Femme BCBG, escorte, non, pute… (136)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2408 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 029 560 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 845 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Femme BCBG, escorte, non, pute… (136)
Nous venons d’embarquer pour le départ de toute la troupe d’escorte et de novice accompagné de Vladimir l’amant de Valérie qui fait un retour au pays quand je demande à Gladys, l’hôtesse copine de Véronique si elle a une banane.
• Je vois que c’est urgent, je vais vous la chercher, vous n’en voulez qu’une, la compagnie sait recevoir ses passagers nous en avons un régime dans le roomservice.
Rigolarde, elle nous quitte, les derniers passagers venant d’embarqués guidés par ses collègues.
Je suis assise entre Katia qui est à côté de l’allée et Ophélie côté hublot.
• Tenez, mademoiselle elle sera parfaite, elle est mure à point, vous m’excuserez on m’appelle à l’autre bout de l’avion je reviens.
• Elle est marante avec sa banane, que veut-elle que j’en fasse, j’ai la tasse de café qui fait déjà l’ascenseur.
• Ophélie, donne-moi la banane, quand on a peur en avion, c’est dans sa chatte qu’il faut la mettre.
• Christine tu te fiches de moi, tu délires.
• Demande à Valérie, la première fois que j’ai pris l’avion pour aller à Moscou, j’avais peur du décollage et j’ai voyagé avec une banane dans mon vagin, regarde, je suis revenue et je repars sans en avoir besoin, pourquoi crois-tu que les hôtesses embarquent plusieurs bananes dans leur avion.
J’ignore si notre plaisanterie a été brevetée depuis que l’on m’a fait marcher avec cette blague de potache, nous voyons Gladys se glisser derrière le rideau et en ressortir avec une banane dans chaque main.
• Voyez, mademoiselle vous serez trois qui voyagerez avec ces agrumes dans vos intimités.
Et le port de tête altier elle part vers l’arrière de l’appareil, je passe une main sous la jupe d’Ophélie, j’écarte sa petite culotte et je lui introduis la banane assez profondément pour éviter de la blesser.
• Combien de temps avant que j'en ressente les effets ?
• C’est variable de l’une à l’autre, moi au moment où les roues ont quitté le sol, je me suis senti mieux.
Ophélie soulève ta mini, je vais immortaliser ce moment par une photo avec mon portable avant de l’éteindre.
Ma petite un peu perdue s’exécute, nous regardons toute la photo, heureusement qu’il est possible de tirer soit même des photos, qu’auraient pensées les opérateurs de labos photos si nous avions été obligés de leur envoyer un négatif comme part le passé.
• Madame dans combien de temps décollons-nous ?
• Le temps de vous donner les consignes en cas d’évacuation de l’appareil et le commandant va recevoir l’ordre de rouler pour aller faire son point fixe.
C’est à ce moment que Valérie détache sa ceinture pour courir aux toilettes qui coup de chance sont proches.
• Mademoiselle Gladys, préparez une banane à notre amie Valérie.
• Non Gladys, Valérie est enceinte, surtout pas de bananes.
Heureusement que je suis là, notre amie revient et le ballet des hôtesses peut commencer à un détail près, Véronique prend la place de son amie Gladys, ce qui détend l’atmosphère dans la partie de la cabine où nous sommes installées à l’avant de l’appareil.
Comme prévu, l’avion se met à rouler dès que les hôtesses se sont assises et attachées à leur place.
L’avion fait son point fixe et nous nous mettons à accélérer, nous décollons et nous faisons un virage sur l’aile bien pris par Ophélie.
Nous détachons nos ceintures.
• Ophélie retire la banane ou veux-tu que je le fasse.
• Fais-le, Christine.
Je passe la main sous sa jupe et je retire l’agrume, je le porte à ma bouche et je l’épluche après l’avoir nettoyé car de la cyprine à couler dessus.
• Puis-je la manger ?
C’est Katia espiègle qui vient me montrer sa décontraction, nous éclatons de rire et nous expliquons à Ophélie la blague que j’avais déjà subi.
