Etre étudiant et libertine 1 - Rentrée universitaire

Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 46 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de John62 ont reçu un total de 167 117 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 2 570 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Etre étudiant et libertine 1 - Rentrée universitaire
En deuxième année de fac en Sciences économique, je suis un étudiant connu pour être sérieux et travailleur. Je suis plutôt discret, d'allure je n'ai rien d'un fort des halles de plus mon poil clair me fait paraître imberbe. Qui pourrait s'imaginer dans les amphis ou les salles de TD que sous ces apparences se cache une autre personne.
En effet sous mes fringues impersonnelles se dissimule une libertine en sous vêtements affriolants, aux cheveux dans le vent après un brushing de ses baguettes de tambour et au minois charmant une fois maquillé. Dépucelé par mon cousin, initié par ma tante, je suis bisexuel, à la fois l'amant d'une dame et de son compagnon, et aussi la soubrette et demoiselle de compagnie de ma logeuse.
A la rentrée universitaire je retrouve Mélina, une étudiante, avec qui l'année précédente j'ai sympathisé. Elle est grecque avec un adorable petit accent. C'est une fille plutôt jolie sans être un canon de beauté. Brune aux cheveux courts, un visage souriant aux traits fins, des yeux noirs. Sans être grande, elle est élancée. Ses habits au masculin, ses relations au féminin, la font paraître singulière.
On dit qui se ressemble, s'assemble, elle est un peu comme moi solitaire et travailleuse. Aussi tout naturellement nous nous sommes proposés pour préparer ensemble un dossier pour un prochain TD sur "Les incidences des conflits armés sur l'économie mondiale". En fin de compte cette étude nous a demandé beaucoup de travail, en même temps elle nous a rapprochés et au fil des jours nous sommes devenus de vrais amis jusqu'à flirter un peu. Tous les soirs nous nous retrouvons chez elle pour bosser sauf qu'aujourd'hui ses parents recevant, nous convenons de nous rencontrer chez moi.
Cette après-midi, Germaine, ma logeuse, m'a demandé de l'accompagner chez la corsetière pour me commander un ensemble pour une de ses prochaines soirées. Comme elle aime que nous sortions entre filles, je me suis faite mignonne en mettant ma gaine pour faire disparaître mes attributs sous mon pantalon fermé sur le côté par une fermeture Éclair et ma veste cintrée noire avec une petite blouse blanche. Ça me creuse la taille, arrondit les hanches, exagère la poitrine, bref ça me donne une ligne très sexy. Dans l'après-midi nous avons tardé un peu et nous arrivons à la maison bras dessus-dessous à peine un quart d'heure avant mon rendez-vous avec Mélina.
— Jane, excuse-moi je dois passer chez le boulanger, je te laisse, bonne soirée et à très bientôt.
Elle m'embrasse à la commissure des lèvres et s'éloigne.
A peine arrivé dans ma chambre j'ai juste le temps de retirer veste, blouse, brassière et prothèses mammaires qu'on frappe à ma porte. J'enfile vite un tee-shirt et ouvre sans précaution en pensant que Germaine a oublié quelque chose :
— Oui, oui !
Mélina est là devant moi !... Je suis pétrifié.
— John ! Bonsoir, je suis un peu en avance... C'est toi qui vient d'arriver ?
Elle me fait un petit bisou du bout des lèvres et me pousse en arrière pour entrer dans ma chambre. Mon cœur bat à tout rompre
— Euh...
— Oui la jolie fille en tailleur noir hyper sexy avec une femme, pas mal non plus... Oui bien sûr que c'était toi, ta veste est sur le lit !
