VOL DE NUIT : FANTASMES EN ALTITUDE
Récit érotique écrit par Miss_Sexcret [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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VOL DE NUIT : FANTASMES EN ALTITUDE
Un homme d’affaires m’a confié son fantasme : les hôtesses coréennes, petites et timides, qu’il rêve en salopes secrètes sur un vol Paris-Séoul.
J’ai mis ses mots crus en histoire, sans filtre, pour qu’il sente l’uniforme tomber dans le noir.
Miss_Sexcret – oct. 2025
Vol de Nuit : Fantasmes en Altitude
Je m'appelle Marc, et à 45 ans, je suis cet homme d'affaires que l'on imagine toujours en costume impeccablement taillé, avec une mallette pleine de contrats et un agenda surchargé. Français d'origine, mais globe-trotter par nécessité, je passe ma vie entre Paris et Séoul, négociant des deals high-tech avec des partenaires coréens qui ne dorment jamais. Ces vols de nuit sur Korean Air, en business class, sont devenus ma routine – un cocon de luxe à 10 000 mètres d'altitude, où le monde en bas n'existe plus. Mais ce n'est pas le champagne ou les sièges-lits qui me font compter les heures avant l'embarquement. Non. Ce sont elles. Les hôtesses coréennes. Petites, menues, avec leurs uniformes bleu marine moulants qui soulignent des courbes discrètes, leurs cheveux noirs impeccablement coiffés en chignon, et ce sourire timide, presque effacé, qui cache – j'en suis sûr – un feu intérieur dévorant. Elles paraissent si innocentes, si obéissantes, avec leurs voix douces et leurs gestes précis. Mais dans mes fantasmes, elles sont des salopes absolues, prêtes à tout pour satisfaire un passager comme moi. Ce soir-là, sur le vol KE902 de Paris à Séoul, le fantasme a pris vie dans ma tête... et peut-être un peu plus.
C'était un vendredi soir d'octobre, l'aéroport Charles-de-Gaulle bruissait de voyageurs pressés. J'avais réservé ma place habituelle : 2A, près de la fenêtre, pour observer les lumières de l'Europe s'éloigner avant que l'obscurité ne nous enveloppe. Le vol durait douze heures, parfait pour décompresser – ou pour laisser mon esprit vagabonder. À l'embarquement, elles étaient là, alignées comme des poupées parfaites : trois hôtesses pour la business class. La première, Ji-eun, petite brune aux yeux en amande, m'a accueilli avec un inclinaison polie.
— Bonsoir, monsieur. Bienvenue à bord.
Sa voix était un murmure, timide, mais son regard a croisé le mien une seconde de trop. Elle mesurait à peine 1m60, menue, avec des seins discrets qui tendaient légèrement l'uniforme. Je l'ai imaginée tout de suite : à genoux sous la couverture, sa bouche chaude autour de ma queue, ses yeux levés vers moi en suppliante. Je me suis installé, le cœur déjà accéléré. Le décollage s'est fait en douceur, les lumières tamisées, et bientôt, le service a commencé. Une autre hôtesse, Min-ji, s'est approchée avec le menu – encore plus petite, avec une peau pâle comme de la porcelaine et un sourire qui rougissait facilement.
— Souhaitez-vous un apéritif, monsieur ?
— Un whisky, s'il vous plaît. Et... dites-moi, c'est votre premier vol avec moi ?
Elle a rougi, baissant les yeux.
— Non, monsieur. Je vous ai déjà servi. Vous voyagez souvent.
Sa timidité m'excitait. Dans ma tête, je l'imaginais se déshabiller lentement dans les toilettes, me rejoignant discrètement, ses mains tremblantes déboutonnant mon pantalon. Le dîner est arrivé : un plateau raffiné, mais je n'y prêtais guère attention. La troisième hôtesse, Soo-ah, plus audacieuse peut-être, avec des lèvres pulpeuses et un chignon qui laissait échapper une mèche rebelle, s'est penchée pour ajuster ma tablette.
— Tout va bien, monsieur ?
Son parfum subtil, floral, m'a enveloppé. Elle était menue elle aussi, avec des hanches étroites et des jambes fines gainées de bas noirs. Je l'ai frôlée accidentellement – ou pas – en prenant mon verre, et elle n'a pas reculé.
— Parfait. Vous êtes toutes si attentionnées ce soir.
