Etre étudiant et libertine 4 - Rencontre surprise

Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Etre étudiant et libertine 4 - Rencontre surprise
Vous me connaissez, je suis John, étudiant en 2ème année de fac, j'aime me travestir et devenir Jane.
Quelques jours après ma soirée avec Irène et Claude, je retourne chez la corsetière chercher un ensemble que Germaine, ma logeuse, m'a commandée pour sa prochaine fête libertine où elle m'invite..
En milieu d'après-midi j'arrive devant l'immeuble cossu de la rue du Four dans le quartier de Saint Sulpice, sur la porte on peut lire "Élisabeth, corseterie anglaise – 3e étage". Je monte l'escalier, sonne, après un long moment la couturière me reçoit. C'est une femme d'une quarantaine d'années, mince et distinguée qui dans sa robe noire, boutonnée du cou au bas du genou me fait penser à une directrice de collège anglais. C'est la troisième fois que nous nous rencontrons, après l'achat d'un porte-jarretelles et la prise de mesures pour cet habit.
— Jane ! Excuse-moi pour l'attente. Entre ma chérie ! Elle m'embrasse du bout des lèvres. Ton corselet est prêt, si tu veux on va l'essayer, déshabille-toi, je reviens de suite.
Quand elle revient avec un bustier jaune d'or et une jupette orangée, je n'ai gardé que mes bas.
— Voilà ma chérie, Gigi m'a demandé que tu sois "Bouton d'or". Regarde le corset intègre un push-up qui en comprimant ta poitrine te donnera de vrais seins d'ado et la pointe semblable à celle de l'escrimeur cachera tes attributs... Laisse-toi faire que je te montre. »
Elle me met d'abord un drôle de serre-taille de satin noir qui s'accroche aux testicules et remonte tout le paquet sur le ventre puis elle enfile un préservatif sur Popol à titre de sécurité dit-elle. Inutile de dire qu'elle me fait bander comme un pauvre diable.
— Regarde maintenant, en ajustant la pointe du bustier sur ton pubis, ton sexe se plaque à ton ventre. Tu peux bander comme tu veux, rien n'apparaît, et vois comme c'est sexy, l'étirement de tes couilles te crée une fente très trompeuse en continuité de ton périnée.
Elle ajuste le corset, serre le lacet dans le dos au point de m'étouffer. Le bustier en place la transformation est impressionnante, outre que mon masculin a disparu, mon féminin est mis en évidence par la compression de ma taille et le développement de ma poitrine. Le haut du bustier remonte et recentre mes pectoraux et me formant deux petits seins posés sur des coussinets !
— Alors ma chérie comment te trouves-tu ?
— Waouh ! Incroyable ! De vrais seins d'ado...
— Et d'autant plus si tu libères les pointes ! (Pour ceux qui ne me connaissent pas, sachez que je pompe tous les jours mes tétons, les triture et les masse de crème hydratante de telle sorte qu'ils ont doublé de volume et s'apparentent à ceux d'une jeune fille.) Voyons voir la jupette, tu vois elle cache juste tes fesses et met en valeur tes jambes, tu les habilleras de bas vert tendre pour rappeler la tige de la fleur... Alors qu'en dis-tu ?
— Super... La fente produite par l'étirement des testicules et... mes seins, de vrais seins d'ado... C'est vrai, on s'y tromperait mais... Un homme se laisserait-il tromper ?
— Le plus simple Jane est de faire un essai, voir comment il réagit.
— ... Euh !!! Ouais... Et comment ?
— Écoute ma chérie, la vérité est que lorsque tu es arrivée j'étais avec un ami. C'est un homme de quarante cinq ans, il est à côté, dans la chambre. Euh... Il est très discret et m'est totalement dévoué, tu vois ce que je veux dire ? Si tu veux je te le présente et tu vois comment ça se passe !... Je te propose de garder l'anonymat et que vous soyez masqués tous les deux.
— Oui et alors ?
— Il aime le sexe sous toutes ses formes... Tu me comprends
— Et vous ?
— Moi ! Je regarderai... Si tu veux je t'accompagnerai.
— Oh oui s'il vous plaît, vous savez je suis un peu timide et pas très à l'aise.
— Bien ! Je vais le rejoindre, lui expliquer la situation et toi, mets cette perruque et ce loup et rejoins-nous dans quelques minutes.
En trois minutes avec une perruque et un loup noir je suis méconnaissable.
Je frappe et pousse la porte entrouverte.