— Mél …
— T'es un "trav" !...Elle le dit avec un tel ton de mépris, en un instant le monde s'écroule, elle vient de découvrir mon vrai personnage, elle va me jeter, se moquer, tout révéler, je vais être la risée de la fac... Obligé d'arrêter mes études
— NON ! S'il te plaît... (Je bredouille, me lamente) Non ! C'est ma logeuse, elle m'oblige... Je ne cesse de la regarder, l'implorant, elle reste sérieuse, n'a rien d'ironique, au contraire avec une certaine bonté elle me prend par les mains, semble me comprendre, je me détends et rassuré après un instant je lui lâche d'un coup. NON !... J'aime séduire comme une femme et aimer comme un homme, être ce que je suis, bisexué !.
Elle s'assied sur le lit, écarte délicatement mes prothèses, je m'assieds près d'elle, on se regarde intensément, elle se penche sur mon épaule, ses yeux mi-clos, sa bouche entrouverte, on part à la renverse sur le lit, je l'embrasse tendrement. Elle me répond en passant sa langue sur mes lèvres, notre baiser devient brûlant, passionné .
C'est notre premier baiser, les langues se rencontrent, s'activent, tournent l'une sur l'autre, passent d'une bouche à l'autre. Ma main saisit délicatement son sein, le caresse avant de le palper doucement. Elle me répond, glissant sa main sous mon tee-shirt, me caressant le dos... Je m'enhardis en passant sous son débardeur, je prends le sein à pleine main en accentuant la pression, je le sens plus ferme, enfin je le dégage du tissus de soie qui le protège...
En deux minutes, sans un mot, tout en s'embrassant, nous abandonnons nos hauts et restons en pantalon allongés l'un contre l'autre, les jambes enchevêtrées. Elle me regarde en souriant et me murmure :
— C'est vrai, tu aimes comme un homme et avec la délicatesse d'une femme, j'adore ! (tout en me donnant un bisou du bout des lèvres) Tu peux m'expliquer ?
— Je vais tout te dire. C'est vrai je fréquente la dame que tu as vu avant, c'est ma proprio, elle est beaucoup plus âgée que moi. Je t'avoue que tu es la première jeune fille que j'embrasse !
— Première jeune femme ! Dit-elle en élevant la voix comme pour affirmer : "Non je ne suis pas une petite fille".
Je lui raconte tout, depuis mon dépucelage par mon cousin, mes soirées avec mes oncle et tante, ma rencontre avec Valérie jusqu'à ma relation avec ma proprio, ses soirées fines et mon jeu de soubrette.
Elle m'écoute attentivement, comme en recevant une confession. En 10 minutes elle sait l'essentiel de mon histoire, en 10 minutes elle me connaît comme peu d'autres personnes, en 10 minutes nous sommes passés d'une relation de simple flirt à celle d'amis très intimes. Après un long silence durant lequel nos mains s'étreignent, elle me regarde fixement et avec beaucoup de sérieux ajoute :
— John... ? Jane... ? Peu m'importe !... Qui que tu sois, j'ai envie de toi !
En un saut de carpe elle se débarrasse de son pantalon et de son slip. D'un bond je me lève et abandonne mon pantalon et ma gaine. Je reste debout face à elle, en mi-bas de nylon, nu, encore bien bronzé de mes vacances, intégralement épilé, je bande dur.
— John, Waouh ! Viens ! Fais-moi l'amour comme une femme. Baise-moi comme un homme
Ses pieds sur le lit, les genoux ouverts, bras tendus elle m'accueille. Elle est belle, bronzée, au creux de ses jambes son sexe est garni d'un petit gazon soigné. Son corps aux seins de jeune fille, à la taille marquée est digne des plus beaux marbres antiques. Les tétons turgescents et l'humidité de la vulve dévoilent en même temps la vie et l'intensité de son désir.
