Elle préfère les vieux...
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Elle préfère les vieux...
C’est parce que Claire a oublié ce jour là de répétition, son cahier de champs que je me suis proposer de la conduire jusqu’à chez elle.
Elle qui parait tellement angélique avec son look de jeune fille de bonne famille. Elle n’est pas farouche du tout. Elle est brune avec une jolie frimousse. Plutôt grande, fine, elle porte des chaussures plates aux pieds, une robe de scène avec une fermeture Eclair à son centre.
Je l’invite pour se faire à monter dans la voiture de service. Et sous sa navigation elle m’emmène jusqu’à chez elle. Claire m’invite alors à la suivre. Elle veut m’offrir un café pour ma gentilles de l’avoir conduite jusqu’à son domicile. Il dégage chez elle un mélange troublant de pureté farouche et d’animalité contenue.
Et c’est ainsi que je me retrouve dans sa cuisine, affrontant le regard de plus en plus lourd de la jeune fille.
Avec des mains tremblantes, elle arrive tout de même à me faire un café. Inquiet je me permets de me renseigner.
-Tu souffres de quelque chose, Claire ?
-Non…non… ! Pourquoi ? Me fait-elle.
-Je ne sais pas, tu es toute tremblante !
-C’est que… enfin que…
-Que quoi ?
-Je ne sais pas je suis toute drôle.
-Oui, je vois ça. Tu te sens mal ?
-Non, j’ai une chaleur venant de l’intérieur qui embrase chaque parcelle de ma peau.
-Et alors ?
-Alors je pense que tu es pour quelque chose.
-Moi ! Et comment ça ?
-Je ne saurais le dire. Me lâche-t-elle.
-Parce que tu n’oses pas le dire.
-Oui… c’est ça !
-Tu veux peut-être que je le dise pour toi ? C’est ça ?
-J’écoute, me fait-elle.
-Alors accroche-toi bien, comme ton petit copain n’est pas capable de te satisfaire sexuellement, tu veux par curiosité faire ça avec un type plus vieux. Je me trompe ?
-On peut dire que tu es Devin. A une exception près..
-C’est-à-dire ? Fais-je en m’approchant.
Et avant d’entendre plus, je défais la fermeture éclair de la tenue de scène qu’elle porte. L’habit tombe immédiatement aux pieds de la jeune fille qui émet un faible « Oh » de surprise.
Dessous elle porte une culotte blanche. Je la retourne pour apercevoir son côté pile. Sous mes yeux se trouve alors un beau cul, aux fesses bien rondes, fermes, pleines, d’un galbe impeccable. Mon érection devient douloureuse.
Il m’en faut pas plus pour glisser mes doigts sous l’élastique, effleurant la peau douce, à peine grenelée par une légère chair de poule, et je fais rouler la culotte jusqu’au carrelage. Au passage, j’en profite pour retirer ses baskets. La toison sombre vient éblouir mes rétines. Formant un triangle net sur la peau pâle.
Claire statufiée, reste sans réaction quand je fais remonter mes mains le long de ses jambes, jusqu’à pouvoir caresser doucement ses fesses. Je m’autorise de les glisser jusqu’à son soutien-gorge pour le dégrafer.
Claire est maintenant complètement nue, raide comme la justice. Après lui avoir longuement caressé la nuque, le dos et les cuisses, je quitte son dos et me place en face d’elle et lui montre la protubérance.
-C’est toi la cause.
Elle sourit, et répond :
-Moi ?
-Parfaitement, toi !
Je sors ma queue de sa cachette et lui expose. Ma respiration devient plus courte quand elle se saisit de ma verge entre deux doigts pour la tâter. Elle pince le bout du gland, pour faire bâiller le méat où perle déjà une goutte de sécrétion.
- Oh, oh, elle est grosse, dis donc !
Elle soupèse mes deux boules poilues. Elles deviennent dures immédiatement. Elle ne quitte pas des yeux mon sexe. Elle tire sur la peau comme une petite fille testant un nouveau jouet.
La petite effrontée, une rougeur diffuse colorant ses joues, ne perd pas du regard ce qu’elle tient à ses doigts. Se permettant même le luxe de se frotter ses cuisses l’une contre l’autre. Je me dois de garder mon sang froid. Ne pas manœuvrer avec brusquerie. Prendre mon temps pour ne pas l’effrayer.
