DOCTEURE S.

- Par l'auteur HDS Miss_Sexcret -
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Récit libertin : DOCTEURE S. Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-09-2025 dans la catégorie Fétichisme
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DOCTEURE S.
Je l’ai toujours désirée.

Mais jamais comme une femme ordinaire. Je n’ai jamais imaginé la Docteure S. me prendre dans un lit, ni même m’embrasser. Ce n’est pas son genre.

Elle est au-dessus de ça. Une autorité pure. Une présence qui vous domine sans lever la voix. Une beauté qui glace le sang et fait fondre le sexe.

Grande. Élancée. Blonde nordique, presque blanche. Chignon sévère. Regard d’acier. Une démarche précise, en talons hauts, qui claque sur le sol comme un métronome. Toujours en blouse blanche, fermée jusqu’au cou. Impeccable. Irréprochable.

Elle ne sourit pas. Ou alors un demi-sourire — celui qui vous met plus mal à l’aise que n’importe quelle gifle.

Quand elle m’ausculte, je mouille. Ce n’est pas une métaphore. C’est un réflexe sexuel.

Et ce fantasme, je le rejoue encore et encore. Il commence toujours pareil.



DOCTEURE S.


Je suis dans un centre universitaire de sexologie clinique appliquée, un bâtiment moderne, aseptisé. Lumière blanche, odeur d’alcool médical, murs froids. Tout ici respire la rigueur scientifique.

Mais il y a autre chose. Un sous-texte. Quelque chose dans l’air. Comme si ce lieu, malgré ses blouses et ses protocoles, était construit pour exciter sans jamais le dire.

Des bruits d’eau. Des voix basses. Des corps en tension.

Je suis debout dans une salle d’examen.

Nue sous une blouse jetable, en papier transparent, fine comme une feuille de riz. Elle ne cache rien. Mon sexe rasé, mes tétons pointés, mon ventre qui palpite.

Assise en face de moi : la Docteure S.

Elle lit mon dossier. Lentement. Les jambes croisées, les lèvres rouges parfaitement mates. Elle lève enfin les yeux.

— Kristina. Vous avez bien donné votre accord pour le protocole 14 — module expérimental de sexologie appliquée, niveau 4 ?

Je hoche la tête. Ma gorge est sèche. Je sens déjà le poids de son regard sur ma poitrine, qui gonfle sous la blouse translucide.

— Vous avez lu la fiche : observation, palpation, stimulation. Vous êtes ici en tant que sujet volontaire. Aucune mise en scène. Aucun jeu de rôle.

Votre corps sera observé. Étudié. Exploré.

Elle marque une pause. Me fixe.

— Êtes-vous prête à aller jusqu’au bout ?

J’avale ma salive. Je réponds :

— Oui, docteure.

Elle appuie sur un bouton discret. La porte s’ouvre. Quatre étudiants en sexologie clinique entrent. Deux filles. Deux garçons. Vingt-deux, vingt-trois ans. Blouses blanches, carnets en main, visages neutres. Mais leurs regards trahissent une excitation contenue.

Ils s’alignent autour de moi.

— Kristina je vous présente : Léa, Elodie, Mathias et Samuel qui vont m'assister pour cet examen.

Je sens leurs yeux glisser sur mes hanches, mes jambes, mes seins.

Je sens mon sexe déjà humide.

La Docteure se lève. Elle s’approche. Elle prend mes poignets. Lentement. Les baisse.

— Déshabillez-vous. Regardez-les. Offrez-vous. Vous êtes ici pour ça.

Je respire un grand coup. J’ouvre la blouse. Elle tombe à mes pieds. Je suis nue.

Le silence est total. Les regards sur moi. Je ressens tout. Ma peau frissonne, mon ventre se contracte, mes cuisses tremblent.

Je suis nue. Vue. Vulnérable. Et excitée comme jamais.

— Étape 1. Observation statique. Notez les réactions cutanées, posturales, la respiration.

Ils tournent autour de moi. Me regardent comme un objet vivant. L’un d’eux s’arrête sur mes fesses. L’autre me fait lever les bras. L’une me demande d’écarter légèrement les cuisses. Je sens l’air froid sur mes lèvres ouvertes.

Je deviens fluide. Mon jus coule doucement. Je le sens glisser.