En appui sur mes genoux et mes coudes, allongé sur elle, je me fais aussi léger que possible. C'est elle-même qui balaie sa vulve de mon sexe, avant de pointer son vagin. Je me laisse aller et glisse lentement en elle, dans un soupir partagé nos pubis se joignent, je suis en elle,humide, soyeuse, brûlante. Nous nous embrassons tendrement. Elle s'abandonne, les bras relevés au dessus de sa tête, ses seins s'étirent sur son torse au point que seuls ses tétons ressortent de sa poitrine, je les pince à peine, les fais rouler au creux de mes paumes, mes mains remontent des côtés au creux de ses aisselles puis suivent le chemin de ses bras jusqu'à étreindre les siennes.
Notre baiser s'enflamme, nos langues se trouvent, se caressent, s'affolent. Mon torse se balance sur le sien, mes tétons pointent, frôlent sa poitrine. Ce ne sont que soupirs de contentement et gémissements de plaisir. Son ventre se contracte sur mon sexe immobile mais si dur. Sa respiration s'accélère, devient haletante, elle tourne la tête, je plonge dans son épaule, mes lèvres font ventouses sur son cou, mon bassin bouge à peine. « Oh oui ! Doucement, comme ça... » Elle s'étire encore, gonfle sa poitrine, je rentre ma tête dans mes épaules et j'ai sa poitrine sous mes lèvres. Quelques bisous puis je l'embrasse, suçote les pointes, les tète doucement puis plus fort « Oh oui, c'est bon » Ses bras se rabattent, m'enserrent, je caresse ses seins, les masse doucement, les prends à pleine main, nos ventres oscillent l'un sur l'autre, très progressivement nos corps s'animent, nos bassins bougent en rythme. Les pubis se séparent et se retrouvent. Ses doigts se crispent, ses ongles s'enfoncent dans mes fesses, nos respirations s'accélèrent, les gémissements deviennent cris.
On se regarde on se sourit, on se comprend, la douceur devient fureur.L'homme prend le dessus.
Je me redresse, relève ses jambes sur mes épaules, la plie en deux. Couché sur elle, je lui pétris les seins, roule ses tétons. Je l'observe, mon coït répond à ses attentes, je lui fais l'amour tendrement. Couché en accent circonflexe sur elle, je la pilonne brutalement. La frappe de mon ventre sur ses cuisses, le bruit de sa mouille s'intensifient. Je la besogne ainsi un moment avant de me relever et de tenir en l'air ses jambes droites en V. Maintenant c'est à grands coups de reins que je la baise. Mon regard fixé sur nos ventres, je vois ma verge couverte de mouille coulisser entre les lèvres bordée d'une écume blanchâtre.
Mélina les yeux fermés, est partie très loin, elle ne cesse de râler, émet de temps en temps un mot en grec. Puis elle me regarde « Oui..oui...Je viens... AAAAAH ! » Elle jouit et je la rejoins. Je lui balance tout, trois, quatre giclées au fond de son ventre. Je me vide lentement, lâche les jambes, tombe sur elle, nous virons sur le côté, on se retrouve hors d'haleine, en sueur allongés l'un contre l'autre. C'est elle qui m'embrasse du bout des lèvres... On ne parle pas, nos yeux expriment notre bonheur
— John... C'était merveilleux...
On se câline un long moment sans rien dire, juste à se couvrir de caresses, comme pour mémoriser le corps de l'autre
— John... Confidence pour confidence... Ça fait longtemps que je n'ai pas fait l'amour comme ça... Avec un homme, tu sais je préfère avec les femmes !... Elle observe ma surprise puis après un long silence reprend. Les hommes sont égoïstes, ils ne pensent qu'à eux, ils n'ont aucune sensibilité, aucune tendresse... Ils font leur affaire sans s'occuper de notre plaisir, ils nous prennent pour des trous et nous jettent comme des kleenex.
