JENNY & BELLA ou L'initiation d'une Geek - Chapitre XII

Récit érotique écrit par Miss_Sexcret [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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JENNY & BELLA ou L'initiation d'une Geek - Chapitre XII
LA FETE DE BELLA
Ce soir là, Bella m’avait invité chez elle pour la nuit. Ces parents s’était absenté pour le week-end. j’avais hésité car j’avais pas mal de révision à faire pour la semaine de partiels qui arrivait. Mais Bella, toujours aussi persuasive, m’avait fait changer d’avis.
Je sortais tout juste de la douche quand Bella a frappé à la porte de la salle de bain.
— Habille-toi joliment, ma belle. Darius passe ce soir. J’ai eu un petit sourire nerveux. Depuis notre dernière rencontre, son prénom déclenchait en moi un mélange d’excitation et de chaleur dans le bas-ventre.
— C’est… juste lui ? ai-je demandé en enfilant un string en dentelle.
— Oui… enfin, tu verras, répondit-elle avec un ton mystérieux.
Elle avait disposé des bougies basses dans son salon et sorti trois verres à pied, comme pour un rendez-vous un peu spécial. Moi, je portais un body échancré et une jupe moulante. Je me sentais déjà observée… alors qu’il n’était pas encore là.
La sonnerie de l’interphone a retenti. Bella a décroché, un sourire aux lèvres.
— Monte.
Quelques secondes plus tard, on a frappé. Elle est allée ouvrir. Darius est entré, imposant, la même aura calme et charismatique. Mais juste derrière lui… deux autres silhouettes.
Le premier, plus grand encore que Darius, avait la peau ambrée, des yeux noirs perçants, et une musculature sèche. Son sourire était discret, mais ses mains, larges et veinées, attiraient mon regard malgré moi.
— Voici Khalil, dit Darius.
L’autre, légèrement plus jeune, peau mate, cheveux noirs courts, portait un tee-shirt ajusté qui dévoilait des bras tatoués et un torse d’athlète. Son regard avait quelque chose de joueur, presque provocateur.
— Et lui, c’est Rafael.
Je me suis figée une demi-seconde. Mon cœur battait plus vite. Trois hommes. Trois paires d’yeux fixés sur moi.
Bella a refermé la porte derrière eux, puis s’est tournée vers moi avec ce sourire qui veut tout dire.
— Je ne t’ai pas tout dit… murmure-t-elle en s’approchant. Ce soir, on va pousser un peu plus loin ton initiation.
Je n’ai rien répondu. Pas besoin. Mon cœur battait plus fort, ma peau picotait, mes cuisses étaient déjà moites. Mon corps savait. Il voulait dire oui.
Bella m’a placée au centre du salon, face à eux, puis s’est reculée comme pour me céder la scène.
— Montre-leur, Jenny… donnes leur envie de te baiser.
Je suis restée un instant immobile, le menton légèrement relevé, laissant leurs regards glisser sur moi. Trois hommes, trois postures différentes, mais la même intensité dans les yeux.
Mes mains sont venues caresser mes hanches, glissant sur le tissu lisse de ma jupe moulante. Je l’ai fait descendre lentement, centimètre par centimètre, révélant la jarretière satinée de mes bas noirs autofixants et la fine bande de dentelle de mon string assorti. Le frottement du tissu sur mes cuisses me donnait l’impression de déjà m’effeuiller pour eux.
Quand la jupe a glissé jusqu’à mes chevilles, j’ai pris le temps de la repousser d’un geste de pied, le talon de mon escarpin claquant doucement sur le parquet. Je me suis tournée légèrement, leur offrant une vue pleine sur la courbe de mes fesses galbées par la dentelle et le nylon des bas.
Puis mes doigts ont trouvé les bretelles de mon soutien-gorge. Je les ai fait glisser lentement sur mes épaules, laissant les fines bandes de dentelle transparente descendre, jusqu’à ce que mes seins soient à demi libérés. Un crochet défait… puis l’autre. La dentelle a cédé, laissant apparaître mes tétons durcis, déjà offerts à l’air tiède et à leurs regards brûlants.
Je me suis avancée de quelques pas, ma démarche accentuée par la cambrure des talons, les bas épousant mes jambes jusqu’à mi-cuisse. Mes mains ont caressé la naissance de mes cuisses, puis je les ai passées derrière moi pour saisir l’élastique du string. J’ai tiré lentement, faisant rouler la dentelle sur mes hanches, dévoilant peu à peu ma peau nue, jusqu’à le faire glisser le long de mes jambes gainées de nylon.
Je l’ai laissé tomber à mes pieds et, d’un geste lent et précis, l’ai ramassé entre mes doigts avant de le poser sur l’accoudoir du canapé. Un petit trophée pour plus tard.