La Docteure observe tout. Calme. Implacable.

— Très bien. Examen dynamique. Installez-la.

Ils m’aident à m’allonger sur un fauteuil gynécologique en cuir noir, robuste, à l’ancienne. Les étriers sont froids contre mes mollets. Je me positionne. Les jambes écartées.

— Écartez plus.

Je le fais. Ma chatte s’ouvre. Humide, offerte.

La Docteure enfile des gants en nitrile. Bleu nuit. Sans un mot. Elle s’approche.

Elle palpe mes lèvres. Larges, souples. Les écarte doucement du bout des doigts.

— Bonne tonicité. Lubrification élevée. Vascularisation active. — Vous êtes excitée, Kristina ? — Oui… — Depuis quand ? — Depuis que vous m’avez appelée.

Elle me fixe.

— Bien. Continuez d’être honnête. Votre corps est votre vérité.

Elle introduit un spéculum en acier chirurgical, lubrifié. Froid. Je me cambre, gémis.

— Respirez. Ce n’est que le début.

Je serre les poignées. Mon clito frémit. J’ai envie de me toucher. Mais je suis tenue.

Les étudiants prennent note. L’un d’eux ajuste un capteur de contraction pelvienne, une sonde fine placée entre mes fesses.

Un autre approche un appareil.

— Protocole 12. Stimulation bi-zone. Interne et clitoridienne.

Il introduit la sonde 12 : silicone chirurgical, double moteur. Elle pulse doucement, un cœur électrique logé dans mon vagin.

Sur mon clitoris, un vibrateur ovale se met à frémir. 68 hertz. Rythme rapide, aigu.

Je ferme les yeux. Je tremble. Mes jambes secouées de spasmes.

— Mesurez les contractions. Notez l’évolution.

Le vibreur monte d’un cran.

Je gémis.

— Kristina, quand avez-vous eu votre dernier orgasme ?

— Ce matin…

— Extérieur ou pénétration ?

— Les deux.

— Avec qui ?

— Seule… en pensant à vous.

Silence. Les étudiants de regardent. Mais la tension dans la pièce se condense.

La Docteure ne sourit pas. Mais je vois ses narines s’ouvrir. Elle sent tout.

— Très bien. Continuez la stimulation.

Le garçon monte la puissance. La sonde me pénètre plus vite. Mon clito est en feu.

— Vous êtes proche ?

Je hoche la tête. Je suis au bord.

— Dites-le.

— Je vais jouir… putain…

Elle s’approche. Pose une main gantée sur ma gorge. Légère. Autoritaire.

— Pas encore.

Elle baisse l’intensité.

Je me cambre, frustrée. Je veux jouir. Je n’en peux plus.

Elle l’a dit comme un médecin annoncerait une injection. Neutre. Technique. Mais dans la pièce, l’air vibre d’un frisson collectif.

— Protocole 3. Stimulation mixte. Intégration corporelle du groupe.

Ils savent. Les étudiants. Ils ont été formés. Ils ont signé. Ils ont attendu ce moment

Le premier retire ses gants. Lentement. Il déboutonne sa blouse. La laisse tomber. Matthias, peut-être. Grand. Sec. Le torse nerveux, légèrement musclé, couvert d’un duvet blond. Des pectoraux tendus. Un ventre plat. Il baisse son pantalon. Ne porte pas de sous-vêtements. Sa queue jaillit, longue, pâle, déjà tendue. Elle se dresse, un peu voilée de pré-sperme. Il la touche une seconde, comme pour l’éveiller encore. Puis s’avance.

Les autres suivent.

Léa, la fille brune, se déshabille sans un mot. Elle a un corps de gymnaste, souple, tendu, avec de petits seins fermes, bruns. Elle porte une culotte noire, fine comme un fil, qu’elle fait glisser le long de ses cuisses. Elle est entièrement épilée, brillante d’humidité. Son regard est intense, fixe, presque animal.

Élodie, rousse aux taches de rousseur, plus grande, plus ronde. Un ventre doux, des hanches pleines, des seins lourds. Elle garde ses lunettes, maladroitement. Elle se dénude avec lenteur, comme si chaque bouton était une hésitation. Son soutien-gorge est blanc, presque sage. En dessous, une poitrine sublime, généreuse. Sa culotte est mouillée entre les jambes. Elle rougit un peu… mais ne se cache pas.

