Etre étudiant et libertine 5 - Fêter le printemps.

- Par l'auteur HDS John62 -
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Récit libertin : Etre étudiant et libertine 5 - Fêter le printemps. Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2025 dans la catégorie Plus on est
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Etre étudiant et libertine 5 - Fêter le printemps.
'' Venez biner, bêcher, arroser vos fleurs. Venez fêter le printemps, samedi 20 heures ''

Le jour dit, à mon habitude, je me prépare. Tout d'abord, chez le coiffeur qui après une décoloration me couvre les cheveux d'un gel doré puis chez l'esthéticienne pour une épilation intégrale, une manucure et un maquillage très léger fait de fards et de gloss dorés qui me descend jusqu'à la poitrine. J'en sors jeune fille... toute heureuse, toute printanière.

Parfumée, habillée du bustier jaune et de la jupette orangée (confectionnés par Élisabeth, lire ou relire "Une rencontre surprise") de mes bas autofixants vert d'eau (plus pratiques que les jarretelles avec cette mini-jupe) et de mes escarpins vert sapin, derniers cadeaux de ma logeuse, je suis "Bouton d'or" je vais retrouver Germaine, ma logeuse.

En milieu d'après midi, je file à l'étage du dessous, Gigi est costumée en Marguerite et Bernard habillé en jardinier.
Le salon a été réaménagé, les meubles écartés sur les côtés, avec une grande table le long d'un mur pour recevoir le buffet, les trois canapés et des petites tables forment un U au centre duquel, pend du plafond une double corde, je n'avais jamais remarqué l'anneau de fixation. Exit les tapis d'orient remplacés par d'épais tapis de laine devant chaque fauteuil . Il y a aussi face aux canapés une table très particulière. Elle est bombée, en cuir rouge, pas très large avec une encoche arrondie de 20 centimètres sur un côté et un anneau d'acier à chaque pied.

En cuisine je rencontre Aziz, un jeune africain habillé seulement d'un boxer. Nous sympathisons tout de suite en préparant l'apéritif et disposant les plats. J'apprends que c'est un étudiant en médecine, ami intime de longue date du couple à qui il offre, comme moi, quelques services privés. On s'amuse beaucoup des réunions passées, le temps passe vite. Bien plus tard Germaine nous appelle :

— Mes chéris ! Il va être 20 heures, nos invités vont arriver. Tout est prêt ?
— Oui m'dam ! Le champ' et les p'tits fours sont prêts. Le traiteur est passé et tout est sur les plats.
— C'est parfait mes chéris. Aziz tu installeras le buffet pendant l'apéritif et feras le service durant le repas, Jane restera avec nous.
— Oui m'dam !
— T'inquiète, elle saura te remercier après.

Je mets mon loup de soie doré en harmonie à ma coiffure et mon maquillage. Face au miroir, je me vois de la tête aux pieds, si belle avec mes seins de fillette dénudés, mes jambes ressortant immensément longues sous cette jupette... Un vrai bouton d'or qui ne demande qu'à être cueilli !

Ding-Dong !
— Allez Aziz, bon courage !

Le premier couple à arriver est Emma et Eric, des amis biens connus de soirées libertines.
Eric semble un bûcheron avec sa hache, son tablier de cuir et son bleu de travail, elle, est comme un bleuet, maquillée et coiffée de reflets bleutés, habillée d'une magnifique robe bleu roi en dentelle, elle a simplement oublié de mettre la doublure et se montre pratiquement nue.
Ils ne me reconnaissent pas immédiatement, puis elle, après quelques doutes, vient vers moi

— Jane ?... Je réponds d'un petit sourire... Tes cheveux dorés ! Tes p'tits seins, tes jambes si longues... Tu es ravissante ! Et elle m'embrasse du bout des lèvres.

Puis arrive Élisabeth, ma corsetière, accompagnée d'une "Personne mystère". Les deux sont habillés à l'identique de rouge et de noir, elle d'une robe écarlate qui ne cache rien de ses formes et d'un bonnet noir qui lui descend dans le cou, l'autre, tenue par une chaîne, porte une cape qui lui couvre les pieds, du même tissus et une cagoule noire qui ne laisse voir que les yeux et la bouche.
Après avoir salué les autres convives, elle vient seule m'embrasser. Avec beaucoup de discrétion elle passe la main sous ma jupette et trouve mon entrejambe asexué :

— Tu es ravissante ainsi Jane, j'aime beaucoup ton maquillage et tes cheveux d'or.
— Merci... Que je réponds un peu inquiète. C'est Olivier qui t'accompagne ?
— Chutt ! Bien sûr... Qui veux-tu d'autre ?.
— ... Je blêmis, c'est l'homme que j'ai rencontré chez elle ! Ainsi, père et fils, réunis à la même soirée, sans que lui ne sache qui je suis.