Le reste du voyage à part une dépression entraînant des trous d’air se passe bien et à 15 heures, heure locale avec deux heures de décalage nous atterrissons à Moscou Sheremetyevo.
Gladys vient vers nous.
• Mes amis, attendez que tous les passagers soient sortis, une passerelle va vous permettre de descendre au pied de l’appareil ou votre ami vous attend avec ses limousines, vous éviterez les longues minutes d’attente, j’ignore qui il est, mais il doit avoir beaucoup de pouvoir pour obtenir cette dérogation.
• Devons-nous prévoir des bananes pour votre retour si c’est avec nous que vous voyagez mademoiselle Ophélie.
• J’ai nettement l’impression d’être passée pour la cruche de service, bien joué, je me souviendrais tout le temps d’avoir vécu presque trois heures avec une banane dans ma chatte, Christine envoie-moi la photo, je vais créer un album des moments insolites que tu me faire vivre, je crois qu’avec toi la vie est empreinte de beaucoup d’humour.
Nous embrassons les hôtesses et nous descendons comme notre amie nous l’a dit.
Magali, Séverine, Maryline, Viviane mettent le pied en Russie.
• Valérie, quel nom as-tu donné à l’organisation pour Katia et Ophélie.
• J’ai oublié de le noter, gardons leurs noms de naissance, ils leur vont si bien.
Six escortes viennent de poser le pied sur le sol moscovite.
Deux limousines sont là qui nous attendent, à côté de l’une d’elles Igor est là, de suite je remarque ce qu’il a en main me rappelant mon anniversaire et ce que je porte autour du cou.
• Bonjours mesdames, Christine, je t’avais promis que la laisse liée à ton collier t’attendrait à ton arrivée, avance ton anneau que je te fixe mon mousqueton.
Il m’attache sous le regard amusé de mes amies.
• Christine, tout ton séjour tu m’es personnellement attaché, je serais le seul à pouvoir profiter de toi.
• Tu n’as pas prévu de client pour moi, comment veux-tu que je m’en sorte financièrement avec tout ce que je dois gérer.
• Tu seras surprise demain lors de notre dernière soirée.
• Valérie m’a dit que vous étiez jolies mesdemoiselles, elle était loin du compte, Katia, bon anniversaire, il sera marquant dans ta vie si tu me permets de te tutoyer et toi aussi Ophélie, dès ce soir nous fêterons dignement ton anniversaire.
Valérie, je crois qu’avec ton ami Vladimir tu vas chez lui, nous passerons à côté, nous vous déposerons.
• Merci Igor, ce suborneur ma mise enceinte et je suis malade régulièrement, je vais aller m’allonger.
Valérie, Vladimir et les trois filles monte dans une limousine, Igor à mes côtés avec sur les sièges dos à la route les deux petites, clou de notre voyage dans celle de notre ami.
Nous longeons le restaurant le Yar ou Vladimir est allé chercher des roubles à un distributeur avant de se faire sucer dans les toilettes par Valérie et devenir son ami au point de lui avoir fait un bébé.
Le musée des beaux-arts Pouchkine qu’il nous a fait découvrir, avant de nous arrêter pour déposer nos amoureux, nous redémarrons.
• Regarde Katia, le café Pouchkine.
• Vous savez que ce café a été ouvert après la chanson de l’illustre Gilbert Bécaud, il n’y en avait pas auparavant.
C’est un ami de mon père qui il y a cinquante ans à eu l’idée d’en ouvrir un, les touristes demandaient à le voir et étaient déçus d’apprendre que Bécaud avait tout inventé.
Gilbert Bécaud est venu l’inaugurer en juin 1999 deux ans avant sa mort et a chanté sa chanson Nathalie, c'était ma maman qui s’appelait Natalia qui lui servait de guide qui l’avait inspiré, j’étais présent avec mes parents, j’en garde un bon souvenir.
