JENNY & BELLA ou L'initiation d'une Geek - Chapitre IX

- Par l'auteur HDS Miss_Sexcret -
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Récit libertin : JENNY & BELLA ou L'initiation d'une Geek - Chapitre IX Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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JENNY & BELLA ou L'initiation d'une Geek - Chapitre IX
MONSIEUR ARESKI

Le lendemain matin, Bella m’avait juste envoyé un smiley qui suait, suivi d’un « On en reparle »… et rien d’autre.

Pas d’appel, pas de débrief. Comme si elle savait que je préférais rester seule avec mes images. Celles d’hier soir. De lui. D’elle. Des deux en même temps.

J’avais cours à la fac. J’y suis allée avec un mélange bizarre d’énergie et de vide. Mes jambes encore lourdes, ma tête encore pleine.

Sur le chemin, j’ai croisé des visages familiers, mais je n’ai pas vraiment entendu les « salut ». Mon oreillette était rangée dans mon sac, mais j’avais presque l’impression que Bella était toujours là, quelque part dans ma tête.

En entrant dans l’amphi, j’ai vu son nom inscrit au tableau : M. Areski.

Je n’avais pas prévu de lui parler aujourd’hui. Mais parfois, ce genre de choses se décide sans qu’on le veuille vraiment.

Je suis restée après le cours. Sous prétexte de lui demander des éclaircissements sur l’exposé à rendre, mais je savais déjà ce que j’allais dire. Ce n’était pas l’exposé, pas vraiment.

Monsieur Areski rangeait ses notes, seul dans la salle. Il avait ce calme un peu troublant, presque désarmant. Sa voix grave, ses gestes lents. Rien de vraiment séduisant selon les standards de Bella, mais moi… je ne sais pas. Il avait quelque chose. Peut-être son regard. Peut-être sa façon de me parler sans jamais me prendre de haut.

— Vous vouliez qu’on reparle du sujet sur Bourdieu ? me demanda-t-il en se retournant, avec ce demi-sourire en coin.

Je me suis approchée de son bureau, un peu trop près, sans doute. J’ai hoché la tête, et j’ai sorti mon carnet, mécaniquement, alors que mon cœur tapait vite, sans raison logique.

Il m’écoutait. Vraiment. Pas comme ces mecs qui attendent juste que tu finisses ta phrase pour se rincer l’œil. Non. Lui, c’était pire : il écoutait trop bien.

Je sentais mon corps devenir nerveux. Ma nuque, mes mains. Je me suis assise sur le rebord du bureau d’à côté, croisant les jambes. J’étais en robe aujourd’hui. Une petite robe noire toute simple. Mais quand il a relevé les yeux vers moi, j’ai eu l’impression d’être nue.

— Vous avez une façon très personnelle de poser les problèmes, Jenny. C’est rare. Continuez comme ça.

Ses mots m’ont touchée plus que de raison. Mon ventre s’est tendu, et j’ai eu une bouffée de chaleur qui n’avait rien à voir avec le chauffage de la fac.

Un silence. Long. Je ne savais plus quoi dire. Ni lui. Ou peut-être qu’on savait très bien, tous les deux. Mais on ne voulait pas.

Il s’est levé pour attraper un livre dans l’étagère derrière lui. Son torse a effleuré mon bras. À peine. J’ai senti son parfum, boisé, discret. J’ai eu envie de m’y enfouir. Juste une seconde.

Il m’a tendu le livre.

— Ça pourrait vous intéresser. C’est un peu plus cru que ce qu’on voit en cours. Mais je pense que vous êtes prête pour ça.

Plus cru.

Je l’ai regardé. Droite dans les yeux. Et j’ai pris le livre. Nos doigts se sont touchés. Un frisson. Il n’a pas bougé. Moi non plus.

Et c’est là que quelque chose bascule. Ou peut-être que je l’ai imaginé. Peut-être que je l’ai voulu si fort que ça s’est produit. Je ne sais plus.

Son regard est resté planté dans le mien. Il n’a pas souri. Il n’a rien dit. Il a simplement posé le livre à côté, lentement. Et il a frôlé mes hanches, du bout des doigts. Comme pour m’inviter à rester là. À ne pas partir.

