Etre étudiant et libertine 9 - A la campagne

Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Etre étudiant et libertine 9 - A la campagne
Les conversations à l'extérieur, les aboiements, le démarrage d'un tracteur me sortent du monde des rêves. Je me réveille lentement, m'étire, me resitue... A la ferme. L'épais rideau de velours me protège de la lumière, dans le grand lit rustique en bois, dort à côté de moi Mélina en chien de fusil, sa respiration est lente et régulière. Un coup d'œil à ma montre m'indique qu'il est tout juste sept heures, un peu tôt pour se lever.
Je repense alors à hier... Notre arrivée en Normandie, la rencontre de Marie et Georges, leur liberté de vie...
Ça y est les images défilent à toute vitesse, Georges et moi, puis Mél broutant Marie... Je me rapproche de ma copine, me presse contre elle, elle est toute chaude, je la prends par le sein. Elle se colle mollement à moi, remue à peine les fesses, je bande tout de suite et ma queue se loge dans le vallon de son cul. Elle grogne un peu, s'agite encore, écarte une cuisse et à l'aide de sa main elle m'enserre la bite entre elles :
— Hummm, déjà réveillé chouchou !... T'as bien dormi ?
— Oui très bien et toi ?
— Super... Hier soir j'étais crevée mais maintenant ... Mmmm, j'ai envie...
Elle se retourne, m'embrasse à pleine bouche et me prend par les couilles. Elle rampe vers le bas jusqu'à avoir ma queue à ses lèvres. Une lichette sur le frein et elle l'avale, le suce comme une friandise. Ses mains sont fraîches, les miennes se perdent dans ses cheveux. J'accompagne sa fellation et ne résiste pas longtemps en lui donnant tout, elle déglutit avec gourmandise puis d'un saut de carpe revient à ma hauteur pour partager ma jouissance, à nouveau sa langue tourne autour de la mienne et elle termine par un bisou.
— Mais maintenant... Mmmm, j'ai envie de manger, dit-elle en me souriant.
Elle passe juste un tee-shirt qui lui couvre les fesses, moi un jean et un polo. On traverse les pièces désertes, ouvertes sur le jardin et en ouvrant la porte, nous entrons dans la cuisine où Marie prend le café avec un ouvrier agricole :
— Entrez mes chéris, venez, venez, je vous présente Jeannot mon ouvrier puis se tournant vers lui. Voici ma cousine Mélina et son copain John.
Après un discret baiser à Marie et une poignée de main à Jeannot
— Bon, mes chéris, Georges est déjà parti travailler, je vais vous laisser. Vous vous arrangez, voilà le lait, le beurre de la ferme, la cafetière est pleine, là dans le placard vous trouverez tout ce que vous voulez, la confiture est maison avec les fruits du verger. Avec Jeannot je vais aller à la coopérative et ensuite nous rejoindrons Jo aux champs pour casser la croûte, je ne serai pas de retour avant le milieu de l'après midi. Faîtes comme chez vous, installez-vous sur la table du salon pour travailler, profitez du jardin, personne ne vous dérangera. Allez je file à tout à l'heure, Rex, tu viens !
Les deux partent en voiture avec le chien, d'un coup le silence fait place à l'agitation dans la cour.
On petit-déjeune, on apprécie le lait et le beurre qui n'ont rien à voir avec celui de la ville... quant à la confiture, Humm !. Après une douche juste câline à se laver mutuellement, le sérieux de Mélina prend le dessus et nous impose de travailler sur la table du salon. La pièce est grande ouverte sur le jardin, seul le chant des oiseaux nous distrait.
Après plus de deux heures de travail, Mélina me demande un café et sitôt bu, on se replonge dans nos papiers
Au loin les cloches du village marquent le temps qui passe et bien plus tard sonne l'Angélus, le jardin qui était à l'ombre ce matin, est plein de soleil et il commence à faire chaud. A force de gesticuler, de me lever, d'aller et venir je déconcentre Mélina qui lève la tête et sort de la maison en furie. Hop le tee-shirt passe au dessus de sa tête et en une seconde "Ploufff" elle est dans l'eau en se moquant de moi.
