Impromptus de couple (2)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Impromptus de couple (2)
LA JARDINIERE
Olivier lisait tranquillement son journal sur la chaise longue de son jardin lorsqu'il vit apparaitre son épouse Cathy avec une pelle et un seau rempli de terre, ses outils indiquant qu'elle allait sacrifier à un de ses plaisirs : le jardinage. A priori, cela n'avait rien de surprenant puisque c'était une de ses occupations favorites le week-end. Ce qui l'était davantage, c'est qu'elle était "vêtue" de son minuscule bikini, si minuscule qu'on n'est pas sûr qu'une balance aurait pu enregistrer son poids. Le slip masquait tout juste la raie des fesses mais pas le haut du pubis où quelques poils prenaient l'air. Quant au soutif, sa vocation première n'était pas le soutien mais la dissimulation des aréoles derrière un mince carré de tissus. Les deux pièces tenaient par des ficelles nouées si sommairement qu'il aurait suffi d'en tirer un bout pour que tout tombe par terre. Sidéré, Olivier conclut par cette phrase : "elle est encore plus à poil que si elle était à poil".
Cathy semblait indifférente à l'effet produit, comme si elle avait seulement recherché d'être à l'aise en de début d'après-midi très chaud. Elle se courbait, s'accroupissait, virevoltait dans son jardin d'une plante à l'autre, concentrée sur son travail. Derrière ses lunettes de soleil, Olivier la regardait évoluer. A la cinquantaine tout juste atteinte, elle avait conservé sa minceur de jeune fille avec toutefois des formes un peu plus alourdies, notamment les seins et les hanches, ce qui la rendait plus sexy aux yeux de son mari qu'au temps de ses jeunes années où elle était carrément maigre. Ses cheveux artificiellement blonds, coiffés à la diable, lui donnaient même un air juvénile. Il ressentit un début d'érection mais replongea dans son journal car quand Cathy jardinait, pas question de la déranger et de penser à la bagatelle.
C'est là où il se trompait. Si elle avait déboulé dans cette tenue plus propice à la plage qu'au jardin, ce n'était pas par hasard. Depuis quelque temps, elle était draguée avec assiduité par un collègue de travail, ce qui lui avait fait prendre conscience qu'elle manquait de sexe. Voilà trop longtemps qu'Olivier ne lui avait pas fait l'amour, comme si la routine s'était installée dans leur couple. L'absence de leurs enfants, la chaleur ambiante, la longueur de leur chasteté qu'elle ne pouvait même pas évaluer, tout aurait pu concourir ce jour à une sieste crapuleuse. Mais non, il lisait son journal. Quand elle se regardait dans la glace, elle ne se trouvait pourtant pas mal. Ses seins tenaient toujours bien la route, son ventre était à peine bombé, ses cuisses restaient fermes et l'empressement du collègue à son égard confirmait son potentiel sexuel intact, d'autant qu'il était nettement plus jeune qu'elle. Elle sentait qu'elle n'allait pas pouvoir lui dire non éternellement. Mais avant, il fallait donner une chance à Olivier. Le séduire, le provoquer, le faire bander. Pour cela, elle avait sorti ce bikini qu'elle n'osait même plus mettre sur une plage parce que c'était celui de ses vingt ans, qu'elle avait conservé comme une relique.
Elle lui faisait face maintenant, penchée en avant, et Olivier avait une vue plongeante sur les deux nibards sur le point de s'éjecter du maigre soutif. Lorsqu'elle se redressa, une aréole était à demi sortie, brune, provocante, et elle ne la dissimula pas. Elle se retourna, cette fois accroupie et le minuscule slip se contracta, révélant le haut de la raie des fesses. Toujours aucune réaction. Olivier commençait à ressentir une boule au creux de l'estomac. Elle le faisait exprès ou quoi ? Elle le regarda en souriant et déclara :
- Il fait chaud, hein ? Tu n'as pas soif ?
- Euh... si.
- Je vais nous chercher à boire.