— Mel... Oh ! Tout de même... Pas tous,
— Non... Elle sourit, fait une petite mou coquine. Je crois avoir rencontré l'exception... Elle me regarde intensément et m'embrasse du bout des lèvres, puis reprend. Pas tous mais beaucoup... Entre filles c'est souvent mieux. Tu sais John... A 10 ans j'ai trouvé mon petit bouton. Comme tous les gosses j'ai joué au docteur, rapidement j'ai découvert que le bonheur était au bout de mes doigts. Plus tard un copain d'une quinzaine d'années m'a dépucelée, trop vite, pas bien. Puis un pote de mon père a abusé de moi je n'avais pas dix-sept ans. L'année de mon bac, c'est une femme qui m'a fait découvrir l'amour. Ensuite j'ai eu beaucoup d'amoureux, quelques amants mais surtout des filles. Aujourd'hui, j'ai une vie sexuelle très active avec deux copines... Malheureusement elles sont exclusivement lesbiennes alors qu'avec toi je me rends compte que j'ai autant besoin d'un homme que d'une femme... Elle me regarde très sérieusement, pensive, sa langue glisse sur ses lèvres... Oui John, c'est d'un homme comme toi dont j'ai besoin !
On est resté un moment sans vraiment se parler, à se regarder, lui caressant le dos heureux de la faire frissonner, elle se frottant à moi. Une allumette a suffi pour rallumer le feu. On a refait l'amour comme des fous.
Le sérieux de Mélina a repris le dessus :
— John, il faut qu'on travaille, dans une semaine il faut rendre le rapport, je vais téléphoner à mes parents pour leur dire que je dors chez toi, comme ça on avancera bien.
Effectivement on a bien avancé, on est resté ensemble trois jours complets, on a beaucoup travaillé, on a beaucoup fait l'amour. Puis on s'est retrouvés chez ses parents jusqu'au jour de la présentation de notre travail en salle de TD
Nous avons présenté notre étude sans problème, on a reçu les félicitations de notre professeur d'économie et de plus quelques bravos des copains de classe lorsqu'on nous a annoncé un 19/20 !.
En sortant de la fac, Mélina toute heureuse me prend par le bras
— Bravo John, on a bien travaillé. Je suis si bien avec toi. Je vais annoncer ça à mes parents et ce soir on fait la fête... Elle me serre un peu plus, se penche vers moi et chuchote, Ce soir je t'invite dans une boîte de nuit... Pour filles !... Fais-toi belle, je te veux en robe et je serai ton homme !
En effet sous mes fringues impersonnelles se dissimule une libertine en sous vêtements affriolants, aux cheveux dans le vent après un brushing de ses baguettes de tambour et au minois charmant une fois maquillé. Dépucelé par mon cousin, initié par ma tante, je suis bisexuel, à la fois l'amant d'une dame et de son compagnon, et aussi la soubrette et demoiselle de compagnie de ma logeuse.
A la rentrée universitaire je retrouve Mélina, une étudiante, avec qui l'année précédente j'ai sympathisé. Elle est grecque avec un adorable petit accent. C'est une fille plutôt jolie sans être un canon de beauté. Brune aux cheveux courts, un visage souriant aux traits fins, des yeux noirs. Sans être grande, elle est élancée. Ses habits au masculin, ses relations au féminin, la font paraître singulière.
On dit qui se ressemble, s'assemble, elle est un peu comme moi solitaire et travailleuse. Aussi tout naturellement nous nous sommes proposés pour préparer ensemble un dossier pour un prochain TD sur "Les incidences des conflits armés sur l'économie mondiale". En fin de compte cette étude nous a demandé beaucoup de travail, en même temps elle nous a rapprochés et au fil des jours nous sommes devenus de vrais amis jusqu'à flirter un peu. Tous les soirs nous nous retrouvons chez elle pour bosser sauf qu'aujourd'hui ses parents recevant, nous convenons de nous rencontrer chez moi.
