Etre étudiant et libertine 10 - A la campagne (fin)

Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Etre étudiant et libertine 10 - A la campagne (fin)
Comme la veille c'est l'activité de la ferme qui nous réveille. Après un petit câlin nous passons sous la douche avant de retrouver Marie dans la cuisine. Rex surveille les allers et venues avec la cour. Je débarrasse la table couverte des restes du petit déjeuner des employés de la ferme, bols, assiettes, morceaux de pain, restes de beurre, pâté, fromage pendant que Mél se met à la vaisselle.
— Merci mes chéris pour votre aide... Ce matin je vous laisse à vos affaires et moi je vais à Deauville faire les courses pour le week-end. Cette après-midi nous irons chercher des champignons, je les ferai à la crème pour tes parents, Mel, demain soir.
Marie s'active, on petit-déjeune sans vraiment parler des ébats d'hier soir. Rex est couché le ventre plein après sa gamelle de riz et de morceaux de viande. Pour nous ni charcuterie, ni fromage, on se régale de grosses tranches de pain et du beurre de la ferme, même le café au lait n'a rien à voir avec celui de la ville.
Tout le monde est parti travailler, Marie file à la salle de bains. Mél avec conviction m'entraîne à débarrasser la table et me conduit dans la pièce d'à côté retrouver nos papiers de la veille :
— Bon John ! Dépêchons-nous, il faut avancer sur notre boulot avant le week-end. Inutile de penser à travailler en présence de mes parents.
Alors qu'elle se plonge tout de suite dans ses bouquins, moi face au jardin et la piscine je commence à rêver, à penser au lendemain, à la rencontre de ses parents... Et l'inquiétude m'envahit et si ça se passait mal, s'ils se moquaient, ne m'acceptaient pas, le risque d'échec tourne en rond dans ma tête et m'obsède... « John ! Tu bosses ?... John !... John ! » C'est seulement à sa troisième interpellation et un petit café que je mets le nez dans mes notes, tout en pensant que vraiment que cette fille est top, sympa, travailleuse, marrante et... Libertine... Que c'est la fille qui me correspond. Rassuré, convaincu alors que je saurai séduire ses parents, je me mets à travailler... Le temps passe vite, le jardin est maintenant baigné de soleil, déjà on entend la 2 CV revenir. Mél me bouscule, on file dans la cour à aider Marie à décharger la voiture.
— Merci mes chéris, j'espère que vous avez bien avancé dans votre travail, si vous êtes d'accord on va vite déjeuner et partir aussitôt que possible aux champignons, ils ont prévu de l'orage cette après-midi.
Il fait effectivement très lourd, je mets juste un short et une chemisette alors que les deux filles sont en petites robes d'été. Je sais que Mél est à son habitude nue en dessous et visiblement Marie ne porte pas grand chose comme je vois sa poitrine se balancer.
Après l'omelette salade, on file en voiture dans la campagne. Rapidement on stoppe au bord d'une grande prairie, Marie nous tend des paniers :
— On va chercher des rosés des prés.
— Des quoi ?
— Ooooh, ces gens de la ville... Regardez, ils sont blancs et les lamelles toute roses ! Il y a aussi plein de pissenlits, on va en cueillir et on les fera ce soir avec des lardons, dépêchons-nous avant qu'il ne pleuve.
Ainsi équipés nous partons à travers champs bien que le ciel s'assombrisse et le vent se lève, on entend au loin le tonnerre. Après une demi-heure de cueillette on arrive en liseré d'une haie et les premières gouttes tombent, fini la cueillette. A peine fait-on demi-tour qu'un éclair barre le ciel, suivi d'une pluie violente, Mél et Marie partent en courant en se tenant la main. Sous le ciel noir la pluie redouble d'intensité, ma chemisette est trempée, les robes collent à la peau et ne cachent plus le modelé des fesses nues et des cuisses, l'eau ruisselle sur les jambes. On arrive enfin à la voiture essoufflés, on s'engouffre quitte à inonder les sièges, à peine à l'abri c'est une crise de fou rire, les deux filles jette sur la banquette à mon côté leurs paniers. En peu de temps la cueillette a été bonne. Elles s'étreignent et me regardent en souriant. Marie met en route et à présent sous la pluie battante on roule prudemment. A peine arrivés à la ferme :
— Entrez, entrez mes chéris et vite à la douche, ne prenez pas froid !
