Etre étudiant et libertine 11 - Avec les parents de ma copine 1/3

Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Etre étudiant et libertine 11 - Avec les parents de ma copine 1/3
Samedi en fin de matinée le tracteur avec la herse se range sous le hangar. Depuis ce matin avec Marie nous mettons la maison en ordre pour recevoir les parents de Mélina:
— Georges, te voilà enfin, dépêche-toi Nadine et Yanis vont arriver... Mél soit gentille met la table, on mangera sur la terrasse.
Je suis en couple depuis quelques mois avec Mélina et je me sens un peu stressé à l'idée de rencontrer aujourd'hui ses parents, je me sens pris au piège, obligé de faire bonne impression, et en même temps pour Mél de me présenter ses parents peut être une marque de confiance. C'est une nana qui ne me laisse pas indifférent, avec qui je ferais bien un bout de chemin. Me marier ? NON ! Mais tout partager pendant quelques années, pourquoi pas. Alors bien sûr, connaître sa famille est important et la séduire encore plus.
Je sais que la première impression est capitale, comment vont-ils me juger, comment vont-ils apprécier mon allure androgyne, mes cheveux longs ? Je veux être naturel, nickel, rasé de près, bien coiffé, j'enfile un bermuda bleu pastel juste au corps et par dessus une chemisette blanche. Mél en traversant la salle de bain, se moque de Georges qui prend sa douche « Dépêche-toi Georges tu vas te faire engueuler ! » et entre dans la chambre en éclatant de rire :
— Waouh chouchou... Tu veux séduire ma belle-mère... ! Bon, il faut que je me magne.
Elle quitte son tee-shirt chemise de nuit qu'elle porte depuis ce matin et passe un petit slip et une robe d'été, bleu lavande, boutonnée sur le devant avec une ceinture.
Même pas 10 minutes plus tard, une grosse Mercedes blanche entre dans la cour... Rien que par la voiture, je me rends compte que je ne suis pas du même milieu social, par contre rien qu'à leur vue je sais qu'ils sont cool. C'est Yanis que je vois d'abord sortir, souriant, pas très grand, costaud, la cinquantaine au poil noir, à la barbe bien soignée, en jean délavé et chemise camarguaise. Son accent, sa peau, ses cheveux... Zorba le grec ! . Puis Nadine apparaît de l'autre côté, en faisant de grands gestes du bras vers nous, elle est beaucoup plus jeune, plus grande, auburn, avec jolie silhouette, habillée d'une élégante robe à grandes fleurs bleues, d'une coupe semblable à celle de sa fille mis à part un décolleté plus profond.
Rex à son habitude court vers les nouveaux arrivés, renifle rapidement l'homme, tourne autour de la voiture et saute sur la jeune femme, ses pattes à ses épaules en lui faisant des léchouilles. Visiblement ils se connaissent mais tout rentre dans l'ordre au cri de « REX ! » quand Georges intervient, en tirant le chien par le collier. Les deux couples d'amis se retrouvent avant que les parents ne viennent embrasser leur fille près de laquelle je me tiens.
Le regard de Nadine est chaleureux et rayonnant de bonheur :
— Bonjour ! Alors c'est toi John ? Je comprends... Dans ma petite tête ça bouillonne : Tu comprends quoi ? Que ta fille, gouine sur les bords, se soit entichée d'un type comme moi !
— Bonjour madame ! Que je réponds à mi-voix
— Moi ! C'est Nadine, qu'elle reprend avec force, puis ajoute gentiment, je t'en prie pas de manière avec moi.
Elle me prend par l'épaule, se rapproche de moi jusqu'à appuyer sa poitrine, me regarde de ses yeux de biche je sens son parfum capiteux, ma respiration s'accélère, elle m'embrasse tendrement sur la joue avant d'attirer sa fille de l'autre bras pour l'embrasser et de lui dire tout bas « Il est vraiment mignon ». Bien sûr ça ne serait pas le plus beau compliment pour un déménageur mais le plus affectueux pour moi.
Ma rencontre avec Yanis est franche, après une grande tape sur l'épaule, il me retient et me regarde fixement, me sourit. Le contact est pris, je pourrais presque penser que je suis accepté.
Marie nous conduit à l'arrière de la maison dans le jardin où le auvent de toile nous abrite du soleil mais pas de la chaleur.