Cette après-midi, Germaine, ma logeuse, m'a demandé de l'accompagner chez la corsetière pour me commander un ensemble pour une de ses prochaines soirées. Comme elle aime que nous sortions entre filles, je me suis faite mignonne en mettant ma gaine pour faire disparaître mes attributs sous mon pantalon fermé sur le côté par une fermeture Éclair et ma veste cintrée noire avec une petite blouse blanche. Ça me creuse la taille, arrondit les hanches, exagère la poitrine, bref ça me donne une ligne très sexy. Dans l'après-midi nous avons tardé un peu et nous arrivons à la maison bras dessus-dessous à peine un quart d'heure avant mon rendez-vous avec Mélina.
— Jane, excuse-moi je dois passer chez le boulanger, je te laisse, bonne soirée et à très bientôt.
Elle m'embrasse à la commissure des lèvres et s'éloigne.
A peine arrivé dans ma chambre j'ai juste le temps de retirer veste, blouse, brassière et prothèses mammaires qu'on frappe à ma porte. J'enfile vite un tee-shirt et ouvre sans précaution en pensant que Germaine a oublié quelque chose :
— Oui, oui !
Mélina est là devant moi !... Je suis pétrifié.
— John ! Bonsoir, je suis un peu en avance... C'est toi qui vient d'arriver ?
Elle me fait un petit bisou du bout des lèvres et me pousse en arrière pour entrer dans ma chambre. Mon cœur bat à tout rompre
— Euh...
— Oui la jolie fille en tailleur noir hyper sexy avec une femme, pas mal non plus... Oui bien sûr que c'était toi, ta veste est sur le lit !
— Mél …
— T'es un "trav" !...Elle le dit avec un tel ton de mépris, en un instant le monde s'écroule, elle vient de découvrir mon vrai personnage, elle va me jeter, se moquer, tout révéler, je vais être la risée de la fac... Obligé d'arrêter mes études
— NON ! S'il te plaît... (Je bredouille, me lamente) Non ! C'est ma logeuse, elle m'oblige... Je ne cesse de la regarder, l'implorant, elle reste sérieuse, n'a rien d'ironique, au contraire avec une certaine bonté elle me prend par les mains, semble me comprendre, je me détends et rassuré après un instant je lui lâche d'un coup. NON !... J'aime séduire comme une femme et aimer comme un homme, être ce que je suis, bisexué !.
Elle s'assied sur le lit, écarte délicatement mes prothèses, je m'assieds près d'elle, on se regarde intensément, elle se penche sur mon épaule, ses yeux mi-clos, sa bouche entrouverte, on part à la renverse sur le lit, je l'embrasse tendrement. Elle me répond en passant sa langue sur mes lèvres, notre baiser devient brûlant, passionné .
C'est notre premier baiser, les langues se rencontrent, s'activent, tournent l'une sur l'autre, passent d'une bouche à l'autre. Ma main saisit délicatement son sein, le caresse avant de le palper doucement. Elle me répond, glissant sa main sous mon tee-shirt, me caressant le dos... Je m'enhardis en passant sous son débardeur, je prends le sein à pleine main en accentuant la pression, je le sens plus ferme, enfin je le dégage du tissus de soie qui le protège...
En deux minutes, sans un mot, tout en s'embrassant, nous abandonnons nos hauts et restons en pantalon allongés l'un contre l'autre, les jambes enchevêtrées. Elle me regarde en souriant et me murmure :
— C'est vrai, tu aimes comme un homme et avec la délicatesse d'une femme, j'adore ! (tout en me donnant un bisou du bout des lèvres) Tu peux m'expliquer ?
— Je vais tout te dire. C'est vrai je fréquente la dame que tu as vu avant, c'est ma proprio, elle est beaucoup plus âgée que moi. Je t'avoue que tu es la première jeune fille que j'embrasse !
— Première jeune femme ! Dit-elle en élevant la voix comme pour affirmer : "Non je ne suis pas une petite fille".
Je lui raconte tout, depuis mon dépucelage par mon cousin, mes soirées avec mes oncle et tante, ma rencontre avec Valérie jusqu'à ma relation avec ma proprio, ses soirées fines et mon jeu de soubrette.
