Etre étudiant et libertine 7 - Retrouver son beau-père

Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Etre étudiant et libertine 7 - Retrouver son beau-père
Trois mois ce sont passés depuis la fameuse Fête du Printemps, depuis cette réunion libertine organisée par Germaine (ma logeuse) au cours de laquelle je me suis retrouvé avec mon beau-père dans une tenue indécente et lui trompant ma mère.
Trois mois de réflexion , de mal être, de vie monacale. Je n'ai plus répondu aux invitations de mes amis, de mes parents prétextant un surcroît de travail, la préparation de mes examens. Ma mère s'inquiétait, demandait régulièrement de mes nouvelles, me suppliait de revenir à la voir. Il m'a fallu tout ce temps pour que je retrouve un équilibre de vie et me décide à revoir ma famille.
Aujourd'hui pour la première fois depuis cette fête je rencontre mes parents pour le déjeuner. L'accueil de ma mère est délirant, elle ne voulait rien entendre, ne rien voir, oublier les désaccords sur mes tenues, mes cheveux longs, n'avoir que le bonheur de me serrer dans ses bras, tout comme mon beau-père. Exit le passé ! Moi-même j'en oublie tout et retrouve la chaleur familiale, le bonheur d'être ensemble.
La journée est pur bonheur. Maman a préparé un délicieux déjeuner. On a beaucoup parlé, "papa" m'a félicité de mes résultats universitaires, tous deux se sont réjouis de ma relation amoureuse avec Mélina, Finies les observations et critiques quant à ma coiffure, mes habits moulants, la mise en valeur de mon côté androgyne, ce ne sont que félicitations et réjouissances.
En fin d'après-midi, je décide de rentrer chez moi pour terminer un devoir pour le lendemain. Maman encourage son mari à me raccompagner :
— Olivier raccompagne John, il fait beau, prenez votre temps ça vous permettra de continuer à discuter un peu et pendant ce temps je vais remettre la maison en ordre.
C'est une proposition qui m’oppresse, qui me contrarie tellement, qui me remet face au passé, face à cet homme avec qui j'ai partagé les pires choses au cours de cette bacchanale, au cours de cette orgie.
On se retrouve tous les deux assis face à face dans ce train de banlieue qui nous ramène à Paris, on se regarde dans les yeux, il me sourit, se penche vers moi, se rapproche, je suis totalement coincé, finalement le bout de ses mains jointes touche mes genoux serrés, nous restons ainsi le reste du voyage, silencieux, chacun dans ses pensées. Arrivés à Saint Lazare alors que je me dirige vers le métro, il m'arrête :
— John es-tu pressé ? On pourrait marcher un peu.
— Oui si tu veux, rentrons à pieds, je n'ai pas tant de travail que ça.
Sur le boulevard nous avançons d'un bon pas, côte à côte, en échangeant des banalités pour occuper le temps, nous parlons du monde aux terrasses des cafés, du retour de l'été. Dans une rue plus calme, notre allure se ralentit, incidemment nos mains se touchent, il se rapproche de moi, nos pas s'accordent, nos épaules se touchent, je ne m'éloigne pas, au contraire je ne sais pourquoi je maintiens et même intensifie la pression. On ne se parle plus et on se retrouve. Je ne regarde pas l'homme mais reste contre lui, je le laisse faire quand il me prend la main, quand il me murmure « John... » et m'embrasse au creux de l'oreille.
L'homme svelte, aux tempes argentées est séduisant. Il me parle tout bas « John, je suis content de te retrouver » et il m'embrasse à nouveau l'oreille. Il me prend par le bras et nous reprenons notre marche sans relâcher la pression de nos bras, trop contents d'être ensemble. Il entame la conversation
— Tu sais... J'étais horriblement gêné... Longtemps ton image m'a obsédé.
— Moi j'étais mortifié !
— ...
— J'avais honte... Je savais qui tu étais depuis l'essayage chez Élisabeth mais j'ai été prise au piège (le féminin m'échappa, après avoir dégluti je continue) Chez Germaine je ne pouvais reculer et elle m'assura que tu ne pourrais me reconnaître, sauf que... Le geste malencontreux de Emma t'a révélé la vérité. On marche encore un moment silencieux.
— John, nous sommes adultes... Chacun a découvert un secret explosif qui ébranlerait la famille s'il était révélé. Nous savons ce qu'est la famille, nous y tenons, nous voulons la protéger, n'est-ce pas ?