J’ai entendu ma respiration s’accélérer.

Il s’est penché. Sa bouche près de mon oreille.

— Vous êtes toujours aussi sérieuse, Jenny ?

J’ai senti sa main glisser sur ma cuisse nue. Remonter doucement. Il a découvert que je ne portais pas de culotte. Je l’ai vu dans son regard. Aucun étonnement. Juste une confirmation. Comme s’il savait.

Je n’ai pas protesté. Je n’ai pas parlé.

Ses lèvres ont suivi la ligne de ma gorge, sa main entre mes jambes. Il m’a effleurée, explorée, comme un texte à décoder. Et moi, j’étais ouverte. Brûlante. Prête.

Quand il s’est mis à genoux devant moi, j’ai basculé en arrière, les coudes sur le bureau. Ma robe relevée. Mon sexe offert. Il m’a léchée. Lentement. Profondément. Avec une précision presque clinique, mais la chaleur d’un poème.

Je me suis accrochée au bord du bureau pour ne pas tomber. Mes cuisses tremblaient, mes seins durcissaient sous le tissu. Sa langue me pénétrait, me contournait, me dévorait.

Je suis venue. Fort. En silence. Mes soupirs coincés entre mes dents. Les murs trop fins. Les vitres opaques.

Mais il ne s’est pas arrêté là.

Il s’est relevé. M’a regardée. A défait sa ceinture.

Je l’ai prise dans ma bouche. Doucement d’abord. Il était chaud, lourd sur ma langue. Je sentais battre son sexe contre mes lèvres, vivant, impatient. J’ai refermé mes lèvres autour de lui, lentement, et j’ai commencé à le sucer comme on goûte un fruit interdit.

Il a laissé faire. Une main dans mes cheveux, il m’a caressée sans me guider, juste pour sentir. J’aimais cette liberté. Ce contrôle que je croyais avoir.

Mais à un moment, il a tiré doucement ma tête en arrière. J’ai levé les yeux vers lui, le regard trouble, les lèvres encore humides.

— Monte sur le bureau, a-t-il dit.

Je suis restée figée une seconde, surprise.

— Non… toi. Allonge-toi.

Et là, il m’a contournée. Lentement. Il a dégrafé entièrement sa ceinture, défait son pantalon. Et il est monté sur le bureau. Debout. Juste au-dessus de moi. J’ai levé la tête. Sa verge était là, énorme, tendue, imposante au-dessus de mon visage.

Il a posé un pied de chaque côté de mes cuisses, et je suis restée à genoux, prise entre ses jambes, la bouche ouverte. Il a penché le bassin.

— Prends-moi. Comme tu sais faire.

Je l’ai repris dans ma bouche. Mais cette fois, c’est lui qui bougeait. Lentement d’abord, il me baisait la bouche. Comme s’il s’agissait de mon sexe. Il entrait et ressortait. Profond, régulier. Je sentais mes lèvres s’ouvrir, ma gorge se tendre.

Sa main dans mes cheveux me maintenait en place. Sa queue entrait loin. J’avais les yeux qui pleuraient, la gorge qui brûlait, mais j’étais en transe. Il gémissait à peine, juste un souffle rauque, maîtrisé, en homme qui se concentre sur son plaisir, et qui me transforme en extension de lui.

Je bavais. Littéralement. Il adorait ça. J’entendais le bruit obscène de sa queue qui glissait dans ma bouche, mes joues qui se creusaient, mes mains qui s’accrochaient à ses cuisses pour tenir bon.

Il allait plus vite. Il m’utilisait. Sans un mot tendre. Juste ce souffle chaud, cet appui ferme sur ma nuque.

Je n’étais plus étudiante. Plus Jenny. J’étais sa bouche. Son sexe. Sa chatte à lui.

Et puis il s’est enfoncé profondément, jusqu’au fond de ma gorge, me forçant à l’avaler tout entier. J’ai senti ses reins se contracter, son corps se raidir. Il a gémi, une plainte grave et étouffée, et son sperme a jailli en moi, chaud, épais, salé. J’ai toussé, d’abord surprise, puis j’ai avalé. Par réflexe. Par envie. Il a gardé sa verge enfoncée, immobile, quelques secondes encore, comme pour s’assurer que j’avais tout pris. Que je ne rejetterais rien.

