LE SOMNAMBULE (partie 1)

- Par l'auteur HDS Miss_Sexcret -
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Récit libertin : LE SOMNAMBULE (partie 1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE SOMNAMBULE (partie 1)
Est-ce que vous avez déjà rêvé de faire ce que vous vouliez a un mec sans que lui s’en apercevoir ? Quand j’étais en colocation à Odessa un de mes coloc, le beau JB avait des crises de somnambulisme. JB vous vous en souvenez? Ce bel étudiant en dentisterie, camerounais, grand, musclé avec sa queue de 20 cm.

Avec ma coloc Aliona on riait beaucoup a le voir comme ça et on s’imaginait lui faire des trucs sexuels sans qu’il ne s’en souvienne. C’est comme ça qu’est né ce fantasme que je m’apprête à vous conter.


LE SOMNAMBULE (partie 1)


Je me souviens encore de mon arrivée à Odessa, ce petit appartement du centre-ville qu’on partageait à cinq. Le chauffage grinçait, les fenêtres fermaient mal, mais la coloc avait du charme. Et surtout, il y avait JB.

JB, c’était notre soleil noir. Camerounais, vingt-quatre ans, étudiant en dentisterie. Grand, puissant, avec cette musculature naturelle qu’on devinait même sous ses sweats informes. Il avait un sourire calme, timide parfois, mais ses yeux, eux, ne riaient pas. Ils regardaient. Profondément.

Il ne parlait pas beaucoup, sauf quand on le lançait sur les molaires ou les systèmes d’implantation en titane. Mais dès qu’il enlevait son t-shirt – et il l’enlevait souvent – je n’entendais plus rien. Je ne voyais que ce corps, sculpté, massif, et cette queue incroyable, qui m’avait laissée sans voix la première fois qu’il était sorti de la salle de bain en serviette.

Je n’étais pas la seule à le mater. Aliona, ma coloc ukrainienne, était discrète, androgyne, toujours en noir, avec ses cheveux courts et ses écouteurs vissés aux oreilles. Elle se disait lesbienne, mais même elle, parfois, se mordillait la lèvre en le regardant passer. On partageait ce secret silencieux. Notre admiration. Notre obsession.

Et puis, un soir, tout a changé.

C’était une nuit banale de février. Il avait neigé sur Odessa, et l’air était humide, lourd. Je m’étais couchée tard, après avoir corrigé quelques photos sur mon ordinateur, et je somnolais dans mon lit, les jambes nues, la couette en boule au pied du matelas.

Un bruit m’a réveillée.

Pas un claquement. Pas une voix. Un glissement. Comme un pas feutré dans le couloir. J’ai ouvert un œil. Puis l’autre. Il y avait de la lumière sous ma porte. Faible. Bleutée. La lumière du salon.

Je me suis levée, pieds nus sur le parquet froid, et j’ai entrouvert la porte sans bruit.

C’était JB.

Il marchait lentement, torse nu, juste un caleçon gris sur ses hanches larges. Il avait l’air ailleurs. Ses bras pendaient un peu, ses yeux étaient ouverts mais flous, presque vitreux. Il ne voyait rien. Il était en train de faire une de ses crises de somnambulisme.

J’avais entendu parler de ça une fois, mais je ne l’avais encore jamais vu. Mon cœur battait fort, pas de peur… non, de trouble. Ce n’était pas normal. Il semblait… offert. Sans défense.

Il s’est arrêté dans le salon. Il s’est assis sur le canapé, lentement. Puis il s’est levé de nouveau, et s’est mis à défaire lentement son caleçon.

Je suis restée figée.

Il était nu.

Sa queue est tombée devant lui, magnifique, imposante même au repos. Épaisse. Lourde. Belle. J’en ai eu le souffle coupé. J’ai senti un liquide chaud couler entre mes cuisses. J’étais excitée comme jamais. Hypnotisée.

À ce moment-là, j’ai entendu un grincement derrière moi. Je me suis retournée : Aliona était debout, dans l’ombre de sa porte, une tasse à la main. Elle aussi avait vu.

Elle a murmuré, à peine audible : — Putain… Il est somnambule ?

J’ai hoché la tête, incapable de parler. Nos regards se sont croisés, complices, surpris, excités.

JB a continué à marcher, nu, comme un automate. Il a fait le tour du salon, a ouvert un placard, l’a refermé, puis s’est assis sur le canapé à nouveau, la tête penchée en avant.

