Elise, Sandra, Audrey, Anne et les autres (2)

- Par l'auteur HDS Micky -
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Auteur femme.
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Récit libertin : Elise, Sandra, Audrey, Anne et les autres (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2022 dans la catégorie Plus on est
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Elise, Sandra, Audrey, Anne et les autres (2)
UN PLAN CUL A QUATRE

Cette série met en scène quatre employées d'une grande compagnie d'assurance, entre 35 et 50 ans : Sandra, Anne, Audrey et Elise. Les trois premières sont délurées, la quatrième beaucoup moins. Reste à savoir si cela va durer...
****En rentrant chez elle après le travail, Elise se concentra sur ses travaux domestiques : les devoirs des enfants, la préparation du dîner, l'accueil du mari et la soirée télé. La routine habituelle. Mais son esprit vagabondait. Le récit d'Audrey de sa soirée au sauna libertin l'avait choquée mais en même temps donné à penser. Que sa collègue, de cinq ans plus âgée qu'elle, ait pu se livrer à trois hommes en même temps, dont son mari, en toute liberté et avec un plaisir manifeste remettait totalement en question sa vision de l'amour en couple. "Pourquoi je n'en suis pas capable ?" se demandait-elle. Avant de se coucher, elle s'inspecta dans la salle de bains. Nue. Elle trouva ses seins trop petits comparativement aux lourdes mamelles de Sandra et Anne; son fessier bombé comparable à celui d'Audrey mais celui-ci plus sensuel. Il y avait entre le haut et le bas de son corps une disproportion qui formait à ses yeux une sorte de déséquilibre. Heureusement, son visage restait attrayant avec ses traits fins, ses yeux clairs, sa chevelure blonde bouclée tombant sur ses épaules. Elle n'était pas trop mécontente non plus de ses jambes, ni grosses ni maigres, supportant aisément le port de la jupe ou de la robe. Au bout du compte, elle conservait envers et contre tout un certain charme qui la rendait encore susceptible d'être draguée. Et d'ailleurs, elle l'était parfois par quelques collègues mâles, vite remis à leur place.

En se couchant, elle prit un livre, à l'instar de son mari Gabriel. Puis celui-ci éteignit sa lumière de chevet et elle fit de même. Elle avait du mal à s'endormir. Elle pensait à Sandra, virilement honorée par son mari, et bien sûr à Audrey jouissant en public. Prise d'une impulsion, elle laissa sa main errer sur le pantalon de pyjama de Gabriel et pénétra à l'intérieur. Elle avait envie de faire l'amour.
- Mais qu'est-ce que tu fais ? Je suis crevé et j'ai encore une grosse journée demain.
La réaction de son mari lui fit retirer, à regret, sa main de son entrecuisses... pour rejoindre son giron. Elle se caressa et se masturba franchement en pensant à Sandra dévastée par la grosse queue de Boubacar. Elle réprima un gémissement en se mordant les lèvres. Elle jouit sous son doigt, et finit par s'endormir.
*******Ce qu'elle ne savait pas, c'est que ses trois collègues s'étaient réunies après le travail dans un café pour parler d'elle.
- Il faut faire quelque chose pour Elise, avait lancé Audrey. Je trouve qu'elle dépérit.
- Oui, si ça continue, elle va se dessécher alors qu'elle est si jolie, poursuivit Sandra.
- Il ne faut pas rigoler avec ça. Quand les hormones femelles ne fonctionnent plus ou mal, on peut avoir des embêtements de santé, surtout en avançant en âge, abonda Anne.
Les trois collègues déploraient la négligence du mari d'Elise et la passivité de celle-ci dans cette situation.
- Aime-t-elle vraiment le sexe ? interrogea Sandra.
- On peut se poser la question mais elle nous écoute et je crois qu'elle nous envie, suggéra Anne.
- Au fond, il n'en faudrait peut-être pas beaucoup pour qu'elle se décoince. Il faudrait la mettre en situation, proposa Audrey.