— Oui bien sûr... Papa... plus que tout au monde.
— John... Il me presse le bras, nous sommes adultes et consentants pour ces jeux que nous partageons.
— ...
— On peut avoir deux personnalités... Avoir un jardin secret... Qui imagine la sexualité de l'autre ? Qui imagine la sexualité de Germaine ? Qui imagine mon goût pour la soumission ? Ton goût pour le travestissement ?
— ...
— Pour moi tu peux être John et Jane, être mon "Garçon" et une libertine... Puis-je être Olivier et un libertin... Soumis ?
Dans un souffle, en murmurant je réponds « Oui » tout en tournant mon visage vers lui. Je sens son souffle sur mes lèvres et découvre ses yeux verts que je n'avais jamais vraiment vus.
— John, je suis content d'avoir découvert ta face cachée! La pression de son bras s'intensifie... Veux-tu me dire comment tu es devenue Jane ?
Tout en marchant je lui explique alors comment Dom, mon cousin, me dépucela sous leurs yeux en Bretagne, comment il me fit découvrir le naturisme et me partagea avec un inconnu sur une plage. Puis mes vacances avec ma tante et mon oncle, comment ma tante m'initia à l'amour et comment avec mon oncle elle m'entraîna dans des soirées d'orgie. Je parlai également de ma rencontre avec Eve, ma sœur de cœur transsexuelle et de mon orientation vers le travestissement.
Chemin faisant nous arrivons au bas de mon immeuble et malgré l'heure, 18heures, je lui propose de monter prendre un verre.
Dans l'escalier, je passe devant et l'entends dire, « C'est pas pour dire mais ton pantalon te moule sacrément le cul ». Le hasard fait qu'en arrivant au 4ème étage, Germaine sort de son appartement.
— Oh John bonsoir, j'allais sortir... Et toi, Olivier tu es là aussi ! Quel plaisir de vous voir ensemble. Depuis trois mois je n'avais plus de nouvelles et même j'avais l'impression John que tu m'évitais.
— Non !... J'avais beaucoup de travail !
— Tss, tss, pas à moi !... Peu importe, entrez prendre un verre!
— Non, non Germaine ! s'exclame mon beau-père, on m'attend à la maison.
— Monique ?... Pas de souci je vais la prévenir. Défaites-vous !.
— NOOON ! Germaine, que je supplie la voix tremblante, j'ai un TD à préparer. Mais rien n'y fait, elle est déjà au téléphone.
— Allo, Monique ? C'est Germaine... Dis-moi Olivier et John sont à la maison, on va dîner ensemble, veux-tu nous rejoindre ?.... Ah ! tu es fatiguée... Et demain tu as une réunion... Je comprends... D'accord, alors bonne nuit. Ne t'inquiète pas Olivier rentrera en taxi... C'est ça je t'embrasse. Tout en l'écoutant, désabusés, nous quittons nos vestes. Ben voilà mes chéris ! Olivier tu as la permission de minuit.
— Ce n'est pas raisonnable, se lamente mon beau-père.
— OLIVIER !!! Dit-elle en haussant le ton, tu veux que je me fâche ??? Puis se tournant vers moi elle ajoute avec douceur : John, viens m'embrasser mon chéri.
Aïe ! Aïe ! Aïe ! Je sens que ça va déraper.
Elle se laisse tomber sur le canapé et me tirant par les mains. En déséquilibre, mes genoux entre les siens je m'affale sur elle en m'agrippant à ses épaules. Elle me reçoit et m'embrasse à pleine bouche. C'est tout de suite très chaud. Elle passe ses mains sous mon pull et mon maillot à même la peau. Son baiser est brûlant, elle me caresse le dos, me griffe, je réponds à ses baisers, je m'enflamme quand elle s'attaque à mes tétons.
Olivier se fait oublier, je le vois du coin de l'œil assis à distance sur le canapé. Germaine bascule vers lui pour l'embrasser et se retrouve à moitié couchée sur le divan, sa tête dans les bras de mon beau-père et moi assis entre ses jambes ouvertes, avec un pied au sol et l'autre dans le creux du dossier du siège.
Les deux s'embrassent à leur tour, elle défait méthodiquement les trois boutons du haut de sa robe et découvre un body de soie et dentelle noire. Sa main abaisse le fin tissu et dégage son sein lourd. Je me couche sur son ventre, tète le mamelon dénudé et d'une main me saisis du sein recouvert de soie. Je le masse, le presse, le malaxe avant de rouler le téton entre mes doigts.
