LE SOMNAMBULE (partie 2)
Récit érotique écrit par Miss_Sexcret [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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LE SOMNAMBULE (partie 2)
LE SOMNAMBULE (partie 2)
On est restées là, debout dans la pénombre du salon, les jambes tremblantes, le souffle coupé. Le parquet brillait encore par endroits, maculé de sperme tiède. Et JB, lui, dormait à nouveau dans sa chambre, comme si rien ne s’était passé.
Je crois que c’est à ce moment-là que j’ai tourné la tête vers Aliona. Elle me regardait déjà.
Son visage était différent. Moins dur. Plus ouvert. Les yeux grands, brillants. Sa main n’avait pas quitté ma cuisse, là où elle m’avait frôlée plus tôt. Sa paume était chaude.
— Tu veux pas qu’on en parle ? a-t-elle murmuré.
J’ai haussé les épaules, le cœur battant.
— Si on en parle, ça deviendra réel.
Elle a souri. Un sourire tendre, presque timide. Puis elle s’est approchée. Lentement. Très lentement. Elle a glissé ses doigts contre ma joue, a repoussé une mèche de cheveux derrière mon oreille.
— C’est déjà réel, Kristina.
Je n’ai rien dit. J’ai simplement fermé les yeux.
Ses lèvres ont effleuré les miennes.
Un baiser. Léger. Suspendu. Puis un deuxième, plus lent, plus profond. Et là, tout a fondu. La tension, la peur, le fantasme refoulé.
Je l’ai attirée contre moi. Elle portait toujours son grand t-shirt noir, et moi ma culotte mouillée, collée à mon sexe. Ses mains sont passées sous mon haut, sur ma peau nue. Elle m’a poussée doucement contre le mur du couloir.
On s’est embrassées comme deux filles en manque. Deux complices. Deux gamines excitées par leur secret. Ses doigts sont descendus, ont glissé sous l’élastique de ma culotte. Elle a senti l’humidité, et a souri contre ma bouche.
— C’est pour lui… hein ? — Pour toi aussi… maintenant…
Elle s’est agenouillée devant moi. Là, au bord du salon, à un mètre du parquet taché par JB. Elle m’a regardée de bas, a baissé lentement ma culotte, puis m’a léchée. Une première fois, doucement. Puis plus franchement. Je me suis agrippée au mur. J’ai gémi, étouffé, la tête renversée en arrière.
Elle savait exactement ce qu’elle faisait.
Ses doigts ont pénétré, ses lèvres ont pressé, sa langue a tourné. Je suis venue très vite. Le visage enfoui dans mes cuisses, elle a tout pris, calmement.
Quand elle s’est relevée, ses lèvres brillaient un peu. Elle m’a regardée avec un air de fierté silencieuse. Elle a passé un doigt sur ma bouche.
— T’as pas idée de ce que j’ai envie de toi.
Je l’ai prise par la main et l’ai entraînée dans ma chambre. Cette nuit-là, on n’a pas dormi. On a fait l’amour à l’ombre du souvenir de JB. Son image dans nos têtes. Sa semence encore présente dans le salon.
Mais cette fois, c’était nous, rien que nous. Deux filles, deux complices, liées par un secret de plus en plus brûlant.
Le lendemain, Aliona ne m’a rien dit. Elle s’est levée avant moi, a bu son thé sur le balcon, les jambes croisées, les yeux dans le vague. Mais je voyais son sourire au coin des lèvres. Son silence était complice, brûlant.
On n’a pas eu besoin de mots.
Ce qu’on avait partagé cette nuit-là n’était pas une parenthèse. C’était une entrée. Une porte ouverte. Et je savais déjà que je voulais plus.
Je voulais le toucher. Vraiment.
Ce n’était pas juste le fantasme de la soumission, de la domination douce, de l’homme inconscient et puissant à la fois. C’était lui. JB. Sa chaleur. Son corps magnifique, offert, inconscient. Et cette idée dérangeante : je pouvais faire ce que je voulais. Il ne saurait rien.
La nuit est tombée. Aliona m’a lancée un regard, puis est allée se coucher. Ou faire semblant. Moi, j’ai attendu. Le cœur battant.
Vers deux heures, j’ai entendu la porte de sa chambre s’ouvrir.
Pas un mot. Pas un bruit. Juste ses pas.
JB.
Nu.
Comme toujours.