Elle a souri, timide, mais avec une lueur dans les yeux. Ou était-ce mon imagination ? Après le repas, les lumières se sont éteintes pour la nuit. La business class était presque vide – seulement deux autres passagers, endormis au fond. J'ai incliné mon siège en lit, tiré la couverture, mais le sommeil ne venait pas. Mon esprit bouillonnait. Ji-eun est revenue, discrète, pour ramasser les plateaux.
— Besoin de quelque chose, monsieur ?
— Peut-être... un peu de compagnie ?
Les mots étaient sortis, osés. Elle a rougi violemment, mais n'a pas fui.
— Je... je ne peux pas, monsieur. Mais si vous avez soif...
Dans mon fantasme, elle s'asseyait à mes côtés, sa main glissant sous la couverture. "Chut, monsieur. Laissez-moi vous soulager." Sa petite main menue autour de ma queue durcissante, branlant lentement pendant que les moteurs ronronnaient. Mais en réalité, elle s'est éclipsée, me laissant avec une érection douloureuse. J'ai fermé les yeux, laissant le fantasme prendre le relais.
Dans ma tête, c'était Min-ji qui revenait la première. Elle se glissait dans l'allée sombre, son uniforme froissé par l'excitation. Elle tirait le rideau séparant la business de l'économie, s'assurant que personne ne voyait.
— Monsieur... j'ai vu comment vous me regardiez. Vous voulez que je sois votre petite salope coréenne ?
Sa voix timide, mais les mots crus. Je hochais la tête, et elle s'agenouillait entre mes jambes, relevant la couverture. Sa bouche, chaude et humide, engloutissait mon sexe d'un coup. Elle suçait avidement, sa langue tournoyant autour du gland, avalant profondément malgré sa petite taille. "Mmm, vous êtes si gros, monsieur. J'adore sucer les Français." Ses mains minuscules massaient mes couilles, et je gémissais doucement, ma main dans ses cheveux noirs, guidant le rythme. Elle accélérait, bavant sur ma queue, ses yeux timides levés vers moi en quête d'approbation. L'orgasme montait, mais je la retenais. "Pas encore, petite salope. Montre-moi plus."
Elle se relevait, déboutonnant son uniforme avec des doigts tremblants. Dessous, un soutien-gorge en dentelle noire, et pas de culotte – prête pour l'action. Son corps menu, parfait : seins petits mais fermes, tétons roses érigés, un pubis rasé luisant déjà. Elle grimpait sur moi, s'empalant sur ma queue en un mouvement fluide. "Ah ! Vous me remplissez tant..." Elle chevauchait lentement d'abord, ses hanches ondulant comme une danseuse, puis plus vite, ses gémissements étouffés contre mon épaule. Je la tenais par les fesses, petites et rondes, claquant contre mes cuisses. "Plus fort, monsieur. Baisez votre hôtesse coréenne." L'avion vibrait légèrement, amplifiant les sensations. Elle jouissait la première, ses muscles se contractant autour de moi, un cri muet contre ma chemise.
Mais le fantasme ne s'arrêtait pas là. Ji-eun revenait, attirée par les bruits. Timide, elle hésitait à l'entrée du siège.
— Min-ji ? Qu'est-ce que...
Min-ji souriait, encore empalée sur moi.
— Rejoins-nous, unni. Monsieur a besoin de nous deux.
Ji-eun rougissait, mais ses yeux brillaient d'envie. Elle s'approchait, et Min-ji l'embrassait, leurs langues se mêlant dans un baiser lesbien torride. Ji-eun se déshabillait à son tour : corps encore plus menu, peau laiteuse, seins minuscules avec des tétons sombres. Elles s'agenouillaient ensemble, léchant ma queue à deux langues – Min-ji sur le gland, Ji-eun sur la hampe, se croisant en baisers salés. "On est vos salopes, monsieur. Utilisez-nous." Je les dirigeais, poussant leurs têtes plus profond, leurs gorges se contractant en duo.
Puis Soo-ah apparaissait, la plus audacieuse des trois. Elle avait entendu, et son sourire n'était plus timide.
— Vous pensiez faire ça sans moi ?
