Faveur!

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Faveur!
Quand j’arrive, comme convenu, sur le coup de 11 heures, le mari est absent. C’est sa femme, Magali, qui m’accueille. Elle est en peignoir de bain. Les cheveux noirs hirsutes. Manifestement, elle sortait du lit !
-Bonjour, Alain, il a été appelé ce matin. Il te prie de l’excuser. Mais tu peux entrer !
-T’inquiète, je repasserais.
-Mais non rentre, je ne vais pas te manger.
-Je le sais bien. Bon si tu insistes. Je ne voulais pas te déranger.
-Mais tu ne me dérange pas, où vas-tu chercher cela !
Mais alors que la voix de la raison me cri de m’en aller immédiatement, je fais les quelques pas qui me sépare de l’entrée.Une fois la porte d’entrée fermée, elle me conduit jusqu’au salon. Une pièce que je connais parfaitement pour avoir à maintes reprises foulé.
-Je t’offre un café ?
-Va pour un café.
Elle me revient quelques minutes plus tard, un plateau en main qu’elle pose sur la table basse. Assis dans le divan, je l’observe de dos. Étrangement penchée sur ses talons, je peux admirer son fessier. Tellement serré sous son peignoir, que ses fesses bombées comprimées l’une contre l’autre apparaissent comme deux globes prêts à bondir au moindre mouvement inadéquat.
Je suis plein de fièvre. Après le service, la voilà qu’elle prend place sur le fauteuil en croisant les jambes. Elle surprend mon regard que j’ai posé sur ses genoux. C’est alors qu’elle écarte les jambes pour mon plus grand plaisir. L’ombre au bas de son ventre est visible à travers le tissu de sa culotte en tulle.
- Tu veux peut-être que je la retire, je n'aspire qu'à être nue et à vibrer entre tes bras. Fait-elle en se levant, tout en se tortillant pour se séparer de sa culotte.
De mon côté, je fais glisser son peignoir, découvrant sa poitrine généreuse que je caresse avec douceur, enrobant les mamelons dans le creux de mes mains, puis agaçant les tétons turgescents de deux doigts réunis. Magali gémit et entoure mon cou de ses deux bras, me laissant toute liberté pour disposer de son corps.
M'accroupissant, je contemple ses cuisses et ses longues jambes fuselées. Surtout que, campée ainsi devant moi et toujours juchée sur ses mules à talons très hauts, elle m'offre sensuellement le renflement légèrement rebondi de son bas-ventre, me permettant de détailler sa chatte qui se trouve à quelques centimètres de mes yeux.
Je caresse la rondeur de son ventre avec comme toujours contentement. Laissant mes lèvres le parcourir jusqu'à sa vulve, dont je hume le parfum épicé qui s'en dégage.
-Déshabille-toi ! M’ordonne-t-elle.
C'est complètement nu que je m'approche d’elle. Elle se saisit de ma queue entre ses doigts et m'attire sur le divan. Elle fait aller sa main qui enserre ma verge, faisant glisser la peau du prépuce en le retroussant pour dégager le gland. Puis elle avance sa bouche, qu'elle entrouvre, elle gobe ma verge. Qu’elle engloutit. Je suis surpris de ce qu’il m’arrive.
Tout en pompant délicieusement ma queue, elle n'oublie pas de se servir de sa langue pour lécher soigneusement la tige et le gland, titillant avec la pointe de sa langue le méat.
Impatient de la découvrir, je me retire de sa bouche et me glisse à côté d'elle. Là, je lance mes mains à la conquête de son corps. Je caresse tout ce qui se présente à moi, m’attardant sur ses seins. Ils sont imposants, d'une blancheur d’émail striée de veinules bleues. Les tétons, très longs, sont d'un brun rougeâtre. Je les pince, je les tords en tous sens chacun leur tour, faisant gémir Magali.
Je pose mes lèvres sur son sein. M’empare du bourgeon. Que j'agace avec ma langue. Que je suce promptement, faisant gémir Magali de plaisir.
