Elise, Sandra, Audrey, Anne et les autres (1)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2022 dans la catégorie Plus on est
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Elise, Sandra, Audrey, Anne et les autres (1)
CONFESSIONS INTIMES
Dans le gros cabinet d'assurance où elles exercent un emploi de bureau en "open space", Elise, Sandra, Audrey et Anne, toutes dans la même tranche d'âge, entre 35 ans et 50 ans, évoquent facilement leur vie privée. Toutes sont mères de famille et en couple, Audrey étant la seule à ne pas être mariée officiellement, et au fil du temps, elles n'ont plus beaucoup de secrets les unes pour les autres. Certaines sont toutefois un peu plus bavardes, comme on va le voir.
La scène se passe dans le petit restaurant de quartier, un lundi, où le quatuor a l'habitude de prendre ses repas avant de revenir au boulot. Sandra, une Noire sculpturale de 45 ans, a semblé marcher avec un peu de difficulté et doit répondre aux interrogations de ses collègues. Elle baisse un peu la voix à table et lâche :
- Boubacar m'a fait un festival hier matin. Il m'a ramonée pendant plus d'une heure avec sa grosse queue. J'avais beau lui dire "viens viens", il continuait à me pilonner. J'ai cru que j'allais avoir une syncope. Du coup, j'ai un peu mal à la chatte aujourd'hui.
Les trois autres pouffèrent de rire.
- Et tu as joui au moins ? interroge Audrey.
- Tu parles. Plusieurs fois.
- Plains-toi. Il y a tellement de filles qui n'en ont pas autant. N'est-ce pas Elise ?
Les regards se tournent vers la jolie blonde de 35 ans aux yeux clairs. Elle n'a jamais rien à raconter de tel. Elle avait avoué une fois que sa vie sexuelle était "du genre peinard" et les trois autres se l'était tenue pour dit. Elise les écoutait, les yeux dans le vague, raconter leurs frasques conjugales. Sans jamais intervenir. Audrey, une grande brune de 40 ans, employée au service juridique, divorcée puis pacsée, ne cache pas une certaine liberté sexuelle, en accord avec son compagnon du moment. "Je suis une femme qui baise", a-t-elle asséné un jour, stupéfiant Elise car la conseillère juridique n'a vraiment pas le look libertin. Elle parait même plutôt sage à première vue. Quant à Anne, la plus âgée (50 ans) avec son éternel casque de cheveux bruns rassemblés en chignon, elle semble redécouvrir le sexe avec l'âge et la complicité de son mari.
A cette table, c'est elle qui va prendre le relais de Sandra en disant :
- Mon mec me tanne depuis un moment pour aller dans un club échangiste. Il veut me voir baiser avec d'autres types. Heureusement, les clubs sont fermés depuis le covid, du moins à ce que je sais. J'ai encore un sursis.
- Et tu es prête à ça ? demande Sandra.
- On verra, ça dépendra de Roland s'il est toujours gentil avec moi.
- Moi, baiser avec des inconnus, je ne suis pas pour, poursuit Sandra. Et toi Audrey ?
La quadragénaire émet un petit gloussement, boit une gorgée de vin, pose son verre et glisse mezzo voce :
- Je ne vous l'ai jamais dit mais l'été dernier, pendant nos vacances sur la côte, avec Kevin, on est allé dans un sauna libertin.
- Noooon ! Raconte !
Les trois femmes sont tout ouïe à cette révélation de leur collègue.
- J'étais morte de trouille. Mais Kevin en avait vraiment envie. Je ne me suis détendue qu'une fois à poil et en peignoir, puis dans la piscine. Là, je me suis laissée vraiment prendre par l'ambiance. Deux types m'ont tourné autour mais Kevin s'est interposé. Un couple baisait dans l'eau, et là, j'ai commencé à avoir vraiment envie. L'expression de la fille m'a mis le feu.
- Tu as fait ça dans la flotte ? demande Sandra, hilare.
