Education Chapitre 5 - Partie carrée
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-10-2024 dans la catégorie Plus on est
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Education Chapitre 5 - Partie carrée
En milieu d'après-midi le bruit d'une voiture me tire de ma léthargie. Il fait bon dans la chambre sous le ventilateur où je me suis endormi après le déjeuner. Le moteur s'arrête, une porte claque et j'entends ma tante :
— Bonjour mon Chéri, as-tu fait un bon voyage ? Je repense tout de suite à l'arrivée de mon oncle.
— Oui très bien, une route tranquille... Bonjour Joyce, quel plaisir de te voir !
— John dort encore mon Chéri, mais je pense qu'il ne va pas tarder.
J'enfile un maillot de bain et retrouve Jade et Joyce de dos en petite robe d'été. Théo est à son habitude en nu-pieds, short et chemisette ouverte, il est bel homme bronzé, au crane rasé, c'est un homme de belle allure, il est, musclé sans être athlétique, un ventre plat, des pectoraux développés et légèrement affaissés avec des tétons sombre en érection permanente. Il a près de 60 ans et me rappelle l'inconnu de la plage de Bretagne, sans un poil sur le caillou ni sur la poitrine.
— John bonjour ! me crie mon oncle en me voyant arriver sur la terrasse. On s'est à peine vu depuis ton arrivée. As-tu pris tes marques ?
— Oui, oui, ça va très bien !, que je réponds, enthousiaste tout en l'embrassant sur les joues. Je suis très content de vous retrouver tous les deux.
— Ouais, t'inquiète Théo ! s'exclame Joyce en venant vers nous. J't'assure que ton neveu a pris ses marques ! en m'embrassant à la commissure des lèvres. Et tandis que ma tante sort du salon, elle défait le seul bouton qui retenait et se montre quasiment nue.
— C'est vrai, qu'il a pris ses marques ! s'écrit Jade. N'est-ce pas John ?... et sa robe tombe au sol
— Oh ben je vois ! Là où il y a de la gêne il n'y a pas de plaisir. Si c'est ça, TOUS A POIL ! Crie mon oncle en baissant son froc et me fixant du regard. Je ne peux faire autrement que quitter mon maillot sous l’œil intéressé du tonton qui siffle d'admiration : Ben dis donc, il est mignon le p'tit neveu... Mais il a besoin de soleil !
Joyce est déjà nue contre lui en faisant sa mijaurée :
— Fais gaffe Théo, t'as un jeune coq dans la basse-cour, il va falloir assurer... Sans gêne elle soupèse délicatement son sexe, il est épais, pas très long et repose sur des couilles bien pleines. Elle le caresse et commence à le branler pour qu'il prenne vigueur.
Jade me tient serré contre elle, mon bras entre ses seins, sa tête contre la mienne. Elle s'amuse en les regardant et il lui suffit de me toucher pour que je bande :
— Tu vois mon chéri comme il réagit !
— Je vois surtout que le p'tit est devenu un sacré coquin
— Et j'peux t'assurer que ce matin il nous a fait monter toutes les deux aux rideaux !... Mais pour l'instant, entrons, nous serons mieux sous les ventilos, je vous ai servi une citronnade.
Jade m'entraîne par le bras dans le salon où un immense canapé en L nous attend, on s’assoit quand Joyce et Théo s'installent sur l'autre partie près de nous. Il est vrai que les deux ventilateurs apportent du bien être par rapport à la chaleur étouffante extérieure. On parle de la matinée tout en sirotant la citronnade glacée.
Joyce et Théo sont vraiment des gros cochons comme ils se tripotent librement face à nous et il est très content quand elle se met à genoux à ses pieds pour lui faire une turlute. Ses cuisses s'écartent au point que son genou cogne le mien en saccade. Il me fixe du regard en faisant une petite moue. Jade appuyée à mon épaule murmure « Tu ne lui ferais pas une petite gâterie ? Regarde comme il en a envie ! » Face à mon immobilisme elle insiste « Allez, fais-moi voir comment tu suces ! » Puis finalement elle me pousse vers lui.
