Initiation chap 1 - Un soir d'anniversaire
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Initiation chap 1 - Un soir d'anniversaire
Chapitre 1 – Soir d'anniversaire
Je m'appelle John, et j'avais tout juste 18 ans ce jour là. Pour mon anniversaire, mes parents avaient réuni outre Annie, un petit flirt du moment, des amis et la famille avec mon cousin Alain.
J'ai toujours été très proche d'Alain, de dix ans mon aîné, une sorte de grand frère très attentionné. Enfant j'allais en vacances chez ses parents, mon oncle et ma tante, près de Montpellier. J'aimais y aller, la vie y était détendue et tranquille, je ma baignais et jouais avec les petits copains du voisinage. Au soleil et près de la mer on vivait le plus souvent en maillot de bain et même parfois Alain se baladait à poil et sa mère prenait le soleil le plus naturellement du monde sans soutien-gorge. L'ambiance de la maison était toute différente, mes parents plutôt autoritaires étaient pudibonds et ma mère plutôt du style ''Cachez ce sein, que je ne saurais voir''.
Le soir de cet anniversaire, Alain est resté dormir à la maison. Le manque de chambres faisait que généralement je partageais la mienne. Tandis que je me glissai en pyjama dans mes draps Alain se coucha juste en boxer. La lumière éteinte, nous avons commencé à parler du passé, du présent, je lui parlai de ma copine Annie, nos relations lui semblèrent bien platoniques, tandis qu'il me parla de ses premières amours très charnelles dès son adolescence. Il me parla de sa vie à Montpellier, m'expliqua qu'avec ses parents, dès les beaux jours arrivés ils vivaient nus, qu'il n'y avait pas de tabous entre eux et que les discussions de sexe étaient fréquentes. Ensemble ils fréquentaient les plages naturistes des environs et dès le plus jeune âge il matait ses parents sans retenue avec leurs amis nudistes. Il avait aussi une grande complicité avec sa mère qui le conseillait dans ses relations féminines et même lui apprit à comment aimer les filles. Bref il menait une vie bien différente de la mienne et quand je lui ai dit que je n'avais jamais vu en vrai de femmes nues, que je n'avais jamais eu d'aventures sexuelles, il éclata de rire :
— Oh John, mais il est temps que je m'occupe de toi ! Bon... tu n'as jamais vu de femmes à poil ?
— Euh non, que je réponds timidement... Sauf les seins de ta mère quand elle se faisait bronzer.
Après un long silence il ajoute
— Viens dans mon lit... Je vais te faire voir des femmes à poil et tout t'expliquer.
Dès que sa lumière de chevet est rallumée, il se lève, il est entièrement nu et sans bruit va rapidement chercher une revue dans son sac. En revenant pour la première fois je vois son sexe d'adulte, une sorte de grosse banane bronzée à la pointe affinée qui repose sur des couilles grosses comme mon poing au milieu d'une épaisse broussaille noire. Son truc m'impressionne par rapport à l'image que j'en avais et par rapport au mien pas plus gros que deux doigts posés sur une clémentine et son duvet sombre. Il se recouche en gardant le drap levé au dessus de son corps nu, je le rejoins en pyjama, à la fois excité et inquiet.
— Viens, allonge-toi près de moi... Il me suis du regard quand je me lève et me sourit d'une drôle de manière quand je me glisse dans son lit. Il referme le drap sur moi en me prenant par les épaules et ajoutant : Regarde comme elles sont belles !
Dans son lit, il est particulièrement doux même comme il me sert contre lui. Ma main est coincée entre ma cuisse et son corps nu tandis que de l'autre, repliée sur ma poitrine, je sens mon cœur battre à tout rompre. Je suis inquiet et en même temps je me sens bien contre ce corps nu, dans les bras de ce grand gaillard qui me montre une photo en double page d'une femme nue aux cuisses en premier plan largement ouvertes et à la main écartant les poils de son sexe. Il s'agit d'une photo en noir et blanc prise en studio et toutes les autres filles de la revue s'offrent de manière indécente à l'objectif, en écartant leurs cuisses ou en relevant leurs seins pour mieux se faire voir.
— Tu n'as jamais vu un sexe de femme ?