- Oh non ! On s'est échappé vers une petite pièce avec une sorte de matelas à même le sol entouré de miroirs. Et on a commencé à faire l'amour. J'ai vite vu qu'on nous regardait mais ça m'excitait plus qu'autre chose et Kevin encore plus. Il bandait comme un âne. Un type est entré et il a demandé s'il pouvait se joindre à nous.
- Oh la vache ! Gonflé le mec. Il était comment ? souffle Anne.
- Assez balaise, un peu trop poilu à mon goût, crâne rasé mais belle queue. Marc m'a demandé de le sucer pendant qu'il me prenait par derrière.
- Et tu l'as fait ? poursuite Anne.
- Ben oui. Tu sais, dans ces circonstances, on est plus femelle qu'épouse. D'ailleurs, quand Kevin a proposé au mec de me baiser, je n'ai pas dit non. On a inversé les rôles. Je suçais Kevin pendant que le type me prenait en levrette. A ce moment là, je me suis vue dans le miroir et je me suis demandée qui était cette bonne femme aux cheveux dénoués et à quatre pattes en train de se faire mettre par un poilu. C'était bien moi. Je n'en revenais pas.
- Et c'était bon au moins ? Cette fois, c'est Sandra qui a pris la parole.
- C'était au-delà de ça. Mon corps avait pris possession de ma tête. Je ne pensais qu'à baiser. D'ailleurs, un autre type est entré dans la pièce, un grand maigre avec des cheveux noués en catogan. Kevin m'a fait allonger et a invité le gars à se mettre entre mes cuisses. Il m'a pris les chevilles et... bref, vous avez compris.
- Deux mecs ? Tu as baisé avec deux mecs devant ton mari ? Sandra et Anne se sont exclamées en même temps.
- Et même trois avec Kevin qui est venu se mêler au jeu. Mais il a refusé que le grand maigre me sodomise. "Son petit trou, c'est pour moi", a-t-il dit.
- Encore heureux ! souffle Anne.
- Oui mais il l'a pris pendant que j'étais sur le poilu. Deux bites en même temps.
- Tu es la reine des salopes ! lâche Sandra.
- A ce moment là, oui. Arriver à quarante balais pour faire ça, franchement, c'était pas croyable. Mais au risque de vous décevoir, j'ai pris un pied d'enfer. Je me suis vue jouir dans le miroir, autre révélation. Les deux gars m'ont arrosée de leur sperme et j'ai avalé celui de Kevin. Quand je suis sortie plus tard de la pièce, j'ai été applaudie par un petit groupe d'hommes et de femmes qui n'avaient rien manqué de la scène. Eh bien, je vous vous dire, ça m'a fait plaisir. Jamais je ne m'étais sentie aussi femme. Autant désirée.
Un silence plana sur la tablée. Elise n'avait pas dit un mot mais arrêté de manger pendant le récit d'Audrey. Mais c'est elle qui rompit le silence.
- Tu as vécu une belle expérience et je me garderais bien de la condamner. Tu as la chance d'avoir un mari aussi compréhensif. Le mien serait bien incapable d'en faire autant.
- Et toi, Elise ? répondit Anne.
- La question ne se pose pas. Je n'ai rien d'une libertine, je suis une femme très ordinaire qui fait l'amour avec son mari, quand il en a envie.
- Mais toi, tes envies ? Il s'en occupe ? poursuit Sandra.
- Je ne sais même pas quelles sont mes envies. Mais j'avoue qu'en vous écoutant, je comprends qu'il existe une zone que j'ignore complètement.
- Il ne tient qu'à toi de les découvrir, affirme Audrey. Je l'ai bien fait à mon âge et tu as cinq ans de moins que moi.
- Alors, j'ai de la marge. Bon, il faut peut-être y aller maintenant ? On a quand même du boulot.
