JENNY & BELLA ou L'initiation d'une Geek - Chapitre II

Récit érotique écrit par Miss_Sexcret [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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JENNY & BELLA ou L'initiation d'une Geek - Chapitre II
SILENCE INTERDIT
Le lendemain, Bella a insisté pour qu’on se retrouve à la BU. Je n'aime pas trop les bibliothèques. Enfin si, mais... pas celle-là.
J’avais encore en tête ma session avec la pro — chaque vibration, chaque mot, chaque frisson.
Quand je l’ai vue arriver, j’ai su qu’elle allait me cuisiner.
— Alors ? raconte, m’a-t-elle lancé en déposant son sac sur la table.
J’ai baissé la voix, consciente des regards autour. Je lui ai tout dit : comment j’avais réservé, payé avec la CB d’Alexandre, la voix de la coach, ses instructions, la chaleur qui montait, les jouets que j’avais utilisés, l’orgasme qui m’avait coupé le souffle. Bella m’écoutait en se mordant la lèvre, hochant la tête avec ce petit sourire carnassier.
— Putain, Jenny… t’es une bonne élève.
Mes joues ont chauffé, mais je me sentais étrangement fière. Elle n’a rien ajouté. Elle a juste attrapé un stylo, griffonné deux trois trucs sur un cahier vide, et m’a lancé :
— Bon… aujourd’hui, c’est moi qui bosse et elle regarda autour de nous.
La bibliothèque universitaire (B.U) du campus est immense, impersonnelle, toujours glacée. Une horreur pour se concentrer l’hiver, et un fourre-tout de bruits de feuilles et de claviers l’été. Mais c’est aussi là que Bella m’a traînée cet après-midi. Elle disait qu’elle voulait “bosser un peu”. J’ai levé les yeux au ciel. Bella ne bosse jamais vraiment. Elle rôde. Elle guette. Elle chasse.
Et elle l’a repéré au bout de dix minutes.
— Il est là, a-t-elle murmuré en me pinçant le bras. Deux rangées plus loin, à droite. Pull noir. Carrure de ouf.
Je n’ai même pas eu besoin de me tourner. Je connaissais ce ton. Ce regard. Cette excitation. Et Bella, quand elle a décidé de se faire un mec, il faut être prêt à tout.
— T’es sérieuse ? Ici ?
Elle m’a jeté un sourire brûlant, presque fiévreux.
— J’ai toujours rêvé de ça. Baiser dans une BU. Dans un coin paumé entre les rayonnages. Le stress, le silence, les livres partout… Ça m’excite à un point, tu t’imagines pas.
Si. Je m’imaginais très bien, en fait. Ça fait des années que je connais Bella. Je connais ses regards, ses idées tordues, ses plans improvisés. Et quand elle a cette lueur dans les yeux… il vaut mieux ne pas lutter. Il faut juste suivre.
— Et moi je fais quoi ? Je te tiens la chandelle ?
— Non. Tu fais le guet. T’es douée pour ça, non ? Discrète, sage, silencieuse...
Elle me tire la langue, et son regard file déjà vers le fond de la salle. Je soupire, referme mon ordi, et la suis du regard. Elle se lève. Elle n’a pas mis de soutien-gorge. Son débardeur blanc laisse deviner la naissance de ses seins, souple, arrogant. Sa jupe noire remonte juste assez sur ses cuisses pour faire fantasmer sans montrer. Elle sait très bien ce qu’elle fait.
Le mec — je l’aperçois à peine — lève les yeux au moment où elle passe. Et dans son regard, je vois déjà qu’il va la suivre.
Je me lève à mon tour, plus discrète. Je fais semblant de lire un panneau, m’arrête près d’un pilier. Je les vois glisser entre deux rayons, dans une allée déserte consacrée à la sociologie du XIXe siècle — ironie. Bella se penche vers les étagères, fait mine de chercher un bouquin. Il s’approche, attiré. Hypnotisé.
Je n’entends rien. Mais je les observe. Et très vite, les gestes deviennent clairs. Bella lui prend la main. Elle le tire plus profondément dans l’ombre. Elle se plaque contre lui. Il hésite un peu. Puis il pose ses mains sur ses hanches.
Son visage à elle est radieux. Concentré. Un mélange d’adrénaline, de luxure et de malice.
Elle se met à genoux.
Je m’éloigne d’un pas, juste pour ne pas me faire voir. Mais je continue d’espionner. Je ne peux pas m’en empêcher.
