LA METAMORPHOSE DU MAITRE
Récit érotique écrit par Miss_Sexcret [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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LA METAMORPHOSE DU MAITRE
Vous avez pu lire le fantasme de soumission secrète d'Eva. Voici ce qu'elle m'a demandé d'écrire pour son mari.
La Métamorphose du Maître ou comment transformer un informaticien en dominateur
Je m'appelle Paul, j'ai 39 ans, et depuis 17 ans, je suis marié à Eva. On vit en Normandie, dans une petite maison cosy perchée sur une falaise près de la côte, avec une vue imprenable sur la mer agitée quand le brouillard matinal se dissipe enfin. Le vent salé fouette les fenêtres presque tous les jours, et l'air iodé imprègne tout, des rideaux aux draps de notre lit. Je suis informaticien, un de ces geeks qui passent leurs journées rivés à des écrans multiples, à taper du code pour des systèmes complexes que personne ne comprend vraiment, sauf moi et mes collègues virtuels en réunion Zoom. Souvent en télétravail, je suis physiquement présent à la maison mais mentalement ailleurs : pantalon de jogging usé, une tasse de café qui refroidit à côté de mon clavier, des lignes de code qui défilent comme une matrice infinie. Eva, ma femme de 38 ans, est prof de sciences dans un collège local. Elle est le genre de femme qui fait tourner les têtes sans même s'en rendre compte : brune avec des cheveux longs bouclés qui descendent en cascadesur ses épaules et qu'elle attache en une queue de cheval stricte pour ses cours, un corps tonique forgé par des sessions de yoga matinales et des randonnées le long des falaises, des seins ronds et fermes qui tendent le tissu de ses chemisiers blancs impeccables, une taille fine qui contraste avec des hanches larges et ondulantes quand elle marche d'un pas assuré. Ses yeux noisettes pétillent d'intelligence quand elle explique la photosynthèse à ses élèves, et son sourire, large et sincère, illumine n'importe quelle pièce. On a deux gosses formidables. Notre vie roule sur des rails bien huilés : dîners familiaux avec des rires autour de la table, week-ends à la plage quand le temps le permet, et des soirées canapé avec un film Netflix. On est heureux, ou du moins, c'est ce que je me disais pour me rassurer, jusqu'à ce que tout bascule il y a quelques semaines.
Ça n'est pas arrivé d'un coup, comme une tempête normande qui s'abat sans prévenir. Non, c'était plus insidieux, comme une marée montante qui érode la falaise petit à petit. Eva avait changé. Au lit, elle était distante. Après nos ébats habituels – tendres, prévisibles, avec des caresses douces et une pénétration rythmée mais sans feu d'artifice –, elle se tournait de l'autre côté, soupirant profondément, les yeux fixés sur le plafond craquelé de notre chambre. Un soir, après un dîner banal – des steaks hachés grillés avec des frites maison, les kids racontant leurs anecdotes d'école avec enthousiasme –, on s'est retrouvés seuls une fois qu'ils étaient couchés. J'ai allumé la TV pour un épisode de notre série préférée, mais Eva a pris la télécommande et l'a éteinte d'un geste sec. "Paul, on doit parler. Sérieusement." Mon cœur a raté un battement. Ces mots-là, dans la bouche d'une femme, annoncent rarement quelque chose de bon. "Qu'est-ce qu'il y a, chérie ? C'est les gosses ? Le boulot ?" Elle s'est assise en tailleur sur le lit, ses jambes nues sous sa nuisette en coton, et m'a regardé droit dans les yeux. "Non, c'est nous. Enfin, notre vie sexuelle. Je m'ennuie, Paul. Terriblement. T'es gentil, t'es doux, attentif – et j'adore ça au quotidien. Mais au lit, j'ai besoin de plus. De quelque chose qui claque, qui me secoue, qui me fait sentir vivante et désirée comme une bête en chaleur." Ses mots m'ont frappé comme une vague froide. Elle a continué, sa voix tremblante mais déterminée : "J'ai un appétit sexuel bien plus grand que le tien. J'aime quand ça va fort, quand tu me prends la bouche sauvagement, enfonçant ta bite jusqu'à ce que je manque d'air, quand tu me pinces les seins si durement que les tétons deviennent violets et douloureux pendant des jours. Je veux être fessée, humiliée, traitée comme une salope qui ne mérite que d'être utilisée. Je suis une soumise, Paul. J'ai besoin d'un maître qui me domine, qui me contrôle, qui me transforme en animal obéissant. Si tu ne fais pas d'efforts pour changer, pour devenir ça... je ne sais pas si je pourrai continuer. Je t'aime, mais je vais finir par craquer et chercher ailleurs." Putain, ces paroles m'ont transpercé le cœur comme un couteau rouillé. L'idée d'Eva dans les bras d'un autre, se soumettant à un inconnu qui la baiserait comme une pute... Ça m'a rendu malade, mais aussi, bizarrement, excité. Perdre Eva ? Impossible. Elle est mon ancre, ma muse, la mère de mes enfants. "Je vais changer, je te promets. Pour toi, je ferai tout."
Dès le lendemain, j'ai commencé ma transformation. Pendant ma pause déjeuner en télétravail, alors que les gosses étaient à l'école et Eva en train d'enseigner la biologie à des ados boutonneux, j'ai ouvert mon navigateur en mode incognito. Recherches frénétiques : "Comment devenir un dominant BDSM", "Guides pour maris souples qui veulent dominer leur femme", "Histoires érotiques de soumission conjugale". J'ai dévoré des articles sur des sites spécialisés, regardé des vidéos porno où des femmes étaient attachées à des croix de Saint-André, fouettées avec des cravaches en cuir jusqu'à ce que leur peau rougisse et marque, forcées à supplier pour une bite dans leur chatte dégoulinante ou leur cul serré. Au début, ça me choquait profondément : la douleur infligée, l'humiliation verbale – "T'es une chienne inutile, ouvre ton trou !" –, les ordres aboyés comme à un animal. Mais plus je regardais, plus mon corps réagissait. Ma bite se durcissait dans mon jogging, gonflant à l'idée d'Eva à genoux devant moi, la bouche grande ouverte, attendant que je lui crache dedans ou que je lui enfonce ma queue jusqu'aux amygdales. J'imaginais ses seins rebondis couverts de marques de pinces, son cul rouge vif après une fessée impitoyable, sa chatte ruisselante de jus pendant que je la edging sans pitié. J'ai appris les bases : les safe words obligatoires – "rouge" pour arrêter tout net, "jaune" pour ralentir ou ajuster –, l'importance de l'aftercare pour réconforter après une session intense, les jouets essentiels pour débutants. J'ai commandé en ligne, sur un site discret avec emballage neutre : un set de cordes en velours rouge pour l'attacher sans laisser de traces permanentes, une paddle plate pour fesser ses fesses charnues, des pinces à tétons réglables avec des chaînes pour tirer dessus, un plug anal en silicone de taille progressive pour étirer son trou du cul vierge de ce genre d'intrusion, un vibromasseur puissant avec télécommande pour la torturer à distance, et un collier en cuir noir orné d'une boucle en métal pour y accrocher une laisse, la transformant en ma chienne personnelle. Livraison express en 48 heures. Chaque soir, une fois Eva endormie, je me planquais dans mon bureau pour me masturber furieusement sur des histoires érotiques : des maris transformés en maîtres qui forçaient leurs femmes à ramper, à pisser comme des animaux, à se faire baiser par des inconnus sous leurs ordres. "T'es ma pute, Eva. Écarte tes cuisses et montre-moi ta chatte mouillée." J'éjaculais en jets puissants, imaginant mon sperme giclant sur son visage suppliant, plus excité que je ne l'avais été depuis nos premières années de mariage.
