JENNY & BELLA ou L'initiation d'une Geek - Chapitre XI

Récit érotique écrit par Miss_Sexcret [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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JENNY & BELLA ou L'initiation d'une Geek - Chapitre XI
L'INITIATION DE DARIUS
Moi, nue contre le mur, je sentais son sperme sécher sur ma joue, descendre encore entre mes cuisses. Je n’avais pas envie de l’essuyer. C’était comme un trophée invisible.
Bella a tourné la tête vers moi, ses yeux fixés sur mon corps encore frémissant.
— Alors, c’était lui que tu voulais… ou on en cherche un autre ?
J’ai esquissé un sourire, ma respiration toujours irrégulière.
— J’en veux encore… et après, un autre.
Elle a ri doucement, ce petit rire qui signifie qu’elle a déjà tout prévu. Elle s’est redressée, nue, magnifique, et est venue s’asseoir près de moi. Ses doigts ont glissé sur ma cuisse, lentement, comme si elle voulait prolonger ma tension.
— Dans ce cas… j’ai quelqu’un en tête.
Je l’ai regardée, intriguée.
— Qui ?
Elle s’est penchée à mon oreille, sa voix chaude comme un murmure obscène :
— Un homme qui va t’ouvrir une porte que tu n’as jamais franchie…
J’ai senti mes joues chauffer.
— Tu parles de qui ?
Elle a souri comme si elle venait de me voler un secret.
— Un copain, un ex. Et crois-moi… avec lui, tu vas adorer.
Son regard s’est planté dans le mien, lourd de promesses.
— Il s’appelle Darius. Grand, noir, patient… et très, très bien équipé.
Je n’ai rien répondu. Mon ventre s’est contracté tout seul. Elle a attrapé son téléphone, nue, le dos cambré, ses hanches dessinant une ligne parfaite.
— T’inquiète, ma belle… ce sera un vendredi soir dont tu te souviendras.
Et c’est comme ça que, quelques jours plus tard, tout a commencé.
Je n’avais pas prévu que ma soirée prenne cette tournure-là.
Au départ, c’était juste un vendredi soir tranquille à l’appart, en pyjama, avec Bella. Elle sirotait un verre de vin blanc assise en tailleur sur le canapé, la télé allumée sur une vieille comédie romantique qu’on ne regardait même pas vraiment. Moi, j’étais allongée, short en coton et débardeur, un plaid sur les jambes.
On parlait de tout et de rien, et comme souvent avec elle, la conversation a glissé sur le sexe.
— Bon, me dit-elle avec ce sourire carnassier que je connais, on a coché pas mal de cases depuis qu’on est coloc, mais il en reste…
Je lève les yeux au ciel.
— Ça veut dire quoi, ça ?
— Ça veut dire que t’as encore un petit jardin secret… ou plutôt une porte que t’as jamais ouverte.
Je comprends immédiatement où elle veut en venir. Je sens mes joues chauffer.
— Tu veux parler de…
— Bingo, répond-elle en buvant une gorgée de vin. L’anal.
Je ris nerveusement.
— Franchement… j’y ai déjà pensé, mais… ça me fait un peu peur.
Bella repose son verre, me fixe comme si elle venait de trouver un nouveau défi.
— C’est juste parce que t’as jamais eu la bonne personne pour ça. Avec le bon mec, la bonne préparation, ça peut être une tuerie.
Je hausse les épaules, mal à l’aise mais intriguée.
— Et c’est quoi, la “bonne personne” ?
Elle se penche vers moi, ses yeux brillants d’excitation.
— Quelqu’un de patient, expérimenté… et qui sait te mettre en confiance.
Elle attrape son téléphone.
— Ça tombe bien, j’ai quelqu’un en tête.
— Tu plaisantes ?!
— Pas du tout. Darius. Un ami… enfin, un ami spécial. Quarantaine, grand, beau, black, et… comment dire… très bien équipé.
Je sens mon ventre se serrer, partagée entre curiosité et panique.
— Bella, attends…
— Tu me fais confiance ?
Je la regarde. Évidemment que je lui fais confiance. C’est elle qui m’a poussée à découvrir tout ce que je croyais ne jamais oser.