Debout devant eux, nue avec seulement mes bas et mes talons, je me suis laissée caresser du regard, savourant le silence lourd de désir qui emplissait la pièce. Je sentais leurs yeux sur moi comme des mains supplémentaires. Leurs regards buvaient chaque détail : la courbe de mes seins, le creux de mon ventre, la lueur humide déjà visible entre mes cuisses. Cette façon qu’ils avaient de me regarder… c’était comme s’ils se nourrissaient de mon corps avant même d’y toucher.
Bella est venue se placer derrière moi, ses mains sur mes hanches, ses lèvres près de mon oreille.
— Maintenant, messieurs… elle est à vous.
Darius a déboutonné son pantalon, a sorti sa queue massive. Je l’ai reconnue immédiatement, et elle m’a coupé le souffle. Khalil a suivi, dévoilant un sexe épais, légèrement courbé. Rafael, le plus jeune, l’a sorti d’un mouvement vif. Longue, veiné, dure.
Bella s’est agenouillée à côté de moi. Sans attendre, elle a pris Darius en bouche. L’aspiration était lente, glissante. Elle le goûtait comme on savoure une première gorgée de vin. Puis elle s’est tournée vers moi.
— À toi, blondinette.
J’ai pris Khalil en main. La chaleur m’a traversée la paume. Je l’ai léché d’abord, doucement, puis je l’ai pris dans ma bouche. Son odeur, son goût, la pression contre ma langue, tout m’a électrisée. Mon ventre s’est contracté. J’étais déjà humide, trempée, en feu.
Rafael s’est avancé, et j’ai tourné la tête pour l’accueillir. Sa queue glissait sur ma langue comme une barre chaude, vibrante. Bella m’aidait, nos langues se frôlaient parfois quand on se partageait une queue. On se relayait, se croisaient. Ma bouche était salive et sexe, ma gorge se remplissait à chaque mouvement.
Je gémissais, la bouche pleine. Je ne pensais plus. J’étais dans le moment. Une main dans mes cheveux, une autre sur mes seins, une autre encore qui caressait mes fesses.
Khalil s’est laissé tomber dans le canapé, jambes écartées, sa queue déjà dure et luisante dressée entre nous. Bella m’a attrapée par les hanches et m’a guidée vers lui.
— Allez ma salope… montre-lui comment tu t’empales, chuchote-t-elle à mon oreille.
Je me suis avancée à genoux sur l’assise, le tenant par la base. Son sexe était chaud, lourd, palpitant dans ma main. J’ai frotté ma fente contre sa hampe, humidifiant la peau déjà tendue, puis j’ai lentement baissé le bassin. La tête a écarté mes lèvres, glissé en moi… un gémissement rauque m’a échappé.
— Putain… t’es serrée… grogne Khalil, ses mains s’agrippant à mes hanches.
Je l’ai pris en entier, jusqu’à sentir nos bassins se coller. Un frisson a parcouru mon ventre. Il a aussitôt relevé la tête pour happer un de mes seins dans sa bouche, suçotant le téton avec avidité. Bella s’est placée de l’autre côté et a pris le second dans ses lèvres, jouant de sa langue en synchronisation avec lui.
Face à moi, Darius s’est approché, sa queue à la main. Bella a murmuré :
— Prends-le… avale tout.
J’ai ouvert la bouche et laissé le gland large et chaud glisser sur ma langue. L’odeur forte et virile m’a submergée. Il m’a guidé lentement jusqu’au fond, me forçant à étirer la gorge. J’ai respiré par le nez, les yeux relevés vers lui.
— Voilà… bonne fille, souffle-t-il.
Rafael a pris la place juste après, plus impatient. Il m’a attrapé par les cheveux, m’a forcée à ouvrir grand.
— Allez… fais-moi disparaître dans ta gorge…
Il est entré d’un coup plus profond, me déclenchant un réflexe, mais Bella a posé une main ferme dans mon dos.
— Respire… garde-le, ma belle…
Je les ai enchaînés l’un après l’autre, mes lèvres et ma gorge servant de relais à leur queue, la salive coulant sur mon menton et ma poitrine. Pendant ce temps, Khalil bougeait en dessous, me pilonnant la chatte à coups lents et puissants, son gland cognant contre mon col à chaque descente.
Bella a glissé une main entre mes fesses, a écarté doucement mes lèvres arrière et a commencé à me caresser le petit trou avec son doigt lubrifié.
— On va te préparer… soupire-t-elle. Tu vas les prendre tous les deux…
Par moments, elle retirait la queue de Khalil de mon sexe, je l'entendais la suçait goulûment avant de la guider à nouveau en moi, bien lubrifiée de sa salive. Cette alternance me rendait folle, chaque réinsertion plus intense que la précédente.
