LE SUPERMARCHE DES TROUS
Récit érotique écrit par Miss_Sexcret [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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LE SUPERMARCHE DES TROUS
La Métamorphose du Maître (suite)
Le Supermarché des trous
Le samedi matin, la Normandie se réveille sous un ciel gris perle, sans pluie, juste une humidité qui colle à la peau comme une promesse. Les gosses sont chez les grands-parents ; j’ai tout orchestré. La veille, pendant qu’Eva me suçait à genoux dans la cuisine, encore en robe de chambre, je lui ai glissé à l’oreille :
— Demain, on va faire les courses. Mais tu seras mon animal en public. Très risqué. Et tu vas obéir, ou je te punis devant tout le monde.
*Putain, rien que d’y penser, ma bite durcit comme du béton. Elle va ramper dans sa tête pendant que tout le monde la regarde comme une prof respectable. Et moi, je vais la faire craquer en silence, la faire supplier dans sa tête, la faire gicler devant des inconnus sans qu’ils sachent. Elle est à moi. Corps, âme, trou.*
Elle a gémi autour de ma bite, les yeux brillants de peur et de désir.
— Oui, Maître…
*Elle tremble déjà. Elle sait que je vais la pousser au bord du gouffre. Et elle adore ça. Elle veut que je la brise en public. Elle veut que je la transforme en pute publique.*
Je l’ai tirée du lit à 6 h 30, sans câlin.
— À quatre pattes, salope. On prépare ton trou.
Sur le carrelage froid de la salle de bain, elle s’est mise en position, cul en l’air, visage contre le sol. J’ai sorti le plug en acier inoxydable le plus lourd que j’avais – 5 cm à la base, froid comme la mort. À peine lubrifié.
— Pousse.
Elle a gémi, le sphincter s’est ouvert avec un bruit humide, la douleur l’a fait trembler, mais elle a obéi. Le plug est entré d’un coup, la base en T bien calée entre ses fesses encore rougies de la veille.
*Regarde-la. Prof de sciences, mère de famille, et là, son cul est rempli d’un bout de métal froid. Elle est à moi. Complètement. Je pourrais la faire ramper dans la rue comme ça. Et elle le ferait. Parce qu’elle est ma chienne.*
Puis le vibromasseur télécommandé, celui avec la queue de lapin pour le clito, enfoncé jusqu’à la garde dans sa chatte déjà trempée. Enfin, le collier fin, noir, avec la petite boucle en argent. Discret, mais pour moi, c’était une laisse invisible.
Sous ses vêtements : une jupe plissée courte, gris clair, qui s’arrête à mi-cuisse ; un chemisier blanc, deux boutons ouverts, pas de soutif ; des baskets blanches. Pas de culotte. Rien.
— Si tu laisses tomber quelque chose, tu te penches. Si tu mouilles trop, tu essuies pas. Tu laisses couler. Compris ?
— Oui, Maître…
*Elle sait que si elle désobéit, je la punirai devant tout le monde. Et elle mouille déjà à cette idée. Elle veut que je la fasse jouir en public. Elle veut que je la fasse supplier dans sa tête.*
Dans la voiture, je conduis. Elle est à côté, jambes serrées, le plug qui la remplit à chaque cahot. Je sors la télécommande.
— Niveau 1.
Elle sursaute.
— Maître…
— Tais-toi.
Niveau 3. Elle se mord la lèvre. Niveau 5. Elle gémit, se tortille.
— Si tu jouis ici, tu lèches le siège devant le parking.
*Je la regarde du coin de l’œil. Ses cuisses tremblent. Elle est au bord. Et on n’est même pas encore arrivés. Si elle craque, je la ferai ramper sur le parking comme une chienne. Je la ferai lécher son propre jus devant les familles. Et elle le fera. Parce qu’elle est à moi.*
Elle serre les dents. Je coupe. Elle respire fort.
— Bonne chienne.
*Elle a tenu. Pour l’instant. Mais je vais la briser.*
Le Leclerc de Courseulles-sur-Mer est bondé. Parking saturé, familles, vieux, ados. Odeur de pain chaud, de gasoil, de mer. Je lui tends un panier.