Pendant ce temps, elle me branle la queue. Sondant aussi mes bourses avec une grande légèreté. C’est très agréable. Pour ne pas jouir sous sa caresse, je me glisse entre ses jambes. Je prends le temps de détailler sa chatte. Je caresse ses jambes et ses cuisses. Dessinant des volutes sur sa peau. Faisant frémir sa personne sous mes attouchements. Mes doigts effleurent le bas-ventre jusqu'au pubis. Planent sur la vulve sans la toucher, alors que Magali vient au-devant de ma caresse. Je sens son corps s’agiter de toute part.
-Oh Alain… tu ne peux pas savoir depuis combien de temps…
Pour toute réponse, j'empoigne sa chatte. Crochetant mes doigts dans ses lèvres et dans son vagin, la faisant hurler :
-Ahhhhhhh... Oui ! Alain! Je jouis... Ouiiiiiiiii....
Tout de suite après, je colle ma bouche à son intimité, et lèche la vulve. La cyprine s'écoule abondamment de la chatte. Authentifiant le plaisir qu’elle prend sous ma caresse buccale ! Elle jouit de nouveau. Et me repousse. Certainement que son sexe est devenu trop sensible à cet instant.
C'est alors que je pense à mon plaisir. Je fais pour cela, glisser mon pénis contre de grandes lèvres. Je fais aller mon gland turgescent de l'entrée du puits d'amour jusqu'au clitoris. Magali halète suite à cette caresse. Encore quelques secondes de ce traitement, et je pousse à ma queue à se frayer un couloir dans les muqueuses coulant de mouille.
Je m’enfonce jusqu'à la garde dans le canal exquis. Tout en la besognant, je couvre ses pieds de baisers. Je vais jusqu’à sucer ses orteils. Magali divague en poussant de petits cris. Elle va jusqu’à projeter son bassin au-devant de ma queue qui la branle. Jusqu’alors, je n’ai ressenti le moindre picotement, signe d’un orgasme approchant. Alors je la baise comme un endiablé.
À bout de souffle, je me retire et me jette sur la fente. La chair chaude et gluante me remplit la bouche de sa consistance molle. Une saveur acide baigne mon palais. J’enfonce ma langue dans le vagin, un tressaillement prononcé, un gémissement et des mots inintelligibles m’avertirent que je suis sur le bon chemin. Je passe mes mains sous ses fesses. Je glisse un doigt dans la raie, l’enfonce dans l’anus. Elle se met à rouler des reins.
Chaque fois que le bassin retombe, le cul s’empale, gainant mon doigt d’un fourreau brûlant. Je suce, avale au fur et à mesure le jus âcre et épais qui coule dans ma gorge par vague. L’anneau qui serre mon doigt est agité de spasmes. Elle halète et se tord sans pudeur sous mes vibrants coups de langue. Avant de perdre définitivement la tête, elle lâche :
- Je vais… oui, je vais…
Elle n’a pas le temps de terminer sa phrase. Elle emprisonne malgré elle mon visage contre sa chatte.
J’achève tout de même mon œuvre en cet endroit sensible. Cette folle jouissance dure une éternité. Puis son corps tendu se détend pendant que je récupère de la langue son jus.
-Alain, tu m’as comblé, merci, j’en avais grand besoin. Je ne me souviens pas avoir joui comme ça depuis longtemps. Quel talent ! Je n’ai pas besoin de te dire que tu es un homme à femmes, maintenant, j'en suis certaine. Est-ce que je peux te demander encore une faveur ?
-Je t’écoute !
-Veux-tu rester encore un peu avec moi.
-Et ton mari ?
-Quoi, mon mari ?
-Je ne sais pas…il pourrait débarquer et là…
-Il est au courant. M’envoi-t-elle.
-Comment ça… tu déconnes là?
-Je n’ai jamais été aussi sérieuse. Il m’a fait cocu, je lui rends la monnaie.
-Alors, son coup de téléphone…
-C’est moi, ajoute-t-elle, qui l’ai forcée à appeler.
