Etre étudiant et libertine 6 - Fêter le printemps (fin)

Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Etre étudiant et libertine 6 - Fêter le printemps (fin)
Pour fêter le printemps, Germaine, ma logeuse, organise chez elle une soirée libertine
'' Venez biner, bêcher, arroser vos fleurs...''
Au milieu de la nuit, je suis à moitié nue, affalée sur une table en dos d'âne, les quatre membres attachés à ses pieds et la tête en bas. Après avoir été abusée à plusieurs reprises, je suis brisée.
Lentement je reprends mon souffle, les yeux fermés, je me repose, bercée par "Les quatre saisons" de Vivaldi. Autour de moi on parle, j'entends aussi des claques, des gémissements... Mon voisin n'en a pas fini, je repense à la correction qu'on ma infligée et à ces hommes qui m'ont prise, j'ai encore leur goût en bouche, j'ai mes fesses brûlantes, mes cuisses poisseuses.
Je sens une main sur ma peau nue, une respiration, un baiser dans mon cou. Je trouve le courage de relever la tête. C'est Élisabeth, elle s'accroupit, se met à ma hauteur, elle me sourit avec compassion et m'embrasse sur les lèvres.
— Ça va ma chérie ?... Tu as été magnifique !... Attends,, je vais te détacher. Elle défait les bracelets de mes chevilles et poignets et m'aide à me relever. Je m'appuie à la table pour me mettre debout et avec beaucoup d'attention elle me soutient...Tu t'es faite sacrément démonter... Tu en as plein partout même tes lèvres ont le goût du sexe. Viens je vais te laver.
On traverse le salon, au centre de la pièce il y a Olivier toujours attaché, assis sur ses talons, le martinet abandonné à son côté. Le bas de sa cagoule est souillé, son torse et ses genoux sont couverts de gouttes blanchâtres et de coulures visqueuses, il y a de tout, de la salive, du sperme, de la sueur. Il semble épuisé, visiblement il s'en est pris autant que moi.
Sur les canapés qui nous entourent, ce n'est qu'orgie, Emma chevauche les cuisses du black alors que Germaine est prise en double par Eric et Bernard.
Arrivée dans la salle de bains face au miroir, Lise abandonne d'un geste sa robe. Pour la première fois je la vois entièrement nue, elle est un peu plus grande que moi, a un corps longiligne, des petits seins légèrement affaissés, le ventre glabre, les hanches marquées par les os du bassin. Elle se place derrière moi, sa tête au creux de mon épaule, nos regards se rencontrent dans le miroir. Elle dégrafe le bustier qui laisse une profonde empreinte dans mes chairs, elle me caresse la poitrine, les hanches, souligne mes courbes androgynes puis défait le drôle de serre-taille qui tire mon sexe sur le ventre. Je revis avec tout mon matériel en place
— Mon cochon, s'exclame-t-elle, t'as juté comme pas possible et tu bandes encore !!!
— L'avantage de la jeunesse... Que je réponds en me moquant, retirant le préservatif souillé.
Je vais pour le jeter quand elle me l'arrache des mains et le vide avec délectation dans sa bouche. Les joues gonflées, sur le point d'éclater de rire, elle me prend dans ses bras et me roule une gamelle comme jamais je n'en ai eue. Le sperme passe de sa bouche à la mienne, envahit les deux, peu à peu il est avalé et on se sépare d'un éclat de rire en se léchant les babines.
— Allez, lave ton cul salope !!!
Alors que je m'assieds sur le bidet, elle s'assoit sur la toilette « Excuse-moi mais j'ai une envie pressante » et elle commence à pisser face à moi, cuisses ouvertes, une liberté, un échange que probablement peu de couples se permettent.
On se regarde, tous les deux dans nos ablutions. Moi les doigts dans mes chairs cotonneuses barbotant dans le sperme, elle se titillant frénétiquement la pissette. Son jet d'urine est bref, puissant et s'arrête d'un coup, elle me regarde me laver et lorsque je me relève, d'un doigt elle me fait signe d'approcher, de l'autre elle étire son clito et dégage son méat. Arrivé à sa portée elle me prend la main et la place sous son ventre. A ma surprise l'urine jaillit de nouveau. Le jet est dru et chaud... Pour moi c'est une première, j'approche ma main jusqu'à avoir mes doigts sur sa vulve et que la miction frappe la paume, elle faiblit et se termine en gouttelettes. Elle m'embrasse du bout des lèvres, puis se relève en me demandant d'un air canaille, de la lécher.