— Pas vraiment ! Quelques fois des photos floutées.
— C'est une revue danoise et là c'est du net, c'est du hard. Regarde ce gros plan, on lui voit tout, le clito, ses lèvres et son vagin largement béant. Regarde-moi cette salope comme elle sourit, on croirait qu'elle vient de se faire baiser.
Il me demande de tenir la revue et de tourner les pages. Au fur et à mesure que je regarde les photos, ça m'excite. Toujours tenu par son bras gauche il pivote vers moi sa tête au creux de mon épaule et sa main droite sur mon torse, défait un bouton de ma veste avant de glisser dans l'interstice de mon pyjama. Elle me caresse la poitrine puis me pince doucement les tétons qui pointent. Sa jambe passe au-dessus des miennes et son changement de position fait que je sens sur ma main ses couilles et sa verge sur mon bras.
Quant à moi, mon sexe réagit à mon trouble et se redresse fièrement. En même temps, mon cousin se frotte sournoisement contre moi, je sens son membre grossir et durcir. Il fait chaud, ma respiration s'accélère, d'un coup sec il relève le drap, découvre son sexe devenu presque aussi gros que mon avant bras et mon pyjama déformé par mon érection.
— Déshabille-toi, fais comme moi tu auras moins chaud. Avant de bouger, d'un coup mon pénis jaillit de la braguette ouverte, il en rigole... Et tu seras plus à l'aise !
Après quelques instants de réflexion, je me lève et très gêné je me mets nu, je regarde à la fois le corps de mon cousin et mon sexe arqué qui paraît moitié moins gros que le sien même s'il n'est pas vraiment réveillé. Je reprends ma place contre lui et continue de tourner les pages de la revue. Lui après avoir reposé son engin sur mon bras contre moi,commente les photos des filles que je découvre.
Il me caresse à nouveau délicatement la poitrine, glisse lentement sur le ventre, revient asticoter mes tétons. Puis ses doigts s'enhardissent, descendent directement sur le pubis, taquinent le duvet, avant de passer dans l'aine et de s'emparer sans hésitation de mes roubignoles alors que sa main plaque ma verge sur mon ventre. Elle se fait lourde, la paume s'anime en un massage généralisé. Mon laisser-faire l'encourage, alors sans crainte ses doigts saisissent ma bistouquette, la palpent, font aller la peau de haut en bas en étirant le prépuce, le gland se découvre peu à peu. Alors une de ses jambes se glisse sous mes fesses au moment où l'autre prend ma cuisse en étau pour l'écarter, à ce moment d'un coup de reins involontaire le prépuce cède, le gland jaillit de sa cachette. Je ne vois alors que ce bourgeon rouge sang et cette tige claire au sommet de mon ventre relevé. Ma queue est prise en tenaille par mon cousin entre son pouce et ses quatre doigts sur l'urètre gonflée de plaisir. Je me sens à la fois mort de honte et hyper excité, c'est la première fois que je me trouve ainsi exhibant fièrement mon sexe à une autre personne à qui je vais cracher la sauce s'il continue à m'astiquer de la sorte.
En même temps, Alain se presse contre moi et commence un mouvement du bassin pour frotter son membre contre ma hanche et mon bras. Je suis surpris par ce contact sur ma peau nue. Le coquin sait y faire, il suit avec attention mon abandon lorsque je ferme les yeux et laisse tomber la revue.
Toujours entouré de son bras gauche, sa main droite me branle plus doucement, ses doigts ne font qu'effleurer le membre, son bassin se calme et il se penche sur moi, m'embrasse la poitrine, me suce un téton doucement puis plus fort, le mordille... ma respiration devient haletante et ma capitulation l'encourage.
— Tu aimes comme je te caresse.
— Ouiiii, que je réponds d'un long feulement les yeux fermés
— Je continue.
— Ouiiii ! Une nouvelle fois en râlant
Il me branle encore un moment et comme s'il sentait mes spasmes, ma jouissance monter, il me lâche d'un coup et me fait pivoter face à lui, son bras toujours autour de mon épaule, son autre main sur ma fesse, me plaque contre lui, sa bite s'imprime dans toute sa longueur dans mon ventre jusqu'à toucher l'estomac.