Nous voilà tous les huit debout à nous congratuler ; Aziz sert le champagne, on trinque, on porte un toast à la maîtresse de maison.
Tout de suite les hommes se montrent coquins. Eric me serre contre lui, il respire à pleins poumons mon parfum et me met la main direct aux fesses « Jane, tu es divine et... déjà toute mouillée. » alors que Bernard taquine sa femme et nous montre combien il est facile de la déshabiller en arrachant les voiles blancs fixés à sa brassière brodée jaune, semblables aux pétales de la marguerite. Quand elle échappe à l'un c'est Emma qui lui arrache un voile puis Élisabeth un autre. Peu à peu le sol se jonche de pétales mais la maîtresse de maison en garde assez pour rester descente. L'ambiance s'échauffe rapidement

On s'installe dans les canapés ce qui n'empêche de batifoler. Assis face à Germaine, Eric et Bertrand je suis entre Élisabeth avec la "Personne mystère" à ses pieds et Emma qui n'a d'yeux que pour ma poitrine. 

— Incroyable tes p'tits seins ! En même temps sa main remonte ma jupette orangée jusqu'à l'entrejambe. Oh !!! Mais tu t'es faite excisée ? Dit-elle sur le ton de la plaisanterie.
— Non t'inquiète ! Répond Élisabeth en éclatant de rire. Il est bien rangé et elle m'embrasse du bout des lèvres

Aziz poursuit son service en nous présentant des plateaux chargés de petits toasts au foie gras, œufs de saumons et bien d'autres amuse-gueules délicieuses. On parle, on boit, on rit, heureux de se retrouver. Le black remplit régulièrement les verres. Les rires éclatent de toutes parts, les gloussements se mélangent aux reproches, le brouhaha s'amplifie comme si le nombre d'invités se multipliait.
C'est alors que le jardinier et le bûcheron trépignent des pieds et réclament à hauts cris une présentation de mode. Alors toutes les cinq, les Coquelicots, la Marguerite, le Bleuet et Bouton d'Or défilons. En marchant la "Personne mystère" dévoile sa vraie nature, un homme nu sous une cape. La chaîne par laquelle il est tenu s'accroche à un gros anneau d'acier fixé à son sexe et d'où partent deux autres chaînettes reliées à ses tétons. Alors Élisabeth nous présente la personne mystère « Voici "O", mon ami, mon Soumis, je vous le laisse, il est à votre disposition. »

On nous applaudit, on s'applaudit et on vote au milieu du tumulte et des fous-rires... Finalement je suis avec Germaine retenue comme la plus belle fleur du soir.

On continue de s'esclaffer, de boire, on commence à se caresser, se cajoler. Au milieu de nous Aziz sert avec beaucoup de style. Tout en le félicitant Germaine le retient, lui caresse la cuisse à quoi il se prête volontiers jusqu'à ce que la caresse devienne indécente et lui de répondre «  A votre service m'dam ! »
Comme par magie, l'intensité lumineuse diminue et les slows remplacent le fond de musique classique. La maîtresse de maison, tout en retenant Aziz, nous invite à danser en lançant :

— Au choix des dames ! Elle se lève au bras d'Aziz, le black à moitié nu la plaque contre lui et elle s'arrime à son cou comme deux amants.

Sans réfléchir, je prends par la main à ma portée... Celle d'Olivier. Il est déjà trop tard, il m'enserre dans ses bras :

— Merci Bouton d'or de me choisir,... T'es un beau brin d' fille ! Il m'entoure gentiment par la taille et commence à danser avec beaucoup d'élégance, ce qui me rassure et lui chantonne
— Et vous un Gentil coqu'licot nouveau.
— Gentil coqu'licot madame... Et là il me plaque contre lui, je sens son sexe se dresser sur mes cuisses et sa main passer sous ma jupe.
— Un rossignol me dit, que les hommes ne valent rien. Que je chante sur le même air
— Et les garçons encor bien moins

On rigole tous les deux quand il me donne un petit coup de fesse dans le ventre. Curieux comme cet échange me détend, me fait oublier la personne qui me tient dans ses bras et je m'abandonne à la luxure. Il est nu contre moi, sa cape rejetée sur ses épaules, les pinces de ses tétons me griffent les seins. Son sexe se dresse entre mes cuisses, je tente de m'en dégager mais l'homme m'en empêche « Non, je suis beaucoup mieux ainsi. »

Il s'impose, seul lui bouge, je sens sa verge glisser sur mon périnée Toujours fermement tenue contre lui, sa main me pelote délibérément les fesses, un doigt descend sur la raie jusqu'à pointer le petit trou. Excitée je lui facilite l'accès en cambrant les reins. « Tu sais, j'aime bien les filles de ton genre. »