Elle enlevait son uniforme en un clin d'œil, révélant un corps menu mais athlétique, avec un tatouage discret sur la hanche – un lotus, symbole de pureté corrompue. Elle poussait les autres, s'asseyant sur mon visage. "Léchez-moi, monsieur. Goûtez une vraie chatte coréenne." Son sexe était trempé, musqué, et je plongeais ma langue en elle, lapant son clitoris gonflé pendant que Min-ji et Ji-eun continuaient leur fellation synchronisée. Soo-ah gémissait sans retenue, ses hanches grindant contre ma bouche. "Oui, comme ça... Vous êtes bon pour un Français."
Le trio se déchaînait. Min-ji s'allongeait sur le siège-lit, et je la pénétrais à nouveau, doggy style, ses fesses menues claquant. Ji-eun s'asseyait sur son visage, se faisant lécher par sa collègue pendant que je baisais. Soo-ah, à genoux, suçait mes couilles, sa langue aventurière effleurant même mon anus. "On est des salopes pour vous, monsieur. Baisez-nous toute la nuit." Les sensations étaient intenses : la chaleur humide de Min-ji, les gémissements étouffés de Ji-eun, la langue experte de Soo-ah. Je changeais de position, prenant Ji-eun contre le hublot, ses seins écrasés contre la vitre froide, l'Europe défiler en bas. "Regardez dehors, petite timide. Tout le monde pourrait nous voir." Elle jouissait en tremblant, son corps menu convulsant.
Soo-ah voulait plus. Elle sortait un petit vibro de son sac – préparée, la garce – et le pressait contre son clitoris pendant que je la prenais analement. "Dans mon cul, monsieur. Les Coréennes adorent ça en secret." L'étroitesse était divine, serrée autour de ma queue, le vibro amplifiant ses cris. Min-ji et Ji-eun regardaient, se masturbant mutuellement, doigts dans les sexes l'un de l'autre. "Viens, unni, goûte son cul sur lui." Elles léchaient alternativement, nettoyant ma queue entre les coups de reins.
L'orgasme collectif approchait. Je les alignais à genoux, leurs visages timides levés, bouches ouvertes. Je me branlais furieusement, éjaculant sur leurs langues, leurs joues, leurs uniformes froissés. "Avalez, salopes." Elles obéissaient, se léchant mutuellement pour nettoyer, riant softly dans l'obscurité.
La réalité me rattrapait quand l'avion atterrissait à Incheon. Érection matinale sous la couverture, je souriais aux hôtesses qui me disaient au revoir, timides comme toujours. Mais dans mes yeux, elles savaient peut-être. Ou pas. Le fantasme recommencerait au prochain vol.
(Mais attendez, l'histoire continue – car ce vol-là fut différent. Pour de vrai ? Ou toujours dans ma tête ?)
Cette nuit-là, après le dîner, je n'arrivais pas à dormir. L'avion volait au-dessus de la Sibérie, l'obscurité totale dehors. Ji-eun est revenue, seule, avec une couverture supplémentaire.
— Vous avez froid, monsieur ?
— Pas vraiment. Mais restez un moment.
Elle a hésité, mais s'est assise sur le siège vide à côté. Son parfum, sa proximité... Mon fantasme prenait vie.
— Vous voyagez beaucoup. Ça doit être solitaire.
— Parfois. Et vous, Ji-eun ? Vous aimez votre job ?
Elle a rougi.
— Oui... servir les passagers comme vous.
Ses mots étaient ambigus. Ma main a effleuré la sienne, et elle n'a pas reculé. Encouragé, je l'ai attirée plus près.
— Et si on rendait ce vol mémorable ?
Elle a baissé les yeux, timide, mais sa main a glissé sous la couverture, trouvant mon sexe dur. "Chut, monsieur." Sa petite main menue branlait lentement, experte malgré sa timidité. Je gémissais softly, ma main remontant sous sa jupe – pas de culotte, humide. "Vous êtes une salope en secret, hein ?" Elle a hoché la tête, accélérant. Min-ji est apparue, surprise.
— Ji-eun ?
— Rejoins-nous.
Min-ji a souri, timide mais excitée. Elles se sont agenouillées ensemble, suçant à tour de rôle sous la couverture. Leurs bouches coréennes, chaudes, avides. Soo-ah a rejoint, fermant le rideau.
— Mon tour.
Le trio était réel. Elles se déshabillaient discrètement, corps menus nus dans la pénombre. Min-ji chevauchait, Ji-eun sur mon visage, Soo-ah massant. Orgasmes en chaîne, fluides, sueur, dans le silence du vol de nuit.