— Toujours un temps de retard !!! Juste le temps de me débarrasser des jean et débardeur et je saute à pieds joints
— Ah !... Ah ouais... Il commençait vraiment à faire chaud...
En deux mouvements elle me rejoint et s'accroche comme un singe à mon cou et mes hanches, elle m'embrasse amoureusement. Mon sexe est contre le sien, un peu mollasson, elle bouge le bassin et me réveille. Ma queue se loge au creux de ses fesses, je sens sa vulve mais la coquine s'élève quand je suis au point de la pénétrer
— Ben oui... c'est mieux ainsi. Elle recommence maintes fois son va-et-vient, joue encore un peu sans jamais conclure jusqu'au moment où elle bondit hors de l'eau en s'appuyant sur mes épaules et m'enfonçant dans la piscine. Suffit ! On sort !
— NOOON !... Tu n'es qu'une allumeuse. Mais déjà elle est sortie en éclatant de rire.
— Je vais nous préparer une salade ! Et toi, mets un peu d'ordre dans tes papiers.
J'ai à peine le temps de sortir, de retourner à notre table de travail, qu'elle sort de la cuisine avec un grand saladier plein de tomates, haricots verts, salade verte, jambon, fromage, fourchettes, pain. On casse la croûte sur le gazon, on parle un peu boulot, beaucoup de la ferme, Mél paraît contente du travail accompli, il est vrai qu'à ce rythme je pense qu'en une semaine on aura fini nos rapports.
On s'installe sous le parasol et elle s'empare d'un bouquin tandis que... je m'endors. Il sera dit que les gonzesses sont plus sérieuses que les mecs.
....Un peu plus tard....
— COUCOU MES CHÉRIS !!! » Crie Marie en rentrant dans la cuisine « C'est moi »
Le réveil est brutal, je me redresse sur le transat d'un coup alors que Mél s'étire comme une chatte :
— Hmmmm ! qu'est-ce que j'ai dormi ! Au moment où Marie nous rejoint dans le jardin.
— Ah ! Ben dis donc c'est comme ça que vous bossez.
— Ouais, ouais on a sacrément bossé, que je m'écrie, regarde dans le salon.
— J'ai vu beaucoup de papiers, c'est bien ! Bon si ça vous convient on va faire un tour au bord de mer, je connais un coin tranquille.
Peu après nous voilà dans la 2 CV, les deux nanas devant, moi derrière, on fait un grand tour touristique dans la campagne. On termine à pieds par un petit chemin ombragé pour arriver à la plage.
— Regardez, comme on est bien ici, nous dit Marie en déposant les serviettes et quittant sa robe sous laquelle elle est nue. Ici pas de risque !.
Mélina en un geste enlève son tee-shirt qui lui sert de robe et son slip avant de s'allonger sur la serviette à l'exemple de Marie. Je suis encore debout, surpris face à elles deux allongées sur la même serviette :
— Alors John, toujours un temps de retard ! s'écrie Marie en riant.
C'est pas possible, les garces se sont donné le mot pour me mettre en boîte. Alors je m'en amuse et leur offre un petit spectacle en me déshabillant aussi lentement que provocateur, sous leurs quolibets et leurs cris d'admiration. Enfin je les rejoins en les gratifiant chacune d'un bisou et en laissant Mél entre nous deux. Je ferme les yeux et profite du vent qui court sur moi
— On n'est pas bien ici ? Demande Marie
— Mmm, mmm ... Mouiiiiiiiii, c'est bon, continue !
La nonchalance de ma copine me fait lever la tête. Je ne m'étais pas rendu compte que la femme lui caressait la cuisse jusqu'à arriver sur l'aine et finalement se poser au creux du ventre. Presque tout de suite le majeur s'agite frénétiquement dans les chairs secrètes alors que Mel s'offre totalement en ouvrant les cuisses. Visiblement les deux ont leurs habitudes :
— Hummm... miaule Mélina. C'est bon... Tu te rappelles de la première fois ?