Le dernier, Samuel, le plus jeune, le plus mince. Corps fin, mais nerveux. Abdominaux discrets, veines visibles sur les avant-bras. Il porte un caleçon moulant gris clair, bombé d’une érection douloureuse. Il le retire. Son sexe est moins long que celui de Matthias, mais plus épais, gonflé, vibrant.

Je les regarde. Tous. Nus. Humains. Excités. Vivants. Leurs regards me traversent. Aucune gêne. Aucune distance.

Je ne suis plus une patiente. Je suis un corps vivant, en transe, en chaleur. Leurs yeux brillent d’un feu contenu.

La Docteure S. s’approche de moi. Elle me détache lentement. Je suis fébrile. Je tiens à peine debout.

Elle me soutient. M’aide à monter sur le fauteuil, maintenant incliné à plat. Je me positionne à quatre pattes, la tête basse, les fesses offertes. Ses mains glissent dans mon dos. Doucement. Puis elle parle, bas, près de mon oreille :

— Tu n’es plus une patiente. Tu es notre sujet. Tu vas jouir. Plusieurs fois. Et tout le monde va participer.

Elle recule. Se poste à distance. Bras croisés.

Matthias s’approche. Il touche mes hanches. Les serre. Son gland effleure mes lèvres. Je suis dégoulinante. Il entre en moi, lentement, profondément. Je gémis. Je m’ouvre. Je l’accueille. Ses coups sont lents, au début. Son bassin heurte mes fesses. Je le sens glisser profondément, frotter mes parois internes gonflées de désir.

Derrière lui, Samuel se branle, le regard fixe sur mon cul. Il est prêt. Il attend son tour. Devant moi, Léa monte sur le fauteuil. Elle s’agenouille, m’ouvre les cuisses sous le nez. Son sexe est trempé, gonflé, palpitant.

— Prends-moi, dit-elle. Sans attendre.

Je plonge. Ma langue la goûte, elle halète. Je lèche, j’aspire, je veux la dévorer. Sa main attrape mes cheveux. Elle se frotte à mon visage, en rythme. Ses gémissements résonnent dans la pièce.

Derrière moi, Élodie s’est glissée. Elle s’agenouille. Ses doigts caressent mes fesses, lentement. Puis un, puis deux pénètrent mon anus. Lubrifiés. Doux mais insistants.

Je suis pleine. Débordée. Vibrante. Ma chatte est bourrée de la queue de Matthias. Mon anus pincé par les doigts d’Élodie. Ma bouche noyée dans la chatte chaude de Léa.

Et au milieu de cette transe… je lève les yeux. La Docteure S. est là. Debout. Toujours habillée. Toujours droite. Mais ses joues sont légèrement colorées. Ses yeux plus brillants. Son souffle plus court. Ses mains croisées sur son ventre, gantées. Mais je vois son bras se tendre, se crisper parfois. Elle regarde. Chaque détail. Chaque frottement. Chaque va-et-vient.

Et je ressens. Encore. Plus fort. Je jouis une première fois. Une vague chaude. Je tremble. Matthias grogne, accélère. Il jouit en moi. Je sens ses giclées brûlantes me remplir. Il se retire. Samuel prend sa place. Plus brutal. Il me pénètre d’un coup. Je crie. Ma chatte ruisselle. Il me prend vite, fort, ses mains claquent sur mes fesses.

Léa s’est allongée. Sa tête renversée, sa main sur mes cheveux. Elle a joui. Une fois. Deux fois. Elle tremble. Élodie s’est faufilée sous moi. Ses lèvres trouvent mon clitoris. Elle le suce, lentement, pendant que Samuel me baise.

Ma tête explose. Je suis retournée. Mise sur le dos. Mes jambes maintenues ouvertes. Ma bouche accueille une nouvelle queue. Ma chatte, une autre. Mon anus aussi.

Je suis traversée. Connectée. Une fille joue avec mes tétons. L’autre m’embrasse. Leurs doigts m’explorent. Me percent.

Je suis un réacteur. Un noyau. Un volcan.

Je jouis. Encore. Et encore. Je crie. Je perds toute notion du temps. Un à un, ils jouissent. Dans ma bouche. Sur mon ventre. Dans mes fesses. Le foutre me couvre. Me noie.