Elle réapparut quelques minutes plus tard avec deux canettes et deux verres et, se penchant pour le servir, offrit à nouveau le spectacle de ses deux seins voluptueux dont l'un à moitié sorti de son logement. Olivier n'avait qu'un petit mouvement à faire pour les empoigner mais il se retint. Cathy retourna à son jardinage en ondulant de la croupe à moitié dénudée. Puis, se retournant vers lui, lâcha :
- Pouff, il fait chaud, excuse-moi mais je me mets à l'aise.
Et elle dénoua son soutien-gorge. Hypnotisé par les deux nibards en liberté, Olivier ne lisait plus son journal. In petto, Cathy se disait que sa stratégie était en bonne voie. Elle continua à sarcler, gratter, planter, imposant par ses mouvements un supplice au slip qui, soudain, lâcha prise et tomba au sol comme une feuille morte.
- Ah zut, ma culotte n'a pas tenu, elle doit être trop petite, tant pis, je reste à poil, ça ne te gêne pas au moins ?
Et d'exhiber sans pudeur son pubis aux poils follets et la raie profonde de ses fesses. Cette fois, Olivier bandait, à en avoir mal au gland. Il fourragea dans son short et sortit son pénis pour le soulager. Cathy s'en aperçut mais fit mine de n'avoir rien vu, un mince sourire aux lèvres. Son jardinage la fit passer à portée de la chaise longue. Au spectacle de ce corps nu, pulpeux et si vivant, Olivier craqua. Il la prit par le bras, l'attira sèchement à lui et la fit tomber sur lui et sur la chaise longue.
- Mais qu'est-ce que tu fais ?
- Je vais te baiser, là, tout de suite, espèce de chienne !
Et sentant le gland survitaminé à l'entrée de sa grotte, Cathy, bien échauffée, n'eut qu'un mouvement de hanche à accomplir pour être pénétrée. Les pieds de chaque côté de la chaise longue, elle s'empala jusqu'à la garde et se mit à cavaler en lui mettant ses seins dressés dans la figure. Elle fit tout le boulot, si l'on peut dire, imposant son rythme, son ardeur et son appétit. En la voyant tressauter sur lui, les yeux clos et la langue sur les lèvres, Olivier se dit qu'elle avait vraiment besoin de sa bite et sa virilité, légèrement atténuée ces derniers temps, en fut toute revigorée. Mais Cathy, en même temps, se faisait une autre réflexion en chevauchant son mari : c'est surtout de bite qu'elle avait besoin et à tant faire, autant profiter de celle qui était à sa portée. Oui, besoin de bite pour combler le vide insupportable qu'elle ressentait dans son bas-ventre depuis quelques jours, pour se sentir femme et même femelle, pour faire vivre son animalité frustrée. Ce n'est pas tant faire l'amour qu'elle voulait mais baiser. Et son inquiétude maintenant était qu'Olivier jouisse avant elle. Aussi, elle l'entraina dans le salon, se mit à genoux sur le canapé et l'invita à la prendre en levrette, sa position favorite parce que justement elle illustrait son animalité. Olivier la lima consciencieusement en la tenant par les hanches puis s'arrêta et la laissa venir à lui à grands coups de cul. Elle gémissait de plus en plus fort, tout entière à son plaisir et en cet instant présent, vu la posture, fut à deux doigts de lui lâcher : "encule-moi". Mais l'envie ne franchit pas sa bouche et Olivier n'en prit pas l'initiative, à son regret. Son énergie à aller chercher sa bite finit même par le faire éjaculer, lui procurant à elle le plaisir subtil de la chaude giclée dans le vagin. Ce n'était pas un orgasme violent, mais c'était mieux que rien.
Deux jours plus tard, Cathy couchait à l'hôtel avec son jeune collègue et prenait un pied d'enfer.