— Nous deux ?... Comment pourrais-je l'oublier ma chérie... C'était il y a cinq ans au moins, après avoir vu la saillie d'une jument en plein champs, un truc qui t'avait mis dans tous tes états... Il faisait chaud et dans une clairière on s'est déshabillées... On s'est aimées... Le soir, avec Georges, on a fait l'amour tous les trois
— Oui c'est ça... Presque un dépucelage... Mmmm ! C'est bon, continue...
Après un long silence de rêverie, de souvenirs, seulement troublé par le vent du large et le cri des mouettes, quelques gémissements et un chuintement de plus en plus humide, Mélina se gratte la gorge et reprend
— Dis-moi, c'est la première fois que tu m'amènes à la plage.
— C'est la première fois que tu viens en cette saison ! Ça fait longtemps que tu n'es pas venue.
— Ouais... Il y a deux ans en hiver la dernière fois, Rex était un jeune chiot.
— Effectivement il n'a pas 3 ans.
— Il est superbe...
— Ouais... Comme tu dis, le labrador est très attachant... Allez, assez parlé, il fait chaud on va se baigner... Mets ton maillot.
Les deux filles dévalent la pente qui les conduit à la plage en se tenant par la main, elles parlent, rigolent, je n'entends que des bribes de leur conversation.
Je les laisses filer devant, elles entrent dans l'eau sans ralentir au milieu de grandes gerbes d'eau, tombent, se relèvent et s'étreignent. L'eau me paraît froide, Je sautille avant de me jeter dans l'eau, je fais les trois brasses pour les rejoindre ; ensemble elles tapent dans l'eau pour m'arroser et m'empêcher de les approcher mais en deux brasses sous l'eau je les atteins en les prenant chacune à l'entrejambe. Mes doigts ont tôt fait d'écarter le tissus des maillots et à les tenir au ventre. Les deux me prennent par les épaules, on chahute, on rigole, on s'embrasse. Malgré tout, la fraîcheur a raison de nous et nous retournons en courant jusqu'à nos serviettes.
A l'abri des regards on quitte les maillots et s'enveloppe dans les serviettes. Je m'allonge à côté de Mél. Marie lui fait un bisou et sûre d'elle, vient sur moi et écarte ma serviette. A genoux entre mes jambes, elle grelotte, elle a la chair de poule, ses tétons sont tout durs. Elle prend à deux mains ma quéquette congelée qui a diminué de moitié, elle en rigole mais sait me réchauffer en me suçant, tout comme je la ranime en lui palpant les nichons. Ils grossissent comme mon sexe se réveille, je bande dur. La femme alors me chevauche et me cloue au sol de ses mains sur mes épaules, à califourchon son sexe encore glacé est contre moi, elle se positionne... Ça y est je suis en elle. Elle est experte, je la laisse faire en l'accompagnant, mes mains sur les hanches avant d'encercler son dos de mes bras et de la plaquer sur ma poitrine. Ses seins sont encore froids, nos lèvres fraîches s'unissent pour la première fois en un vrai baiser d'amour. Sous les yeux de Mél notre coït se poursuit, elle vient contre nous, place une jambe entre les nôtres. J'ai son ventre contre ma cuisse, mon bras sous elle et je la tiens par les fesses ; elle caresse le dos de la femme et m'embrasse en retrouvant le goût de l'autre salive. Elle danse à notre rythme, on fait l'amour à trois. Malgré mes gémissements Marie ne ralentit pas et je l'arrose dans un râle sourd. Nous jouissons ensemble, nos respirations s'accélèrent, nos langues passent d'une bouche à une autre dans un grognement continu.