Nous arrivons devant l’hôtel ou Igor m’a sodomisé pour la première fois de ma vie pour 10 000 €, un homme nous ouvre la porte de la limousine.
• Les bagagistes vont vous conduire dans vos chambres respectives mesdemoiselles, Véronique et tes copines vous avez chacune une chambre.
• Et moi Igor, je veux être auprès de nos petites surtouts après la soirée que nous allons passer et ou elles seront les vedettes.
• Je t’ai mis ta laisse et c’est dans ma propre chambre que je t’emmène juste en face de celle des filles, tu vas découvrir bien des secrets sur cet hôtel que nous t’avions caché quand tu es venue la première fois, c’est même incroyable la vitesse où tu as grimpé les échelons dans notre organisation.
Je me souviens de ton voyage où tu ignorais la sodomie.
En me disant ces mots il me met la main aux fesses et je me mets à frissonner, les filles tiennent à me faire la bise et j’entre dans la chambre de celui que je sais être le maître de cet hôtel.
Je crois que dans très peu de temps je vais devoir subir les ardeurs de celui à qui je semble faire battre le cœur, je touche mon collier blanc orné de diamant sentant la laisse qui est à l’autre bout dans sa main, en acceptant son cadeau d’une valeur inestimable n’ai-je pas accepté d’être sa chose.
• Christine, pour moi Magali, c'est terminé, vient pour la première fois, je veux qu’Igor et Christine se rencontrent, la dernière fois c’était la pute que j’ai eu le plaisir de baiser dans toute la candeur de tes premiers rapports tarifés.
En tenant ces propos, il s’assoit sur une chaise qui par bonheur se trouve là tout en ouvrant sa braguette et sortant cette bite qu’il est vrai, je vois pour la première fois sous mon vrai nom.
Je soulève ma jupe et comme a mon habitude, je suis la chatte épilée au laser dénudée, il bande assez pour que je le laisse entrer en moi quand je suis en bonne position, ma bouche rejoint sa bouche et en même temps que je monte et descends sur son rostre qui m’amène à ma jouissance.
• Attends, j’ai à peine commencé, je vais te sodomiser.
• As-tu 10 000 €, tu sais, c’est le tarif pour une sodomie ?...
• Je vois que c’est urgent, je vais vous la chercher, vous n’en voulez qu’une, la compagnie sait recevoir ses passagers nous en avons un régime dans le roomservice.
Rigolarde, elle nous quitte, les derniers passagers venant d’embarqués guidés par ses collègues.
Je suis assise entre Katia qui est à côté de l’allée et Ophélie côté hublot.
• Tenez, mademoiselle elle sera parfaite, elle est mure à point, vous m’excuserez on m’appelle à l’autre bout de l’avion je reviens.
• Elle est marante avec sa banane, que veut-elle que j’en fasse, j’ai la tasse de café qui fait déjà l’ascenseur.
• Ophélie, donne-moi la banane, quand on a peur en avion, c’est dans sa chatte qu’il faut la mettre.
• Christine tu te fiches de moi, tu délires.
• Demande à Valérie, la première fois que j’ai pris l’avion pour aller à Moscou, j’avais peur du décollage et j’ai voyagé avec une banane dans mon vagin, regarde, je suis revenue et je repars sans en avoir besoin, pourquoi crois-tu que les hôtesses embarquent plusieurs bananes dans leur avion.
J’ignore si notre plaisanterie a été brevetée depuis que l’on m’a fait marcher avec cette blague de potache, nous voyons Gladys se glisser derrière le rideau et en ressortir avec une banane dans chaque main.
• Voyez, mademoiselle vous serez trois qui voyagerez avec ces agrumes dans vos intimités.
Et le port de tête altier elle part vers l’arrière de l’appareil, je passe une main sous la jupe d’Ophélie, j’écarte sa petite culotte et je lui introduis la banane assez profondément pour éviter de la blesser.
• Combien de temps avant que j'en ressente les effets ?
• C’est variable de l’une à l’autre, moi au moment où les roues ont quitté le sol, je me suis senti mieux.
