GHISLAINE!

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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GHISLAINE!
Je passe des heures et des heures en compagnie du livre Rapport Hite offert gracieusement par ma chère tata Christiane. Il est des plus intéressants et explicite pour un nier comme moi sur le plan sexuel. Le rapport masturbation m’a étonné. Étant loin de m’imaginer qu’une femme pour elle aussi se donner du plaisir avec ses doigts était enrichissant. Tut y est défini. La technique, le pour le pourquoi. Je ne me fatigue pas de tourner les pages et de lire les nombreux chapitres. Pour en faire savoir plus encore sur le corps féminin. Avec la ferme intention de leur donner beaucoup, beaucoup de plaisir.
Comme j’aimerais lui en donner à Ghislaine. La future maman qui passait des heures en compagnie de ma mère juste pour l’amadouer à garder son prochain enfant pendant qu'elle ira travailler.
Les mots garce et salope s’imposaient naturellement quand je pensais à elle. Ce que je ne permettrais pas de traiter d’autres femmes. Et en même temps, j’avais plutôt de l’admiration pour elle. Elle avait une manière inégalée de jouer avec les gens sans qu’ils ne soient aperçoive. Sans aucun doute, à l’époque, elle m’éblouissait bien la garce avec sa figure de Madone. Et je me rends seulement compte aujourd’hui qu’il y avait en elle quelque chose d’artificiel.
Elle possédait un corps bien charpenté. Des cheveux châtain clair, un visage aux traits délicats. Bref pour moi, elle avait tout d’une vamp dévoreuse de minet.
Je me suis fait accrocher par elle un mercredi après-midi, alors que ma mère la reçoit dans le salon.
Elle est assise autour de la table. Moi, assis en face d’elle sur le fauteuil. Donc plus bas. Quel plaisir quand elle décroise les jambes. Le mouvement est sans doute volontaire. Sa jupe courte se remonte dévoilant non seulement ses cuisses rondes, mais aussi une partie de sa culotte de couleur mauve.
Comme si cela ne suffit pas, elle écarte les genoux et la scène est alors gravée à tout jamais dans mes souvenirs, faisant des malheurs lors de mes masturbations. Aujourd’hui encore, je peux la dessiner de mémoire.
Le tissu satiné du slip colle à sa vulve, et si c’est aussi obscène que si elle est nue. Les moindres détails me sautent aux yeux. Le creux de la fente, les lèvres épaisses, l’ombre de la toison.
Mais ce jour-là, j’en prends plein les mirettes. Et pendant que je me rince l’œil, Ghislaine bavarde comme si de rien n’était avec ma mère. Elle s’exhibe, naturellement, mais je ne sais pas si elle se rend compte alors qu’elle m’a marqué l’esprit à tout jamais.
Elle m’assène le coup de grâce en portant sa main à son entrejambe, parfaite imitation du geste qu’on exécute sans y penser alors que, comme je devais l’apprendre par la suite, elle calcule le moindre de ses mouvements. Elle a d’une main sûr repoussé un bord de sa culotte loin de son aine, se grattant pendant quelques secondes. Une partie de sa culotte s’enfonce plus profondément dans la fente de son sexe et une lèvre m’apparaît.
Ensuite, elle resserre les cuisses. Fin du show. Enfin ! Pour ce jour-là, la suite demain, puis Ghislaine se lève. Son regard rencontre le mien. Il est noir, et d’une dureté incroyable, mais ça, je ne l’ai pas vraiment perçu dans l’instant. Je suis tétanisé par une sorte de transe. Mon sexe, tendu me fait mal. Ma mère me lance à ma cause de gaucherie.
- Tu vas peut-être te lever pour dire au revoir à Ghislaine.
Je me lève après avoir tiré aussi bas que je le peux mon tee-shirt pour dissimuler l’érection qui déforme ma braguette. Je ne sais plus trop quelle contenance prendre. Ma mère m’observe avec attention, avant de dire que je couve quelque chose. Sa réflexion fait rire Ghislaine qui sait d’autant mieux de quoi je souffre, et pour cause elle en est l’origine.