— Tu portes. Et tu marches lentement. Je veux voir le plug bouger sous ta jupe.
Elle rougit, obéit.
*Chaque pas, elle sent le plug la remplir. Elle sait que je la regarde. Et que si elle trébuche, tout le monde verra. Elle sait que je pourrais la faire se pencher et montrer son cul dilaté à tout le monde. Et elle mouille à cette idée.*
Au rayon fruits et légumes, je prends des bananes. Elle est à côté, dos aux cagettes. Je glisse la main sous sa jupe, effleure la base du plug. Elle tressaille.
— Écarte un peu.
Elle obéit. Je pousse le plug plus profond. Elle étouffe un gémissement. Un vieux monsieur passe ; elle baisse les yeux. Je sors la télécommande.
— Niveau 2.
Elle se fige, les jambes tremblantes.
— Choisis des concombres, salope. Les plus gros.
Elle en prend un, énorme, phallique.
— Imagine-le dans ton cul à la place du plug.
*Elle rougit jusqu’aux oreilles. Elle sait que je pourrais le faire. Ici. Maintenant. Je pourrais la faire se pencher et enfoncer ce concombre dans son cul devant tout le monde. Et elle le ferait. Parce qu’elle est ma pute.*
À la boucherie, je lui fais tenir le panier. Je passe derrière elle, colle mon bassin contre son cul. Le plug s’enfonce un peu plus.
— Sens ma bite contre ton trou. Tu mouilles ?
Elle hoche la tête. Je glisse un doigt sous sa jupe, effleure sa chatte. Trempée.
— T’es une pute en public.
*Un employé passe. Elle se raidit. Elle sait qu’on pourrait être vus. Et elle adore ça. Elle veut que je la baise ici, maintenant, devant tout le monde.*
Je monte le vibro à 4. Elle ferme les yeux, mord sa lèvre jusqu’au sang. Je coupe.
Au rayon hygiène, je lui tends un paquet de serviettes hygiéniques.
— Tu vas en avoir besoin.
Elle comprend. Je la fais se pencher pour un paquet en bas. Sa jupe remonte. Le bas du plug est visible une seconde. Une femme d’une cinquantaine d’années fronce les sourcils. Eva se redresse, rouge comme une tomate. Je souris.
*Elle sait qu’on l’a vue. Et elle est encore plus mouillée. Elle veut que je la punisse. Elle veut que je la fasse jouir devant cette femme.*
Dans les toilettes handicapés du fond, porte fermée à clé.
— À genoux.
Elle obéit. Je sors ma bite, déjà dure.
— Suce. Vite.
Elle avale, bruyamment, la gorge profonde. Je la tiens par les cheveux, baise sa bouche comme un trou. Trente secondes. Je jouis dans sa gorge.
— Avale. Pas une goutte sur toi.
Elle obéit. Je remonte ma braguette.
— Retour aux courses.
*Elle a mon sperme dans la gorge. Et elle va continuer à faire les courses comme si de rien n’était. Elle sait que je pourrais la faire sucer un inconnu. Et elle le ferait.*
Au rayon frais, je la fais se pencher pour des yaourts en bas. Sa jupe remonte encore. Une ado de 16 ans voit le plug. Elle écarquille les yeux, murmure à sa mère. Eva tremble. Je monte le vibro à 6. Elle se redresse d’un bond, gémit. Un homme la regarde, intrigué. Elle marche, les jambes serrées, le vibro qui pulse. Je coupe.
*Elle sait qu’on l’a vue. Et elle est au bord de l’orgasme. Elle veut que je la fasse jouir devant cette ado. Elle veut que je la transforme en pute publique.*
À la caisse, file d’attente. Je suis derrière elle. Je glisse la main sous sa jupe, pousse le plug. Elle se cambre légèrement. Je monte le vibro à 7. Elle ferme les yeux, respire fort. La caissière scanne. Eva pose les articles, mains tremblantes. Je monte à 8. Elle gémit. Un son étouffé. La caissière lève les yeux.