Marie se détache de moi, vire sur le côté, je reste inanimé au sol. Mél se penche sur moi, me branle un peu avant de me sucer deux, trois fois pour bien me vider, puis s'allonge en travers de moi pour arriver sur Marie. Elle l'embrasse à pleine bouche, puis la tète et se retrouve entre ses cuisses à lui faire un cunni très gourmand et la nettoyer, encouragée de ses gémissements. Enfin tout se calme, Mél revient à mon côté en m'embrassant à nouveau, ses lèvres couvertes du nez au menton, de bave et mouille. C'est Marie qui sonne le départ
— Oh, mes chéris, déjà six heures, rentrons vite à la maison.
Le retour me paraît plus court, la route est large et rapidement nous entrons dans la cour de la ferme où Rex nous attend en aboyant comme pour nous reprocher notre absence
On sort de la douche quand le téléphone sonne :
— Allo !... Nadine ! Bonsoir... Oui les enfants sont bien arrivés (j'en déduis que c'est la mère de Mélina) On rentre de la plage... John, tu ne le connais pas ?... Il est super sympa, mignon, un gendre idéal, ah ! Ah ! Ah !... Ils ont bossé toute la matinée... Vachement sérieux, t'inquiète pas...
C'est vrai, vous avez idée de venir ?... Ce week-end, génial... OUI !... Réserver un hôtel, pourquoi ?.... Non, non. ! On s'arrangera crois-moi, je trouverai une solution.... NON ! Je te dis, t'inquiète pas... On vous attend samedi en milieu d'après-midi.... d'accord j'embrasse Mélina... A samedi, gros bisous.
En peignoir de bain on rejoint Marie dans le séjour :
— Tu as entendu Mél ? Tes parents viennent ce week-end.
— Euh... oui.
— Tu n'es pas contente ?
— SI, mais... Un peu gênée vis à vis de John, de le mettre devant le fait accompli, j'aurai préféré que nous choisissions le moment.
— Ben... ça sera une sorte d'officialisation, elle éclate de rire, de fiançailles !
— TU RIGOLES !!! Riposte-t-elle avec force.
— Attends, tu sais que tes parents ne sont pas bégueules, le difficile sera de les libérer vis à vis de vous deux et pour ça j'ai ma petite idée.
Dans le jardin Georges nous appelle. Il est dans la piscine, Marie le rejoint en sautant à pieds joints mais après la baignade en mer je reste avec Mélina que je sens préoccupée par la visite de ses parents :
— T'inquiète ! De ce que tu m'en as dit et des commentaires de Marie, tes parents semblent être large d'esprit.
— Ouais mais de là à baiser à côté d'eux.
— Non mais... Rien ne nous obligera de le faire à leur vue, contrairement au piège dans lequel je suis tombé avec mon beau-père.
On parle encore longtemps pendant que Georges et Marie batifolent dans l'eau jusqu'à ce qu'ils nous retrouvent enveloppés de serviettes. Les nuages ont obscurci le ciel, il fait frais et on entre dans le séjour.
Après s'être rhabillés on prépare la table pour dîner, Marie prépare une salade et réchauffe le ragout de la veille, Georges remonte les fromages et une bouteille de vin de la cave. Avec Mél nous mettons la table. Rex encourage en aboyant et avec une léchouille par-ci par-là.
Le repas est animé d'histoires et de rigolades. Après une bonne partie de tarot alors que le coucou de la cuisine nous dit qu'il est onze heures Jo décide qu'il est temps de se coucher.
La cohabitation des quatre dans la salle de douche est l'occasion de blagues et de caresses coquines, puis chacun regagne sa chambre en laissant les portes ouvertes.
Mélina telle une chatte se blottit contre moi, je l'enserre dans mes bras, la cajole, l'embrasse tendrement dans le cou. Dans la chambre voisine on entend des murmures, des rires, des froissements de draps.
Depuis un moment Mélina me fait face, les baisers amoureux remplacent les bisous. Elle me pousse sur le dos et dans le mouvement me chevauche, comme si c'était nécessaire sa main me guide, je suis en elle. Nos lèvres se joignent, ses gémissements se mélanngent à ceux de la chambre d'à côté jusqu'à ce qu'on voit la lumière dans la salle de bains.