Après quelques discussions sur le travail et la fac et la fin des études, la conversation se tourne sur les vacances. Ainsi j'apprends que les parents de Mél sont propriétaires d'une grande marque de lingerie et qu'ils passent leurs vacances sur un voilier ou dans leur propriété de Santorin, dans les Cyclades. J'apprendrai aussi que Nadine n'est pas la mère de Mél, rien que son âge le laissait entendre et que son union est un remariage.
Au cours de l'apéritif Georges donne le ton en quittant la chemise.
— Punaise qu'est-ce qu'il fait chaud !
Yanis approuve de la tête et découvre son torse velu et musclé mais c'est Mélina qui fait le pas décisif en enlevant sa robe pour rester en string. Sa belle-mère réagit doucement
— Oh ! Tout de même Mél.
— Qu'est-ce qu'il y a de mal, Mamme... Tu sais, ils m'ont tous vue à poil.
Marie intervient en quittant sa jupe et sa blouse,
— Allez Nadine ! Pas de chichi...T'inquiète pas, en rigolant de bon cœur, John a déjà vu ta fille à poil. Elle ouvre sa robe en ajoutant et de plus il n'a pas de problème avec le nudisme.
Je reste pourtant seul, avec Nadine, à être habillé, elle, peut-être gênée vis-à-vis de moi... Moi vraiment gêné de découvrir mon corps de minet qui plus est, épilé. Elle me sourit pour m'encourager, déboutonne sa robe en commençant par le haut, je fais de même avec mes boutons sans la quitter des yeux et au moment où elle fait tomber le haut de ses épaules je quitte ma chemisette. Elle fait sauter son soutien-gorge en dentelle blanche et découvre sa poitrine de pierre. On ne se quitte plus des yeux, elle défait sa ceinture comme moi avec mon bermuda, nous continuons avec les derniers boutons, nos derniers vêtements tombent et restons en string ou boxer.
Mélina me rejoint en me prenant par le cou et m'embrasse tendrement sur la bouche sous le regard attendri de sa belle-mère qui approuve : « Vous formez un joli couple ».
C'est à ce moment que Marie revient avec une énorme salade de tomates du jardin et interrompt notre tête à tête.
— A table, c'est servi !... Vous deux les jeunes ici, face aux parents s'il vous plaît et toi Georges en bout de table face à moi.
Tous les six nous nous asseyons en culotte comme seul vêtement. Nadine continue à me mettre au centre de la discussion :
— Alors John !... Raconte-moi, comment as-tu séduit Mél ? Elle me regarde d'un air goguenard. Bien sûr, mes cheveux longs, mon visage d'ange, mon corps imberbe, font que je suis tout le contraire des deux autres mâles présents.
— OH nooon Mamme ! Se lamente Mélina. Laisse-le tranquille.
— Non ! Non !... Pourquoi ?... Je crois que c'est assez simple, d'abord par le sérieux lors d'un stage et sa présentation puis par le frivole lors de la soirée qui a suivi... Je crois qu'on se comprend bien....
— Oauis, c'est exactement ça Mamme !... Comme tu l'as dit, il est mignon et... On se complète bien, ajoute-t-elle en m'embrassant dans le cou.
Face au bonheur affiché, les conversations s'animent et même deviennent un peu coquines. Après la salade, le repas se poursuit avec le gigot et ses flageolets du jardin, les fromages de la région et la tarte aux poires. L'atmosphère est très familiale, Mélina est tout contre moi sous le regard approbateur de sa belle-mère et les rigolades de tous : « On va les marier, ces deux-là »
Le ciel s'assombrit, il fait lourd, on entend comme hier l'orage au loin, Marie nous propose de prendre le café à l'ombre des arbres au bord de la piscine. En s'asseyant sur les deux transats les couples se mélangent alors qu'avec Mél on s’assoit en tailleur sur le gazon. Je n'ai d'yeux que pour Nadine, le corps légèrement bronzé, penché vers moi, pas un pet de graisse, deux jolis nichons en forme de poire, des cuisses fuselées de coureur de 100 mètres. Le temps fait que toute retenue s'abandonne, les hommes deviennent entreprenants, les femmes lassives se regardent, se sourient, se lèvent d'un bond en quittant leurs strings et dévoilant un court instant leurs toisons brune et auburn. Elles sont déjà dans l'eau et leur « Plouff » est suivi par celui de leurs maris.