Un peu affolé par le battement de la jambe sur mon épaule, je descends d'un cran, laisse la place à Olivier et trousse la femme. Je découvre le ventre habillée juste d'une culotte de soie, ma main remonte sur la cuisse jusqu'à l'aine et s'insinue sous le tissus, je retrouve la toison sauvage oubliée depuis trois mois. J'embrasse le tissu, l'aspire, le mords et en même temps tire quelques poils ce qui me vaut un « John tu fais mal ! ».
Trop affairé je ne me rends pas compte que mon beau-père a complètement déboutonné la robe et sortis les nichons de la combinaison, tandis qu'elle lui a ouvert la ceinture du pantalon et qu'elle farfouille dans sa culotte. D'un coup Germaine nous repousse et se lève :
— Venez dans la chambre, j'en rêvais, je vous veux tous les deux.
Elle part prestement devant moi en abandonnant sa robe, elle avance juste en combinaison de soie m'offrant ses formes généreuses. tandis qu'Olivier me suit en se débarrassant tant bien que mal de son pantalon descendu aux chevilles.
Dans la pièce encore baignée de soleil elle s'assoit au bord du lit et me tend les bras « Viens faire minette à Gigi, comme tu sais si bien le faire mon chéri » Si mon beau-père avait des doutes quant à mes relation avec ma logeuse, il n'en a plus.
En m'agenouillant au sol dans la fourche de ses cuisses, elle me prend tee-shirt et maillot et m'en dépouille comme pour un lapin. A moitié nu, j'embrasse son ventre, je mets de l'ordre dans sa toison pubienne et dégage sa vulve aux larges nymphes froissées, au clito fatigué. Le poil noir dégage une forte odeur de fauve, de deux doigts je décalotte le bourgeon et le suce avec hardeur, en même temps je titille le méat et lui fous deux doigts dans le con. En peu de temps le sang afflux, le clito se raidit, la cyprine recouvre les parois du vagin. Germaine se couche sur le dos et remonte ses pieds au bord du lit, cuisses ouvertes à 120°, pour mieux s'offrir, mieux se faire bouffer.
Pendant ce temps Olivier assis à mon côté me regarde. Il me caresse le dos, un ongle me balafre la colonne vertébrale, je me cambre par réflex. Sa main tente de passer sous mon pantalon, le bout de ses doigts atteint le sillon de mes fesses sans pouvoir aller plus loin. Alors il s'attaque à ma ceinture, je fais le dos rond, serre les jambes, gonfle le ventre pour l'en empêcher en grognant « NON ! »
« Laisse-toi faire, tu verras comme c'est bon. » La ceinture est déjà défaite et il baisse le pantalon lentement en découvrant mon serre-taille de dentelle et mon shorty de satin gris perle. Il me caresse, sans aller plus loin, probablement surpris de ma lingerie féminine soulignant mes formes. J'ai beau me défendre il continue et me met cul nu. Ses mains englobent mes fesses, ses pouces creusent le vallon puis l'écarte dévoilant mon petit trou. Un baiser indécent me réveille brutalement. Je donne un coup de dent au bourgeon que je suçotte et reçoit une ruade.
— Doucement sauvageon ! me crie Germaine, viens plutôt me faire l'amour
D'un saut, poussée par ses pieds elle occupe le centre du lit. J'abandonne pantalon et culotte de satin qui entravent mes jambes pour ne garder que mon porte jarretelles et mes bas de nylon. Tout de suite, encadrée de ses deux amants elle partage ses faveurs. C'est une partition à quatre mains qui se joue.
A moitié couché sur elle, une jambe entre ses cuisses, je lui pétris la poitrine encouragée par la sienne, on s'embrasse du bout des lèvres, en se frottant le nez comme les esquimaux « Tu m'as manqué » me dit-elle. J'oublierais que nous sommes trois quand une autre main me caresse le dos, descend sur mes fesses jusqu'à atteindre le liseré de mes bas... Bien sûr, c'est celle d'Olivier, il grogne entre ses dents « J'aime beaucoup tes dessous... T'as un beau p'tit cul » l'homme m'embrasse les fesses, je sens sa barbe naissante. Je me raidis... Gigi s'en rend compte
— Laisse-toi faire mon chéri, on va s'amuser tous les trois. Elle m'embrasse à pleine bouche, m'immobilise en me ceinturant de son bras et de sa jambe.