Je n'ai qu'à me pencher pour être sur la cuisse de mon oncle, ma tête contre celle de Joyce. Elle me sourit, s'écarte un peu, nos deux langues se partagent le morceau dégoulinant déjà de bave, puis elle me le donne à sucer avant de le reprendre en bouche. Théo m'encourage de sa main sur ma tête. Finalement elle lui bouffe le couilles et me laisse lui pomper le dard sous les gémissement du saligaud trop content des deux bouches sur sa queue. D'un signe de tête Jade qui me caressait gentiment depuis le début, va s'asseoir à côté de son mari et Joyce change de partenaire. Elle me prend par le bras en murmurant « Viens » dès que je suis debout, elle s'exclame :
— Mes chéris nous vous laissons, si vous permettez, nous allons dans votre chambre !
Ma tante et mon oncle prennent leurs aises sur le canapé tandis que Joyce me pousse vers la chambre jusqu'au lit.
Je me retrouve seul avec elle, inquiet. Elle est si différente de Jade, plus charnelle, moins sentimentale J'ai l'impression d'être une proie quand elle avance sur le lit à quatre pattes. Elle vient sur moi, ses mains à mes épaules, ses genoux contre mes cuisses. Sa chevelure noire encadre mon visage comme une cascade, ses yeux verts brillent de malice, sa langue court sur ses lèvres, les rende plus sensuelles.
Elle se dandine sur moi, ses seins se balancent sur ma poitrine, je sens ses tétons me frôler. Instinctivement je prends ses mamelles par les côtés, rapproche les deux paquets de chair molle. Joyce m'écrase légèrement jusqu'à ce que nos nez se touchent, ses cheveux forment un rideau, créent un espace intime, elle murmure « Tu aimes mes gros lolos ?... Oh ouais... Pelote les bien... Oui prends-les fort ! » Elle se redresse et me fout son nichon sur le visage « Oui mon bébé, t'as faim ? Tiens voilà. » Je presse à deux mains son sein droit. Son téton presque noir, gros comme mon pouce, se dresse sur mes lèvres. Je n'ai qu'à faire une moue pour l'avoir, je l'aspire fort, l'aréole s'enfonce comme une langue que je mords « Doucement, doucement ! Gémit-elle. Ne fais pas mal à maman. » Alors je suçote juste la pointe qui durcit « Oh oui mon bébé... C'est bon comme ça continue ! »
Par ailleurs la coquine commence une danse du ventre sur moi. Elle bouge tant et si bien que mon sexe se loge entre ses lèvres et se couvre de mouille. Putain la salope amplifie ses mouvements, elle s'astique le bouton sur mon gland, si ça continue je vais lui juter dessus. Enfin avec le secours de sa main, elle le glisse dans sa fente et l'avale d'un coup. Mes 18 petits centimètres plongent dans ce chaudron qui pas plus tard que ce matin se faisait démolir à coups de poing, je nage littéralement mais rapidement je me sens pris dans une gangue étroite.
Couchée sur moi, ses seins s'écrasent sur ma poitrine et débordent largement sur les côtés. Elle m'embrasse amoureusement, sa langue s'impose entre mes lèvres. En appui sur ses genoux, nos ventres collés l'un à l'autre, seul son bassin va et vient. Je suis surpris par les contractions de son vagin, malgré les fistings et les gros calibres qu'il reçoit, il m'enveloppe si fort, me masse si bien. il ne cesse de se contracter et se relâcher. Mes mains s'affolent sur son dos, ma respiration l'alarme, elle calme le jeu et s'immobilise « Doucement, doucement Johnny, retiens-toi ».
C'est à ce moment que j'entends du bruit, je vois dans l'armoire à glace, mon oncle et ma tante debout à l'entrée de la chambre. Jade s'assied au bord du lit, se penche sur nous, Joyce se redresse telle une sphinge, son buste se relève tout en pesant sur ma poitrine, son ventre reste emboîté au mien, elle lui tend les lèvres. Les deux femmes se ''bisouillent'' tout en se parlant de manière incompréhensible.