— Oui… mais…
— Parfait. Alors tu vas te préparer, jolie, et moi je m’occupe du reste.
Elle disparaît dans ma chambre et revient avec un ensemble de lingerie noir en dentelle que je n’avais encore jamais osé porter.
— Mets ça. Et détends-toi. Il va adorer… et toi aussi.
Je file dans la salle de bain, le cœur battant. Je me déshabille lentement, comme pour gagner du temps, mais au fond, une excitation sourde commence déjà à me gagner. Je passe la culotte fine, le soutien-gorge qui galbe ma poitrine. Quand je me regarde dans le miroir, j’ai l’impression d’être une version plus audacieuse de moi-même.
Quand je reviens, Bella sourit, satisfaite.
— Parfaite. Il arrive dans trente minutes.
Trente minutes… juste le temps qu’il faut pour que mon imagination se mette à tourner à plein régime.
La demi-heure est passée plus vite que je ne l’aurais cru.
Bella a ouvert une deuxième bouteille de vin, qu’on a entamée en discutant de tout sauf du sujet principal. Enfin… presque. Ses yeux malicieux me rappelaient à chaque seconde ce qui allait arriver.
Quand la sonnerie de l’interphone a retenti, j’ai senti un frisson me traverser de la nuque au bas du dos.
Bella s’est levée d’un bond.
— C’est lui.
J’ai entendu sa voix grave, lointaine, dans le haut-parleur. Puis la porte d’entrée s’est ouverte, et il est apparu.
Darius.
Grand. Large d’épaules. Une peau noire lisse, presque brillante sous la lumière du couloir. Un sourire discret mais assuré. Il portait un jean sombre et une chemise ajustée, légèrement ouverte sur un torse musclé.
Et surtout… ce regard. Calme, profond, comme s’il pouvait lire en moi sans un mot.
— Salut, Bella, dit-il en l’embrassant sur la joue.
Puis ses yeux se sont posés sur moi.
— Et toi, tu dois être Jenny.
J’ai hoché la tête, incapable de répondre tout de suite. Ma gorge était sèche.
— Enchantée, ai-je fini par articuler.
Il a esquissé un sourire qui m’a fait battre le cœur plus vite.
Bella a refermé la porte derrière lui.
— Mets-toi à l’aise, Darius. Tu sais pourquoi tu es là.
Ils se sont échangé un regard complice qui m’a donné l’impression qu’ils avaient déjà tout prévu.
Il s’est assis sur le canapé, jambes légèrement écartées, détendu, tandis que Bella me faisait signe d’approcher.
— Viens là, Jenny.
Je me suis avancée, consciente de chaque battement de mon cœur, de chaque respiration.
Bella m’a glissé une main dans le bas du dos, ses doigts effleurant la naissance de mes fesses à travers la dentelle.
— Regarde-le. Prends le temps.
J’ai levé les yeux vers lui. Darius me fixait sans bouger, mais son regard m’enveloppait déjà, comme une caresse invisible.
— Tu es très jolie, a-t-il dit doucement. Et j’aime quand une femme prend son temps avant de se laisser aller.
Bella a attrapé la bouteille de vin et versé un verre pour chacun.
— On trinque ?
— À quoi ? ai-je demandé.
— À ce que tu t’apprêtes à découvrir, a répondu Bella avec un sourire en coin.
On a bu. Le vin a laissé un goût fruité sur ma langue, mais c’est le regard de Darius, posé sur ma bouche, qui m’a réellement enivrée.
— Tu es prête à me faire confiance ? demanda-t-il, sa voix grave résonnant dans mon ventre.
J’ai hoché la tête.
— Oui.
Bella a souri, satisfaite.
— Alors on va commencer doucement. Très doucement.
Elle m’a guidée pour que je m’asseye à califourchon sur les cuisses de Darius. J’ai senti la chaleur de son corps, la fermeté de ses muscles sous mes mains. Ses doigts se sont posés sur mes hanches, légers mais sûrs, et ce simple contact a suffi à m’embraser.
Je savais que ce n’était que le début.
Assise sur ses cuisses, je sentais déjà la chaleur de Darius se diffuser en moi. Son parfum boisé, mêlé à une odeur de peau propre, me montait à la tête. Bella, toujours debout derrière moi, avait posé ses mains sur mes épaules.