Il est passé lentement devant ma porte. J’ai eu un frisson en voyant sa queue déjà mi-dure, ballottant doucement, son torse puissant se soulevant à chaque souffle. Il est allé dans le salon, s’est arrêté au milieu, puis s’est assis.
Comme s’il m’attendait.
J’ai quitté ma chambre. En culotte. Un débardeur sans soutien-gorge. Pieds nus.
Il ne m’a pas vue.
Je me suis approchée. Lentement. Chaque pas était une éternité. Mon souffle était saccadé. Je sentais déjà ma culotte coller à ma chatte.
Je me suis accroupie devant lui.
Ses jambes étaient écartées. Offertes.
J’ai tendu la main.
Ma paume a frôlé l’intérieur de sa cuisse. Il n’a pas réagi. J’ai glissé plus haut. J’ai effleuré ses testicules. Lourds. Chauds. Puis, très doucement, j’ai pris son sexe dans ma main.
Il était tiède. Dense. Magnifique.
J’ai commencé à le caresser. Longs mouvements. Lents. J’entendais ma respiration. Et ses soupirs, faibles, presque imperceptibles. Il bougeait à peine, mais son sexe, lui, se dressait.
Je l’ai porté à ma bouche. Je l’ai goûté. Un instant. Juste le bout. Puis un peu plus. Puis toute la longueur.
Ma langue tournait, aspirait. Ma main accompagnait. Mon autre main caressait ses abdos, ses hanches, ses cuisses contractées.
Il gémit. Faiblement. Les yeux toujours perdus dans le vide.
Je le suçais, à genoux, nue presque, excitée comme jamais. Sa queue entrait dans ma gorge. Ma salive coulait le long de mon menton. Mon ventre se tordait de plaisir.
Et puis soudain… il m’a caressée.
Sa main a glissé dans mes cheveux. Doucement. Comme un réflexe. Sans conscience.
Mais cette caresse m’a retournée.
Je me suis retirée lentement, le souffle court. Je l’ai regardé. Il ne voyait toujours rien.
Il a gémi une dernière fois, sa queue a tressailli. Mais je ne l’ai pas laissé jouir.
Pas encore.
Je suis retournée dans ma chambre, tremblante, ivre. Ma culotte trempée, mes lèvres gonflées, ma bouche pleine de son goût.
Je venais de franchir la ligne.
Et je savais que je n’en resterais pas là.
Le lendemain matin, on ne s’est pas parlées. Pas besoin. Aliona m’a simplement regardée avec ce petit sourire en coin. Elle savait.
Et moi, je n’avais plus envie de faire semblant.
La nuit suivante, c’est elle qui est venue me chercher.
Il devait être une heure trente. J’étais déjà nue sous mes draps, une main entre les cuisses, incapable de penser à autre chose. Elle a entrouvert la porte, s’est penchée vers moi et a murmuré :
— Il est debout. Il est nu. Viens.
Mon cœur s’est emballé. J’ai enfilé un débardeur, laissé tomber la culotte. Pieds nus, mouillée déjà. On est sorties ensemble, comme deux gamines dans un rêve interdit.
JB était là, au milieu du salon. Nu. Son sexe pendait lourdement. Il se tenait debout, calme, le regard dans le vide. Le torse gonflé par sa respiration lente. Magnifique. Docile. Inconscient.
Aliona a chuchoté :
— On le prend ensemble ?
J’ai hoché la tête.
On s’est agenouillées, une de chaque côté.
Moi à sa gauche, elle à sa droite.
J’ai pris sa queue dans ma main. Elle a caressé ses testicules.
JB n’a pas bougé. Mais son sexe a réagi aussitôt. Il a commencé à gonfler, à battre dans ma paume. Aliona l’a effleuré du bout des doigts, sa langue est sortie, a léché la base lentement.
Je l’ai masturbé à deux mains, lentement, en sentant son souffle s’accélérer.
Puis elle l’a pris dans sa bouche, les yeux fermés. Elle l’a englouti jusqu’à la moitié. JB a gémi, doucement, le bassin légèrement en avant.
Quand elle s’est reculée, c’est moi qui ai pris le relais. Ma bouche était chaude, avide, douce. Nos langues se croisaient parfois sur sa peau. Nos mains s’alternaient.
On le branlait ensemble, comme une offrande à deux voix, deux bouches. JB se laissait faire, les bras ballants, la tête légèrement penchée.
C’était irréel.