J’ai chuchoté à Aliona, le souffle court : — Tu crois qu’il sent quelque chose ? Elle a souri en coin : — Peut-être... mais il s’en souviendra pas.

Un frisson m’a traversée. Le fantasme venait de naître, là, entre cette tension, cette nudité inconsciente, et ce regard échangé. Ce soir-là, on n’a rien fait. On a juste observé. Fascinées. Humides. Troublées.

Mais dans mon lit, plus tard, la main entre mes cuisses, j’ai rejoué la scène. Dix fois. Vingt fois. Jusqu’à jouir en imaginant ma langue sur lui pendant qu’il dormait.

Les jours qui ont suivi, on n’en a pas reparlé tout de suite. Mais quelque chose avait changé.

Quand JB passait torse nu dans le couloir, je sentais mes yeux le suivre plus longtemps. Quand il s’asseyait sur le canapé pour manger son riz ou bosser sur ses dossiers, Aliona et moi échangions un regard rapide, une ombre de sourire.

Et puis, une nuit, il a recommencé.

Même scénario. Mêmes gestes. Il s’était levé nu, avait erré doucement jusqu’au salon. Cette fois, Aliona était déjà réveillée, assise en tailleur sur le comptoir, buvant du thé.

— Deux fois en une semaine, m’a-t-elle dit, l’air amusé. — Tu crois qu’il le fait exprès ? j’ai murmuré. — Tu veux dire... qu’il rêve qu’on le mate ?

Elle a ri, doucement. Puis elle a levé les yeux vers moi : — Tu y penses, hein ?

Je n’ai rien dit. Mon silence a parlé pour moi.

Elle a descendu sa tasse, lentement. — Tu ferais quoi, si tu pouvais ? Sans qu’il s’en souvienne ?

J’ai senti mes joues chauffer. Mon ventre se nouer. — Je crois que je l’embrasserais là, ai-je murmuré. Doucement. Juste pour sentir.

Elle s’est approchée de moi. Très près. — Moi, j’aimerais le lécher. Juste le bout. Juste une fois.

J’ai tremblé. Ce n’était plus un simple jeu. C’était devenu réel. Érotique. Puissant. Et tabou.

JB était dans la pièce d’à côté, nu, absent. Sa respiration régulière. Son corps offert, sans résistance. Il ne savait rien de ce qui s’échangeait entre nous.

— On pourrait tester, a dit Aliona. Une caresse. Un frôlement. Juste pour voir. — T’es sérieuse ? — Toi aussi, non ?

Elle s’est approchée, son visage à quelques centimètres du mien. Son souffle sentait le thé noir et la menthe. Ses yeux brillaient.

On n’a rien fait cette nuit-là non plus. On s’est contentées d’observer encore. De le regarder se rassoir, baisser la tête, puis retourner lentement dans sa chambre, sa queue balançant légèrement.

Mais dès le lendemain, c’est devenu un jeu. Un secret entre nous. On guettait. On l’attendait. Et on imaginait ce qu’on ferait, si l’occasion se présentait.

On avait franchi un cap. Il ne restait plus qu’un pas à faire.



Ce soir-là, tout était calme.

Il était un peu plus d’une heure du matin. JB dormait depuis longtemps, porte entrouverte, comme toujours. Je scrollais sur mon téléphone dans le noir, distraite, pas vraiment fatiguée. Puis j’ai entendu le parquet craquer.

Un bruit léger. Rythmique. Reconnaissable.

Je me suis levée sans réfléchir, comme attirée. J’ai passé la tête hors de ma chambre.

Il était là. Debout. Nu.

Ses pas étaient lents, presque flottants. Ses bras ballants. Son visage lisse, déconnecté. JB en pleine crise.

Je suis sortie sur la pointe des pieds. Et dans l’ombre du couloir, Aliona m’attendait déjà.

Elle ne disait rien. Elle avait les cheveux en bataille, un grand t-shirt noir qui laissait deviner ses jambes nues en dessous. Elle m’a lancé un regard rapide, intense. Complice.

Sans un mot, on l’a suivi. JB est allé dans la cuisine. Il a ouvert le frigo, l’a regardé un moment sans rien toucher, puis s’est tourné, le sexe à l’air, tranquille, massif, lourd. C’était presque irréel. Comme si le temps s’était figé autour de lui.

Puis elle a bougé.

