Femme BCBG, escorte, non, pute… (132)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2017 dans la catégorie Plus on est
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (132)
J’ai laissé Livia et Cotentin dans la chambre du garçon qui souhaite lui faire l’amour une dernière fois avant notre retour à Paris et surtout mon départ dans deux jours pour Moscou avec Ophélie et Katia.
Sans oublier Véronique, Marie-Ange, Valériane et ma marraine avec son chevalier servant.
Arrivé à la villa de Livia, à la nuit tombante il me prend l’envie de faire un tour avec la 125 de Livia et je viens de descendre la rampe qui me conduit sur la plage.
J’ai besoin de sentir le vent du large, nue sur ma peau, j’évite de m’enliser et je finis par mettre les gaz, je prends de l’assurance, j’ai dû dépasser le point où Livia a tâté de la bite d’homme car je vais plus vite qu’hier.
J’ai consciente de trop m’éloigner mais la selle qui tressaute sous moi commence à m’émoustiller, j’atteins le plaisir mais je pense que je « peux mieux faire » comme mes professeurs mettaient sur mes carnets de notes tout au long de ma scolarité.
Je décélère et je fais demi-tour, c’est mieux, je sens ma chatte ruisseler, arrivé à la rampe que je devrais remonter, mais si le démon de midi existe, celui de minuit je veux le connaître alors je relance ma moto qui semble me donner raison car quand je dépasse ma trace précédente j’arrive à ce que mon corps éclate.
J’ai l’impression que Livia et son copain pour fêter la découverte de leur amour tire un feu d’artifice depuis la corniche, j’ai du mal à maîtriser le sexe motorisé qui vient de m’apporter l’orgasme tant espéré.
« Tuf, tuf, tuf »
J’imite mal le bruit d’un moteur tombant en panne, mais bon il reste à rentrer en poussant.
La tuile à combien de kilomètres suis-je de la villa, inutile de chercher il faut pousser, je comprends ce que sport mécanique veut dire, j’ai simplement oublié que mon godemichet mécanique fonctionnait avec de l’essence et je suis en panne sèche.
La moto est aérienne quand je la chevauche cheveux au vent mais c’est un poids mort dans les circonstances actuelles, je pousse, je pousse, elle tombe sur le côté, je tombe à l’inverse, bref je suis dans la galère.
Je vois les lumières du village me montrant que je me rapproche, elle tombe et il faut me rafraîchir, la mer est là qui me tend les bras comme mes amants le font quand ils veulent une nouvelle fois mettre leur verge en moi.
Je m’allonge quant au loin je vois deux phares se rapprocher, tout le temps qu’ils mettent à arriver à ma hauteur j’ai conscience qu’il me restait plus d’un kilomètre avant d’être arrivé chez Livia et que mon état d’épuisement m’aurait empêché d’y arriver.
• Christine, tu prends un bain de minuit.
• Fiche-toi de moi Livia, tu aurais dû me dire que ta bécane elle suçait.
• Sa bécane je l’ignore, mais ta copine elle suce divinement, pour une fille qui a baisé pour la première fois avec un garçon c’est une sacrée cochonne.
• Prends-moi pour une pute, Corentin tu me déçois, pardons Christine pour la pute.
• Venez-vous baigner avec que nous réglions mon problème et de vous dire des bêtises.
Je les vois se dévêtir car ils ont toujours les vêtements qu'ils avaient au restaurant et viennent me rejoindre, ils passent à mon côté et plongent dans la première vague, l’eau de septembre a encore la chaleur de l’été et de ces deux belles journées annonçant un été indien.
Je les rejoins et nous jouons avec les vagues un moment, Livia atterrit dans mes bras et m’embrasse, Corentin un instant nous regarde et la lune me le fait voir venant derrière son amie et se coller à son dos.
Notre trio est cassé quand une vague plus forte nous fait chavirer, je vois Livia couler et une lutte s’engage entre le garçon et moi pour sauver notre belle, au moment où je crois l’agripper c’est le sexe de Corentin que je touche me faisant sentir que le contact des fesses de notre noyée l’ont fait bander.
Un instant je pense à pousser mon avantage et récupérez-moi aussi cette bite qui m’échappe depuis la veille alors que Livia inexpérimentée en a profité aussi souvent.
Quand je dis « cette bite » je parle de façon générale englobant celle de Corentin et celle de Lionel, je sais il est curé mais quand je rejoins un client, suis-je sûr que depuis que je m’occupe de leurs sexes un curé, un évêque voire un cardinal, ne m’ont jamais donné une enveloppe, enlevons les cardinaux ils sont trop vieux.
