LA VISITE DE MADAME

- Par l'auteur HDS Miss_Sexcret -
Auteur femme.
  • • 60 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Miss_Sexcret ont reçu un total de 166 043 visites.
Récit libertin : LA VISITE DE MADAME Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 418 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
LA VISITE DE MADAME
Salut — c’est Kristina. Vous vous souvenez de moi ? J’espère, puisque vous êtes déjà sur ma page. Certains d’entre vous me suivent sous le pseudo Miss_sexcret ; merci pour vos réactions, vos émojis, vos commentaires. Un merci particulier à ceux qui prennent la peine d’écrire une petite critique — et encore plus à ceux qui m’envoient des mails ou me contactent sur Instagram. J’essaie de répondre à tout le monde ; parfois nos conversations deviennent plus longues, plus proches, plus intimes. C’est de l’une de ces discussions avec une lectrice qu’est né le texte qui suit.



La visite de Madame

J’ai rencontré Eva sur Instagram : elle avait trouvé mon adresse dans une de mes bios. Instagram, pour nous, c’est à la fois un masque et une vitrine — un coin discret où des femmes comme nous peuvent confier leurs fantasmes sans être jugées. Moi, Kristina, la petite Ukrainienne installée à Paris : cheveux châtains très longs qui me tombent jusqu’aux reins, corps modelé par la danse et le fitness — cuisses fermes, abdos qui se devinent, petits seins relevés. Si vous me lisez déjà, vous connaissez mes goûts, mes obsessions.

Dominatrice jusqu’au bout des ongles, je m’habille souvent en cuir moulant, bottes à talons aiguilles qui claquent comme des ordres. Je vis ça pleinement : sessions avec des soumis — souvent des femmes —, récits crus partagés en ligne, mots envoyés pour faire bander ou mouiller à distance. Eva, cachée derrière un pseudo, a commencé par des messages timides : « Mon mari se transforme en maître, ça me rend dingue. » J’ai répondu direct, enthousiaste — conseils, anecdotes — et très vite nos échanges sont devenus quotidiens.

« Ton Paul a l’air d’avoir du potentiel », lui ai-je écrit un soir. « Mais une vraie soumise comme toi mérite d’être poussée plus loin. Imagine que je vienne vous rendre visite… Je pourrais t’aider à le former, ou mieux : te dominer avec lui. »

Je souris devant mon écran en imaginant leurs têtes, leurs corps déjà en alerte. Un soir, après une session où Paul l’avait attachée et maintenue en edging des heures durant, Eva lui a parlé de moi.

— Maître, j’ai une amie en ligne… Kristina. Elle est dominatrice. Elle veut venir.

Paul a souri. Son regard s’est fait dur.

— Invite-la, ma chienne. On va te briser à deux.

Je suis arrivée un vendredi soir, train de Paris. Eva m’attendait à la gare de Caen, nerveuse, robe légère comme Paul l’avait ordonné – sans culotte, plug anal discret qui la faisait marcher en serrant les fesses. Je descends du wagon, valise à la main, sourire carnassier. En vrai, je ne suis pas si impressionnante : grande, yeux gris-bleu acier, tout en cuir, aura de confiance qui la fait trembler.

— Salut, petite soumise. Prête à jouer ?

Elle hoche la tête, murmure un

— Oui, Maîtresse

que je corrige d’une tape légère sur la joue.

— Appelle-moi Madame. Et montre-moi ton collier.

Elle relève son col, révèle le fin anneau de cuir que Paul lui fait porter en permanence.

À la maison, Paul nous accueille à la porte, torse nu, muscles saillants – il s’est mis au sport pour asseoir son rôle.

— Bienvenue, Kristina. Eva, à genoux. Accueille notre invitée comme il se doit.

Elle tombe à quatre pattes sur le seuil, robe qui remonte, fesses nues. Je ris, son grave et excitant.

— Déjà bien dressée. Bravo Paul.