Aliona.

Elle s’est approchée. Doucement. Très lentement. Elle a posé sa main sur le rebord du comptoir, puis l’autre à quelques centimètres du torse de JB.

Il n’a pas réagi.

Elle s’est penchée un peu. J’ai arrêté de respirer.

Ses doigts se sont approchés… centimètre par centimètre. Puis ils ont frôlé la base de sa queue. Un effleurement. Léger. Comme une caresse par accident.

Mais ce n’était pas un accident.

C’était la première fois.

Elle l’a touché.

Il a respiré un peu plus fort, un soupir presque inaudible. Mais il n’a pas bougé. Rien dans ses yeux. Rien sur son visage.

Aliona s’est figée. Moi aussi.

Puis elle a levé les yeux vers moi, à la fois fière et terrifiée, les joues rouges, les lèvres entrouvertes.

Elle a chuchoté : — Il est chaud… comme du marbre vivant…

J’étais fascinée. En feu. Humide jusqu’au fond de ma culotte.

Elle s’est retirée doucement. Le cœur battant. JB s’est retourné comme un pantin de théâtre et est retourné dans sa chambre, nu, comme si rien ne s’était passé.

On est restées là, figées, tremblantes. Puis on a éclaté de rire. Étouffé. Complice. Nerveux.

Le jeu avait commencé.

Et il n’y aurait plus de retour en arrière.

Il était un peu plus de deux heures.

Je n’arrivais pas à dormir. Mon corps était en alerte, depuis plusieurs nuits déjà. En attente. À l’affût. Je me levais souvent, pieds nus, juste pour guetter. Écouter. Espérer.

Et ce soir-là, je l’ai entendu.

Le parquet, une fois encore. Lent. Profond. Puis un souffle. Des pas nus. Et un mouvement dans la lumière du salon.

Je me suis avancée sans un bruit. La porte de ma chambre grinçait un peu, je la retenais d’un doigt. Le silence était total, épais, presque sacré.

JB était là. Nu. Debout au milieu du salon.

Mais cette fois, quelque chose était différent.

Il respirait fort. Lentement, mais avec une intensité nouvelle. Sa main droite glissait déjà le long de sa cuisse. Puis, doucement, elle est montée. Elle a attrapé sa queue, gonflée, presque totalement en érection.

J’ai ouvert la bouche sans dire un mot. Hypnotisée.

Il ne semblait pas réveillé. Ses yeux étaient perdus. Vides. Il ne regardait rien. Mais son corps, lui, savait. Il se caressait. Lentement. Fort.

Je suis restée figée dans l’ombre, à moins de trois mètres. En feu.

Puis j’ai senti un souffle derrière moi. C’était Aliona, silencieuse comme un chat. Elle s’est approchée à mon oreille et a chuchoté : — Il se branle...

J’ai hoché la tête, incapable de parler. JB gémissait très faiblement. Sa main glissait le long de sa queue, ferme, régulière. Le claquement sourd de la peau contre sa paume remplissait la pièce.

C’était irréel.

Il se masturbait. Devant nous. Endormi.

Aliona a posé une main sur mon bras, comme pour m’ancrer. On ne respirait plus. On n’existait plus que pour ça. Pour lui.

Et soudain, j’ai vu son bassin se contracter. Une vibration dans les abdos. Un râle étouffé dans la gorge. Sa main a accéléré, puis s’est figée.

Il a joui.

Un jet blanc, épais, puissant, a jailli en arc sur le parquet. Puis un deuxième. Un troisième. Ses jambes ont tremblé légèrement. Son torse s’est relâché.

Le sperme coulait lentement sur le sol, chaud, brillant sous la lumière faible de la cuisine.

JB, sans un mot, sans même ouvrir vraiment les yeux, a lâché sa queue, s’est retourné et est rentré dans sa chambre. Nu. Comme un automate.

Le silence est retombé.

Aliona et moi, on est restées là. Fascinées. Excitées. Tremblantes.

Puis elle a glissé sa main entre mes jambes, par-dessus ma culotte. — Tu sens comme t’es mouillée ?

J’ai gémi à peine. Elle m’a embrassée dans le cou, lentement. Sans qu’on ose aller plus loin. Pas ce soir-là.

Il y avait encore du sperme sur le sol, et cette image dans nos têtes qu’on n’oublierait jamais.

Le jeu ne faisait que commencer.

(à suivre)

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