On reste tous les deux dans l'herbe à les regarder. « Comment trouves-tu ma belle-mère ? » je lui murmure en lui mordillant l'oreille « Elle est canon ! ». Tous les quatre chahutent, rigolent comme des ados « Allez les amoureux venez avec nous ! » nous crie Nadine collée au ventre de Yanis.
Je me lève d'un bond, tire Mélina et nous sautons nus dans la piscine. Les dimensions ne permettent pas vraiment de nager. Ma copine rejoint son père, Marie, derrière moi, m'entoure de ses bras : « Alors John, comment trouves-tu tes beaux parents ? marmonne-t-elle en pouffant de rire... On va faire un jeu pour mieux se connaître, ne t'inquiète pas. »
C'est alors qu'elle me lâche et frappe dans les mains :
— Écoutez-moi !... On va jouer à colin-maillard. On doit découvrir la personne avec les mains seulement sous-l'eau. On embrasse la personne reconnue ou on reçoit un gage de la personne qu'on n'a pas su reconnaître.
— Super, OK, Bravo, C'est top ! » sous les applaudissement de tous.
Déjà Marie s'est emparée d'un bandeau et lance le jeu. Dans un vacarme assourdissant on se déplace tous en courant.
— Oh ! Oh ! Vous vous déplacez sans faire de bruit !
Tout devient silencieux, on entend à peine les vaguelettes de nos mouvements et incidemment Marie touche Yanis qui s'arrête, lève les bras et se grandit sur la pointe des pieds, le bas de son torse est à fleur d'eau. Elle cherche, palpe :
— Euh... j'ai un doute, c'est terrible... Georges ? dit-elle tout en retirant son masque.
— Même pas capable de reconnaître son mari... commente Yanis. Alors viens voir de plus près » D'une poussée il s'assied sur le rebord de la piscine et présente son sexe pas au meilleur de sa forme « Embrasse-le... Mieux que ça ! »
En fin de compte elle suce le gland avant qu'il ne saute à nouveau dans l'eau sous nos applaudissement. Le jeu reprend et Nadine est alors saisie par le bras, reconnue sans difficulté, les deux femmes s'embrassent sur les lèvres avant que Nadine se masque les yeux. Quand je m'éloigne lentement elle me saisit par la taille, me caresse les fesses puis revient à la taille, par pudeur elle ne va pas chercher plus loin et déclare incertaine :
— Mél, ma chérie, c'est toi ? » provoquant un grand éclat de rire sauf de ma part, suivi d'une mine déconfite de la jeune femme « Oh ! JOHN... Excuse-moi. »
Je ne sais qui est le plus gêné et je ne sais comment je fais pour lui prendre la main et la poser sur mon sexe en érection. Elle me caresse un moment avant de m'embrasser sur les lèvres « Humm, mignon et bien membré ! » Le jeu reprend, Marie est reconnue et ensuite elle me reconnaît. Ainsi je me retrouve avec le masque et découvre la difficulté du jeu. Je me déplace un moment un peu perdu, la piscine semble s'agrandir, enfin je touche un bras avant de toucher un bras, c'est un homme, j'essaie de le reconnaître, je touche les fesses, les cuisses, le pubis, je ne sais pas, je prends le sexe, je le trouve gros, ce ne peut pas être Yanis avec ce qu'il nous a fait voir donc j'exulte sûr de moi : « Georges !!! » tout en retirant mon masque
— Eh bien non John ! Minaude Yanis en me tirant à lui Et tu vas apprendre à mieux me connaître » Il est à nouveau assis au bord de la piscine « Suce ! Mon mignon. »
Malgré la désapprobation de sa femme, il se masturbe doucement et attend. Je suis tout prêt de lui, il me prend la tête pour contrôler ma fellation et murmure « Georges m'a dit que tu aimais la bite » Je fais une dizaine de mouvements de la tête avant qu'il ne me relève sous les applaudissements de tous.