Aliona a murmuré :
— Regarde comme il bande fort…
J’ai senti son regard sur moi pendant que je suçais. Elle s’est rapprochée, m’a embrassée à pleine bouche, goûtant le sexe de JB sur mes lèvres. Nos langues se mêlaient alors qu’on le masturbait encore.
Puis il a gémi plus fort. Ses jambes ont tremblé.
Je l’ai pris à deux mains, ferme, rapide. Aliona s’est penchée sur ses testicules, les suçant, les caressant avec une douceur infinie.
Il a éjaculé d’un coup sec.
Un jet puissant nous a éclaboussées. Sur nos mains, nos joues, nos lèvres. Puis un deuxième. Un troisième. Épais. Chaud. Il gémissait dans sa gorge, sans se réveiller.
On l’a caressé jusqu’au dernier spasme. On a tout reçu. Tout regardé. Tout partagé.
Puis, comme la fois d’avant, il s’est retourné. Calme. Et il est reparti se coucher, nu, tremblant à peine.
Nous, on est restées là. À genoux. Les mains pleines de sperme. Les lèvres brillantes.
Aliona m’a regardée, le souffle court. — C’était… parfait.
Je l’ai embrassée à nouveau, lentement, goulûment.
Et dans la salle de bain, plus tard, on s’est lavées ensemble. Longtemps. Très longtemps.
Je crois qu’on savait, Aliona et moi, qu’il restait une étape. La dernière. Celle qu’on se murmurait parfois du bout des lèvres, entre deux caresses, entre deux gorgées de vin, entre deux souvenirs brûlants du salon.
On avait goûté sa peau, sa chaleur, son sexe. On l’avait sucé, branlé, partagé. On s’était offertes l’une à l’autre avec lui comme lien, comme mythe, comme totem. Il ne manquait plus que ça.
Le prendre. L’avoir. Entièrement.
Ce soir-là, c’était décidé.
Ni Aliona ni moi n’avions dit les mots, mais tout était dans les regards, les gestes, la tension électrique qui flottait entre nous depuis des jours. On avait franchi toutes les limites, sauf une. Et ce soir-là, on allait la faire exploser.
JB dormait. Du moins, c’est ce qu’on croyait.
Vers deux heures, on a entendu sa porte. Les pas feutrés, le même souffle calme. Il était là, nu, majestueux, absent en apparence. Sa queue, encore au repos, balançait légèrement. Son torse luisait sous la lumière de la cuisine.
On s’est regardées, Aliona et moi, puis on a agi. Ensemble.
Elle l’a embrassé sur le torse, doucement. Moi, je me suis agenouillée, l’ai pris dans ma main, caressé jusqu’à sentir sa chaleur monter. Lentement, sa queue s’est durcie. Elle l’a léchée, moi je l’ai prise entre mes lèvres. Nos gestes étaient fluides, synchrones, complices.
Il gémissait légèrement. Mais ne bougeait pas. Pas encore.
Je me suis redressée. Mon sexe était trempé. Mon cœur battait comme un tambour. Je me suis assise sur le bord du canapé, jambes ouvertes, prête à le guider en moi.
Aliona s’est placée derrière, ses mains sur mes hanches, comme pour m’accompagner, m’offrir à lui.
Et là, sa main m’a saisie fermement.
Pas dans un réflexe inconscient. Non. Un geste clair. Volontaire. Maîtrisé.
Il m’a regardée droit dans les yeux.
— Tu pensais vraiment que je dormais encore ?
Mon corps s’est figé.
Aliona a levé la tête, interloquée. Il souriait. Pas moqueur. Pas dur. Un sourire tranquille, presque tendre.
— Je sais tout. Depuis la première nuit où Aliona m’a effleuré. Je n’étais pas si loin du réveil. Et je vous ai laissées faire. J’avais envie de voir. Jusqu’où vous iriez.
Je suis restée bouche bée. Mon sexe encore à nu, mes doigts tremblants.
— Et maintenant ? ai-je murmuré. — Maintenant ?
Il s’est approché. A pris mon menton entre ses doigts.
— Maintenant c’est mon tour de jouer. Mais cette fois, en toute conscience.
Puis il m’a embrassée. Violemment. Profondément. Ses mains ont glissé sous mes fesses, m’ont soulevée, m’ont guidée sur lui.
Je me suis empalée en un gémissement, les jambes autour de sa taille, sa queue énorme me remplissant d’un coup. J’ai senti son plaisir, sa force, son souffle chaud contre mon cou.
— Aliona, viens ici.
