Etre John et Jane 14 - Soumis à ma soeur

- Par l'auteur HDS John62 -
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Récit libertin : Etre John et Jane 14 - Soumis à ma soeur Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Etre John et Jane 14 - Soumis à ma soeur
J'ai une relation fusionnelle avec Valérie, mon ainée de dix ans environ au point que nous nous considérons comme frère et sœur ( de cœur), de par son âge, son ascendance, je me suis toujours senti sous sa protection, sous son influence. Après avoir été dépucelé par mon cousin, ma grande sœur m'a fait découvrir avec ma tante ma double personnalité et m'a conduite sur le chemin du travestissement. Sa force de caractère s'est imposée à mon apathie jusqu'à me faire accepter puis prendre l'habitude de porter une cage de chasteté.
Ce matin en souvenir de nos vacances elle m'offre un joli un collier de chien. « Prends le un peu comme une alliance » me dit-elle en me l'attachant au cou. Je n'imagine pas la suite de l'histoire. Nous sommes tous les deux, mes oncle et tante étant partis à Montpellier.

— Jane, habille-toi je t'emmène à la plage. Quand elle me voit prendre maillot et short elle conteste, non non Jane, enfile juste ton tee-shirt. C'est un truc, souvenir d'un voyage en Grèce, qui m'arrive à mi cuisse
— Vali, pas comme ça. On voit tout ! Même la cage au creux de mon ventre
— Depuis quand que ça te gêne de te balader les fesses à l'air ? Allez ne perdons pas de temps. Je t'emmène du côté du Grau-du-Roi, tu ne connais pas, tu verras c'est naturiste et très sympa. Allez, file te donner un coup de brosse et mettre de la crème solaire sur le visage.

Nous voilà parti en voiture et après une demi-heure, on arrive sur place, on va tout au fond du parking. Au moment de descendre elle met une laisse à mon collier.

— Valérie ! Mais... les paroles de ma désapprobation restent inaudibles
— Allez Jane, prends ce sac et viens.

Je trouve ça un peu ridicule mais si ça l'amuse. Elle me tient par la laisse et je marche à son bras. Sur la plage nous avançons d'un pas décidé et passons presque inaperçus, je me sens rassurée. On marche au moins dix minutes au bord de l'eau parmi les familles en maillot de bain. Avant de voir le panneau salvateur "Zone naturiste". Sauf que je ne me sens mal quand Valérie me demande de quitter mon tee-shirt et de marcher nu derrière elle, avec ma cage de chasteté qui brille au soleil en révélant ma soumission
La plage fait au moins 30 mètres de large, des couples âgés, des familles jouent, bavardent, se baignent profitant de leur liberté. Après un passage mal aisé, on se trouve sur une plage beaucoup plus étroite, bordée sur l'arrière de dunes et d'arbustes.

L'ambiance change de tout au tout, plus d'enfants, plus de familles, mais des couples qui se font des câlins, des promeneurs qui circulent. Ça bouge un peu, des gens vont sur l'arrière ou reviennent des dunes. Plus on avance, plus c'est chaud, les couples sont alors trios voire mini groupes, les câlins deviennent caresses et baisers amoureux.

— Jane on va plus loin, ici ce sont les hétéros !

Depuis un moment, deux mecs nous suivent, juste derrière nous maintenant de sorte qu'on les entend « Regarde mon Jacot, on se les ferait bien... Ouais moi celle aux nichons de gamine... Moi c'est le p'tit mignon qui me plaît , regarde-moi ce p'tit cul ! »

En même temps nous arrivons à un point particulièrement chaud, une fille se caresse ouvertement devant deux mecs qui se sucent, tous trois sont observés du haut des dunes par quatre types en train de se palucher librement.

— Jane, qu'en dis-tu ? Ici dans ce coin on est à l'abri du vent et pour l'instant à l'ombre... J'étale les serviettes comme si je n'avais pas compris son jeu..
— Ouais à l'ombre... Et avec un accès direct aux dunes, il doit s'en passer des choses là derrière.
— Oui ! Ça dépend, on ira voir plus tard.
— Regarde il y a déjà deux mecs qui nous observent.
— Normal, heureusement qu'il y a des voyeurs pour les exhibitionnistes.
— Exhibitionnistes ! (Le mot me met face à une réalité)...Oui mais depuis tout à l'heure ils nous suivent.
— Ces deux là ? ( en montrant ostensiblement du doigt les deux types, leur indiquant son intérêt.) Sympas, c'est prometteur !... Bien, tu sais même à l'ombre le soleil brûle alors mets-moi de la crème.