-Et la suite ?
-Pas de suite… nous sommes, lui et moi, quitte à présent !
-Bonjour, Alain, il a été appelé ce matin. Il te prie de l’excuser. Mais tu peux entrer !
-T’inquiète, je repasserais.
-Mais non rentre, je ne vais pas te manger.
-Je le sais bien. Bon si tu insistes. Je ne voulais pas te déranger.
-Mais tu ne me dérange pas, où vas-tu chercher cela !
Mais alors que la voix de la raison me cri de m’en aller immédiatement, je fais les quelques pas qui me sépare de l’entrée.Une fois la porte d’entrée fermée, elle me conduit jusqu’au salon. Une pièce que je connais parfaitement pour avoir à maintes reprises foulé.
-Je t’offre un café ?
-Va pour un café.
Elle me revient quelques minutes plus tard, un plateau en main qu’elle pose sur la table basse. Assis dans le divan, je l’observe de dos. Étrangement penchée sur ses talons, je peux admirer son fessier. Tellement serré sous son peignoir, que ses fesses bombées comprimées l’une contre l’autre apparaissent comme deux globes prêts à bondir au moindre mouvement inadéquat.
Je suis plein de fièvre. Après le service, la voilà qu’elle prend place sur le fauteuil en croisant les jambes. Elle surprend mon regard que j’ai posé sur ses genoux. C’est alors qu’elle écarte les jambes pour mon plus grand plaisir. L’ombre au bas de son ventre est visible à travers le tissu de sa culotte en tulle.
- Tu veux peut-être que je la retire, je n'aspire qu'à être nue et à vibrer entre tes bras. Fait-elle en se levant, tout en se tortillant pour se séparer de sa culotte.
De mon côté, je fais glisser son peignoir, découvrant sa poitrine généreuse que je caresse avec douceur, enrobant les mamelons dans le creux de mes mains, puis agaçant les tétons turgescents de deux doigts réunis. Magali gémit et entoure mon cou de ses deux bras, me laissant toute liberté pour disposer de son corps.
M'accroupissant, je contemple ses cuisses et ses longues jambes fuselées. Surtout que, campée ainsi devant moi et toujours juchée sur ses mules à talons très hauts, elle m'offre sensuellement le renflement légèrement rebondi de son bas-ventre, me permettant de détailler sa chatte qui se trouve à quelques centimètres de mes yeux.
Je caresse la rondeur de son ventre avec comme toujours contentement. Laissant mes lèvres le parcourir jusqu'à sa vulve, dont je hume le parfum épicé qui s'en dégage.
-Déshabille-toi ! M’ordonne-t-elle.
C'est complètement nu que je m'approche d’elle. Elle se saisit de ma queue entre ses doigts et m'attire sur le divan. Elle fait aller sa main qui enserre ma verge, faisant glisser la peau du prépuce en le retroussant pour dégager le gland. Puis elle avance sa bouche, qu'elle entrouvre, elle gobe ma verge. Qu’elle engloutit. Je suis surpris de ce qu’il m’arrive.
Tout en pompant délicieusement ma queue, elle n'oublie pas de se servir de sa langue pour lécher soigneusement la tige et le gland, titillant avec la pointe de sa langue le méat.
Impatient de la découvrir, je me retire de sa bouche et me glisse à côté d'elle. Là, je lance mes mains à la conquête de son corps. Je caresse tout ce qui se présente à moi, m’attardant sur ses seins. Ils sont imposants, d'une blancheur d’émail striée de veinules bleues. Les tétons, très longs, sont d'un brun rougeâtre. Je les pince, je les tords en tous sens chacun leur tour, faisant gémir Magali.
Je pose mes lèvres sur son sein. M’empare du bourgeon. Que j'agace avec ma langue. Que je suce promptement, faisant gémir Magali de plaisir.