Elle vient à ma rencontre. J’ai un instant peur qu’elle sente ma queue toute dure, mais elle se penche pour déposer un baiser sur ma joue. Sa bouche suit une curieuse trajectoire, frôlant subrepticement mes lèvres. Je la regarde s’éloigner. Son cul est haut perché. Un popotin qui remplit bien sa jupe. Tendant le tissu à en faire craquer les coutures.
Le bas-ventre douloureux, la fièvre dans le sang, je prends le chemin de ma chambre. Une fois la porte verrouillée, je déboutonne ma braguette, et libère ma queue. Elle est gorgée de sang. Jusqu’alors, depuis mon retour de vacances, je me masturbais sans arrêt en pensant à tata. Mais aujourd’hui, c’est différent. Mon héroïne a changé de tête, et elle se nomme Ghislaine !
À défaut d’autre chose, je ferme les yeux et je me mémorise les images qu’elle m’a offertes. J’empoigne mon sexe et je me branle rageusement. M’imaginant lui lécher le cul, dont je devine l’odeur. Sans doute pas différent de celle des femmes qui ont bien voulu de donner l’accès à leur intimité et dont je leur serais toujours gré !
Il ne me faut que quelques secondes pour que ma verge crache son plaisir. Il jaillit à grandes giclées, poissant ma main, mais surtout souillant le parquet. Mais cela est loin de me faire retomber le degré d’excitation que j’ai pour ma nouvelle héroïne.
Mon imagination n'en a que pour Ghislaine. Son visage, ses cheveux, son sourire moqueur, sans oublier la forme de son cul faisant gonfler la jupe comme une montgolfière.
Le lendemain, c'est avec impatience que j’attends la venue de Ghislaine, la maléfique. J’avais même prévu pour cela, de prendre une place idéale pour m’en mettre plein les mirettes.
Il m’était alors impossible de m’arracher à la force de l’attraction qu’elle exerce sur moi. Je me disais qu’ils y auraient toujours quelque chose à voir et c’est bien le cas à chaque fois. J’aurais donné tout mon argent de poche que j’avais mis sur le côté pour m’offrir une seule vision de son sexe nu.
Alors quand, j’ai entendu qu’on frappé à la porte, j’ai eu du mal à maîtriser mon excitation. À en avoir une sorte de vertige fiévreux.
Aujourd’hui encore pour mon plus grand plaisir, elle porte une robe de grossesse courte. Je pense que j’étais pour quelque chose sur sa tenue vestimentaire. D’ailleurs, j’ai senti chez elle quand j’ai ouvert la porte d’entrée, une grande satisfaction de me voir.
Une fois installée, elle n’a pas mis longtemps à offrir son intimité à mes rétines. En croisant haut ses jambes. Pense bien, pour mon plus grand plaisir.
Comme à son habitude, ma mère lui a proposé de lui faire un thé. Ce que Ghislaine a tout de suite accepté, et pour cause. Elle en profite même de cette absence pour s’exhiber à mes yeux. Comme laissé tomber son sac à main de l’autre côté du canapé. J’ai aussitôt eu la certitude qu’elle l’a fait exprès. Quand elle se plie en deux, le ventre posé sur le dossier du canapé. La robe de Ghislaine s’en tire-bouchonne à ses hanches. Dévoilant sa croupe généreuse ainsi qu’un slip qui recouvre à peine un tiers de ses fesses. Il rentre autant dans sa raie du cul qu’entre les lèvres de son sexe. Mais c’était sans compter sur une intervention à l’improviste de ma mère. Je pense qu’à cet instant ma maman a pour une fois compris la situation. Elle a tout de même un réflexe de pudeur en s’arrangeant de se mettre entre Ghislaine et moi.
D’ailleurs, ma chère maman, dès le départ de Ghislaine, n’a pas manqué de me faire remarqué l’incident. Mettant cela sur le compte de sa grossesse.
Une question de voir les choses !
