Etre étudiant et libertine 13 - Avec les parents de ma copine 3/3

Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Etre étudiant et libertine 13 - Avec les parents de ma copine 3/3
Après la chaude soirée passée avec le père de ma copine qui m'a proposé de m'embaucher dans sa boîte de lingerie, mon diplôme en poche... Je me retrouve avec Mélina et Georges, le fermier qui l'a déflorée il y a bien des années.
De retour dans la chambre, Mélina à moitié nue s'assoit sur le lit face à nous deux
Elle défait la ceinture de son "amant du premier jour" et lui abaisse d'un coup pantalon et boxer ; sous la toison blonde, la verge repose sur les lourds testicules, à l'exemple des statues antiques. En le tenant aux hanches, elle relève le sexe de sa langue et le gobe, rapidement elle lui redonne vigueur, les veines se gonflent, les bourses se remplissent. A ses gémissements de gourmandise « Mmmm ! Mmmm ! » répondent des grognements de plaisir. « Ouais, ouais... Suce bien ! »
J'assiste debout à leur jeu, aux côtés de Georges, en lui présentant mon chibre, long et lisse comme une asperge tout en me caressant. Je bande comme un beau diable. C'est après une longue attente que seulement elle me prend en main et me suce à grand bruit en alternance avec l'autre queue paraissant nettement plus épaisse. Elle bave, je ne l'ai jamais vue aussi gourmande. Elle s'applique puis nous prend ensemble, nos deux glands dans sa bouche. C'est alors que le fermier se colle à moi, me prend par la taille, me pétrit la fesse en l'écartant avant de me titiller l'anus. Il me regarde en souriant :
— P'tite cochonne ! T'as le cul tout mouillé, c'est Yanis qui t'a fourrée comme ça ?
— ...
A l'entendre Mélina se jette au milieu du lit, on la rejoint tous les deux à quatre pattes. Je reste entre ses jambes quand Georges va à sa tête, je vois Mélina le sucer. Il me tire vers lui et me tripote à nouveau les fesses, les caresse, les claque et les masse à nouveau. Il continue en alternance caresses et claques sous mes râles saccadés. Deux doigts me taquinent le petit trou et me pénètre d'un coup bien profond :
— Regarde la salope comme elle aime se faire doigter.
— Mmmm ! Mmmm ! miaule-t-elle tout en le suçant, puis d'une voix rauque : Je sais, c'est une cochonne. Encule-la ! Quelle coquine pensè-je de me traiter comme une fille et pourtant, j'aime ça.
L'homme me tire encore, je me retrouve en levrette sur ma copine, il est contre moi je sens son nœud glisser entre mes fesses, monter et descendre, se fixer sur mon cul. J'ai été tellement bien préparé et lubrifié par Yanis qu'il me possède sans difficulté. Tout de suite il me besogne sans précaution. Mélina, sous moi, relève ses jambes, je les passe sous mes aisselles. Mon museau s'écrase sur sa chatte, du nez, de la bouche, du menton je la fouille. Elle mouille comme rarement elle m'a régalé. L'excitation monte, les gémissements s'amplifient.
L'homme continue de me fourrager avec force dans un bruit de ressac indécent, il s'en amuse et grogne dans un souffle « T'es vraiment une grosse cochonne ». Je suis en nage, ma jouissance déborde, coule sur mes fesses. Le clap, clap de son ventre sur mes fesses devient assourdissant dans le silence de la nuit, son souffle résonne comme le bruit d'une forge et d'un coup je le sens jouir dans un long soupir. Longtemps après il "décule" sans éteindre le feu de mes entrailles . Tous un peu à bout de souffle, nous allongeons en mettant Mélina entre nous deux.
Dans la chambre d'à côté ça parle, on prête un instant l'oreille « ... Ajuste bien la ceinture... » sans comprendre, c'est Georges qui décrypte le message
— Écoutez... Marie se fait mettre par Yanis et demande à Nadine de s'équiper du gode ceinture pour enfiler son mari !.