La discussion s'arrêta là. Et les quatre employées de la compagnie d'assurance regagnèrent leur bureau, un peu d'humidité dans la culotte car le récit d'Audrey n'avait laissé aucune d'elle indifférente. Même Elise
A SUIVRE
Dans le gros cabinet d'assurance où elles exercent un emploi de bureau en "open space", Elise, Sandra, Audrey et Anne, toutes dans la même tranche d'âge, entre 35 ans et 50 ans, évoquent facilement leur vie privée. Toutes sont mères de famille et en couple, Audrey étant la seule à ne pas être mariée officiellement, et au fil du temps, elles n'ont plus beaucoup de secrets les unes pour les autres. Certaines sont toutefois un peu plus bavardes, comme on va le voir.
La scène se passe dans le petit restaurant de quartier, un lundi, où le quatuor a l'habitude de prendre ses repas avant de revenir au boulot. Sandra, une Noire sculpturale de 45 ans, a semblé marcher avec un peu de difficulté et doit répondre aux interrogations de ses collègues. Elle baisse un peu la voix à table et lâche :
- Boubacar m'a fait un festival hier matin. Il m'a ramonée pendant plus d'une heure avec sa grosse queue. J'avais beau lui dire "viens viens", il continuait à me pilonner. J'ai cru que j'allais avoir une syncope. Du coup, j'ai un peu mal à la chatte aujourd'hui.
Les trois autres pouffèrent de rire.
- Et tu as joui au moins ? interroge Audrey.
- Tu parles. Plusieurs fois.
- Plains-toi. Il y a tellement de filles qui n'en ont pas autant. N'est-ce pas Elise ?
Les regards se tournent vers la jolie blonde de 35 ans aux yeux clairs. Elle n'a jamais rien à raconter de tel. Elle avait avoué une fois que sa vie sexuelle était "du genre peinard" et les trois autres se l'était tenue pour dit. Elise les écoutait, les yeux dans le vague, raconter leurs frasques conjugales. Sans jamais intervenir. Audrey, une grande brune de 40 ans, employée au service juridique, divorcée puis pacsée, ne cache pas une certaine liberté sexuelle, en accord avec son compagnon du moment. "Je suis une femme qui baise", a-t-elle asséné un jour, stupéfiant Elise car la conseillère juridique n'a vraiment pas le look libertin. Elle parait même plutôt sage à première vue. Quant à Anne, la plus âgée (50 ans) avec son éternel casque de cheveux bruns rassemblés en chignon, elle semble redécouvrir le sexe avec l'âge et la complicité de son mari.
A cette table, c'est elle qui va prendre le relais de Sandra en disant :
- Mon mec me tanne depuis un moment pour aller dans un club échangiste. Il veut me voir baiser avec d'autres types. Heureusement, les clubs sont fermés depuis le covid, du moins à ce que je sais. J'ai encore un sursis.
- Et tu es prête à ça ? demande Sandra.
- On verra, ça dépendra de Roland s'il est toujours gentil avec moi.
- Moi, baiser avec des inconnus, je ne suis pas pour, poursuit Sandra. Et toi Audrey ?
La quadragénaire émet un petit gloussement, boit une gorgée de vin, pose son verre et glisse mezzo voce :
- Je ne vous l'ai jamais dit mais l'été dernier, pendant nos vacances sur la côte, avec Kevin, on est allé dans un sauna libertin.
- Noooon ! Raconte !
Les trois femmes sont tout ouïe à cette révélation de leur collègue.
- J'étais morte de trouille. Mais Kevin en avait vraiment envie. Je ne me suis détendue qu'une fois à poil et en peignoir, puis dans la piscine. Là, je me suis laissée vraiment prendre par l'ambiance. Deux types m'ont tourné autour mais Kevin s'est interposé. Un couple baisait dans l'eau, et là, j'ai commencé à avoir vraiment envie. L'expression de la fille m'a mis le feu.
- Tu as fait ça dans la flotte ? demande Sandra, hilare.