Elle s’est approchée, d’abord hésitante. Il l’a attirée à lui, l’a embrassée aussi. Profondément. Sa main a glissé entre ses cuisses, puis il l’a plaquée contre le mur.
Pendant qu’il me baisait, il la caressait.
Je me suis accrochée à lui, le dos cambré, les seins tendus, gémissante. Sa queue me pilonnait fort, profond. Il me regardait, les yeux brillants. — C’est ça que tu voulais, Kristina ? Me chevaucher pendant que je dors ? — Non… C’est toi que je voulais… éveillé. Fort. Comme ça.
Aliona est revenue derrière moi, m’a caressé les seins, m’a embrassée dans le cou pendant qu’il m’enfonçait jusqu’au fond. Nos corps formaient un cercle brûlant, une boucle de sueur, de salive, de jouissance.
JB m’a soulevée, puis posée sur la table basse. Il a pris Aliona dans ses bras, l’a mise à quatre pattes sur le canapé, l’a pénétrée sans attendre. Elle a crié. Fort. Vrai. Brut.
Et moi, je me suis masturbée devant eux, nue, trempée, regardant JB enfoncer sa queue en elle pendant que je jouissais encore de lui.
On a tourné. Partagé. Inversé. J’ai goûté Aliona, il nous a prises ensemble. À un moment, je ne savais plus qui je suçais, qui je touchais, si c’était ma main ou la sienne, son sexe ou le mien.
Mais je savais une chose :
Il était réveillé. Et nous aussi.
JB était partout à la fois. Sa queue, ses mains, sa voix.
Il nous dirigeait comme si nos corps lui appartenaient, comme s’il avait attendu ce moment depuis des semaines — et peut-être que oui, au fond. Aliona et moi n’étions plus que désir, chaleur, bouche ouverte, cuisses trempées.
Il a pris Aliona à genoux sur le sol, ses fesses levées, sa chatte offerte. Je la regardais se faire baiser, je voyais sa bouche se tordre sous la vague de plaisir. Elle hurlait, elle voulait tout.
— Plus fort, JB... là… oui, comme ça…
Je me suis approchée, nue, à genoux devant elle. J’ai embrassé sa bouche en feu, j’ai caressé ses seins pendant qu’il la pilonnait. Sa queue entrait et ressortait avec ce son humide qui me rendait folle.
Puis il l’a laissée là, haletante, et s’est tourné vers moi. Il m’a saisi par les hanches, m’a allongée sur la table basse, et sans prévenir, il m’a prise à nouveau.
Un seul coup de reins. Profond. Féroce. Je me suis cambrée, criée, griffée. Son sexe me défonçait avec une puissance rythmée, contrôlée. Il savait exactement ce qu’il faisait. Et moi, je devenais animale.
Aliona est revenue entre mes jambes, pendant qu’il me prenait. Elle m’a léché, là où nos peaux se frottaient, avalant nos fluides, me regardant dans les yeux pendant que JB m’emplissait jusqu’à m’en faire perdre la tête.
Puis il s’est arrêté.
Il s’est redressé. Haletant. Ses abdos tendus. Sa queue brillait, pulsait, gonflée, énorme.
— À genoux, toutes les deux.
On s’est regardées, et sans un mot, on s’est placées devant lui. Côtes à côtes. Nus. Offertes. Le dos droit. Les yeux levés.
Il s’est branlé devant nous. Lentement. Fort.
Aliona s’est approchée, a léché le bout. Moi j’ai caressé ses couilles, sa base, sa tige. On était en adoration.
Puis il a grogné. Fort. Long.
Son sperme a jailli.
Le premier jet a éclaboussé mon front, ma joue, mes lèvres. Le deuxième a frappé la gorge d’Aliona, coulé entre ses seins. Il en est venu encore, épais, chaud, visqueux. Sur nos visages, nos bouches, nos seins, nos ventres.
On était arrosées.
Il a lâché un dernier râle, puissant, bestial. Puis il a haleté, penché en avant, ses mains sur ses cuisses.
Je me suis tournée vers Aliona. Nos visages couverts de sperme, nos corps ruisselants. J’ai léché le coin de sa bouche. Elle a fait pareil. Puis on s’est embrassées.
Longtemps.
— Voilà, a soufflé JB. Maintenant, on est à égalité.
Et on a ri. Vraiment. Ensemble.
On est restés tous les trois nus sur le sol, collés, détendus, vidés. Il n’y avait plus ni jeu, ni secret, ni honte.