C'est vrai qu'il me fait beaucoup d'effet tout en roulant sa bille entre mes cuisses. Autour de nous, on danse mais on est seuls au monde, lui continue son coït comme si de rien n'était. On arriverait presque à jouir, entre son doigt et mes cuisses, heureusement Germaine annonce que le buffet est servi. Élisabeth me jette un œil noir et grogne entre ses dents « Toi, tu ne perds rien pour attendre ! »

La table est dressée avec un somptueux buffet de pâtés, de poissons, viandes et salades, la luxure n'exclut pas la gourmandise. Chacun se sert, mange, plaisante.
Le buffet est délicieux. On va et vient on change de place et de partenaire par la même occasion, on parle, on picore, on se câline.

Les deux coquelicots discutent quand l'un tire l'autre au centre de la pièce, lui défait l'agrafe qui retient l'habit au cou. La cape glisse des épaules et s'écrase au sol. L'homme est enchaîné, nu, le poil grisonnant, seule la tête couverte de sa cagoule. Elle attache les poignets dans des bracelets au-dessus de la tête et tire sur la corde fixée au plafond jusqu'à le mettre sur la pointe des pieds et l'abandonne en exultant « Mes amis le dessert est servi !!! ».

Il est suspendu, tourne sur lui-même, au centre de ses fesses on voit un énorme cristal rouge, un rosebud en acier. Je reste bouche-bée devant le spectacle, déjà trois invités s'occupent de lui.

Germaine vient vers moi :
— Alors ma chérie, tu n'es plus intéressée par ton ''gentil coqu'licot'' ?
— Gigi ! Que je peste, offusquée.
— T'inquiète pas ma chérie, nous sommes entre adultes et avec Lise les seules à savoir... Sache que c'est un sacré fêtard... Et ça le libère de l'emprise familiale ! Et toi continue à dépasser les règles du soit-disant correct, ton cousin t'a dépucelée, t'as baisé avec ta tante et Lise m'a dit que vous avez pris du bon temps ensemble...
— Oui ! Mais sans le savoir...
— Oui, et alors ?... T'as pas aimé ? Lui beaucoup !... Allez, Carpe diem ma chérie !.... Et elle me conduit jusqu'à lui

La situation est invraisemblable. Olivier debout, les mains attachées au dessus de lui, est penché à 45°, Eric lui pelote les fesses quand Emma se fait sucer les nichons, les deux jubilent en me voyant «  Ouais Jane, viens le sucer ! »

A nouveau l'excitation se mêle à la colère et l'emporte, je m'assois face à Olivier, telle une chienne, les mains au sol. Il bande dur, tenu à l'arrière par les couilles, je le gobe, l'avale et le suce, le presse légèrement entre mes dents, de la pointe de la langue je titille le méat, excite le frein du prépuce... je lui fais une fellation comme probablement peu de fois on lui a fait

Germaine me caresse la nuque elle me murmure à l'oreille « C'est bon, hein ?... T'aime ça ?... Viens on va passer à d'autres jeux » avant de déclarer aux autres
— Mes amis, pour accompagner votre dessert, Jane va nous offrir un petit spectacle.

Les lumières s'éteignent, deux faisceaux lumineux éclairent le centre de la pièce occupé par Olivier et la table de cuir rouge sur le côté vers laquelle on me conduit, Bernard nous y attend. En une seconde ma jupe tombe et je comprends l'usage de la table de cuir rouge. 
On m'allonge dessus, je suis couchée sur ce dos d'âne, les chevilles et les poignets attachés aux pieds et ma tête dans l'orifice latéral. J'imagine l'indécence de ma position, perchée sur mes escarpins, cuisses ouvertes, découvrant mon intimité asexuée : un trou et rien d'autre. Germaine me caresse tendrement « T'as la peau douce, un joli p'tit cul... tu mouilles, P'tite cochonne ! » et elle me donne une tape suivie d'une caresse.