Olivier oubliant qui je suis, s'en prend librement à mon arrière train, caresse ma peau nue, le nylon de mes bas. Ma position entre les bras de Germaine, l'autorité de l'homme, sa barbe sur mes fesses, sa langue au creux de mon intimité font que je passe du refus à l'abandon « Oui c'est bien, laisse-toi aller... » Comme pour marquer sa victoire il me plante un doigt bien profond, juste le temps de se faire une place et il me taquine la prostate « T'es bien souple et très sensible ». Le cochon sait y faire et je m'associe à sa branlette tout en bandant comme un cerf sur la cuisse de Gigi
— Plutôt que de t'exciter bêtement, viens sur moi, murmure-t-elle au creux de mon oreille. Son autre jambe passe sous mon genou, je me retrouve à califourchon sur son ventre, en appui sur mes coudes, ses nichons dans mes mains, elle dirige ma queue impérieusement dans sa broussaille jusqu'à trouver sa vulve, bien placé d'un coup de reins j'emporte tout sur le passage et plonge dans ses chairs ouatées débordante de mouille.
Olivier n'a rien perdu de la partie, bien au contraire puisqu'il me doigte à présent de deux phalanges. D'une voix enrouée il grogne « OH Jane, t'es toute mignonne, toute mouillée... » Je sens sa queue battre sur le haut de ma cuisse, puis venir balayer le périnée sans qu'il ne cesse de répéter "Jane" comme pour me demander l'autorisation. Son sexe est sur ma rondelle et dans un souffle il me pénètre d'un coup puissant, tout de suite suivi d'un deuxième dans un "Han" sourd. Il me besogne en me tenant par les hanches. Pour mieux le recevoir, je remonte mes genoux sur les hanches de Germaine et cambre les reins... J'oublie qui est l'homme qui me possède et me laisse prendre avachi sur sur la poitrine de la dame.
Mon amant se couche sur moi, il me tient fermement la poitrine, me pince, me fait durcir les tétons, je ne cesse d'être ballotté toujours emmanché dans le con de Gigi qui s'essouffle et avec force me repousse aux épaules en geignant « Vous m'écrasez !!! »
Olivier se redresse et me libère, je suis en nage et reste collé à celle que je fornique. L'homme ne pèse plus sur moi mais continue à me trifouiller les fesses en maugréant « Un vrai cul de p'tite fille, tout mignon et sacrément mouillé ! ».
Germaine finalement me repousse, nous roulons et elle se retrouve sur moi toujours emmanchée maîtresse de la situation, elle se redresse sur ses bras, décolle sa poitrine. Ses deux lolos s'allongent, pendent, se balancent sur ma poitrine, elle tente de mettre nos tétons en contact avant de s'écraser sur moi, ses bras en couronne au dessus de ma tête. Ses yeux brillent de malice, sa bouche en cul de poule se pose sur mes lèvres. « Tu es mignon, je suis contente de te retrouver, tu m'as manqué »
Quelle femme amoureuse ! Plus âgée que mon beau-père, avec un tonus incroyable, une soif de sexe... La preuve non contente de me masser la queue de son vagin, elle tend les fesses à Olivier. De par nos soirées je sais que c'est une habituée aux doubles et à nouveau elle...
— Oh oui, prends-moi... C'était mon fantasme de vous avoir tous les deux ensemble.
Elle sur ses genoux, assise telle une chienne sur mon ventre, ma queue bien en place, lui est debout accroupi au dessus d'elle, je le vois concentré, elle attentive... Et brutalement il la pénètre d'un coup comme moi juste avant. Je sens sa queue épaisse tout contre la mienne, ses couilles soyeuses caressant les miennes glabres. Telle un crapaud, il bouge, il la pilonne, la tient par les nichons, de temps en temps ses couilles frappent les miennes. Les deux s'animent et m'entraînent dans leur danse. Je sens que le plaisir monte, il est fulgurant, je ne peux rien faire je gicle, j'inonde la matrice. Ça se calme, Olivier tombe sur ses genoux et s'écroule à mon côté alors que sa semence continue de s'échapper de sa queue.