— Johnny, il faut savoir te contrôler !!! Puis après un long silence, son bassin entame un mouvement de coït, sa queue me laboure la chair en allant du nombril au creux du sternum. Il m'embrasse dans le cou, me fait un suçon et murmure : C'est bon... Tu aimes ?... Comment la trouves-tu ?
— Très grosse...
— Prends-la, branle-la doucement.
Alors je m'écarte carrément de lui et prends sa queue à deux mains comme un gros cierge. C'est la première fois que je tiens un sexe d'homme, il m'impressionne et pourtant machinalement je monte et descends en faisant glisser la peau sur ce bâton de chair légèrement annelé, aux veines saillantes et à l'urètre grosse comme mon pouce. La queue est dure comme du bois, inflexible, légèrement arquée. Mon mouvement s'amplifie et je vois de mieux en mieux la pointe rouge, la fine bouche se découvre. Alain prend mes mains et les abaisse brutalement pour faire sortir l'énorme fraise rouge à la peau luisante et à la base de laquelle le prépuce forme un collier.
— La peau se tire si facilement, ça ne te fait pas mal ?
— Ben non John c'est normal, contrairement à toi, mon prépuce s'est assoupli depuis le temps et mon frein est complètement libre. Vraiment, j'ai l'impression que tu es un gentil garçon qui ne connaît pas grand-chose du sexe. Tu as déjà embrassé une fille avec la langue ?
— Non.
— Et un garçon ?
— Oh non !
— D'accord Johnny ! Si tu veux, je vais te faire découvrir ce qu'est vraiment le sexe. Continue ainsi, n'aie pas peur, tu peux faire aller et venir tes mains en couvrant et découvrant au maximum le gland, n'aie pas peur de tirer vers le bas, bien au contraire.
— Et je vais te le faire doucement, tu vas voir, ça va aller... tu ne te branles jamais ?
— Si ! Si ! je réagis vivement puis ajoute sagement, quelque fois.
Rassuré, je reprends le mouvement de mes deux mains, placées en décalé sur les 20 centimètres du tronc en faisant apparaître et disparaître ce gros fruit rouge. Je suis fasciné par ce que je fais, je tiens fort sa bite et le branle régulièrement. Il me conduit gentiment à varier les mouvements, plus ou moins rapides, plus ou moins longs, en pressant ou caressant seulement le conduit tout au long de la tige.
De son côté, il continue à s'occuper de ma queue qui devient ''une belle petite bite'' comme il dit, il cale son rythme sur le mien. Mon gland se découvre naturellement de moitié puis il tire un peu plus jusqu'à ce que de moi-même je donne volontairement un coup de reins qui a pour effet de le décalotter complètement tout en poussant un petit soupir plaintif.
— Chut..... (Alain colle ses lèvres à ma bouche)... tu vas réveiller tes parents. Vraiment tu n'as pas l'habitude ! Moi je me branle presque chaque jour, ça me libère les couilles et en même temps les fait travailler, qu'il ajoute en pouffant de rire, la fonction crée l'organe comme dit mon père !
Après quelques instants, sans bruit, il se penche vers mon ventre et tout en m'astiquant, il me prend la queue en bouche. Avec sa langue, il me lèche là où c'est sensible, là où le frein s'étire à se rompre. Stupéfait je le laisse faire, ça brûle un peu sous l'effet de la salive puis ça se calme jusqu'à ce que ça devienne plaisir. C'est la première fois qu'on me suce. Toujours aussi coquin, sentant le plaisir qu'il me fait, il continue doucement et avec sa bouche ramène ma peau sur mon bourgeon. La douleur diminue, il se redresse et me demande :
— Ça va mieux.
— Oui c'est agréable... c'est la première fois qu'on me prend la queue en bouche, mais ce n'est pas propre.
— Non ce n'est pas sale, arrête avec ces idées de grenouille de bénitier, un jour tu verras, pour l'instant, tu deviens un homme. Il était temps que je m'occupe de toi.
Et là le coquin accélère son mouvement, ne porte plus attention à mes gémissements et je lâche toute la sauce. Sa main me serre et sous mes saccades continue à me branler. J'ai l'impression d'en mettre partout. Enfin il s'arrête, puis me caresse le ventre, les cuisses, la poitrine pour étaler jusqu'à assécher mon sperme.
