GHISLAINE...suite.

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : GHISLAINE...suite. Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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GHISLAINE...suite.
On montant les marches qui vont m’amener jusqu’à son appartement, je ressens de drôle de sensation. Je ne sais pas quoi dire quel âge elle a entre trente et trente-cinq ans sans doute.
Elle me reçoit avec un mélange de sympathie et d’amusement. Elle m’invite à entrer dans son antre. Une fois la porte refermée derrière moi, elle pose les mains sur les hanches et me fixe ses yeux soulignés d’un trait de khôl.
- Maman m’a fait part de ton besoin de gaz.
- Oui faisant comme.
- Tu n’as pas besoin de gaz ?
- Non, seulement de discuter avec toi. Cela ne te gêne pas au moins.
- Pas du tout, au contraire…
- Au contraire ? Je prends cela comment ?
- Comme cela te dit !
- Bien… Allons-nous asseoir au salon.
Là, une fois assise dans son confortable fauteuil, Ghislaine baisse la voix, prenant une intonation de confidence, pour laisser tomber :
- Tous les mecs que j’ai eus pouvaient me demander ce qu’ils voulaient, oui, tout, et je disais toujours oui ! Toujours !
Et puis pourquoi m’a-t-elle dit qu’elle ne dise jamais non à ses mecs, si cela n’a pas été une invite ?
Elle hoche la tête avant d’ajouter, en posant la main sur mon avant-bras.
- Tu me prends vraiment pour une salope ?
- Pas du tout. Je ne sais pas où tu vas chercher cela.
- Alors sois franc avec moi, tu me prends pour quoi ?
- Pour une femme aimant le sexe.
- Tu aimes le sexe, toi ? Me lance-t-elle.
Je retourne la question plusieurs fois dans ma tête. Je ne sais pas alors si elle est en train de me proposer de jouer le rôle d’une seconde maman ou celui de maîtresse. Attendant toujours que je réponde à sa question, la voilà qu’elle se penche en avant m’envoyant une bouffée de son parfum sucré.
Je pose la main sur son épaule et elle se blottit contre mon épaule. Sa main se pose sur l’intérieur de ma cuisse. Elle me caresse doucement, remontant presque jusqu’à l’entrejambe. Sa voix est basse, un murmure.
-J’espérais bien que tu viendrais.
Mon sexe est tendu sous mon pantalon et je reste immobile, attendant que sa main remonte plus haut et m’empoigne, mais elle me fait languir la salope.
- Je t’attendais, tu sais…
Elle relève la tête, une lueur canaille dans ses yeux.
- Tu veux voir comme je me suis fait belle pour toi ?
Elle étouffe un petit rire, en se laissant aller en arrière sur le divan. En appui sur les paumes, elle relève les genoux, faisant remonter sa robe de grossesse sur ses cuisses. Le tissu tendu entre ses cuisses forme une tente sous laquelle je ne distingue rien.
- Vas-y regarde !
Elle a pris l’initiative jusque-là, mais c’est à moi d’agir maintenant. Je repousse le vêtement avec lenteur, pour révéler le haut de ses cuisses. Elle me fixe sous ses paupières mi-closes, sans chercher à feindre la moindre pudeur. Au contraire, elle cherche mon regard, une lueur perverse dans ses yeux clairs. D’elle-même, elle soulève le bassin m’incitant à trousser la robe jusqu’à son ventre arrondi.
- Rince-toi bien la vue ! Je sais que tu aimes ça !
Le tissu léger roulé sous l’arrondi du ventre. Elle m’exhibe son entrecuisse parfaitement couverte de poils. Pendant que je la détaille, elle continue à m’observer à travers ses cils. Je la devine excitée. Heureuse de s’exhiber devant moi. Sa poitrine se soulève au rythme rapide de sa respiration bruyante. Elle écarte davantage les cuisses, sa chatte s’entrouvre, révélant des chairs roses et chiffonnées. Une forte odeur de pisse s’échappe de la fente.