Gigi reste entre nous deux, une queue dans chaque main. Elle masse doucement, le sperme continue à sourdre, couvre ses mains ; elle suce une verge l'une après l'autre, lèche un ventre l'un après l'autre, elle ne cesse que lorsqu'elle juge que tout est propre. Elle se relève contente,
« Mes chéris je crois que vous êtes venus pour dîner ! »
Trois mois de réflexion , de mal être, de vie monacale. Je n'ai plus répondu aux invitations de mes amis, de mes parents prétextant un surcroît de travail, la préparation de mes examens. Ma mère s'inquiétait, demandait régulièrement de mes nouvelles, me suppliait de revenir à la voir. Il m'a fallu tout ce temps pour que je retrouve un équilibre de vie et me décide à revoir ma famille.
Aujourd'hui pour la première fois depuis cette fête je rencontre mes parents pour le déjeuner. L'accueil de ma mère est délirant, elle ne voulait rien entendre, ne rien voir, oublier les désaccords sur mes tenues, mes cheveux longs, n'avoir que le bonheur de me serrer dans ses bras, tout comme mon beau-père. Exit le passé ! Moi-même j'en oublie tout et retrouve la chaleur familiale, le bonheur d'être ensemble.
La journée est pur bonheur. Maman a préparé un délicieux déjeuner. On a beaucoup parlé, "papa" m'a félicité de mes résultats universitaires, tous deux se sont réjouis de ma relation amoureuse avec Mélina, Finies les observations et critiques quant à ma coiffure, mes habits moulants, la mise en valeur de mon côté androgyne, ce ne sont que félicitations et réjouissances.
En fin d'après-midi, je décide de rentrer chez moi pour terminer un devoir pour le lendemain. Maman encourage son mari à me raccompagner :
— Olivier raccompagne John, il fait beau, prenez votre temps ça vous permettra de continuer à discuter un peu et pendant ce temps je vais remettre la maison en ordre.
C'est une proposition qui m’oppresse, qui me contrarie tellement, qui me remet face au passé, face à cet homme avec qui j'ai partagé les pires choses au cours de cette bacchanale, au cours de cette orgie.
On se retrouve tous les deux assis face à face dans ce train de banlieue qui nous ramène à Paris, on se regarde dans les yeux, il me sourit, se penche vers moi, se rapproche, je suis totalement coincé, finalement le bout de ses mains jointes touche mes genoux serrés, nous restons ainsi le reste du voyage, silencieux, chacun dans ses pensées. Arrivés à Saint Lazare alors que je me dirige vers le métro, il m'arrête :
— John es-tu pressé ? On pourrait marcher un peu.
— Oui si tu veux, rentrons à pieds, je n'ai pas tant de travail que ça.
Sur le boulevard nous avançons d'un bon pas, côte à côte, en échangeant des banalités pour occuper le temps, nous parlons du monde aux terrasses des cafés, du retour de l'été. Dans une rue plus calme, notre allure se ralentit, incidemment nos mains se touchent, il se rapproche de moi, nos pas s'accordent, nos épaules se touchent, je ne m'éloigne pas, au contraire je ne sais pourquoi je maintiens et même intensifie la pression. On ne se parle plus et on se retrouve. Je ne regarde pas l'homme mais reste contre lui, je le laisse faire quand il me prend la main, quand il me murmure « John... » et m'embrasse au creux de l'oreille.
L'homme svelte, aux tempes argentées est séduisant. Il me parle tout bas « John, je suis content de te retrouver » et il m'embrasse à nouveau l'oreille. Il me prend par le bras et nous reprenons notre marche sans relâcher la pression de nos bras, trop contents d'être ensemble. Il entame la conversation
— Tu sais... J'étais horriblement gêné... Longtemps ton image m'a obsédé.
— Moi j'étais mortifié !
— ...
— J'avais honte... Je savais qui tu étais depuis l'essayage chez Élisabeth mais j'ai été prise au piège (le féminin m'échappa, après avoir dégluti je continue) Chez Germaine je ne pouvais reculer et elle m'assura que tu ne pourrais me reconnaître, sauf que... Le geste malencontreux de Emma t'a révélé la vérité. On marche encore un moment silencieux.
— John, nous sommes adultes... Chacun a découvert un secret explosif qui ébranlerait la famille s'il était révélé. Nous savons ce qu'est la famille, nous y tenons, nous voulons la protéger, n'est-ce pas ?
— Oui bien sûr... Papa... plus que tout au monde.
— John... Il me presse le bras, nous sommes adultes et consentants pour ces jeux que nous partageons.