Les paniers abandonnés dans la cuisine, tout en parlant, elle défait avec difficulté sa robe mouillée qui tombe sur le carrelage dans un bruit sourd. Elle court jusqu'à la douche, les cheveux dégoulinants, le corps mouillé ; ses fesses rebondies, ses cuisses grasses, tressautent à chaque pas, elle est suivie par Mél, jeune prêtresse d'Aphrodite. J'ai toujours un temps de retard par rapport à elles d'autant plus que je n'arrive pas à me défaire du short trempé à tordre.
Lorsqu'enfin j'entre dans la salle d'eau je les vois toutes deux enlacées face à face, Marie frottant énergiquement le dos de Mél :
— Tu es gelée ma chérie puis me voyant, dépêche-toi John vient nous réchauffer !
Entre les formes pleines et matures de l'une et la silhouette jeune et gracile de l'autre, je me plaque au dos de Marie et m'empare de son ventre mou et d'un sein qui s'écrase contre la jeune poitrine. La pluie chaude de la douche est un vrai bonheur et me ravigote immédiatement. Les deux femmes se prêtent à mes caresses, me laissent évoluer entre leurs corps, rouler le téton épais de l'une tout en excitant du dos de la main la pointe de l'autre, me perdre dans la toison de l'une tout en caressant le ventre glabre de l'autre.
Marie creuse les reins, me tend ses fesses, ma main fouille son ventre avec trois doigts alors que ma verge se redresse et trouve sa place entre ses cuisses qui s'écartent légèrement pour me laisser la place. Mélina disparaît de ma vue, je la sens me lécher la main posée sur le sexe, je lui cède le terrain pour pétrir les seins à deux mains. La coquine à genoux me pelote les couilles tout en s'occupant du ventre de la fermière. On n'entend que le bruit de l'eau et les respirations haletantes. D'un coup l'eau s'arrête et la supplique résonne :
— Venez sur le lit !
La femme se dégage de nous deux, prend un peignoir et nous tend des serviettes. Elle se frictionne énergiquement le corps avant de relever le bas du peignoir pour sécher ses cheveux.
Dans sa chambre largement ouverte sur le jardin ou la pluie ne cesse de tomber elle s'allonge au milieu du lit, les bras en croix, le peignoir largement ouvert. Mél et moi tout en nous essuyant, la regardons offerte, semblable à une déesse de la fécondité.
Elle est naturelle, sans maquillage, les cheveux châtains légèrement dorés s'étalent sur l'oreiller jusqu'aux épaules. Les seins s'affaissent légèrement sur les côtés, les aréoles sont larges, les tétons turgescents, le ventre se creuse mettant encore plus en valeur le rebond du mont pubien, les hanches sont larges, les cuisses bien pleines. La femme mature dans toute sa beauté, toute sa sensualité.
Au dehors c'est dantesque, il fait presque nuit, l'orage redouble d'intensité, les éclairs se succèdent dans un roulement de tambour continu. La chambre passe de l'obscurité où seul se détache le corps nu sur les draps bruns à la lumière éclatante.
Mélina la rejoint, se couche sur elle, son corps frêle est enserré par les jambes et les bras, les deux femmes s'embrassent amoureusement.
Je les regarde, m'assieds au bords du lit. Je caresse les mollets de l'une et de l'autre, remonte au creux du genou, il s'écarte brusquement et ouvre le compas des cuisses, je continue jusqu'à atteindre l'entrejambe, glabre pour l'une et tout poilu pour l'autre. Je me mets à genoux à la hauteur des hanches pour dominer le postérieur de Mél, je le caresse d'une main alors que l'autre se place profondément entre les cuisses des deux femmes passant d'une fente à l'autre . Celle du dessous, au fond d'une broussaille est comme une moule gorgée d'eau, l'autre est semblable à un gros abricot profondément taillé, il faut le pénétrer pour y trouver le chaud nectar.