La semaine suivante, j'ai mis mon plan en action. C'était un vendredi soir parfait : j'avais arrangé pour que Tom et Lisa passent la nuit chez des amis – une "soirée pyjama" improvisée que j'avais négociée avec les parents en prétextant une urgence couple. Eva rentrait des cours vers 18h, fatiguée mais toujours irrésistible dans sa jupe crayon grise qui moulait ses hanches et son pull moulant qui laissait deviner les contours de ses seins. Je l'attendais à la porte d'entrée, le cœur battant comme un tambour de guerre, habillé d'un jean noir slim et d'une chemise noire ajustée pour accentuer mon nouveau rôle. Pas de baiser tendre, pas de "Comment s'est passée ta journée ?". Au lieu de ça, je l'ai fixée d'un regard dur, impitoyable. "Entre, Eva. Et ferme la porte derrière toi." Elle a cligné des yeux, surprise, un petit sourire en coin comme si elle pensait à une blague. "Paul ? Qu'est-ce qui te prend ce soir ?" J'ai avancé d'un pas, attrapé son menton entre mon pouce et mon index, serrant juste assez pour la forcer à lever la tête et me regarder dans les yeux. "À partir de maintenant, c'est Maître. Pas Paul. Maître. Et si tu ne fermes pas ta gueule de salope et n'obéis pas immédiatement, tu vas le regretter amèrement." Ses pupilles se sont dilatées, un mélange de choc et d'excitation brute illuminant son visage. J'ai vu ses tétons pointer sous son pull, et une rougeur monter à ses joues. Elle a hoché la tête lentement, murmurant un "Oui... Maître" qui m'a fait bander instantanément.
"Déshabille-toi. Complètement. Ici, dans l'entrée. Montre-moi ce corps qui m'appartient désormais." Elle a hésité une seconde, jetant un regard vers la fenêtre – les voisins pourraient voir si les rideaux n'étaient pas tirés –, mais mon regard l'a clouée sur place. Elle a enlevé son manteau d'abord, le laissant tomber au sol, puis son pull par-dessus la tête, révélant ses seins magnifiques enserrés dans un soutien-gorge en dentelle noire qui contrastait avec sa peau pâle. "Plus lentement, pute. Savoure l'humiliation de te dénuder comme une strip-teaseuse bon marché." Elle a obéi, descendant sa jupe le long de ses cuisses musclées, révélant un string assorti trempé au niveau de l'entrejambe – l'odeur musquée de son excitation emplissait déjà l'air. Soutien-gorge dégrafé, string glissé jusqu'aux chevilles, elle était nue, vulnérable, ses seins lourds se soulevant au rythme de sa respiration accélérée, sa chatte rasée luisante de jus, ses lèvres intimes gonflées et prêtes.
Je l'ai poussée contre le mur froid de l'entrée, une main autour de sa gorge – pas pour l'étouffer, mais pour la contrôler, sentir son pouls affolé sous mes doigts. "Écarte les jambes, salope. Laisse-moi inspecter ma propriété comme on examine une bête au marché." Elle a obéi, écartant ses cuisses tremblantes, et j'ai glissé deux doigts entre ses lèvres humides, les enfonçant profondément dans sa chatte chaude et serrée. Elle a gémi, un son rauque et désespéré. "T'es déjà trempée comme une chienne en chaleur, hein ? Juste parce que ton maître t'ordonne de te déshabiller. Admets-le." "Oui, Maître... Je suis mouillée pour vous." J'ai sorti mes doigts, couverts de son jus visqueux, et les ai portés à sa bouche. "Lèche. Goûte ta propre excitation de pute frustrée." Elle a sucé mes doigts avidement, sa langue tourbillonnant autour, et j'ai senti ma bite palpiter contre ma braguette.
J'ai sorti le collier de ma poche arrière, un anneau de cuir noir froid que j'ai bouclé autour de son cou mince, serrant juste assez pour qu'elle sente la pression. "À genoux, animal. Et rampe jusqu'au salon comme la chienne que tu es." Elle s'est laissée tomber à quatre pattes, ses seins pendants effleurant le sol froid, son cul rebondi et ferme pointé vers le haut, sa chatte exposée à chaque mouvement. J'ai attaché la laisse à la boucle du collier et tiré doucement pour la guider, sentant la résistance puis l'obéissance. Chaque pas rampant faisait claquer ses genoux sur le carrelage, et je pouvais voir des gouttes de son jus couler le long de ses cuisses intérieures. Dans le salon, je l'ai faite s'arrêter devant le canapé. "Assieds-toi sur tes talons, mains croisées derrière le dos. Écarte les genoux pour que je voie bien ta chatte ouverte. Et ouvre la bouche grande, langue sortie comme une bonne petite pute affamée." Elle a obéi, sa langue rose pendant, de la salive déjà coulant aux commissures de ses lèvres.