Mais ce fut partie-remise pour Ghislaine, qui pas plus tard que la semaine suivante, avait trouvé une réplique pour faire éloigner ma mère de la scène de débauche. Un soit disant besoin de miel, que ma mère n’avait pas dans sa réserve. Et qui, je crois sans aucune hésitation, avait deviné le petit jeu, se propose d’aller en acheter à la supérette du quartier, me laissant ainsi en tête-à-tête avec la virtuose.
Dès qu’elle quitte l’appartement, Ghislaine profite de l’occasion pour retrousser l’ourlet de sa robe. Avec animation, elle fait glisser sa culotte de couleur blanche le long de ses jambes. Cela a été tellement précipité que je n’ai même pas eu le plaisir d’apercevoir un poil de sa chatte.
- Dis Alain, cela te dit ma culotte ? Me fait-elle avec un sourire charnel.
Il m’est alors bien sûr impossible de refuser, et je le lui en fais part.
- Tu vas te régaler. J’ai été pissé en arrivant. Et cochonne comme je suis, je n’ai pas pris la peine de m’essuyer. Tu devines le genre ? Soupire-t-elle.
Je profite de l’absence de ma mère pour la mettre sous mon oreiller. Impatient d’y fourrer mon nez. Ma mère revient, son pot de miel en main, et s’enfonce dans sa cuisine préparée le thé. Pendant ce temps-là Gislaine égal à elle-même, ne se prive pas de m’exhiber sa chatte. Pas assez longtemps à mon goût, vu que ma mère était de retour. Mais suffisamment pour me rendre malade d’excitation. Je reste tout de même clairvoyant. La coquine m’allume et s’excite en même temps. L’agrément que cela lui gratifie, je le devine plus fort que celui qu’elle aurait éprouvé en faisant l’amour. Je l’avais lu dans le Rapport Hite.
Le hasard ou pas, fait que le lendemain, je la croise dans le quartier alors que je prends le chemin du lycée.
- Salut Alain, tu vas bien ? Me fait-elle en me tendant ses joues pour que je la bise.
- Comme tu peux le voir, en pleine forme.
- Maintenant, que nous sommes seuls, je peux te poser une question que je dirais indiscrète ?
- Je t’écoute, oui… Je lui fais, sachant très bien où elle allait en venir.
- Tu as bien égayé ta soirée ?
- Tu parles de la culotte que tu m’as si aimablement offerte.
- Oui ça et la vue de ma chatte !
- Je reconnais être resté sur ma fin.
- Je pense moi aussi, mais il n’était pas question que je me fasse surprendre par ta mère. T’imagine un peu le drame. Et plus question pour moi de lui donner à garder mon enfant. D’ailleurs, je compte sur toi pour dissuader ta mère de le garder.
Voilà l’explication de ses fresques érotiques. C’était juste pour me mettre de son côté au vu de la négociation finale.
Mais ce qu’elle ne savait pas cette chère Ghislaine à cet instant-là, c’est que j’allais moi aussi jouer avec elle.
- Tu veux que je te dise Ghislaine, et bien, je me suis branlé en léchant ta culotte.
- C’était bien le but quand je te l’ai offerte, mais là, à la lécher.
- Impossible pour moi de résister à la tentation !
- Et tu as pensé à moi en te branlant ?
- À qui d’autre ? Bien sûr de toi.
- Beau comme tu es, tu ne préfères pas les filles de ton âge ?
- Je préfère les grosses cochonnes.
Elle me quitte un sourire moqueur aux lèvres. Pour ma part, je prends le chemin du lycée. J’ai un peu honte de moi de lui avoir dévoilé ma déficience. Néanmoins, j’ai comme des fournis sur la queue. L’image de son sexe tourne en boucle dans ma tête. Pourtant, je sais pertinemment qu’elle ne me donnerait jamais l’accès de son corps. Me jugeant trop jeune pour ses besoins sexuels. Comme l’avait jugé dans son temps Christiane avant de tomber dans mes mailles.