— Ça va, madame ?
— Oui… juste… un vertige.
Je coupe.
*Elle a failli craquer. Devant tout le monde. Et elle sait que je pourrais la faire jouir ici, maintenant. Elle veut que je le fasse. Elle veut que je la brise.*
Sur le parking, dans la voiture. Je démarre. Je monte le vibro à 10. Elle hurle.
— Jouis, salope. Maintenant.
Elle convulse, squirte dans la jupe, sur le siège. Je la laisse reprendre son souffle.
— T’as joui en public. T’es une pute.
*Elle pleure de plaisir. Elle sait qu’elle est à moi. Complètement. Et je vais la briser encore plus.*
À la maison, je la fais ramper de la voiture à la porte. Dans l’entrée, je retire le plug. Son cul est dilaté, rouge. Je la baise direct, contre le mur, dans le cul, sans lubrifiant supplémentaire. Elle hurle. Je jouis dedans. Puis je la fais lécher le sol, là où elle a goutté.
Sous la douche chaude, je la lave. Je masse ses marques. Je la tiens.
— T’as été parfaite, ma chienne.
Elle pleure dans mes bras.
— Merci, Maître… J’ai jamais été aussi vivante.
*Elle est à moi. Et je la transformerai encore. Plus loin. Plus sale. Parce qu’elle le veut. Et que je le veux. Parce qu’elle est ma pute. Ma chienne. Mon trou.*
Et c’est comme ça qu’on fait les courses, maintenant. Chaque samedi. Toujours plus risqué. Toujours plus sale. Parce qu’elle est à moi. Et que le monde entier peut regarder.
Le Supermarché des trous
Le samedi matin, la Normandie se réveille sous un ciel gris perle, sans pluie, juste une humidité qui colle à la peau comme une promesse. Les gosses sont chez les grands-parents ; j’ai tout orchestré. La veille, pendant qu’Eva me suçait à genoux dans la cuisine, encore en robe de chambre, je lui ai glissé à l’oreille :
— Demain, on va faire les courses. Mais tu seras mon animal en public. Très risqué. Et tu vas obéir, ou je te punis devant tout le monde.
*Putain, rien que d’y penser, ma bite durcit comme du béton. Elle va ramper dans sa tête pendant que tout le monde la regarde comme une prof respectable. Et moi, je vais la faire craquer en silence, la faire supplier dans sa tête, la faire gicler devant des inconnus sans qu’ils sachent. Elle est à moi. Corps, âme, trou.*
Elle a gémi autour de ma bite, les yeux brillants de peur et de désir.
— Oui, Maître…
*Elle tremble déjà. Elle sait que je vais la pousser au bord du gouffre. Et elle adore ça. Elle veut que je la brise en public. Elle veut que je la transforme en pute publique.*
Je l’ai tirée du lit à 6 h 30, sans câlin.
— À quatre pattes, salope. On prépare ton trou.
Sur le carrelage froid de la salle de bain, elle s’est mise en position, cul en l’air, visage contre le sol. J’ai sorti le plug en acier inoxydable le plus lourd que j’avais – 5 cm à la base, froid comme la mort. À peine lubrifié.
— Pousse.
Elle a gémi, le sphincter s’est ouvert avec un bruit humide, la douleur l’a fait trembler, mais elle a obéi. Le plug est entré d’un coup, la base en T bien calée entre ses fesses encore rougies de la veille.
*Regarde-la. Prof de sciences, mère de famille, et là, son cul est rempli d’un bout de métal froid. Elle est à moi. Complètement. Je pourrais la faire ramper dans la rue comme ça. Et elle le ferait. Parce qu’elle est ma chienne.*
Puis le vibromasseur télécommandé, celui avec la queue de lapin pour le clito, enfoncé jusqu’à la garde dans sa chatte déjà trempée. Enfin, le collier fin, noir, avec la petite boucle en argent. Discret, mais pour moi, c’était une laisse invisible.