Ma bite était dure comme du roc. J'ai déboutonné mon jean lentement, libérant ma queue veinée et gonflée, le gland déjà luisant de pré-sperme. "Suce-moi, profonde. Enfonce-toi jusqu'à ce que tu sentes ma bite toucher le fond de ta gorge. Et si tu tousses ou recules sans permission, je te punis." Elle s'est penchée en avant, avalant mon gland d'abord, sa bouche chaude et humide enveloppant ma longueur centimètre par centimètre. J'ai attrapé une poignée de ses cheveux blonds, tiré sa tête en avant brutalement, la forçant à me prendre entièrement. Elle a gargouillé, des bulles de salive formant aux coins de sa bouche, des larmes coulant sur ses joues rougies. "C'est ça, avale tout, ma pute. T'es faite pour sucer des bites, pas pour enseigner des sciences à des gamins ingrats. Baise ta gorge sur ma queue comme si ta vie en dépendait." Je l'ai pistonné en bouche, aller-retour violents, sentant ses lèvres étirées autour de ma base, sa langue flattant le dessous de ma bite. À un moment, elle a essayé de reculer pour respirer – grosse erreur. J'ai sorti ma queue d'un coup sec, lui ai claqué la joue d'une gifle sèche mais contrôlée, laissant une marque rose. "T'as pas la permission de t'arrêter, salope. Ouvre plus grand." Puis je l'ai remise au travail, plus dur, plus profond, jusqu'à ce que je sente l'orgasme monter comme une vague irrésistible. Je me suis retiré au dernier moment, l'ai forcée à pencher la tête en arrière, et j'ai joui en jets épais et chauds sur son visage – sur ses joues, ses lèvres entrouvertes, son menton, même dans ses cheveux. "Ne bouge pas. Laisse mon sperme sécher sur ta peau de pute. C'est ton nouveau maquillage." Elle haletait, le visage couvert de ma semence blanche et visqueuse, et j'ai vu une goutte couler dans sa bouche qu'elle a avalée instinctivement.
Mais ce n'était que le début. J'ai tiré sur la laisse pour la traîner jusqu'à la chambre, où j'avais disposé les jouets sur le lit comme un arsenal de domination. Je l'ai poussée sur le matelas, l'ai attachée en position d'étoile : poignets liés aux montants de tête avec les cordes veloutées, chevilles écartées et fixées aux pieds du lit, sa chatte rose et gonflée grande ouverte, vulnérable à tout ce que je voulais lui infliger. "Regarde-toi dans le miroir du plafond, Eva. Une salope attachée, exposée comme une pute en vitrine, prête à être utilisée comme un trou de plaisir anonyme." J'ai pris les pinces à tétons, les ai ouvertes et refermées sur ses mamelons durcis, serrant jusqu'à ce qu'elle crie de douleur aiguë. "Jaune, Maître ? Ou tu en veux plus ?" "Non... Continuez, s'il vous plaît. Punissez-moi." J'ai souri, tiré sur les chaînes reliant les pinces, faisant danser ses seins et intensifiant la brûlure. Puis j'ai sorti le vibromasseur télécommandé, un engin noir et courbé que j'ai lubrifié avec son propre jus avant de l'enfoncer d'un coup sec dans sa chatte dégoulinante. Elle a arqué le dos, un gémissement échappant de ses lèvres. "Tais-toi, animal. Pas un bruit sans ma permission. Tu jouis seulement quand je le décide." J'ai allumé l'engin à basse vitesse, le sentant vibrer contre ses parois internes, la faisant se tortiller contre les liens. Pendant trente minutes interminables, je l'ai edging : augmentant l'intensité jusqu'à ce que ses hanches se soulèvent, son clitoris gonflé palpiter, puis coupant tout, la laissant frustrée et suppliante. "Supplie-moi, pute. Dis-moi ce que tu es." "S'il vous plaît, Maître, laissez-moi jouir... Je suis votre salope, votre chienne, votre trou à bite... Baisez-moi, remplissez-moi !" J'ai ri, un son cruel que je ne me connaissais pas. "Pas encore. T'es un objet, rien d'autre qu'un ensemble de trous pour mon plaisir."
Enfin, la punition pour son ennui passé. J'ai pris la cravache en cuir souple, l'ai fait siffler dans l'air avant de l'abattre sur l'intérieur de ses cuisses – clac ! – laissant une ligne rouge vif. "Compte, salope, et remercie-moi à chaque coup." "Un... Merci, Maître." Clac sur ses seins, directement sur les pinces, amplifiant la douleur. "Deux... Merci, Maître." J'ai continué, variant les endroits : son ventre plat, ses lèvres de chatte gonflées, même un coup léger sur son clitoris qui l'a faite hurler. À vingt, sa peau était un tableau de marques rouges entrecroisées, suante et tremblante. "Ton cul maintenant, ma pute." Je l'ai détachée partiellement, retournée à quatre pattes comme une bête, rattachée les poignets au lit. J'ai fessé ses globes charnus à main nue d'abord, claques résonnantes qui faisaient rebondir sa chair, puis avec la paddle pour plus d'impact, jusqu'à ce que ses fesses soient brûlantes et écarlates. "Ton mari doux est mort, Eva. Maintenant, je vais te sodomiser comme une pute de rue qui mendie pour une bite dans le cul." J'ai sorti le plug anal, l'ai enduit de lubrifiant froid, et l'ai pressé contre son anus plissé. "Pousse, animal. Ouvre ton trou serré pour Maître." Elle a gémi, poussant contre l'intrusion, et le plug s'est enfoncé lentement, étirant son sphincter centimètre par centimètre jusqu'à ce qu'il soit logé profondément, sa base visible entre ses fesses rougies. Je l'ai baisé avec, en et hors, accélérant le rythme, sentant son corps se détendre et s'ouvrir. "Sens ça, salope. Ton cul est à moi, pour le remplir de jouets, de doigts, de bite."
J'ai enlevé le plug, enfilé un préservatif sur ma queue dure et palpitante, et pénétré son cul d'un coup ferme. La brûlure initiale l'a faite crier, mais je l'ai tenue par les hanches, pilonnant sans ménagement, mes couilles claquant contre sa chatte. "Prends tout, chienne. Ton trou du cul est fait pour être baisé, dilaté, rempli de sperme." Elle haletait, ses cris se muant en gémissements de plaisir pur, son corps se cambrant pour m'accueillir plus profond. J'ai accéléré, une main autour de son cou pour la contrôler, l'autre claquant ses fesses. L'orgasme m'a terrassé, et j'ai joui profond dans son cul, sentant son sphincter se contracter autour de moi comme pour me traire. Elle a joui aussi, sans permission – un spasme violent qui l'a faite squirter sur les draps, son jus éclaboussant mes cuisses. Punition immédiate : je me suis retiré, ai forcé sa bouche sur ma bite encore couverte de lubrifiant et de traces anales. "Nettoie, pute. Goûte ton cul sur ma queue et avale tout."