J'ai deux doigts dans chaque fente et mon pouce titille l'anus de Mélina. De ma main libre j'écarte la fesse, me penche pour laisser tomber un filet de salive sur l'œillet rosé et contracté. Je me penche encore jusqu'à avoir la langue sur le petit trou.
La chambre s'illumine dans un vacarme assourdissant. En réaction, les genoux de Mél s'ouvrent encore plus et dégagent complètement les sexes. Je ne sais ce qu'elles font entre elles mais elles sont très réceptives à mes caresses. Avec trois doigts je visite l'un après l'autre les orifices. Je taquine, j'excite. Les filles gigotent, tentent d'échapper à mes caresses ou au contraire d'en accentuer les effets.
Mélina se relève, me regarde les yeux agars, le visage enfiévré, les lèvres tuméfiées, pleines de bave. Elle se place à califourchon sur le visage de Marie et m'embrasse avant de relever les jambes de la femme sous ses aisselles. Elle crie « BOUFFE-LA ! »
Marie s'offre à moi comme jamais jusqu'à découvrir son anus bordé d'un fin duvet sombre.
A genoux tel un prêtre devant sa divinité, le front posé sur le ventre, les mains ouvrant les cuisses je lèche du petit trou à la broussaille épaisse, revient en arrière, je m'attarde sur la pastille, la titille, la creuse, la fait gonfler puis lèche le périnée qui a le goût du sexe, qui se couvre de cyprine et trouve le creux de la vulve d'où ruisselle un jus aphrodisiaque. Ma langue creuse un sillon profond dans la broussaille jusqu'au clito, mes doigts ouvrent une vallée rouge carmin, une fente encore plus sombre débordante de mouille.
Mélina ne cesse de danser face à moi, partir de droite à gauche ou simuler la marche du chameau. A l'extérieur l'orage se calme et on entend que le bruissement d'une pluie fine et ses miaulements « Oh ouuiiii !!! Marie que c'est bon. »
Elle lâche les jambes, me repousse et se penche sur la femme pour poursuivre le cunni que je faisais. Je vire sur le côté et m'allonge pour observer Marie gougnotter Mélina. Je lui souris, ses yeux me répondent, je m'approche de son visage pour mieux la voir lui sucer l'abricot, je l'entends murmurer « Bouffe-lui le cul »
Je bande comme un âne et j'entre dans le jeu en baisant les fesses puis léchant la rosace de ma copine et finalement en lui plantant deux doigts. Accroupi à la tête de lit au dessus du petit cul, c'est Marie qui me positionne sur l'anneau. Mélina creuse les reins, s'offre, je la pénètre d'un coup jusqu'à la garde. Le fourreau étroit se modèle, lentement je commence à le pistonner.
Telle une chienne, la tête relevée, elle râle « Ouais, déchire-moi, éclate-moi le cul ! » tout son corps se met en rythme, je la fesse de petites gifles sèches, elle sanglote « Ouais...plus fort ! ». Au plaisir du coït s'ajoute celui de la vue, de ma verge luisante de mouille, de l'anneau bordée de mousse jaunâtre, des fesses rosées.
Marie en m'arrachant les couilles met fin à mon union, je pars en arrière quand elle se relève pour s'allonger entre nous deux.
Elle est splendide avec ses formes matures, sa lourde poitrine, son ventre rebondi, ses larges hanche. Je lui caresse les cuisses, enferme son buisson humide, plonge un doigt dans son intimité. Elle tourne la tête vers Mél pour l'embrasser à pleine bouche et me laisse la butiner. Je parcours son corps de caresses, de léchouilles, je palpe ses chairs molles, fouille sa broussaille, jusqu'à avoir mes lèvres sur sa vulve.
Je ferme les yeux, pour humer la fourrure, goûter le sexe, la tige grossit, se dresse sous ma langue, la moiteur se liquéfie. le mont de Vénus est pris de soubresauts sous les feulements de la femme. A ce moment Mélina me repousse en la chevauchant. Le fessier s'impose, l'abricot glabre se pose dans la fourrure noire, les boutons se cherchent se trouvent.