- J’espère que je ne sens pas fort ? Me fait-elle.
- J’adore !
- Alors… si tu adores !
Je me penche assez pour que mon nez vienne frôler son buisson odorant. Je sens Ghislaine se tortille d’excitation sur les coussins.
- Régale-toi mon beau ?
J’ouvre la bouche et aspire les lèvres pendantes. Elle laisse échapper un hoquet et dans un sursaut m’agrippe la nuque comme si elle craignait que je m’arrête déjà.
Serrées dans ma bouche, les lèvres pendantes de sa chatte me font l’effet d’une friandise molle, acidulé. Le goût fade de sa mouille. L’odeur suave m’excite. Elle se cramponne à moi, poussant le bassin contre mon visage. Poussant le bassin contre mon visage. Frottant avec force sa vulve touffue sur mon menton. Donnant des coups de reins en haletant. Sous ma langue, je sens le bouton et ses petites lèvres qui enflent, devenant presque durs tant ils sont engorgés.
Elle jouit d’un coup, avec un cri strident. Ses cuisses battant contre mon visage comme si elle voulait me griffer avec elles.
Ses cris apaisés, elle se laisse aller en arrière. Je fais mine de me dégager, mais Ghislaine n’en a pas assez. Elle respire toujours aussi vite, expirant avec un sifflement. Ses doigts se serrent sur ma nuque pour m’empêcher de me redresser. La mouille continue à s’écouler de sa chatte. Plus aigre qu’au début. Il me poisse le menton.
- Oui… Continue, s’il te plaît !
Peut-être n’avait-elle pas eu d’homme depuis longtemps. Ou alors, peut-être est-ce simplement qu’elle a un tempérament exigeant. Les chairs rougies qui dépassent de ses poils. Elle les pousse vers moi, cherchant à atteindre ma bouche.
Je la suce avec davantage de brutalité. Agaçant les petites lèvres entre mes dents. Écrasant son bouton comme su, j’avais voulu l’enfoncer dans sa vulve.
Elle jouit plus violemment que la fois précédente. Quand je me redresse, j’ai tout le bas du visage humide. De la mouille mêlée de salive goutte de sa chatte jusque sur le tissu du coussin, formant une petite flaque plus sombre à la naissance des fesses. Ghislaine est chavirée. Le visage en sueur, des cheveux collés au front. Elle a du mal à reprendre son souffle. Ses yeux réduits à une fente sous les paupières lourdes, elle tend sa main dans ma direction.
- Maintenant, tu fais ce que tu veux. Donne-toi du plaisir !
En répétant ses encouragements avec des intonations qui laissent deviner qu’elle recommence à être excitée, elle creuse les reins, tendant vers moi ses fesses grasses. Elles sont si lourdes, que, malgré sa position. Je prends la main de Ghislaine la guidant pour lui montrer comment je veux qu’elle s’ouvre pour moi. Elle recule le bassin et tire sur les chairs de sa croupe pour mieux s’exhiber.
La raie est d’un brun plus sombre encore que sa chatte.
- Et si ce que je veux, c’est de prendre par là ?
Joignant le geste à la parole, je pose mon index sur la pastille plissée de son anus.
- Moi, je ne suis pas une femme qui dit non, tu sais bien, je te l’ai dit.
Le trou du cul s’écarte docilement sous la pression de mon index. Je glisse deux phalanges dans son rectum sans qu’elle ne réagisse. Je palpe les muqueuses brûlantes, faisant tourner mon doigt à l’entrée de son cul pour l’évaser. L’entrecuisse est tellement trempée que je prélève un peu de mouille pour la lubrifier avant de diriger mon gland vers l’étoile bistre de son anus.
