JENNY & BELLA ou L'initiation d'une Geek - Chapitre IV

- Par l'auteur HDS Miss_Sexcret -
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Récit libertin : JENNY & BELLA ou L'initiation d'une Geek - Chapitre IV Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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JENNY & BELLA ou L'initiation d'une Geek - Chapitre IV
SOIREE PYJAMA

Depuis cette nuit-là, je savais que Bella ne me lâcherait pas. Elle avait ce regard, comme si elle avait trouvé une nouvelle obsession. Moi, j’essayais de ne pas trop y penser, mais chaque fois que mon téléphone vibrait et que son nom apparaissait, j’avais un frisson coupable.

En début d’après-midi, elle m’avait envoyé un simple message :

> Bella — « Ce soir, chez toi. Pas de plan, pas d’excuse. Juste nous. »

Pas de smiley, pas d’explication. Du Bella pur jus. J’ai relu le message trois fois avant de répondre « Ok ». Léa était partie pour la semaine, Tim ne revenait pas avant dimanche. J’avais la maison pour moi. Et apparemment… pour elle aussi.

Toute la journée, j’ai essayé de me concentrer sur autre chose — séries, musique, ménage — mais je savais que ce n’était qu’une manière de tuer le temps jusqu’à son arrivée. J’avais encore dans les oreilles le son des coups de reins d’Alexandre, dans le corps la chaleur de cette nuit brûlante. Et j’étais sûre qu’elle voulait en reparler.

Bella est arrivée en fin d’après-midi avec son sac de sport en travers de l’épaule et ce sourire qui ne promet jamais rien d’innocent.

— "T’as du vin ?"

Elle ne m’a même pas laissé le temps de répondre qu’elle s’était déjà déchaussée, avait balancé ses baskets dans l’entrée et filé dans ma chambre.

Léa était sortie pour la semaine en déplacement professionnel et Tim passait le week-end chez sa mère. La maison était à nous. Enfin… à nous deux.

— "J’ai apporté de quoi passer une soirée entre filles" m’a-t-elle dit en sortant de son sac une bouteille de rouge, des chips, et deux nuisettes satinées, visiblement choisies plus pour leur effet que pour leur confort.

La mienne était noire, courte, fendue sur la cuisse ; la sienne, rouge, avec un décolleté à tomber.

On a mangé des cochonneries, parlé de tout et de rien, jusqu’à ce qu’elle finisse par ramener le sujet sur la fameuse nuit.

— "Alors… raconte-moi encore. Les détails."

Je savais ce qu’elle cherchait. Depuis que je lui avais fait écouter Léa et Alexandre baiser, elle me posait mille questions. Et ce soir, j’ai vu dans ses yeux que ça n’avait plus rien d’une simple curiosité.

Je lui ai tout redécrit. Les coups de reins, les cris, les dialogues crus… Sa respiration s’accélérait. Elle avait les joues rouges, le regard brillant.

— "Putain… je crois que je le veux, ton Alexandre."

Elle l’a dit en me fixant droit dans les yeux, un sourire mi-provoc, mi-avide.

— "Je veux qu’il me parle comme ça… qu’il me baise comme ça."

Je suis restée muette une seconde.

— "Bella…"

— "Aide-moi, Jenny. Tu sais qu’il me plaît déjà. Mais là… j’ai besoin de l’avoir."

J’ai hésité. Et puis… j’ai souri.

— "Ok. Mais c’est toi qui joues. Moi je… je disparais au bon moment."

Elle a hoché la tête.

— "Parfait."

---

Il était presque 22h quand j’ai entendu la porte d’entrée s’ouvrir. Alexandre. Plus tôt que prévu.

On était toutes les deux sur le canapé, en nuisette, jambes nues. La bouteille était entamée, nos rires emplissaient le salon. Bella a eu ce petit geste que je connais : remettre en place une bretelle pour la laisser glisser, croiser les jambes lentement, sourire sans raison.

— "Bonsoir les filles…", a dit Alexandre en entrant.

Ses yeux ont balayé la scène. Je l’ai vu s’arrêter sur Bella, une fraction de seconde de plus que nécessaire.

— "On fait une soirée pyjama" a lancé Bella avec un ton espiègle.

— "Ah ouais ?", a-t-il répondu, un coin des lèvres relevé.

— "Tu veux un verre ?", j’ai ajouté.

Il s’est assis avec nous, un verre à la main. Bella se penchait vers lui pour lui servir, frôlant son bras, effleurant sa cuisse.

Je faisais mine de participer à la conversation, mais c’est elle qui menait le jeu. Les questions, les rires, les regards qui traînaient une seconde de trop.

Vers 23h, j’ai posé mon verre et me suis levée.