Les jambes de Marie à l'intérieur ouvrent encore le compas des cuisses et me laisse l'espace pour y poser les lèvres. Mes mains sur les cuisses, le front dans les fesses de Mél, je donne des coups de museau pour lécher indistinctement les deux sexes. Les poils se couvrent de salives, les babines de Marie s'écartent largement, j'ouvre les fesses de Mélina jusqu'à dégager son petit trou et ma langue circule de la fente de la femme au cul de ma copine encouragée de grognements sourds et de geignements aigus jusqu'à une supplique.
— Viens ! Baise-nous les deux ensemble.
C'est Marie qui tire son oreiller pour le placer sous ses fesses et s'arc-boutant sur ses pieds se rend plus disponible. Placé dans le faisceau de leur jambes je balade mon gland sur les deux chattes béantes. D'un coup je pénètre la moule largement ouverte, la façonne en trois, quatre coups avant de pourfendre le jeune fruit.
Les jambes se positionnent mieux, les sexes s'accordent à ce jeu à trois. Bien en place, je m'appuie au dos de Mél. Ma verge glisse régulièrement d'une chatte à l'autre, je m'en amuse, prends du recul, vois... le petit trou. Je me détache, d'une main je m'appuie sur l'échine de la fille, de l'autre je pointe l'anus et le défonce d'un coup sec. Je le lime quatre, cinq fois avant de revenir aux chattes. Le jeu à trois bandes est plus délicat, je laisse alors les deux filles minauder et debout, accroupi j'encule seulement la plus jeune. Je me déverse longuement en elle avant de m'allonger entre leurs cuisses pour les caresser et les branler jusqu'à ce qu'elles demandent pitié.
Mél vire sur le côté le long de Marie entre les jambes de laquelle je m'assoupis.
Un ''BANG'' violent me réveille, la pluie redouble à l'extérieur, l'orage est juste au-dessus de nous. Nous sortons tous trois de notre monde de luxure.
- Humm, c'était si bon mes chéri mais passons à la douche, Georges ne va pas tarder et préparons le dîner nous avons les pissenlits à nettoyer et cuire les lardons !.
— Merci mes chéris pour votre aide... Ce matin je vous laisse à vos affaires et moi je vais à Deauville faire les courses pour le week-end. Cette après-midi nous irons chercher des champignons, je les ferai à la crème pour tes parents, Mel, demain soir.
Marie s'active, on petit-déjeune sans vraiment parler des ébats d'hier soir. Rex est couché le ventre plein après sa gamelle de riz et de morceaux de viande. Pour nous ni charcuterie, ni fromage, on se régale de grosses tranches de pain et du beurre de la ferme, même le café au lait n'a rien à voir avec celui de la ville.
Tout le monde est parti travailler, Marie file à la salle de bains. Mél avec conviction m'entraîne à débarrasser la table et me conduit dans la pièce d'à côté retrouver nos papiers de la veille :
— Bon John ! Dépêchons-nous, il faut avancer sur notre boulot avant le week-end. Inutile de penser à travailler en présence de mes parents.
Alors qu'elle se plonge tout de suite dans ses bouquins, moi face au jardin et la piscine je commence à rêver, à penser au lendemain, à la rencontre de ses parents... Et l'inquiétude m'envahit et si ça se passait mal, s'ils se moquaient, ne m'acceptaient pas, le risque d'échec tourne en rond dans ma tête et m'obsède... « John ! Tu bosses ?... John !... John ! » C'est seulement à sa troisième interpellation et un petit café que je mets le nez dans mes notes, tout en pensant que vraiment que cette fille est top, sympa, travailleuse, marrante et... Libertine... Que c'est la fille qui me correspond. Rassuré, convaincu alors que je saurai séduire ses parents, je me mets à travailler... Le temps passe vite, le jardin est maintenant baigné de soleil, déjà on entend la 2 CV revenir. Mél me bouscule, on file dans la cour à aider Marie à décharger la voiture.