C'était la première nuit, et putain, ça a tout changé. Le lendemain matin, Eva m'a regardé avec un mélange de respect et de désir brut, murmurant "Merci, Maître" en me servant le café, son collier encore autour du cou. Mais je n'allais pas m'arrêter là. La transformation était en marche, et je comptais la pousser plus loin chaque jour. Pendant la semaine, en télétravail, je lui envoyais des textos pendant ses cours : "Insère le plug anal avant de partir. Pousse-le plus profond pendant ta leçon sur les atomes." Elle répondait : "Oui, Maître. Je sens mon cul rempli, je mouille en expliquant la matière aux élèves." Le soir, quand les gosses étaient couchés, je la transformais en objet de plaisir. Une fois, je l'ai faite se masturber devant moi sur la table de la cuisine, jambes écartées comme une pute en exhibition. "Doigte ta chatte, salope. Enfonce trois doigts et raconte-moi tes fantasmes les plus sales." Elle obéissait, ses doigts plongeant dans son trou humide avec des bruits obscènes, décrivant comment elle imaginait être baisée par un groupe d'hommes sous mes ordres. Mais je l'arrêtais à chaque bord d'orgasme : "Pas sans permission, chienne."
Un autre soir, j'ai introduit l'humiliation urinaire. Après une fessée routinière, je l'ai faite s'accroupir dans la baignoire, collier et laisse en place. "Pisse pour moi, comme une animale en chaleur. Montre-moi à quel point tu es dégradée." Elle a rougi, mais obéi, l'urine chaude coulant de sa chatte, éclaboussant ses cuisses et le fond de la baignoire. L'odeur âcre emplissait l'air, et je l'ai forcée à rester là, à mariner dans son humiliation. Puis je l'ai rincée à l'eau froide, la faisant grelotter, avant de la baiser contre le mur carrelé, ma bite glissant dans sa chatte encore mouillée d'urine.
Le week-end suivant, j'ai élevé le niveau. Les gosses chez les grands-parents pour deux jours – terrain libre. "Aujourd'hui, tu es mon pet domestique. Pas de mots humains, seulement des aboiements, des gémissements, des couinements d'animal." Nue, à quatre pattes toute la journée, je la nourrissais dans une gamelle posée au sol : yaourt mélangé à des fruits mous, qu'elle lapait sans utiliser ses mains, sa langue rose plongeant dans la mixture crémeuse, des gouttes coulant sur son menton et ses seins. "Mange, chienne. Remue la queue si tu aimes." Elle remuait son cul, gémissant comme une vraie bête. Je la promenais en laisse dans la maison, la faisant ramper d'une pièce à l'autre, et l'après-midi, je l'ai emmenée dans le jardin isolé derrière la maison – protégé par une haute haie. "Pisse dehors, comme une chienne errante." Elle s'est accroupie sur l'herbe humide, urine jaillissant en arc, coulant sur ses cuisses et imprégnant la terre. Je filmais avec mon téléphone, zoomant sur son visage humilié. "Pour te rappeler qui tu es, ma pute." Puis je l'ai plaquée contre le mur extérieur, l'ai baisée sauvagement par derrière, ma bite alternant entre sa chatte et son cul, claquant ses fesses boueuses jusqu'à ce qu'elle hurle son orgasme en aboiements frénétiques. "Wouf ! Wouf ! Maître, je jouis !"
Mais le vrai climax, le test ultime de ma transformation en maître, est venu lors d'une "soirée spéciale" que j'avais planifiée avec soin. Via un forum BDSM en ligne, j'avais contacté Marc, un dominant expérimenté de 35 ans, musclé et discret, qui vivait à une heure de route. "Ce soir, tu sers deux maîtres, pute. Tu vas être utilisée comme un trou commun, remplie et dégradée." Eva a paniqué un peu au début, ses yeux écarquillés de peur mêlée d'excitation. "Maître... Vous êtes sûr ?" "Tais-toi et obéis, ou je te punis double." Je l'ai préparée : attachée au centre du salon sur une chaise improvisée en position gynécologique, jambes écartées par une barre d'écartement que j'avais achetée en plus, chatte et cul exposés, pinces sur les tétons et les lèvres intimes pour la faire souffrir d'avance. Marc est arrivé, grand et imposant, avec un sac de jouets personnels. On l'a tourmentée ensemble : lui pinçant les seins déjà marqués, moi fouettant l'intérieur de ses cuisses avec la cravache jusqu'à ce que la peau soit rouge et sensible. "Supplie pour nos bites, salope. Dis-nous ce que tu veux." "S'il vous plaît, Maîtres... Baisez-moi, remplissez mes trous, utilisez-moi comme une pute gratuite !" On a commencé : Marc enfonçant sa bite épaisse dans sa bouche, la baisant en gorge profonde pendant que je léchais sa chatte torturée, puis switch. Double pénétration : ma queue dans son cul dilaté, celle de Marc dans sa chatte ruisselante, nos corps claquant en rythme, la déchirant de l'intérieur. Elle hurlait, son corps secoué de spasmes, squirting à répétition sur le sol, ses jus formant une flaque. On a alterné les trous, la forçant à nettoyer nos bites entre chaque, goûtant le mélange de ses fluides et de nos pré-spermes. Enfin, on l'a couverte de sperme : jets simultanés sur son visage, ses seins, son ventre, la transformant en une toile vivante de semence collante. "Lèche le sol, chienne. Nettoie notre jus avec ta langue."
Après la session, l'aftercare : je l'ai détachée, lavée doucement sous la douche, massant ses marques, la tenant dans mes bras pendant qu'elle pleurait de joie et d'épuisement. "T'as été parfaite, ma soumise. Je t'aime." Elle s'est blottie contre moi : "Merci, Maître. Vous m'avez sauvée."
Des mois plus tard, je suis son maître absolu, et notre vie est une explosion constante de désir et de domination. Le petit informaticien timide est mort ; à sa place, un dominant sans pitié qui la baise comme elle le mérite. Eva porte un plug quotidien au boulot, me suce tous les matins avant le café, et je la punis pour la moindre désobéissance – fessées publiques discrètes en courses, vibro allumé en réunion parents-profs. Les risques ? On les gère avec des safe words et de la discrétion. Parce que maintenant, notre mariage n'est plus fade ; il est incandescent, sale, addictif. Et si tu lis ça, souviens-toi : parfois, pour garder l'amour de ta vie, il faut devenir le monstre qu'elle désire. Eva est mienne, corps et âme, et je la transforme en animal chaque nuit.