A côté, Olivier est suspendu par les bras, Eric et Emma ont cédé la place à Élisabeth qui joue du martinet. Les lanières fouettent le corps étiré, alors que les deux dialoguent « Je t'avais prévenu ? « Oui madame ! « Tu le mérites ? « Oui madame ! « Et la petite aussi ? « Oui madame !
Comme pour faire voir le résultat du martinet, Lise fait tourner le flagellé sur lui-même. Punaise il a les fesses presque aussi rouges que le cristal qui orne son cul, et le martinet reprend sa danse sur les cuisses et le torse d'Olivier

Germaine ne cesse de me donner des petites tapes très gentilles, très coquines. Par contre je suis terrifiée voyant Élisabeth venir vers moi, le martinet en main... « Je t'avais dit que tu ne perdais rien à attendre. »
La tête enfoncée dans la table, les yeux fermés, je suspends ma respiration. J'entends le martinet tourbillonner au dessus de moi, les lanières me frôlent, me caressent les fesses, passent de l'une à l'autre. Les frappes se rapprochent, se font mieux sentir, s'accélèrent, deviennent plus violentes, commencent à chauffer, ça me brûle et là le martinet s'abat brutalement sur chaque globe, deux coups sec, puis le martinet virevolte de nouveau, balaie mes fesses comme des lames de rasoir et frappe de nouveau les cuisses, de manière précise entre les fesses, les coups s'inversent portent au creux de mes fesses, je me surprend à creuser les reins, je reçois alors deux coups sur le périnée et l'anus qui me font crier et me laisse pantois. Tout s'arrête, Lise s'éloigne. J'ai le souffle court, les fesses me brûlent, je suis écrasée sur la table, le ventre et la poitrine soudés à la table.

Lentement je reprends ma respiration, on me caresse les fesses, la main est douce, me semble fraîche, elle glisse sous la pointe du corset pour atteindre la base de mon sexe,

— Bravo ma chérie, c'est Germaine qui me caresse, je te laisse maintenant à d'autres plaisirs, à tout à l'heure !

Immédiatement je sens qu'on m'écarte le cul, une bouche, une langue lèche mes fesses brûlantes, se pose sur mon petit trou. La feuille de rose me procure du bien-être, la bave coule sur le périnée, mes réactions encouragent l'inconnu à aller plus loin.

C'est un homme, je sens son sexe sur mon œillet, ses mains sur mes hanches, il me pénètre, pousse lentement, mon anneau se dilate, s'ouvre, l'avale. Il défonce mon fourreau, je sens ses couilles frapper mon périnée, une sensation toute nouvelle, jusqu'à présent c'était mes bourses qui recevaient ces coups. Sans prêter attention à mes râles, je ne suis finalement qu'un trou à bites, il me laboure et décharge rapidement, ses spasmes à peine terminés qu'il se retire.

Tout de suite je sens deux paluches écarter mes fesses au plus près de l'anus « Ouais tu l'as bien graissée » J'entends, c'est le black qui s'occupe de moi. Il me fout deux doigts dans le cul presque aussi gros que la bite qui vient de décharger puis rapidement ce sont trois doigts qui travaillent la rondelle « Ouais t'es bien souple, bien mouillée, ça va aller tout seul ». Il est contre moi, son gland fixé sur mon petit trou, ses mains me prennent les hanches en étau. Il presse, je pousse, il force, la pointe transperce mes chairs et d'un coup j'ai tout le morceau en moi, j'ai l'impression d'éclater

— Putain t'es une bonne pâte, toi... Serais-tu habituée au bois d'ébène, hein ? Et là c'est le braquemart qui me pourfend le sphincter

Lentement Aziz me façonne le conduit, son gourdin coulisse lentement, de mieux en mieux. Il tape le fond et force encore, mon ventre se contracte. Le black déchaîné, donne alors un coup de reins, démolit tout au passage, ses grosses burnes frappent le périnée,
— OH Yesssss.

L'homme va et vient, il est énorme je sens sa queue limer ma prostate, pénétrer mes intestins, je libère un flot de mouille dans un clapotis incessant.
Avachi sur le billot, je vois au sol des pieds, je découvre des jambes nues, un sexe la tête basse, luisant de mouille, Bernard !. Il me prend par le menton, me regarde goguenard « Suce ! » me dit-il tout en posant son gland sur mes lèvres. Le salaud vient de baiser, le sperme goutte encore du méat, il me violente un peu en reprenant de la tonicité et tout de suite me baise la bouche.
Je suis prise par les deux à la fois, tenue par les oreilles et les hanches.
C'est incroyable, mes fesses labourée, mon ventre noyé de mouille, ma bouche réceptacle, je vomis toute la bave de mon corps. Un coup de trop, je repousse brutalement Bernard à deux mains alors que je jouis sans bruit, la queue écrasée sur mon ventre. Aziz se bloque au fond de moi, je le sens se contracter à trois, quatre reprises. Il reste longtemps couché sur mon dos, je sens sa respiration, j'ai l'impression qu'il ne débande pas. Les deux me quittent prêts à foutre de nouveau ailleurs.

Les avis des lecteurs

Très content à bientôt sur d'autres chapitres

Histoire Libertine
Jai bien aimée



Texte coquin : Etre étudiant et libertine 5 - Fêter le printemps.
Histoire sexe : Une rose rouge
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