Pendant ce temps, elle me branle la queue. Sondant aussi mes bourses avec une grande légèreté. C’est très agréable. Pour ne pas jouir sous sa caresse, je me glisse entre ses jambes. Je prends le temps de détailler sa chatte. Je caresse ses jambes et ses cuisses. Dessinant des volutes sur sa peau. Faisant frémir sa personne sous mes attouchements. Mes doigts effleurent le bas-ventre jusqu'au pubis. Planent sur la vulve sans la toucher, alors que Magali vient au-devant de ma caresse. Je sens son corps s’agiter de toute part.
-Oh Alain… tu ne peux pas savoir depuis combien de temps…
Pour toute réponse, j'empoigne sa chatte. Crochetant mes doigts dans ses lèvres et dans son vagin, la faisant hurler :
-Ahhhhhhh... Oui ! Alain! Je jouis... Ouiiiiiiiii....
Tout de suite après, je colle ma bouche à son intimité, et lèche la vulve. La cyprine s'écoule abondamment de la chatte. Authentifiant le plaisir qu’elle prend sous ma caresse buccale ! Elle jouit de nouveau. Et me repousse. Certainement que son sexe est devenu trop sensible à cet instant.
C'est alors que je pense à mon plaisir. Je fais pour cela, glisser mon pénis contre de grandes lèvres. Je fais aller mon gland turgescent de l'entrée du puits d'amour jusqu'au clitoris. Magali halète suite à cette caresse. Encore quelques secondes de ce traitement, et je pousse à ma queue à se frayer un couloir dans les muqueuses coulant de mouille.
Je m’enfonce jusqu'à la garde dans le canal exquis. Tout en la besognant, je couvre ses pieds de baisers. Je vais jusqu’à sucer ses orteils. Magali divague en poussant de petits cris. Elle va jusqu’à projeter son bassin au-devant de ma queue qui la branle. Jusqu’alors, je n’ai ressenti le moindre picotement, signe d’un orgasme approchant. Alors je la baise comme un endiablé.
À bout de souffle, je me retire et me jette sur la fente. La chair chaude et gluante me remplit la bouche de sa consistance molle. Une saveur acide baigne mon palais. J’enfonce ma langue dans le vagin, un tressaillement prononcé, un gémissement et des mots inintelligibles m’avertirent que je suis sur le bon chemin. Je passe mes mains sous ses fesses. Je glisse un doigt dans la raie, l’enfonce dans l’anus. Elle se met à rouler des reins.
Chaque fois que le bassin retombe, le cul s’empale, gainant mon doigt d’un fourreau brûlant. Je suce, avale au fur et à mesure le jus âcre et épais qui coule dans ma gorge par vague. L’anneau qui serre mon doigt est agité de spasmes. Elle halète et se tord sans pudeur sous mes vibrants coups de langue. Avant de perdre définitivement la tête, elle lâche :
- Je vais… oui, je vais…
Elle n’a pas le temps de terminer sa phrase. Elle emprisonne malgré elle mon visage contre sa chatte.
J’achève tout de même mon œuvre en cet endroit sensible. Cette folle jouissance dure une éternité. Puis son corps tendu se détend pendant que je récupère de la langue son jus.
-Alain, tu m’as comblé, merci, j’en avais grand besoin. Je ne me souviens pas avoir joui comme ça depuis longtemps. Quel talent ! Je n’ai pas besoin de te dire que tu es un homme à femmes, maintenant, j'en suis certaine. Est-ce que je peux te demander encore une faveur ?
-Je t’écoute !
-Veux-tu rester encore un peu avec moi.
-Et ton mari ?
-Quoi, mon mari ?
-Je ne sais pas…il pourrait débarquer et là…
-Il est au courant. M’envoi-t-elle.
-Comment ça… tu déconnes là?
-Je n’ai jamais été aussi sérieuse. Il m’a fait cocu, je lui rends la monnaie.
-Alors, son coup de téléphone…
-C’est moi, ajoute-t-elle, qui l’ai forcée à appeler.
-Et la suite ?
-Pas de suite… nous sommes, lui et moi, quitte à présent !
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