La Métamorphose du Maître ou comment transformer un informaticien en dominateur
Je m'appelle Paul, j'ai 39 ans, et depuis 17 ans, je suis marié à Eva. On vit en Normandie, dans une petite maison cosy perchée sur une falaise près de la côte, avec une vue imprenable sur la mer agitée quand le brouillard matinal se dissipe enfin. Le vent salé fouette les fenêtres presque tous les jours, et l'air iodé imprègne tout, des rideaux aux draps de notre lit. Je suis informaticien, un de ces geeks qui passent leurs journées rivés à des écrans multiples, à taper du code pour des systèmes complexes que personne ne comprend vraiment, sauf moi et mes collègues virtuels en réunion Zoom. Souvent en télétravail, je suis physiquement présent à la maison mais mentalement ailleurs : pantalon de jogging usé, une tasse de café qui refroidit à côté de mon clavier, des lignes de code qui défilent comme une matrice infinie. Eva, ma femme de 38 ans, est prof de sciences dans un collège local. Elle est le genre de femme qui fait tourner les têtes sans même s'en rendre compte : brune avec des cheveux longs bouclés qui descendent en cascadesur ses épaules et qu'elle attache en une queue de cheval stricte pour ses cours, un corps tonique forgé par des sessions de yoga matinales et des randonnées le long des falaises, des seins ronds et fermes qui tendent le tissu de ses chemisiers blancs impeccables, une taille fine qui contraste avec des hanches larges et ondulantes quand elle marche d'un pas assuré. Ses yeux noisettes pétillent d'intelligence quand elle explique la photosynthèse à ses élèves, et son sourire, large et sincère, illumine n'importe quelle pièce. On a deux gosses formidables. Notre vie roule sur des rails bien huilés : dîners familiaux avec des rires autour de la table, week-ends à la plage quand le temps le permet, et des soirées canapé avec un film Netflix. On est heureux, ou du moins, c'est ce que je me disais pour me rassurer, jusqu'à ce que tout bascule il y a quelques semaines.
Ça n'est pas arrivé d'un coup, comme une tempête normande qui s'abat sans prévenir. Non, c'était plus insidieux, comme une marée montante qui érode la falaise petit à petit. Eva avait changé. Au lit, elle était distante. Après nos ébats habituels – tendres, prévisibles, avec des caresses douces et une pénétration rythmée mais sans feu d'artifice –, elle se tournait de l'autre côté, soupirant profondément, les yeux fixés sur le plafond craquelé de notre chambre. Un soir, après un dîner banal – des steaks hachés grillés avec des frites maison, les kids racontant leurs anecdotes d'école avec enthousiasme –, on s'est retrouvés seuls une fois qu'ils étaient couchés. J'ai allumé la TV pour un épisode de notre série préférée, mais Eva a pris la télécommande et l'a éteinte d'un geste sec. "Paul, on doit parler. Sérieusement." Mon cœur a raté un battement. Ces mots-là, dans la bouche d'une femme, annoncent rarement quelque chose de bon. "Qu'est-ce qu'il y a, chérie ? C'est les gosses ? Le boulot ?" Elle s'est assise en tailleur sur le lit, ses jambes nues sous sa nuisette en coton, et m'a regardé droit dans les yeux. "Non, c'est nous. Enfin, notre vie sexuelle. Je m'ennuie, Paul. Terriblement. T'es gentil, t'es doux, attentif – et j'adore ça au quotidien. Mais au lit, j'ai besoin de plus. De quelque chose qui claque, qui me secoue, qui me fait sentir vivante et désirée comme une bête en chaleur." Ses mots m'ont frappé comme une vague froide. Elle a continué, sa voix tremblante mais déterminée : "J'ai un appétit sexuel bien plus grand que le tien. J'aime quand ça va fort, quand tu me prends la bouche sauvagement, enfonçant ta bite jusqu'à ce que je manque d'air, quand tu me pinces les seins si durement que les tétons deviennent violets et douloureux pendant des jours. Je veux être fessée, humiliée, traitée comme une salope qui ne mérite que d'être utilisée. Je suis une soumise, Paul. J'ai besoin d'un maître qui me domine, qui me contrôle, qui me transforme en animal obéissant. Si tu ne fais pas d'efforts pour changer, pour devenir ça... je ne sais pas si je pourrai continuer. Je t'aime, mais je vais finir par craquer et chercher ailleurs." Putain, ces paroles m'ont transpercé le cœur comme un couteau rouillé. L'idée d'Eva dans les bras d'un autre, se soumettant à un inconnu qui la baiserait comme une pute... Ça m'a rendu malade, mais aussi, bizarrement, excité. Perdre Eva ? Impossible. Elle est mon ancre, ma muse, la mère de mes enfants. "Je vais changer, je te promets. Pour toi, je ferai tout."
Dès le lendemain, j'ai commencé ma transformation. Pendant ma pause déjeuner en télétravail, alors que les gosses étaient à l'école et Eva en train d'enseigner la biologie à des ados boutonneux, j'ai ouvert mon navigateur en mode incognito. Recherches frénétiques : "Comment devenir un dominant BDSM", "Guides pour maris souples qui veulent dominer leur femme", "Histoires érotiques de soumission conjugale". J'ai dévoré des articles sur des sites spécialisés, regardé des vidéos porno où des femmes étaient attachées à des croix de Saint-André, fouettées avec des cravaches en cuir jusqu'à ce que leur peau rougisse et marque, forcées à supplier pour une bite dans leur chatte dégoulinante ou leur cul serré. Au début, ça me choquait profondément : la douleur infligée, l'humiliation verbale – "T'es une chienne inutile, ouvre ton trou !" –, les ordres aboyés comme à un animal. Mais plus je regardais, plus mon corps réagissait. Ma bite se durcissait dans mon jogging, gonflant à l'idée d'Eva à genoux devant moi, la bouche grande ouverte, attendant que je lui crache dedans ou que je lui enfonce ma queue jusqu'aux amygdales. J'imaginais ses seins rebondis couverts de marques de pinces, son cul rouge vif après une fessée impitoyable, sa chatte ruisselante de jus pendant que je la edging sans pitié. J'ai appris les bases : les safe words obligatoires – "rouge" pour arrêter tout net, "jaune" pour ralentir ou ajuster –, l'importance de l'aftercare pour réconforter après une session intense, les jouets essentiels pour débutants. J'ai commandé en ligne, sur un site discret avec emballage neutre : un set de cordes en velours rouge pour l'attacher sans laisser de traces permanentes, une paddle plate pour fesser ses fesses charnues, des pinces à tétons réglables avec des chaînes pour tirer dessus, un plug anal en silicone de taille progressive pour étirer son trou du cul vierge de ce genre d'intrusion, un vibromasseur puissant avec télécommande pour la torturer à distance, et un collier en cuir noir orné d'une boucle en métal pour y accrocher une laisse, la transformant en ma chienne personnelle. Livraison express en 48 heures. Chaque soir, une fois Eva endormie, je me planquais dans mon bureau pour me masturber furieusement sur des histoires érotiques : des maris transformés en maîtres qui forçaient leurs femmes à ramper, à pisser comme des animaux, à se faire baiser par des inconnus sous leurs ordres. "T'es ma pute, Eva. Écarte tes cuisses et montre-moi ta chatte mouillée." J'éjaculais en jets puissants, imaginant mon sperme giclant sur son visage suppliant, plus excité que je ne l'avais été depuis nos premières années de mariage.