Elle m'écoute attentivement, comme en recevant une confession. En 10 minutes elle sait l'essentiel de mon histoire, en 10 minutes elle me connaît comme peu d'autres personnes, en 10 minutes nous sommes passés d'une relation de simple flirt à celle d'amis très intimes. Après un long silence durant lequel nos mains s'étreignent, elle me regarde fixement et avec beaucoup de sérieux ajoute :
— John... ? Jane... ? Peu m'importe !... Qui que tu sois, j'ai envie de toi !
En un saut de carpe elle se débarrasse de son pantalon et de son slip. D'un bond je me lève et abandonne mon pantalon et ma gaine. Je reste debout face à elle, en mi-bas de nylon, nu, encore bien bronzé de mes vacances, intégralement épilé, je bande dur.
— John, Waouh ! Viens ! Fais-moi l'amour comme une femme. Baise-moi comme un homme
Ses pieds sur le lit, les genoux ouverts, bras tendus elle m'accueille. Elle est belle, bronzée, au creux de ses jambes son sexe est garni d'un petit gazon soigné. Son corps aux seins de jeune fille, à la taille marquée est digne des plus beaux marbres antiques. Les tétons turgescents et l'humidité de la vulve dévoilent en même temps la vie et l'intensité de son désir.
En appui sur mes genoux et mes coudes, allongé sur elle, je me fais aussi léger que possible. C'est elle-même qui balaie sa vulve de mon sexe, avant de pointer son vagin. Je me laisse aller et glisse lentement en elle, dans un soupir partagé nos pubis se joignent, je suis en elle,humide, soyeuse, brûlante. Nous nous embrassons tendrement. Elle s'abandonne, les bras relevés au dessus de sa tête, ses seins s'étirent sur son torse au point que seuls ses tétons ressortent de sa poitrine, je les pince à peine, les fais rouler au creux de mes paumes, mes mains remontent des côtés au creux de ses aisselles puis suivent le chemin de ses bras jusqu'à étreindre les siennes.
Notre baiser s'enflamme, nos langues se trouvent, se caressent, s'affolent. Mon torse se balance sur le sien, mes tétons pointent, frôlent sa poitrine. Ce ne sont que soupirs de contentement et gémissements de plaisir. Son ventre se contracte sur mon sexe immobile mais si dur. Sa respiration s'accélère, devient haletante, elle tourne la tête, je plonge dans son épaule, mes lèvres font ventouses sur son cou, mon bassin bouge à peine. « Oh oui ! Doucement, comme ça... » Elle s'étire encore, gonfle sa poitrine, je rentre ma tête dans mes épaules et j'ai sa poitrine sous mes lèvres. Quelques bisous puis je l'embrasse, suçote les pointes, les tète doucement puis plus fort « Oh oui, c'est bon » Ses bras se rabattent, m'enserrent, je caresse ses seins, les masse doucement, les prends à pleine main, nos ventres oscillent l'un sur l'autre, très progressivement nos corps s'animent, nos bassins bougent en rythme. Les pubis se séparent et se retrouvent. Ses doigts se crispent, ses ongles s'enfoncent dans mes fesses, nos respirations s'accélèrent, les gémissements deviennent cris.
On se regarde on se sourit, on se comprend, la douceur devient fureur.L'homme prend le dessus.
Je me redresse, relève ses jambes sur mes épaules, la plie en deux. Couché sur elle, je lui pétris les seins, roule ses tétons. Je l'observe, mon coït répond à ses attentes, je lui fais l'amour tendrement. Couché en accent circonflexe sur elle, je la pilonne brutalement. La frappe de mon ventre sur ses cuisses, le bruit de sa mouille s'intensifient. Je la besogne ainsi un moment avant de me relever et de tenir en l'air ses jambes droites en V. Maintenant c'est à grands coups de reins que je la baise. Mon regard fixé sur nos ventres, je vois ma verge couverte de mouille coulisser entre les lèvres bordée d'une écume blanchâtre.