Mais voilà que le soir même, en revenant du lycée, ma mère me lance innocemment.
- Ghislaine voudrait que tu te rendes jusque chez elle.
Là, j’ai le sang qui se glace dans mes veines. J’ai le réflexe de lui répondre :
- Tu sais pourquoi ?
- Une bouteille de gaz a changé, tu connais son état ?
Oui, mais duquel faisait état ma mère ?
Comme j’aimerais lui en donner à Ghislaine. La future maman qui passait des heures en compagnie de ma mère juste pour l’amadouer à garder son prochain enfant pendant qu'elle ira travailler.
Les mots garce et salope s’imposaient naturellement quand je pensais à elle. Ce que je ne permettrais pas de traiter d’autres femmes. Et en même temps, j’avais plutôt de l’admiration pour elle. Elle avait une manière inégalée de jouer avec les gens sans qu’ils ne soient aperçoive. Sans aucun doute, à l’époque, elle m’éblouissait bien la garce avec sa figure de Madone. Et je me rends seulement compte aujourd’hui qu’il y avait en elle quelque chose d’artificiel.
Elle possédait un corps bien charpenté. Des cheveux châtain clair, un visage aux traits délicats. Bref pour moi, elle avait tout d’une vamp dévoreuse de minet.
Je me suis fait accrocher par elle un mercredi après-midi, alors que ma mère la reçoit dans le salon.
Elle est assise autour de la table. Moi, assis en face d’elle sur le fauteuil. Donc plus bas. Quel plaisir quand elle décroise les jambes. Le mouvement est sans doute volontaire. Sa jupe courte se remonte dévoilant non seulement ses cuisses rondes, mais aussi une partie de sa culotte de couleur mauve.
Comme si cela ne suffit pas, elle écarte les genoux et la scène est alors gravée à tout jamais dans mes souvenirs, faisant des malheurs lors de mes masturbations. Aujourd’hui encore, je peux la dessiner de mémoire.
Le tissu satiné du slip colle à sa vulve, et si c’est aussi obscène que si elle est nue. Les moindres détails me sautent aux yeux. Le creux de la fente, les lèvres épaisses, l’ombre de la toison.
Mais ce jour-là, j’en prends plein les mirettes. Et pendant que je me rince l’œil, Ghislaine bavarde comme si de rien n’était avec ma mère. Elle s’exhibe, naturellement, mais je ne sais pas si elle se rend compte alors qu’elle m’a marqué l’esprit à tout jamais.
Elle m’assène le coup de grâce en portant sa main à son entrejambe, parfaite imitation du geste qu’on exécute sans y penser alors que, comme je devais l’apprendre par la suite, elle calcule le moindre de ses mouvements. Elle a d’une main sûr repoussé un bord de sa culotte loin de son aine, se grattant pendant quelques secondes. Une partie de sa culotte s’enfonce plus profondément dans la fente de son sexe et une lèvre m’apparaît.
Ensuite, elle resserre les cuisses. Fin du show. Enfin ! Pour ce jour-là, la suite demain, puis Ghislaine se lève. Son regard rencontre le mien. Il est noir, et d’une dureté incroyable, mais ça, je ne l’ai pas vraiment perçu dans l’instant. Je suis tétanisé par une sorte de transe. Mon sexe, tendu me fait mal. Ma mère me lance à ma cause de gaucherie.
- Tu vas peut-être te lever pour dire au revoir à Ghislaine.
Je me lève après avoir tiré aussi bas que je le peux mon tee-shirt pour dissimuler l’érection qui déforme ma braguette. Je ne sais plus trop quelle contenance prendre. Ma mère m’observe avec attention, avant de dire que je couve quelque chose. Sa réflexion fait rire Ghislaine qui sait d’autant mieux de quoi je souffre, et pour cause elle en est l’origine.
Elle vient à ma rencontre. J’ai un instant peur qu’elle sente ma queue toute dure, mais elle se penche pour déposer un baiser sur ma joue. Sa bouche suit une curieuse trajectoire, frôlant subrepticement mes lèvres. Je la regarde s’éloigner. Son cul est haut perché. Un popotin qui remplit bien sa jupe. Tendant le tissu à en faire craquer les coutures.