(A suivre)
Olivier lisait tranquillement son journal sur la chaise longue de son jardin lorsqu'il vit apparaitre son épouse Cathy avec une pelle et un seau rempli de terre, ses outils indiquant qu'elle allait sacrifier à un de ses plaisirs : le jardinage. A priori, cela n'avait rien de surprenant puisque c'était une de ses occupations favorites le week-end. Ce qui l'était davantage, c'est qu'elle était "vêtue" de son minuscule bikini, si minuscule qu'on n'est pas sûr qu'une balance aurait pu enregistrer son poids. Le slip masquait tout juste la raie des fesses mais pas le haut du pubis où quelques poils prenaient l'air. Quant au soutif, sa vocation première n'était pas le soutien mais la dissimulation des aréoles derrière un mince carré de tissus. Les deux pièces tenaient par des ficelles nouées si sommairement qu'il aurait suffi d'en tirer un bout pour que tout tombe par terre. Sidéré, Olivier conclut par cette phrase : "elle est encore plus à poil que si elle était à poil".
Cathy semblait indifférente à l'effet produit, comme si elle avait seulement recherché d'être à l'aise en de début d'après-midi très chaud. Elle se courbait, s'accroupissait, virevoltait dans son jardin d'une plante à l'autre, concentrée sur son travail. Derrière ses lunettes de soleil, Olivier la regardait évoluer. A la cinquantaine tout juste atteinte, elle avait conservé sa minceur de jeune fille avec toutefois des formes un peu plus alourdies, notamment les seins et les hanches, ce qui la rendait plus sexy aux yeux de son mari qu'au temps de ses jeunes années où elle était carrément maigre. Ses cheveux artificiellement blonds, coiffés à la diable, lui donnaient même un air juvénile. Il ressentit un début d'érection mais replongea dans son journal car quand Cathy jardinait, pas question de la déranger et de penser à la bagatelle.
C'est là où il se trompait. Si elle avait déboulé dans cette tenue plus propice à la plage qu'au jardin, ce n'était pas par hasard. Depuis quelque temps, elle était draguée avec assiduité par un collègue de travail, ce qui lui avait fait prendre conscience qu'elle manquait de sexe. Voilà trop longtemps qu'Olivier ne lui avait pas fait l'amour, comme si la routine s'était installée dans leur couple. L'absence de leurs enfants, la chaleur ambiante, la longueur de leur chasteté qu'elle ne pouvait même pas évaluer, tout aurait pu concourir ce jour à une sieste crapuleuse. Mais non, il lisait son journal. Quand elle se regardait dans la glace, elle ne se trouvait pourtant pas mal. Ses seins tenaient toujours bien la route, son ventre était à peine bombé, ses cuisses restaient fermes et l'empressement du collègue à son égard confirmait son potentiel sexuel intact, d'autant qu'il était nettement plus jeune qu'elle. Elle sentait qu'elle n'allait pas pouvoir lui dire non éternellement. Mais avant, il fallait donner une chance à Olivier. Le séduire, le provoquer, le faire bander. Pour cela, elle avait sorti ce bikini qu'elle n'osait même plus mettre sur une plage parce que c'était celui de ses vingt ans, qu'elle avait conservé comme une relique.
Elle lui faisait face maintenant, penchée en avant, et Olivier avait une vue plongeante sur les deux nibards sur le point de s'éjecter du maigre soutif. Lorsqu'elle se redressa, une aréole était à demi sortie, brune, provocante, et elle ne la dissimula pas. Elle se retourna, cette fois accroupie et le minuscule slip se contracta, révélant le haut de la raie des fesses. Toujours aucune réaction. Olivier commençait à ressentir une boule au creux de l'estomac. Elle le faisait exprès ou quoi ? Elle le regarda en souriant et déclara :
- Il fait chaud, hein ? Tu n'as pas soif ?
- Euh... si.
- Je vais nous chercher à boire.
Elle réapparut quelques minutes plus tard avec deux canettes et deux verres et, se penchant pour le servir, offrit à nouveau le spectacle de ses deux seins voluptueux dont l'un à moitié sorti de son logement. Olivier n'avait qu'un petit mouvement à faire pour les empoigner mais il se retint. Cathy retourna à son jardinage en ondulant de la croupe à moitié dénudée. Puis, se retournant vers lui, lâcha :
- Pouff, il fait chaud, excuse-moi mais je me mets à l'aise.