— Ferme les yeux, murmura-t-elle. Laisse-toi guider.
Les doigts de Darius ont commencé à remonter le long de mes hanches, glissant doucement sur mes flancs, caressant ma taille, puis redescendant sur mes cuisses. Il prenait son temps, comme s’il cartographiait chaque centimètre de ma peau. Je sentais son souffle régulier, et par moments, son sexe dur, lourd, contre moi à travers son jean.
Bella a déposé un baiser léger sur ma nuque, puis a descendu sa main sur mon ventre.
— Respire. Ouvre-toi.
Darius a laissé glisser ses mains sur mes fesses, pressant légèrement, puis écartant juste assez pour m’exposer. La dentelle fine de ma culotte ne cachait plus rien.
— Tu as une très jolie petite porte, dit-il d’un ton bas et presque admiratif.
J’ai rougi, mais l’excitation était plus forte que la gêne.
Bella s’est éloignée un instant et est revenue avec un petit flacon de lubrifiant et un sextoy fin, en silicone noir.
— On va y aller par étapes, expliqua-t-elle en versant le gel sur ses doigts.
Elle a passé sa main entre mes fesses, un contact frais au début, puis chaud à mesure que ses doigts massaient lentement l’entrée de mon anus. Le gel glissait, rendant chaque mouvement plus fluide.
— Détends-toi… murmura-t-elle.
Un premier doigt a glissé à l’intérieur. La sensation m’a surprise — un mélange étrange de pression et de douceur. Darius gardait ses mains sur mes hanches, comme pour m’ancrer.
— Bien… très bien, souffla-t-il.
Bella a bougé son doigt lentement, en cercles, avant d’en ajouter un second. Mon corps s’est tendu, mais ses mots et son ton m’ont aidée à relâcher la pression.
— Voilà… tu vois ? Rien de méchant.
Elle a retiré ses doigts, puis a pris le petit jouet. Lubrifié généreusement, il a glissé plus facilement que je ne l’aurais cru, remplissant doucement mon intimité arrière. Un gémissement m’a échappé, surprenant même mes propres oreilles.
Darius a bougé ses mains, caressant maintenant mes cuisses et mon ventre, ses pouces frôlant parfois ma poitrine.
— Tu prends bien… souffla-t-il.
Bella a commencé à bouger le jouet, de plus en plus profondément, tout en posant son autre main sur mon sexe. L’effet combiné m’a coupé le souffle. Mon bassin bougeait de lui-même, cherchant le rythme, la pression, le contact.
Je ne pensais pas que ça pouvait être aussi… bon.
Bella m’a murmuré à l’oreille :
— Tu veux le sentir à la place du jouet ?
J’ai ouvert les yeux et croisé le regard de Darius. Calme, sûr de lui, presque tendre.
J’ai juste hoché la tête.
Bella a retiré lentement le jouet, et j’ai senti un vide étrange, presque frustrant, à l’endroit où il était. Mon corps avait commencé à aimer cette présence, et maintenant il en réclamait plus.
Darius s’est redressé un peu, a déboutonné son jean, puis a sorti son sexe. Même sans le toucher, il imposait. Épais, long, sombre, dur… La vision seule m’a donné un frisson qui m’a traversé le ventre.
— On va lui donner envie, murmura Bella.
Elle s’est agenouillée entre ses jambes, a pris son sexe dans sa main et l’a léché lentement, de la base jusqu’au sommet, sa langue glissant le long de cette colonne chaude et pulsante. J’étais fascinée par la manière dont elle le savourait, ses lèvres se refermant autour de lui, aspirant la pointe avec un bruit humide qui m’a mis le feu entre les cuisses.
— Viens… partage, me souffla-t-elle en me jetant un regard en coin.
J’ai hésité une seconde, puis je me suis mise à genoux à côté d’elle. Je l’ai pris à mon tour, sentant la chaleur battre dans ma main, puis j’ai posé mes lèvres sur lui. L’odeur de sa peau, le goût légèrement salé… j’ai fermé les yeux et l’ai aspiré, lentement, jusqu’à sentir l’arrière de ma gorge protester.