Elle reste sur le dos, les bras croisés sous sa tête. A genoux à son côté, je mets une petite noisette de crème sur chaque sein et tout de suite les masse en allant vers le sommet pour triturer les tétons

— Place-toi mieux que ça et embrasse-moi !

A califourchon sur ses cuisses, mes fesses s'écartent dans le vide, sans me rendre compte qu'entre mes cuisses on ne voit que mon sexe en cage. Je m'allonge et l'embrasse à pleine bouche avant de poursuivre ma tâche, sur le cou, les épaules et toute la poitrine. Arrivé sur le pubis, je ne sais quel démon m'anime, je creuse les reins pour me faire voir. Elle s'amuse à me voir « T'es une coquine, occupe-toi du verso. »

Je me soulève pour lui permettre de se mettre sur le ventre entre mes jambes, je reprends ma place sur les cuisses. Quatre, cinq noisettes sur le dos, une sur chaque fesse. Je la masse avec douceur et termine en lui trifouillant la pastille d'un, deux doigts. Son bassin se met tout de suite en marche mais rapidement d'un coup de reins elle me repousse en grognant « Arrête ! Tu vas me faire jouir... Allonge-toi, plutôt ! »

A genoux entre mes jambes, elle s'occupe d'abord de mon dos, et termine son massage en décrivant avec ses tétons de grandes arabesques, puis elle continue sur le ventre, ses mains terminent en s'emparant de mes tétons et les brutalisent. Je gémis de douleur alors qu'elle m'embrasse dans le cou et me murmure :

— Reposons-nous un peu avant d'aller dans les dunes... On se bécote, se caresse, je la pelote gentiment. Les yeux fermés, elle se laisse faire puis grogne. Je vais te donner à tous ceux qui te voudront, tu les suceras et ils te sodomiseront.

Les deux types qui nous suivaient, sont à présent tout à côté de nous, D'une caresse sur le pied, d'un raclement de gorge ils signalent leur présence. Deux mecs, 30 ans max, l'un à la peau mate, tout poilu et costaud, l'autre blondinet, imberbe me ressemble. Sans réaction de notre part, ils considèrent qu'il y a approbation. Je sens un frôlement sur mon mollet, une main se pose au creux du genoux, s'enhardit et remonte à la jonction des cuisses. Le blondinet, s'installe près de Valérie, appuyé sur un coude il lui parle tout bas, d'une main sans gêne il palpe le sein

— DOUCEMENT s'il te plaît, pas si vite, tu me fais mal !

Cette recommandation bien au contraire le libère, il se met entre ses cuisses et lui bouffe la chatte. « Doucement ! Je t'ai dit »
Le plus costaud, se couche contre moi, je sens sa respiration, sa poitrine sur mon bras, son poil est doux et agréable, il me caresse les fesses, insiste sur la raie du cul, il me murmure à l'oreille :

— Décontracte-toi mon chéri, j'aime beaucoup les p'tits jeunes de ton genre !

Il m'embrasse dans le cou, me suce le lobe de l'oreille, sa main me pelote sans vergogne, j'y réponds en creusant les reins. Il profite de ma participation pour se mettre à genoux me foutre sa queue en main, il est sur le point de m'imposer une fellation quand Valérie jure :

— STOP !!! Pas sur la plage, allons dans les dunes !

Les dunes... le mot est lâché et Valérie va se lâcher. Elle me prend par la laisse et emporte les serviettes, je la suis alors que le mec balaise me prend par la taille. On s'enfonce dans la végétation et là, le spectacle est époustouflant... Les bosquets forment des alcôves dans lesquelles se trouvent par-ci, par-là deux ou trois types se faisant du bien. Notre passage ne gêne en rien les accouplements. Valérie continue à chercher l'alcôve qui lui convient, mon gorille commence à se faire impatient, sa main me fouille l'arrière-train et a trouvé l'orifice recherché.

— Dis donc chéri, tu mouilles sacrément. Et ta queue en cage ? C'est ta copine qui t'a puni... Moi je m'en fous, je suis exclusivement actif.