Les précautions du début de la nuit ont disparues et nous nous rendons compte que nous sommes autant exhibitionnistes que voyeurs. Nous nous abandonnons l'un à l'autre sans retenue. Nous atteignons le nirvana au moment où Marie passe la tête dans notre chambre : « Bonne nuit mes chéris! »
Je repense alors à hier... Notre arrivée en Normandie, la rencontre de Marie et Georges, leur liberté de vie...
Ça y est les images défilent à toute vitesse, Georges et moi, puis Mél broutant Marie... Je me rapproche de ma copine, me presse contre elle, elle est toute chaude, je la prends par le sein. Elle se colle mollement à moi, remue à peine les fesses, je bande tout de suite et ma queue se loge dans le vallon de son cul. Elle grogne un peu, s'agite encore, écarte une cuisse et à l'aide de sa main elle m'enserre la bite entre elles :
— Hummm, déjà réveillé chouchou !... T'as bien dormi ?
— Oui très bien et toi ?
— Super... Hier soir j'étais crevée mais maintenant ... Mmmm, j'ai envie...
Elle se retourne, m'embrasse à pleine bouche et me prend par les couilles. Elle rampe vers le bas jusqu'à avoir ma queue à ses lèvres. Une lichette sur le frein et elle l'avale, le suce comme une friandise. Ses mains sont fraîches, les miennes se perdent dans ses cheveux. J'accompagne sa fellation et ne résiste pas longtemps en lui donnant tout, elle déglutit avec gourmandise puis d'un saut de carpe revient à ma hauteur pour partager ma jouissance, à nouveau sa langue tourne autour de la mienne et elle termine par un bisou.
— Mais maintenant... Mmmm, j'ai envie de manger, dit-elle en me souriant.
Elle passe juste un tee-shirt qui lui couvre les fesses, moi un jean et un polo. On traverse les pièces désertes, ouvertes sur le jardin et en ouvrant la porte, nous entrons dans la cuisine où Marie prend le café avec un ouvrier agricole :
— Entrez mes chéris, venez, venez, je vous présente Jeannot mon ouvrier puis se tournant vers lui. Voici ma cousine Mélina et son copain John.
Après un discret baiser à Marie et une poignée de main à Jeannot
— Bon, mes chéris, Georges est déjà parti travailler, je vais vous laisser. Vous vous arrangez, voilà le lait, le beurre de la ferme, la cafetière est pleine, là dans le placard vous trouverez tout ce que vous voulez, la confiture est maison avec les fruits du verger. Avec Jeannot je vais aller à la coopérative et ensuite nous rejoindrons Jo aux champs pour casser la croûte, je ne serai pas de retour avant le milieu de l'après midi. Faîtes comme chez vous, installez-vous sur la table du salon pour travailler, profitez du jardin, personne ne vous dérangera. Allez je file à tout à l'heure, Rex, tu viens !
Les deux partent en voiture avec le chien, d'un coup le silence fait place à l'agitation dans la cour.
On petit-déjeune, on apprécie le lait et le beurre qui n'ont rien à voir avec celui de la ville... quant à la confiture, Humm !. Après une douche juste câline à se laver mutuellement, le sérieux de Mélina prend le dessus et nous impose de travailler sur la table du salon. La pièce est grande ouverte sur le jardin, seul le chant des oiseaux nous distrait.
Après plus de deux heures de travail, Mélina me demande un café et sitôt bu, on se replonge dans nos papiers
Au loin les cloches du village marquent le temps qui passe et bien plus tard sonne l'Angélus, le jardin qui était à l'ombre ce matin, est plein de soleil et il commence à faire chaud. A force de gesticuler, de me lever, d'aller et venir je déconcentre Mélina qui lève la tête et sort de la maison en furie. Hop le tee-shirt passe au dessus de sa tête et en une seconde "Ploufff" elle est dans l'eau en se moquant de moi.
— Toujours un temps de retard !!! Juste le temps de me débarrasser des jean et débardeur et je saute à pieds joints
— Ah !... Ah ouais... Il commençait vraiment à faire chaud...
