LA SOUMISSION D'EVA

- Par l'auteur HDS Miss_Sexcret -
Auteur femme.
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Récit libertin : LA SOUMISSION D'EVA Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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LA SOUMISSION D'EVA
Ce fantasme n’est pas le mien. Il est celui d’une lectrice trop sage en apparence.

40 ans, mariée, prof… mais dans sa tête, elle veut être prise, humiliée, dominée par un jeune qui n’a aucune limite.

Ici, pas de romance, pas de règles, juste le désir cru qu’elle n’avouera jamais à personne… sauf à nous.

La Soumission Secrète d'Eva

Je m'appelle Eva, et à 40 ans, je suis cette femme que tout le monde voit comme l'incarnation de la stabilité : enseignante en littérature dans un lycée du sud de la France, mariée depuis quinze ans à un homme gentil mais absent, mère de deux enfants qui grandissent trop vite. Brune aux cheveux mi-longs qui cascadent sur mes épaules quand je les détache, un corps encore ferme malgré les années – des seins généreux, une taille marquée, des hanches qui ondulent sans que je le veuille. Mais derrière cette façade, il y a un feu qui couve, une frustration qui me ronge les nuits. J'aime être soumise. Pas juste un peu, pas pour jouer : j'ai besoin de me perdre, d'être contrôlée, humiliée, possédée. Mon mari, Paul, essaie. Il fait des efforts, pose une main ferme sur mon cou pendant l'amour, murmure des ordres timides. Mais son travail l'accapare – des réunions tardives, des voyages d'affaires – et au fond, il n'a pas ça en lui. Il est vanille, et moi, je rêve de chaînes invisibles qui me lient à un maître impitoyable.

C'est dans ma classe que tout a basculé. J'enseigne à des terminales, des jeunes de 18 ans et plus, prêts à quitter le nid pour l'université. Parmi eux, il y avait Lucas. 19 ans, grand, athlétique, avec des yeux noirs qui transpercent et un sourire en coin qui cache une assurance presque arrogante. Il n'était pas le meilleur élève – distrait, souvent en retard – mais il y avait quelque chose en lui qui me troublait. Ses regards insistants pendant les cours, la façon dont il répondait à mes questions avec une pointe de défi. Un jour, après un cours sur la littérature érotique – Sade, bien sûr, pour les faire penser au pouvoir et à la soumission – il est resté en salle.

— Madame, j'ai une question sur le texte.

Sa voix basse, presque un murmure. Je me suis approchée de son bureau, sentant déjà une chaleur traîtresse monter en moi. Il a levé les yeux, et là, sans préambule :

— Vous pensez vraiment que la soumission est libératrice ? Ou c'est juste une excuse pour ceux qui aiment être brisés ?

Ses mots m'ont figée. Mon cœur battait fort, et entre mes cuisses, une humidité soudaine. J'ai balbutié une réponse académique, mais il a souri, comme s'il savait.

— Peut-être que vous devriez l'essayer pour de vrai.

Il s'est levé, m'a frôlée en passant, et a laissé un papier sur mon bureau : son numéro de téléphone.

— Si vous voulez en discuter... en privé.

J'aurais dû le jeter. J'étais l'adulte, l'enseignante. Mais ce soir-là, chez moi, pendant que Paul ronflait à mes côtés, j'ai texté.

**Moi :** Explique-toi.

Sa réponse est venue immédiate.

**Lucas :** Je sais ce que vous voulez, Eva. Pas madame. Eva. Et je peux vous le donner. Soyez à l'hôtel du Vieux Port demain soir, 20h. Portez une jupe courte, pas de culotte. C'est un ordre.

Mon corps a réagi avant mon esprit : un frisson d'excitation mêlé à de la peur. Était-ce de la folie ? J'avais deux enfants, une vie rangée. Mais la frustration était trop forte. Le lendemain, après les cours, j'ai prétexté une réunion pour m'éclipser. J'ai choisi une jupe noire moulante qui s'arrêtait mi-cuisses, un chemisier blanc qui laissait deviner mes tétons durcis par l'anticipation. Pas de culotte, comme ordonné – le vent frais du sud contre ma peau nue me rappelait constamment ma vulnérabilité. À l'hôtel, une chambre anonyme m'attendait. Lucas était là, assis sur le lit, en jean et t-shirt noir, l'air maître des lieux.