S'engagea alors un débat sur le thème : comment faire pour qu'Elise se mette à baiser ? Et sans pour autant la pousser au divorce. Plusieurs suggestions se firent jour. D'une manière ou d'une autre, il fallait impliquer le mari et telle était la difficulté. Sandra proposa d'inviter le couple à un dîner qui pourrait virer à un plan à quatre. Elle se déclara prête à séduire le mari d'Elise pour que le sien fasse connaitre le bonheur à sa blonde collègue.
- Beau dévouement, ricana Audrey.
- Et pourquoi tu ne m'inviterais pas aussi avec Marc ? proposa Anne.
L'affaire tournait à la partouze, d'autant qu'Audrey ne voyait pas pourquoi elle serait exclue avec son mec.
- Je ne crois pas que ce soit une bonne idée, retourna Sandra. Si on fait ça, Elise va se bloquer et on n'arrivera à rien. Laissez-moi faire avec Boubacar, on va y aller progressivement.
Les deux autres finirent par accepter la proposition, bon gré mal gré. Et c'est ainsi qu'Elise se vit proposer le lendemain une petite soirée africaine au domicile de sa collègue.
******‌‌Le plan de Sandra était le suivant : inviter Elise, son mari et ses enfants à venir partager un week-end dans sa maison de campagne en compagnie de sa propre famille, composée comme celle d'Elise de deux pré ados. Elise accepta de vive joie cette perspective car le temps s'annonçait beau et n'eut pas de mal à convaincre sa famille. Et c'est ainsi que celle-ci débarqua un samedi matin dans cette bâtisse construite près d'une rivière. La glace ne tarda pas à se briser entre les conjoints, d'autant que Boubacar était du genre débonnaire et les enfants du couple hôte joyeux.

L'après-midi fut consacré à la baignade dans la rivière voisine. Sandra avait troqué son ample robe sous laquelle ses obus évoluaient en toute liberté (ce que n'avait pas manqué de remarquer Gabriel, le mari d'Elise) pour un bikini beaucoup trop petit pour son gabarit et ne cachait vraiment pas grand chose. Boubacar portait un short de bain sous lequel le gros paquet de ses organes génitaux se balançait d'une manière indécente, ce qui troubla Elise, se rappelant son propre rêve. Le deuxième jour se passa dans la même ambiance. Le matin, Elise et Gabriel n'avaient pas pu faire autrement que de croiser leurs hôtes, sortant de la salle de bain dans le plus simple appareil, et sans la moindre gêne. Les fesses très écartées de Sandra et la bâton de berger de Boubacar avaient constitué pour Elise et Gabriel un vrai choc visuel. D'autant qu'ils les avaient entendus au début de la nuit précédente faire l'amour dans la chambre contiguë, les cris étouffés de Sandra et les grincements du lit ne laissant pas le moindre doute sur leur activité. L'érotisme latent de leurs hôtes représentait pour leurs invités une remise en question de leur propre vie sexuelle, même s'ils ne l'exprimèrent pas au retour à leur domicile. Ils avaient été frappés par les petits gestes amoureux qu'ils s'accordaient en permanence, une caresse par ci, un bisou par là. Il était clair que si Elise et Gabriel n'avaient pas été présents, ils n'auraient pas attendu le soir pour s'accoupler.

Quand Sandra proposa à Elise de venir dîner un soir en l'absence de ses enfants et avec son mari, l'acceptation fut immédiate. Les invités arrivèrent avec le traditionnel bouquet de fleurs, vêtus de manière classique. Mais quelle ne fut pas leur surprise de découvrir Sandra vêtue d'une robe rouge lui arrivant à mi-cuisses, décolletée jusqu'au nombril ou pas loin, et Boubacar d'une tenue chatoyante suffisamment moulante pour constater la liberté de ses parties intimes. Gabriel ne tarda pas à découvrir que Sandra ne portait même pas de slip lorsqu'elle se pencha en avant pour ramasser une fleur tombée du bouquet et faisant remonter sa robe jusqu'à la raie de ses fesses.