Bella a posé sa main sur ma nuque pour guider mon rythme, pendant qu’elle léchait la base, ses lèvres et sa langue venant frôler les miennes parfois sur sa longueur. On travaillait à deux, alternant, se croisant, jouant à le rendre fou.
— Vous êtes… incroyables, souffla Darius, la voix plus grave encore.
Quand il a été bien dur, bien humide, Bella a attrapé le flacon de lubrifiant et l’a versé sur ses doigts. Elle a enduit son sexe d’une couche brillante, le massant comme pour lui donner encore plus de vie. Puis elle m’a regardée droit dans les yeux.
— Mets-toi à quatre pattes, ma belle.
Je me suis placée sur le canapé, genoux écartés, mains bien plantées dans les coussins. J’ai creusé le dos, cambrant volontairement, sentant mes fesses se relever et m’ouvrir complètement sous leurs regards. La lingerie fine ne couvrait plus grand-chose, et Bella a glissé ses doigts pour me la retirer entièrement.
— Parfait… reste comme ça, dit-elle d’une voix basse.
Je sentais l’air frais sur ma peau nue, contrastant avec la chaleur qui montait en moi. Bella s’est installée derrière, ses mains écartant doucement mes fesses. Je savais que j’étais offerte, et cette pensée m’a électrisée.
Sa langue est venue effleurer d’abord mon sexe, puis a glissé plus bas, sur mon petit trou déjà humide de lubrifiant. Elle l’a léché en cercles lents, précis, comme pour le goûter, le préparer. Chaque contact m’envoyait une décharge jusque dans le ventre, mes doigts se crispant sur le canapé.
Entre deux coups de langue, elle s’est penchée vers Darius et a pris sa queue dans sa bouche. Elle l’a sucée profondément, puis l’a ressortie pour le lécher de la base jusqu’à la pointe, laissant un filet de salive briller sur toute sa longueur.
Puis, d’un geste maîtrisé, elle a guidé la pointe luisante vers moi. Sa main sur ma hanche, la tête de Darius bien placée, elle m’a murmuré à l’oreille :
— Maintenant, laisse-le entrer…
La pression a augmenté… puis, lentement, la tête est passée. Un mélange d’étirement intense et de chaleur m’a envahie. Mon corps le sentait jusque dans mon ventre. Mon souffle s’est accéléré. Darius a gémi bas.
Je me suis enfoncée millimètre par millimètre, sentant chaque veine, chaque pulsation de lui contre les parois serrées de mon intimité arrière. C’était à la fois puissant, intimidant… et terriblement excitant.
Quand il a été complètement en moi, j’ai eu l’impression d’être pleine comme jamais. Sa chaleur battait au plus profond, chaque petit mouvement envoyait une onde jusque dans mon ventre et mon sexe.
Darius a commencé à bouger doucement, sortant presque complètement avant de revenir en moi dans un glissement lent, lourd, brûlant. Je pouvais sentir la peau tendue de son sexe frotter, étirer, remplir… Mon corps se moulait autour de lui, s’adaptant à cette intrusion imposante.
Bella, à genoux devant moi, a glissé sa main entre mes cuisses, caressant mon clitoris avec précision. Le mélange des deux sensations — l’étirement profond derrière, les frissons électriques devant — m’a rendue folle.
— Tu prends tellement bien… murmura Darius derrière moi.
Plus il accélérait, plus je perdais toute notion du temps. Et puis, j’ai senti son corps se tendre, ses mains se refermer fort sur ma taille.
— Je… je vais… souffla-t-il.
Un instant plus tard, j’ai senti une première giclée chaude et épaisse jaillir au plus profond. Le choc de chaleur m’a fait gémir fort, presque crier. Puis une deuxième, plus forte, puis une troisième. Chaque jet pulsait contre mes parois, et je pouvais presque sentir le liquide se répandre en moi. Cette sensation m’a fait jouir à mon tour, un orgasme puissant qui a contracté tout mon corps autour de lui, le gardant prisonnier à l’intérieur.
Quand il s’est retiré enfin, lentement, je sentais encore la chaleur de son sperme couler, glisser entre mes cuisses. Je me suis allongée sur le canapé, le souffle court, la peau en feu. Bella m’a caressé les cheveux et a murmuré :
— Bienvenue dans un nouveau monde, Jenny.