On est attentifs, un petit cri aigu confirme les explications de Georges. C'est incroyable comme les sons se répercutent dans la nuit. En fermant les yeux je suis avec eux, dans leur chambre l'homme est pris en sandwich entre les deux filles. En même temps ma main court sur le ventre lisse de ma voisine, rencontre la paluche d'un autre amant. Je glisse facilement entre les cuisses humides, elles s'ouvrent et me laissent libre accès au sexe, j'y plonge deux doigts, déclenche un léger chuintement. Un autre doigt plus épais me rejoint, nous sommes deux à battre la mouille.
Je fais la part du songe et de la réalité quand Mél me prend la queue. Elle me caresse délicatement comme pour en mesurer la taille ou juger de la forme. Aux bruits des amours d'à côté, se mélangent nos soupirs.
Elle me tourne le dos, se couche de tout son long sur Georges, ses genoux autour de ses hanches. « Jo... Aime-moi comme au premier jour ».
Comme si elle voulait me faire partager son dépucelage, elle s'exhibe,soulève son bassin, l'homme dirige son sexe, le fait circuler d'avant en arrière, puis lentement il la conduit à s'empaler dans un soupir d'aise. Leur relation est délicate, il se prolonge à me rendre jaloux. Sa chevauchée est lente et régulière. L'homme l'accompagne de ses grosses mains sur ses hanches fragiles puis donne le rythme. Les respirations s'accélèrent, en appui sur le torse de son amant, la tête rejetée en arrière, elle se laisse aller, elle est prise de spasmes, elle jouit dans un soupir sans fin.
Puis tout s'arrête, il lui laisse retrouver ses esprits en la maintenant assise sur son ventre... Alors elle m'observe amusée de mon excitation et de son exhibition. Dans un sourire diabolique elle murmure « A présent, je vous veux tous les deux... Tous les deux ensemble »
La demande nous sidère, on se regarde... On comprend l'intensité de son fantasme en la voyant se cambrer, relever les fesses. Alors il la soulève sans se désengager. Je me glisse derrière eux et découvre la vulve dilatée, bordée d'une écume blanche enserrant l'épais morceau de chair. Je vois plus haut le petit trou rosé au creux du vallon. Je caresse religieusement le fessier, mon doigt suit la raie médiane, rencontre l'anus, il s'effraie et se contracte instantanément. J'insiste, je l'excite, l'inonde de salive, je l'étire, il est petit mais souple, j'y mets l'indexe puis le majeur. La fille passe alors de l'état statique, craintif à l'état actif, participatif et se met à bouger d'avant en arrière en creusant les reins pour mieux me sucer.
Je me positionne entre les deux paires de jambes. Mélina s'immobilise, s'offre impudique, amoureuse, son anus gonflé comme le bouton d'une fleur. Mes couilles frôlent celles de Georges, je guide ma verge, la pointe force le passage, les parois intimes s'étirent, se déchirent avec cette seconde intrusion. D'un coup le gland est avalé dans un cri de douleur « ARRÊTE !... » Suivi d'une supplique, « Arrête !... » Tout se fige dans le silence de la nuit.
De la chambre voisine, on entend Nadine s'écrier « Ça va ma chérie ? ». L'absence de réponse semble tranquilliser la femme qui doit suivre en direct le dépucelage de la jeune fille, s'en suivent quelques murmures et rires.
Je la rassure en lui caressant les fesses, attentif à sa respiration, je joue en écartant et rapprochant les deux globes prenant en étau mon pénis. Les chairs se décontractent, la pression se relâche, Mélina bouge lentement d'avant en arrière, concentré je la pénètre peu à peu, je glisse contre la verge de Georges, juste séparé par une fine membrane, mon gland se fraie un chemin dans les chairs étroites, jusqu'à ce que mon ventre touche les fesses, mes testicules glabres se frottent aux bourses velues de Georges.
Je me couche sur elle, je respire profondément, la bouche ouverte sur son dos ; tous les trois restons immobiles en s'habituant l'un à l'autre, en sentant les tressaillements des autres. Seul mon bassin bouge, la course de ma verge dans le fourreau se limite à quelques centimètres avant de se mettre en mouvement.
Quand je pousse en elle, Georges se retire créant un mouvement alterné, on trouve instinctivement le rythme parfait.