- Oh non ! On s'est échappé vers une petite pièce avec une sorte de matelas à même le sol entouré de miroirs. Et on a commencé à faire l'amour. J'ai vite vu qu'on nous regardait mais ça m'excitait plus qu'autre chose et Kevin encore plus. Il bandait comme un âne. Un type est entré et il a demandé s'il pouvait se joindre à nous.
- Oh la vache ! Gonflé le mec. Il était comment ? souffle Anne.
- Assez balaise, un peu trop poilu à mon goût, crâne rasé mais belle queue. Marc m'a demandé de le sucer pendant qu'il me prenait par derrière.
- Et tu l'as fait ? poursuite Anne.
- Ben oui. Tu sais, dans ces circonstances, on est plus femelle qu'épouse. D'ailleurs, quand Kevin a proposé au mec de me baiser, je n'ai pas dit non. On a inversé les rôles. Je suçais Kevin pendant que le type me prenait en levrette. A ce moment là, je me suis vue dans le miroir et je me suis demandée qui était cette bonne femme aux cheveux dénoués et à quatre pattes en train de se faire mettre par un poilu. C'était bien moi. Je n'en revenais pas.
- Et c'était bon au moins ? Cette fois, c'est Sandra qui a pris la parole.
- C'était au-delà de ça. Mon corps avait pris possession de ma tête. Je ne pensais qu'à baiser. D'ailleurs, un autre type est entré dans la pièce, un grand maigre avec des cheveux noués en catogan. Kevin m'a fait allonger et a invité le gars à se mettre entre mes cuisses. Il m'a pris les chevilles et... bref, vous avez compris.
- Deux mecs ? Tu as baisé avec deux mecs devant ton mari ? Sandra et Anne se sont exclamées en même temps.
- Et même trois avec Kevin qui est venu se mêler au jeu. Mais il a refusé que le grand maigre me sodomise. "Son petit trou, c'est pour moi", a-t-il dit.
- Encore heureux ! souffle Anne.
- Oui mais il l'a pris pendant que j'étais sur le poilu. Deux bites en même temps.
- Tu es la reine des salopes ! lâche Sandra.
- A ce moment là, oui. Arriver à quarante balais pour faire ça, franchement, c'était pas croyable. Mais au risque de vous décevoir, j'ai pris un pied d'enfer. Je me suis vue jouir dans le miroir, autre révélation. Les deux gars m'ont arrosée de leur sperme et j'ai avalé celui de Kevin. Quand je suis sortie plus tard de la pièce, j'ai été applaudie par un petit groupe d'hommes et de femmes qui n'avaient rien manqué de la scène. Eh bien, je vous vous dire, ça m'a fait plaisir. Jamais je ne m'étais sentie aussi femme. Autant désirée.
Un silence plana sur la tablée. Elise n'avait pas dit un mot mais arrêté de manger pendant le récit d'Audrey. Mais c'est elle qui rompit le silence.
- Tu as vécu une belle expérience et je me garderais bien de la condamner. Tu as la chance d'avoir un mari aussi compréhensif. Le mien serait bien incapable d'en faire autant.
- Et toi, Elise ? répondit Anne.
- La question ne se pose pas. Je n'ai rien d'une libertine, je suis une femme très ordinaire qui fait l'amour avec son mari, quand il en a envie.
- Mais toi, tes envies ? Il s'en occupe ? poursuit Sandra.
- Je ne sais même pas quelles sont mes envies. Mais j'avoue qu'en vous écoutant, je comprends qu'il existe une zone que j'ignore complètement.
- Il ne tient qu'à toi de les découvrir, affirme Audrey. Je l'ai bien fait à mon âge et tu as cinq ans de moins que moi.
- Alors, j'ai de la marge. Bon, il faut peut-être y aller maintenant ? On a quand même du boulot.
La discussion s'arrêta là. Et les quatre employées de la compagnie d'assurance regagnèrent leur bureau, un peu d'humidité dans la culotte car le récit d'Audrey n'avait laissé aucune d'elle indifférente. Même Elise
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