— ...
— On peut avoir deux personnalités... Avoir un jardin secret... Qui imagine la sexualité de l'autre ? Qui imagine la sexualité de Germaine ? Qui imagine mon goût pour la soumission ? Ton goût pour le travestissement ?
— ...
— Pour moi tu peux être John et Jane, être mon "Garçon" et une libertine... Puis-je être Olivier et un libertin... Soumis ?
Dans un souffle, en murmurant je réponds « Oui » tout en tournant mon visage vers lui. Je sens son souffle sur mes lèvres et découvre ses yeux verts que je n'avais jamais vraiment vus.
— John, je suis content d'avoir découvert ta face cachée! La pression de son bras s'intensifie... Veux-tu me dire comment tu es devenue Jane ?
Tout en marchant je lui explique alors comment Dom, mon cousin, me dépucela sous leurs yeux en Bretagne, comment il me fit découvrir le naturisme et me partagea avec un inconnu sur une plage. Puis mes vacances avec ma tante et mon oncle, comment ma tante m'initia à l'amour et comment avec mon oncle elle m'entraîna dans des soirées d'orgie. Je parlai également de ma rencontre avec Eve, ma sœur de cœur transsexuelle et de mon orientation vers le travestissement.
Chemin faisant nous arrivons au bas de mon immeuble et malgré l'heure, 18heures, je lui propose de monter prendre un verre.
Dans l'escalier, je passe devant et l'entends dire, « C'est pas pour dire mais ton pantalon te moule sacrément le cul ». Le hasard fait qu'en arrivant au 4ème étage, Germaine sort de son appartement.
— Oh John bonsoir, j'allais sortir... Et toi, Olivier tu es là aussi ! Quel plaisir de vous voir ensemble. Depuis trois mois je n'avais plus de nouvelles et même j'avais l'impression John que tu m'évitais.
— Non !... J'avais beaucoup de travail !
— Tss, tss, pas à moi !... Peu importe, entrez prendre un verre!
— Non, non Germaine ! s'exclame mon beau-père, on m'attend à la maison.
— Monique ?... Pas de souci je vais la prévenir. Défaites-vous !.
— NOOON ! Germaine, que je supplie la voix tremblante, j'ai un TD à préparer. Mais rien n'y fait, elle est déjà au téléphone.
— Allo, Monique ? C'est Germaine... Dis-moi Olivier et John sont à la maison, on va dîner ensemble, veux-tu nous rejoindre ?.... Ah ! tu es fatiguée... Et demain tu as une réunion... Je comprends... D'accord, alors bonne nuit. Ne t'inquiète pas Olivier rentrera en taxi... C'est ça je t'embrasse. Tout en l'écoutant, désabusés, nous quittons nos vestes. Ben voilà mes chéris ! Olivier tu as la permission de minuit.
— Ce n'est pas raisonnable, se lamente mon beau-père.
— OLIVIER !!! Dit-elle en haussant le ton, tu veux que je me fâche ??? Puis se tournant vers moi elle ajoute avec douceur : John, viens m'embrasser mon chéri.
Aïe ! Aïe ! Aïe ! Je sens que ça va déraper.
Elle se laisse tomber sur le canapé et me tirant par les mains. En déséquilibre, mes genoux entre les siens je m'affale sur elle en m'agrippant à ses épaules. Elle me reçoit et m'embrasse à pleine bouche. C'est tout de suite très chaud. Elle passe ses mains sous mon pull et mon maillot à même la peau. Son baiser est brûlant, elle me caresse le dos, me griffe, je réponds à ses baisers, je m'enflamme quand elle s'attaque à mes tétons.
Olivier se fait oublier, je le vois du coin de l'œil assis à distance sur le canapé. Germaine bascule vers lui pour l'embrasser et se retrouve à moitié couchée sur le divan, sa tête dans les bras de mon beau-père et moi assis entre ses jambes ouvertes, avec un pied au sol et l'autre dans le creux du dossier du siège.
Les deux s'embrassent à leur tour, elle défait méthodiquement les trois boutons du haut de sa robe et découvre un body de soie et dentelle noire. Sa main abaisse le fin tissu et dégage son sein lourd. Je me couche sur son ventre, tète le mamelon dénudé et d'une main me saisis du sein recouvert de soie. Je le masse, le presse, le malaxe avant de rouler le téton entre mes doigts.