À l'arrivée, elles m'ont souri poliment. Secret partagé. Ou fantasme ? À vous de décider.
J’ai mis ses mots crus en histoire, sans filtre, pour qu’il sente l’uniforme tomber dans le noir.
Miss_Sexcret – oct. 2025
Vol de Nuit : Fantasmes en Altitude
Je m'appelle Marc, et à 45 ans, je suis cet homme d'affaires que l'on imagine toujours en costume impeccablement taillé, avec une mallette pleine de contrats et un agenda surchargé. Français d'origine, mais globe-trotter par nécessité, je passe ma vie entre Paris et Séoul, négociant des deals high-tech avec des partenaires coréens qui ne dorment jamais. Ces vols de nuit sur Korean Air, en business class, sont devenus ma routine – un cocon de luxe à 10 000 mètres d'altitude, où le monde en bas n'existe plus. Mais ce n'est pas le champagne ou les sièges-lits qui me font compter les heures avant l'embarquement. Non. Ce sont elles. Les hôtesses coréennes. Petites, menues, avec leurs uniformes bleu marine moulants qui soulignent des courbes discrètes, leurs cheveux noirs impeccablement coiffés en chignon, et ce sourire timide, presque effacé, qui cache – j'en suis sûr – un feu intérieur dévorant. Elles paraissent si innocentes, si obéissantes, avec leurs voix douces et leurs gestes précis. Mais dans mes fantasmes, elles sont des salopes absolues, prêtes à tout pour satisfaire un passager comme moi. Ce soir-là, sur le vol KE902 de Paris à Séoul, le fantasme a pris vie dans ma tête... et peut-être un peu plus.
C'était un vendredi soir d'octobre, l'aéroport Charles-de-Gaulle bruissait de voyageurs pressés. J'avais réservé ma place habituelle : 2A, près de la fenêtre, pour observer les lumières de l'Europe s'éloigner avant que l'obscurité ne nous enveloppe. Le vol durait douze heures, parfait pour décompresser – ou pour laisser mon esprit vagabonder. À l'embarquement, elles étaient là, alignées comme des poupées parfaites : trois hôtesses pour la business class. La première, Ji-eun, petite brune aux yeux en amande, m'a accueilli avec un inclinaison polie.
— Bonsoir, monsieur. Bienvenue à bord.
Sa voix était un murmure, timide, mais son regard a croisé le mien une seconde de trop. Elle mesurait à peine 1m60, menue, avec des seins discrets qui tendaient légèrement l'uniforme. Je l'ai imaginée tout de suite : à genoux sous la couverture, sa bouche chaude autour de ma queue, ses yeux levés vers moi en suppliante. Je me suis installé, le cœur déjà accéléré. Le décollage s'est fait en douceur, les lumières tamisées, et bientôt, le service a commencé. Une autre hôtesse, Min-ji, s'est approchée avec le menu – encore plus petite, avec une peau pâle comme de la porcelaine et un sourire qui rougissait facilement.
— Souhaitez-vous un apéritif, monsieur ?
— Un whisky, s'il vous plaît. Et... dites-moi, c'est votre premier vol avec moi ?
Elle a rougi, baissant les yeux.
— Non, monsieur. Je vous ai déjà servi. Vous voyagez souvent.
Sa timidité m'excitait. Dans ma tête, je l'imaginais se déshabiller lentement dans les toilettes, me rejoignant discrètement, ses mains tremblantes déboutonnant mon pantalon. Le dîner est arrivé : un plateau raffiné, mais je n'y prêtais guère attention. La troisième hôtesse, Soo-ah, plus audacieuse peut-être, avec des lèvres pulpeuses et un chignon qui laissait échapper une mèche rebelle, s'est penchée pour ajuster ma tablette.
— Tout va bien, monsieur ?
Son parfum subtil, floral, m'a enveloppé. Elle était menue elle aussi, avec des hanches étroites et des jambes fines gainées de bas noirs. Je l'ai frôlée accidentellement – ou pas – en prenant mon verre, et elle n'a pas reculé.
— Parfait. Vous êtes toutes si attentionnées ce soir.