En deux mouvements elle me rejoint et s'accroche comme un singe à mon cou et mes hanches, elle m'embrasse amoureusement. Mon sexe est contre le sien, un peu mollasson, elle bouge le bassin et me réveille. Ma queue se loge au creux de ses fesses, je sens sa vulve mais la coquine s'élève quand je suis au point de la pénétrer
— Ben oui... c'est mieux ainsi. Elle recommence maintes fois son va-et-vient, joue encore un peu sans jamais conclure jusqu'au moment où elle bondit hors de l'eau en s'appuyant sur mes épaules et m'enfonçant dans la piscine. Suffit ! On sort !
— NOOON !... Tu n'es qu'une allumeuse. Mais déjà elle est sortie en éclatant de rire.
— Je vais nous préparer une salade ! Et toi, mets un peu d'ordre dans tes papiers.
J'ai à peine le temps de sortir, de retourner à notre table de travail, qu'elle sort de la cuisine avec un grand saladier plein de tomates, haricots verts, salade verte, jambon, fromage, fourchettes, pain. On casse la croûte sur le gazon, on parle un peu boulot, beaucoup de la ferme, Mél paraît contente du travail accompli, il est vrai qu'à ce rythme je pense qu'en une semaine on aura fini nos rapports.
On s'installe sous le parasol et elle s'empare d'un bouquin tandis que... je m'endors. Il sera dit que les gonzesses sont plus sérieuses que les mecs.
....Un peu plus tard....
— COUCOU MES CHÉRIS !!! » Crie Marie en rentrant dans la cuisine « C'est moi »
Le réveil est brutal, je me redresse sur le transat d'un coup alors que Mél s'étire comme une chatte :
— Hmmmm ! qu'est-ce que j'ai dormi ! Au moment où Marie nous rejoint dans le jardin.
— Ah ! Ben dis donc c'est comme ça que vous bossez.
— Ouais, ouais on a sacrément bossé, que je m'écrie, regarde dans le salon.
— J'ai vu beaucoup de papiers, c'est bien ! Bon si ça vous convient on va faire un tour au bord de mer, je connais un coin tranquille.
Peu après nous voilà dans la 2 CV, les deux nanas devant, moi derrière, on fait un grand tour touristique dans la campagne. On termine à pieds par un petit chemin ombragé pour arriver à la plage.
— Regardez, comme on est bien ici, nous dit Marie en déposant les serviettes et quittant sa robe sous laquelle elle est nue. Ici pas de risque !.
Mélina en un geste enlève son tee-shirt qui lui sert de robe et son slip avant de s'allonger sur la serviette à l'exemple de Marie. Je suis encore debout, surpris face à elles deux allongées sur la même serviette :
— Alors John, toujours un temps de retard ! s'écrie Marie en riant.
C'est pas possible, les garces se sont donné le mot pour me mettre en boîte. Alors je m'en amuse et leur offre un petit spectacle en me déshabillant aussi lentement que provocateur, sous leurs quolibets et leurs cris d'admiration. Enfin je les rejoins en les gratifiant chacune d'un bisou et en laissant Mél entre nous deux. Je ferme les yeux et profite du vent qui court sur moi
— On n'est pas bien ici ? Demande Marie
— Mmm, mmm ... Mouiiiiiiiii, c'est bon, continue !
La nonchalance de ma copine me fait lever la tête. Je ne m'étais pas rendu compte que la femme lui caressait la cuisse jusqu'à arriver sur l'aine et finalement se poser au creux du ventre. Presque tout de suite le majeur s'agite frénétiquement dans les chairs secrètes alors que Mel s'offre totalement en ouvrant les cuisses. Visiblement les deux ont leurs habitudes :
— Hummm... miaule Mélina. C'est bon... Tu te rappelles de la première fois ?