Un peu affolé par le battement de la jambe sur mon épaule, je descends d'un cran, laisse la place à Olivier et trousse la femme. Je découvre le ventre habillée juste d'une culotte de soie, ma main remonte sur la cuisse jusqu'à l'aine et s'insinue sous le tissus, je retrouve la toison sauvage oubliée depuis trois mois. J'embrasse le tissu, l'aspire, le mords et en même temps tire quelques poils ce qui me vaut un « John tu fais mal ! ».
Trop affairé je ne me rends pas compte que mon beau-père a complètement déboutonné la robe et sortis les nichons de la combinaison, tandis qu'elle lui a ouvert la ceinture du pantalon et qu'elle farfouille dans sa culotte. D'un coup Germaine nous repousse et se lève :
— Venez dans la chambre, j'en rêvais, je vous veux tous les deux.
Elle part prestement devant moi en abandonnant sa robe, elle avance juste en combinaison de soie m'offrant ses formes généreuses. tandis qu'Olivier me suit en se débarrassant tant bien que mal de son pantalon descendu aux chevilles.
Dans la pièce encore baignée de soleil elle s'assoit au bord du lit et me tend les bras « Viens faire minette à Gigi, comme tu sais si bien le faire mon chéri » Si mon beau-père avait des doutes quant à mes relation avec ma logeuse, il n'en a plus.
En m'agenouillant au sol dans la fourche de ses cuisses, elle me prend tee-shirt et maillot et m'en dépouille comme pour un lapin. A moitié nu, j'embrasse son ventre, je mets de l'ordre dans sa toison pubienne et dégage sa vulve aux larges nymphes froissées, au clito fatigué. Le poil noir dégage une forte odeur de fauve, de deux doigts je décalotte le bourgeon et le suce avec hardeur, en même temps je titille le méat et lui fous deux doigts dans le con. En peu de temps le sang afflux, le clito se raidit, la cyprine recouvre les parois du vagin. Germaine se couche sur le dos et remonte ses pieds au bord du lit, cuisses ouvertes à 120°, pour mieux s'offrir, mieux se faire bouffer.
Pendant ce temps Olivier assis à mon côté me regarde. Il me caresse le dos, un ongle me balafre la colonne vertébrale, je me cambre par réflex. Sa main tente de passer sous mon pantalon, le bout de ses doigts atteint le sillon de mes fesses sans pouvoir aller plus loin. Alors il s'attaque à ma ceinture, je fais le dos rond, serre les jambes, gonfle le ventre pour l'en empêcher en grognant « NON ! »
« Laisse-toi faire, tu verras comme c'est bon. » La ceinture est déjà défaite et il baisse le pantalon lentement en découvrant mon serre-taille de dentelle et mon shorty de satin gris perle. Il me caresse, sans aller plus loin, probablement surpris de ma lingerie féminine soulignant mes formes. J'ai beau me défendre il continue et me met cul nu. Ses mains englobent mes fesses, ses pouces creusent le vallon puis l'écarte dévoilant mon petit trou. Un baiser indécent me réveille brutalement. Je donne un coup de dent au bourgeon que je suçotte et reçoit une ruade.
— Doucement sauvageon ! me crie Germaine, viens plutôt me faire l'amour
D'un saut, poussée par ses pieds elle occupe le centre du lit. J'abandonne pantalon et culotte de satin qui entravent mes jambes pour ne garder que mon porte jarretelles et mes bas de nylon. Tout de suite, encadrée de ses deux amants elle partage ses faveurs. C'est une partition à quatre mains qui se joue.
A moitié couché sur elle, une jambe entre ses cuisses, je lui pétris la poitrine encouragée par la sienne, on s'embrasse du bout des lèvres, en se frottant le nez comme les esquimaux « Tu m'as manqué » me dit-elle. J'oublierais que nous sommes trois quand une autre main me caresse le dos, descend sur mes fesses jusqu'à atteindre le liseré de mes bas... Bien sûr, c'est celle d'Olivier, il grogne entre ses dents « J'aime beaucoup tes dessous... T'as un beau p'tit cul » l'homme m'embrasse les fesses, je sens sa barbe naissante. Je me raidis... Gigi s'en rend compte
— Laisse-toi faire mon chéri, on va s'amuser tous les trois. Elle m'embrasse à pleine bouche, m'immobilise en me ceinturant de son bras et de sa jambe.