Par son comportement, le couple africain faisait régner dans la soirée une chaude atmosphère. Tout commença par une visite de la maison, rénovée par les propriétaires eux-mêmes. Le point d'orgue fut l'entrée de la chambre conjugale. Les hôtes découvrirent stupéfaits des murs et un plafond couverts de miroirs, à l'exception de l'ouverture de la fenêtre. Tout ce qu'Elise trouva à dire, c'est "ça doit te donner du boulot de garder tout ça propre". Et Sandra de répondre avec un clin d'oeil : "oui mais ça en vaut la peine".

Boubacar pelotait carrément Sandra pendant qu'elle préparait la cuisine et elle le repoussa en riant lorsqu'il glissa sa main sous sa robe. Elle s'esclaffa bruyamment lorsqu'il lui murmura quelques mots à l'oreille et le couple visiteur ne put que remarquer l'excroissance au niveau de l'entrejambes de Boubacar. Les hôtes firent régner une atmosphère joyeuse pendant le repas, très épicé. A la fin, Boubacar se faisait de plus en plus empressé, entrant sa main dans le décolleté de Sandra devant leurs hôtes, de plus en plus tendus. Et qui se demandaient jusqu'où ils allaient.
La réponse ne tarda pas. C'est Sandra qui parla :- On a envie de faire l'amour. Vous pouvez partir si vous voulez mais on aimerait que vous restiez pour vous joindre à nous.
Elise et Gabriel se regardèrent, interdits. Quel rôle devaient-ils jouer ? Partir en vexant leurs hôtes, si accueillants ? Les regarder en voyeurs ? Et... participer ?
Leurs hésitations furent rompues lorsque Sandra prit fermement la main de Gabriel et Boubacar celle d'Elise. Direction la chambre. Impossible de reculer, sauf à provoquer une dispute.
- Détendez-vous, laissez-vous aller, proposa Sandra.

A peine arrivée dans la pièce aux miroirs, celle-ci tira sa robe de bas en haut et apparut aussi nue qu'on peut l'être. Seins dressés et ventre en avant. Boubacar l'imita, déjà en demi érection et leurs deux corps sculpturaux se rejoignirent sur le lit.
- Asseyez-vous là, dit Sandra en tapotant le lit, vaste et accueillant. Et mettez-vous à l'aise, fichez-moi ces fringues sur la chaise.
Pendant que Sandra et Boubacar se bécotaient en se pelotant, Elise et Gabriel se déshabillèrent, à la fois empruntés et fascinés. La blonde nota l'érection de son mari que le méli-mélo des peaux noires excitait à l'évidence. Commença alors entre les deux hôtes une longue séance de lèche. Leur langue rose parcourait le corps du conjoint dans ses moindres replis, ses moindres courbes. Elise et Gabriel écarquillèrent les yeux lorsqu'ils les virent se lécher mutuellement l'anus en écartant les fesses. Jamais ils n'auraient imaginé qu'un homme et une femme en préliminaire de l'amour puissent faire ça. Ils ronronnaient, gloussaient, souriaient, indifférents en apparence à la présence du couple à peau blanche, tout entiers à leur succion qu'ils poursuivirent en se couchant tête bêche. Elise et Gabriel avaient désormais une vue sur le cul plantureux de Sandra coiffant la bouche gourmande de Boubacar. Ces préliminaires à rallonge étaient devenus insupportables de longueur érotique. Les deux voyeurs obligatoires ne s'étaient même plus rendu compte qu'ils se masturbaient. Quand Sandra se détacha pour s'allonger, seins épanouis et cuisses ouvertes, Boubacar lambina encore en lui suçotant les orteils. Mais sa fabuleuse excroissance entre ses cuisses restait toujours inemployée. C'est au point que Gabriel finit par s'exclamer :- Mais baise-la, merde !
- Oui, baise-la, ne la laisse pas en plan, poursuivit Elise, rouge comme une pivoine.
- Approchez-vous, venez-voir sa bite de plus près quand elle va s'enfoncer en moi, souffla Sandra d'une voix rauque.
Mais Boubacar lambina encore. Positionné entre les cuisses dodues de son épouse, son pénis ne faisait qu'effleurer la vulve, ignorant les coups de reins de Sandra qui essayait de se l'engloutir.
- Elise, prends-la et mets la moi, ordonna Sandra.