— C'était bon ?... Après un long silence il murmure en m'embrassant sur la joue : Retourne dans ton lit, maintenant il faut dormir.
— Je vais dormir comme toi, nu, c'est la première fois que je dors sans pyjama.
— Oui bien sûr, dis-moi il y a beaucoup de premières fois aujourd'hui ! Mais ne dis rien de ce qu'on a fait... ni à tes parents ni à personne !
— Non ! Non bien sûr.
— Demain je rentre chez moi, si tu veux, j'essaie de revenir rapidement et la prochaine fois on se retrouve comme ça, et on continuera à s'aimer d'accord ?
— Oui d'accord !
On s'embrasse à nouveau comme d'habitude, entre cousins. Je retourne dans mon lit. Un peu après avoir éteint la lumière, j'entends Alain respirer très fort, son matelas bouge puis un grand soulagement.
Ça va Alain ?
Oui mon p'tit Johnny ça va !
Tu t'es branlé ?
Oui je me branlais, tu m'as tellement excité, on en reparlera la prochaine fois. Dors maintenant !.
Mais je ne dors pas, je me tripote sous les draps, je me caresse longtemps, je pense à ce qui s'est passé, à ce qu'Alain m'a raconté, à ses aventures, à cette femme aux cuisses ouvertes, se montrant toute nue... comme moi. Je suis surpris de sentir mon sexe se réveiller, bander de nouveau, plus fort qu'avant. Je me découvre complètement et me masturbe alors pour de vrai, ma main astiquant le manche, déchirant le frein, j'aime la légère douleur qu'il me procure. Je me masturbe sans précaution, beaucoup plus longtemps qu'avant, en activant le mouvement jusqu'à ne plus pouvoir retenir mon éjaculation, je gémis sans crainte de me faire entendre. Je jouis librement et reçois mon sperme chaud de partout, et comme avant je l'étale sur mon ventre et tout mon corps... et comme ça m'arrivera de plus en plus souvent.
Je m'appelle John, et j'avais tout juste 18 ans ce jour là. Pour mon anniversaire, mes parents avaient réuni outre Annie, un petit flirt du moment, des amis et la famille avec mon cousin Alain.
J'ai toujours été très proche d'Alain, de dix ans mon aîné, une sorte de grand frère très attentionné. Enfant j'allais en vacances chez ses parents, mon oncle et ma tante, près de Montpellier. J'aimais y aller, la vie y était détendue et tranquille, je ma baignais et jouais avec les petits copains du voisinage. Au soleil et près de la mer on vivait le plus souvent en maillot de bain et même parfois Alain se baladait à poil et sa mère prenait le soleil le plus naturellement du monde sans soutien-gorge. L'ambiance de la maison était toute différente, mes parents plutôt autoritaires étaient pudibonds et ma mère plutôt du style ''Cachez ce sein, que je ne saurais voir''.
Le soir de cet anniversaire, Alain est resté dormir à la maison. Le manque de chambres faisait que généralement je partageais la mienne. Tandis que je me glissai en pyjama dans mes draps Alain se coucha juste en boxer. La lumière éteinte, nous avons commencé à parler du passé, du présent, je lui parlai de ma copine Annie, nos relations lui semblèrent bien platoniques, tandis qu'il me parla de ses premières amours très charnelles dès son adolescence. Il me parla de sa vie à Montpellier, m'expliqua qu'avec ses parents, dès les beaux jours arrivés ils vivaient nus, qu'il n'y avait pas de tabous entre eux et que les discussions de sexe étaient fréquentes. Ensemble ils fréquentaient les plages naturistes des environs et dès le plus jeune âge il matait ses parents sans retenue avec leurs amis nudistes. Il avait aussi une grande complicité avec sa mère qui le conseillait dans ses relations féminines et même lui apprit à comment aimer les filles. Bref il menait une vie bien différente de la mienne et quand je lui ai dit que je n'avais jamais vu en vrai de femmes nues, que je n'avais jamais eu d'aventures sexuelles, il éclata de rire :
— Oh John, mais il est temps que je m'occupe de toi ! Bon... tu n'as jamais vu de femmes à poil ?