• Creuche, beu.
Je suis aussi mauvaise pour les bruits de mon moteur s’arrêtant faute de carburant et le bruit que fait Livia quand nous réussissons à la sortir de l’eau et lui faire cracher l’eau qu’elle a avalée.
Je la chevauche comme je chevauchais ma moto avant cette maudite panne d’essence et je sens ma chatte qui a rejoint la sienne, comme hier nous pourrions baiser mais là il faut qu’elle retrouve son souffle contrairement à la nuit dernière où elle menait le jeu dès qu’elle a reconnu Corentin son amour de jeunesse.
Je sens le garçon me pousser pour s’occuper de sa belle et comme elle est sauvée je me laisse aller jusqu’au moment où nos regards se croisent et qu’il me prend la bouche, je devrais me révolter mais je tiens à tester Livia, va-t-elle être capable d’accepter que son nouveau compagnon soit libertin ou va-t-elle se braquer.
J’ai la réponse quand je sens des doigts entrer dans ma chatte qui comme on la connaît se met à mouiller.
J’apprécie mais Corentin veut que ce soit lui qui gagne et me fait rouler sous lui reprenant ma bouche sa verge cherchant ma cavité féminine.
Bravo je suis rassurée, je sens un bras le long de ma cuisse et la verge guidée par la main qui la prolonge être en bonne position et sur un coup de rein entrer en moi, l’opération réaliser Livia se déplace et s’agenouillant les cuisses écartées, je vois sa chatte passer devant mes yeux avant de se poser sur la bouche de son amant.
Je suis contente, les deux jeunes, bien qu’ils aient mon âge, semblent aimer les échanges libres, les coups de reins puissants qui me dévastent plus sûrement que les kilomètres que j’ai dû faire, me laissant frotter par la selle de ma moto m’amène à un magnifique orgasme en écho à celui de ma copine que la langue de Corentin lui apporte.
Je me dégage appuyant sur la tête de la jeune femme la pliant pour qu’elle prenne en bouche cette verge tendue vers le ciel et que lorsqu’il jouit elle boive son sperme.
• Merci Christine c’est la première fois que je bois le sperme d’un garçon, surtout celui de Corentin, c’est fade mais j’ai aimé, ça sort de lui.
• Livia, je t’en donnerais autant que tu en veux, mais aide moi à me relever, j’étouffe, tu veux me tuer !
Corentin a toujours la chatte de Livia sur la figure et après le bain où elle a failli se noyer c’est lui qui manque de mourir étouffé.
• Merci de me rendre un peu d'air, chérie quand tout à l’heure dans ma chambre après que je t’ai fait jouir tu m’as demandé que nous gardions notre liberté sexuelle, j’ignorais que tu pensais que dès ce soir nous partouzerions.
• Partouzer, sais-tu de quoi tu parles, demande à notre amie ce que partouzer veut dire, sa marraine m’a expliqué les vacances qu’elles ont passées sur la côte atlantique jusqu’à la fin du mois d’Août.
Quand je t’ai parlé de liberté entre nous je pensais à toutes mes amies et surtout j’espère que nous serons du voyage à Saint-Palais sur mer les vacances d’été prochaine, je me suis un peu ennuyé cet année surtout qu’il y a eu peu de plis à porter à toutes nos amies qui travaillent pour notre organisation.
La lune se cache quand elle dit ces derniers mots mais je suis sûr qu’elle a un large sourire.
• Livia, Corentin si vous continuez à vous aimer et nous aimer je vous coche sur la liste de ceux qui viendront nous donner du plaisir sur notre tourniquet l’été prochain.
• Christine il faut que nous partions, je dois liver des billets d’avion à des filles qui partent à l’étranger.
Nous retrouvons les motos, Corentin ouvre le réservoir et confirme la panne d’essence, je monte derrière Livia qui est venue avec sa 1 000 comme Corentin, elle reste nue j’ai ses affaires posées entre nous et j’aime sentir mes seins frotter sur son dos.
• On refait un tour jusqu’au bout de la plage, entre ton contact et la selle je suis sûr que vous allez me faire jouir.
• Je te reconnais là ma belle salope, tu pourras te frotter pour le retour et tacher ta combinaison.
• Corentin, ma moto ?
• Je vais revenir avec de l’essence quand vous serez partie et la ranger jusqu’à demain où je viendrais faire l’entretien, avec le sable il faut savoir les bichonner.