Juste trois corps. Trois désirs. Et une vérité brûlante :
on s’était trouvés.
On est restées là, debout dans la pénombre du salon, les jambes tremblantes, le souffle coupé. Le parquet brillait encore par endroits, maculé de sperme tiède. Et JB, lui, dormait à nouveau dans sa chambre, comme si rien ne s’était passé.
Je crois que c’est à ce moment-là que j’ai tourné la tête vers Aliona. Elle me regardait déjà.
Son visage était différent. Moins dur. Plus ouvert. Les yeux grands, brillants. Sa main n’avait pas quitté ma cuisse, là où elle m’avait frôlée plus tôt. Sa paume était chaude.
— Tu veux pas qu’on en parle ? a-t-elle murmuré.
J’ai haussé les épaules, le cœur battant.
— Si on en parle, ça deviendra réel.
Elle a souri. Un sourire tendre, presque timide. Puis elle s’est approchée. Lentement. Très lentement. Elle a glissé ses doigts contre ma joue, a repoussé une mèche de cheveux derrière mon oreille.
— C’est déjà réel, Kristina.
Je n’ai rien dit. J’ai simplement fermé les yeux.
Ses lèvres ont effleuré les miennes.
Un baiser. Léger. Suspendu. Puis un deuxième, plus lent, plus profond. Et là, tout a fondu. La tension, la peur, le fantasme refoulé.
Je l’ai attirée contre moi. Elle portait toujours son grand t-shirt noir, et moi ma culotte mouillée, collée à mon sexe. Ses mains sont passées sous mon haut, sur ma peau nue. Elle m’a poussée doucement contre le mur du couloir.
On s’est embrassées comme deux filles en manque. Deux complices. Deux gamines excitées par leur secret. Ses doigts sont descendus, ont glissé sous l’élastique de ma culotte. Elle a senti l’humidité, et a souri contre ma bouche.
— C’est pour lui… hein ? — Pour toi aussi… maintenant…
Elle s’est agenouillée devant moi. Là, au bord du salon, à un mètre du parquet taché par JB. Elle m’a regardée de bas, a baissé lentement ma culotte, puis m’a léchée. Une première fois, doucement. Puis plus franchement. Je me suis agrippée au mur. J’ai gémi, étouffé, la tête renversée en arrière.
Elle savait exactement ce qu’elle faisait.
Ses doigts ont pénétré, ses lèvres ont pressé, sa langue a tourné. Je suis venue très vite. Le visage enfoui dans mes cuisses, elle a tout pris, calmement.
Quand elle s’est relevée, ses lèvres brillaient un peu. Elle m’a regardée avec un air de fierté silencieuse. Elle a passé un doigt sur ma bouche.
— T’as pas idée de ce que j’ai envie de toi.
Je l’ai prise par la main et l’ai entraînée dans ma chambre. Cette nuit-là, on n’a pas dormi. On a fait l’amour à l’ombre du souvenir de JB. Son image dans nos têtes. Sa semence encore présente dans le salon.
Mais cette fois, c’était nous, rien que nous. Deux filles, deux complices, liées par un secret de plus en plus brûlant.
Le lendemain, Aliona ne m’a rien dit. Elle s’est levée avant moi, a bu son thé sur le balcon, les jambes croisées, les yeux dans le vague. Mais je voyais son sourire au coin des lèvres. Son silence était complice, brûlant.
On n’a pas eu besoin de mots.
Ce qu’on avait partagé cette nuit-là n’était pas une parenthèse. C’était une entrée. Une porte ouverte. Et je savais déjà que je voulais plus.
Je voulais le toucher. Vraiment.
Ce n’était pas juste le fantasme de la soumission, de la domination douce, de l’homme inconscient et puissant à la fois. C’était lui. JB. Sa chaleur. Son corps magnifique, offert, inconscient. Et cette idée dérangeante : je pouvais faire ce que je voulais. Il ne saurait rien.
La nuit est tombée. Aliona m’a lancée un regard, puis est allée se coucher. Ou faire semblant. Moi, j’ai attendu. Le cœur battant.
Vers deux heures, j’ai entendu la porte de sa chambre s’ouvrir.
Pas un mot. Pas un bruit. Juste ses pas.
JB.
Nu.
Comme toujours.
Il est passé lentement devant ma porte. J’ai eu un frisson en voyant sa queue déjà mi-dure, ballottant doucement, son torse puissant se soulevant à chaque souffle. Il est allé dans le salon, s’est arrêté au milieu, puis s’est assis.