Sans réfléchir je pose mes lèvres sur son sexe. Elle tire de nouveau sur son clito, le décalotte en le redressant, je le suçote, passe la langue alternativement sur la tige et le méat. Elle maintient ma tête de sa main et se libère d'un petit jet d'urine que je reçois en direct et avale sans réagir, trop surpris. Elle éclate de rire et m'aide à me mettre debout, m'embrasse tendrement en retrouvant dans ma bouche le goût de sa miction. « Hummm, j'adore ces privautés... ». Toute heureuse elle retouche un peu nos maquillages, je remets de l'ordre dans mes cheveux puis ajuste mon masque.
Tous les deux, ravis de ce moment d'intimité, regagnons le salon où nous retrouvons les convives. Une musique symphonique crée une ambiance très feutrée dans ce salon bon chic, bon genre malgré les désordres dans les habillements. Germaine discutent avec Eric et Bernard, Emma est avec Olivier à ses genoux, elle nous fait signe de la rejoindre.
Au milieu de la nuit, il est bon de faire une petite pause, les lumières s'allument. Aziz réapparaît de la cuisine chargé de plateaux de sandwichs, de salade de fruits et de mignardises puis il nous sert des boissons et du café
On parle beaucoup, on félicite les organisateurs de la soirée, on félicite également Élisabeth pour sa maîtrise du martinet et sa créativité quant aux costume de la Marguerite et du Bouton d'Or, on remercie Aziz pour son service...
Peu à peu les bavardages se font murmures, les rigolades deviennent gémissements, la lumière redevient tamisée, la musique devient bruit de fond. Les couples s'embrassent, se câlinent. On danse un peu, on passe de partenaire en partenaire.
Bernard entraîne Élisabeth sur un canapé. Germaine a fait son choix avec Eric et Aziz
Je reste avec Emma et Olivier. A l'exemple des autres, on s'allonge sur le tapis de laine épais et plutôt confortable. Des trois je suis le seul à savoir qu'elle va se partager avec le père et le fils... Mais entre adultes, c'est aussi immoral qu'excitant. Malgré l'heure tardive, malgré la fatigue, malgré les excès de la nuit, nos yeux brillent de désir, nos lèvres enflammées ont soif de l'autre. On s'enlace, on se presse, on se caresse, on roule tous les trois ensemble, les corps en sueur glissent les uns sur les autres, les jambes s'entrecroisent, on se frotte à l'autre, je n'ai pas assez de deux mains, d'une seule bouche. On sent la transpiration, on a le goût du sexe, on baigne dans la luxure
Emma s'allonge et se partage entre nous deux, je m'attache à ses jambes tandis qu'Olivier se porte à sa tête. J'embrasse ses pieds manucurés, lèche et suce chaque orteil, caresse la plante et masse le talon puis je remonte sur le mollet, le creux du genou et me trouve déjà à la fourche de ses jambes. Son duvet blond embaume la sueur et la jouissance, son sexe porte encore les traces de son union avec Aziz. Je revois son image de femelle accouplée, sa danse obscène sur le corps d'ébène, j'entends ses miaulements et ses grondements, j'ai sur la langue le goût de sa jouissance mêlée à la semence du mâle.
Je la veux maintenant, je veux me l'approprier, marquer mon territoire. Je la bouscule, repousse son autre amant, la tire sur moi. Animée de la même soif à se retrouver, elle m'enjambe et s'emmanche sur mon pieu « Mmmm Ouiiii... »
Son gémissement s'éteint sur mes lèvres. Après quelques ondulations collés l'un à l'autre, elles se redresse sur ses genoux, commence à danser, monte et descends, je la tiens par dessous les seins, Olivier me caresse les jambes, arrive à la jonction des cuisses, continue probablement en câlinant la jeune femme qui miaule de plaisir.