Le jeu recommence et tout de suite je touche un ventre, je caresse les hanches, je ne reconnais pas la peau adipeuse de la fermière, mais la part est trop belle pour découvrir Nadine et déclare victorieux « Marie ! ». Erreur voulue, erreur fatale ! A nouveau je reçois un gage de celle qui pourrait devenir ma belle-mère : « Viens téter maman ! Mon chéri ». Appuyée sur ses coudes au bord de la piscine elle bombe le torse et je suce longuement chaque téton en les faisant bander. Sa position fait que je me plaque à son ventre les pieds au sol alors qu'elle m'entoure la taille de ses jambes. Putain j'ai ma queue qui se balade au creux de ses cuisses et de ses fesses, nos sexes glissent l'un sur l'autre. J'aurais continué mais c'est elle qui arrête le jeu sous les applaudissements et redescend dans l'eau en me glissant « Mignon mais coquin » .
Me voilà à nouveau les yeux bandés, je rencontre et reconnais Mélina. On s'embrasse amoureusement quand un coup de tonnerre éclate au-dessus de nous, suivi des premières gouttes de pluie, on sort tous de l'eau pour se mettre à l'abri alors que la pluie commence à tomber.
On range vite fait les transats et nous débarrassons la table. L'orage est au-dessus de nous, la pluie tombe à verse. On décide de rentrer. Marie en bonne maîtresse de maison installe ses invités dans sa chambre.
— Installez-vous ici, votre chambre est occupée par les enfants.
— Et vous ?
— T'inquiète on dormira sur les canapés du séjour, si tu veux prends une douche.
Le temps que nous tous soyons douchés et habillés il est déjà 5 heures. Comme les autres hommes je suis en jean et chemise alors que les femmes sont plus aguicheuses, en robe d'été court vêtue et au corsage tout juste boutonné.
Georges propose une partie de Tarot alors que Marie prépare un café.
— Jouez à quatre, annonce Nadine, je vais aider Marie pour le dîner.
Ainsi fait après le café, les deux femmes nous laissent dans le salon et disparaissent dans la cuisine.
Le jeu de cartes nous fait oublier le temps qui passe alors que la pluie ne cesse de tomber et la température de baisser. Il fait sombre au point d'allumer le lustre au-dessus de la table. Marie revient chargée d'un panier de bûches et démarre un beau feu de cheminée :
— Bon les amis si vous voulez on va dîner... Georges tu t'occupes de l'apéro et avec Nadine je vais mettre la table.
Nous prenons place autour de la grande table rectangulaire.
— Georges, te voilà enfin, dépêche-toi Nadine et Yanis vont arriver... Mél soit gentille met la table, on mangera sur la terrasse.
Je suis en couple depuis quelques mois avec Mélina et je me sens un peu stressé à l'idée de rencontrer aujourd'hui ses parents, je me sens pris au piège, obligé de faire bonne impression, et en même temps pour Mél de me présenter ses parents peut être une marque de confiance. C'est une nana qui ne me laisse pas indifférent, avec qui je ferais bien un bout de chemin. Me marier ? NON ! Mais tout partager pendant quelques années, pourquoi pas. Alors bien sûr, connaître sa famille est important et la séduire encore plus.
Je sais que la première impression est capitale, comment vont-ils me juger, comment vont-ils apprécier mon allure androgyne, mes cheveux longs ? Je veux être naturel, nickel, rasé de près, bien coiffé, j'enfile un bermuda bleu pastel juste au corps et par dessus une chemisette blanche. Mél en traversant la salle de bain, se moque de Georges qui prend sa douche « Dépêche-toi Georges tu vas te faire engueuler ! » et entre dans la chambre en éclatant de rire :
— Waouh chouchou... Tu veux séduire ma belle-mère... ! Bon, il faut que je me magne.
Elle quitte son tee-shirt chemise de nuit qu'elle porte depuis ce matin et passe un petit slip et une robe d'été, bleu lavande, boutonnée sur le devant avec une ceinture.
Même pas 10 minutes plus tard, une grosse Mercedes blanche entre dans la cour... Rien que par la voiture, je me rends compte que je ne suis pas du même milieu social, par contre rien qu'à leur vue je sais qu'ils sont cool. C'est Yanis que je vois d'abord sortir, souriant, pas très grand, costaud, la cinquantaine au poil noir, à la barbe bien soignée, en jean délavé et chemise camarguaise. Son accent, sa peau, ses cheveux... Zorba le grec ! . Puis Nadine apparaît de l'autre côté, en faisant de grands gestes du bras vers nous, elle est beaucoup plus jeune, plus grande, auburn, avec jolie silhouette, habillée d'une élégante robe à grandes fleurs bleues, d'une coupe semblable à celle de sa fille mis à part un décolleté plus profond.