Et alors… La Docteure s’approche. Toujours droite. Toujours vêtue. Elle s’agenouille. Tente les bras. Ses gants effleurent mon sexe brûlant. Un seul doigt. Puis deux. Son pouce sur mon clitoris. Un mouvement expert. Chirurgical. Elle me fixe. Son regard est dur, mais traversé d’un éclat que je n’ai jamais vu.

Un désir. Refoulé. Contrôlé. Mais violent. Son autre main… glisse lentement sous sa blouse. Elle ne se dénude pas. Mais je vois son bras bouger. Son souffle changer. Elle se touche. Elle se masturbe, debout, gantée. Les yeux plantés dans les miens. Ses doigts m’arrachent un dernier orgasme. Le plus fort. Le plus cruel.

Mon corps se cambre. Je hurle. Je convulse. Je jouis jusqu’à l’évanouissement.

Un bruit sourd. Comme un tambour au fond de l’eau.

Puis le silence.

Je rouvre les yeux lentement. Tout est flou. Lumière blanche. Formes tremblées. Je suis étendue sur le fauteuil. Mes jambes molles, écartées, retombées sur les côtés. Mes cheveux collent à mes tempes, mouillés de sueur. Mon torse se soulève à peine. J’ai le corps trempé, poisseux de salive, de sperme, de cyprine. Je sens le foutre tiède glisser entre mes fesses, le long de ma cuisse.

Quelqu’un me caresse les cheveux. Un geste lent, régulier. Apaisant.

C’est la Docteure S.

Toujours debout. Toujours habillée. Toujours impeccable.

Mais son regard a changé. Moins tranchant. Presque tendre. Comme si elle regardait une œuvre terminée, fragile, encore vibrante.

Elle parle bas :

— Respirez doucement. Revenez. Vous êtes ici. Avec moi.

Je hoche faiblement la tête. Ma gorge est sèche. Mon corps tremble encore par à-coups. Les spasmes s’atténuent, mais la chaleur est toujours là, sourde, profonde.

Elle se lève.

— Élodie. Préparez la toilette.

Je sens une main tiède, gantée, m’essuyer doucement le ventre, les seins, entre les cuisses. Lingettes humides. Mouvements délicats. Silencieux. Puis Léa approche avec une serviette tiède. Elle la pose sur mes jambes, les replie doucement, puis me couvre jusqu’au nombril. Je frissonne. Samuel m’apporte un verre d’eau. Je tremble en buvant. Je sens les regards sur moi. Plus tendres. Plus humains. Pas de jugement. Pas de gêne.

Juste… le calme après la tempête.

La Docteure tourne lentement autour du fauteuil. Elle m’observe encore. De haut en bas. Chaque muscle, chaque rougeur, chaque marque sur ma peau. Elle prend des notes sur son terminal.

— Rythme cardiaque stabilisé. Coloration normale. Température périphérique élevée. Conscience retrouvée.

Puis elle lève les yeux.

— Kristina. Tu as traversé quelque chose. Ton corps a réagi avec justesse. Aucune résistance. Aucune dissimulation. Tu as été entièrement présente. Intégralement offerte.

Je ne réponds pas. Je n’ai pas les mots. Mais mes yeux brillent.

Elle s’approche une dernière fois. Sa main gantée touche ma joue. L’effleure à peine.

— Tes réponses dépassent les attentes. Tu es un sujet d’étude rare… et précieux, reviens quand tu veux.

Elle se redresse. Son regard retrouve sa netteté tranchante.

— Fin de session. Vous pouvez l’aider à se relever.

Ils me soutiennent, doucement. Je suis debout. Nue, vacillante, mais vivante. Une blouse propre m’est tendue. Je l’enfile, lentement. Avant de sortir, je me retourne une dernière fois. La Docteure me fixe toujours. Mais cette fois, elle incline légèrement la tête. Un geste discret. Une reconnaissance.

Je baisse les yeux. Le cœur battant. Et je sors de la pièce.

Le monde réel me semble loin.

Mais je le sais : je reviendrai

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Merci Kristina pour cette histoire hyper excitante...

Cyrille



Texte coquin : DOCTEURE S.
Histoire sexe : Une rose rouge
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