Sous ses vêtements : une jupe plissée courte, gris clair, qui s’arrête à mi-cuisse ; un chemisier blanc, deux boutons ouverts, pas de soutif ; des baskets blanches. Pas de culotte. Rien.
— Si tu laisses tomber quelque chose, tu te penches. Si tu mouilles trop, tu essuies pas. Tu laisses couler. Compris ?
— Oui, Maître…
*Elle sait que si elle désobéit, je la punirai devant tout le monde. Et elle mouille déjà à cette idée. Elle veut que je la fasse jouir en public. Elle veut que je la fasse supplier dans sa tête.*
Dans la voiture, je conduis. Elle est à côté, jambes serrées, le plug qui la remplit à chaque cahot. Je sors la télécommande.
— Niveau 1.
Elle sursaute.
— Maître…
— Tais-toi.
Niveau 3. Elle se mord la lèvre. Niveau 5. Elle gémit, se tortille.
— Si tu jouis ici, tu lèches le siège devant le parking.
*Je la regarde du coin de l’œil. Ses cuisses tremblent. Elle est au bord. Et on n’est même pas encore arrivés. Si elle craque, je la ferai ramper sur le parking comme une chienne. Je la ferai lécher son propre jus devant les familles. Et elle le fera. Parce qu’elle est à moi.*
Elle serre les dents. Je coupe. Elle respire fort.
— Bonne chienne.
*Elle a tenu. Pour l’instant. Mais je vais la briser.*
Le Leclerc de Courseulles-sur-Mer est bondé. Parking saturé, familles, vieux, ados. Odeur de pain chaud, de gasoil, de mer. Je lui tends un panier.
— Tu portes. Et tu marches lentement. Je veux voir le plug bouger sous ta jupe.
Elle rougit, obéit.
*Chaque pas, elle sent le plug la remplir. Elle sait que je la regarde. Et que si elle trébuche, tout le monde verra. Elle sait que je pourrais la faire se pencher et montrer son cul dilaté à tout le monde. Et elle mouille à cette idée.*
Au rayon fruits et légumes, je prends des bananes. Elle est à côté, dos aux cagettes. Je glisse la main sous sa jupe, effleure la base du plug. Elle tressaille.
— Écarte un peu.
Elle obéit. Je pousse le plug plus profond. Elle étouffe un gémissement. Un vieux monsieur passe ; elle baisse les yeux. Je sors la télécommande.
— Niveau 2.
Elle se fige, les jambes tremblantes.
— Choisis des concombres, salope. Les plus gros.
Elle en prend un, énorme, phallique.
— Imagine-le dans ton cul à la place du plug.
*Elle rougit jusqu’aux oreilles. Elle sait que je pourrais le faire. Ici. Maintenant. Je pourrais la faire se pencher et enfoncer ce concombre dans son cul devant tout le monde. Et elle le ferait. Parce qu’elle est ma pute.*
À la boucherie, je lui fais tenir le panier. Je passe derrière elle, colle mon bassin contre son cul. Le plug s’enfonce un peu plus.
— Sens ma bite contre ton trou. Tu mouilles ?
Elle hoche la tête. Je glisse un doigt sous sa jupe, effleure sa chatte. Trempée.
— T’es une pute en public.
*Un employé passe. Elle se raidit. Elle sait qu’on pourrait être vus. Et elle adore ça. Elle veut que je la baise ici, maintenant, devant tout le monde.*
Je monte le vibro à 4. Elle ferme les yeux, mord sa lèvre jusqu’au sang. Je coupe.
Au rayon hygiène, je lui tends un paquet de serviettes hygiéniques.
— Tu vas en avoir besoin.
Elle comprend. Je la fais se pencher pour un paquet en bas. Sa jupe remonte. Le bas du plug est visible une seconde. Une femme d’une cinquantaine d’années fronce les sourcils. Eva se redresse, rouge comme une tomate. Je souris.
*Elle sait qu’on l’a vue. Et elle est encore plus mouillée. Elle veut que je la punisse. Elle veut que je la fasse jouir devant cette femme.*
Dans les toilettes handicapés du fond, porte fermée à clé.