Je ne sais pas ce que fait Théo assis au pied du lit. D'un coup je sens sa main sur mes fesses, glisser entre elles et me saisir les couilles. Le salaud me relève le paquet et passe son autre main entre nos ventres à la jonction de nos sexes. Je sens le ciseau de ses doigts à la base de ma bite avant que trois d'entre eux ne pénètrent la vulve. Le cochon va encore plus loin, en mettant sa tête entre nos cuisses, je sens son crâne rasé s'imposer. Je ne sais comment il s'y prend pour me bouffer les roustons tout en branlant la grognasse qui ne cesse de gémir, le résultat est que je suis immobilisé. Putain le salaud bave comme un porc, j'en ai plein partout. D'un coup il se dégage, puis plus rien ! J'ouvre les yeux et le vois dans le miroir se relever et se placer à genoux derrière Joyce. L'inimaginable se produit, je sens son gland contre ma queue, tout contre la vulve. Joyce s'immobilise, l'engin de Théo s'appuie à ma tige et tente de se faire une place . La coquine se couche sur moi, relève les fesses pour mieux s'offrir, seul mon gland reste en elle, le mandrin pousse de plus en plus...
— Doucement Théo ! Doucement, tu me déchires, ensemble vous êtes trop gros.
Malgré les plaintes, la poussée continue de plus en plus forte. D'un coup un grand soupir, ça y est la pointe a pénétré la vulve. Après un moment de répit, la bite s'enfonce inexorablement le long de la mienne jusqu'à ce que les deux soient accolées... Joyce se décontracte, bouge un peu. Théo prend confiance, je le vois dans la glace à genoux, lentement il fornique la bête couchée à quatre pattes sur moi. Elle m'immobilise tandis que le manche qui lui ramone le vagin, me lime la tige . C'est une caresse de l'urètre incroyable qui me donne une trique d'enfer tout en étant passif. J'entends la bête haleter au creux de mon oreille, gémir un ''uiui'' de plaisir bien reconnaissable
Jade couchée à mon côté me sourit, je la regarde époustouflé alors que le corps affalé sur moi est secoué par les coups de boutoir. On se sourit, elle se rapproche et fourre ma main entre ses cuisses moites. J'ai sous les doigts sa chatte pleine de salive et de cyprine. Elle me tient la main, ajuste sa position pour que de deux doigts, je puisse la masturber.
Je suis dans un nouveau monde, branlant l'une et baisant l'autre, sous les coups de reins d'un troisième... Je ne contrôle plus rien depuis un moment, j'oublie la montée fulgurante de ma jouissance, un tsunami me submerge quand Théo explose en même temps et me noie.
Je ne sais combien de temps se passe pour que les corps qui m'écrasent, se retirent et tombent ensemble. C'est Jade qui me tire à elle d'un côté du lit alors que l'autre couple se tourne de l'autre côté. Je retrouve mon éducatrice des premiers jours, câline, attentive.
— Ça va mon chéri ?...
— Oui, que je réponds dans un souffle... Waouh !!! Je n'imaginais pas ça !!! Je n'imaginais pas qu'on puisse faire ça !.
Ma tante me prend dans ses bras, m'embrasse tendrement. Je ferme les yeux, heureux de la retrouver. Elle me parle tout bas
— Tu as beaucoup à apprendre, tu découvres mon chéri et tu découvriras encore. Joyce est une spécialiste des doubles pénétrations. Polo, son mari, vient d'organiser une soirée pour ses 60 ans avec nous, quatre autres couples et deux jeunes amis que nous ne connaissions pas. Une soirée d'orgie comme jamais nous n'avions vécue. Les huit hommes l'ont baisée de partout souvent en double, quelquefois les deux ensemble au même endroit. Elle a baisé aussi avec toutes les femmes, alors que je lui fistais le cul, une autre lui prenait la chatte... avec elle, tout est possible...
J'apprécie ce moment de vérité et de tendresse avec ma tante quand, à côté, ça rigole, ça jacasse. C'est alors que les deux autres décident de me taquiner, l'une entre mes jambes et l'autre dans mon dos. Joyce grogne « Dis-donc mon p'tit cochon, on ne t'a pas appris à te laver après avoir baisé ! Mais t'inquiète j'adore les fortes odeurs ». C'est une partie à quatre mains et deux bouches qui se joue sur mon ventre et mes fesses. On m'embrasse, on me lèche, on me suce, on me fouille, les bouches sont gourmandes, les mains sont folles. L'un me relève une jambe, l'autre me bouffe l'entrecuisse et ça dure, et ça se répète. Jade me garde dans ses bras et laisse faire les deux autres jusqu'à ce qu'ils jugent que je sois propre.