Elle s'immobilise et creuse les reins. Olivier se place entre mes cuisses, je vois au dessus de la fille la cagoule noire souillée... La coquine se couche sur moi, s'offre aux deux. Je sens contre ma queue, l'autre verge... Ça y est, il la sodomise, putain il est gros, il la pénètre lentement, patient il attend que les chairs se modèlent. C'est elle qui d'un « Oh ouiiiiii » se met à bouger à peine. Tel que je suis écrasé, je laisse faire les deux et je sens l'autre se mettre à la manœuvre. Elle aussi se laisse bercer, elle ronronne au rythme des coups de boutoir dans les fesses. Sa tête plongée dans mon cou, elle ne cesse de susurrer des insanités
L'homme en appui sur ses mains et ses genoux, nous bouscule. La fine paroi qui me sépare de lui semble avoir disparu, j'oublie tout, je ne pense qu'au présent, sa verge coulisse sur la mienne, je ressens les spasmes... Elle se soulève un peu, le bloque dans ses intestins « Doucement, doucement, chéri... Pas tout de suite... Viens dans ma chatte. » Les deux ensemble dans son con !!! Je n'y pensais même pas.
C'est elle-même qui se déboîte, qui d'une main prend nos deux queues, les positionne. Ensemble, nous la pénétrons. Les deux pairs de jambes s'allongent entre les miennes, je les enserre de mes pieds. Emma est sur mes lèvres, elle s'appuie sur ses coudes, ses mains dans mes cheveux, Olivier se soulève en appui sur ses bras, seuls nos bassins s'animent, les deux sexes dans le même fourreau n'en forment qu'un.
La tension monte entre nous trois, peu à peu mon entrejambe baigne dans la sueur, se couvre de sécrétions. Emma s'agite, sa tête part de gauche à droite, ses miaulements s'enflamment, deviennent rageur, son bassin se déchaîne, elle s'en prend à mes cheveux. Elle a orgasme sur orgasme, un coup de reins plus puissant d'Olivier entraîne une réaction incontrôlée d'Emma et ses mains sur mes oreilles arrachent mon masque...
Olivier me découvre. Son cri strident « DJO !!! » se perd dans un souffle « Toaaaaaaaa.... » alors qu'il jouit que je sens son sperme inonder le vagin.
Quelle horreur !!!... Je suis découvert, pris en faute comme un sale petit vicieux, comme l'enfant regardant des femmes à poil, pire un film porno, pire encore participant à un film porno !... Tout va très vite dans ma tête, je rage et... Je renverse les tords. Quel mal à 22 ans de participer à une soirée libertine ? Moins en tous cas que de voir son père forniquer en groupe et tromper sa mère...
Il me fixe du regard, qu'elles sont ses pensées ? Son corps se crispe comme brûlé quand dans l'action je donne encore trois, quatre coups de reins, avant de jouir longuement contre lui. Il me sent vibrer, je le sens encore bien dur dans le ventre de cette femme, je voudrais maintenant fuir mais ne peux rien faire. Sa verge secouée une dernière fois d'un spasme répond à ma jouissance.
Il me sourit diaboliquement, écarte doucement Emma sur le côté. En appui sur ses bras, il me regarde nu comme un prédateur, m'embrasse la poitrine, me tète doucement, fait grossir le téton puis le mordille. Il se redresse, semble satisfait, il n'y a pas de cri, pas de réaction. Maître de lui, il se place tête-bêche sur moi, ses coudes écartent mes cuisses, il embrasse mon ventre lisse, me prend le sexe, le manipule, malaxe les testicules, et le suce. Pris dans la fourche de ses cuisses, j'ai son pubis au poil noir au dessus de mon visage, sa verge en partie couverte de mouille pend vers moi, elle a perdue de la vigueur mais reste encore bien épaisse ? C'est lui qui me pose son gland rougeaud sur la bouche, il file entre mes lèvres, traverse mes dents, j'ai le goût du sperme.
Toute retenue est abandonnée. Je le prends par les fesses, j'aspire, j'avale la moitié du membre, je le suce, lui fais une gorge profonde. Il va et vient, me baise la bouche.
Horreur ???... En fin de compte qu'y a-t-il de mal à faire l'amour entre adultes consentants ?
Notre 69 se poursuit sous les yeux d'Emma. Je reprends un peu de vigueur et lui abandonne quelques gouttes de sperme tirées du fond de mon ventre. Lui ne me donne rien, fatigué il perd toute virilité et se retourne.