La semaine suivante, j'ai mis mon plan en action. C'était un vendredi soir parfait : j'avais arrangé pour que Tom et Lisa passent la nuit chez des amis – une "soirée pyjama" improvisée que j'avais négociée avec les parents en prétextant une urgence couple. Eva rentrait des cours vers 18h, fatiguée mais toujours irrésistible dans sa jupe crayon grise qui moulait ses hanches et son pull moulant qui laissait deviner les contours de ses seins. Je l'attendais à la porte d'entrée, le cœur battant comme un tambour de guerre, habillé d'un jean noir slim et d'une chemise noire ajustée pour accentuer mon nouveau rôle. Pas de baiser tendre, pas de "Comment s'est passée ta journée ?". Au lieu de ça, je l'ai fixée d'un regard dur, impitoyable. "Entre, Eva. Et ferme la porte derrière toi." Elle a cligné des yeux, surprise, un petit sourire en coin comme si elle pensait à une blague. "Paul ? Qu'est-ce qui te prend ce soir ?" J'ai avancé d'un pas, attrapé son menton entre mon pouce et mon index, serrant juste assez pour la forcer à lever la tête et me regarder dans les yeux. "À partir de maintenant, c'est Maître. Pas Paul. Maître. Et si tu ne fermes pas ta gueule de salope et n'obéis pas immédiatement, tu vas le regretter amèrement." Ses pupilles se sont dilatées, un mélange de choc et d'excitation brute illuminant son visage. J'ai vu ses tétons pointer sous son pull, et une rougeur monter à ses joues. Elle a hoché la tête lentement, murmurant un "Oui... Maître" qui m'a fait bander instantanément.
"Déshabille-toi. Complètement. Ici, dans l'entrée. Montre-moi ce corps qui m'appartient désormais." Elle a hésité une seconde, jetant un regard vers la fenêtre – les voisins pourraient voir si les rideaux n'étaient pas tirés –, mais mon regard l'a clouée sur place. Elle a enlevé son manteau d'abord, le laissant tomber au sol, puis son pull par-dessus la tête, révélant ses seins magnifiques enserrés dans un soutien-gorge en dentelle noire qui contrastait avec sa peau pâle. "Plus lentement, pute. Savoure l'humiliation de te dénuder comme une strip-teaseuse bon marché." Elle a obéi, descendant sa jupe le long de ses cuisses musclées, révélant un string assorti trempé au niveau de l'entrejambe – l'odeur musquée de son excitation emplissait déjà l'air. Soutien-gorge dégrafé, string glissé jusqu'aux chevilles, elle était nue, vulnérable, ses seins lourds se soulevant au rythme de sa respiration accélérée, sa chatte rasée luisante de jus, ses lèvres intimes gonflées et prêtes.
Je l'ai poussée contre le mur froid de l'entrée, une main autour de sa gorge – pas pour l'étouffer, mais pour la contrôler, sentir son pouls affolé sous mes doigts. "Écarte les jambes, salope. Laisse-moi inspecter ma propriété comme on examine une bête au marché." Elle a obéi, écartant ses cuisses tremblantes, et j'ai glissé deux doigts entre ses lèvres humides, les enfonçant profondément dans sa chatte chaude et serrée. Elle a gémi, un son rauque et désespéré. "T'es déjà trempée comme une chienne en chaleur, hein ? Juste parce que ton maître t'ordonne de te déshabiller. Admets-le." "Oui, Maître... Je suis mouillée pour vous." J'ai sorti mes doigts, couverts de son jus visqueux, et les ai portés à sa bouche. "Lèche. Goûte ta propre excitation de pute frustrée." Elle a sucé mes doigts avidement, sa langue tourbillonnant autour, et j'ai senti ma bite palpiter contre ma braguette.
J'ai sorti le collier de ma poche arrière, un anneau de cuir noir froid que j'ai bouclé autour de son cou mince, serrant juste assez pour qu'elle sente la pression. "À genoux, animal. Et rampe jusqu'au salon comme la chienne que tu es." Elle s'est laissée tomber à quatre pattes, ses seins pendants effleurant le sol froid, son cul rebondi et ferme pointé vers le haut, sa chatte exposée à chaque mouvement. J'ai attaché la laisse à la boucle du collier et tiré doucement pour la guider, sentant la résistance puis l'obéissance. Chaque pas rampant faisait claquer ses genoux sur le carrelage, et je pouvais voir des gouttes de son jus couler le long de ses cuisses intérieures. Dans le salon, je l'ai faite s'arrêter devant le canapé. "Assieds-toi sur tes talons, mains croisées derrière le dos. Écarte les genoux pour que je voie bien ta chatte ouverte. Et ouvre la bouche grande, langue sortie comme une bonne petite pute affamée." Elle a obéi, sa langue rose pendant, de la salive déjà coulant aux commissures de ses lèvres.