Le bas-ventre douloureux, la fièvre dans le sang, je prends le chemin de ma chambre. Une fois la porte verrouillée, je déboutonne ma braguette, et libère ma queue. Elle est gorgée de sang. Jusqu’alors, depuis mon retour de vacances, je me masturbais sans arrêt en pensant à tata. Mais aujourd’hui, c’est différent. Mon héroïne a changé de tête, et elle se nomme Ghislaine !
À défaut d’autre chose, je ferme les yeux et je me mémorise les images qu’elle m’a offertes. J’empoigne mon sexe et je me branle rageusement. M’imaginant lui lécher le cul, dont je devine l’odeur. Sans doute pas différent de celle des femmes qui ont bien voulu de donner l’accès à leur intimité et dont je leur serais toujours gré !
Il ne me faut que quelques secondes pour que ma verge crache son plaisir. Il jaillit à grandes giclées, poissant ma main, mais surtout souillant le parquet. Mais cela est loin de me faire retomber le degré d’excitation que j’ai pour ma nouvelle héroïne.
Mon imagination n'en a que pour Ghislaine. Son visage, ses cheveux, son sourire moqueur, sans oublier la forme de son cul faisant gonfler la jupe comme une montgolfière.
Le lendemain, c'est avec impatience que j’attends la venue de Ghislaine, la maléfique. J’avais même prévu pour cela, de prendre une place idéale pour m’en mettre plein les mirettes.
Il m’était alors impossible de m’arracher à la force de l’attraction qu’elle exerce sur moi. Je me disais qu’ils y auraient toujours quelque chose à voir et c’est bien le cas à chaque fois. J’aurais donné tout mon argent de poche que j’avais mis sur le côté pour m’offrir une seule vision de son sexe nu.
Alors quand, j’ai entendu qu’on frappé à la porte, j’ai eu du mal à maîtriser mon excitation. À en avoir une sorte de vertige fiévreux.
Aujourd’hui encore pour mon plus grand plaisir, elle porte une robe de grossesse courte. Je pense que j’étais pour quelque chose sur sa tenue vestimentaire. D’ailleurs, j’ai senti chez elle quand j’ai ouvert la porte d’entrée, une grande satisfaction de me voir.
Une fois installée, elle n’a pas mis longtemps à offrir son intimité à mes rétines. En croisant haut ses jambes. Pense bien, pour mon plus grand plaisir.
Comme à son habitude, ma mère lui a proposé de lui faire un thé. Ce que Ghislaine a tout de suite accepté, et pour cause. Elle en profite même de cette absence pour s’exhiber à mes yeux. Comme laissé tomber son sac à main de l’autre côté du canapé. J’ai aussitôt eu la certitude qu’elle l’a fait exprès. Quand elle se plie en deux, le ventre posé sur le dossier du canapé. La robe de Ghislaine s’en tire-bouchonne à ses hanches. Dévoilant sa croupe généreuse ainsi qu’un slip qui recouvre à peine un tiers de ses fesses. Il rentre autant dans sa raie du cul qu’entre les lèvres de son sexe. Mais c’était sans compter sur une intervention à l’improviste de ma mère. Je pense qu’à cet instant ma maman a pour une fois compris la situation. Elle a tout de même un réflexe de pudeur en s’arrangeant de se mettre entre Ghislaine et moi.
D’ailleurs, ma chère maman, dès le départ de Ghislaine, n’a pas manqué de me faire remarqué l’incident. Mettant cela sur le compte de sa grossesse.
Une question de voir les choses !
Mais ce fut partie-remise pour Ghislaine, qui pas plus tard que la semaine suivante, avait trouvé une réplique pour faire éloigner ma mère de la scène de débauche. Un soit disant besoin de miel, que ma mère n’avait pas dans sa réserve. Et qui, je crois sans aucune hésitation, avait deviné le petit jeu, se propose d’aller en acheter à la supérette du quartier, me laissant ainsi en tête-à-tête avec la virtuose.