— À genoux.
Elle obéit. Je sors ma bite, déjà dure.
— Suce. Vite.
Elle avale, bruyamment, la gorge profonde. Je la tiens par les cheveux, baise sa bouche comme un trou. Trente secondes. Je jouis dans sa gorge.
— Avale. Pas une goutte sur toi.
Elle obéit. Je remonte ma braguette.
— Retour aux courses.
*Elle a mon sperme dans la gorge. Et elle va continuer à faire les courses comme si de rien n’était. Elle sait que je pourrais la faire sucer un inconnu. Et elle le ferait.*
Au rayon frais, je la fais se pencher pour des yaourts en bas. Sa jupe remonte encore. Une ado de 16 ans voit le plug. Elle écarquille les yeux, murmure à sa mère. Eva tremble. Je monte le vibro à 6. Elle se redresse d’un bond, gémit. Un homme la regarde, intrigué. Elle marche, les jambes serrées, le vibro qui pulse. Je coupe.
*Elle sait qu’on l’a vue. Et elle est au bord de l’orgasme. Elle veut que je la fasse jouir devant cette ado. Elle veut que je la transforme en pute publique.*
À la caisse, file d’attente. Je suis derrière elle. Je glisse la main sous sa jupe, pousse le plug. Elle se cambre légèrement. Je monte le vibro à 7. Elle ferme les yeux, respire fort. La caissière scanne. Eva pose les articles, mains tremblantes. Je monte à 8. Elle gémit. Un son étouffé. La caissière lève les yeux.
— Ça va, madame ?
— Oui… juste… un vertige.
Je coupe.
*Elle a failli craquer. Devant tout le monde. Et elle sait que je pourrais la faire jouir ici, maintenant. Elle veut que je le fasse. Elle veut que je la brise.*
Sur le parking, dans la voiture. Je démarre. Je monte le vibro à 10. Elle hurle.
— Jouis, salope. Maintenant.
Elle convulse, squirte dans la jupe, sur le siège. Je la laisse reprendre son souffle.
— T’as joui en public. T’es une pute.
*Elle pleure de plaisir. Elle sait qu’elle est à moi. Complètement. Et je vais la briser encore plus.*
À la maison, je la fais ramper de la voiture à la porte. Dans l’entrée, je retire le plug. Son cul est dilaté, rouge. Je la baise direct, contre le mur, dans le cul, sans lubrifiant supplémentaire. Elle hurle. Je jouis dedans. Puis je la fais lécher le sol, là où elle a goutté.
Sous la douche chaude, je la lave. Je masse ses marques. Je la tiens.
— T’as été parfaite, ma chienne.
Elle pleure dans mes bras.
— Merci, Maître… J’ai jamais été aussi vivante.
*Elle est à moi. Et je la transformerai encore. Plus loin. Plus sale. Parce qu’elle le veut. Et que je le veux. Parce qu’elle est ma pute. Ma chienne. Mon trou.*
Et c’est comme ça qu’on fait les courses, maintenant. Chaque samedi. Toujours plus risqué. Toujours plus sale. Parce qu’elle est à moi. Et que le monde entier peut regarder.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'appréciais jusqu'alors bien les histoires de Miss_Sexcret.
Mais celle-ci et sa précédente sont d'une violence sexuelle lamentablement honteuse.
Qui apprécie ces histoires ? Des vieux libidineux impuissants et pervers.
Et toujours le même vocabulaire :
Pute, mais elle ne se fait pas payer.
Salope, femme méprisable, pourquoi son mari reste avec elle ?
Et bien sûr chienne, mais je crois qu'elle n'aboie pas.
Mais celle-ci et sa précédente sont d'une violence sexuelle lamentablement honteuse.
Qui apprécie ces histoires ? Des vieux libidineux impuissants et pervers.
Et toujours le même vocabulaire :
Pute, mais elle ne se fait pas payer.
Salope, femme méprisable, pourquoi son mari reste avec elle ?
Et bien sûr chienne, mais je crois qu'elle n'aboie pas.