— "Je monte me coucher, j’suis crevée."

Alexandre a hoché la tête. Bella a juste souri, comme si elle savait exactement ce que je faisais.

Je suis montée à l’étage en laissant traîner un "bonne nuit" faussement innocent, puis je me suis arrêtée au milieu de l’escalier. D’ici, la rambarde me permettait non seulement d’entendre… mais aussi d’apercevoir un morceau du salon, en me penchant légèrement.

Bella avait gardé sa place sur le canapé, jambes croisées, verre de vin à la main. Alexandre s’était affalé dans le fauteuil en face, chemise ouverte sur le torse.

— "Ça doit pas être tous les jours marrant de vivre avec des étudiantes" dit-elle d’un ton léger.

— "Je m’en plains pas" répondit-il en souriant.

Elle jouait avec la tige de son verre, effleurant le bord du doigt, les yeux fixés sur lui.

— "Et toi… tu fais quoi quand la maison est vide ?"

— "Je profite du calme."

— "Seulement du calme ?"

Petit sourire, à peine visible. Elle n’avait rien dit de plus, mais tout était dans le ton.

Je voyais Alexandre croiser les jambes, comme pour dissimuler quelque chose. Bella, elle, a doucement changé de position : jambes décroisées, genoux légèrement ouverts, le tissu de sa nuisette glissant un peu plus haut. Elle s’est penchée vers la table basse pour poser son verre, offrant une vue plongeante sur son décolleté.

— "Tu veux que je te resserve ?" a-t-elle demandé, presque innocente.

— "Volontiers."

En se levant, elle a frôlé son genou du bout des doigts, comme par accident. Puis, debout devant lui, elle a versé le vin lentement, les hanches légèrement décalées, comme si chaque mouvement était chorégraphié.

Je retenais mon souffle. Lui aussi, je crois.

Ils ont parlé encore, mais plus bas. Des choses banales, mais avec ce courant électrique dans chaque échange de regard. Puis Bella s’est assise sur l’accoudoir du fauteuil, très proche. Elle a ri à une de ses phrases et sa main est restée posée sur son épaule.

— "T’es tendu…", a-t-elle soufflé.

— "C’est toi qui me rends tendu."

Silence. Long. Et puis elle a juste glissé :

— "Alors détends-toi."

D’un geste ferme, il l’a attrapée par la taille et installée sur ses genoux. Leur premier baiser a été lent, presque sage. Le deuxième beaucoup moins. Les mains d’Alexandre sont montées directement sous sa nuisette, et j’ai vu ses doigts s’écarter pour lui caresser la chatte.

— "Pas de culotte… petite salope…", a-t-il soufflé.

— "J’espérais que tu remarques."

Moi, à l’étage, j’avais déjà la main dans ma culotte. Mon index tournait lentement autour de mon clito, gonflé, sensible.

D’ici, je pouvais tout voir. Et je savais que j’allais rester là, immobile, jusqu’à la fin.

Je suis restée accroupie sur la marche, planquée, le cœur qui battait dans ma gorge. Bella était à genoux entre ses cuisses, Alexandre appuyé contre le dossier du fauteuil, torse nu, regard noir de désir.

Bella retira sa nuisette. Elle étit complètement nu offrant son corps de déesse aux regard d'Alexandre et aux miens.

— "T’as les mains douces, mais t’sais ce que j’veux vraiment. Je vais baiser tes gros seins de salope."

Il lui a pris la main, l’a posée sur la bosse de son pantalon.

— "Sors-la."

Bella a défait la ceinture, ouvert le jean, et sa queue a jailli, dure et épaisse. Elle l’a regardée comme un trésor interdit.

— "Putain…", a-t-elle soufflé.

— "Ouais… branle moi bien…crache dessus"

— « Tu veux voir ce que je peux faire avec ça ? »

— « Montre-moi, salope. »

Elle a craché généreusement sur ses seins, laissant un filet épais couler jusqu’à son décolleté. De ses mains, elle a étalé la bave en massant sa poitrine, avant de glisser ses seins autour de sa queue. Alexandre a grogné, ses mains venant serrer doucement pour les rapprocher encore.

— « Serre-les bien… ouais… comme ça… »

Bella a commencé un mouvement lent, faisant disparaître son sexe entre ses tétons luisants. Par moments, elle se penchait légèrement pour sortir la langue et effleurer le gland à chaque va-et-vient, juste assez pour le faire haleter.

— « Putain… continue… »

Elle a accentué le rythme, ses seins claquant doucement contre sa peau. Puis, sans prévenir, elle s’est penchée davantage, a ouvert grand la bouche et l’a happé. Alexandre a laissé échapper un râle grave.