Mélina s’abandonne à notre course folle, ballottée d'avant en arrière « Oh mes chéris... C'est si bon de vous sentir ensemble... D'être prise des deux côtés à la fois... De voguer d'orgasme en orgasme »
Les chevaux se lâchent. Les sensations vont crescendo, je grimpe à toute vitesse vers le pic de la jouissance. La pression sur mon sexe déclenche une réaction en chaîne incontrôlable, mes muscles abdominaux se contractent, je suis pris de convulsions, je me libère de la tension accumulée et j'explose en elle quand un ''Ouiiiiiiiiii'' aigu déchire le silence de la nuit. L'orgasme la foudroie, son fourreau se contracte avec une force inouïe autour de mon sexe. Les spasmes créent une pression intense à laquelle Georges s'abandonne dans un rugissement sauvage.
A bout de souffle, on s'affale tous les deux sur le corps de l'homme avant que Georges nous repousse sur le côté... C'est à ce moment que la lumière de la salle de d'eau s'allume et qu'on entend la douche couler et couvrir les voix.
Georges se lève et va rejoindre les voisins sous la douche, alors que nous restons à nous câliner. Elle se pelotonne dans mes bras, contre mon ventre et ronronne « Humm... c'était bon vous deux ensemble, je veux tout garder... ». Je la tiens par le dos, nos ventres poisseux collés l'un à l'autre. Les yeux mi-clos j'apprécie ce moment de détente quand je distingue une silhouette entrer et se mettre au lit :
— Bonsoir mes chéris... Vous permettez que je dorme avec vous ?.
C'est Nadine, la belle-mère de Mélina, d'une dizaine d'années de plus que nous. Elle se glisse entre nos draps, se couche contre Mélina face à moi. Son pied se pose sur mon mollet, sa main me prend à l'épaule. Mel prise en sandwich murmure « Oh oui, serre-toi contre moi. » Visiblement les deux jeunes femmes ont leurs habitudes, se sont des bisous sur l'épaule, dans le cou, des miaulements de plaisir. La coquine se frotte à mes mains dans le dos de Mél, me fait sentir son excitation, ses tétons turgescents, son ventre poilu humide de la douche, elle m'encourage à la peloter, alors que ses doigts courent entre nos corps, palpent la jeune poitrine, étirent mes tétons, caresse le sexe de sa belle-fille tout en me titillant les couilles de ses ongles. Elle grogne entre ses dents
— Humm... T'es une petite cochonne, ma chérie... T'en as plein partout. Viens que je te fasse minette.
Et là, Nadine s'impose, fait un tête à queue, Mélina se dégage de mes bras et s'offre cuisses ouvertes, genoux relevés à sa belle-mère. Dans la pénombre, j'observe les deux femmes, Nadine s'agite entre les cuisses de la fille tout en se faisant brouter le minou, en adoptant la marche du dromadaire. Hypnotisé par le couple, je caresse l'épaisse chevelure de la belle-mère qui coule entre les épaules, parcours l'échine avant de suivre le rebond du fessier. En réponse elle creuse les reins, relève l'arrière train. Ma main sur le cul, les doigts circulent dans le sillon, trouvent l'anus gonflé, le périnée à la peau si sensible, rencontrent la vulve et finalement se mélangent à la langue de Mélina. « Oh oui ! C'est bon, continuez tous les deux. »
Nadine sans cesser de lutiner sa belle-fille, trouve mon genou, remonte sur ma cuisse jusqu'à mon sexe. Toujours maitresse du jeu, elle se penche sur moi, me lèche, me suce, se délecte de toute la jouissance qui s'y trouve et finalement satisfaite de son ouvrage, se couche entre nous deux et nous prenant dans ses bras. Elle fait un bisou à Mel avant de me rouler un patin, nos langues se trouvent, s'enlacent, tournicotent, nos salives se mélangent.
Comme avant, on se serre tous les trois, nos jambes s'entremêlent, on se frotte les uns aux autres. Je la saisis par une fesse, lui pétris un sein, on roule tous ensemble. Finalement Nadine se trouve prise entre nous deux, moi à genoux entre leurs cuisses.