Alors ils se lèvent et réclament à manger, ils se font rembarrer et expédier en cuisine
Nous restons tous les deux sur le grand lit carré. Même si nos lèvres sont plus gourmandes, nos mains plus coquines, nous retrouvons la tendresse et l'amour... ... Rapidement nos sens se réveillent, nos envies s'exacerbent :
— Viens mon Chéri ! Fais-moi l'amour ! Me supplie-t-elle
Elle se prélasse, allongée, elle m'attend les yeux mi-clos, la bouche entrouverte. Juste quelques bisous, quelques caresses de ma part, quelques geignements de la sienne. Elle s'abandonne « Oh, oui, viens ! » Elle me sourit quand je me place dans le ciseau de ses cuisses et c'est elle-même qui relève ses jambes et les place sur mes épaules, sa vulve luisante de mouille vient à la rencontre de mon sexe, les deux s'unissent, elle m'avale, je la pénètre... L'union avec Joyce était bestiale, celle avec Jade est amoureuse. Nous avançons de concert lentement vers la jouissance, au pas, je la regarde, j'observe sa moindre moue, son moindre rictus, mes caresses, mon coït vont crescendo, ses seins se contractent, sa tête se renverse, sa respiration s'accélère, notre danse s'enflamme... Je m'affale sur elle, ses cuisses glissent sur mes hanches, ses mollets, ses pieds, comme ses bras m'enlacent, ses ongles me griffent comme le cavalier laboure les côtes de sa monture. Nous copulons autrement, nos lèvres s'unissent. Ma bouche étouffe ses gémissements, ses griffes se plantent dans mes fesses, son ventre se contracte, tout son corps est tétanisé et je la rejoins dans son orgasmes. C'est l'amour parfait ! On s'affale, vannés... On reprend notre souffle en pouffant de rire, tout se calme Je la garde dans mes bas, elle ronronne comme un chat avant de chuchoter
— Oh Johny, c'était si bon de jouir ensemble... Tu deviens un merveilleux amant.
Peu après Joyce surgit dans la chambre tel un cyclone et nous apostrophe
— Ça va les amoureux ? Le dîner est servi, on vous attend.
Nous passons par la salle de bains et enfilons nos vêtements. Sur la terrasse, le dîner est très gai, on parle beaucoup de la soirée d'orgie des 60 ans de Joyce... Au final de la discussion j'apprends que ma tante ira le lendemain à Montpellier avec des copines et que Théo m'amènera à la plage.
— Bonjour mon Chéri, as-tu fait un bon voyage ? Je repense tout de suite à l'arrivée de mon oncle.
— Oui très bien, une route tranquille... Bonjour Joyce, quel plaisir de te voir !
— John dort encore mon Chéri, mais je pense qu'il ne va pas tarder.
J'enfile un maillot de bain et retrouve Jade et Joyce de dos en petite robe d'été. Théo est à son habitude en nu-pieds, short et chemisette ouverte, il est bel homme bronzé, au crane rasé, c'est un homme de belle allure, il est, musclé sans être athlétique, un ventre plat, des pectoraux développés et légèrement affaissés avec des tétons sombre en érection permanente. Il a près de 60 ans et me rappelle l'inconnu de la plage de Bretagne, sans un poil sur le caillou ni sur la poitrine.
— John bonjour ! me crie mon oncle en me voyant arriver sur la terrasse. On s'est à peine vu depuis ton arrivée. As-tu pris tes marques ?
— Oui, oui, ça va très bien !, que je réponds, enthousiaste tout en l'embrassant sur les joues. Je suis très content de vous retrouver tous les deux.
— Ouais, t'inquiète Théo ! s'exclame Joyce en venant vers nous. J't'assure que ton neveu a pris ses marques ! en m'embrassant à la commissure des lèvres. Et tandis que ma tante sort du salon, elle défait le seul bouton qui retenait et se montre quasiment nue.
— C'est vrai, qu'il a pris ses marques ! s'écrit Jade. N'est-ce pas John ?... et sa robe tombe au sol
— Oh ben je vois ! Là où il y a de la gêne il n'y a pas de plaisir. Si c'est ça, TOUS A POIL ! Crie mon oncle en baissant son froc et me fixant du regard. Je ne peux faire autrement que quitter mon maillot sous l’œil intéressé du tonton qui siffle d'admiration : Ben dis donc, il est mignon le p'tit neveu... Mais il a besoin de soleil !