Je pose ma valise, glisse un pied botté vers sa bouche.

— Lèche, chienne. Montre ton respect.

Elle lèche la semelle, goût de poussière, son humiliation la fait couler entre les cuisses. Paul observe, je sens sa bite qui durcit dans son jean.

— Elle est à nous ce soir. Pas de limites, sauf le « Le Mot de sécurité ».

Au salon, Paul a tout préparé : cordes au plafond, table basse couverte de jouets – fouets, pinces, vibros, plugs. J’y ajoute un strapon que j’ai apporté. Eva se déshabille lentement sous nos regards affamés.

— Danse pour nous, pute.

— Montre tes trous comme une strip-teaseuse en chaleur.

Elle ondule, seins lourds, chatte rasée luisante, cul avec le plug. Paul et moi sur le canapé, whisky en main, on commente.

— Regarde ces tétons, prêts à être pincés.

— Et ce cul… Parfait pour une double pénétration.

L’humiliation commence. Je l’attache à quatre pattes sur la table, poignets et chevilles aux pieds, corps arqué, trous exposés. Je sors un marqueur, écris sur sa peau : « Pute à Maîtres » sur les seins, « Trou à bite » sur le ventre, « Chienne soumise » sur les fesses.

— Lis à voix haute, salope, ordonne Paul.

Elle lit, voix tremblante :

— Je suis une pute à Maîtres… Un trou à bite… Une chienne soumise.

Chaque mot la fait rougir, son jus coule sur ses cuisses. Je ris, enfonce deux doigts dans sa chatte sans prévenir.

— T’es trempée, petite salope. Tu aimes être traitée comme un objet ?

— Oui, Madame… Punissez-moi.

Paul prend la punition. Il retire le plug d’un coup sec, elle gémit, le remplace par un plus gros, vibrant, à mi-puissance. Moi, je pince ses tétons avec des pinces chaîne, tire pour la faire crier.

— Supplie pour plus, animal.

— S’il vous plaît, Maîtres… Plus de douleur… Utilisez-moi.

On alterne : Paul lui frappe les fesses avec un paddle, les marques rouges vives apparaissent très vite ; moi je la cravache à l’intérieur des cuisses. Elle hurle, des larmes coulent, mais sa chatte est gonflée, son clito dur, et elle supplie pour une touche suplémentaire.

Le climax : je m’attache le strapon – un gode noir épais, vingt centimètres de silicone veiné, courbé juste comme il faut pour cogner le fond de la gorge. Je le lubrifie avec le jus d’Eva : je plonge trois doigts dans sa chatte dégoulinante, les sors ruisselants, et étale le miel chaud sur toute la longueur, luisante, prête à l’étouffer.

— Ouvre la bouche, chienne. Suce ma bite comme si c’était celle de ton maître.

Elle avale profond d’un coup, les lèvres étirées au maximum autour de la base gonflée, la gorge qui se contracte en spasmes visibles. Je l’attrape par les cheveux – les siens à elle, emmêlés de sueur –, et je baise sa gorge comme un piston : va-et-vient brutaux, le gland qui cogne le palais, des bulles de bave qui explosent aux commissures, ses yeux qui larmoient et roulent en arrière. Elle gargouille, un bruit humide et obscène, comme une pute affamée qui étouffe sur une vraie queue, et je sens ses ongles s’enfoncer dans mes cuisses fines tandis qu’elle lutte pour respirer.

On la détache juste pour la retourner – poignets liés dans le dos, à genoux sur le canapé, front contre l’appui-tête, fesses hautes. Paul retire le vibro d’un coup ; elle hoquette. Moi, toujours sanglée dans mon harnais – gode énorme, vingt centimètres de silicone veiné, brillant de lubrifiant froid – je glisse deux doigts dans son cul pour checker.

— Encore trop serrée, dis-je ?

Je souris, ajoute un troisième, tourne, étire. Elle gémit, bave sur le tissu. Paul devant, main dans ses cheveux, tire sa tête :

— Regarde-moi pendant qu’on te remplit.