Elle a souri, timide, mais avec une lueur dans les yeux. Ou était-ce mon imagination ? Après le repas, les lumières se sont éteintes pour la nuit. La business class était presque vide – seulement deux autres passagers, endormis au fond. J'ai incliné mon siège en lit, tiré la couverture, mais le sommeil ne venait pas. Mon esprit bouillonnait. Ji-eun est revenue, discrète, pour ramasser les plateaux.
— Besoin de quelque chose, monsieur ?
— Peut-être... un peu de compagnie ?
Les mots étaient sortis, osés. Elle a rougi violemment, mais n'a pas fui.
— Je... je ne peux pas, monsieur. Mais si vous avez soif...
Dans mon fantasme, elle s'asseyait à mes côtés, sa main glissant sous la couverture. "Chut, monsieur. Laissez-moi vous soulager." Sa petite main menue autour de ma queue durcissante, branlant lentement pendant que les moteurs ronronnaient. Mais en réalité, elle s'est éclipsée, me laissant avec une érection douloureuse. J'ai fermé les yeux, laissant le fantasme prendre le relais.
Dans ma tête, c'était Min-ji qui revenait la première. Elle se glissait dans l'allée sombre, son uniforme froissé par l'excitation. Elle tirait le rideau séparant la business de l'économie, s'assurant que personne ne voyait.
— Monsieur... j'ai vu comment vous me regardiez. Vous voulez que je sois votre petite salope coréenne ?
Sa voix timide, mais les mots crus. Je hochais la tête, et elle s'agenouillait entre mes jambes, relevant la couverture. Sa bouche, chaude et humide, engloutissait mon sexe d'un coup. Elle suçait avidement, sa langue tournoyant autour du gland, avalant profondément malgré sa petite taille. "Mmm, vous êtes si gros, monsieur. J'adore sucer les Français." Ses mains minuscules massaient mes couilles, et je gémissais doucement, ma main dans ses cheveux noirs, guidant le rythme. Elle accélérait, bavant sur ma queue, ses yeux timides levés vers moi en quête d'approbation. L'orgasme montait, mais je la retenais. "Pas encore, petite salope. Montre-moi plus."
Elle se relevait, déboutonnant son uniforme avec des doigts tremblants. Dessous, un soutien-gorge en dentelle noire, et pas de culotte – prête pour l'action. Son corps menu, parfait : seins petits mais fermes, tétons roses érigés, un pubis rasé luisant déjà. Elle grimpait sur moi, s'empalant sur ma queue en un mouvement fluide. "Ah ! Vous me remplissez tant..." Elle chevauchait lentement d'abord, ses hanches ondulant comme une danseuse, puis plus vite, ses gémissements étouffés contre mon épaule. Je la tenais par les fesses, petites et rondes, claquant contre mes cuisses. "Plus fort, monsieur. Baisez votre hôtesse coréenne." L'avion vibrait légèrement, amplifiant les sensations. Elle jouissait la première, ses muscles se contractant autour de moi, un cri muet contre ma chemise.
Mais le fantasme ne s'arrêtait pas là. Ji-eun revenait, attirée par les bruits. Timide, elle hésitait à l'entrée du siège.
— Min-ji ? Qu'est-ce que...
Min-ji souriait, encore empalée sur moi.
— Rejoins-nous, unni. Monsieur a besoin de nous deux.
Ji-eun rougissait, mais ses yeux brillaient d'envie. Elle s'approchait, et Min-ji l'embrassait, leurs langues se mêlant dans un baiser lesbien torride. Ji-eun se déshabillait à son tour : corps encore plus menu, peau laiteuse, seins minuscules avec des tétons sombres. Elles s'agenouillaient ensemble, léchant ma queue à deux langues – Min-ji sur le gland, Ji-eun sur la hampe, se croisant en baisers salés. "On est vos salopes, monsieur. Utilisez-nous." Je les dirigeais, poussant leurs têtes plus profond, leurs gorges se contractant en duo.
Puis Soo-ah apparaissait, la plus audacieuse des trois. Elle avait entendu, et son sourire n'était plus timide.
— Vous pensiez faire ça sans moi ?
Elle enlevait son uniforme en un clin d'œil, révélant un corps menu mais athlétique, avec un tatouage discret sur la hanche – un lotus, symbole de pureté corrompue. Elle poussait les autres, s'asseyant sur mon visage. "Léchez-moi, monsieur. Goûtez une vraie chatte coréenne." Son sexe était trempé, musqué, et je plongeais ma langue en elle, lapant son clitoris gonflé pendant que Min-ji et Ji-eun continuaient leur fellation synchronisée. Soo-ah gémissait sans retenue, ses hanches grindant contre ma bouche. "Oui, comme ça... Vous êtes bon pour un Français."