Rex à son habitude court vers les nouveaux arrivés, renifle rapidement l'homme, tourne autour de la voiture et saute sur la jeune femme, ses pattes à ses épaules en lui faisant des léchouilles. Visiblement ils se connaissent mais tout rentre dans l'ordre au cri de « REX ! » quand Georges intervient, en tirant le chien par le collier. Les deux couples d'amis se retrouvent avant que les parents ne viennent embrasser leur fille près de laquelle je me tiens.
Le regard de Nadine est chaleureux et rayonnant de bonheur :
— Bonjour ! Alors c'est toi John ? Je comprends... Dans ma petite tête ça bouillonne : Tu comprends quoi ? Que ta fille, gouine sur les bords, se soit entichée d'un type comme moi !
— Bonjour madame ! Que je réponds à mi-voix
— Moi ! C'est Nadine, qu'elle reprend avec force, puis ajoute gentiment, je t'en prie pas de manière avec moi.
Elle me prend par l'épaule, se rapproche de moi jusqu'à appuyer sa poitrine, me regarde de ses yeux de biche je sens son parfum capiteux, ma respiration s'accélère, elle m'embrasse tendrement sur la joue avant d'attirer sa fille de l'autre bras pour l'embrasser et de lui dire tout bas « Il est vraiment mignon ». Bien sûr ça ne serait pas le plus beau compliment pour un déménageur mais le plus affectueux pour moi.
Ma rencontre avec Yanis est franche, après une grande tape sur l'épaule, il me retient et me regarde fixement, me sourit. Le contact est pris, je pourrais presque penser que je suis accepté.
Marie nous conduit à l'arrière de la maison dans le jardin où le auvent de toile nous abrite du soleil mais pas de la chaleur.
Après quelques discussions sur le travail et la fac et la fin des études, la conversation se tourne sur les vacances. Ainsi j'apprends que les parents de Mél sont propriétaires d'une grande marque de lingerie et qu'ils passent leurs vacances sur un voilier ou dans leur propriété de Santorin, dans les Cyclades. J'apprendrai aussi que Nadine n'est pas la mère de Mél, rien que son âge le laissait entendre et que son union est un remariage.
Au cours de l'apéritif Georges donne le ton en quittant la chemise.
— Punaise qu'est-ce qu'il fait chaud !
Yanis approuve de la tête et découvre son torse velu et musclé mais c'est Mélina qui fait le pas décisif en enlevant sa robe pour rester en string. Sa belle-mère réagit doucement
— Oh ! Tout de même Mél.
— Qu'est-ce qu'il y a de mal, Mamme... Tu sais, ils m'ont tous vue à poil.
Marie intervient en quittant sa jupe et sa blouse,
— Allez Nadine ! Pas de chichi...T'inquiète pas, en rigolant de bon cœur, John a déjà vu ta fille à poil. Elle ouvre sa robe en ajoutant et de plus il n'a pas de problème avec le nudisme.
Je reste pourtant seul, avec Nadine, à être habillé, elle, peut-être gênée vis-à-vis de moi... Moi vraiment gêné de découvrir mon corps de minet qui plus est, épilé. Elle me sourit pour m'encourager, déboutonne sa robe en commençant par le haut, je fais de même avec mes boutons sans la quitter des yeux et au moment où elle fait tomber le haut de ses épaules je quitte ma chemisette. Elle fait sauter son soutien-gorge en dentelle blanche et découvre sa poitrine de pierre. On ne se quitte plus des yeux, elle défait sa ceinture comme moi avec mon bermuda, nous continuons avec les derniers boutons, nos derniers vêtements tombent et restons en string ou boxer.
Mélina me rejoint en me prenant par le cou et m'embrasse tendrement sur la bouche sous le regard attendri de sa belle-mère qui approuve : « Vous formez un joli couple ».
C'est à ce moment que Marie revient avec une énorme salade de tomates du jardin et interrompt notre tête à tête.
— A table, c'est servi !... Vous deux les jeunes ici, face aux parents s'il vous plaît et toi Georges en bout de table face à moi.