Mélina les yeux fermés, est partie très loin, elle ne cesse de râler, émet de temps en temps un mot en grec. Puis elle me regarde « Oui..oui...Je viens... AAAAAH ! » Elle jouit et je la rejoins. Je lui balance tout, trois, quatre giclées au fond de son ventre. Je me vide lentement, lâche les jambes, tombe sur elle, nous virons sur le côté, on se retrouve hors d'haleine, en sueur allongés l'un contre l'autre. C'est elle qui m'embrasse du bout des lèvres... On ne parle pas, nos yeux expriment notre bonheur
— John... C'était merveilleux...
On se câline un long moment sans rien dire, juste à se couvrir de caresses, comme pour mémoriser le corps de l'autre
— John... Confidence pour confidence... Ça fait longtemps que je n'ai pas fait l'amour comme ça... Avec un homme, tu sais je préfère avec les femmes !... Elle observe ma surprise puis après un long silence reprend. Les hommes sont égoïstes, ils ne pensent qu'à eux, ils n'ont aucune sensibilité, aucune tendresse... Ils font leur affaire sans s'occuper de notre plaisir, ils nous prennent pour des trous et nous jettent comme des kleenex.
— Mel... Oh ! Tout de même... Pas tous,
— Non... Elle sourit, fait une petite mou coquine. Je crois avoir rencontré l'exception... Elle me regarde intensément et m'embrasse du bout des lèvres, puis reprend. Pas tous mais beaucoup... Entre filles c'est souvent mieux. Tu sais John... A 10 ans j'ai trouvé mon petit bouton. Comme tous les gosses j'ai joué au docteur, rapidement j'ai découvert que le bonheur était au bout de mes doigts. Plus tard un copain d'une quinzaine d'années m'a dépucelée, trop vite, pas bien. Puis un pote de mon père a abusé de moi je n'avais pas dix-sept ans. L'année de mon bac, c'est une femme qui m'a fait découvrir l'amour. Ensuite j'ai eu beaucoup d'amoureux, quelques amants mais surtout des filles. Aujourd'hui, j'ai une vie sexuelle très active avec deux copines... Malheureusement elles sont exclusivement lesbiennes alors qu'avec toi je me rends compte que j'ai autant besoin d'un homme que d'une femme... Elle me regarde très sérieusement, pensive, sa langue glisse sur ses lèvres... Oui John, c'est d'un homme comme toi dont j'ai besoin !
On est resté un moment sans vraiment se parler, à se regarder, lui caressant le dos heureux de la faire frissonner, elle se frottant à moi. Une allumette a suffi pour rallumer le feu. On a refait l'amour comme des fous.
Le sérieux de Mélina a repris le dessus :
— John, il faut qu'on travaille, dans une semaine il faut rendre le rapport, je vais téléphoner à mes parents pour leur dire que je dors chez toi, comme ça on avancera bien.
Effectivement on a bien avancé, on est resté ensemble trois jours complets, on a beaucoup travaillé, on a beaucoup fait l'amour. Puis on s'est retrouvés chez ses parents jusqu'au jour de la présentation de notre travail en salle de TD
Nous avons présenté notre étude sans problème, on a reçu les félicitations de notre professeur d'économie et de plus quelques bravos des copains de classe lorsqu'on nous a annoncé un 19/20 !.
En sortant de la fac, Mélina toute heureuse me prend par le bras
— Bravo John, on a bien travaillé. Je suis si bien avec toi. Je vais annoncer ça à mes parents et ce soir on fait la fête... Elle me serre un peu plus, se penche vers moi et chuchote, Ce soir je t'invite dans une boîte de nuit... Pour filles !... Fais-toi belle, je te veux en robe et je serai ton homme !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par John62
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci en espérant vous retrouver sur d'autres chapitres
Original bien écrit et très excitant