Comme s’il m’attendait.
J’ai quitté ma chambre. En culotte. Un débardeur sans soutien-gorge. Pieds nus.
Il ne m’a pas vue.
Je me suis approchée. Lentement. Chaque pas était une éternité. Mon souffle était saccadé. Je sentais déjà ma culotte coller à ma chatte.
Je me suis accroupie devant lui.
Ses jambes étaient écartées. Offertes.
J’ai tendu la main.
Ma paume a frôlé l’intérieur de sa cuisse. Il n’a pas réagi. J’ai glissé plus haut. J’ai effleuré ses testicules. Lourds. Chauds. Puis, très doucement, j’ai pris son sexe dans ma main.
Il était tiède. Dense. Magnifique.
J’ai commencé à le caresser. Longs mouvements. Lents. J’entendais ma respiration. Et ses soupirs, faibles, presque imperceptibles. Il bougeait à peine, mais son sexe, lui, se dressait.
Je l’ai porté à ma bouche. Je l’ai goûté. Un instant. Juste le bout. Puis un peu plus. Puis toute la longueur.
Ma langue tournait, aspirait. Ma main accompagnait. Mon autre main caressait ses abdos, ses hanches, ses cuisses contractées.
Il gémit. Faiblement. Les yeux toujours perdus dans le vide.
Je le suçais, à genoux, nue presque, excitée comme jamais. Sa queue entrait dans ma gorge. Ma salive coulait le long de mon menton. Mon ventre se tordait de plaisir.
Et puis soudain… il m’a caressée.
Sa main a glissé dans mes cheveux. Doucement. Comme un réflexe. Sans conscience.
Mais cette caresse m’a retournée.
Je me suis retirée lentement, le souffle court. Je l’ai regardé. Il ne voyait toujours rien.
Il a gémi une dernière fois, sa queue a tressailli. Mais je ne l’ai pas laissé jouir.
Pas encore.
Je suis retournée dans ma chambre, tremblante, ivre. Ma culotte trempée, mes lèvres gonflées, ma bouche pleine de son goût.
Je venais de franchir la ligne.
Et je savais que je n’en resterais pas là.
Le lendemain matin, on ne s’est pas parlées. Pas besoin. Aliona m’a simplement regardée avec ce petit sourire en coin. Elle savait.
Et moi, je n’avais plus envie de faire semblant.
La nuit suivante, c’est elle qui est venue me chercher.
Il devait être une heure trente. J’étais déjà nue sous mes draps, une main entre les cuisses, incapable de penser à autre chose. Elle a entrouvert la porte, s’est penchée vers moi et a murmuré :
— Il est debout. Il est nu. Viens.
Mon cœur s’est emballé. J’ai enfilé un débardeur, laissé tomber la culotte. Pieds nus, mouillée déjà. On est sorties ensemble, comme deux gamines dans un rêve interdit.
JB était là, au milieu du salon. Nu. Son sexe pendait lourdement. Il se tenait debout, calme, le regard dans le vide. Le torse gonflé par sa respiration lente. Magnifique. Docile. Inconscient.
Aliona a chuchoté :
— On le prend ensemble ?
J’ai hoché la tête.
On s’est agenouillées, une de chaque côté.
Moi à sa gauche, elle à sa droite.
J’ai pris sa queue dans ma main. Elle a caressé ses testicules.
JB n’a pas bougé. Mais son sexe a réagi aussitôt. Il a commencé à gonfler, à battre dans ma paume. Aliona l’a effleuré du bout des doigts, sa langue est sortie, a léché la base lentement.
Je l’ai masturbé à deux mains, lentement, en sentant son souffle s’accélérer.
Puis elle l’a pris dans sa bouche, les yeux fermés. Elle l’a englouti jusqu’à la moitié. JB a gémi, doucement, le bassin légèrement en avant.
Quand elle s’est reculée, c’est moi qui ai pris le relais. Ma bouche était chaude, avide, douce. Nos langues se croisaient parfois sur sa peau. Nos mains s’alternaient.
On le branlait ensemble, comme une offrande à deux voix, deux bouches. JB se laissait faire, les bras ballants, la tête légèrement penchée.
C’était irréel.
Aliona a murmuré :
— Regarde comme il bande fort…
J’ai senti son regard sur moi pendant que je suçais. Elle s’est rapprochée, m’a embrassée à pleine bouche, goûtant le sexe de JB sur mes lèvres. Nos langues se mêlaient alors qu’on le masturbait encore.