La blonde saisit le membre viril entre deux doigts et le contact de sa rigidité l'électrisa. Elle le prit à pleine main et le força à entrer dans la fente béante. Le gland étant à demi introduit, Sandra croisa les chevilles sur le dos de son époux et, forte de cet appui, engagea la totalité du pénis en poussant un cri de ventre. Une sarabande effrénée commença sur le lit. Le nez sur les fesses de Boubacar, le couple voyeur ne perdait pas une miette de cet accouplement tellement attendu. Elise était fascinée par les deux grosses couilles ballottant entre les cuisses au point qu'elle ne résista pas à la tentation de les palper. Gabriel se branlait de plus en plus énergiquement. L'apercevant, Elise abandonna les couilles noires, saisit le pénis de son mari et l'attira franco entre ses cujsses après s'être allongée perpendiculairement aux hôtes. Et c'est ainsi que deux couples, un noir et un blanc, se mirent à baiser dans le même lit, avec la même ardeur. Mais si c'était commun chez les uns, ce ne l'était pas chez les autres. D'autant qu'Elise, via le miroir du plafond, pouvait découvrir la frénésie du petit cul de son mari talonné par ses petits pieds et cette vision, conjuguée à l'activité de la bite dans son déduit juteux, lui occasionna son premier orgasme, inédit dans sa cause.

Mais encore plus inédit fut celui occasionné quelques minutes plus tard par la présence entre ses cuisses de Boubacar. Elise avait beau être bien lubrifiée, l'envahissement massif du Noir, qu'elle n'avait pas vu venir, lui procura une sensation inouïe qu'elle ponctua d'un cri venu du fond de ses entrailles. La brève pensée que Gabriel put s'offusquer de cette infidélité s'effaça lorsqu'elle découvrit Sandra en train de le chevaucher à grands coups de fesses. Elle reporta son regard sur le plafond, jubila au spectacle des roulements de hanches de son amant puis se découvrit un peu plus tard à quatre pattes face à un autre miroir, Boubacar solidement fiché en elle, les mains rivées à ses hanches, pénétrée dans ses profondeurs les plus intimes. Sandra vint se positionner à côté d'elle, également à quatre pattes, seins pendants, Gabriel debout au bord du lit la prenant en levrette à l'instar de Boubacar. Les deux femmes se regardaient via le miroir, rayonnantes, complices, heureuses d'être baisées. Sandra savait qu'elle avait déjà gagné, qu'Elise n'était plus une oie blanche et son mari plus un insuffisant du caleçon. Il lui restait à franchir une autre étape :- Encule-moi, dit-elle à Gabriel.
D'abord surpris par cette injonction à laquelle ne l'avait pas habitué Elise, Gabriel était trop excité pour se dérober. Il s'y prit assez maladroitement et Boubacar fut obligé d'interrompre son forage pour le conseiller en lui tenant la queue. Gabriel entra assez facilement avec cette aide et découvrit le plaisir anal dans une croupe somptueuse. Elise n'avait pas perdu une miette de l'opération. Le plaisir visible qu'y prenait Sandra l'interpellait. Oserait-elle ? La langue de Boubacar, lui titillant l'anus, la renseigna : il voulait également la sodomiser. Mais il était beaucoup trop gros. Elle avait peur de souffrir.