Je n’ai pu que sourire, encore étourdie… et déjà impatiente d’y retourner.
Moi, nue contre le mur, je sentais son sperme sécher sur ma joue, descendre encore entre mes cuisses. Je n’avais pas envie de l’essuyer. C’était comme un trophée invisible.
Bella a tourné la tête vers moi, ses yeux fixés sur mon corps encore frémissant.
— Alors, c’était lui que tu voulais… ou on en cherche un autre ?
J’ai esquissé un sourire, ma respiration toujours irrégulière.
— J’en veux encore… et après, un autre.
Elle a ri doucement, ce petit rire qui signifie qu’elle a déjà tout prévu. Elle s’est redressée, nue, magnifique, et est venue s’asseoir près de moi. Ses doigts ont glissé sur ma cuisse, lentement, comme si elle voulait prolonger ma tension.
— Dans ce cas… j’ai quelqu’un en tête.
Je l’ai regardée, intriguée.
— Qui ?
Elle s’est penchée à mon oreille, sa voix chaude comme un murmure obscène :
— Un homme qui va t’ouvrir une porte que tu n’as jamais franchie…
J’ai senti mes joues chauffer.
— Tu parles de qui ?
Elle a souri comme si elle venait de me voler un secret.
— Un copain, un ex. Et crois-moi… avec lui, tu vas adorer.
Son regard s’est planté dans le mien, lourd de promesses.
— Il s’appelle Darius. Grand, noir, patient… et très, très bien équipé.
Je n’ai rien répondu. Mon ventre s’est contracté tout seul. Elle a attrapé son téléphone, nue, le dos cambré, ses hanches dessinant une ligne parfaite.
— T’inquiète, ma belle… ce sera un vendredi soir dont tu te souviendras.
Et c’est comme ça que, quelques jours plus tard, tout a commencé.
Je n’avais pas prévu que ma soirée prenne cette tournure-là.
Au départ, c’était juste un vendredi soir tranquille à l’appart, en pyjama, avec Bella. Elle sirotait un verre de vin blanc assise en tailleur sur le canapé, la télé allumée sur une vieille comédie romantique qu’on ne regardait même pas vraiment. Moi, j’étais allongée, short en coton et débardeur, un plaid sur les jambes.
On parlait de tout et de rien, et comme souvent avec elle, la conversation a glissé sur le sexe.
— Bon, me dit-elle avec ce sourire carnassier que je connais, on a coché pas mal de cases depuis qu’on est coloc, mais il en reste…
Je lève les yeux au ciel.
— Ça veut dire quoi, ça ?
— Ça veut dire que t’as encore un petit jardin secret… ou plutôt une porte que t’as jamais ouverte.
Je comprends immédiatement où elle veut en venir. Je sens mes joues chauffer.
— Tu veux parler de…
— Bingo, répond-elle en buvant une gorgée de vin. L’anal.
Je ris nerveusement.
— Franchement… j’y ai déjà pensé, mais… ça me fait un peu peur.
Bella repose son verre, me fixe comme si elle venait de trouver un nouveau défi.
— C’est juste parce que t’as jamais eu la bonne personne pour ça. Avec le bon mec, la bonne préparation, ça peut être une tuerie.
Je hausse les épaules, mal à l’aise mais intriguée.
— Et c’est quoi, la “bonne personne” ?
Elle se penche vers moi, ses yeux brillants d’excitation.
— Quelqu’un de patient, expérimenté… et qui sait te mettre en confiance.
Elle attrape son téléphone.
— Ça tombe bien, j’ai quelqu’un en tête.
— Tu plaisantes ?!
— Pas du tout. Darius. Un ami… enfin, un ami spécial. Quarantaine, grand, beau, black, et… comment dire… très bien équipé.
Je sens mon ventre se serrer, partagée entre curiosité et panique.
— Bella, attends…
— Tu me fais confiance ?
Je la regarde. Évidemment que je lui fais confiance. C’est elle qui m’a poussée à découvrir tout ce que je croyais ne jamais oser.
— Oui… mais…
— Parfait. Alors tu vas te préparer, jolie, et moi je m’occupe du reste.