— Merci mes chéris, j'espère que vous avez bien avancé dans votre travail, si vous êtes d'accord on va vite déjeuner et partir aussitôt que possible aux champignons, ils ont prévu de l'orage cette après-midi.
Il fait effectivement très lourd, je mets juste un short et une chemisette alors que les deux filles sont en petites robes d'été. Je sais que Mél est à son habitude nue en dessous et visiblement Marie ne porte pas grand chose comme je vois sa poitrine se balancer.
Après l'omelette salade, on file en voiture dans la campagne. Rapidement on stoppe au bord d'une grande prairie, Marie nous tend des paniers :
— On va chercher des rosés des prés.
— Des quoi ?
— Ooooh, ces gens de la ville... Regardez, ils sont blancs et les lamelles toute roses ! Il y a aussi plein de pissenlits, on va en cueillir et on les fera ce soir avec des lardons, dépêchons-nous avant qu'il ne pleuve.
Ainsi équipés nous partons à travers champs bien que le ciel s'assombrisse et le vent se lève, on entend au loin le tonnerre. Après une demi-heure de cueillette on arrive en liseré d'une haie et les premières gouttes tombent, fini la cueillette. A peine fait-on demi-tour qu'un éclair barre le ciel, suivi d'une pluie violente, Mél et Marie partent en courant en se tenant la main. Sous le ciel noir la pluie redouble d'intensité, ma chemisette est trempée, les robes collent à la peau et ne cachent plus le modelé des fesses nues et des cuisses, l'eau ruisselle sur les jambes. On arrive enfin à la voiture essoufflés, on s'engouffre quitte à inonder les sièges, à peine à l'abri c'est une crise de fou rire, les deux filles jette sur la banquette à mon côté leurs paniers. En peu de temps la cueillette a été bonne. Elles s'étreignent et me regardent en souriant. Marie met en route et à présent sous la pluie battante on roule prudemment. A peine arrivés à la ferme :
— Entrez, entrez mes chéris et vite à la douche, ne prenez pas froid !
Les paniers abandonnés dans la cuisine, tout en parlant, elle défait avec difficulté sa robe mouillée qui tombe sur le carrelage dans un bruit sourd. Elle court jusqu'à la douche, les cheveux dégoulinants, le corps mouillé ; ses fesses rebondies, ses cuisses grasses, tressautent à chaque pas, elle est suivie par Mél, jeune prêtresse d'Aphrodite. J'ai toujours un temps de retard par rapport à elles d'autant plus que je n'arrive pas à me défaire du short trempé à tordre.
Lorsqu'enfin j'entre dans la salle d'eau je les vois toutes deux enlacées face à face, Marie frottant énergiquement le dos de Mél :
— Tu es gelée ma chérie puis me voyant, dépêche-toi John vient nous réchauffer !
Entre les formes pleines et matures de l'une et la silhouette jeune et gracile de l'autre, je me plaque au dos de Marie et m'empare de son ventre mou et d'un sein qui s'écrase contre la jeune poitrine. La pluie chaude de la douche est un vrai bonheur et me ravigote immédiatement. Les deux femmes se prêtent à mes caresses, me laissent évoluer entre leurs corps, rouler le téton épais de l'une tout en excitant du dos de la main la pointe de l'autre, me perdre dans la toison de l'une tout en caressant le ventre glabre de l'autre.
Marie creuse les reins, me tend ses fesses, ma main fouille son ventre avec trois doigts alors que ma verge se redresse et trouve sa place entre ses cuisses qui s'écartent légèrement pour me laisser la place. Mélina disparaît de ma vue, je la sens me lécher la main posée sur le sexe, je lui cède le terrain pour pétrir les seins à deux mains. La coquine à genoux me pelote les couilles tout en s'occupant du ventre de la fermière. On n'entend que le bruit de l'eau et les respirations haletantes. D'un coup l'eau s'arrête et la supplique résonne :
— Venez sur le lit !