Sans un mot, il se lève, je vois son dos marqué par les lanières du martinet. Sans nous regarder il rejoint Élisabeth déjà rhabillée, elle lui met sa cape, le jour se lève, la fête est finie.
'' Venez biner, bêcher, arroser vos fleurs...''
Au milieu de la nuit, je suis à moitié nue, affalée sur une table en dos d'âne, les quatre membres attachés à ses pieds et la tête en bas. Après avoir été abusée à plusieurs reprises, je suis brisée.
Lentement je reprends mon souffle, les yeux fermés, je me repose, bercée par "Les quatre saisons" de Vivaldi. Autour de moi on parle, j'entends aussi des claques, des gémissements... Mon voisin n'en a pas fini, je repense à la correction qu'on ma infligée et à ces hommes qui m'ont prise, j'ai encore leur goût en bouche, j'ai mes fesses brûlantes, mes cuisses poisseuses.
Je sens une main sur ma peau nue, une respiration, un baiser dans mon cou. Je trouve le courage de relever la tête. C'est Élisabeth, elle s'accroupit, se met à ma hauteur, elle me sourit avec compassion et m'embrasse sur les lèvres.
— Ça va ma chérie ?... Tu as été magnifique !... Attends,, je vais te détacher. Elle défait les bracelets de mes chevilles et poignets et m'aide à me relever. Je m'appuie à la table pour me mettre debout et avec beaucoup d'attention elle me soutient...Tu t'es faite sacrément démonter... Tu en as plein partout même tes lèvres ont le goût du sexe. Viens je vais te laver.
On traverse le salon, au centre de la pièce il y a Olivier toujours attaché, assis sur ses talons, le martinet abandonné à son côté. Le bas de sa cagoule est souillé, son torse et ses genoux sont couverts de gouttes blanchâtres et de coulures visqueuses, il y a de tout, de la salive, du sperme, de la sueur. Il semble épuisé, visiblement il s'en est pris autant que moi.
Sur les canapés qui nous entourent, ce n'est qu'orgie, Emma chevauche les cuisses du black alors que Germaine est prise en double par Eric et Bernard.
Arrivée dans la salle de bains face au miroir, Lise abandonne d'un geste sa robe. Pour la première fois je la vois entièrement nue, elle est un peu plus grande que moi, a un corps longiligne, des petits seins légèrement affaissés, le ventre glabre, les hanches marquées par les os du bassin. Elle se place derrière moi, sa tête au creux de mon épaule, nos regards se rencontrent dans le miroir. Elle dégrafe le bustier qui laisse une profonde empreinte dans mes chairs, elle me caresse la poitrine, les hanches, souligne mes courbes androgynes puis défait le drôle de serre-taille qui tire mon sexe sur le ventre. Je revis avec tout mon matériel en place
— Mon cochon, s'exclame-t-elle, t'as juté comme pas possible et tu bandes encore !!!
— L'avantage de la jeunesse... Que je réponds en me moquant, retirant le préservatif souillé.
Je vais pour le jeter quand elle me l'arrache des mains et le vide avec délectation dans sa bouche. Les joues gonflées, sur le point d'éclater de rire, elle me prend dans ses bras et me roule une gamelle comme jamais je n'en ai eue. Le sperme passe de sa bouche à la mienne, envahit les deux, peu à peu il est avalé et on se sépare d'un éclat de rire en se léchant les babines.
— Allez, lave ton cul salope !!!
Alors que je m'assieds sur le bidet, elle s'assoit sur la toilette « Excuse-moi mais j'ai une envie pressante » et elle commence à pisser face à moi, cuisses ouvertes, une liberté, un échange que probablement peu de couples se permettent.
On se regarde, tous les deux dans nos ablutions. Moi les doigts dans mes chairs cotonneuses barbotant dans le sperme, elle se titillant frénétiquement la pissette. Son jet d'urine est bref, puissant et s'arrête d'un coup, elle me regarde me laver et lorsque je me relève, d'un doigt elle me fait signe d'approcher, de l'autre elle étire son clito et dégage son méat. Arrivé à sa portée elle me prend la main et la place sous son ventre. A ma surprise l'urine jaillit de nouveau. Le jet est dru et chaud... Pour moi c'est une première, j'approche ma main jusqu'à avoir mes doigts sur sa vulve et que la miction frappe la paume, elle faiblit et se termine en gouttelettes. Elle m'embrasse du bout des lèvres, puis se relève en me demandant d'un air canaille, de la lécher.