Elle disparaît dans ma chambre et revient avec un ensemble de lingerie noir en dentelle que je n’avais encore jamais osé porter.
— Mets ça. Et détends-toi. Il va adorer… et toi aussi.
Je file dans la salle de bain, le cœur battant. Je me déshabille lentement, comme pour gagner du temps, mais au fond, une excitation sourde commence déjà à me gagner. Je passe la culotte fine, le soutien-gorge qui galbe ma poitrine. Quand je me regarde dans le miroir, j’ai l’impression d’être une version plus audacieuse de moi-même.
Quand je reviens, Bella sourit, satisfaite.
— Parfaite. Il arrive dans trente minutes.
Trente minutes… juste le temps qu’il faut pour que mon imagination se mette à tourner à plein régime.
La demi-heure est passée plus vite que je ne l’aurais cru.
Bella a ouvert une deuxième bouteille de vin, qu’on a entamée en discutant de tout sauf du sujet principal. Enfin… presque. Ses yeux malicieux me rappelaient à chaque seconde ce qui allait arriver.
Quand la sonnerie de l’interphone a retenti, j’ai senti un frisson me traverser de la nuque au bas du dos.
Bella s’est levée d’un bond.
— C’est lui.
J’ai entendu sa voix grave, lointaine, dans le haut-parleur. Puis la porte d’entrée s’est ouverte, et il est apparu.
Darius.
Grand. Large d’épaules. Une peau noire lisse, presque brillante sous la lumière du couloir. Un sourire discret mais assuré. Il portait un jean sombre et une chemise ajustée, légèrement ouverte sur un torse musclé.
Et surtout… ce regard. Calme, profond, comme s’il pouvait lire en moi sans un mot.
— Salut, Bella, dit-il en l’embrassant sur la joue.
Puis ses yeux se sont posés sur moi.
— Et toi, tu dois être Jenny.
J’ai hoché la tête, incapable de répondre tout de suite. Ma gorge était sèche.
— Enchantée, ai-je fini par articuler.
Il a esquissé un sourire qui m’a fait battre le cœur plus vite.
Bella a refermé la porte derrière lui.
— Mets-toi à l’aise, Darius. Tu sais pourquoi tu es là.
Ils se sont échangé un regard complice qui m’a donné l’impression qu’ils avaient déjà tout prévu.
Il s’est assis sur le canapé, jambes légèrement écartées, détendu, tandis que Bella me faisait signe d’approcher.
— Viens là, Jenny.
Je me suis avancée, consciente de chaque battement de mon cœur, de chaque respiration.
Bella m’a glissé une main dans le bas du dos, ses doigts effleurant la naissance de mes fesses à travers la dentelle.
— Regarde-le. Prends le temps.
J’ai levé les yeux vers lui. Darius me fixait sans bouger, mais son regard m’enveloppait déjà, comme une caresse invisible.
— Tu es très jolie, a-t-il dit doucement. Et j’aime quand une femme prend son temps avant de se laisser aller.
Bella a attrapé la bouteille de vin et versé un verre pour chacun.
— On trinque ?
— À quoi ? ai-je demandé.
— À ce que tu t’apprêtes à découvrir, a répondu Bella avec un sourire en coin.
On a bu. Le vin a laissé un goût fruité sur ma langue, mais c’est le regard de Darius, posé sur ma bouche, qui m’a réellement enivrée.
— Tu es prête à me faire confiance ? demanda-t-il, sa voix grave résonnant dans mon ventre.
J’ai hoché la tête.
— Oui.
Bella a souri, satisfaite.
— Alors on va commencer doucement. Très doucement.
Elle m’a guidée pour que je m’asseye à califourchon sur les cuisses de Darius. J’ai senti la chaleur de son corps, la fermeté de ses muscles sous mes mains. Ses doigts se sont posés sur mes hanches, légers mais sûrs, et ce simple contact a suffi à m’embraser.
Je savais que ce n’était que le début.
Assise sur ses cuisses, je sentais déjà la chaleur de Darius se diffuser en moi. Son parfum boisé, mêlé à une odeur de peau propre, me montait à la tête. Bella, toujours debout derrière moi, avait posé ses mains sur mes épaules.
— Ferme les yeux, murmura-t-elle. Laisse-toi guider.