Ça y est Valérie a trouvé sa place à l'ombre, dans un bosquet, un chêne liège domine la végétation. Du tronc partent en V deux branches maîtresses entre lesquelles elle pose une serviette et m'oblige à y appuyer la poitrine en attachant ma laisse à la souche sans que je puisse vraiment me redresser. Ainsi elle m'offre debout en levrette, le fessier tourné vers le chemin et la tête et les bras ballants vers la végétation, sans que je puisse voir ce qui se passe derrière moi. Elle s'allonge sur l'autre serviette à côté de moi. Les cigales chantent à tue-tête, il fait chaud.
Le grand type qui m'accompagne, se plante fièrement devant moi, en lents et longs mouvements il se masturbe, sa queue grossit, s'allonge, il m'observe, son gland est une poire brun foncé plus grosse que le manche. Il le passe sur mes lèvres, le bout de ma langue va à sa rencontre, le touche ce qui l'encourage et en deux trois coups il me défonce la bouche en geignant « Tiens gourmande, suce ! » jusqu'à atteindre la glotte. Je le reçois avec un "Beurk" , un flot de bave et le repousse des deux mains en le regardant suppliant, les yeux larmoyants. « Pas si fort, s'il te plaît »

Derrière moi, il y a du mouvement, on me caresse, on écarte mes fesses, un doigt, un nez circule dans la raie, on me fait une feuille de rose. Un doigt me pénètre, deux, façonnent l'anus. L'inconnu se positionne, je le sens, il me mouille encore de ses doigts, grogne entre ses dents « Mieux que ça, donne ton cul salope que je te défonce » Je cambre mieux le dos, relève les fesses et d'un coup de reins il est en moi, d'un deuxième, il me prend à fond, son pubis contre mes fesses. Il me burine quatre, cinq fois, se couche sur mon dos, m'encercle de ses bras en me prenant aux seins. Il est brutal, me laboure à grands coups saccadés, je sens tout de suite ses couilles me frapper tandis qu'il me triture les tétons à me faire mal.

Le gars de la plage et l'inconnu me baisent ensemble et quand ils me laissent souffler, je vois ma sœur souriante, allongée au sol, se faire brouter le minou par le petit jeune « Pas mal Jane comme mise-en-bouche ! ».

Rapidement les deux gars changent de position. Je découvre l'inconnu, un type d'une soixantaine d'années au poil gris, au ventre glabre. Il me frappe la joue de sa queue et me tire par les cheveux pour que je le regarde « Dis donc j'te connais pas... T'es toute mignonne, il se penche et me balaie le visage de sa langue, une belle gueule, une chatte bien souple et des vrais tétons de fille. Tu suces aussi bien que tu baises ??? » Et il m'enfonce son chibre en bouche

En même temps l'autre type me tient fermement par les hanches, son gland pousse sur l'anus, mon anneau n'en finit pas de se dilater, j'ai l'impression que c'est la main de Valérie qui me pénètre. Une grande claque sur la fesse détourne mon attention et ça y est, il est en moi, avec précaution il me pénètre puis commence à m'usiner « Hmmmm, Jane !... Je me sens Gainsbard, et il se met à chantonner "Je vais et je viens entre tes reins" La Birkin n'avait pas plus de nichon que toi ! »
Et ''Vlan'' il me frappe à nouveau puis caresse et recommence plus violemment en m'arrachant un petit cri de douleur et ainsi de suite, de plus en plus fort, de plus en plus rapide, mes fesses me brûlent alors que les deux hommes me bourrent simultanément.

L'inconnu que je suce, alterne branlette vigoureuse et baise brutale de ma bouche, ça ne dure pas longtemps avant qu'il me jute sur le visage et se vide dans ma bouche. Il nous quitte d'un ''Oh Yeah'' alors que je vomis la semence qui emplit ma bouche.