Tous les six nous nous asseyons en culotte comme seul vêtement. Nadine continue à me mettre au centre de la discussion :
— Alors John !... Raconte-moi, comment as-tu séduit Mél ? Elle me regarde d'un air goguenard. Bien sûr, mes cheveux longs, mon visage d'ange, mon corps imberbe, font que je suis tout le contraire des deux autres mâles présents.
— OH nooon Mamme ! Se lamente Mélina. Laisse-le tranquille.
— Non ! Non !... Pourquoi ?... Je crois que c'est assez simple, d'abord par le sérieux lors d'un stage et sa présentation puis par le frivole lors de la soirée qui a suivi... Je crois qu'on se comprend bien....
— Oauis, c'est exactement ça Mamme !... Comme tu l'as dit, il est mignon et... On se complète bien, ajoute-t-elle en m'embrassant dans le cou.
Face au bonheur affiché, les conversations s'animent et même deviennent un peu coquines. Après la salade, le repas se poursuit avec le gigot et ses flageolets du jardin, les fromages de la région et la tarte aux poires. L'atmosphère est très familiale, Mélina est tout contre moi sous le regard approbateur de sa belle-mère et les rigolades de tous : « On va les marier, ces deux-là »
Le ciel s'assombrit, il fait lourd, on entend comme hier l'orage au loin, Marie nous propose de prendre le café à l'ombre des arbres au bord de la piscine. En s'asseyant sur les deux transats les couples se mélangent alors qu'avec Mél on s’assoit en tailleur sur le gazon. Je n'ai d'yeux que pour Nadine, le corps légèrement bronzé, penché vers moi, pas un pet de graisse, deux jolis nichons en forme de poire, des cuisses fuselées de coureur de 100 mètres. Le temps fait que toute retenue s'abandonne, les hommes deviennent entreprenants, les femmes lassives se regardent, se sourient, se lèvent d'un bond en quittant leurs strings et dévoilant un court instant leurs toisons brune et auburn. Elles sont déjà dans l'eau et leur « Plouff » est suivi par celui de leurs maris.
On reste tous les deux dans l'herbe à les regarder. « Comment trouves-tu ma belle-mère ? » je lui murmure en lui mordillant l'oreille « Elle est canon ! ». Tous les quatre chahutent, rigolent comme des ados « Allez les amoureux venez avec nous ! » nous crie Nadine collée au ventre de Yanis.
Je me lève d'un bond, tire Mélina et nous sautons nus dans la piscine. Les dimensions ne permettent pas vraiment de nager. Ma copine rejoint son père, Marie, derrière moi, m'entoure de ses bras : « Alors John, comment trouves-tu tes beaux parents ? marmonne-t-elle en pouffant de rire... On va faire un jeu pour mieux se connaître, ne t'inquiète pas. »
C'est alors qu'elle me lâche et frappe dans les mains :
— Écoutez-moi !... On va jouer à colin-maillard. On doit découvrir la personne avec les mains seulement sous-l'eau. On embrasse la personne reconnue ou on reçoit un gage de la personne qu'on n'a pas su reconnaître.
— Super, OK, Bravo, C'est top ! » sous les applaudissement de tous.
Déjà Marie s'est emparée d'un bandeau et lance le jeu. Dans un vacarme assourdissant on se déplace tous en courant.
— Oh ! Oh ! Vous vous déplacez sans faire de bruit !
Tout devient silencieux, on entend à peine les vaguelettes de nos mouvements et incidemment Marie touche Yanis qui s'arrête, lève les bras et se grandit sur la pointe des pieds, le bas de son torse est à fleur d'eau. Elle cherche, palpe :
— Euh... j'ai un doute, c'est terrible... Georges ? dit-elle tout en retirant son masque.