Joyce est déjà nue contre lui en faisant sa mijaurée :
— Fais gaffe Théo, t'as un jeune coq dans la basse-cour, il va falloir assurer... Sans gêne elle soupèse délicatement son sexe, il est épais, pas très long et repose sur des couilles bien pleines. Elle le caresse et commence à le branler pour qu'il prenne vigueur.
Jade me tient serré contre elle, mon bras entre ses seins, sa tête contre la mienne. Elle s'amuse en les regardant et il lui suffit de me toucher pour que je bande :
— Tu vois mon chéri comme il réagit !
— Je vois surtout que le p'tit est devenu un sacré coquin
— Et j'peux t'assurer que ce matin il nous a fait monter toutes les deux aux rideaux !... Mais pour l'instant, entrons, nous serons mieux sous les ventilos, je vous ai servi une citronnade.
Jade m'entraîne par le bras dans le salon où un immense canapé en L nous attend, on s’assoit quand Joyce et Théo s'installent sur l'autre partie près de nous. Il est vrai que les deux ventilateurs apportent du bien être par rapport à la chaleur étouffante extérieure. On parle de la matinée tout en sirotant la citronnade glacée.
Joyce et Théo sont vraiment des gros cochons comme ils se tripotent librement face à nous et il est très content quand elle se met à genoux à ses pieds pour lui faire une turlute. Ses cuisses s'écartent au point que son genou cogne le mien en saccade. Il me fixe du regard en faisant une petite moue. Jade appuyée à mon épaule murmure « Tu ne lui ferais pas une petite gâterie ? Regarde comme il en a envie ! » Face à mon immobilisme elle insiste « Allez, fais-moi voir comment tu suces ! » Puis finalement elle me pousse vers lui.
Je n'ai qu'à me pencher pour être sur la cuisse de mon oncle, ma tête contre celle de Joyce. Elle me sourit, s'écarte un peu, nos deux langues se partagent le morceau dégoulinant déjà de bave, puis elle me le donne à sucer avant de le reprendre en bouche. Théo m'encourage de sa main sur ma tête. Finalement elle lui bouffe le couilles et me laisse lui pomper le dard sous les gémissement du saligaud trop content des deux bouches sur sa queue. D'un signe de tête Jade qui me caressait gentiment depuis le début, va s'asseoir à côté de son mari et Joyce change de partenaire. Elle me prend par le bras en murmurant « Viens » dès que je suis debout, elle s'exclame :
— Mes chéris nous vous laissons, si vous permettez, nous allons dans votre chambre !
Ma tante et mon oncle prennent leurs aises sur le canapé tandis que Joyce me pousse vers la chambre jusqu'au lit.
Je me retrouve seul avec elle, inquiet. Elle est si différente de Jade, plus charnelle, moins sentimentale J'ai l'impression d'être une proie quand elle avance sur le lit à quatre pattes. Elle vient sur moi, ses mains à mes épaules, ses genoux contre mes cuisses. Sa chevelure noire encadre mon visage comme une cascade, ses yeux verts brillent de malice, sa langue court sur ses lèvres, les rende plus sensuelles.
Elle se dandine sur moi, ses seins se balancent sur ma poitrine, je sens ses tétons me frôler. Instinctivement je prends ses mamelles par les côtés, rapproche les deux paquets de chair molle. Joyce m'écrase légèrement jusqu'à ce que nos nez se touchent, ses cheveux forment un rideau, créent un espace intime, elle murmure « Tu aimes mes gros lolos ?... Oh ouais... Pelote les bien... Oui prends-les fort ! » Elle se redresse et me fout son nichon sur le visage « Oui mon bébé, t'as faim ? Tiens voilà. » Je presse à deux mains son sein droit. Son téton presque noir, gros comme mon pouce, se dresse sur mes lèvres. Je n'ai qu'à faire une moue pour l'avoir, je l'aspire fort, l'aréole s'enfonce comme une langue que je mords « Doucement, doucement ! Gémit-elle. Ne fais pas mal à maman. » Alors je suçote juste la pointe qui durcit « Oh oui mon bébé... C'est bon comme ça continue ! »
Par ailleurs la coquine commence une danse du ventre sur moi. Elle bouge tant et si bien que mon sexe se loge entre ses lèvres et se couvre de mouille. Putain la salope amplifie ses mouvements, elle s'astique le bouton sur mon gland, si ça continue je vais lui juter dessus. Enfin avec le secours de sa main, elle le glisse dans sa fente et l'avale d'un coup. Mes 18 petits centimètres plongent dans ce chaudron qui pas plus tard que ce matin se faisait démolir à coups de poing, je nage littéralement mais rapidement je me sens pris dans une gangue étroite.