Je tiens ma queue tel un glaive, je vais de l'anus à la vulve pour finalement traverser le vagin. Nadine relève son bassin pour mieux me recevoir « Oh, oui John ! Baise-moi bien... Ne va pas trop vite »
C'est d'abord à grands coups de reins que je la fornique, je la tiens à la taille puis écarte ses fesses, dégage son petit trou, le devine sombre au bas de la ligne claire de ses fesses. En deux, trois allers-retours de la main, je le couvre de salive, le doigte un peu et finalement accroupi au dessus d'elle je l'encule d'un coup sec, l'écrase sur Mélina et lui bourre le sphincter. Sa tête s'enfonce dans l'oreiller au creux de l'épaule de Mel. J'ai face à moi le visage de Mel, on se regarde droit dans les yeux, le sourire aux lèvres, elle murmure moqueuse « Elle est bonne, ma belle-mère ? » Mon coït de grenouille s'accélère et finalement je lui crache tout.
A bout de souffle je m'écroule sur le côté laissant les deux femmes ensemble.
Finalement Nadine libère Mel et se place entre nous deux. Le temps de récupérer elle nous prend par le cou et nous rapproche tous les deux d'elle
— Mes chéris, je suis très contente de vous voir ensemble et de vous avoir tous les deux... Pour vous c'est bientôt la fin de l'université, une page se tourne... Qu'allez-vous devenir ?
— Pas si vite Nadine, conteste avec véhémence Mélina. Tu sais après on peut continuer, un master, un doctorat, faire une autre licence
— Mouais... Moi j'arrête d'autant plus que j'ai presque un job...
— Vrai !... Et où ça ??? s'exclame Mel en se redressant.
— Ouais, Yanis a idée de me prendre avec lui !!!
— C'est super, on va former une grande famille... Tu sais John, à ce sujet je voudrais faire connaissance de ta maman... Peut-être lors de votre prochaine remise de diplôme. Ce désir me met très très mal à l'aise, ma mère est si prude, une véritable''grenouille de bénitier''
— Euh... Nadine... Je ne sais pas si c'est une bonne idée... Ma mère est si différente de moi, de nous... Si timide... Si réservée... Respectueuse des principes
— T’inquiète pas John, nous verrons bien... Il ne faut pas se fier à l'eau qui dort !!!
Peu à peu nos paroles se font confuses avant de s'évanouir, je m'endors dans les bras de Nadine.
La rencontre de Nadine et de ma mère, Monique, est une autre histoire. Vous la retrouverez bientôt avec ''Monique se révèle''
De retour dans la chambre, Mélina à moitié nue s'assoit sur le lit face à nous deux
Elle défait la ceinture de son "amant du premier jour" et lui abaisse d'un coup pantalon et boxer ; sous la toison blonde, la verge repose sur les lourds testicules, à l'exemple des statues antiques. En le tenant aux hanches, elle relève le sexe de sa langue et le gobe, rapidement elle lui redonne vigueur, les veines se gonflent, les bourses se remplissent. A ses gémissements de gourmandise « Mmmm ! Mmmm ! » répondent des grognements de plaisir. « Ouais, ouais... Suce bien ! »
J'assiste debout à leur jeu, aux côtés de Georges, en lui présentant mon chibre, long et lisse comme une asperge tout en me caressant. Je bande comme un beau diable. C'est après une longue attente que seulement elle me prend en main et me suce à grand bruit en alternance avec l'autre queue paraissant nettement plus épaisse. Elle bave, je ne l'ai jamais vue aussi gourmande. Elle s'applique puis nous prend ensemble, nos deux glands dans sa bouche. C'est alors que le fermier se colle à moi, me prend par la taille, me pétrit la fesse en l'écartant avant de me titiller l'anus. Il me regarde en souriant :
— P'tite cochonne ! T'as le cul tout mouillé, c'est Yanis qui t'a fourrée comme ça ?
— ...
A l'entendre Mélina se jette au milieu du lit, on la rejoint tous les deux à quatre pattes. Je reste entre ses jambes quand Georges va à sa tête, je vois Mélina le sucer. Il me tire vers lui et me tripote à nouveau les fesses, les caresse, les claque et les masse à nouveau. Il continue en alternance caresses et claques sous mes râles saccadés. Deux doigts me taquinent le petit trou et me pénètre d'un coup bien profond :
— Regarde la salope comme elle aime se faire doigter.