Les doigts de Darius ont commencé à remonter le long de mes hanches, glissant doucement sur mes flancs, caressant ma taille, puis redescendant sur mes cuisses. Il prenait son temps, comme s’il cartographiait chaque centimètre de ma peau. Je sentais son souffle régulier, et par moments, son sexe dur, lourd, contre moi à travers son jean.
Bella a déposé un baiser léger sur ma nuque, puis a descendu sa main sur mon ventre.
— Respire. Ouvre-toi.
Darius a laissé glisser ses mains sur mes fesses, pressant légèrement, puis écartant juste assez pour m’exposer. La dentelle fine de ma culotte ne cachait plus rien.
— Tu as une très jolie petite porte, dit-il d’un ton bas et presque admiratif.
J’ai rougi, mais l’excitation était plus forte que la gêne.
Bella s’est éloignée un instant et est revenue avec un petit flacon de lubrifiant et un sextoy fin, en silicone noir.
— On va y aller par étapes, expliqua-t-elle en versant le gel sur ses doigts.
Elle a passé sa main entre mes fesses, un contact frais au début, puis chaud à mesure que ses doigts massaient lentement l’entrée de mon anus. Le gel glissait, rendant chaque mouvement plus fluide.
— Détends-toi… murmura-t-elle.
Un premier doigt a glissé à l’intérieur. La sensation m’a surprise — un mélange étrange de pression et de douceur. Darius gardait ses mains sur mes hanches, comme pour m’ancrer.
— Bien… très bien, souffla-t-il.
Bella a bougé son doigt lentement, en cercles, avant d’en ajouter un second. Mon corps s’est tendu, mais ses mots et son ton m’ont aidée à relâcher la pression.
— Voilà… tu vois ? Rien de méchant.
Elle a retiré ses doigts, puis a pris le petit jouet. Lubrifié généreusement, il a glissé plus facilement que je ne l’aurais cru, remplissant doucement mon intimité arrière. Un gémissement m’a échappé, surprenant même mes propres oreilles.
Darius a bougé ses mains, caressant maintenant mes cuisses et mon ventre, ses pouces frôlant parfois ma poitrine.
— Tu prends bien… souffla-t-il.
Bella a commencé à bouger le jouet, de plus en plus profondément, tout en posant son autre main sur mon sexe. L’effet combiné m’a coupé le souffle. Mon bassin bougeait de lui-même, cherchant le rythme, la pression, le contact.
Je ne pensais pas que ça pouvait être aussi… bon.
Bella m’a murmuré à l’oreille :
— Tu veux le sentir à la place du jouet ?
J’ai ouvert les yeux et croisé le regard de Darius. Calme, sûr de lui, presque tendre.
J’ai juste hoché la tête.
Bella a retiré lentement le jouet, et j’ai senti un vide étrange, presque frustrant, à l’endroit où il était. Mon corps avait commencé à aimer cette présence, et maintenant il en réclamait plus.
Darius s’est redressé un peu, a déboutonné son jean, puis a sorti son sexe. Même sans le toucher, il imposait. Épais, long, sombre, dur… La vision seule m’a donné un frisson qui m’a traversé le ventre.
— On va lui donner envie, murmura Bella.
Elle s’est agenouillée entre ses jambes, a pris son sexe dans sa main et l’a léché lentement, de la base jusqu’au sommet, sa langue glissant le long de cette colonne chaude et pulsante. J’étais fascinée par la manière dont elle le savourait, ses lèvres se refermant autour de lui, aspirant la pointe avec un bruit humide qui m’a mis le feu entre les cuisses.
— Viens… partage, me souffla-t-elle en me jetant un regard en coin.
J’ai hésité une seconde, puis je me suis mise à genoux à côté d’elle. Je l’ai pris à mon tour, sentant la chaleur battre dans ma main, puis j’ai posé mes lèvres sur lui. L’odeur de sa peau, le goût légèrement salé… j’ai fermé les yeux et l’ai aspiré, lentement, jusqu’à sentir l’arrière de ma gorge protester.
Bella a posé sa main sur ma nuque pour guider mon rythme, pendant qu’elle léchait la base, ses lèvres et sa langue venant frôler les miennes parfois sur sa longueur. On travaillait à deux, alternant, se croisant, jouant à le rendre fou.