— Euh non, que je réponds timidement... Sauf les seins de ta mère quand elle se faisait bronzer.
Après un long silence il ajoute
— Viens dans mon lit... Je vais te faire voir des femmes à poil et tout t'expliquer.
Dès que sa lumière de chevet est rallumée, il se lève, il est entièrement nu et sans bruit va rapidement chercher une revue dans son sac. En revenant pour la première fois je vois son sexe d'adulte, une sorte de grosse banane bronzée à la pointe affinée qui repose sur des couilles grosses comme mon poing au milieu d'une épaisse broussaille noire. Son truc m'impressionne par rapport à l'image que j'en avais et par rapport au mien pas plus gros que deux doigts posés sur une clémentine et son duvet sombre. Il se recouche en gardant le drap levé au dessus de son corps nu, je le rejoins en pyjama, à la fois excité et inquiet.
— Viens, allonge-toi près de moi... Il me suis du regard quand je me lève et me sourit d'une drôle de manière quand je me glisse dans son lit. Il referme le drap sur moi en me prenant par les épaules et ajoutant : Regarde comme elles sont belles !
Dans son lit, il est particulièrement doux même comme il me sert contre lui. Ma main est coincée entre ma cuisse et son corps nu tandis que de l'autre, repliée sur ma poitrine, je sens mon cœur battre à tout rompre. Je suis inquiet et en même temps je me sens bien contre ce corps nu, dans les bras de ce grand gaillard qui me montre une photo en double page d'une femme nue aux cuisses en premier plan largement ouvertes et à la main écartant les poils de son sexe. Il s'agit d'une photo en noir et blanc prise en studio et toutes les autres filles de la revue s'offrent de manière indécente à l'objectif, en écartant leurs cuisses ou en relevant leurs seins pour mieux se faire voir.
— Tu n'as jamais vu un sexe de femme ?
— Pas vraiment ! Quelques fois des photos floutées.
— C'est une revue danoise et là c'est du net, c'est du hard. Regarde ce gros plan, on lui voit tout, le clito, ses lèvres et son vagin largement béant. Regarde-moi cette salope comme elle sourit, on croirait qu'elle vient de se faire baiser.
Il me demande de tenir la revue et de tourner les pages. Au fur et à mesure que je regarde les photos, ça m'excite. Toujours tenu par son bras gauche il pivote vers moi sa tête au creux de mon épaule et sa main droite sur mon torse, défait un bouton de ma veste avant de glisser dans l'interstice de mon pyjama. Elle me caresse la poitrine puis me pince doucement les tétons qui pointent. Sa jambe passe au-dessus des miennes et son changement de position fait que je sens sur ma main ses couilles et sa verge sur mon bras.
Quant à moi, mon sexe réagit à mon trouble et se redresse fièrement. En même temps, mon cousin se frotte sournoisement contre moi, je sens son membre grossir et durcir. Il fait chaud, ma respiration s'accélère, d'un coup sec il relève le drap, découvre son sexe devenu presque aussi gros que mon avant bras et mon pyjama déformé par mon érection.
— Déshabille-toi, fais comme moi tu auras moins chaud. Avant de bouger, d'un coup mon pénis jaillit de la braguette ouverte, il en rigole... Et tu seras plus à l'aise !
Après quelques instants de réflexion, je me lève et très gêné je me mets nu, je regarde à la fois le corps de mon cousin et mon sexe arqué qui paraît moitié moins gros que le sien même s'il n'est pas vraiment réveillé. Je reprends ma place contre lui et continue de tourner les pages de la revue. Lui après avoir reposé son engin sur mon bras contre moi,commente les photos des filles que je découvre.