— Entre Jane !
Je reste interdite devant le tableau. Les deux me font penser aux statues étrusques. Sur le lit, Élisabeth en robe, est allongée sur le côté, appuyée sur un coude et d'épais coussins ; derrière un homme, la tête couverte d'une cagoule trois trous de coton noir, se tient comme son ombre, la main sur l'épaule en protecteur. Il ne bouge pas, il est mince, quelques poils grisonnants sur la poitrine.
— Je te présente...(Après un temps de réflexion, elle ajoute) mon Soumis. Approche !
Ma jupe est si courte que j'ai l'impression de ne pas en avoir. Arrivée à côté du lit, Élisabeth allonge sa jambe et du bout de sa chaussure relève ma jupette :
— Qu'en dis-tu ?
— Oh Madame... Qu'elle est jeune ! A peine formée... Vous permettez ? Je connais cette voix mais suis incapable de l'associer à quelqu'un.
— Oui ! Tu peux.
— Merci Madame !!!
Cette voix "Madame" ! Cette relation de "Soumis" ! Quel est cet homme ??? Il se lève et vient lentement à mon côté, il est en boxer noir, plutôt bien foutu, pas très grand. Il me prend par l'épaule, me serre gentiment contre lui, son regard transperce sa cagoule et mon loup... Je crois reconnaître ces yeux. Il m'embrasse dans le cou, se penche sur moi, j'ai sa joue sur ma poitrine, il respire fort « Jane vous sentez très bon. » En même temps sa main passe entre mes cuisses, force le passage, le tranchant est sur mon ventre, le pouce passe sous la pointe de mon bustier, il découvre la supercherie en grognant. L'index glisse de ma fente au périnée et atteint mon petit trou à peine humide
— Hummm ! Jane vous êtes une coquine ! Bon dieu, cette voix... qui est-ce ?
Il me pousse vers le lit et me tient à moitié couchée. Nerveusement, il relève ma jupe, me caresse tendrement le postérieur, descend sur mes cuisses et remonte au creux de mon ventre. Il est tout contre moi, je sens son souffle, son doigt suit la raie des fesses, me titille l'anus, Instinctivement, j'écarte les pieds, creuse les reins, m'offre à lui, un deuxième doigt s'enfonce sans résistance dans mes chairs humides, il me doigte un peu et me donne une grande claque sur les fesses en bougonnant « Ah oui, t' aime ça, tes une petite salope ! »
La tout change. Il s'assied sur le lit et me tire brutalement à lui :
— SUCE ! crie-t-il en abaissant de moitié son boxer. Savoir si tu es une vraie salope ou juste un trou à bites.
L'envie l'emporte, peu m'importe qui est cet homme, à genoux devant lui, je dégage le sexe à moitié endormi, encore prisonnier du boxer. Mais quelle puanteur ! Le poil noir est parsemé de trace de mouille, la queue gluante est couverte de coulures en partie séchées, visiblement j'ai dérangé le couple sans qu'ils aient joui. Juste le fait de le désaper et de lui prendre la queue, l'homme à une érection d'enfer. La bite bien raide occupe ma main, d'un simple mouvement, je dégage le gland plein de mouille avec une collerette blanchâtre à sa base. Putain, c'est aussi dégueulasse qu'excitant. J'ai l'impression de me joindre au couple faisant l'amour, je gobe le gland d'un coup, suce, avale ce mélange de jute, gourmande ma langue tournicote autour de la pointe, cherchant encore des traces du coït interrompu.
Je joue de la flûte traversière sur l'urètre, je lèche les couilles parsemées de poils soyeux, j'avale plus de la moitié du pieu avec des « Buurp... Bluuurp ». La sensation de me joindre au couple devient réalité quand Élisabeth s'assoit près de son amant, elle me caresse le cou, les épaules, descend sur les seins, me tire un téton. Elle me relève,
— Jane !... Elle me regarde droit dans les yeux. T'es une sacrée bouffeuse de bites, fais-moi voir comment tu suces les chattes.
Elle déboutonne sa robe du bas en haut, dénude ses genoux, ses cuisses, son ventre glabre, sa poitrine aux nichons légèrement affaissés, pour la première fois je la vois nue, elle est presque maigre. Olivier lui laisse la place et je me trouve dans le ciseau de ses jambes face à son ventre lisse. Je retrouve la même odeur de sexe, les mêmes traces de jute, une vulve aux lèvres flasques et poisseuses d'une femme qui a vécu. A nouveau avec gourmandise je lape l'entrecuisse, suce la vulve, je retrouve ce goût acre de cyprine, je l'aspire jusqu'à l'avoir toute entière en bouche, ma langue la fouille, la nettoie, la lubrifie.