— Vous êtes… incroyables, souffla Darius, la voix plus grave encore.
Quand il a été bien dur, bien humide, Bella a attrapé le flacon de lubrifiant et l’a versé sur ses doigts. Elle a enduit son sexe d’une couche brillante, le massant comme pour lui donner encore plus de vie. Puis elle m’a regardée droit dans les yeux.
— Mets-toi à quatre pattes, ma belle.
Je me suis placée sur le canapé, genoux écartés, mains bien plantées dans les coussins. J’ai creusé le dos, cambrant volontairement, sentant mes fesses se relever et m’ouvrir complètement sous leurs regards. La lingerie fine ne couvrait plus grand-chose, et Bella a glissé ses doigts pour me la retirer entièrement.
— Parfait… reste comme ça, dit-elle d’une voix basse.
Je sentais l’air frais sur ma peau nue, contrastant avec la chaleur qui montait en moi. Bella s’est installée derrière, ses mains écartant doucement mes fesses. Je savais que j’étais offerte, et cette pensée m’a électrisée.
Sa langue est venue effleurer d’abord mon sexe, puis a glissé plus bas, sur mon petit trou déjà humide de lubrifiant. Elle l’a léché en cercles lents, précis, comme pour le goûter, le préparer. Chaque contact m’envoyait une décharge jusque dans le ventre, mes doigts se crispant sur le canapé.
Entre deux coups de langue, elle s’est penchée vers Darius et a pris sa queue dans sa bouche. Elle l’a sucée profondément, puis l’a ressortie pour le lécher de la base jusqu’à la pointe, laissant un filet de salive briller sur toute sa longueur.
Puis, d’un geste maîtrisé, elle a guidé la pointe luisante vers moi. Sa main sur ma hanche, la tête de Darius bien placée, elle m’a murmuré à l’oreille :
— Maintenant, laisse-le entrer…
La pression a augmenté… puis, lentement, la tête est passée. Un mélange d’étirement intense et de chaleur m’a envahie. Mon corps le sentait jusque dans mon ventre. Mon souffle s’est accéléré. Darius a gémi bas.
Je me suis enfoncée millimètre par millimètre, sentant chaque veine, chaque pulsation de lui contre les parois serrées de mon intimité arrière. C’était à la fois puissant, intimidant… et terriblement excitant.
Quand il a été complètement en moi, j’ai eu l’impression d’être pleine comme jamais. Sa chaleur battait au plus profond, chaque petit mouvement envoyait une onde jusque dans mon ventre et mon sexe.
Darius a commencé à bouger doucement, sortant presque complètement avant de revenir en moi dans un glissement lent, lourd, brûlant. Je pouvais sentir la peau tendue de son sexe frotter, étirer, remplir… Mon corps se moulait autour de lui, s’adaptant à cette intrusion imposante.
Bella, à genoux devant moi, a glissé sa main entre mes cuisses, caressant mon clitoris avec précision. Le mélange des deux sensations — l’étirement profond derrière, les frissons électriques devant — m’a rendue folle.
— Tu prends tellement bien… murmura Darius derrière moi.
Plus il accélérait, plus je perdais toute notion du temps. Et puis, j’ai senti son corps se tendre, ses mains se refermer fort sur ma taille.
— Je… je vais… souffla-t-il.
Un instant plus tard, j’ai senti une première giclée chaude et épaisse jaillir au plus profond. Le choc de chaleur m’a fait gémir fort, presque crier. Puis une deuxième, plus forte, puis une troisième. Chaque jet pulsait contre mes parois, et je pouvais presque sentir le liquide se répandre en moi. Cette sensation m’a fait jouir à mon tour, un orgasme puissant qui a contracté tout mon corps autour de lui, le gardant prisonnier à l’intérieur.
Quand il s’est retiré enfin, lentement, je sentais encore la chaleur de son sperme couler, glisser entre mes cuisses. Je me suis allongée sur le canapé, le souffle court, la peau en feu. Bella m’a caressé les cheveux et a murmuré :
— Bienvenue dans un nouveau monde, Jenny.
Je n’ai pu que sourire, encore étourdie… et déjà impatiente d’y retourner.
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