— Nous deux ?... Comment pourrais-je l'oublier ma chérie... C'était il y a cinq ans au moins, après avoir vu la saillie d'une jument en plein champs, un truc qui t'avait mis dans tous tes états... Il faisait chaud et dans une clairière on s'est déshabillées... On s'est aimées... Le soir, avec Georges, on a fait l'amour tous les trois
— Oui c'est ça... Presque un dépucelage... Mmmm ! C'est bon, continue...
Après un long silence de rêverie, de souvenirs, seulement troublé par le vent du large et le cri des mouettes, quelques gémissements et un chuintement de plus en plus humide, Mélina se gratte la gorge et reprend
— Dis-moi, c'est la première fois que tu m'amènes à la plage.
— C'est la première fois que tu viens en cette saison ! Ça fait longtemps que tu n'es pas venue.
— Ouais... Il y a deux ans en hiver la dernière fois, Rex était un jeune chiot.
— Effectivement il n'a pas 3 ans.
— Il est superbe...
— Ouais... Comme tu dis, le labrador est très attachant... Allez, assez parlé, il fait chaud on va se baigner... Mets ton maillot.
Les deux filles dévalent la pente qui les conduit à la plage en se tenant par la main, elles parlent, rigolent, je n'entends que des bribes de leur conversation.
Je les laisses filer devant, elles entrent dans l'eau sans ralentir au milieu de grandes gerbes d'eau, tombent, se relèvent et s'étreignent. L'eau me paraît froide, Je sautille avant de me jeter dans l'eau, je fais les trois brasses pour les rejoindre ; ensemble elles tapent dans l'eau pour m'arroser et m'empêcher de les approcher mais en deux brasses sous l'eau je les atteins en les prenant chacune à l'entrejambe. Mes doigts ont tôt fait d'écarter le tissus des maillots et à les tenir au ventre. Les deux me prennent par les épaules, on chahute, on rigole, on s'embrasse. Malgré tout, la fraîcheur a raison de nous et nous retournons en courant jusqu'à nos serviettes.
A l'abri des regards on quitte les maillots et s'enveloppe dans les serviettes. Je m'allonge à côté de Mél. Marie lui fait un bisou et sûre d'elle, vient sur moi et écarte ma serviette. A genoux entre mes jambes, elle grelotte, elle a la chair de poule, ses tétons sont tout durs. Elle prend à deux mains ma quéquette congelée qui a diminué de moitié, elle en rigole mais sait me réchauffer en me suçant, tout comme je la ranime en lui palpant les nichons. Ils grossissent comme mon sexe se réveille, je bande dur. La femme alors me chevauche et me cloue au sol de ses mains sur mes épaules, à califourchon son sexe encore glacé est contre moi, elle se positionne... Ça y est je suis en elle. Elle est experte, je la laisse faire en l'accompagnant, mes mains sur les hanches avant d'encercler son dos de mes bras et de la plaquer sur ma poitrine. Ses seins sont encore froids, nos lèvres fraîches s'unissent pour la première fois en un vrai baiser d'amour. Sous les yeux de Mél notre coït se poursuit, elle vient contre nous, place une jambe entre les nôtres. J'ai son ventre contre ma cuisse, mon bras sous elle et je la tiens par les fesses ; elle caresse le dos de la femme et m'embrasse en retrouvant le goût de l'autre salive. Elle danse à notre rythme, on fait l'amour à trois. Malgré mes gémissements Marie ne ralentit pas et je l'arrose dans un râle sourd. Nous jouissons ensemble, nos respirations s'accélèrent, nos langues passent d'une bouche à une autre dans un grognement continu.
Marie se détache de moi, vire sur le côté, je reste inanimé au sol. Mél se penche sur moi, me branle un peu avant de me sucer deux, trois fois pour bien me vider, puis s'allonge en travers de moi pour arriver sur Marie. Elle l'embrasse à pleine bouche, puis la tète et se retrouve entre ses cuisses à lui faire un cunni très gourmand et la nettoyer, encouragée de ses gémissements. Enfin tout se calme, Mél revient à mon côté en m'embrassant à nouveau, ses lèvres couvertes du nez au menton, de bave et mouille. C'est Marie qui sonne le départ
— Oh, mes chéris, déjà six heures, rentrons vite à la maison.