Le trio se déchaînait. Min-ji s'allongeait sur le siège-lit, et je la pénétrais à nouveau, doggy style, ses fesses menues claquant. Ji-eun s'asseyait sur son visage, se faisant lécher par sa collègue pendant que je baisais. Soo-ah, à genoux, suçait mes couilles, sa langue aventurière effleurant même mon anus. "On est des salopes pour vous, monsieur. Baisez-nous toute la nuit." Les sensations étaient intenses : la chaleur humide de Min-ji, les gémissements étouffés de Ji-eun, la langue experte de Soo-ah. Je changeais de position, prenant Ji-eun contre le hublot, ses seins écrasés contre la vitre froide, l'Europe défiler en bas. "Regardez dehors, petite timide. Tout le monde pourrait nous voir." Elle jouissait en tremblant, son corps menu convulsant.
Soo-ah voulait plus. Elle sortait un petit vibro de son sac – préparée, la garce – et le pressait contre son clitoris pendant que je la prenais analement. "Dans mon cul, monsieur. Les Coréennes adorent ça en secret." L'étroitesse était divine, serrée autour de ma queue, le vibro amplifiant ses cris. Min-ji et Ji-eun regardaient, se masturbant mutuellement, doigts dans les sexes l'un de l'autre. "Viens, unni, goûte son cul sur lui." Elles léchaient alternativement, nettoyant ma queue entre les coups de reins.
L'orgasme collectif approchait. Je les alignais à genoux, leurs visages timides levés, bouches ouvertes. Je me branlais furieusement, éjaculant sur leurs langues, leurs joues, leurs uniformes froissés. "Avalez, salopes." Elles obéissaient, se léchant mutuellement pour nettoyer, riant softly dans l'obscurité.
La réalité me rattrapait quand l'avion atterrissait à Incheon. Érection matinale sous la couverture, je souriais aux hôtesses qui me disaient au revoir, timides comme toujours. Mais dans mes yeux, elles savaient peut-être. Ou pas. Le fantasme recommencerait au prochain vol.
(Mais attendez, l'histoire continue – car ce vol-là fut différent. Pour de vrai ? Ou toujours dans ma tête ?)
Cette nuit-là, après le dîner, je n'arrivais pas à dormir. L'avion volait au-dessus de la Sibérie, l'obscurité totale dehors. Ji-eun est revenue, seule, avec une couverture supplémentaire.
— Vous avez froid, monsieur ?
— Pas vraiment. Mais restez un moment.
Elle a hésité, mais s'est assise sur le siège vide à côté. Son parfum, sa proximité... Mon fantasme prenait vie.
— Vous voyagez beaucoup. Ça doit être solitaire.
— Parfois. Et vous, Ji-eun ? Vous aimez votre job ?
Elle a rougi.
— Oui... servir les passagers comme vous.
Ses mots étaient ambigus. Ma main a effleuré la sienne, et elle n'a pas reculé. Encouragé, je l'ai attirée plus près.
— Et si on rendait ce vol mémorable ?
Elle a baissé les yeux, timide, mais sa main a glissé sous la couverture, trouvant mon sexe dur. "Chut, monsieur." Sa petite main menue branlait lentement, experte malgré sa timidité. Je gémissais softly, ma main remontant sous sa jupe – pas de culotte, humide. "Vous êtes une salope en secret, hein ?" Elle a hoché la tête, accélérant. Min-ji est apparue, surprise.
— Ji-eun ?
— Rejoins-nous.
Min-ji a souri, timide mais excitée. Elles se sont agenouillées ensemble, suçant à tour de rôle sous la couverture. Leurs bouches coréennes, chaudes, avides. Soo-ah a rejoint, fermant le rideau.
— Mon tour.
Le trio était réel. Elles se déshabillaient discrètement, corps menus nus dans la pénombre. Min-ji chevauchait, Ji-eun sur mon visage, Soo-ah massant. Orgasmes en chaîne, fluides, sueur, dans le silence du vol de nuit.
À l'arrivée, elles m'ont souri poliment. Secret partagé. Ou fantasme ? À vous de décider.
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