— Même pas capable de reconnaître son mari... commente Yanis. Alors viens voir de plus près » D'une poussée il s'assied sur le rebord de la piscine et présente son sexe pas au meilleur de sa forme « Embrasse-le... Mieux que ça ! »
En fin de compte elle suce le gland avant qu'il ne saute à nouveau dans l'eau sous nos applaudissement. Le jeu reprend et Nadine est alors saisie par le bras, reconnue sans difficulté, les deux femmes s'embrassent sur les lèvres avant que Nadine se masque les yeux. Quand je m'éloigne lentement elle me saisit par la taille, me caresse les fesses puis revient à la taille, par pudeur elle ne va pas chercher plus loin et déclare incertaine :
— Mél, ma chérie, c'est toi ? » provoquant un grand éclat de rire sauf de ma part, suivi d'une mine déconfite de la jeune femme « Oh ! JOHN... Excuse-moi. »
Je ne sais qui est le plus gêné et je ne sais comment je fais pour lui prendre la main et la poser sur mon sexe en érection. Elle me caresse un moment avant de m'embrasser sur les lèvres « Humm, mignon et bien membré ! » Le jeu reprend, Marie est reconnue et ensuite elle me reconnaît. Ainsi je me retrouve avec le masque et découvre la difficulté du jeu. Je me déplace un moment un peu perdu, la piscine semble s'agrandir, enfin je touche un bras avant de toucher un bras, c'est un homme, j'essaie de le reconnaître, je touche les fesses, les cuisses, le pubis, je ne sais pas, je prends le sexe, je le trouve gros, ce ne peut pas être Yanis avec ce qu'il nous a fait voir donc j'exulte sûr de moi : « Georges !!! » tout en retirant mon masque
— Eh bien non John ! Minaude Yanis en me tirant à lui Et tu vas apprendre à mieux me connaître » Il est à nouveau assis au bord de la piscine « Suce ! Mon mignon. »
Malgré la désapprobation de sa femme, il se masturbe doucement et attend. Je suis tout prêt de lui, il me prend la tête pour contrôler ma fellation et murmure « Georges m'a dit que tu aimais la bite » Je fais une dizaine de mouvements de la tête avant qu'il ne me relève sous les applaudissements de tous.
Le jeu recommence et tout de suite je touche un ventre, je caresse les hanches, je ne reconnais pas la peau adipeuse de la fermière, mais la part est trop belle pour découvrir Nadine et déclare victorieux « Marie ! ». Erreur voulue, erreur fatale ! A nouveau je reçois un gage de celle qui pourrait devenir ma belle-mère : « Viens téter maman ! Mon chéri ». Appuyée sur ses coudes au bord de la piscine elle bombe le torse et je suce longuement chaque téton en les faisant bander. Sa position fait que je me plaque à son ventre les pieds au sol alors qu'elle m'entoure la taille de ses jambes. Putain j'ai ma queue qui se balade au creux de ses cuisses et de ses fesses, nos sexes glissent l'un sur l'autre. J'aurais continué mais c'est elle qui arrête le jeu sous les applaudissements et redescend dans l'eau en me glissant « Mignon mais coquin » .
Me voilà à nouveau les yeux bandés, je rencontre et reconnais Mélina. On s'embrasse amoureusement quand un coup de tonnerre éclate au-dessus de nous, suivi des premières gouttes de pluie, on sort tous de l'eau pour se mettre à l'abri alors que la pluie commence à tomber.
On range vite fait les transats et nous débarrassons la table. L'orage est au-dessus de nous, la pluie tombe à verse. On décide de rentrer. Marie en bonne maîtresse de maison installe ses invités dans sa chambre.
— Installez-vous ici, votre chambre est occupée par les enfants.
— Et vous ?
— T'inquiète on dormira sur les canapés du séjour, si tu veux prends une douche.
Le temps que nous tous soyons douchés et habillés il est déjà 5 heures. Comme les autres hommes je suis en jean et chemise alors que les femmes sont plus aguicheuses, en robe d'été court vêtue et au corsage tout juste boutonné.
Georges propose une partie de Tarot alors que Marie prépare un café.
— Jouez à quatre, annonce Nadine, je vais aider Marie pour le dîner.
Ainsi fait après le café, les deux femmes nous laissent dans le salon et disparaissent dans la cuisine.
Le jeu de cartes nous fait oublier le temps qui passe alors que la pluie ne cesse de tomber et la température de baisser. Il fait sombre au point d'allumer le lustre au-dessus de la table. Marie revient chargée d'un panier de bûches et démarre un beau feu de cheminée :
— Bon les amis si vous voulez on va dîner... Georges tu t'occupes de l'apéro et avec Nadine je vais mettre la table.
Nous prenons place autour de la grande table rectangulaire.
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