Je la sort tout de même de sa contemplation en la forçant doucement à se retourner pour la seconde fois, je l’embrasse juste au-dessus des fesses, avant de faire glisser mes lèvres et la pointe de la langue le long de la colonne vertébrale finissant mon voyage dans la nuque.
-Il serait peut-être sage quand s’arrête là ? Fais-je.
-NON ! Répond-t-elle, avec un visage détendu, illuminé, révélant toute sa beauté.
Encouragé, je poursuis alors, lui effleurant les seins du bout des doigts. J’en redessine la parfaite rondeur avant que mes paumes ne viennent les épouser. Tout de suite mes doigts suivent le profil des seins, effleurant les mamelons gonflés et les tétons tendus qui vibrent sous la caresse. Je presse le sein gauche tandis que, des lèvres, je cueille le bourgeon du sein droit.
La jeune fille frissonne, elle arque les reins et, lâche un soupir. Encouragé je rends un hommage vibrant à sa poitrine. Claire succombe sous le plaisir que je lui offre. Je l’attire jusqu’au salon.
-Non ! Me fait-elle, je préfère qu’en aille dans ma chambre si cela ne te dérange pas.
-Tu es la maîtresse des lieux !
Claire est un puissant aphrodisiaque pour moi. J’ai soif d’elle. Réfrénant mon désir de la posséder là tout de suite, désir qui devient douloureux à force de me brider, je veux d’abord lui faire découvrir le plaisir, devinant avec certitude à quel point la jeune fille est vierge.
Je pose pour ça mes lèvres sur celles de la jeune fille. Instinctivement, Claire s’arque, vient à ma rencontre, ouvre les lèvres et mêle sa langue à la mienne. Le ballet de mes mains reprend sur son corps de la jeune fille, vite rejointes par la bouche. J’embrasse, caresse, lèche, masse consciencieusement chaque parcelle du corps de la jeune fille qui ondule de plus en plus sous mes caresses. Elle a les yeux fermés, concentrée sur les sensations inouïes qui se propagent en elle. Après l’avoir fait languir de longues minutes, j’approche la main de la toison offerte. Mes doigts jouent avec la toison bouclée, la main se posant à plat sur le mont de Vénus qu’elle masse doucement puis avec plus de force. J’enfonce un doigt et atteint les chairs douces.
Claire gémit et soupire. Je lui écarte les cuisses et scrute son sexe émanant une odeur exaltante. Les lèvres s’entrouvrent en corolle. J’y plonge le visage, respirant le parfum suave et entêtant. Mon initiative est reçue par un gémissement. Puis elle s’arque sous la caresse, vient à la rencontre de ma bouche qui, tour à tour, la frôle et la lape, ma bouche qui lui offre les plus grands plaisirs du monde.
J’observe la progression de sa jouissance. Elle halète, s’arque, se tord, ses mains se crispent sur les draps, les yeux s’écarquillent et se ferment, la bouche s’ouvre pour chercher de l’air puis se referme sous les dents qui meurtrissent les lèvres.
Pour accompagner ma caresse buccale, je glisse un doigt à l’entrée de la cavité. Se cambrant un peu plus, elle va instinctivement à la rencontre de mon doigt qui la perce lentement. Son sexe est d’une incomparable douceur sous la pulpe de mon doigt qui, doucement, l’explore, la fouille. Je sens bien une résistance et je stoppe ma progression comme je ne fais à chaque fois qui me fait barrage.
-Non…non continue, s’il te plait, murmure Claire le souffle court, sans réfléchir.
Alors je reprends ma caresse, m’envoyant ma main gauche pincer doucement un téton, la bouche et le doigt dans le sexe. Un deuxième doigt rejoint le premier, puis un troisième, tous trois, restant consciencieusement à la lisière de la membrane.
Claire gémit doucement d’abord, puis plus bruyamment. Elle crie. Je ne cesse pas mes caresses, au contraire, j’introduis un quatrième doigt et, soudainement, je m’enfonce plus profondément en elle, rompant la membrane. Claire crie encore, cri de jouissance mêlée peut-être à la douleur. Je continus à lécher doucement le sexe ouvert jusqu’à ce que ma langue sente le goût fade d’une goutte de sang. Claire garde les yeux fermés, avec, sur le visage, une expression indéfinissable, tension et abandon s’y côtoient.
-Tu as aimé ? Lui fais-je.