L'homme qui s'est mis à genoux à mon côté, me griffe le dos, instinctivement je creuse les reins. Il me flatte le derrière, souligne mes rondeurs, sépare les deux globes, je sens son nez, sa langue dans le vallon, il me lèche le cul, l'écarte encore. J'applique sur le ventre de la dame, les baisers de l'homme, ses coups de langue, ses suçons. Il m'inonde les fesses de bave et d'un coup me plante deux doigts. Le coquin me palpe le conduit, me touche la prostate, il sait y faire et rapidement il me fout le feu au ventre, je vais à sa rencontre d'un « Oh, oui » et lui d'ajouter « P'tite salope t'aime ça hein... ». Je sens sa verge battre contre ma cuisse.
Il se relève derrière moi, fait circuler son gland dans la raie des fesses jusqu'à la base des couilles, il remonte sur le périnée et le bloque sur mon petit trou. Bien en place l'homme me prend par les hanches et d'un violent coup de reins me pénètre en m'arrachant un grand "Aaaah" autant de surprise que de satisfaction. Il ne me laisse pas le temps de respirer qu'il s'enfonce jusqu'à avoir ses couilles sur mon périnée. Satisfait, lentement il commence à me labourer, sa queue glisse dans mon sphincter mais se porte à chaque fois sur mon point "G". Comme avant avec ses doigts rapidement je mouille, lui trop content de me faire miauler, encouragé par mes contractions... J'aime cette sensation de jouissance toute féminine en me laissant aller en gémissant. L'homme vibre avec moi,il se bloque au fond de mes entrailles quand j'éjacule en quatre, cinq longs soupirs.
— Alors Olivier, elle est bonne ?... Demande Élisabeth d'un ton railleur. Olivier !!! Je suis atterrée, anéantie... Cet homme est ... !
— Oh oui Madame, elle est bonne, chaude, humide...
— Et docile ?
— Certainement Madame.
Tout d'un coup, j'ai l'impression de me noyer, de manquer d'air, les paroles résonnent dans ma tête comme dans une bulle. Une grande claque sur la fesse me sort de mon abêtissement :
— Dis-moi salope, c'est ta chatte que je veux, pas un manchon inerte !
Cet homme me bouscule.... Je dépasse l'inacceptable, je suis consentente. De furie je redouble mon cunni sur cette chatte et machinalement renouvelle mes contractions sur cette bite. La femme m'enserre de ses pieds, l'homme se penche sur moi m'encercle de ses bas, sort mes seins du bustier. Nous surfons tous les trois sur la même vague de la démence, du plaisir. Je ne sens plus la brûlure de mes tétons, la violence des coups, la brutalité du sexe. Je les entends
— Elle me suce comme une tribade. Regarde-la...
— Elle baise comme une catin ! Écoutez-la jouir...
Il continue à me pistonner, je sens le membre vibrer, puis un coup plus puissant me projette sur le ventre d’Élisabeth. Il s'affale sur moi, je me couche sur elle.
Longtemps après, il se relève, elle me repousse, je sors et file à la salle de bains...
Le temps des ablutions je retrouve Élisabeth dans le salon où nous avons fait l'essayage.
— Ça va Jane ?
— ... Oui !
— Je te sens inquiète... Olivier ?... Sois tranquille, c'est une tombe et tu es restée incognito. Dans ma tête j'explose. Merde ! Elle savait... La salope l'a fait exprès. Elle me prend dans ses bras et ajoute en me regardant ... Nous sommes entre adultes... consentants, n'est-ce pas ? !,.. Viens ma chérie, je vais t'aider à te déshabiller et ranger ton bustier et ta jupe dans un carton... Es-tu contente de ta tenue ?....
— … Oui ! Que je murmure après un long silence. Elle est très belle... Et pour lui signifier que tout va bien je l'embrasse du bout des lèvres
— En tout cas elle t'a prouvé que tu es séduisante... et elle ajoute d'un ton victorieux, Jeune fille !
En retirant le bustier je retrouve mon sexe flasque dans son préservatif rempli de sperme, j'ai joui au moins deux fois. Je file aux toilettes, une fois bien propre, je m'habille et rentre à la maison après un rapide baiser à la corsetière
— Au revoir mon ''Bouton d'or''. On se retrouve samedi à la soirée de Germaine. Rentre bien ma chérie !