Puis il a gémi plus fort. Ses jambes ont tremblé.
Je l’ai pris à deux mains, ferme, rapide. Aliona s’est penchée sur ses testicules, les suçant, les caressant avec une douceur infinie.
Il a éjaculé d’un coup sec.
Un jet puissant nous a éclaboussées. Sur nos mains, nos joues, nos lèvres. Puis un deuxième. Un troisième. Épais. Chaud. Il gémissait dans sa gorge, sans se réveiller.
On l’a caressé jusqu’au dernier spasme. On a tout reçu. Tout regardé. Tout partagé.
Puis, comme la fois d’avant, il s’est retourné. Calme. Et il est reparti se coucher, nu, tremblant à peine.
Nous, on est restées là. À genoux. Les mains pleines de sperme. Les lèvres brillantes.
Aliona m’a regardée, le souffle court. — C’était… parfait.
Je l’ai embrassée à nouveau, lentement, goulûment.
Et dans la salle de bain, plus tard, on s’est lavées ensemble. Longtemps. Très longtemps.
Je crois qu’on savait, Aliona et moi, qu’il restait une étape. La dernière. Celle qu’on se murmurait parfois du bout des lèvres, entre deux caresses, entre deux gorgées de vin, entre deux souvenirs brûlants du salon.
On avait goûté sa peau, sa chaleur, son sexe. On l’avait sucé, branlé, partagé. On s’était offertes l’une à l’autre avec lui comme lien, comme mythe, comme totem. Il ne manquait plus que ça.
Le prendre. L’avoir. Entièrement.
Ce soir-là, c’était décidé.
Ni Aliona ni moi n’avions dit les mots, mais tout était dans les regards, les gestes, la tension électrique qui flottait entre nous depuis des jours. On avait franchi toutes les limites, sauf une. Et ce soir-là, on allait la faire exploser.
JB dormait. Du moins, c’est ce qu’on croyait.
Vers deux heures, on a entendu sa porte. Les pas feutrés, le même souffle calme. Il était là, nu, majestueux, absent en apparence. Sa queue, encore au repos, balançait légèrement. Son torse luisait sous la lumière de la cuisine.
On s’est regardées, Aliona et moi, puis on a agi. Ensemble.
Elle l’a embrassé sur le torse, doucement. Moi, je me suis agenouillée, l’ai pris dans ma main, caressé jusqu’à sentir sa chaleur monter. Lentement, sa queue s’est durcie. Elle l’a léchée, moi je l’ai prise entre mes lèvres. Nos gestes étaient fluides, synchrones, complices.
Il gémissait légèrement. Mais ne bougeait pas. Pas encore.
Je me suis redressée. Mon sexe était trempé. Mon cœur battait comme un tambour. Je me suis assise sur le bord du canapé, jambes ouvertes, prête à le guider en moi.
Aliona s’est placée derrière, ses mains sur mes hanches, comme pour m’accompagner, m’offrir à lui.
Et là, sa main m’a saisie fermement.
Pas dans un réflexe inconscient. Non. Un geste clair. Volontaire. Maîtrisé.
Il m’a regardée droit dans les yeux.
— Tu pensais vraiment que je dormais encore ?
Mon corps s’est figé.
Aliona a levé la tête, interloquée. Il souriait. Pas moqueur. Pas dur. Un sourire tranquille, presque tendre.
— Je sais tout. Depuis la première nuit où Aliona m’a effleuré. Je n’étais pas si loin du réveil. Et je vous ai laissées faire. J’avais envie de voir. Jusqu’où vous iriez.
Je suis restée bouche bée. Mon sexe encore à nu, mes doigts tremblants.
— Et maintenant ? ai-je murmuré. — Maintenant ?
Il s’est approché. A pris mon menton entre ses doigts.
— Maintenant c’est mon tour de jouer. Mais cette fois, en toute conscience.
Puis il m’a embrassée. Violemment. Profondément. Ses mains ont glissé sous mes fesses, m’ont soulevée, m’ont guidée sur lui.
Je me suis empalée en un gémissement, les jambes autour de sa taille, sa queue énorme me remplissant d’un coup. J’ai senti son plaisir, sa force, son souffle chaud contre mon cou.
— Aliona, viens ici.
Elle s’est approchée, d’abord hésitante. Il l’a attirée à lui, l’a embrassée aussi. Profondément. Sa main a glissé entre ses cuisses, puis il l’a plaquée contre le mur.