Olivier oubliant qui je suis, s'en prend librement à mon arrière train, caresse ma peau nue, le nylon de mes bas. Ma position entre les bras de Germaine, l'autorité de l'homme, sa barbe sur mes fesses, sa langue au creux de mon intimité font que je passe du refus à l'abandon « Oui c'est bien, laisse-toi aller... » Comme pour marquer sa victoire il me plante un doigt bien profond, juste le temps de se faire une place et il me taquine la prostate « T'es bien souple et très sensible ». Le cochon sait y faire et je m'associe à sa branlette tout en bandant comme un cerf sur la cuisse de Gigi
— Plutôt que de t'exciter bêtement, viens sur moi, murmure-t-elle au creux de mon oreille. Son autre jambe passe sous mon genou, je me retrouve à califourchon sur son ventre, en appui sur mes coudes, ses nichons dans mes mains, elle dirige ma queue impérieusement dans sa broussaille jusqu'à trouver sa vulve, bien placé d'un coup de reins j'emporte tout sur le passage et plonge dans ses chairs ouatées débordante de mouille.
Olivier n'a rien perdu de la partie, bien au contraire puisqu'il me doigte à présent de deux phalanges. D'une voix enrouée il grogne « OH Jane, t'es toute mignonne, toute mouillée... » Je sens sa queue battre sur le haut de ma cuisse, puis venir balayer le périnée sans qu'il ne cesse de répéter "Jane" comme pour me demander l'autorisation. Son sexe est sur ma rondelle et dans un souffle il me pénètre d'un coup puissant, tout de suite suivi d'un deuxième dans un "Han" sourd. Il me besogne en me tenant par les hanches. Pour mieux le recevoir, je remonte mes genoux sur les hanches de Germaine et cambre les reins... J'oublie qui est l'homme qui me possède et me laisse prendre avachi sur sur la poitrine de la dame.
Mon amant se couche sur moi, il me tient fermement la poitrine, me pince, me fait durcir les tétons, je ne cesse d'être ballotté toujours emmanché dans le con de Gigi qui s'essouffle et avec force me repousse aux épaules en geignant « Vous m'écrasez !!! »
Olivier se redresse et me libère, je suis en nage et reste collé à celle que je fornique. L'homme ne pèse plus sur moi mais continue à me trifouiller les fesses en maugréant « Un vrai cul de p'tite fille, tout mignon et sacrément mouillé ! ».
Germaine finalement me repousse, nous roulons et elle se retrouve sur moi toujours emmanchée maîtresse de la situation, elle se redresse sur ses bras, décolle sa poitrine. Ses deux lolos s'allongent, pendent, se balancent sur ma poitrine, elle tente de mettre nos tétons en contact avant de s'écraser sur moi, ses bras en couronne au dessus de ma tête. Ses yeux brillent de malice, sa bouche en cul de poule se pose sur mes lèvres. « Tu es mignon, je suis contente de te retrouver, tu m'as manqué »
Quelle femme amoureuse ! Plus âgée que mon beau-père, avec un tonus incroyable, une soif de sexe... La preuve non contente de me masser la queue de son vagin, elle tend les fesses à Olivier. De par nos soirées je sais que c'est une habituée aux doubles et à nouveau elle...
— Oh oui, prends-moi... C'était mon fantasme de vous avoir tous les deux ensemble.
Elle sur ses genoux, assise telle une chienne sur mon ventre, ma queue bien en place, lui est debout accroupi au dessus d'elle, je le vois concentré, elle attentive... Et brutalement il la pénètre d'un coup comme moi juste avant. Je sens sa queue épaisse tout contre la mienne, ses couilles soyeuses caressant les miennes glabres. Telle un crapaud, il bouge, il la pilonne, la tient par les nichons, de temps en temps ses couilles frappent les miennes. Les deux s'animent et m'entraînent dans leur danse. Je sens que le plaisir monte, il est fulgurant, je ne peux rien faire je gicle, j'inonde la matrice. Ça se calme, Olivier tombe sur ses genoux et s'écroule à mon côté alors que sa semence continue de s'échapper de sa queue.
Gigi reste entre nous deux, une queue dans chaque main. Elle masse doucement, le sperme continue à sourdre, couvre ses mains ; elle suce une verge l'une après l'autre, lèche un ventre l'un après l'autre, elle ne cesse que lorsqu'elle juge que tout est propre. Elle se relève contente,
« Mes chéris je crois que vous êtes venus pour dîner ! »
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