• Comme ma chatte, grand fou.
En disant ses mots montrant qu’elle nous a rejointe dans le monde des bisexuelles elle embraye et quelques minutes après arrête notre moto devant son garage, nous montons prendre une douche enfiler nos combinaisons et prêtes au départ nous embrassons Corentin.
J’ai beau avoir été son amante c’est sur les joues que je lui pose deux grosses bises, pendant que nous nous préparions, il a sorti un bidon d’essence pour retourner chercher la 125.
• Les filles vous n’oubliez rien.
• Non, j’ai ma moto, mes gants mon casque mes bottes, idem pour Christine, mes affaires sont dans ma malle arrière et elle a son sac à dos.
• L’essence pour le retour, j’ai vérifié le niveau de ta moto dans quelques kilomètres vous auriez été obligé de pousser jusqu’à Honfleur où par chance jusqu’ici pour la remplir, rouler, j’ai fait le plein, Paris est proche par l’autoroute.
C’est en cœur dans le bruit d’accélérateur de notre engin que Livia à travers les micros des casques nous lui disons.
• A bientôt Corentin.
Nous partons vers l’autoroute, je suis collé sur le dos de ma pilote, je la serre plus que de raison.
• Livia merci pour ce merveilleux week-end.
• Il ne tient qu’à toi qu’il fasse des petits frères.
Livia enceinte, j’ai penne à l’imaginer mais la vie est ainsi faîte que rien ne semble impossible.
• Veux-tu que je respecte les limitations de vitesse ?
• Vivement mon lit, je suis vannée, s’il le faut nous appellerons Marie-Christine.
Je sens la moto vrombir lorsqu’elle enclenche la dernière vitesse qui lance son monstre à pleine puissance, je manque de la lâcher quand dans le casque un bruit stridant vient agresser mes oreilles.
• Excuse Christine j’ai trop tourné le bouton de puissance, j’ai besoin de musique forte pour rester éveillé.
Les chattes des filles c’est bien moins épuisant que la bite des hommes surtout que Corentin préfère que je vienne sur lui, il adore me caresser les seins voire me les mordrent.
• Raconte comment il t’a baisé dans son appartement si cela t’aide à rester éveiller.
Il était une fois une pucelle d’environ 30 ans qui pour la première fois c’est fait baiser sur une plage après avoir retrouvé sa bite du temps passé…
Sans oublier Véronique, Marie-Ange, Valériane et ma marraine avec son chevalier servant.
Arrivé à la villa de Livia, à la nuit tombante il me prend l’envie de faire un tour avec la 125 de Livia et je viens de descendre la rampe qui me conduit sur la plage.
J’ai besoin de sentir le vent du large, nue sur ma peau, j’évite de m’enliser et je finis par mettre les gaz, je prends de l’assurance, j’ai dû dépasser le point où Livia a tâté de la bite d’homme car je vais plus vite qu’hier.
J’ai consciente de trop m’éloigner mais la selle qui tressaute sous moi commence à m’émoustiller, j’atteins le plaisir mais je pense que je « peux mieux faire » comme mes professeurs mettaient sur mes carnets de notes tout au long de ma scolarité.
Je décélère et je fais demi-tour, c’est mieux, je sens ma chatte ruisseler, arrivé à la rampe que je devrais remonter, mais si le démon de midi existe, celui de minuit je veux le connaître alors je relance ma moto qui semble me donner raison car quand je dépasse ma trace précédente j’arrive à ce que mon corps éclate.
J’ai l’impression que Livia et son copain pour fêter la découverte de leur amour tire un feu d’artifice depuis la corniche, j’ai du mal à maîtriser le sexe motorisé qui vient de m’apporter l’orgasme tant espéré.
« Tuf, tuf, tuf »
J’imite mal le bruit d’un moteur tombant en panne, mais bon il reste à rentrer en poussant.
La tuile à combien de kilomètres suis-je de la villa, inutile de chercher il faut pousser, je comprends ce que sport mécanique veut dire, j’ai simplement oublié que mon godemichet mécanique fonctionnait avec de l’essence et je suis en panne sèche.
La moto est aérienne quand je la chevauche cheveux au vent mais c’est un poids mort dans les circonstances actuelles, je pousse, je pousse, elle tombe sur le côté, je tombe à l’inverse, bref je suis dans la galère.