Et elle dénoua son soutien-gorge. Hypnotisé par les deux nibards en liberté, Olivier ne lisait plus son journal. In petto, Cathy se disait que sa stratégie était en bonne voie. Elle continua à sarcler, gratter, planter, imposant par ses mouvements un supplice au slip qui, soudain, lâcha prise et tomba au sol comme une feuille morte.
- Ah zut, ma culotte n'a pas tenu, elle doit être trop petite, tant pis, je reste à poil, ça ne te gêne pas au moins ?
Et d'exhiber sans pudeur son pubis aux poils follets et la raie profonde de ses fesses. Cette fois, Olivier bandait, à en avoir mal au gland. Il fourragea dans son short et sortit son pénis pour le soulager. Cathy s'en aperçut mais fit mine de n'avoir rien vu, un mince sourire aux lèvres. Son jardinage la fit passer à portée de la chaise longue. Au spectacle de ce corps nu, pulpeux et si vivant, Olivier craqua. Il la prit par le bras, l'attira sèchement à lui et la fit tomber sur lui et sur la chaise longue.
- Mais qu'est-ce que tu fais ?
- Je vais te baiser, là, tout de suite, espèce de chienne !
Et sentant le gland survitaminé à l'entrée de sa grotte, Cathy, bien échauffée, n'eut qu'un mouvement de hanche à accomplir pour être pénétrée. Les pieds de chaque côté de la chaise longue, elle s'empala jusqu'à la garde et se mit à cavaler en lui mettant ses seins dressés dans la figure. Elle fit tout le boulot, si l'on peut dire, imposant son rythme, son ardeur et son appétit. En la voyant tressauter sur lui, les yeux clos et la langue sur les lèvres, Olivier se dit qu'elle avait vraiment besoin de sa bite et sa virilité, légèrement atténuée ces derniers temps, en fut toute revigorée. Mais Cathy, en même temps, se faisait une autre réflexion en chevauchant son mari : c'est surtout de bite qu'elle avait besoin et à tant faire, autant profiter de celle qui était à sa portée. Oui, besoin de bite pour combler le vide insupportable qu'elle ressentait dans son bas-ventre depuis quelques jours, pour se sentir femme et même femelle, pour faire vivre son animalité frustrée. Ce n'est pas tant faire l'amour qu'elle voulait mais baiser. Et son inquiétude maintenant était qu'Olivier jouisse avant elle. Aussi, elle l'entraina dans le salon, se mit à genoux sur le canapé et l'invita à la prendre en levrette, sa position favorite parce que justement elle illustrait son animalité. Olivier la lima consciencieusement en la tenant par les hanches puis s'arrêta et la laissa venir à lui à grands coups de cul. Elle gémissait de plus en plus fort, tout entière à son plaisir et en cet instant présent, vu la posture, fut à deux doigts de lui lâcher : "encule-moi". Mais l'envie ne franchit pas sa bouche et Olivier n'en prit pas l'initiative, à son regret. Son énergie à aller chercher sa bite finit même par le faire éjaculer, lui procurant à elle le plaisir subtil de la chaude giclée dans le vagin. Ce n'était pas un orgasme violent, mais c'était mieux que rien.
Deux jours plus tard, Cathy couchait à l'hôtel avec son jeune collègue et prenait un pied d'enfer.
(A suivre)
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quand une femelle se découvre plus rien ne l'arrête. Vite l'histoire de cette chienne avec son collègue... Elle va sûrement encore plus se lâcher..
La suite avec le jeune collègue vite !!!!@@
Belle écriture, alerte et séduisante. j'aime accent
Un magnifique texte, qui confirme qu'au sein du couple, on peut aussi baiser sans limites! Je suis heureuse d'être la première à commenter ce texte de Micky et c'est sans hésitation que je mets la note maximale!