Quand elle a jugé que j’étais prête, Darius a craché directement sur ma raie, étalant le liquide avec son gland.
— Écarte-toi pour moi, ma jolie coquine…
Je me suis penchée légèrement vers l’avant, toujours chevauchant Khalil. Et j'ai écarté mes fesses de mes mains. La pression de Darius derrière a commencé, lente, ferme… La tête a franchi l’anneau, me faisant haleter fort.
— Putain… oui… encore…
— Tu l’ouvres bien, souffle Bella, sa voix trempée de plaisir à me voir ainsi.
Darius s’est enfoncé doucement jusqu’à être entièrement calé au fond, me forçant à écarter les jambes encore plus sur Khalil.
— Bordel… t’es étroite comme jamais, gronde Darius dans mon dos.
Le double rythme a commencé : Khalil dans ma chatte, Darius dans mon cul. Chaque coup de reins les faisait se rencontrer en moi, écrasant mon corps entre leurs bassins, la sensation d’être pleine de partout me faisait perdre tout contrôle. Bella, accroupie à côté, suçait Rafael à grands coups de langue bruyants.
Après quelques minutes, Darius s’est retiré lentement, laissant ma raie frémir de vide, et a tapoté la hanche de Rafael.
— À toi, frère.
Rafael a pris la place derrière, plus vif, plus profond, me faisant crier dès les premières poussées. Darius s’est assis à son tour sur le canapé voisin.
— Défoncez-la, les gars… grogne-t-il.
Rafael s’est penché vers mon oreille, sa respiration brûlante contre ma nuque.
— Bouge pas… je veux sentir ta chatte autour de moi aussi.
Il s’est retiré de mon cul, et d’un geste précis, a guidé sa queue vers l’avant. Khalil, déjà profondément enfoncé dans ma chatte, a grogné quand Rafael a appuyé.
— Putain… elle va exploser…
La tête de Rafael s’est glissée à côté de celle de Khalil, forçant mes lèvres à s’écarter encore plus. La brûlure et la pression m’ont fait hurler.
— Ohhh… oh putain… oui…
— Voilà… serre bien, ma belle… serre-nous, halète Rafael.
Les deux queues en moi bougeaient en alternance, parfois en même temps. Mon ventre se contractait à chaque coup, mes mains griffaient les cuisses de Khalil, et ma tête tombait en arrière dans un gémissement continu.
— Vous… vous me déchirez… ohhh… c’est… c’est trop bon…
Bella, accroupie à côté, caressait les seins, son sourire vicieux fixé sur mon visage tordu de plaisir.
— Regarde-toi, Jenny… deux bites dans ta chatte et tu cries comme une vraie salope…
Les coups se sont faits plus lourds, la sensation de les sentir frotter l’un contre l’autre à l’intérieur de moi me rendait folle. Je n’étais plus qu’un corps secoué, ouvert au maximum, à la merci de leur rythme.
Bella m’a fait signe d'arrêter.
— Tourne-toi… et encule toi sur Darius ma belle... donne-lui ton cul.
Je me suis levée à moitié, me suis retournée et ai reculé jusqu’à sentir la queue lubrifiée de Darius glisser entre mes fesses. Je me suis abaissée doucement, empalant mon petit trou sur lui. Son sexe épais me forçait à ouvrir grand, me tendant délicieusement.
Bella, accroupie juste devant, a glissé ses mains sur mes cuisses, les écartant un peu plus. J'ai senti son souffle chaud sur mon sexe quand elle a enfoui son visage entre mes jambes. Sa langue est venue effleurer ma chatte en feu, recueillant le mélange de salive et de foutre qui la recouvrait.
— Putain… t’es brûlante… soupire-t-elle contre ma peau.
Elle a aspiré mon clito gonflé, envoyant une décharge électrique qui m’a fait cambrer le dos sur Darius. Puis sa bouche a glissé plus bas, ses lèvres se refermant sur les couilles lourdes et pleines de Darius, qu’elle suçait en rythme avec ses va-et-vient en moi.
— Ohhh… merde… continue… grogne Darius en la sentant jouer avec ses bourses.
Je gémissais sans fin, incapable de savoir si le feu qui me consumait venait de la langue de Bella, de la queue massive de Darius dans mon cul, ou de la combinaison des deux.
Puis Khalil est revenu devant, s’agenouillant entre mes cuisses pour me pénétrer par devant, remplissant ma chatte d’un coup ferme.
Rafael, debout au-dessus, m’a saisi par les cheveux et m’a fait lever le menton.
— Ouvre… et prends-moi jusqu’aux couilles.