Je vois les lumières du village me montrant que je me rapproche, elle tombe et il faut me rafraîchir, la mer est là qui me tend les bras comme mes amants le font quand ils veulent une nouvelle fois mettre leur verge en moi.
Je m’allonge quant au loin je vois deux phares se rapprocher, tout le temps qu’ils mettent à arriver à ma hauteur j’ai conscience qu’il me restait plus d’un kilomètre avant d’être arrivé chez Livia et que mon état d’épuisement m’aurait empêché d’y arriver.
• Christine, tu prends un bain de minuit.
• Fiche-toi de moi Livia, tu aurais dû me dire que ta bécane elle suçait.
• Sa bécane je l’ignore, mais ta copine elle suce divinement, pour une fille qui a baisé pour la première fois avec un garçon c’est une sacrée cochonne.
• Prends-moi pour une pute, Corentin tu me déçois, pardons Christine pour la pute.
• Venez-vous baigner avec que nous réglions mon problème et de vous dire des bêtises.
Je les vois se dévêtir car ils ont toujours les vêtements qu'ils avaient au restaurant et viennent me rejoindre, ils passent à mon côté et plongent dans la première vague, l’eau de septembre a encore la chaleur de l’été et de ces deux belles journées annonçant un été indien.
Je les rejoins et nous jouons avec les vagues un moment, Livia atterrit dans mes bras et m’embrasse, Corentin un instant nous regarde et la lune me le fait voir venant derrière son amie et se coller à son dos.
Notre trio est cassé quand une vague plus forte nous fait chavirer, je vois Livia couler et une lutte s’engage entre le garçon et moi pour sauver notre belle, au moment où je crois l’agripper c’est le sexe de Corentin que je touche me faisant sentir que le contact des fesses de notre noyée l’ont fait bander.
Un instant je pense à pousser mon avantage et récupérez-moi aussi cette bite qui m’échappe depuis la veille alors que Livia inexpérimentée en a profité aussi souvent.
Quand je dis « cette bite » je parle de façon générale englobant celle de Corentin et celle de Lionel, je sais il est curé mais quand je rejoins un client, suis-je sûr que depuis que je m’occupe de leurs sexes un curé, un évêque voire un cardinal, ne m’ont jamais donné une enveloppe, enlevons les cardinaux ils sont trop vieux.
• Creuche, beu.
Je suis aussi mauvaise pour les bruits de mon moteur s’arrêtant faute de carburant et le bruit que fait Livia quand nous réussissons à la sortir de l’eau et lui faire cracher l’eau qu’elle a avalée.
Je la chevauche comme je chevauchais ma moto avant cette maudite panne d’essence et je sens ma chatte qui a rejoint la sienne, comme hier nous pourrions baiser mais là il faut qu’elle retrouve son souffle contrairement à la nuit dernière où elle menait le jeu dès qu’elle a reconnu Corentin son amour de jeunesse.
Je sens le garçon me pousser pour s’occuper de sa belle et comme elle est sauvée je me laisse aller jusqu’au moment où nos regards se croisent et qu’il me prend la bouche, je devrais me révolter mais je tiens à tester Livia, va-t-elle être capable d’accepter que son nouveau compagnon soit libertin ou va-t-elle se braquer.
J’ai la réponse quand je sens des doigts entrer dans ma chatte qui comme on la connaît se met à mouiller.
J’apprécie mais Corentin veut que ce soit lui qui gagne et me fait rouler sous lui reprenant ma bouche sa verge cherchant ma cavité féminine.
Bravo je suis rassurée, je sens un bras le long de ma cuisse et la verge guidée par la main qui la prolonge être en bonne position et sur un coup de rein entrer en moi, l’opération réaliser Livia se déplace et s’agenouillant les cuisses écartées, je vois sa chatte passer devant mes yeux avant de se poser sur la bouche de son amant.
Je suis contente, les deux jeunes, bien qu’ils aient mon âge, semblent aimer les échanges libres, les coups de reins puissants qui me dévastent plus sûrement que les kilomètres que j’ai dû faire, me laissant frotter par la selle de ma moto m’amène à un magnifique orgasme en écho à celui de ma copine que la langue de Corentin lui apporte.
Je me dégage appuyant sur la tête de la jeune femme la pliant pour qu’elle prenne en bouche cette verge tendue vers le ciel et que lorsqu’il jouit elle boive son sperme.
• Merci Christine c’est la première fois que je bois le sperme d’un garçon, surtout celui de Corentin, c’est fade mais j’ai aimé, ça sort de lui.