Claire rouvre les yeux et me sourit avec douceur. Elle me regarde longuement.
-Je veux que tu me la mettes !
Mais avant de m’empresser de répondre à son souhait, j’ai une question à lui poser :
-Tu en es sûr ?
-Parfaitement !
-Et nous ne risquons pas d’être déranger ?
-Pas le moins du monde…
Alors je me déshabille. Faisant un petit tas avec mes vêtements.
Fascinée, Claire ne peut détacher son regard de l’excroissance qui palpite au centre de mon corps. Elle se redresse sur son lit, pour placer le visage à quelques centimètres à peine de ma verge qui darde vers elle. Doucement, presque timidement, elle approche la main et l’effleure du bout des doigts. Après une longue exploration manuelle, elle dépose un baiser léger sur le gland.
Je l’invite à s’allonger, et pose mon corps sur le sien, la couvrant de baisers. Je frotte mon sexe dur à l’entrée du passage. Je n’ai aucune difficulté à bien me positionner, et dès que mon gland se retrouve à l’intérieur, je sens Claire contracter ses muscles. Je continu alors lentement ma progression, mettant mes deux mains sous ses petites fesses craquantes avant de pousser plus à fond. Après deux ou trois allers-retours, je jette alors un regard tendre à la jeune fille et je vois une larme couler sur sa joue. Était-ce l’émotion du moment ?
Elle me fait alors un petit signe de tête m’indiquant que tout va bien et que je peux continuer. Rapidement, elle devient de plus en plus à l’aise et son bassin se met mis à bouger en harmonie avec le mien. J’ai alors accéléré le rythme et sens que Claire prend un réel plaisir, ses doigts qui s’enfoncent dans ma peau me le démontrent. Je suis terriblement excité et j’ai l’impression de vider des litres de sperme dans son ventre. Nous sommes restés ainsi enlacés pendant un moment.
Puis elle me conduit jusqu’à la salle de bain où nous avons pris une douche. J’ai particulièrement apprécié le moment où je suis derrière elle, tenant ses seins à pleines mains pendant que mon sexe se branle doucement sur son cul ferme.
C’est sa voix qui me ramène sur terre.
-Hummmm, je sens que tu reprends la forme. J’aimerais tout de même répéter.
-Tu as raison.
Elle qui parait tellement angélique avec son look de jeune fille de bonne famille. Elle n’est pas farouche du tout. Elle est brune avec une jolie frimousse. Plutôt grande, fine, elle porte des chaussures plates aux pieds, une robe de scène avec une fermeture Eclair à son centre.
Je l’invite pour se faire à monter dans la voiture de service. Et sous sa navigation elle m’emmène jusqu’à chez elle. Claire m’invite alors à la suivre. Elle veut m’offrir un café pour ma gentilles de l’avoir conduite jusqu’à son domicile. Il dégage chez elle un mélange troublant de pureté farouche et d’animalité contenue.
Et c’est ainsi que je me retrouve dans sa cuisine, affrontant le regard de plus en plus lourd de la jeune fille.
Avec des mains tremblantes, elle arrive tout de même à me faire un café. Inquiet je me permets de me renseigner.
-Tu souffres de quelque chose, Claire ?
-Non…non… ! Pourquoi ? Me fait-elle.
-Je ne sais pas, tu es toute tremblante !
-C’est que… enfin que…
-Que quoi ?
-Je ne sais pas je suis toute drôle.
-Oui, je vois ça. Tu te sens mal ?
-Non, j’ai une chaleur venant de l’intérieur qui embrase chaque parcelle de ma peau.
-Et alors ?
-Alors je pense que tu es pour quelque chose.
-Moi ! Et comment ça ?
-Je ne saurais le dire. Me lâche-t-elle.
-Parce que tu n’oses pas le dire.
-Oui… c’est ça !
-Tu veux peut-être que je le dise pour toi ? C’est ça ?
-J’écoute, me fait-elle.
-Alors accroche-toi bien, comme ton petit copain n’est pas capable de te satisfaire sexuellement, tu veux par curiosité faire ça avec un type plus vieux. Je me trompe ?
-On peut dire que tu es Devin. A une exception près..
-C’est-à-dire ? Fais-je en m’approchant.
Et avant d’entendre plus, je défais la fermeture éclair de la tenue de scène qu’elle porte. L’habit tombe immédiatement aux pieds de la jeune fille qui émet un faible « Oh » de surprise.