Quelques jours après ma soirée avec Irène et Claude, je retourne chez la corsetière chercher un ensemble que Germaine, ma logeuse, m'a commandée pour sa prochaine fête libertine où elle m'invite..
En milieu d'après-midi j'arrive devant l'immeuble cossu de la rue du Four dans le quartier de Saint Sulpice, sur la porte on peut lire "Élisabeth, corseterie anglaise – 3e étage". Je monte l'escalier, sonne, après un long moment la couturière me reçoit. C'est une femme d'une quarantaine d'années, mince et distinguée qui dans sa robe noire, boutonnée du cou au bas du genou me fait penser à une directrice de collège anglais. C'est la troisième fois que nous nous rencontrons, après l'achat d'un porte-jarretelles et la prise de mesures pour cet habit.
— Jane ! Excuse-moi pour l'attente. Entre ma chérie ! Elle m'embrasse du bout des lèvres. Ton corselet est prêt, si tu veux on va l'essayer, déshabille-toi, je reviens de suite.
Quand elle revient avec un bustier jaune d'or et une jupette orangée, je n'ai gardé que mes bas.
— Voilà ma chérie, Gigi m'a demandé que tu sois "Bouton d'or". Regarde le corset intègre un push-up qui en comprimant ta poitrine te donnera de vrais seins d'ado et la pointe semblable à celle de l'escrimeur cachera tes attributs... Laisse-toi faire que je te montre. »
Elle me met d'abord un drôle de serre-taille de satin noir qui s'accroche aux testicules et remonte tout le paquet sur le ventre puis elle enfile un préservatif sur Popol à titre de sécurité dit-elle. Inutile de dire qu'elle me fait bander comme un pauvre diable.
— Regarde maintenant, en ajustant la pointe du bustier sur ton pubis, ton sexe se plaque à ton ventre. Tu peux bander comme tu veux, rien n'apparaît, et vois comme c'est sexy, l'étirement de tes couilles te crée une fente très trompeuse en continuité de ton périnée.
Elle ajuste le corset, serre le lacet dans le dos au point de m'étouffer. Le bustier en place la transformation est impressionnante, outre que mon masculin a disparu, mon féminin est mis en évidence par la compression de ma taille et le développement de ma poitrine. Le haut du bustier remonte et recentre mes pectoraux et me formant deux petits seins posés sur des coussinets !
— Alors ma chérie comment te trouves-tu ?
— Waouh ! Incroyable ! De vrais seins d'ado...
— Et d'autant plus si tu libères les pointes ! (Pour ceux qui ne me connaissent pas, sachez que je pompe tous les jours mes tétons, les triture et les masse de crème hydratante de telle sorte qu'ils ont doublé de volume et s'apparentent à ceux d'une jeune fille.) Voyons voir la jupette, tu vois elle cache juste tes fesses et met en valeur tes jambes, tu les habilleras de bas vert tendre pour rappeler la tige de la fleur... Alors qu'en dis-tu ?
— Super... La fente produite par l'étirement des testicules et... mes seins, de vrais seins d'ado... C'est vrai, on s'y tromperait mais... Un homme se laisserait-il tromper ?
— Le plus simple Jane est de faire un essai, voir comment il réagit.
— ... Euh !!! Ouais... Et comment ?
— Écoute ma chérie, la vérité est que lorsque tu es arrivée j'étais avec un ami. C'est un homme de quarante cinq ans, il est à côté, dans la chambre. Euh... Il est très discret et m'est totalement dévoué, tu vois ce que je veux dire ? Si tu veux je te le présente et tu vois comment ça se passe !... Je te propose de garder l'anonymat et que vous soyez masqués tous les deux.
— Oui et alors ?
— Il aime le sexe sous toutes ses formes... Tu me comprends
— Et vous ?
— Moi ! Je regarderai... Si tu veux je t'accompagnerai.
— Oh oui s'il vous plaît, vous savez je suis un peu timide et pas très à l'aise.
— Bien ! Je vais le rejoindre, lui expliquer la situation et toi, mets cette perruque et ce loup et rejoins-nous dans quelques minutes.
En trois minutes avec une perruque et un loup noir je suis méconnaissable.
Je frappe et pousse la porte entrouverte.
— Entre Jane !