Enfin, il s’est retiré. Lentement. M’a regardée de haut. Mon visage était trempé, les yeux brillants, les lèvres rougies.

— Une élève comme vous… on n’en voit pas tous les ans.

Mais il n’en avait pas fini.

D’un geste calme, il m’a tirée vers lui, m’a redressée et retournée. Ma joue s’est posée à plat sur le bureau. Il a écarté mes cuisses. Pas un mot. Pas une caresse inutile. Juste sa main chaude sur mon dos, son autre main sur ma hanche, pour m’aligner parfaitement.

Et il s’est enfoncé en moi d’un seul coup. Ferme. Profond. Lent.

J’ai crié. Un cri sourd, étouffé contre le bois. Il m’a maintenue en place, bien ancrée contre lui, sa prise puissante m’interdisant tout mouvement. Il me prenait. Entièrement. Longuement. Avec une intensité maîtrisée, presque brutale, mais d’une précision chirurgicale. Chaque coup était juste. Ciblé. Calculé pour me faire vibrer, jouir, hurler sans voix.

J’étais à lui. Corps et souffle.

— Tu es une excellente élève, Jenny, a-t-il murmuré à mon oreille, enfoncé jusqu’au fond, juste avant de me faire jouir une deuxième fois. Encore plus fort.

Et puis…

Un vertige.

Un blanc.

Une lumière qui change.

Le bureau a disparu. Le parquet aussi. Je n’étais plus agenouillée. J’étais allongée sur mon lit, nue, haletante, en sueur. Les draps collés à ma peau. Mes doigts encore entre mes cuisses, tremblants.

Mon cœur battait comme s’il venait de me baiser pour de vrai.

Et sur ma langue… je sentais encore ce goût. Ce goût que je n’arrivais pas à nommer.

Ou que je n’osais pas nommer.



Je n’ai pas beaucoup dormi.

Mon corps a fini par se calmer, mais pas ma tête. Les images tournaient en boucle. Sa voix. Sa bouche. Son sexe dans ma gorge. Dans mon ventre. Mon cri sur le bureau. Ce goût sur ma langue.

Je me suis réveillée en sursaut à 7h, encore humide entre les cuisses. Comme si la nuit ne voulait pas s’arrêter. Comme si j’avais vraiment été baisée.

Sous la douche, l’eau brûlante n’a pas suffi à effacer les traces. Pas celles sur ma peau. Ni celles dans ma tête.

Je me suis habillée vite. Trop vite. Une robe encore. Pas la même. Mais courte. Trop courte ? Je ne savais plus si je voulais éviter son regard… ou l’attirer à nouveau.

En arrivant dans le couloir du bâtiment C, j’ai senti mon cœur ralentir. Puis accélérer d’un coup, sans prévenir.

Il était là, devant la salle, comme toujours. Un café à la main, le regard posé quelque part au loin.

Monsieur Areski.

Je me suis arrêtée une seconde avant d’avancer. Mon cœur battait plus fort que d’habitude. Je ne savais pas pourquoi. Ou plutôt, je ne voulais pas trop y penser.

Quand il m’a vue approcher, il a tourné la tête vers moi. Calme. Imperturbable.

— Vous semblez avoir bien tout avalé, hier... m’a t’il dit avec un sourire en coin.

— … Le contenu du livre, je veux dire.

J’ai senti mes joues chauffer. Mon ventre se contracter.

Avait-il... dit ça exprès ?

Il ne souriait plus. Ou alors juste assez pour que je doute.

Je l’ai regardé, sans répondre. Juste un regard, un battement de cils.

Et il a ajouté, en se tournant vers la porte :

— On verra si vous avez bien digéré.

Puis il est entré dans la salle. Tranquillement. Comme s’il n’avait rien dit d’anormal.

Je suis restée là, une seconde de trop. Troublée.

Il savait.

Ou alors c’était moi qui devenais folle.

Et dans les deux cas, j’étais foutue.

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