Dessous elle porte une culotte blanche. Je la retourne pour apercevoir son côté pile. Sous mes yeux se trouve alors un beau cul, aux fesses bien rondes, fermes, pleines, d’un galbe impeccable. Mon érection devient douloureuse.
Il m’en faut pas plus pour glisser mes doigts sous l’élastique, effleurant la peau douce, à peine grenelée par une légère chair de poule, et je fais rouler la culotte jusqu’au carrelage. Au passage, j’en profite pour retirer ses baskets. La toison sombre vient éblouir mes rétines. Formant un triangle net sur la peau pâle.
Claire statufiée, reste sans réaction quand je fais remonter mes mains le long de ses jambes, jusqu’à pouvoir caresser doucement ses fesses. Je m’autorise de les glisser jusqu’à son soutien-gorge pour le dégrafer.
Claire est maintenant complètement nue, raide comme la justice. Après lui avoir longuement caressé la nuque, le dos et les cuisses, je quitte son dos et me place en face d’elle et lui montre la protubérance.
-C’est toi la cause.
Elle sourit, et répond :
-Moi ?
-Parfaitement, toi !
Je sors ma queue de sa cachette et lui expose. Ma respiration devient plus courte quand elle se saisit de ma verge entre deux doigts pour la tâter. Elle pince le bout du gland, pour faire bâiller le méat où perle déjà une goutte de sécrétion.
- Oh, oh, elle est grosse, dis donc !
Elle soupèse mes deux boules poilues. Elles deviennent dures immédiatement. Elle ne quitte pas des yeux mon sexe. Elle tire sur la peau comme une petite fille testant un nouveau jouet.
La petite effrontée, une rougeur diffuse colorant ses joues, ne perd pas du regard ce qu’elle tient à ses doigts. Se permettant même le luxe de se frotter ses cuisses l’une contre l’autre. Je me dois de garder mon sang froid. Ne pas manœuvrer avec brusquerie. Prendre mon temps pour ne pas l’effrayer.
Je la sort tout de même de sa contemplation en la forçant doucement à se retourner pour la seconde fois, je l’embrasse juste au-dessus des fesses, avant de faire glisser mes lèvres et la pointe de la langue le long de la colonne vertébrale finissant mon voyage dans la nuque.
-Il serait peut-être sage quand s’arrête là ? Fais-je.
-NON ! Répond-t-elle, avec un visage détendu, illuminé, révélant toute sa beauté.
Encouragé, je poursuis alors, lui effleurant les seins du bout des doigts. J’en redessine la parfaite rondeur avant que mes paumes ne viennent les épouser. Tout de suite mes doigts suivent le profil des seins, effleurant les mamelons gonflés et les tétons tendus qui vibrent sous la caresse. Je presse le sein gauche tandis que, des lèvres, je cueille le bourgeon du sein droit.
La jeune fille frissonne, elle arque les reins et, lâche un soupir. Encouragé je rends un hommage vibrant à sa poitrine. Claire succombe sous le plaisir que je lui offre. Je l’attire jusqu’au salon.
-Non ! Me fait-elle, je préfère qu’en aille dans ma chambre si cela ne te dérange pas.
-Tu es la maîtresse des lieux !
Claire est un puissant aphrodisiaque pour moi. J’ai soif d’elle. Réfrénant mon désir de la posséder là tout de suite, désir qui devient douloureux à force de me brider, je veux d’abord lui faire découvrir le plaisir, devinant avec certitude à quel point la jeune fille est vierge.
Je pose pour ça mes lèvres sur celles de la jeune fille. Instinctivement, Claire s’arque, vient à ma rencontre, ouvre les lèvres et mêle sa langue à la mienne. Le ballet de mes mains reprend sur son corps de la jeune fille, vite rejointes par la bouche. J’embrasse, caresse, lèche, masse consciencieusement chaque parcelle du corps de la jeune fille qui ondule de plus en plus sous mes caresses. Elle a les yeux fermés, concentrée sur les sensations inouïes qui se propagent en elle. Après l’avoir fait languir de longues minutes, j’approche la main de la toison offerte. Mes doigts jouent avec la toison bouclée, la main se posant à plat sur le mont de Vénus qu’elle masse doucement puis avec plus de force. J’enfonce un doigt et atteint les chairs douces.