— Entre, Eva. Ferme la porte.

Sa voix était calme, autoritaire. Pas de bonjour, pas de sourires inutiles.

Je suis entrée, le cœur cognant. Il s'est levé, m'a tournée dos à lui, et sans un mot, a relevé ma jupe. Ses doigts ont effleuré mon sexe, confirmant mon obéissance.

— Bien. Tu es déjà mouillée. Salope frustrée.

Les mots m'ont giflée, mais au lieu de la colère, une vague de désir. Il m'a poussée contre le mur, une main sur ma nuque.

— À genoux.

J'ai obéi, tremblante. Il a déboutonné son jean, libérant son sexe dur, veiné, imposant pour son âge.

— Suce-moi. Montre-moi à quel point tu en as besoin.

J'ai ouvert la bouche, l'avalant lentement, sentant son goût salé, sa main dans mes cheveux me guidant plus profond. Il n'était pas doux : il poussait, me faisant tousser, des larmes aux yeux.

— C'est ça, avale tout. Tu es faite pour ça, Eva. Pas pour enseigner, pour sucer.

L'humiliation me brûlait, mais elle allumait un feu en moi que Paul n'avait jamais touché. Lucas m'a relevée, m'a déshabillée sans ménagement, jetant mes vêtements au sol. Nue, exposée, je me sentais petite, vulnérable. Il m'a attachée les mains au-dessus de la tête avec sa ceinture, accrochée à la porte de la salle de bain.

— Écarte les jambes.

J'ai obéi, et il a sorti un petit vibromasseur de sa poche – préparé, le salaud. Il l'a allumé, le pressant contre mon clitoris sans pénétrer.

— Supplie-moi.

— S'il te plaît, Lucas... Maître...

Le mot est sorti naturellement. Il a ri.

— Pas encore. Dis-moi ce que tu es.

— Une soumise... une pute frustrée...

Il a augmenté la vibration, me faisant gémir, mais s'arrêtait chaque fois que j'approchais de l'orgasme.

— Pas sans permission.

Pendant une heure, il m'a edging – me portant au bord, me refusant. Mes jambes tremblaient, mon sexe dégoulinait sur mes cuisses. Enfin, il m'a détachée, m'a jetée sur le lit à plat ventre.

— Cambre-toi.

Ses mains ont claqué sur mes fesses, dures, laissant des marques rouges. Chaque fessée envoyait des ondes de douleur-plaisir.

— Compte.

— Un... deux...

À dix, j'étais en larmes, suppliante. Il a lubrifié ses doigts, les insérant dans mon cul sans avertissement.

— Ton mari ne te touche pas là, hein ? C'est à moi maintenant.

Il m'a préparée, étirant, puis a enfilé un préservatif et m'a pénétrée analement, lentement d'abord, puis avec force. La brûlure était intense, mais je me suis ouverte, gémissant comme une chienne en chaleur. Il me tenait les hanches, pilonnant, sa main autour de mon cou.

— Tu es mienne, Eva. Dis-le.

— Je suis à toi, Maître...

L'orgasme m'a terrassée, un spasme violent qui m'a fait squirter sur les draps. Il a continué, me remplissant jusqu'à ce qu'il jouisse à son tour, grognant dans mon oreille. Après, il m'a fait nettoyer sa queue avec ma bouche, goûtant notre mélange.

— Bonne fille.

Il m'a laissée partir avec un ordre :

— Demain, en cours, porte un plug. Je vérifierai.

C'était le début. Lucas est devenu mon maître secret. En classe, il était discret, mais ses textos arrivaient pendant les leçons :

**Lucas :** Pousse le plug plus profond.

J'enseignais, le visage rouge, sentant l'objet en moi me rappeler ma soumission. À la maison, je mentais à Paul – des corrections tardives, des sorties avec des collègues. Mais avec Lucas, je vivais. Nos rencontres se faisaient dans des endroits risqués : son appartement d'étudiant, une fois dans ma salle de classe après les heures, où il m'a baisée sur mon bureau, mes copies éparpillées. Il m'humiliait : me faisait porter des colliers discrets sous mes vêtements, m'ordonnait de me masturber en visio pendant qu'il regardait, critiquant ma performance.

— Plus vite, salope. Pense à ton mari qui ne te satisfait pas.