- Laisse-toi faire, j'ai l'habitude, la rassura Boubacar.
Il s'y prit avec lenteur et prudence. Il resta un bon moment le gland positionné sur l'anneau, sans forcer le passage. Mais arriva un moment où le cul bombé d'Elise, qui lui filait souvent des complexes, réclama une visite. Boubacar entra millimètre par millimètre mais il y avait de la place et quand il fut totalement enfoncé, Elise se découvrit dans le miroir son visage déformé par un rictus et yeux écarquillés. Mais elle était devenue complètement accro à ce pénis. Son corps entier continuait de le réclamer, où qu'il soit en elle. C'est elle-même qui vint bientôt le chercher à coups de fesses, comme faisait Sandra avec Gabriel. Les peaux claquaient à l'unisson. Profondément envahie, Elise ne tarda pas à jubiler et le miroir lui renvoya l'image du plaisir en même temps que les visages de Sandra et Gabriel, unis à côté d'elle. Que son mari sodomise une femme noire, qu'elle même soit sodomisée par un homme noir, plus rien ne la surprenait. Elle voulait juste atteindre l'orgasme, le premier orgasme anal de sa vie. Sandra l'excitait par ses propos crus.
- Tu l'aimes mon cul, hein ? jetait-elle à Gabriel. Regarde ta petite femme comme elle est bien enculée aussi. Regarde comme elle adore ça. Allez, vas-y, j'aime ça aussi. Tous les mecs veulent m'enculer. Profites-en...

Gabriel ne savait plus s'il devait regarder le cul de Sandra, le visage d'Elise ou le sien propre. Il ne s'était jamais senti aussi dur. Son regard tomba sur les gros seins de la Noire que ses coups de boutoir agitaient. Il se pencha pour les palper et ce contact l'électrisa tant ils étaient fermes et copieux. Il gicla instantanément et Sandra l'essora en quelques roulements de hanches.
- Il a joui, ton mari à joui, lança-t-elle à Elise.
Boubacar, lui, était toujours long et dur. Il se retira, s'essuya au drap du lit, renversa Elise sur le dos et lui dit :- Je vais te faire jouir. Te défoncer. Laisse-toi aller.
La prenant par les pieds, il s'enfonça en elle à genoux, observant ses réactions. Elise n'était plus qu'un sexe. Le forage prit peu à peu de l'ampleur. Boubacar lâcha les chevilles d'Elise qui aussitôt se croisèrent sur le dos du Noir. Ses poussées crescendo conduisirent lentement mais sûrement Elise à un orgasme ravageur. Sandra et Gabriel observaient sur le lit la montée de son extase. Lorsque les aller retours devinrent staccato, Elise fut prise d'une frénésie de cul qui la mit en arc de cercle et elle explosa dans un cri rauque. Boubacar lâcha tout. Elle fut arrosée d'un sperme épais, que Sandra étala sur son corps tout en l'embrassant :- Voilà, tu as baisé. Bienvenue au club, lui murmura-t-elle à l'oreille.
******Si cette expérience devait révolutionner la vie sexuelle d'Elise, le but fut atteint. Lorsqu'elle retrouva ses collègues, en particulier au déjeuner habituel, celles-ci ne purent que constater sa mutation. Elle riait désormais aux blagues crues de Sandra, Audrey et Anne. Elle ajoutait même parfois un commentaire coquin. Au lit, ce n'était plus aussi la même. Quand elle mettait la main dans le pantalon de pyjama de Gabriel, elle passait illico à la casserole car le mari lui-même s'était transformé en tringleur. D'avoir entendu sa femme bramer de plaisir sous le joug d'un homme noir lui avait fait prendre conscience qu'il partageait la vie d'un coup en or et qu'il serait le roi des imbéciles de ne pas en profiter. Mais il s'était aussi rendu compte que voir Elise baiser avec un autre homme était pour lui une source de plaisir. C'est pourquoi le couple se mit à surfer sur certains sites internet pour trouver soit d'autres couples, soit un homme susceptible de se prêter au jeu candauliste. Vu le charme d'Elise, les candidats se bousculèrent et il fallut faire un tri. Jusqu'au jour où ils s'en lassèrent et revinrent à une classique vie de couple. Mais jamais plus ils ne dormirent dos à dos.
A SUIVRE

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