Je distingue le mouvement de sa tête, souple, rapide. Ses mains sur les hanches de l’inconnu. Lui, il se tient aux étagères, les yeux fermés. Sa respiration devient lourde. Son bassin ondule. Bella le suce. Ici. Dans cette allée de bouquins, entre deux chapitres de Durkheim.
Et bizarrement, je sens ma culotte devenir humide.
Je reste là, planquée entre deux colonnes, le souffle court, les jambes tendues. Je me force à ne pas faire de bruit, à ne pas bouger. Pourtant, tout mon corps est en alerte.
Bella est toujours à genoux, la bouche pleine de cette bite qu’elle avale comme une actrice pro. Je vois ses mouvements : amples, déterminés. Elle remonte, sa langue glisse, elle redescend d’un coup sec jusqu’à la base. Il bascule la tête en arrière, les mains accrochées à l’étagère comme s’il allait tomber.
Je n’entends rien, mais j’imagine. Le bruit des succions, la respiration haletante, les petits gémissements étouffés.
Puis Bella se redresse lentement. Elle lui murmure quelque chose à l’oreille — il hoche la tête.
Et là, elle tourne le dos. Remonte un peu sa jupe. Ne porte rien dessous. Elle écarte ses fesses. Et voilà que le mec lui met directement devant sa rondelle.
Je serre les cuisses. Mon cœur cogne. Il la pénètre en un coup de bassin. Brutal. Précis.
Elle se plaque contre les étagères, les bras tendus, le visage levé. Il la baise comme un animal en rut, sans douceur, sans pause. Sa jupe est roulée à la taille, son cul parfaitement offert. Ses hanches claquent contre lui à chaque mouvement. Ses seins bougent sous le tissu fin de son débardeur, libres, tendus.
Je vois ses mains s’accrocher aux rayons, ses jambes trembler. Et lui, concentré, puissant, hypnotisé par son cul qu’il encule avec fureur.
Ma main s’est posée toute seule entre mes jambes. Par-dessus mon jean, je presse mon sexe qui pulse fort. Je me mords la lèvre pour ne pas gémir.
Bella se retourne brusquement, encore enfoncée sur lui. Elle l’embrasse, mord ses lèvres, le pousse contre l’étagère. Elle prend le dessus.
Elle s’assied sur lui, à califourchon, les jambes écartées, enfoncée jusqu’à la garde. Elle ondule lentement, puis plus vite. Ses hanches roulent, ses mains agrippent ses épaules. Elle est folle. Possédée.
Ses yeux croisent les miens, un court instant. Elle sait que je regarde. Elle sait que je me touche.
Et elle sourit. Ce sourire-là… Je ne l’oublierai jamais.
Quelques secondes plus tard, elle gémit fort, en se cambrant. Et lui, il s’agrippe à elle et jouit contre son ventre en haletant.
Ils restent collés quelques instants, leurs souffles mêlés.
Puis Bella remet sa jupe. Arrange ses cheveux. Ramasse son sac.
Et repasse devant moi comme si de rien n’était.
— Alors ? Tu boudes ? me souffle-t-elle dans un clin d’œil.
Je reste bouche bée.
Je n’ai même pas encore repris mon souffle.
Elle marche à mes côtés comme si elle venait de faire un footing. Une sueur brillante perle sur son cou. Ses joues sont rouges. Son sourire, félin.
Moi, j’essaie de retrouver une respiration normale. Mon cœur cogne encore.
— Tu t’es touchée, hein ? me souffle-t-elle sans même me regarder.
Je ne réponds pas.
— Allez, Jenny… Dis-le.
Je la fixe un instant, encore secouée.
Puis je lâche, dans un souffle :
— Tu viens de te faire enculer… dans une putain de bibliothèque.
Elle éclate de rire, ravie.
— Et alors ? J’ai coché une ligne sur ma bucket list.
— Mais… c’était un inconnu.
— Encore mieux. Pas de prise de tête.
Elle marque une pause, puis me regarde plus tendrement.
— Tu crois que c’est grave ? D’avoir envie. D’en profiter.
Je détourne un peu les yeux. Je sens encore sous mes doigts l’écho de mon excitation. Mon jean est trempé entre les cuisses. J’ai envie, moi aussi. Mais je ne sais pas encore comment l’assumer.
— Je crois que j’aimerais savoir faire comme toi, murmuré-je.
Bella s’arrête. Me prend doucement le menton.
— Tu sais quoi, Jenny ? Je vais t’apprendre.
Elle m’embrasse sur la joue, furtivement. Et repart devant moi en roulant des hanches.