Recommençant à haleter, elle se tend vers moi. Les traits contractés. Je n’ai qu’à pousse pour que mon gland s’engouffre d’un coup dans son cul. Elle reste totalement immobile. S’ouvrant les fesses de la main. Laissant son boyau aspirer ma queue, m’avalant à l’intérieur de son rectum par ses contractions successives.
C’est comme si elle me suçait avec son cul. Une bouche étroite et serrée qui moule ma queue d’une façon parfaite. À ses traits, je n’aurais pas su dire si Ghislaine subissait ou prenait du plaisir. Est-ce qu’elle se servait de son cul ainsi uniquement pour me faire jouir ou y trouve-t-elle son compte ?
Je me laisse masser par son trou du cul jusqu’à ce que je jouisse violemment, purgeant ma jouissance.
Lorsque je finis par me retirer, Ghislaine plaque le bas de sa robe entre ses grosses fesses, l’enfonçant dans la raie.
- Non, attends, je ne veux pas que tu partes comme ça.
Elle voit mon regard interloqué. Le sien se porte vers mon pénis taché.
- Va te laver.
Elle me reçoit à mon retour sourire à canaille aux lèvres.
- Tu peux venir chez moi quand tu veux, tu sais. Maintenant, tu es ici chez toi.
C’est ainsi que le lendemain puis le surlendemain et le jour d’après je suis est là, fidèle à ses besoins. Je la regarde s’affairer aux tâches ménagères à ma place.
Quand elle se penche malgré son gros ventre pour ramasser des trucs, je me surprends à mater ses cuisses ou ses magnifiques seins de future maman, se balançant dans son décolleté. Forcément, elle finit par se rendre compte de mes regards. C’est clair que ça l’amuse.
Un matin, alors qu’elle est en train de nettoyer des meubles bas, penchée en avant, sentant mon regard sur sa croupe, elle tire sur sa robe, dévoilant ses fesses avant de me dire…
- T’as envie de baiser ou je me fais des idées ?
Elle se débarrasse de sa culotte puis tout en s’appuyant sur l’évier en me présentant son postérieur, me murmure.
- Allez, viens tirer ton coup. Ça va te faire du bien et à moi aussi. Prends-moi en levrette, comme ça, je préfère avec mon gros ventre.
En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, je me retrouve à poils derrière elle, la bite dressée contre mon ventre. Que je me mets à frotter entre ses lèvres intimes.
- Oui, c’est ça. Fais-moi mouiller. Mon clito, oui. Fais-le rouler sous ta queue. Hummm, tu fais ça drôlement bien dis donc.
- Ghislaine, j’ai envie de te bouffer la moule avant. Tu veux bien ?
- C’est ce que je préfère. Vas-y. Régale-toi, mon beau.
Ma bouche, ma langue, mes lèvres entrent en action, explorant la moindre parcelle de son intimité, encouragée par ses gémissements de plus en plus appuyés. Tout à coup, c’est l’explosion. Elle pousse un long gémissement rauque tandis que ses cuisses, ses fesses sont secouées de spasmes incontrôlés. Il est temps pour moi de penser à mon plaisir. Je me redresse pour cela. Je pointe mon gland contre l’ouverture de sa tirelire. Je l’enfonce doucement en la saisissant fermement aux hanches.
- Ha oui, c’est juste des plus délicieux après avoir joui. Vas-y maintenant Alain, profite… Donne-moi mon compte.
Elle m’excite avec son langage, peu commun sortant d’une bouche de femme. J’œuvre tout en douceur, savourant ses chairs offertes. Elle m’encourage avec des mots de plus en plus crus. Elle me soumet que je peux y aller plus fort, que ça ne risque rien. Je m’exécute et lui catapulte des coups de reins de plus en plus puissants. Il ne m'en faut pas plus pour jouir.
Ma jouissance déclenche aussitôt celle de Ghislaine. Puis peu à peu tout redevient calme. Ghislaine grand, sourire aux lèvres, me lâche :
- Hé bien, j’étais loin de m’attendre ça de toi !

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