Les claques et gémissements s'entendent de plus en plus. Un vieux monsieur à la peau tannée, émacié, presque chauve, fait le tour de notre groupe. Il s'approche timidement et me présente une longue queue mollassonne. La poitrine appuyée sur la serviette entre les branches, je le prends en main, une lui malaxant les couilles, deux noix au fond d'un sac, l'autre lui relevant le gland pour le prendre en bouche tout en lui massant la tige flexible comme un ajonc.
Avec beaucoup d'attention et de patience je le suce, le masse, le branle. Peu à peu la queue grossit, devient plus ferme, j'ai même l'impression que le scrotum se remplit progressivement. Satisfait, il me prend la tête à deux mains et accompagne mon va-et-vient.
A mes pieds Valérie en levrette, montée par le petit jeune me regarde en se plaisantant « Jane tu réveillerais un mort... » Ce qui est certain c'est que le vieux monsieur a rajeuni de dix ans et qu'il me crache à la gueule toute sa sauce en maugréant « Ah ouais, suce bien ! »

Une main fraîche et légère s'ajoute aux paluches qui me font aller d'avant en arrière, puis il y a des murmures et d'un coup celui qui me laboure me repousse et accroupi, telle une grenouille encule son petit copain qui empapaoute ma sœur et les voilà tous les trois à baiser comme des lapins.

Nous sommes entourés de mâles de tous âges qui maintiennent ou préparent leurs virilités

La place libérée, mes fesses sont prises par un nouveau venu très grand, il fléchit les genoux pour me pénétrer, sa queue est longue comme une dague. son gland tape directement sur la prostate et glisse profondément sur mon fourreau. Il est sur mon dos, tyrannise un téton et manipule ma cage comme pour la détacher. Il me susurre à l'oreille avec un fort accent anglais:

— You smell good my baby... Fell me well ? I'm not as fat as the man before.
— Not so fat... But much longer..

Je n'ai pas le temps de terminer qu'un black me fourre sa queue en bouche « Suce salope ! » Je suis habituée aux gros morceaux et là je ne suis pas déçue. Il me traite comme une pute, me pelote comme une pute, je n'ai qu'à me soumettre.

L'anglais me ramone en touchant sans cesse la prostate de sorte que je jouis sans contraction prisonnier dans ma cage. L'anglais accélère dangereusement sa fornication et se vide longuement en moi. En se retirant de mes fesses le trop plein s'écoule sur mes cuisses

J'entends des murmures, je sens des mains de partout, je reçois des giclées de sperme. Valérie s'est mise à genoux face aux deux copains de la plage, il y a du monde qui arrive.

Je n'ai pas le temps de réagir que c'est maintenant une épaisse colonne de chair qui entre et sort de mon petit trou . Au milieu du chant des cigales on entend un ''Han !'' accompagné du choc sourd de la rencontre de nos corps.

Et là je perds toutes notions du temps, ça se succède dans mon anus, ma bouche continue d'accueillir les bites les unes après les autres les goûts des différents spermes se succèdent,
ma bouche toujours pleine  mon cul plus que rempli, je sens le trop plein couler le long de mes cuisses. En même temps je sens des verges qui me caressent ou me claquent les hanches et les joues et des giclées de sperme sur mes cuisses, je ne sais combien de types nous entourent, deux types se branlent dans le dos de Valérie alors qu'elle en suce trois.

C'est de la folie quand ma sœur se lève, détache ma laisse du tronc de l'arbre et me tire du bosquet pour revenir vers la plage suivie comme une comète du nuée d'envieux. En marchant sur le chemin elle m'enlève mon collier, elle s'essuie la bouche du revers de la main, de longues coulures de sperme s'étale sur sa poitrine. Revenus sur la plage juste le temps de déposer collier et serviettes nous courrons vers la mer. Je sens me sens poisseux de partout.
L'eau fraîche ne ralentit pas notre course, j'ai une telle envie de me sentir autre qu'ayant de l'eau au dessus du genou je plonge et fais au moins trois brasses sous l'eau. Je nage encore un moment seul avant de chercher du regard Valérie. Quelques brasses je plonge et remonte à la surface contre elle. Les cheveux trempés, le visage ruisselant, elle est toute belle, plaqués l'un à l'autre, on s'embrasse amoureusement, elle me sourit :

— Ça va ?
— Ouais... Après un silence qui en dit long, j'ajoute avec un sourire jusqu'aux oreilles, ça fait du bien de se sentir propre,
— Viens on va se reposer avant de rentrer.

Les avis des lecteurs

Effectivement John se découvre soumis. Il est vrai que dès le début de son histoire avec son cousin il ne se montre pas très rebel

Histoire Erotique
Belle surprise la sœur qui devient dominante et Jane une doumise parfaite
Que nous réserves la suite.Daniel



Texte coquin : Etre John et Jane 14 - Soumis à ma soeur
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