Ophélie soulève ta mini, je vais immortaliser ce moment par une photo avec mon portable avant de l’éteindre.
Ma petite un peu perdue s’exécute, nous regardons toute la photo, heureusement qu’il est possible de tirer soit même des photos, qu’auraient pensées les opérateurs de labos photos si nous avions été obligés de leur envoyer un négatif comme part le passé.
• Madame dans combien de temps décollons-nous ?
• Le temps de vous donner les consignes en cas d’évacuation de l’appareil et le commandant va recevoir l’ordre de rouler pour aller faire son point fixe.
C’est à ce moment que Valérie détache sa ceinture pour courir aux toilettes qui coup de chance sont proches.
• Mademoiselle Gladys, préparez une banane à notre amie Valérie.
• Non Gladys, Valérie est enceinte, surtout pas de bananes.
Heureusement que je suis là, notre amie revient et le ballet des hôtesses peut commencer à un détail près, Véronique prend la place de son amie Gladys, ce qui détend l’atmosphère dans la partie de la cabine où nous sommes installées à l’avant de l’appareil.
Comme prévu, l’avion se met à rouler dès que les hôtesses se sont assises et attachées à leur place.
L’avion fait son point fixe et nous nous mettons à accélérer, nous décollons et nous faisons un virage sur l’aile bien pris par Ophélie.
Nous détachons nos ceintures.
• Ophélie retire la banane ou veux-tu que je le fasse.
• Fais-le, Christine.
Je passe la main sous sa jupe et je retire l’agrume, je le porte à ma bouche et je l’épluche après l’avoir nettoyé car de la cyprine à couler dessus.
• Puis-je la manger ?
C’est Katia espiègle qui vient me montrer sa décontraction, nous éclatons de rire et nous expliquons à Ophélie la blague que j’avais déjà subi.
Le reste du voyage à part une dépression entraînant des trous d’air se passe bien et à 15 heures, heure locale avec deux heures de décalage nous atterrissons à Moscou Sheremetyevo.
Gladys vient vers nous.
• Mes amis, attendez que tous les passagers soient sortis, une passerelle va vous permettre de descendre au pied de l’appareil ou votre ami vous attend avec ses limousines, vous éviterez les longues minutes d’attente, j’ignore qui il est, mais il doit avoir beaucoup de pouvoir pour obtenir cette dérogation.
• Devons-nous prévoir des bananes pour votre retour si c’est avec nous que vous voyagez mademoiselle Ophélie.
• J’ai nettement l’impression d’être passée pour la cruche de service, bien joué, je me souviendrais tout le temps d’avoir vécu presque trois heures avec une banane dans ma chatte, Christine envoie-moi la photo, je vais créer un album des moments insolites que tu me faire vivre, je crois qu’avec toi la vie est empreinte de beaucoup d’humour.
Nous embrassons les hôtesses et nous descendons comme notre amie nous l’a dit.
Magali, Séverine, Maryline, Viviane mettent le pied en Russie.
• Valérie, quel nom as-tu donné à l’organisation pour Katia et Ophélie.
• J’ai oublié de le noter, gardons leurs noms de naissance, ils leur vont si bien.
Six escortes viennent de poser le pied sur le sol moscovite.
Deux limousines sont là qui nous attendent, à côté de l’une d’elles Igor est là, de suite je remarque ce qu’il a en main me rappelant mon anniversaire et ce que je porte autour du cou.
• Bonjours mesdames, Christine, je t’avais promis que la laisse liée à ton collier t’attendrait à ton arrivée, avance ton anneau que je te fixe mon mousqueton.
Il m’attache sous le regard amusé de mes amies.
• Christine, tout ton séjour tu m’es personnellement attaché, je serais le seul à pouvoir profiter de toi.
• Tu n’as pas prévu de client pour moi, comment veux-tu que je m’en sorte financièrement avec tout ce que je dois gérer.
• Tu seras surprise demain lors de notre dernière soirée.