Je reste là, au milieu du hall de la bibliothèque, le sexe en feu, le cœur en vrac, et une idée qui s’impose de plus en plus fort dans ma tête :
Je ne pourrai plus jamais regarder cette bibliothèque comme avant.
Le lendemain, Bella a insisté pour qu’on se retrouve à la BU. Je n'aime pas trop les bibliothèques. Enfin si, mais... pas celle-là.
J’avais encore en tête ma session avec la pro — chaque vibration, chaque mot, chaque frisson.
Quand je l’ai vue arriver, j’ai su qu’elle allait me cuisiner.
— Alors ? raconte, m’a-t-elle lancé en déposant son sac sur la table.
J’ai baissé la voix, consciente des regards autour. Je lui ai tout dit : comment j’avais réservé, payé avec la CB d’Alexandre, la voix de la coach, ses instructions, la chaleur qui montait, les jouets que j’avais utilisés, l’orgasme qui m’avait coupé le souffle. Bella m’écoutait en se mordant la lèvre, hochant la tête avec ce petit sourire carnassier.
— Putain, Jenny… t’es une bonne élève.
Mes joues ont chauffé, mais je me sentais étrangement fière. Elle n’a rien ajouté. Elle a juste attrapé un stylo, griffonné deux trois trucs sur un cahier vide, et m’a lancé :
— Bon… aujourd’hui, c’est moi qui bosse et elle regarda autour de nous.
La bibliothèque universitaire (B.U) du campus est immense, impersonnelle, toujours glacée. Une horreur pour se concentrer l’hiver, et un fourre-tout de bruits de feuilles et de claviers l’été. Mais c’est aussi là que Bella m’a traînée cet après-midi. Elle disait qu’elle voulait “bosser un peu”. J’ai levé les yeux au ciel. Bella ne bosse jamais vraiment. Elle rôde. Elle guette. Elle chasse.
Et elle l’a repéré au bout de dix minutes.
— Il est là, a-t-elle murmuré en me pinçant le bras. Deux rangées plus loin, à droite. Pull noir. Carrure de ouf.
Je n’ai même pas eu besoin de me tourner. Je connaissais ce ton. Ce regard. Cette excitation. Et Bella, quand elle a décidé de se faire un mec, il faut être prêt à tout.
— T’es sérieuse ? Ici ?
Elle m’a jeté un sourire brûlant, presque fiévreux.
— J’ai toujours rêvé de ça. Baiser dans une BU. Dans un coin paumé entre les rayonnages. Le stress, le silence, les livres partout… Ça m’excite à un point, tu t’imagines pas.
Si. Je m’imaginais très bien, en fait. Ça fait des années que je connais Bella. Je connais ses regards, ses idées tordues, ses plans improvisés. Et quand elle a cette lueur dans les yeux… il vaut mieux ne pas lutter. Il faut juste suivre.
— Et moi je fais quoi ? Je te tiens la chandelle ?
— Non. Tu fais le guet. T’es douée pour ça, non ? Discrète, sage, silencieuse...
Elle me tire la langue, et son regard file déjà vers le fond de la salle. Je soupire, referme mon ordi, et la suis du regard. Elle se lève. Elle n’a pas mis de soutien-gorge. Son débardeur blanc laisse deviner la naissance de ses seins, souple, arrogant. Sa jupe noire remonte juste assez sur ses cuisses pour faire fantasmer sans montrer. Elle sait très bien ce qu’elle fait.
Le mec — je l’aperçois à peine — lève les yeux au moment où elle passe. Et dans son regard, je vois déjà qu’il va la suivre.
Je me lève à mon tour, plus discrète. Je fais semblant de lire un panneau, m’arrête près d’un pilier. Je les vois glisser entre deux rayons, dans une allée déserte consacrée à la sociologie du XIXe siècle — ironie. Bella se penche vers les étagères, fait mine de chercher un bouquin. Il s’approche, attiré. Hypnotisé.
Je n’entends rien. Mais je les observe. Et très vite, les gestes deviennent clairs. Bella lui prend la main. Elle le tire plus profondément dans l’ombre. Elle se plaque contre lui. Il hésite un peu. Puis il pose ses mains sur ses hanches.
Son visage à elle est radieux. Concentré. Un mélange d’adrénaline, de luxure et de malice.
Elle se met à genoux.
Je m’éloigne d’un pas, juste pour ne pas me faire voir. Mais je continue d’espionner. Je ne peux pas m’en empêcher.
Je distingue le mouvement de sa tête, souple, rapide. Ses mains sur les hanches de l’inconnu. Lui, il se tient aux étagères, les yeux fermés. Sa respiration devient lourde. Son bassin ondule. Bella le suce. Ici. Dans cette allée de bouquins, entre deux chapitres de Durkheim.