Je reste interdite devant le tableau. Les deux me font penser aux statues étrusques. Sur le lit, Élisabeth en robe, est allongée sur le côté, appuyée sur un coude et d'épais coussins ; derrière un homme, la tête couverte d'une cagoule trois trous de coton noir, se tient comme son ombre, la main sur l'épaule en protecteur. Il ne bouge pas, il est mince, quelques poils grisonnants sur la poitrine.
— Je te présente...(Après un temps de réflexion, elle ajoute) mon Soumis. Approche !
Ma jupe est si courte que j'ai l'impression de ne pas en avoir. Arrivée à côté du lit, Élisabeth allonge sa jambe et du bout de sa chaussure relève ma jupette :
— Qu'en dis-tu ?
— Oh Madame... Qu'elle est jeune ! A peine formée... Vous permettez ? Je connais cette voix mais suis incapable de l'associer à quelqu'un.
— Oui ! Tu peux.
— Merci Madame !!!
Cette voix "Madame" ! Cette relation de "Soumis" ! Quel est cet homme ??? Il se lève et vient lentement à mon côté, il est en boxer noir, plutôt bien foutu, pas très grand. Il me prend par l'épaule, me serre gentiment contre lui, son regard transperce sa cagoule et mon loup... Je crois reconnaître ces yeux. Il m'embrasse dans le cou, se penche sur moi, j'ai sa joue sur ma poitrine, il respire fort « Jane vous sentez très bon. » En même temps sa main passe entre mes cuisses, force le passage, le tranchant est sur mon ventre, le pouce passe sous la pointe de mon bustier, il découvre la supercherie en grognant. L'index glisse de ma fente au périnée et atteint mon petit trou à peine humide
— Hummm ! Jane vous êtes une coquine ! Bon dieu, cette voix... qui est-ce ?
Il me pousse vers le lit et me tient à moitié couchée. Nerveusement, il relève ma jupe, me caresse tendrement le postérieur, descend sur mes cuisses et remonte au creux de mon ventre. Il est tout contre moi, je sens son souffle, son doigt suit la raie des fesses, me titille l'anus, Instinctivement, j'écarte les pieds, creuse les reins, m'offre à lui, un deuxième doigt s'enfonce sans résistance dans mes chairs humides, il me doigte un peu et me donne une grande claque sur les fesses en bougonnant « Ah oui, t' aime ça, tes une petite salope ! »
La tout change. Il s'assied sur le lit et me tire brutalement à lui :
— SUCE ! crie-t-il en abaissant de moitié son boxer. Savoir si tu es une vraie salope ou juste un trou à bites.
L'envie l'emporte, peu m'importe qui est cet homme, à genoux devant lui, je dégage le sexe à moitié endormi, encore prisonnier du boxer. Mais quelle puanteur ! Le poil noir est parsemé de trace de mouille, la queue gluante est couverte de coulures en partie séchées, visiblement j'ai dérangé le couple sans qu'ils aient joui. Juste le fait de le désaper et de lui prendre la queue, l'homme à une érection d'enfer. La bite bien raide occupe ma main, d'un simple mouvement, je dégage le gland plein de mouille avec une collerette blanchâtre à sa base. Putain, c'est aussi dégueulasse qu'excitant. J'ai l'impression de me joindre au couple faisant l'amour, je gobe le gland d'un coup, suce, avale ce mélange de jute, gourmande ma langue tournicote autour de la pointe, cherchant encore des traces du coït interrompu.
Je joue de la flûte traversière sur l'urètre, je lèche les couilles parsemées de poils soyeux, j'avale plus de la moitié du pieu avec des « Buurp... Bluuurp ». La sensation de me joindre au couple devient réalité quand Élisabeth s'assoit près de son amant, elle me caresse le cou, les épaules, descend sur les seins, me tire un téton. Elle me relève,
— Jane !... Elle me regarde droit dans les yeux. T'es une sacrée bouffeuse de bites, fais-moi voir comment tu suces les chattes.
Elle déboutonne sa robe du bas en haut, dénude ses genoux, ses cuisses, son ventre glabre, sa poitrine aux nichons légèrement affaissés, pour la première fois je la vois nue, elle est presque maigre. Olivier lui laisse la place et je me trouve dans le ciseau de ses jambes face à son ventre lisse. Je retrouve la même odeur de sexe, les mêmes traces de jute, une vulve aux lèvres flasques et poisseuses d'une femme qui a vécu. A nouveau avec gourmandise je lape l'entrecuisse, suce la vulve, je retrouve ce goût acre de cyprine, je l'aspire jusqu'à l'avoir toute entière en bouche, ma langue la fouille, la nettoie, la lubrifie.