Il me caresse à nouveau délicatement la poitrine, glisse lentement sur le ventre, revient asticoter mes tétons. Puis ses doigts s'enhardissent, descendent directement sur le pubis, taquinent le duvet, avant de passer dans l'aine et de s'emparer sans hésitation de mes roubignoles alors que sa main plaque ma verge sur mon ventre. Elle se fait lourde, la paume s'anime en un massage généralisé. Mon laisser-faire l'encourage, alors sans crainte ses doigts saisissent ma bistouquette, la palpent, font aller la peau de haut en bas en étirant le prépuce, le gland se découvre peu à peu. Alors une de ses jambes se glisse sous mes fesses au moment où l'autre prend ma cuisse en étau pour l'écarter, à ce moment d'un coup de reins involontaire le prépuce cède, le gland jaillit de sa cachette. Je ne vois alors que ce bourgeon rouge sang et cette tige claire au sommet de mon ventre relevé. Ma queue est prise en tenaille par mon cousin entre son pouce et ses quatre doigts sur l'urètre gonflée de plaisir. Je me sens à la fois mort de honte et hyper excité, c'est la première fois que je me trouve ainsi exhibant fièrement mon sexe à une autre personne à qui je vais cracher la sauce s'il continue à m'astiquer de la sorte.
En même temps, Alain se presse contre moi et commence un mouvement du bassin pour frotter son membre contre ma hanche et mon bras. Je suis surpris par ce contact sur ma peau nue. Le coquin sait y faire, il suit avec attention mon abandon lorsque je ferme les yeux et laisse tomber la revue.
Toujours entouré de son bras gauche, sa main droite me branle plus doucement, ses doigts ne font qu'effleurer le membre, son bassin se calme et il se penche sur moi, m'embrasse la poitrine, me suce un téton doucement puis plus fort, le mordille... ma respiration devient haletante et ma capitulation l'encourage.
— Tu aimes comme je te caresse.
— Ouiiii, que je réponds d'un long feulement les yeux fermés
— Je continue.
— Ouiiii ! Une nouvelle fois en râlant
Il me branle encore un moment et comme s'il sentait mes spasmes, ma jouissance monter, il me lâche d'un coup et me fait pivoter face à lui, son bras toujours autour de mon épaule, son autre main sur ma fesse, me plaque contre lui, sa bite s'imprime dans toute sa longueur dans mon ventre jusqu'à toucher l'estomac.
— Johnny, il faut savoir te contrôler !!! Puis après un long silence, son bassin entame un mouvement de coït, sa queue me laboure la chair en allant du nombril au creux du sternum. Il m'embrasse dans le cou, me fait un suçon et murmure : C'est bon... Tu aimes ?... Comment la trouves-tu ?
— Très grosse...
— Prends-la, branle-la doucement.
Alors je m'écarte carrément de lui et prends sa queue à deux mains comme un gros cierge. C'est la première fois que je tiens un sexe d'homme, il m'impressionne et pourtant machinalement je monte et descends en faisant glisser la peau sur ce bâton de chair légèrement annelé, aux veines saillantes et à l'urètre grosse comme mon pouce. La queue est dure comme du bois, inflexible, légèrement arquée. Mon mouvement s'amplifie et je vois de mieux en mieux la pointe rouge, la fine bouche se découvre. Alain prend mes mains et les abaisse brutalement pour faire sortir l'énorme fraise rouge à la peau luisante et à la base de laquelle le prépuce forme un collier.
— La peau se tire si facilement, ça ne te fait pas mal ?
— Ben non John c'est normal, contrairement à toi, mon prépuce s'est assoupli depuis le temps et mon frein est complètement libre. Vraiment, j'ai l'impression que tu es un gentil garçon qui ne connaît pas grand-chose du sexe. Tu as déjà embrassé une fille avec la langue ?
— Non.
— Et un garçon ?
— Oh non !
— D'accord Johnny ! Si tu veux, je vais te faire découvrir ce qu'est vraiment le sexe. Continue ainsi, n'aie pas peur, tu peux faire aller et venir tes mains en couvrant et découvrant au maximum le gland, n'aie pas peur de tirer vers le bas, bien au contraire.
— Et je vais te le faire doucement, tu vas voir, ça va aller... tu ne te branles jamais ?
— Si ! Si ! je réagis vivement puis ajoute sagement, quelque fois.
Rassuré, je reprends le mouvement de mes deux mains, placées en décalé sur les 20 centimètres du tronc en faisant apparaître et disparaître ce gros fruit rouge. Je suis fasciné par ce que je fais, je tiens fort sa bite et le branle régulièrement. Il me conduit gentiment à varier les mouvements, plus ou moins rapides, plus ou moins longs, en pressant ou caressant seulement le conduit tout au long de la tige.