Dès qu’elle quitte l’appartement, Ghislaine profite de l’occasion pour retrousser l’ourlet de sa robe. Avec animation, elle fait glisser sa culotte de couleur blanche le long de ses jambes. Cela a été tellement précipité que je n’ai même pas eu le plaisir d’apercevoir un poil de sa chatte.
- Dis Alain, cela te dit ma culotte ? Me fait-elle avec un sourire charnel.
Il m’est alors bien sûr impossible de refuser, et je le lui en fais part.
- Tu vas te régaler. J’ai été pissé en arrivant. Et cochonne comme je suis, je n’ai pas pris la peine de m’essuyer. Tu devines le genre ? Soupire-t-elle.
Je profite de l’absence de ma mère pour la mettre sous mon oreiller. Impatient d’y fourrer mon nez. Ma mère revient, son pot de miel en main, et s’enfonce dans sa cuisine préparée le thé. Pendant ce temps-là Gislaine égal à elle-même, ne se prive pas de m’exhiber sa chatte. Pas assez longtemps à mon goût, vu que ma mère était de retour. Mais suffisamment pour me rendre malade d’excitation. Je reste tout de même clairvoyant. La coquine m’allume et s’excite en même temps. L’agrément que cela lui gratifie, je le devine plus fort que celui qu’elle aurait éprouvé en faisant l’amour. Je l’avais lu dans le Rapport Hite.
Le hasard ou pas, fait que le lendemain, je la croise dans le quartier alors que je prends le chemin du lycée.
- Salut Alain, tu vas bien ? Me fait-elle en me tendant ses joues pour que je la bise.
- Comme tu peux le voir, en pleine forme.
- Maintenant, que nous sommes seuls, je peux te poser une question que je dirais indiscrète ?
- Je t’écoute, oui… Je lui fais, sachant très bien où elle allait en venir.
- Tu as bien égayé ta soirée ?
- Tu parles de la culotte que tu m’as si aimablement offerte.
- Oui ça et la vue de ma chatte !
- Je reconnais être resté sur ma fin.
- Je pense moi aussi, mais il n’était pas question que je me fasse surprendre par ta mère. T’imagine un peu le drame. Et plus question pour moi de lui donner à garder mon enfant. D’ailleurs, je compte sur toi pour dissuader ta mère de le garder.
Voilà l’explication de ses fresques érotiques. C’était juste pour me mettre de son côté au vu de la négociation finale.
Mais ce qu’elle ne savait pas cette chère Ghislaine à cet instant-là, c’est que j’allais moi aussi jouer avec elle.
- Tu veux que je te dise Ghislaine, et bien, je me suis branlé en léchant ta culotte.
- C’était bien le but quand je te l’ai offerte, mais là, à la lécher.
- Impossible pour moi de résister à la tentation !
- Et tu as pensé à moi en te branlant ?
- À qui d’autre ? Bien sûr de toi.
- Beau comme tu es, tu ne préfères pas les filles de ton âge ?
- Je préfère les grosses cochonnes.
Elle me quitte un sourire moqueur aux lèvres. Pour ma part, je prends le chemin du lycée. J’ai un peu honte de moi de lui avoir dévoilé ma déficience. Néanmoins, j’ai comme des fournis sur la queue. L’image de son sexe tourne en boucle dans ma tête. Pourtant, je sais pertinemment qu’elle ne me donnerait jamais l’accès de son corps. Me jugeant trop jeune pour ses besoins sexuels. Comme l’avait jugé dans son temps Christiane avant de tomber dans mes mailles.
Mais voilà que le soir même, en revenant du lycée, ma mère me lance innocemment.
- Ghislaine voudrait que tu te rendes jusque chez elle.
Là, j’ai le sang qui se glace dans mes veines. J’ai le réflexe de lui répondre :
- Tu sais pourquoi ?
- Une bouteille de gaz a changé, tu connais son état ?
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