— Mmmm ! Mmmm ! miaule-t-elle tout en le suçant, puis d'une voix rauque : Je sais, c'est une cochonne. Encule-la ! Quelle coquine pensè-je de me traiter comme une fille et pourtant, j'aime ça.
L'homme me tire encore, je me retrouve en levrette sur ma copine, il est contre moi je sens son nœud glisser entre mes fesses, monter et descendre, se fixer sur mon cul. J'ai été tellement bien préparé et lubrifié par Yanis qu'il me possède sans difficulté. Tout de suite il me besogne sans précaution. Mélina, sous moi, relève ses jambes, je les passe sous mes aisselles. Mon museau s'écrase sur sa chatte, du nez, de la bouche, du menton je la fouille. Elle mouille comme rarement elle m'a régalé. L'excitation monte, les gémissements s'amplifient.
L'homme continue de me fourrager avec force dans un bruit de ressac indécent, il s'en amuse et grogne dans un souffle « T'es vraiment une grosse cochonne ». Je suis en nage, ma jouissance déborde, coule sur mes fesses. Le clap, clap de son ventre sur mes fesses devient assourdissant dans le silence de la nuit, son souffle résonne comme le bruit d'une forge et d'un coup je le sens jouir dans un long soupir. Longtemps après il "décule" sans éteindre le feu de mes entrailles . Tous un peu à bout de souffle, nous allongeons en mettant Mélina entre nous deux.
Dans la chambre d'à côté ça parle, on prête un instant l'oreille « ... Ajuste bien la ceinture... » sans comprendre, c'est Georges qui décrypte le message
— Écoutez... Marie se fait mettre par Yanis et demande à Nadine de s'équiper du gode ceinture pour enfiler son mari !.
On est attentifs, un petit cri aigu confirme les explications de Georges. C'est incroyable comme les sons se répercutent dans la nuit. En fermant les yeux je suis avec eux, dans leur chambre l'homme est pris en sandwich entre les deux filles. En même temps ma main court sur le ventre lisse de ma voisine, rencontre la paluche d'un autre amant. Je glisse facilement entre les cuisses humides, elles s'ouvrent et me laissent libre accès au sexe, j'y plonge deux doigts, déclenche un léger chuintement. Un autre doigt plus épais me rejoint, nous sommes deux à battre la mouille.
Je fais la part du songe et de la réalité quand Mél me prend la queue. Elle me caresse délicatement comme pour en mesurer la taille ou juger de la forme. Aux bruits des amours d'à côté, se mélangent nos soupirs.
Elle me tourne le dos, se couche de tout son long sur Georges, ses genoux autour de ses hanches. « Jo... Aime-moi comme au premier jour ».
Comme si elle voulait me faire partager son dépucelage, elle s'exhibe,soulève son bassin, l'homme dirige son sexe, le fait circuler d'avant en arrière, puis lentement il la conduit à s'empaler dans un soupir d'aise. Leur relation est délicate, il se prolonge à me rendre jaloux. Sa chevauchée est lente et régulière. L'homme l'accompagne de ses grosses mains sur ses hanches fragiles puis donne le rythme. Les respirations s'accélèrent, en appui sur le torse de son amant, la tête rejetée en arrière, elle se laisse aller, elle est prise de spasmes, elle jouit dans un soupir sans fin.
Puis tout s'arrête, il lui laisse retrouver ses esprits en la maintenant assise sur son ventre... Alors elle m'observe amusée de mon excitation et de son exhibition. Dans un sourire diabolique elle murmure « A présent, je vous veux tous les deux... Tous les deux ensemble »
La demande nous sidère, on se regarde... On comprend l'intensité de son fantasme en la voyant se cambrer, relever les fesses. Alors il la soulève sans se désengager. Je me glisse derrière eux et découvre la vulve dilatée, bordée d'une écume blanche enserrant l'épais morceau de chair. Je vois plus haut le petit trou rosé au creux du vallon. Je caresse religieusement le fessier, mon doigt suit la raie médiane, rencontre l'anus, il s'effraie et se contracte instantanément. J'insiste, je l'excite, l'inonde de salive, je l'étire, il est petit mais souple, j'y mets l'indexe puis le majeur. La fille passe alors de l'état statique, craintif à l'état actif, participatif et se met à bouger d'avant en arrière en creusant les reins pour mieux me sucer.