• Livia, je t’en donnerais autant que tu en veux, mais aide moi à me relever, j’étouffe, tu veux me tuer !
Corentin a toujours la chatte de Livia sur la figure et après le bain où elle a failli se noyer c’est lui qui manque de mourir étouffé.
• Merci de me rendre un peu d'air, chérie quand tout à l’heure dans ma chambre après que je t’ai fait jouir tu m’as demandé que nous gardions notre liberté sexuelle, j’ignorais que tu pensais que dès ce soir nous partouzerions.
• Partouzer, sais-tu de quoi tu parles, demande à notre amie ce que partouzer veut dire, sa marraine m’a expliqué les vacances qu’elles ont passées sur la côte atlantique jusqu’à la fin du mois d’Août.
Quand je t’ai parlé de liberté entre nous je pensais à toutes mes amies et surtout j’espère que nous serons du voyage à Saint-Palais sur mer les vacances d’été prochaine, je me suis un peu ennuyé cet année surtout qu’il y a eu peu de plis à porter à toutes nos amies qui travaillent pour notre organisation.
La lune se cache quand elle dit ces derniers mots mais je suis sûr qu’elle a un large sourire.
• Livia, Corentin si vous continuez à vous aimer et nous aimer je vous coche sur la liste de ceux qui viendront nous donner du plaisir sur notre tourniquet l’été prochain.
• Christine il faut que nous partions, je dois liver des billets d’avion à des filles qui partent à l’étranger.
Nous retrouvons les motos, Corentin ouvre le réservoir et confirme la panne d’essence, je monte derrière Livia qui est venue avec sa 1 000 comme Corentin, elle reste nue j’ai ses affaires posées entre nous et j’aime sentir mes seins frotter sur son dos.
• On refait un tour jusqu’au bout de la plage, entre ton contact et la selle je suis sûr que vous allez me faire jouir.
• Je te reconnais là ma belle salope, tu pourras te frotter pour le retour et tacher ta combinaison.
• Corentin, ma moto ?
• Je vais revenir avec de l’essence quand vous serez partie et la ranger jusqu’à demain où je viendrais faire l’entretien, avec le sable il faut savoir les bichonner.
• Comme ma chatte, grand fou.
En disant ses mots montrant qu’elle nous a rejointe dans le monde des bisexuelles elle embraye et quelques minutes après arrête notre moto devant son garage, nous montons prendre une douche enfiler nos combinaisons et prêtes au départ nous embrassons Corentin.
J’ai beau avoir été son amante c’est sur les joues que je lui pose deux grosses bises, pendant que nous nous préparions, il a sorti un bidon d’essence pour retourner chercher la 125.
• Les filles vous n’oubliez rien.
• Non, j’ai ma moto, mes gants mon casque mes bottes, idem pour Christine, mes affaires sont dans ma malle arrière et elle a son sac à dos.
• L’essence pour le retour, j’ai vérifié le niveau de ta moto dans quelques kilomètres vous auriez été obligé de pousser jusqu’à Honfleur où par chance jusqu’ici pour la remplir, rouler, j’ai fait le plein, Paris est proche par l’autoroute.
C’est en cœur dans le bruit d’accélérateur de notre engin que Livia à travers les micros des casques nous lui disons.
• A bientôt Corentin.
Nous partons vers l’autoroute, je suis collé sur le dos de ma pilote, je la serre plus que de raison.
• Livia merci pour ce merveilleux week-end.
• Il ne tient qu’à toi qu’il fasse des petits frères.
Livia enceinte, j’ai penne à l’imaginer mais la vie est ainsi faîte que rien ne semble impossible.
• Veux-tu que je respecte les limitations de vitesse ?
• Vivement mon lit, je suis vannée, s’il le faut nous appellerons Marie-Christine.
Je sens la moto vrombir lorsqu’elle enclenche la dernière vitesse qui lance son monstre à pleine puissance, je manque de la lâcher quand dans le casque un bruit stridant vient agresser mes oreilles.
• Excuse Christine j’ai trop tourné le bouton de puissance, j’ai besoin de musique forte pour rester éveillé.
Les chattes des filles c’est bien moins épuisant que la bite des hommes surtout que Corentin préfère que je vienne sur lui, il adore me caresser les seins voire me les mordrent.
• Raconte comment il t’a baisé dans son appartement si cela t’aide à rester éveiller.
Il était une fois une pucelle d’environ 30 ans qui pour la première fois c’est fait baiser sur une plage après avoir retrouvé sa bite du temps passé…
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