Couchée sur moi, ses seins s'écrasent sur ma poitrine et débordent largement sur les côtés. Elle m'embrasse amoureusement, sa langue s'impose entre mes lèvres. En appui sur ses genoux, nos ventres collés l'un à l'autre, seul son bassin va et vient. Je suis surpris par les contractions de son vagin, malgré les fistings et les gros calibres qu'il reçoit, il m'enveloppe si fort, me masse si bien. il ne cesse de se contracter et se relâcher. Mes mains s'affolent sur son dos, ma respiration l'alarme, elle calme le jeu et s'immobilise « Doucement, doucement Johnny, retiens-toi ».
C'est à ce moment que j'entends du bruit, je vois dans l'armoire à glace, mon oncle et ma tante debout à l'entrée de la chambre. Jade s'assied au bord du lit, se penche sur nous, Joyce se redresse telle une sphinge, son buste se relève tout en pesant sur ma poitrine, son ventre reste emboîté au mien, elle lui tend les lèvres. Les deux femmes se ''bisouillent'' tout en se parlant de manière incompréhensible.
Je ne sais pas ce que fait Théo assis au pied du lit. D'un coup je sens sa main sur mes fesses, glisser entre elles et me saisir les couilles. Le salaud me relève le paquet et passe son autre main entre nos ventres à la jonction de nos sexes. Je sens le ciseau de ses doigts à la base de ma bite avant que trois d'entre eux ne pénètrent la vulve. Le cochon va encore plus loin, en mettant sa tête entre nos cuisses, je sens son crâne rasé s'imposer. Je ne sais comment il s'y prend pour me bouffer les roustons tout en branlant la grognasse qui ne cesse de gémir, le résultat est que je suis immobilisé. Putain le salaud bave comme un porc, j'en ai plein partout. D'un coup il se dégage, puis plus rien ! J'ouvre les yeux et le vois dans le miroir se relever et se placer à genoux derrière Joyce. L'inimaginable se produit, je sens son gland contre ma queue, tout contre la vulve. Joyce s'immobilise, l'engin de Théo s'appuie à ma tige et tente de se faire une place . La coquine se couche sur moi, relève les fesses pour mieux s'offrir, seul mon gland reste en elle, le mandrin pousse de plus en plus...
— Doucement Théo ! Doucement, tu me déchires, ensemble vous êtes trop gros.
Malgré les plaintes, la poussée continue de plus en plus forte. D'un coup un grand soupir, ça y est la pointe a pénétré la vulve. Après un moment de répit, la bite s'enfonce inexorablement le long de la mienne jusqu'à ce que les deux soient accolées... Joyce se décontracte, bouge un peu. Théo prend confiance, je le vois dans la glace à genoux, lentement il fornique la bête couchée à quatre pattes sur moi. Elle m'immobilise tandis que le manche qui lui ramone le vagin, me lime la tige . C'est une caresse de l'urètre incroyable qui me donne une trique d'enfer tout en étant passif. J'entends la bête haleter au creux de mon oreille, gémir un ''uiui'' de plaisir bien reconnaissable
Jade couchée à mon côté me sourit, je la regarde époustouflé alors que le corps affalé sur moi est secoué par les coups de boutoir. On se sourit, elle se rapproche et fourre ma main entre ses cuisses moites. J'ai sous les doigts sa chatte pleine de salive et de cyprine. Elle me tient la main, ajuste sa position pour que de deux doigts, je puisse la masturber.
Je suis dans un nouveau monde, branlant l'une et baisant l'autre, sous les coups de reins d'un troisième... Je ne contrôle plus rien depuis un moment, j'oublie la montée fulgurante de ma jouissance, un tsunami me submerge quand Théo explose en même temps et me noie.
Je ne sais combien de temps se passe pour que les corps qui m'écrasent, se retirent et tombent ensemble. C'est Jade qui me tire à elle d'un côté du lit alors que l'autre couple se tourne de l'autre côté. Je retrouve mon éducatrice des premiers jours, câline, attentive.