Un soir, il a poussé plus loin.

— Ce week-end, Paul est en voyage ? Parfait. Viens chez moi. Apporte des cordes.

J'ai obéi, tremblante d'excitation. Chez lui, un studio étudiant bordélique, il m'a attachée à quatre pattes sur le lit, les poignets et chevilles liés aux montants. Aveuglée par un foulard, je n'entendais que sa voix.

— Aujourd'hui, on teste tes limites.

Il a sorti des pinces à tétons, les fixant, la douleur aiguë me faisant crier. Puis un fouet – un vrai, en cuir souple. Les coups pleuvaient sur mes fesses, mon dos, mes cuisses. Chaque impact était une explosion : rouge, brûlant, libérateur.

— Rouge pour stop, jaune pour ralentir.

Je n'ai pas dit rouge. Au contraire, je suppliais pour plus.

Il m'a fouettée jusqu'à ce que ma peau marque, puis a calmé avec de la glace, alternant froid et chaud. Ses doigts exploraient partout : mon sexe, mon cul, même ma bouche qu'il remplissait de ses doigts pour me faire taire.

— Tu es une chienne, Eva. Ma chienne enseignante.

Il m'a prise par derrière, vaginalement d'abord, puis anal, switchant sans ménagement, me faisant hurler de plaisir-douleur. Un vibro sur mon clitoris amplifiait tout. J'ai joui trois fois, convulsant contre les liens, mon corps en sueur, marqué. Après, il m'a détachée, m'a tenue dans ses bras – un aftercare inattendu pour un si jeune maître.

— Tu as été parfaite.

Pour la première fois depuis des années, je me sentais vue, désirée, complète.

Mais la double vie pesait. Mes enfants sentaient mon absence, Paul posait des questions. Lucas devenait possessif :

— Quitte-le. Sois à moi pleinement.

Je résistais, mais chaque session me liait plus. Une nuit, dans un parc isolé près de la mer – le vent salé sur ma peau nue sous mon manteau – il m'a fait marcher en laisse, à quatre pattes sur l'herbe humide.

— Pisse pour moi, comme une animale.

L'humiliation suprême : je me suis accroupie, urine coulant sur mes cuisses pendant qu'il filmait avec son téléphone.

— Pour te rappeler qui tu es.

Puis il m'a baisée contre un arbre, dur, rapide, me laissant couverte de boue et de sperme.

C'était trop. Ou pas assez ? La frustration initiale s'était muée en addiction. Lucas me dominait non seulement le corps, mais l'âme. En cours, ses yeux sur moi me faisaient mouiller instantanément. Une fois, il m'a ordonné de me doigter sous mon bureau pendant une interro – j'ai obéi, mordant ma lèvre pour ne pas gémir. À la maison, le sexe avec Paul était fade, mécanique. Je fantasmais sur Lucas même en le chevauchant.

Le climax est venu lors d'une "soirée spéciale". Lucas m'a invitée chez un ami – un autre étudiant, plus âgé, 22 ans, complice.

— Ce soir, tu sers deux maîtres.

Panique et excitation. Attachée nue au centre de la pièce, ils m'ont utilisée : bouches sur mes seins, doigts partout, queues alternant dans ma bouche, mon sexe, mon cul. Double pénétration – l'un devant, l'autre derrière – me déchirant, me comblant. J'ai crié, supplié, joui comme jamais, mon corps un instrument de leur plaisir. Ils m'ont couverte de leur semence, me forçant à lécher le sol après.

— Bonne esclave.

Rentrer chez moi ce soir-là a été dur. Mon corps marqué – bleus, morsures – cachés sous des vêtements longs. Paul a remarqué :

— Tu as l'air épuisée.

J'ai souri faiblement.

— Juste le boulot.

Mais intérieurement, je bouillonnais. Était-ce la liberté que je cherchais ? Ou une prison plus douce ?

Aujourd'hui, je continue. Lucas est mon maître, et je suis sa soumise. Les risques sont là – découverte, scandale – mais le feu l'emporte. Parce qu'au fond, comme dans mes fantasmes les plus sombres, la soumission n'est pas une faiblesse : c'est ma force. Et si tu lis ça, Eva – ou celle qui se reconnaît –, souviens-toi : parfois, il faut un étudiant pour te rappeler qui tu es vraiment.

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