L'homme qui s'est mis à genoux à mon côté, me griffe le dos, instinctivement je creuse les reins. Il me flatte le derrière, souligne mes rondeurs, sépare les deux globes, je sens son nez, sa langue dans le vallon, il me lèche le cul, l'écarte encore. J'applique sur le ventre de la dame, les baisers de l'homme, ses coups de langue, ses suçons. Il m'inonde les fesses de bave et d'un coup me plante deux doigts. Le coquin me palpe le conduit, me touche la prostate, il sait y faire et rapidement il me fout le feu au ventre, je vais à sa rencontre d'un « Oh, oui » et lui d'ajouter « P'tite salope t'aime ça hein... ». Je sens sa verge battre contre ma cuisse.
Il se relève derrière moi, fait circuler son gland dans la raie des fesses jusqu'à la base des couilles, il remonte sur le périnée et le bloque sur mon petit trou. Bien en place l'homme me prend par les hanches et d'un violent coup de reins me pénètre en m'arrachant un grand "Aaaah" autant de surprise que de satisfaction. Il ne me laisse pas le temps de respirer qu'il s'enfonce jusqu'à avoir ses couilles sur mon périnée. Satisfait, lentement il commence à me labourer, sa queue glisse dans mon sphincter mais se porte à chaque fois sur mon point "G". Comme avant avec ses doigts rapidement je mouille, lui trop content de me faire miauler, encouragé par mes contractions... J'aime cette sensation de jouissance toute féminine en me laissant aller en gémissant. L'homme vibre avec moi,il se bloque au fond de mes entrailles quand j'éjacule en quatre, cinq longs soupirs.
— Alors Olivier, elle est bonne ?... Demande Élisabeth d'un ton railleur. Olivier !!! Je suis atterrée, anéantie... Cet homme est ... !
— Oh oui Madame, elle est bonne, chaude, humide...
— Et docile ?
— Certainement Madame.
Tout d'un coup, j'ai l'impression de me noyer, de manquer d'air, les paroles résonnent dans ma tête comme dans une bulle. Une grande claque sur la fesse me sort de mon abêtissement :
— Dis-moi salope, c'est ta chatte que je veux, pas un manchon inerte !
Cet homme me bouscule.... Je dépasse l'inacceptable, je suis consentente. De furie je redouble mon cunni sur cette chatte et machinalement renouvelle mes contractions sur cette bite. La femme m'enserre de ses pieds, l'homme se penche sur moi m'encercle de ses bas, sort mes seins du bustier. Nous surfons tous les trois sur la même vague de la démence, du plaisir. Je ne sens plus la brûlure de mes tétons, la violence des coups, la brutalité du sexe. Je les entends
— Elle me suce comme une tribade. Regarde-la...
— Elle baise comme une catin ! Écoutez-la jouir...
Il continue à me pistonner, je sens le membre vibrer, puis un coup plus puissant me projette sur le ventre d’Élisabeth. Il s'affale sur moi, je me couche sur elle.
Longtemps après, il se relève, elle me repousse, je sors et file à la salle de bains...
Le temps des ablutions je retrouve Élisabeth dans le salon où nous avons fait l'essayage.
— Ça va Jane ?
— ... Oui !
— Je te sens inquiète... Olivier ?... Sois tranquille, c'est une tombe et tu es restée incognito. Dans ma tête j'explose. Merde ! Elle savait... La salope l'a fait exprès. Elle me prend dans ses bras et ajoute en me regardant ... Nous sommes entre adultes... consentants, n'est-ce pas ? !,.. Viens ma chérie, je vais t'aider à te déshabiller et ranger ton bustier et ta jupe dans un carton... Es-tu contente de ta tenue ?....
— … Oui ! Que je murmure après un long silence. Elle est très belle... Et pour lui signifier que tout va bien je l'embrasse du bout des lèvres
— En tout cas elle t'a prouvé que tu es séduisante... et elle ajoute d'un ton victorieux, Jeune fille !
En retirant le bustier je retrouve mon sexe flasque dans son préservatif rempli de sperme, j'ai joui au moins deux fois. Je file aux toilettes, une fois bien propre, je m'habille et rentre à la maison après un rapide baiser à la corsetière
— Au revoir mon ''Bouton d'or''. On se retrouve samedi à la soirée de Germaine. Rentre bien ma chérie !
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