Je me positionne entre les deux paires de jambes. Mélina s'immobilise, s'offre impudique, amoureuse, son anus gonflé comme le bouton d'une fleur. Mes couilles frôlent celles de Georges, je guide ma verge, la pointe force le passage, les parois intimes s'étirent, se déchirent avec cette seconde intrusion. D'un coup le gland est avalé dans un cri de douleur « ARRÊTE !... » Suivi d'une supplique, « Arrête !... » Tout se fige dans le silence de la nuit.
De la chambre voisine, on entend Nadine s'écrier « Ça va ma chérie ? ». L'absence de réponse semble tranquilliser la femme qui doit suivre en direct le dépucelage de la jeune fille, s'en suivent quelques murmures et rires.
Je la rassure en lui caressant les fesses, attentif à sa respiration, je joue en écartant et rapprochant les deux globes prenant en étau mon pénis. Les chairs se décontractent, la pression se relâche, Mélina bouge lentement d'avant en arrière, concentré je la pénètre peu à peu, je glisse contre la verge de Georges, juste séparé par une fine membrane, mon gland se fraie un chemin dans les chairs étroites, jusqu'à ce que mon ventre touche les fesses, mes testicules glabres se frottent aux bourses velues de Georges.
Je me couche sur elle, je respire profondément, la bouche ouverte sur son dos ; tous les trois restons immobiles en s'habituant l'un à l'autre, en sentant les tressaillements des autres. Seul mon bassin bouge, la course de ma verge dans le fourreau se limite à quelques centimètres avant de se mettre en mouvement.
Quand je pousse en elle, Georges se retire créant un mouvement alterné, on trouve instinctivement le rythme parfait.
Mélina s’abandonne à notre course folle, ballottée d'avant en arrière « Oh mes chéris... C'est si bon de vous sentir ensemble... D'être prise des deux côtés à la fois... De voguer d'orgasme en orgasme »
Les chevaux se lâchent. Les sensations vont crescendo, je grimpe à toute vitesse vers le pic de la jouissance. La pression sur mon sexe déclenche une réaction en chaîne incontrôlable, mes muscles abdominaux se contractent, je suis pris de convulsions, je me libère de la tension accumulée et j'explose en elle quand un ''Ouiiiiiiiiii'' aigu déchire le silence de la nuit. L'orgasme la foudroie, son fourreau se contracte avec une force inouïe autour de mon sexe. Les spasmes créent une pression intense à laquelle Georges s'abandonne dans un rugissement sauvage.
A bout de souffle, on s'affale tous les deux sur le corps de l'homme avant que Georges nous repousse sur le côté... C'est à ce moment que la lumière de la salle de d'eau s'allume et qu'on entend la douche couler et couvrir les voix.
Georges se lève et va rejoindre les voisins sous la douche, alors que nous restons à nous câliner. Elle se pelotonne dans mes bras, contre mon ventre et ronronne « Humm... c'était bon vous deux ensemble, je veux tout garder... ». Je la tiens par le dos, nos ventres poisseux collés l'un à l'autre. Les yeux mi-clos j'apprécie ce moment de détente quand je distingue une silhouette entrer et se mettre au lit :
— Bonsoir mes chéris... Vous permettez que je dorme avec vous ?.
C'est Nadine, la belle-mère de Mélina, d'une dizaine d'années de plus que nous. Elle se glisse entre nos draps, se couche contre Mélina face à moi. Son pied se pose sur mon mollet, sa main me prend à l'épaule. Mel prise en sandwich murmure « Oh oui, serre-toi contre moi. » Visiblement les deux jeunes femmes ont leurs habitudes, se sont des bisous sur l'épaule, dans le cou, des miaulements de plaisir. La coquine se frotte à mes mains dans le dos de Mél, me fait sentir son excitation, ses tétons turgescents, son ventre poilu humide de la douche, elle m'encourage à la peloter, alors que ses doigts courent entre nos corps, palpent la jeune poitrine, étirent mes tétons, caresse le sexe de sa belle-fille tout en me titillant les couilles de ses ongles. Elle grogne entre ses dents
— Humm... T'es une petite cochonne, ma chérie... T'en as plein partout. Viens que je te fasse minette.