Il crache dans sa bouche ; elle avale. Puis il aligne sa queue rouge gonflée contre sa chatte, s’enfonce d’un coup. Elle hurle ; parois serrées comme un poing. J’en profite : retire mes doigts, pose la tête du gode sur le trou dilaté, pousse lentement. Millimètre par millimètre, brûlure qui devient chaleur liquide quand l’anneau passe.

— Respire, chienne, murmuré-je contre son oreille, mordille le lobe.

On bouge. Paul va-et-vient lents profonds, cogne l’utérus. Moi rythme court, dix centimètres qui frottent son point sensible, la font trembler. Le canapé grince, ses hanches claquent, elle est coincée entre sueur masculine et cuir-parfum. J’accélère : plaque mes seins contre son dos, main autour de sa gorge – juste assez pour raréfier l’air –, l’autre claque son cul en rythme.

— Tu sens ? Tu sens comment on te remplit salope ?

Paul rit, sort presque, replonge sec ; je fais pareil, synchronisé, elle couine. Queues se frottent à travers la cloison ; elle va exploser. Paul penche, tire les pinces tétons, douleur fuse. Je glisse un doigt dans sa bouche pour étouffer, puis ma langue – baiser baveux dominateur, je baise plus vite. Elle monte : spasmes, chaleur. Elle se mord la lèvre, sang sur menton.

— Jouis sans permission, et on te punit double, grogne Paul.

Mais elle craque – orgasme violent, gicle sur le sol, corps convulsant.

La punition : on la force à lécher sa flaque cyprine.

— Nettoie ton bordel, salope.

À quatre pattes, langue au parquet, je descends mon pantalon et ma culotte. Pas de mots. Juste mon jet jaune chaud salé sur ses cheveux, ruisselle sur son crâne, son nez, sa bouche ouverte. Goût âpre métallique ; elle tousse, continue, avec un mélange de sperme et d’ urine. J’ajuste : je joue : cou, épaules, entre seins, colle aux pinces. Paul bande à nouveau.

— Bois ce que tu peux, chienne. Regarde comme sa fait bander ton mari.

Elle penche tête, lèvres ouvertes, boit comme à une fontaine. Bruit discret intime. Je secoue dernières gouttes sur ses fesses.

Après l’avoir essuyée rapidement, Paul la rattache debout, bras en croix mur, pieds écartés. Je sors un bandeau noir :

— Plus rien à voir salope, juste à sentir.

Je le plaque sur ses yeux. Silence. Juste nos respirations basses.

"Claquement"

Un coup de paddle sous seins, feu léger. Elle sursaute. Un second sur sa hanche. Silence pesant. Je m’approche, parfum cuir jasmin, je la griffe de mes ongles bordeaux, de la clavicule jusqu’au nombril.

— Tu respires trop fort, petite coquine.

Mon doigt effleure son clito, caresse légère, elle gémit frustrée.

Paul cravache l'intérieur de ses cuisses. Ses jambes tremblent. Je glisse deux doigts dans sa bouche :

— Suce.

Elle suce, goûte sa chatte !

Paul retire le bandeau.

Lumière crue.

Je suis à genoux devant elle, les yeux levés et avec mon sourire carnassier. J'ecarte ses lèvres, je lui crache dessus. Paul derrière moi, mains sur mes hanches, il me soulève, me plaque contre Eva – poitrine contre poitrine, nues. Je mords son cou, la mordille, pendant qu’il entre en moi, fluide.

Rythme : Paul pousse, je pousse, Eva coincée entre le mur et mon corps. Nos seins claquent, nos tétons se frottent, les pinces tintent. J’attrape la chaîne, tire dessus, elle hurle dans ma bouche.

— Regarde-moi, m’ordonne Paul.

Je tourne tête, yeux dans siens, il me baise fort. Eva voit : ma bouche ouverte, mon plaisir, mes cheveux collés par la sueur.