Le retour me paraît plus court, la route est large et rapidement nous entrons dans la cour de la ferme où Rex nous attend en aboyant comme pour nous reprocher notre absence
On sort de la douche quand le téléphone sonne :
— Allo !... Nadine ! Bonsoir... Oui les enfants sont bien arrivés (j'en déduis que c'est la mère de Mélina) On rentre de la plage... John, tu ne le connais pas ?... Il est super sympa, mignon, un gendre idéal, ah ! Ah ! Ah !... Ils ont bossé toute la matinée... Vachement sérieux, t'inquiète pas...
C'est vrai, vous avez idée de venir ?... Ce week-end, génial... OUI !... Réserver un hôtel, pourquoi ?.... Non, non. ! On s'arrangera crois-moi, je trouverai une solution.... NON ! Je te dis, t'inquiète pas... On vous attend samedi en milieu d'après-midi.... d'accord j'embrasse Mélina... A samedi, gros bisous.
En peignoir de bain on rejoint Marie dans le séjour :
— Tu as entendu Mél ? Tes parents viennent ce week-end.
— Euh... oui.
— Tu n'es pas contente ?
— SI, mais... Un peu gênée vis à vis de John, de le mettre devant le fait accompli, j'aurai préféré que nous choisissions le moment.
— Ben... ça sera une sorte d'officialisation, elle éclate de rire, de fiançailles !
— TU RIGOLES !!! Riposte-t-elle avec force.
— Attends, tu sais que tes parents ne sont pas bégueules, le difficile sera de les libérer vis à vis de vous deux et pour ça j'ai ma petite idée.
Dans le jardin Georges nous appelle. Il est dans la piscine, Marie le rejoint en sautant à pieds joints mais après la baignade en mer je reste avec Mélina que je sens préoccupée par la visite de ses parents :
— T'inquiète ! De ce que tu m'en as dit et des commentaires de Marie, tes parents semblent être large d'esprit.
— Ouais mais de là à baiser à côté d'eux.
— Non mais... Rien ne nous obligera de le faire à leur vue, contrairement au piège dans lequel je suis tombé avec mon beau-père.
On parle encore longtemps pendant que Georges et Marie batifolent dans l'eau jusqu'à ce qu'ils nous retrouvent enveloppés de serviettes. Les nuages ont obscurci le ciel, il fait frais et on entre dans le séjour.
Après s'être rhabillés on prépare la table pour dîner, Marie prépare une salade et réchauffe le ragout de la veille, Georges remonte les fromages et une bouteille de vin de la cave. Avec Mél nous mettons la table. Rex encourage en aboyant et avec une léchouille par-ci par-là.
Le repas est animé d'histoires et de rigolades. Après une bonne partie de tarot alors que le coucou de la cuisine nous dit qu'il est onze heures Jo décide qu'il est temps de se coucher.
La cohabitation des quatre dans la salle de douche est l'occasion de blagues et de caresses coquines, puis chacun regagne sa chambre en laissant les portes ouvertes.
Mélina telle une chatte se blottit contre moi, je l'enserre dans mes bras, la cajole, l'embrasse tendrement dans le cou. Dans la chambre voisine on entend des murmures, des rires, des froissements de draps.
Depuis un moment Mélina me fait face, les baisers amoureux remplacent les bisous. Elle me pousse sur le dos et dans le mouvement me chevauche, comme si c'était nécessaire sa main me guide, je suis en elle. Nos lèvres se joignent, ses gémissements se mélanngent à ceux de la chambre d'à côté jusqu'à ce qu'on voit la lumière dans la salle de bains.
Les précautions du début de la nuit ont disparues et nous nous rendons compte que nous sommes autant exhibitionnistes que voyeurs. Nous nous abandonnons l'un à l'autre sans retenue. Nous atteignons le nirvana au moment où Marie passe la tête dans notre chambre : « Bonne nuit mes chéris! »
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