De son côté, il continue à s'occuper de ma queue qui devient ''une belle petite bite'' comme il dit, il cale son rythme sur le mien. Mon gland se découvre naturellement de moitié puis il tire un peu plus jusqu'à ce que de moi-même je donne volontairement un coup de reins qui a pour effet de le décalotter complètement tout en poussant un petit soupir plaintif.
— Chut..... (Alain colle ses lèvres à ma bouche)... tu vas réveiller tes parents. Vraiment tu n'as pas l'habitude ! Moi je me branle presque chaque jour, ça me libère les couilles et en même temps les fait travailler, qu'il ajoute en pouffant de rire, la fonction crée l'organe comme dit mon père !
Après quelques instants, sans bruit, il se penche vers mon ventre et tout en m'astiquant, il me prend la queue en bouche. Avec sa langue, il me lèche là où c'est sensible, là où le frein s'étire à se rompre. Stupéfait je le laisse faire, ça brûle un peu sous l'effet de la salive puis ça se calme jusqu'à ce que ça devienne plaisir. C'est la première fois qu'on me suce. Toujours aussi coquin, sentant le plaisir qu'il me fait, il continue doucement et avec sa bouche ramène ma peau sur mon bourgeon. La douleur diminue, il se redresse et me demande :
— Ça va mieux.
— Oui c'est agréable... c'est la première fois qu'on me prend la queue en bouche, mais ce n'est pas propre.
— Non ce n'est pas sale, arrête avec ces idées de grenouille de bénitier, un jour tu verras, pour l'instant, tu deviens un homme. Il était temps que je m'occupe de toi.
Et là le coquin accélère son mouvement, ne porte plus attention à mes gémissements et je lâche toute la sauce. Sa main me serre et sous mes saccades continue à me branler. J'ai l'impression d'en mettre partout. Enfin il s'arrête, puis me caresse le ventre, les cuisses, la poitrine pour étaler jusqu'à assécher mon sperme.
— C'était bon ?... Après un long silence il murmure en m'embrassant sur la joue : Retourne dans ton lit, maintenant il faut dormir.
— Je vais dormir comme toi, nu, c'est la première fois que je dors sans pyjama.
— Oui bien sûr, dis-moi il y a beaucoup de premières fois aujourd'hui ! Mais ne dis rien de ce qu'on a fait... ni à tes parents ni à personne !
— Non ! Non bien sûr.
— Demain je rentre chez moi, si tu veux, j'essaie de revenir rapidement et la prochaine fois on se retrouve comme ça, et on continuera à s'aimer d'accord ?
— Oui d'accord !
On s'embrasse à nouveau comme d'habitude, entre cousins. Je retourne dans mon lit. Un peu après avoir éteint la lumière, j'entends Alain respirer très fort, son matelas bouge puis un grand soulagement.
Ça va Alain ?
Oui mon p'tit Johnny ça va !
Tu t'es branlé ?
Oui je me branlais, tu m'as tellement excité, on en reparlera la prochaine fois. Dors maintenant !.
Mais je ne dors pas, je me tripote sous les draps, je me caresse longtemps, je pense à ce qui s'est passé, à ce qu'Alain m'a raconté, à ses aventures, à cette femme aux cuisses ouvertes, se montrant toute nue... comme moi. Je suis surpris de sentir mon sexe se réveiller, bander de nouveau, plus fort qu'avant. Je me découvre complètement et me masturbe alors pour de vrai, ma main astiquant le manche, déchirant le frein, j'aime la légère douleur qu'il me procure. Je me masturbe sans précaution, beaucoup plus longtemps qu'avant, en activant le mouvement jusqu'à ne plus pouvoir retenir mon éjaculation, je gémis sans crainte de me faire entendre. Je jouis librement et reçois mon sperme chaud de partout, et comme avant je l'étale sur mon ventre et tout mon corps... et comme ça m'arrivera de plus en plus souvent.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci @Olga T, et comme dit un autre lecteur : ça sent, c'est du vécu !
Une belle histoire d'initiation!
Un texte de qualité qui sent le vécu. Merci