La femme se dégage de nous deux, prend un peignoir et nous tend des serviettes. Elle se frictionne énergiquement le corps avant de relever le bas du peignoir pour sécher ses cheveux.
Dans sa chambre largement ouverte sur le jardin ou la pluie ne cesse de tomber elle s'allonge au milieu du lit, les bras en croix, le peignoir largement ouvert. Mél et moi tout en nous essuyant, la regardons offerte, semblable à une déesse de la fécondité.
Elle est naturelle, sans maquillage, les cheveux châtains légèrement dorés s'étalent sur l'oreiller jusqu'aux épaules. Les seins s'affaissent légèrement sur les côtés, les aréoles sont larges, les tétons turgescents, le ventre se creuse mettant encore plus en valeur le rebond du mont pubien, les hanches sont larges, les cuisses bien pleines. La femme mature dans toute sa beauté, toute sa sensualité.
Au dehors c'est dantesque, il fait presque nuit, l'orage redouble d'intensité, les éclairs se succèdent dans un roulement de tambour continu. La chambre passe de l'obscurité où seul se détache le corps nu sur les draps bruns à la lumière éclatante.
Mélina la rejoint, se couche sur elle, son corps frêle est enserré par les jambes et les bras, les deux femmes s'embrassent amoureusement.
Je les regarde, m'assieds au bords du lit. Je caresse les mollets de l'une et de l'autre, remonte au creux du genou, il s'écarte brusquement et ouvre le compas des cuisses, je continue jusqu'à atteindre l'entrejambe, glabre pour l'une et tout poilu pour l'autre. Je me mets à genoux à la hauteur des hanches pour dominer le postérieur de Mél, je le caresse d'une main alors que l'autre se place profondément entre les cuisses des deux femmes passant d'une fente à l'autre . Celle du dessous, au fond d'une broussaille est comme une moule gorgée d'eau, l'autre est semblable à un gros abricot profondément taillé, il faut le pénétrer pour y trouver le chaud nectar.
J'ai deux doigts dans chaque fente et mon pouce titille l'anus de Mélina. De ma main libre j'écarte la fesse, me penche pour laisser tomber un filet de salive sur l'œillet rosé et contracté. Je me penche encore jusqu'à avoir la langue sur le petit trou.
La chambre s'illumine dans un vacarme assourdissant. En réaction, les genoux de Mél s'ouvrent encore plus et dégagent complètement les sexes. Je ne sais ce qu'elles font entre elles mais elles sont très réceptives à mes caresses. Avec trois doigts je visite l'un après l'autre les orifices. Je taquine, j'excite. Les filles gigotent, tentent d'échapper à mes caresses ou au contraire d'en accentuer les effets.
Mélina se relève, me regarde les yeux agars, le visage enfiévré, les lèvres tuméfiées, pleines de bave. Elle se place à califourchon sur le visage de Marie et m'embrasse avant de relever les jambes de la femme sous ses aisselles. Elle crie « BOUFFE-LA ! »
Marie s'offre à moi comme jamais jusqu'à découvrir son anus bordé d'un fin duvet sombre.
A genoux tel un prêtre devant sa divinité, le front posé sur le ventre, les mains ouvrant les cuisses je lèche du petit trou à la broussaille épaisse, revient en arrière, je m'attarde sur la pastille, la titille, la creuse, la fait gonfler puis lèche le périnée qui a le goût du sexe, qui se couvre de cyprine et trouve le creux de la vulve d'où ruisselle un jus aphrodisiaque. Ma langue creuse un sillon profond dans la broussaille jusqu'au clito, mes doigts ouvrent une vallée rouge carmin, une fente encore plus sombre débordante de mouille.