Claire gémit et soupire. Je lui écarte les cuisses et scrute son sexe émanant une odeur exaltante. Les lèvres s’entrouvrent en corolle. J’y plonge le visage, respirant le parfum suave et entêtant. Mon initiative est reçue par un gémissement. Puis elle s’arque sous la caresse, vient à la rencontre de ma bouche qui, tour à tour, la frôle et la lape, ma bouche qui lui offre les plus grands plaisirs du monde.
J’observe la progression de sa jouissance. Elle halète, s’arque, se tord, ses mains se crispent sur les draps, les yeux s’écarquillent et se ferment, la bouche s’ouvre pour chercher de l’air puis se referme sous les dents qui meurtrissent les lèvres.
Pour accompagner ma caresse buccale, je glisse un doigt à l’entrée de la cavité. Se cambrant un peu plus, elle va instinctivement à la rencontre de mon doigt qui la perce lentement. Son sexe est d’une incomparable douceur sous la pulpe de mon doigt qui, doucement, l’explore, la fouille. Je sens bien une résistance et je stoppe ma progression comme je ne fais à chaque fois qui me fait barrage.
-Non…non continue, s’il te plait, murmure Claire le souffle court, sans réfléchir.
Alors je reprends ma caresse, m’envoyant ma main gauche pincer doucement un téton, la bouche et le doigt dans le sexe. Un deuxième doigt rejoint le premier, puis un troisième, tous trois, restant consciencieusement à la lisière de la membrane.
Claire gémit doucement d’abord, puis plus bruyamment. Elle crie. Je ne cesse pas mes caresses, au contraire, j’introduis un quatrième doigt et, soudainement, je m’enfonce plus profondément en elle, rompant la membrane. Claire crie encore, cri de jouissance mêlée peut-être à la douleur. Je continus à lécher doucement le sexe ouvert jusqu’à ce que ma langue sente le goût fade d’une goutte de sang. Claire garde les yeux fermés, avec, sur le visage, une expression indéfinissable, tension et abandon s’y côtoient.
-Tu as aimé ? Lui fais-je.
Claire rouvre les yeux et me sourit avec douceur. Elle me regarde longuement.
-Je veux que tu me la mettes !
Mais avant de m’empresser de répondre à son souhait, j’ai une question à lui poser :
-Tu en es sûr ?
-Parfaitement !
-Et nous ne risquons pas d’être déranger ?
-Pas le moins du monde…
Alors je me déshabille. Faisant un petit tas avec mes vêtements.
Fascinée, Claire ne peut détacher son regard de l’excroissance qui palpite au centre de mon corps. Elle se redresse sur son lit, pour placer le visage à quelques centimètres à peine de ma verge qui darde vers elle. Doucement, presque timidement, elle approche la main et l’effleure du bout des doigts. Après une longue exploration manuelle, elle dépose un baiser léger sur le gland.
Je l’invite à s’allonger, et pose mon corps sur le sien, la couvrant de baisers. Je frotte mon sexe dur à l’entrée du passage. Je n’ai aucune difficulté à bien me positionner, et dès que mon gland se retrouve à l’intérieur, je sens Claire contracter ses muscles. Je continu alors lentement ma progression, mettant mes deux mains sous ses petites fesses craquantes avant de pousser plus à fond. Après deux ou trois allers-retours, je jette alors un regard tendre à la jeune fille et je vois une larme couler sur sa joue. Était-ce l’émotion du moment ?
Elle me fait alors un petit signe de tête m’indiquant que tout va bien et que je peux continuer. Rapidement, elle devient de plus en plus à l’aise et son bassin se met mis à bouger en harmonie avec le mien. J’ai alors accéléré le rythme et sens que Claire prend un réel plaisir, ses doigts qui s’enfoncent dans ma peau me le démontrent. Je suis terriblement excité et j’ai l’impression de vider des litres de sperme dans son ventre. Nous sommes restés ainsi enlacés pendant un moment.
Puis elle me conduit jusqu’à la salle de bain où nous avons pris une douche. J’ai particulièrement apprécié le moment où je suis derrière elle, tenant ses seins à pleines mains pendant que mon sexe se branle doucement sur son cul ferme.
C’est sa voix qui me ramène sur terre.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Magnifique récit!
Xavier
Xavier
Récit bien écrit et stimulant
Annie
Annie
très beau récit