Sans réfléchir je pose mes lèvres sur son sexe. Elle tire de nouveau sur son clito, le décalotte en le redressant, je le suçote, passe la langue alternativement sur la tige et le méat. Elle maintient ma tête de sa main et se libère d'un petit jet d'urine que je reçois en direct et avale sans réagir, trop surpris. Elle éclate de rire et m'aide à me mettre debout, m'embrasse tendrement en retrouvant dans ma bouche le goût de sa miction. « Hummm, j'adore ces privautés... ». Toute heureuse elle retouche un peu nos maquillages, je remets de l'ordre dans mes cheveux puis ajuste mon masque.
Tous les deux, ravis de ce moment d'intimité, regagnons le salon où nous retrouvons les convives. Une musique symphonique crée une ambiance très feutrée dans ce salon bon chic, bon genre malgré les désordres dans les habillements. Germaine discutent avec Eric et Bernard, Emma est avec Olivier à ses genoux, elle nous fait signe de la rejoindre.
Au milieu de la nuit, il est bon de faire une petite pause, les lumières s'allument. Aziz réapparaît de la cuisine chargé de plateaux de sandwichs, de salade de fruits et de mignardises puis il nous sert des boissons et du café
On parle beaucoup, on félicite les organisateurs de la soirée, on félicite également Élisabeth pour sa maîtrise du martinet et sa créativité quant aux costume de la Marguerite et du Bouton d'Or, on remercie Aziz pour son service...
Peu à peu les bavardages se font murmures, les rigolades deviennent gémissements, la lumière redevient tamisée, la musique devient bruit de fond. Les couples s'embrassent, se câlinent. On danse un peu, on passe de partenaire en partenaire.
Bernard entraîne Élisabeth sur un canapé. Germaine a fait son choix avec Eric et Aziz
Je reste avec Emma et Olivier. A l'exemple des autres, on s'allonge sur le tapis de laine épais et plutôt confortable. Des trois je suis le seul à savoir qu'elle va se partager avec le père et le fils... Mais entre adultes, c'est aussi immoral qu'excitant. Malgré l'heure tardive, malgré la fatigue, malgré les excès de la nuit, nos yeux brillent de désir, nos lèvres enflammées ont soif de l'autre. On s'enlace, on se presse, on se caresse, on roule tous les trois ensemble, les corps en sueur glissent les uns sur les autres, les jambes s'entrecroisent, on se frotte à l'autre, je n'ai pas assez de deux mains, d'une seule bouche. On sent la transpiration, on a le goût du sexe, on baigne dans la luxure
Emma s'allonge et se partage entre nous deux, je m'attache à ses jambes tandis qu'Olivier se porte à sa tête. J'embrasse ses pieds manucurés, lèche et suce chaque orteil, caresse la plante et masse le talon puis je remonte sur le mollet, le creux du genou et me trouve déjà à la fourche de ses jambes. Son duvet blond embaume la sueur et la jouissance, son sexe porte encore les traces de son union avec Aziz. Je revois son image de femelle accouplée, sa danse obscène sur le corps d'ébène, j'entends ses miaulements et ses grondements, j'ai sur la langue le goût de sa jouissance mêlée à la semence du mâle.
Je la veux maintenant, je veux me l'approprier, marquer mon territoire. Je la bouscule, repousse son autre amant, la tire sur moi. Animée de la même soif à se retrouver, elle m'enjambe et s'emmanche sur mon pieu « Mmmm Ouiiii... »
Son gémissement s'éteint sur mes lèvres. Après quelques ondulations collés l'un à l'autre, elles se redresse sur ses genoux, commence à danser, monte et descends, je la tiens par dessous les seins, Olivier me caresse les jambes, arrive à la jonction des cuisses, continue probablement en câlinant la jeune femme qui miaule de plaisir.