Mélina ne cesse de danser face à moi, partir de droite à gauche ou simuler la marche du chameau. A l'extérieur l'orage se calme et on entend que le bruissement d'une pluie fine et ses miaulements « Oh ouuiiii !!! Marie que c'est bon. »
Elle lâche les jambes, me repousse et se penche sur la femme pour poursuivre le cunni que je faisais. Je vire sur le côté et m'allonge pour observer Marie gougnotter Mélina. Je lui souris, ses yeux me répondent, je m'approche de son visage pour mieux la voir lui sucer l'abricot, je l'entends murmurer « Bouffe-lui le cul »
Je bande comme un âne et j'entre dans le jeu en baisant les fesses puis léchant la rosace de ma copine et finalement en lui plantant deux doigts. Accroupi à la tête de lit au dessus du petit cul, c'est Marie qui me positionne sur l'anneau. Mélina creuse les reins, s'offre, je la pénètre d'un coup jusqu'à la garde. Le fourreau étroit se modèle, lentement je commence à le pistonner.
Telle une chienne, la tête relevée, elle râle « Ouais, déchire-moi, éclate-moi le cul ! » tout son corps se met en rythme, je la fesse de petites gifles sèches, elle sanglote « Ouais...plus fort ! ». Au plaisir du coït s'ajoute celui de la vue, de ma verge luisante de mouille, de l'anneau bordée de mousse jaunâtre, des fesses rosées.
Marie en m'arrachant les couilles met fin à mon union, je pars en arrière quand elle se relève pour s'allonger entre nous deux.
Elle est splendide avec ses formes matures, sa lourde poitrine, son ventre rebondi, ses larges hanche. Je lui caresse les cuisses, enferme son buisson humide, plonge un doigt dans son intimité. Elle tourne la tête vers Mél pour l'embrasser à pleine bouche et me laisse la butiner. Je parcours son corps de caresses, de léchouilles, je palpe ses chairs molles, fouille sa broussaille, jusqu'à avoir mes lèvres sur sa vulve.
Je ferme les yeux, pour humer la fourrure, goûter le sexe, la tige grossit, se dresse sous ma langue, la moiteur se liquéfie. le mont de Vénus est pris de soubresauts sous les feulements de la femme. A ce moment Mélina me repousse en la chevauchant. Le fessier s'impose, l'abricot glabre se pose dans la fourrure noire, les boutons se cherchent se trouvent.
Les jambes de Marie à l'intérieur ouvrent encore le compas des cuisses et me laisse l'espace pour y poser les lèvres. Mes mains sur les cuisses, le front dans les fesses de Mél, je donne des coups de museau pour lécher indistinctement les deux sexes. Les poils se couvrent de salives, les babines de Marie s'écartent largement, j'ouvre les fesses de Mélina jusqu'à dégager son petit trou et ma langue circule de la fente de la femme au cul de ma copine encouragée de grognements sourds et de geignements aigus jusqu'à une supplique.
— Viens ! Baise-nous les deux ensemble.
C'est Marie qui tire son oreiller pour le placer sous ses fesses et s'arc-boutant sur ses pieds se rend plus disponible. Placé dans le faisceau de leur jambes je balade mon gland sur les deux chattes béantes. D'un coup je pénètre la moule largement ouverte, la façonne en trois, quatre coups avant de pourfendre le jeune fruit.
Les jambes se positionnent mieux, les sexes s'accordent à ce jeu à trois. Bien en place, je m'appuie au dos de Mél. Ma verge glisse régulièrement d'une chatte à l'autre, je m'en amuse, prends du recul, vois... le petit trou. Je me détache, d'une main je m'appuie sur l'échine de la fille, de l'autre je pointe l'anus et le défonce d'un coup sec. Je le lime quatre, cinq fois avant de revenir aux chattes. Le jeu à trois bandes est plus délicat, je laisse alors les deux filles minauder et debout, accroupi j'encule seulement la plus jeune. Je me déverse longuement en elle avant de m'allonger entre leurs cuisses pour les caresser et les branler jusqu'à ce qu'elles demandent pitié.
Mél vire sur le côté le long de Marie entre les jambes de laquelle je m'assoupis.
Un ''BANG'' violent me réveille, la pluie redouble à l'extérieur, l'orage est juste au-dessus de nous. Nous sortons tous trois de notre monde de luxure.
- Humm, c'était si bon mes chéri mais passons à la douche, Georges ne va pas tarder et préparons le dîner nous avons les pissenlits à nettoyer et cuire les lardons !.
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