Et là, Nadine s'impose, fait un tête à queue, Mélina se dégage de mes bras et s'offre cuisses ouvertes, genoux relevés à sa belle-mère. Dans la pénombre, j'observe les deux femmes, Nadine s'agite entre les cuisses de la fille tout en se faisant brouter le minou, en adoptant la marche du dromadaire. Hypnotisé par le couple, je caresse l'épaisse chevelure de la belle-mère qui coule entre les épaules, parcours l'échine avant de suivre le rebond du fessier. En réponse elle creuse les reins, relève l'arrière train. Ma main sur le cul, les doigts circulent dans le sillon, trouvent l'anus gonflé, le périnée à la peau si sensible, rencontrent la vulve et finalement se mélangent à la langue de Mélina. « Oh oui ! C'est bon, continuez tous les deux. »
Nadine sans cesser de lutiner sa belle-fille, trouve mon genou, remonte sur ma cuisse jusqu'à mon sexe. Toujours maitresse du jeu, elle se penche sur moi, me lèche, me suce, se délecte de toute la jouissance qui s'y trouve et finalement satisfaite de son ouvrage, se couche entre nous deux et nous prenant dans ses bras. Elle fait un bisou à Mel avant de me rouler un patin, nos langues se trouvent, s'enlacent, tournicotent, nos salives se mélangent.
Comme avant, on se serre tous les trois, nos jambes s'entremêlent, on se frotte les uns aux autres. Je la saisis par une fesse, lui pétris un sein, on roule tous ensemble. Finalement Nadine se trouve prise entre nous deux, moi à genoux entre leurs cuisses.
Je tiens ma queue tel un glaive, je vais de l'anus à la vulve pour finalement traverser le vagin. Nadine relève son bassin pour mieux me recevoir « Oh, oui John ! Baise-moi bien... Ne va pas trop vite »
C'est d'abord à grands coups de reins que je la fornique, je la tiens à la taille puis écarte ses fesses, dégage son petit trou, le devine sombre au bas de la ligne claire de ses fesses. En deux, trois allers-retours de la main, je le couvre de salive, le doigte un peu et finalement accroupi au dessus d'elle je l'encule d'un coup sec, l'écrase sur Mélina et lui bourre le sphincter. Sa tête s'enfonce dans l'oreiller au creux de l'épaule de Mel. J'ai face à moi le visage de Mel, on se regarde droit dans les yeux, le sourire aux lèvres, elle murmure moqueuse « Elle est bonne, ma belle-mère ? » Mon coït de grenouille s'accélère et finalement je lui crache tout.
A bout de souffle je m'écroule sur le côté laissant les deux femmes ensemble.
Finalement Nadine libère Mel et se place entre nous deux. Le temps de récupérer elle nous prend par le cou et nous rapproche tous les deux d'elle
— Mes chéris, je suis très contente de vous voir ensemble et de vous avoir tous les deux... Pour vous c'est bientôt la fin de l'université, une page se tourne... Qu'allez-vous devenir ?
— Pas si vite Nadine, conteste avec véhémence Mélina. Tu sais après on peut continuer, un master, un doctorat, faire une autre licence
— Mouais... Moi j'arrête d'autant plus que j'ai presque un job...
— Vrai !... Et où ça ??? s'exclame Mel en se redressant.
— Ouais, Yanis a idée de me prendre avec lui !!!
— C'est super, on va former une grande famille... Tu sais John, à ce sujet je voudrais faire connaissance de ta maman... Peut-être lors de votre prochaine remise de diplôme. Ce désir me met très très mal à l'aise, ma mère est si prude, une véritable''grenouille de bénitier''
— Euh... Nadine... Je ne sais pas si c'est une bonne idée... Ma mère est si différente de moi, de nous... Si timide... Si réservée... Respectueuse des principes
— T’inquiète pas John, nous verrons bien... Il ne faut pas se fier à l'eau qui dort !!!
Peu à peu nos paroles se font confuses avant de s'évanouir, je m'endors dans les bras de Nadine.
La rencontre de Nadine et de ma mère, Monique, est une autre histoire. Vous la retrouverez bientôt avec ''Monique se révèle''
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