— Ça va mon chéri ?...
— Oui, que je réponds dans un souffle... Waouh !!! Je n'imaginais pas ça !!! Je n'imaginais pas qu'on puisse faire ça !.
Ma tante me prend dans ses bras, m'embrasse tendrement. Je ferme les yeux, heureux de la retrouver. Elle me parle tout bas
— Tu as beaucoup à apprendre, tu découvres mon chéri et tu découvriras encore. Joyce est une spécialiste des doubles pénétrations. Polo, son mari, vient d'organiser une soirée pour ses 60 ans avec nous, quatre autres couples et deux jeunes amis que nous ne connaissions pas. Une soirée d'orgie comme jamais nous n'avions vécue. Les huit hommes l'ont baisée de partout souvent en double, quelquefois les deux ensemble au même endroit. Elle a baisé aussi avec toutes les femmes, alors que je lui fistais le cul, une autre lui prenait la chatte... avec elle, tout est possible...
J'apprécie ce moment de vérité et de tendresse avec ma tante quand, à côté, ça rigole, ça jacasse. C'est alors que les deux autres décident de me taquiner, l'une entre mes jambes et l'autre dans mon dos. Joyce grogne « Dis-donc mon p'tit cochon, on ne t'a pas appris à te laver après avoir baisé ! Mais t'inquiète j'adore les fortes odeurs ». C'est une partie à quatre mains et deux bouches qui se joue sur mon ventre et mes fesses. On m'embrasse, on me lèche, on me suce, on me fouille, les bouches sont gourmandes, les mains sont folles. L'un me relève une jambe, l'autre me bouffe l'entrecuisse et ça dure, et ça se répète. Jade me garde dans ses bras et laisse faire les deux autres jusqu'à ce qu'ils jugent que je sois propre.
Alors ils se lèvent et réclament à manger, ils se font rembarrer et expédier en cuisine
Nous restons tous les deux sur le grand lit carré. Même si nos lèvres sont plus gourmandes, nos mains plus coquines, nous retrouvons la tendresse et l'amour... ... Rapidement nos sens se réveillent, nos envies s'exacerbent :
— Viens mon Chéri ! Fais-moi l'amour ! Me supplie-t-elle
Elle se prélasse, allongée, elle m'attend les yeux mi-clos, la bouche entrouverte. Juste quelques bisous, quelques caresses de ma part, quelques geignements de la sienne. Elle s'abandonne « Oh, oui, viens ! » Elle me sourit quand je me place dans le ciseau de ses cuisses et c'est elle-même qui relève ses jambes et les place sur mes épaules, sa vulve luisante de mouille vient à la rencontre de mon sexe, les deux s'unissent, elle m'avale, je la pénètre... L'union avec Joyce était bestiale, celle avec Jade est amoureuse. Nous avançons de concert lentement vers la jouissance, au pas, je la regarde, j'observe sa moindre moue, son moindre rictus, mes caresses, mon coït vont crescendo, ses seins se contractent, sa tête se renverse, sa respiration s'accélère, notre danse s'enflamme... Je m'affale sur elle, ses cuisses glissent sur mes hanches, ses mollets, ses pieds, comme ses bras m'enlacent, ses ongles me griffent comme le cavalier laboure les côtes de sa monture. Nous copulons autrement, nos lèvres s'unissent. Ma bouche étouffe ses gémissements, ses griffes se plantent dans mes fesses, son ventre se contracte, tout son corps est tétanisé et je la rejoins dans son orgasmes. C'est l'amour parfait ! On s'affale, vannés... On reprend notre souffle en pouffant de rire, tout se calme Je la garde dans mes bas, elle ronronne comme un chat avant de chuchoter
— Oh Johny, c'était si bon de jouir ensemble... Tu deviens un merveilleux amant.
Peu après Joyce surgit dans la chambre tel un cyclone et nous apostrophe
— Ça va les amoureux ? Le dîner est servi, on vous attend.
Nous passons par la salle de bains et enfilons nos vêtements. Sur la terrasse, le dîner est très gai, on parle beaucoup de la soirée d'orgie des 60 ans de Joyce... Au final de la discussion j'apprends que ma tante ira le lendemain à Montpellier avec des copines et que Théo m'amènera à la plage.
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