Pendant qu’il me baisait, il la caressait.
Je me suis accrochée à lui, le dos cambré, les seins tendus, gémissante. Sa queue me pilonnait fort, profond. Il me regardait, les yeux brillants. — C’est ça que tu voulais, Kristina ? Me chevaucher pendant que je dors ? — Non… C’est toi que je voulais… éveillé. Fort. Comme ça.
Aliona est revenue derrière moi, m’a caressé les seins, m’a embrassée dans le cou pendant qu’il m’enfonçait jusqu’au fond. Nos corps formaient un cercle brûlant, une boucle de sueur, de salive, de jouissance.
JB m’a soulevée, puis posée sur la table basse. Il a pris Aliona dans ses bras, l’a mise à quatre pattes sur le canapé, l’a pénétrée sans attendre. Elle a crié. Fort. Vrai. Brut.
Et moi, je me suis masturbée devant eux, nue, trempée, regardant JB enfoncer sa queue en elle pendant que je jouissais encore de lui.
On a tourné. Partagé. Inversé. J’ai goûté Aliona, il nous a prises ensemble. À un moment, je ne savais plus qui je suçais, qui je touchais, si c’était ma main ou la sienne, son sexe ou le mien.
Mais je savais une chose :
Il était réveillé. Et nous aussi.
JB était partout à la fois. Sa queue, ses mains, sa voix.
Il nous dirigeait comme si nos corps lui appartenaient, comme s’il avait attendu ce moment depuis des semaines — et peut-être que oui, au fond. Aliona et moi n’étions plus que désir, chaleur, bouche ouverte, cuisses trempées.
Il a pris Aliona à genoux sur le sol, ses fesses levées, sa chatte offerte. Je la regardais se faire baiser, je voyais sa bouche se tordre sous la vague de plaisir. Elle hurlait, elle voulait tout.
— Plus fort, JB... là… oui, comme ça…
Je me suis approchée, nue, à genoux devant elle. J’ai embrassé sa bouche en feu, j’ai caressé ses seins pendant qu’il la pilonnait. Sa queue entrait et ressortait avec ce son humide qui me rendait folle.
Puis il l’a laissée là, haletante, et s’est tourné vers moi. Il m’a saisi par les hanches, m’a allongée sur la table basse, et sans prévenir, il m’a prise à nouveau.
Un seul coup de reins. Profond. Féroce. Je me suis cambrée, criée, griffée. Son sexe me défonçait avec une puissance rythmée, contrôlée. Il savait exactement ce qu’il faisait. Et moi, je devenais animale.
Aliona est revenue entre mes jambes, pendant qu’il me prenait. Elle m’a léché, là où nos peaux se frottaient, avalant nos fluides, me regardant dans les yeux pendant que JB m’emplissait jusqu’à m’en faire perdre la tête.
Puis il s’est arrêté.
Il s’est redressé. Haletant. Ses abdos tendus. Sa queue brillait, pulsait, gonflée, énorme.
— À genoux, toutes les deux.
On s’est regardées, et sans un mot, on s’est placées devant lui. Côtes à côtes. Nus. Offertes. Le dos droit. Les yeux levés.
Il s’est branlé devant nous. Lentement. Fort.
Aliona s’est approchée, a léché le bout. Moi j’ai caressé ses couilles, sa base, sa tige. On était en adoration.
Puis il a grogné. Fort. Long.
Son sperme a jailli.
Le premier jet a éclaboussé mon front, ma joue, mes lèvres. Le deuxième a frappé la gorge d’Aliona, coulé entre ses seins. Il en est venu encore, épais, chaud, visqueux. Sur nos visages, nos bouches, nos seins, nos ventres.
On était arrosées.
Il a lâché un dernier râle, puissant, bestial. Puis il a haleté, penché en avant, ses mains sur ses cuisses.
Je me suis tournée vers Aliona. Nos visages couverts de sperme, nos corps ruisselants. J’ai léché le coin de sa bouche. Elle a fait pareil. Puis on s’est embrassées.
Longtemps.
— Voilà, a soufflé JB. Maintenant, on est à égalité.
Et on a ri. Vraiment. Ensemble.
On est restés tous les trois nus sur le sol, collés, détendus, vidés. Il n’y avait plus ni jeu, ni secret, ni honte.
Juste trois corps. Trois désirs. Et une vérité brûlante :
on s’était trouvés.
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Superbe réveil