Elle s'immobilise et creuse les reins. Olivier se place entre mes cuisses, je vois au dessus de la fille la cagoule noire souillée... La coquine se couche sur moi, s'offre aux deux. Je sens contre ma queue, l'autre verge... Ça y est, il la sodomise, putain il est gros, il la pénètre lentement, patient il attend que les chairs se modèlent. C'est elle qui d'un « Oh ouiiiiii » se met à bouger à peine. Tel que je suis écrasé, je laisse faire les deux et je sens l'autre se mettre à la manœuvre. Elle aussi se laisse bercer, elle ronronne au rythme des coups de boutoir dans les fesses. Sa tête plongée dans mon cou, elle ne cesse de susurrer des insanités
L'homme en appui sur ses mains et ses genoux, nous bouscule. La fine paroi qui me sépare de lui semble avoir disparu, j'oublie tout, je ne pense qu'au présent, sa verge coulisse sur la mienne, je ressens les spasmes... Elle se soulève un peu, le bloque dans ses intestins « Doucement, doucement, chéri... Pas tout de suite... Viens dans ma chatte. » Les deux ensemble dans son con !!! Je n'y pensais même pas.
C'est elle-même qui se déboîte, qui d'une main prend nos deux queues, les positionne. Ensemble, nous la pénétrons. Les deux pairs de jambes s'allongent entre les miennes, je les enserre de mes pieds. Emma est sur mes lèvres, elle s'appuie sur ses coudes, ses mains dans mes cheveux, Olivier se soulève en appui sur ses bras, seuls nos bassins s'animent, les deux sexes dans le même fourreau n'en forment qu'un.
La tension monte entre nous trois, peu à peu mon entrejambe baigne dans la sueur, se couvre de sécrétions. Emma s'agite, sa tête part de gauche à droite, ses miaulements s'enflamment, deviennent rageur, son bassin se déchaîne, elle s'en prend à mes cheveux. Elle a orgasme sur orgasme, un coup de reins plus puissant d'Olivier entraîne une réaction incontrôlée d'Emma et ses mains sur mes oreilles arrachent mon masque...
Olivier me découvre. Son cri strident « DJO !!! » se perd dans un souffle « Toaaaaaaaa.... » alors qu'il jouit que je sens son sperme inonder le vagin.
Quelle horreur !!!... Je suis découvert, pris en faute comme un sale petit vicieux, comme l'enfant regardant des femmes à poil, pire un film porno, pire encore participant à un film porno !... Tout va très vite dans ma tête, je rage et... Je renverse les tords. Quel mal à 22 ans de participer à une soirée libertine ? Moins en tous cas que de voir son père forniquer en groupe et tromper sa mère...
Il me fixe du regard, qu'elles sont ses pensées ? Son corps se crispe comme brûlé quand dans l'action je donne encore trois, quatre coups de reins, avant de jouir longuement contre lui. Il me sent vibrer, je le sens encore bien dur dans le ventre de cette femme, je voudrais maintenant fuir mais ne peux rien faire. Sa verge secouée une dernière fois d'un spasme répond à ma jouissance.
Il me sourit diaboliquement, écarte doucement Emma sur le côté. En appui sur ses bras, il me regarde nu comme un prédateur, m'embrasse la poitrine, me tète doucement, fait grossir le téton puis le mordille. Il se redresse, semble satisfait, il n'y a pas de cri, pas de réaction. Maître de lui, il se place tête-bêche sur moi, ses coudes écartent mes cuisses, il embrasse mon ventre lisse, me prend le sexe, le manipule, malaxe les testicules, et le suce. Pris dans la fourche de ses cuisses, j'ai son pubis au poil noir au dessus de mon visage, sa verge en partie couverte de mouille pend vers moi, elle a perdue de la vigueur mais reste encore bien épaisse ? C'est lui qui me pose son gland rougeaud sur la bouche, il file entre mes lèvres, traverse mes dents, j'ai le goût du sperme.
Toute retenue est abandonnée. Je le prends par les fesses, j'aspire, j'avale la moitié du membre, je le suce, lui fais une gorge profonde. Il va et vient, me baise la bouche.
Horreur ???... En fin de compte qu'y a-t-il de mal à faire l'amour entre adultes consentants ?
Notre 69 se poursuit sous les yeux d'Emma. Je reprends un peu de vigueur et lui abandonne quelques gouttes de sperme tirées du fond de mon ventre. Lui ne me donne rien, fatigué il perd toute virilité et se retourne.
Sans un mot, il se lève, je vois son dos marqué par les lanières du martinet. Sans nous regarder il rejoint Élisabeth déjà rhabillée, elle lui met sa cape, le jour se lève, la fête est finie.
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