Et bizarrement, je sens ma culotte devenir humide.
Je reste là, planquée entre deux colonnes, le souffle court, les jambes tendues. Je me force à ne pas faire de bruit, à ne pas bouger. Pourtant, tout mon corps est en alerte.
Bella est toujours à genoux, la bouche pleine de cette bite qu’elle avale comme une actrice pro. Je vois ses mouvements : amples, déterminés. Elle remonte, sa langue glisse, elle redescend d’un coup sec jusqu’à la base. Il bascule la tête en arrière, les mains accrochées à l’étagère comme s’il allait tomber.
Je n’entends rien, mais j’imagine. Le bruit des succions, la respiration haletante, les petits gémissements étouffés.
Puis Bella se redresse lentement. Elle lui murmure quelque chose à l’oreille — il hoche la tête.
Et là, elle tourne le dos. Remonte un peu sa jupe. Ne porte rien dessous. Elle écarte ses fesses. Et voilà que le mec lui met directement devant sa rondelle.
Je serre les cuisses. Mon cœur cogne. Il la pénètre en un coup de bassin. Brutal. Précis.
Elle se plaque contre les étagères, les bras tendus, le visage levé. Il la baise comme un animal en rut, sans douceur, sans pause. Sa jupe est roulée à la taille, son cul parfaitement offert. Ses hanches claquent contre lui à chaque mouvement. Ses seins bougent sous le tissu fin de son débardeur, libres, tendus.
Je vois ses mains s’accrocher aux rayons, ses jambes trembler. Et lui, concentré, puissant, hypnotisé par son cul qu’il encule avec fureur.
Ma main s’est posée toute seule entre mes jambes. Par-dessus mon jean, je presse mon sexe qui pulse fort. Je me mords la lèvre pour ne pas gémir.
Bella se retourne brusquement, encore enfoncée sur lui. Elle l’embrasse, mord ses lèvres, le pousse contre l’étagère. Elle prend le dessus.
Elle s’assied sur lui, à califourchon, les jambes écartées, enfoncée jusqu’à la garde. Elle ondule lentement, puis plus vite. Ses hanches roulent, ses mains agrippent ses épaules. Elle est folle. Possédée.
Ses yeux croisent les miens, un court instant. Elle sait que je regarde. Elle sait que je me touche.
Et elle sourit. Ce sourire-là… Je ne l’oublierai jamais.
Quelques secondes plus tard, elle gémit fort, en se cambrant. Et lui, il s’agrippe à elle et jouit contre son ventre en haletant.
Ils restent collés quelques instants, leurs souffles mêlés.
Puis Bella remet sa jupe. Arrange ses cheveux. Ramasse son sac.
Et repasse devant moi comme si de rien n’était.
— Alors ? Tu boudes ? me souffle-t-elle dans un clin d’œil.
Je reste bouche bée.
Je n’ai même pas encore repris mon souffle.
Elle marche à mes côtés comme si elle venait de faire un footing. Une sueur brillante perle sur son cou. Ses joues sont rouges. Son sourire, félin.
Moi, j’essaie de retrouver une respiration normale. Mon cœur cogne encore.
— Tu t’es touchée, hein ? me souffle-t-elle sans même me regarder.
Je ne réponds pas.
— Allez, Jenny… Dis-le.
Je la fixe un instant, encore secouée.
Puis je lâche, dans un souffle :
— Tu viens de te faire enculer… dans une putain de bibliothèque.
Elle éclate de rire, ravie.
— Et alors ? J’ai coché une ligne sur ma bucket list.
— Mais… c’était un inconnu.
— Encore mieux. Pas de prise de tête.
Elle marque une pause, puis me regarde plus tendrement.
— Tu crois que c’est grave ? D’avoir envie. D’en profiter.
Je détourne un peu les yeux. Je sens encore sous mes doigts l’écho de mon excitation. Mon jean est trempé entre les cuisses. J’ai envie, moi aussi. Mais je ne sais pas encore comment l’assumer.
— Je crois que j’aimerais savoir faire comme toi, murmuré-je.
Bella s’arrête. Me prend doucement le menton.
— Tu sais quoi, Jenny ? Je vais t’apprendre.
Elle m’embrasse sur la joue, furtivement. Et repart devant moi en roulant des hanches.
Je reste là, au milieu du hall de la bibliothèque, le sexe en feu, le cœur en vrac, et une idée qui s’impose de plus en plus fort dans ma tête :
Je ne pourrai plus jamais regarder cette bibliothèque comme avant.
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