Ma bite était dure comme du roc. J'ai déboutonné mon jean lentement, libérant ma queue veinée et gonflée, le gland déjà luisant de pré-sperme. "Suce-moi, profonde. Enfonce-toi jusqu'à ce que tu sentes ma bite toucher le fond de ta gorge. Et si tu tousses ou recules sans permission, je te punis." Elle s'est penchée en avant, avalant mon gland d'abord, sa bouche chaude et humide enveloppant ma longueur centimètre par centimètre. J'ai attrapé une poignée de ses cheveux blonds, tiré sa tête en avant brutalement, la forçant à me prendre entièrement. Elle a gargouillé, des bulles de salive formant aux coins de sa bouche, des larmes coulant sur ses joues rougies. "C'est ça, avale tout, ma pute. T'es faite pour sucer des bites, pas pour enseigner des sciences à des gamins ingrats. Baise ta gorge sur ma queue comme si ta vie en dépendait." Je l'ai pistonné en bouche, aller-retour violents, sentant ses lèvres étirées autour de ma base, sa langue flattant le dessous de ma bite. À un moment, elle a essayé de reculer pour respirer – grosse erreur. J'ai sorti ma queue d'un coup sec, lui ai claqué la joue d'une gifle sèche mais contrôlée, laissant une marque rose. "T'as pas la permission de t'arrêter, salope. Ouvre plus grand." Puis je l'ai remise au travail, plus dur, plus profond, jusqu'à ce que je sente l'orgasme monter comme une vague irrésistible. Je me suis retiré au dernier moment, l'ai forcée à pencher la tête en arrière, et j'ai joui en jets épais et chauds sur son visage – sur ses joues, ses lèvres entrouvertes, son menton, même dans ses cheveux. "Ne bouge pas. Laisse mon sperme sécher sur ta peau de pute. C'est ton nouveau maquillage." Elle haletait, le visage couvert de ma semence blanche et visqueuse, et j'ai vu une goutte couler dans sa bouche qu'elle a avalée instinctivement.
Mais ce n'était que le début. J'ai tiré sur la laisse pour la traîner jusqu'à la chambre, où j'avais disposé les jouets sur le lit comme un arsenal de domination. Je l'ai poussée sur le matelas, l'ai attachée en position d'étoile : poignets liés aux montants de tête avec les cordes veloutées, chevilles écartées et fixées aux pieds du lit, sa chatte rose et gonflée grande ouverte, vulnérable à tout ce que je voulais lui infliger. "Regarde-toi dans le miroir du plafond, Eva. Une salope attachée, exposée comme une pute en vitrine, prête à être utilisée comme un trou de plaisir anonyme." J'ai pris les pinces à tétons, les ai ouvertes et refermées sur ses mamelons durcis, serrant jusqu'à ce qu'elle crie de douleur aiguë. "Jaune, Maître ? Ou tu en veux plus ?" "Non... Continuez, s'il vous plaît. Punissez-moi." J'ai souri, tiré sur les chaînes reliant les pinces, faisant danser ses seins et intensifiant la brûlure. Puis j'ai sorti le vibromasseur télécommandé, un engin noir et courbé que j'ai lubrifié avec son propre jus avant de l'enfoncer d'un coup sec dans sa chatte dégoulinante. Elle a arqué le dos, un gémissement échappant de ses lèvres. "Tais-toi, animal. Pas un bruit sans ma permission. Tu jouis seulement quand je le décide." J'ai allumé l'engin à basse vitesse, le sentant vibrer contre ses parois internes, la faisant se tortiller contre les liens. Pendant trente minutes interminables, je l'ai edging : augmentant l'intensité jusqu'à ce que ses hanches se soulèvent, son clitoris gonflé palpiter, puis coupant tout, la laissant frustrée et suppliante. "Supplie-moi, pute. Dis-moi ce que tu es." "S'il vous plaît, Maître, laissez-moi jouir... Je suis votre salope, votre chienne, votre trou à bite... Baisez-moi, remplissez-moi !" J'ai ri, un son cruel que je ne me connaissais pas. "Pas encore. T'es un objet, rien d'autre qu'un ensemble de trous pour mon plaisir."
Enfin, la punition pour son ennui passé. J'ai pris la cravache en cuir souple, l'ai fait siffler dans l'air avant de l'abattre sur l'intérieur de ses cuisses – clac ! – laissant une ligne rouge vif. "Compte, salope, et remercie-moi à chaque coup." "Un... Merci, Maître." Clac sur ses seins, directement sur les pinces, amplifiant la douleur. "Deux... Merci, Maître." J'ai continué, variant les endroits : son ventre plat, ses lèvres de chatte gonflées, même un coup léger sur son clitoris qui l'a faite hurler. À vingt, sa peau était un tableau de marques rouges entrecroisées, suante et tremblante. "Ton cul maintenant, ma pute." Je l'ai détachée partiellement, retournée à quatre pattes comme une bête, rattachée les poignets au lit. J'ai fessé ses globes charnus à main nue d'abord, claques résonnantes qui faisaient rebondir sa chair, puis avec la paddle pour plus d'impact, jusqu'à ce que ses fesses soient brûlantes et écarlates. "Ton mari doux est mort, Eva. Maintenant, je vais te sodomiser comme une pute de rue qui mendie pour une bite dans le cul." J'ai sorti le plug anal, l'ai enduit de lubrifiant froid, et l'ai pressé contre son anus plissé. "Pousse, animal. Ouvre ton trou serré pour Maître." Elle a gémi, poussant contre l'intrusion, et le plug s'est enfoncé lentement, étirant son sphincter centimètre par centimètre jusqu'à ce qu'il soit logé profondément, sa base visible entre ses fesses rougies. Je l'ai baisé avec, en et hors, accélérant le rythme, sentant son corps se détendre et s'ouvrir. "Sens ça, salope. Ton cul est à moi, pour le remplir de jouets, de doigts, de bite."
J'ai enlevé le plug, enfilé un préservatif sur ma queue dure et palpitante, et pénétré son cul d'un coup ferme. La brûlure initiale l'a faite crier, mais je l'ai tenue par les hanches, pilonnant sans ménagement, mes couilles claquant contre sa chatte. "Prends tout, chienne. Ton trou du cul est fait pour être baisé, dilaté, rempli de sperme." Elle haletait, ses cris se muant en gémissements de plaisir pur, son corps se cambrant pour m'accueillir plus profond. J'ai accéléré, une main autour de son cou pour la contrôler, l'autre claquant ses fesses. L'orgasme m'a terrassé, et j'ai joui profond dans son cul, sentant son sphincter se contracter autour de moi comme pour me traire. Elle a joui aussi, sans permission – un spasme violent qui l'a faite squirter sur les draps, son jus éclaboussant mes cuisses. Punition immédiate : je me suis retiré, ai forcé sa bouche sur ma bite encore couverte de lubrifiant et de traces anales. "Nettoie, pute. Goûte ton cul sur ma queue et avale tout."
