histoire sexe : Une rose rouge
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