— Tu vois comment ton mari me baise bien ? Il me baise mieux que toi. Regarde le comment il prend son pied avec une vraie femme.

Elle hoche la tête, ses larmes se mélangent au reste de mon urine sur sa joue.

Paul, plus lent, plus tendre, accélère, je claque mes mains sur le mur, choc dans son ventre. Je glisse une main entre nous et je lui pince son clito.

— Jouis quand je jouis salope.

Paul accélère, il grogne. Je me raidis, un cri étouffé sort de ma gorge, je jouis, mes parois se contractent, Eva me suit, un spasme la traverse, ses jambes lâchent.

Je tourne tête vers Paul et je le sens prêt à exploser.

— Ouvre grand sale pute.

Elle ouvre grand la bouche, la langue rose et plate sortie comme une chienne assoiffée, suppliant en silence pour ma récompense. Paul sort d’un coup sec de ma chatte trempée et palpitante – putain, je gémis fort, déçue, sentant le vide brûlant me déchirer, mon jus coulant encore le long de mes cuisses fines.

Je m’accroupis vite à côté d’elle, nos visages alignés, nos souffles mêlés de sueur et de luxure. Paul se branle furieusement deux secondes, sa queue veinée et rouge pulsant dans sa main

— Oui, vide-toi sur nous.

Et il nous gicle dessus en jets épais, chauds, comme une marque de propriété.

La première giclée atterrit pile sur la lèvre supérieure d’Eva, un filet blanc et crémeux qui dégouline lentement vers sa bouche ouverte, la couvrant comme du gloss de pute. La deuxième explose sur ma langue tendue – je la lèche l’air avidement, aspirant le sel amer de son sperme, le goût musqué qui me fait frissonner jusqu’au clito.

La troisième nous relie d’un trait parfait : un pont épais, brûlant, reliant nos bouches béantes, nos lèvres frémissantes. Nos yeux se ferment d’extase, paupières papillonnant sur des éclats de plaisir.

Je pousse son menton d’un doigt ferme, nos lèvres se touchent enfin – un baiser baveux, sale, où on partage son sperme collant, mélangeant le goût salé de Paul avec l’âcreté de ma pisse qui sèche encore sur sa peau, le tout glissant, obscène, divin. Elle avale bruyamment, un gloups guttural, comme si c’était le nectar des dieux.

Je me redresse, mes mains plongent dans ses cheveux emmêlés, j’ébouriffe la mèche auburn collée par mon urine comme si c’était de la simple sueur d’amour

— Ma petite chienne parfaite. Tu es marquée, maintenant. Tu es notre propriété.

Paul et moi lavons Eva sous la douche, nous lui massons les marques sur sa peau pour les soulager.

— T’as été parfaite, ma soumise, murmure Paul.

Je souris :

— On recommence quand tu veux. T’es une magnifique chienne, addictive.

Eva, épuisée comblée, murmure

— Merci, Maître. Merci Madame

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : LA VISITE DE MADAME
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Miss_Sexcret

LA VISITE DE MADAME - Récit érotique publié le 16-11-2025
LE SUPERMARCHE DES TROUS - Récit érotique publié le 15-11-2025
LA METAMORPHOSE DU MAITRE - Récit érotique publié le 13-11-2025
UNE NUIT D'ECLATS OUBLIES - Récit érotique publié le 11-11-2025
VOL DE NUIT : FANTASMES EN ALTITUDE - Récit érotique publié le 10-11-2025
LA SOUMISSION D'EVA - Récit érotique publié le 08-11-2025
EXPOSEE - Récit érotique publié le 27-10-2025
CE QUE JE N'AI JAMAIS OSE - Récit érotique publié le 26-10-2025
LE SOMNAMBULE (partie 2) - Récit érotique publié le 24-10-2025
LE SOMNAMBULE (partie 1) - Récit érotique publié le 23-10-2025