— « Ouais… prends-la dans ta bouche… »

Ses mains se sont crispées dans ses cheveux, et il a commencé à guider ses mouvements, la faisant glisser de ses seins à ses lèvres en un seul geste fluide.

— « Aspires… je veux t’entendre me sucer… »

Bella obéissait, alternant les va-et-vient rapides avec des pauses où elle suçait le gland bruyamment, laissant des fils de salive s’étirer entre ses lèvres et sa queue.

— « Putain, tu suces comme une pute née pour ça… »

Il l’a gardée ainsi quelques secondes, lui baisant littéralement la bouche, avant de se redresser et de la tirer vers le canapé pour la mettre sur le dos.

— « J’vais voir si ta chatte est aussi bonne que ta bouche. »

Alexandre l’a allongée sur le canapé, ses cuisses largement ouvertes.

— "Reste comme ça. J’vais te faire mouiller comme jamais."

Il a glissé trois doigts d’un coup dans sa chatte, profondément, jusqu’à sentir le point sensible. Sa main a pris un rythme rapide, en crochet vers l’avant, venant marteler la paroi interne.

— "Ohhhh putain !" a gémi Bella.

L’autre main est venue se poser sur son bas-ventre, le pouce frottant son clito par cercles rapides. Les mouvements étaient synchronisés : doigts en vitesse folle à l’intérieur, pression ferme au-dessus.

— "Oui… comme ça…" Bella respirait par à-coups, le corps déjà secoué de spasmes.

Alexandre a arrêté un instant, a tapé doucement ses grandes lèvres de la paume, juste pour la faire sursauter.

— "Tu sens ? Ça monte…"

Puis il a replongé ses doigts en elle, quatre cette fois, et a repris son rythme. Les claquements humides emplissaient la pièce. Jenny, sur la marche, avait les yeux rivés sur la scène, deux doigts dans sa propre chatte, mimant le mouvement.

— "Oh merde… je… je peux pas…", haleta Bella.

— "Si, tu peux. Lâche-toi."

Et là, ça a jailli. Un premier jet clair qui a éclaboussé sa main et le canapé.

— "Oh putain !" ai-je soufflé malgré moi.

Alexandre a grogné :

— "Voilà… encore…"

Il a continué sans relâcher, tapant ses lèvres, reprenant la pénétration ultra-rapide. Un deuxième jet est sorti, plus puissant, éclaboussant son torse.

Alexandre a ri.

— "Voilà… encore… vide-toi…"

Puis un troisième, plus long, qui a coulé le long de ses cuisses.

— "Putain… tu m’inondes, salope."

— "J’peux plus…"

Alexandre a retiré ses doigts, tous luisants, et les a portés à sa bouche pour les sucer.

— "T’as un goût de chienne en chaleur…"

Moi, en haut, je sentais que j’allais jouir rien qu’en les regardant. Mes doigts glissaient vite, mon ventre se contractait, et j’avais envie de descendre les rejoindre.

Moi, j’étais déjà à moitié perdue.

Il s’est redressé, la queue dure, brillante de son excitation.

— "Monte sur moi. Montre-moi comment tu baises."

Bella s’est mise à califourchon, l’a guidé en elle.

— "Putain, t’es serrée…"

— "Et encore, t’as rien vu."

Elle ondulait, ses seins rebondissant. Alexandre lui tenait les fesses pour la faire descendre plus fort.

— "Serre-moi… écrase ta chatte sur ma queue."

Puis il l’a basculée à quatre pattes.

— "A genoux, salope."

Un coup sec et il était en elle. Les claquements de ses hanches résonnaient dans le salon.

— "Plus fort !"

— "Je vais t’ouvrir en deux, petite cochonne."

Moi, je glissais deux doigts en moi, mon corps suivant leur cadence.

Après un moment, il l’a plaquée sur le dos, jambes en l’air.

— "Regarde-moi pendant que je te remplis."

Il l’a pilonnée en missionnaire, fort, rapide.

— "Oui… oui… j’vais jouir…", cria Bella.

— "Tiens bon… prends tout…"

Je m’étais glissée plus bas sur la marche, à moitié couchée, la main dans ma culotte, le clito gonflé sous mes doigts. Je ne quittais pas des yeux la scène.

Il s’est figé, ancré à fond, grognant. Je voyais ses muscles tendus, le tremblement de Bella.

— "Tiens… prends ma giclée, pute."

Il s’est retiré un peu, laissant couler un filet blanc hors d’elle.

Je me suis cambrée, étouffant un cri dans ma main, jouissant presque en même temps qu’eux.

Quand ils se sont écroulés côte à côte, j’ai filé dans ma chambre, encore haletante, trempée, avec une seule envie : recommencer à me caresser en repassant la scène dans ma tête.

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