C'était la première nuit, et putain, ça a tout changé. Le lendemain matin, Eva m'a regardé avec un mélange de respect et de désir brut, murmurant "Merci, Maître" en me servant le café, son collier encore autour du cou. Mais je n'allais pas m'arrêter là. La transformation était en marche, et je comptais la pousser plus loin chaque jour. Pendant la semaine, en télétravail, je lui envoyais des textos pendant ses cours : "Insère le plug anal avant de partir. Pousse-le plus profond pendant ta leçon sur les atomes." Elle répondait : "Oui, Maître. Je sens mon cul rempli, je mouille en expliquant la matière aux élèves." Le soir, quand les gosses étaient couchés, je la transformais en objet de plaisir. Une fois, je l'ai faite se masturber devant moi sur la table de la cuisine, jambes écartées comme une pute en exhibition. "Doigte ta chatte, salope. Enfonce trois doigts et raconte-moi tes fantasmes les plus sales." Elle obéissait, ses doigts plongeant dans son trou humide avec des bruits obscènes, décrivant comment elle imaginait être baisée par un groupe d'hommes sous mes ordres. Mais je l'arrêtais à chaque bord d'orgasme : "Pas sans permission, chienne."
Un autre soir, j'ai introduit l'humiliation urinaire. Après une fessée routinière, je l'ai faite s'accroupir dans la baignoire, collier et laisse en place. "Pisse pour moi, comme une animale en chaleur. Montre-moi à quel point tu es dégradée." Elle a rougi, mais obéi, l'urine chaude coulant de sa chatte, éclaboussant ses cuisses et le fond de la baignoire. L'odeur âcre emplissait l'air, et je l'ai forcée à rester là, à mariner dans son humiliation. Puis je l'ai rincée à l'eau froide, la faisant grelotter, avant de la baiser contre le mur carrelé, ma bite glissant dans sa chatte encore mouillée d'urine.
Le week-end suivant, j'ai élevé le niveau. Les gosses chez les grands-parents pour deux jours – terrain libre. "Aujourd'hui, tu es mon pet domestique. Pas de mots humains, seulement des aboiements, des gémissements, des couinements d'animal." Nue, à quatre pattes toute la journée, je la nourrissais dans une gamelle posée au sol : yaourt mélangé à des fruits mous, qu'elle lapait sans utiliser ses mains, sa langue rose plongeant dans la mixture crémeuse, des gouttes coulant sur son menton et ses seins. "Mange, chienne. Remue la queue si tu aimes." Elle remuait son cul, gémissant comme une vraie bête. Je la promenais en laisse dans la maison, la faisant ramper d'une pièce à l'autre, et l'après-midi, je l'ai emmenée dans le jardin isolé derrière la maison – protégé par une haute haie. "Pisse dehors, comme une chienne errante." Elle s'est accroupie sur l'herbe humide, urine jaillissant en arc, coulant sur ses cuisses et imprégnant la terre. Je filmais avec mon téléphone, zoomant sur son visage humilié. "Pour te rappeler qui tu es, ma pute." Puis je l'ai plaquée contre le mur extérieur, l'ai baisée sauvagement par derrière, ma bite alternant entre sa chatte et son cul, claquant ses fesses boueuses jusqu'à ce qu'elle hurle son orgasme en aboiements frénétiques. "Wouf ! Wouf ! Maître, je jouis !"
Mais le vrai climax, le test ultime de ma transformation en maître, est venu lors d'une "soirée spéciale" que j'avais planifiée avec soin. Via un forum BDSM en ligne, j'avais contacté Marc, un dominant expérimenté de 35 ans, musclé et discret, qui vivait à une heure de route. "Ce soir, tu sers deux maîtres, pute. Tu vas être utilisée comme un trou commun, remplie et dégradée." Eva a paniqué un peu au début, ses yeux écarquillés de peur mêlée d'excitation. "Maître... Vous êtes sûr ?" "Tais-toi et obéis, ou je te punis double." Je l'ai préparée : attachée au centre du salon sur une chaise improvisée en position gynécologique, jambes écartées par une barre d'écartement que j'avais achetée en plus, chatte et cul exposés, pinces sur les tétons et les lèvres intimes pour la faire souffrir d'avance. Marc est arrivé, grand et imposant, avec un sac de jouets personnels. On l'a tourmentée ensemble : lui pinçant les seins déjà marqués, moi fouettant l'intérieur de ses cuisses avec la cravache jusqu'à ce que la peau soit rouge et sensible. "Supplie pour nos bites, salope. Dis-nous ce que tu veux." "S'il vous plaît, Maîtres... Baisez-moi, remplissez mes trous, utilisez-moi comme une pute gratuite !" On a commencé : Marc enfonçant sa bite épaisse dans sa bouche, la baisant en gorge profonde pendant que je léchais sa chatte torturée, puis switch. Double pénétration : ma queue dans son cul dilaté, celle de Marc dans sa chatte ruisselante, nos corps claquant en rythme, la déchirant de l'intérieur. Elle hurlait, son corps secoué de spasmes, squirting à répétition sur le sol, ses jus formant une flaque. On a alterné les trous, la forçant à nettoyer nos bites entre chaque, goûtant le mélange de ses fluides et de nos pré-spermes. Enfin, on l'a couverte de sperme : jets simultanés sur son visage, ses seins, son ventre, la transformant en une toile vivante de semence collante. "Lèche le sol, chienne. Nettoie notre jus avec ta langue."
Après la session, l'aftercare : je l'ai détachée, lavée doucement sous la douche, massant ses marques, la tenant dans mes bras pendant qu'elle pleurait de joie et d'épuisement. "T'as été parfaite, ma soumise. Je t'aime." Elle s'est blottie contre moi : "Merci, Maître. Vous m'avez sauvée."
Des mois plus tard, je suis son maître absolu, et notre vie est une explosion constante de désir et de domination. Le petit informaticien timide est mort ; à sa place, un dominant sans pitié qui la baise comme elle le mérite. Eva porte un plug quotidien au boulot, me suce tous les matins avant le café, et je la punis pour la moindre désobéissance – fessées publiques discrètes en courses, vibro allumé en réunion parents-profs. Les risques ? On les gère avec des safe words et de la discrétion. Parce que maintenant, notre mariage n'est plus fade ; il est incandescent, sale, addictif. Et si tu lis ça, souviens-toi : parfois, pour garder l'amour de ta vie, il faut devenir le monstre qu'elle désire. Eva est mienne, corps et âme, et je la transforme en animal chaque nuit.
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