• Valérie m’a dit que vous étiez jolies mesdemoiselles, elle était loin du compte, Katia, bon anniversaire, il sera marquant dans ta vie si tu me permets de te tutoyer et toi aussi Ophélie, dès ce soir nous fêterons dignement ton anniversaire.
Valérie, je crois qu’avec ton ami Vladimir tu vas chez lui, nous passerons à côté, nous vous déposerons.
• Merci Igor, ce suborneur ma mise enceinte et je suis malade régulièrement, je vais aller m’allonger.
Valérie, Vladimir et les trois filles monte dans une limousine, Igor à mes côtés avec sur les sièges dos à la route les deux petites, clou de notre voyage dans celle de notre ami.
Nous longeons le restaurant le Yar ou Vladimir est allé chercher des roubles à un distributeur avant de se faire sucer dans les toilettes par Valérie et devenir son ami au point de lui avoir fait un bébé.
Le musée des beaux-arts Pouchkine qu’il nous a fait découvrir, avant de nous arrêter pour déposer nos amoureux, nous redémarrons.
• Regarde Katia, le café Pouchkine.
• Vous savez que ce café a été ouvert après la chanson de l’illustre Gilbert Bécaud, il n’y en avait pas auparavant.
C’est un ami de mon père qui il y a cinquante ans à eu l’idée d’en ouvrir un, les touristes demandaient à le voir et étaient déçus d’apprendre que Bécaud avait tout inventé.
Gilbert Bécaud est venu l’inaugurer en juin 1999 deux ans avant sa mort et a chanté sa chanson Nathalie, c'était ma maman qui s’appelait Natalia qui lui servait de guide qui l’avait inspiré, j’étais présent avec mes parents, j’en garde un bon souvenir.
Nous arrivons devant l’hôtel ou Igor m’a sodomisé pour la première fois de ma vie pour 10 000 €, un homme nous ouvre la porte de la limousine.
• Les bagagistes vont vous conduire dans vos chambres respectives mesdemoiselles, Véronique et tes copines vous avez chacune une chambre.
• Et moi Igor, je veux être auprès de nos petites surtouts après la soirée que nous allons passer et ou elles seront les vedettes.
• Je t’ai mis ta laisse et c’est dans ma propre chambre que je t’emmène juste en face de celle des filles, tu vas découvrir bien des secrets sur cet hôtel que nous t’avions caché quand tu es venue la première fois, c’est même incroyable la vitesse où tu as grimpé les échelons dans notre organisation.
Je me souviens de ton voyage où tu ignorais la sodomie.
En me disant ces mots il me met la main aux fesses et je me mets à frissonner, les filles tiennent à me faire la bise et j’entre dans la chambre de celui que je sais être le maître de cet hôtel.
Je crois que dans très peu de temps je vais devoir subir les ardeurs de celui à qui je semble faire battre le cœur, je touche mon collier blanc orné de diamant sentant la laisse qui est à l’autre bout dans sa main, en acceptant son cadeau d’une valeur inestimable n’ai-je pas accepté d’être sa chose.
• Christine, pour moi Magali, c'est terminé, vient pour la première fois, je veux qu’Igor et Christine se rencontrent, la dernière fois c’était la pute que j’ai eu le plaisir de baiser dans toute la candeur de tes premiers rapports tarifés.
En tenant ces propos, il s’assoit sur une chaise qui par bonheur se trouve là tout en ouvrant sa braguette et sortant cette bite qu’il est vrai, je vois pour la première fois sous mon vrai nom.
Je soulève ma jupe et comme a mon habitude, je suis la chatte épilée au laser dénudée, il bande assez pour que je le laisse entrer en moi quand je suis en bonne position, ma bouche rejoint sa bouche et en même temps que je monte et descends sur son rostre qui m’amène à ma jouissance.
• Attends, j’ai à peine commencé, je vais te sodomiser.
• As-tu 10 000 €, tu sais, c’est le tarif pour une sodomie ?...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...