J’ai avalé sa queue tendue pendant que les deux autres me martelaient en rythme. Mes seins bondissaient, mes cuisses tremblaient, ma gorge brûlait de plaisir et d’effort. Bella, accroupie à côté, caressait mon clito à deux doigts, accélérant encore ma montée.
— Regarde-les… t’es leur pute, souffle Bella à mon oreille. Dis-le.
— Oui… je suis votre pute… baisez-moi… fort…
Les coups s’intensifiaient, mes cris se noyaient contre la queue de Rafael, mes mains s’accrochant à ses hanches pour tenir. Je sentais les trois rythmes converger vers un point de rupture.
— Je vais jouir… grogne Darius, les mains serrées sur mes hanches.
— Moi aussi… souffle Khalil en me plantant plus profond.
Rafael a retiré sa queue de ma bouche, la branlant à toute vitesse.
Darius a déchargé le premier, inondant mon cul d’une chaleur brûlante. Khalil a suivi en me remplissant la chatte jusqu’à ce que ça déborde. Rafael, penché sur moi, a arrosé mes seins et mon ventre.
Je suis restée là, haletante, trempée de sueur et de foutre, le corps encore traversé de secousses, pendant que Bella me soutenait et m'embrassait.
Je reste immobile quelques secondes, le front penché, le souffle haché. Les mains de Darius se desserrent enfin sur mes hanches, glissant lentement le long de mes cuisses comme pour vérifier que je suis encore là. Khalil s’est reculé, mais je sens toujours la chaleur diffuse sur ma peau, comme une empreinte qui ne veut pas disparaître.
Bella est la première à bouger. Elle m’attire doucement vers elle, ses doigts venant écarter une mèche collée à ma joue. Ses lèvres effleurent ma tempe dans un geste qui a plus de tendresse que d’ardeur. Son parfum, mêlé à celui des autres, me donne presque le vertige.
Rafael s’assoit, dos au mur, reprenant son souffle. Ses yeux me suivent, un léger sourire aux lèvres, comme s’il gardait en mémoire chaque seconde. Khalil m’aide à me relever, son regard planté dans le mien, sans un mot, mais avec cette intensité muette qui vaut plus que n’importe quelle phrase.
Nous restons tous là, dans cette bulle épaisse où le temps semble suspendu. La pièce est saturée de chaleur, d’odeurs et de murmures à peine audibles. Bella, toujours près de moi, me caresse distraitement le bras, comme si elle voulait encore me garder dans cet état flottant.
Elle m’a embrassée en goûtant la sueur sur mes lèvres.
— Tu vois… ce soir, t’étais pas juste leur salope… t’étais la mienne aussi.
Peu à peu, nos souffles ralentissent, mais les regards ne se lâchent pas. On dirait que personne n’a envie de briser ce moment. Comme si nous savions tous que, quoi qu’il arrive après, il y aura toujours cet instant précis — encore accroché à nos peaux, à nos corps, à nos mémoires.
Ce soir là, Bella m’avait invité chez elle pour la nuit. Ces parents s’était absenté pour le week-end. j’avais hésité car j’avais pas mal de révision à faire pour la semaine de partiels qui arrivait. Mais Bella, toujours aussi persuasive, m’avait fait changer d’avis.
Je sortais tout juste de la douche quand Bella a frappé à la porte de la salle de bain.
— Habille-toi joliment, ma belle. Darius passe ce soir. J’ai eu un petit sourire nerveux. Depuis notre dernière rencontre, son prénom déclenchait en moi un mélange d’excitation et de chaleur dans le bas-ventre.
— C’est… juste lui ? ai-je demandé en enfilant un string en dentelle.
— Oui… enfin, tu verras, répondit-elle avec un ton mystérieux.
Elle avait disposé des bougies basses dans son salon et sorti trois verres à pied, comme pour un rendez-vous un peu spécial. Moi, je portais un body échancré et une jupe moulante. Je me sentais déjà observée… alors qu’il n’était pas encore là.
La sonnerie de l’interphone a retenti. Bella a décroché, un sourire aux lèvres.
— Monte.
Quelques secondes plus tard, on a frappé. Elle est allée ouvrir. Darius est entré, imposant, la même aura calme et charismatique. Mais juste derrière lui… deux autres silhouettes.
Le premier, plus grand encore que Darius, avait la peau ambrée, des yeux noirs perçants, et une musculature sèche. Son sourire était discret, mais ses mains, larges et veinées, attiraient mon regard malgré moi.
— Voici Khalil, dit Darius.
L’autre, légèrement plus jeune, peau mate, cheveux noirs courts, portait un tee-shirt ajusté qui dévoilait des bras tatoués et un torse d’athlète. Son regard avait quelque chose de joueur, presque provocateur.
— Et lui, c’est Rafael.
Je me suis figée une demi-seconde. Mon cœur battait plus vite. Trois hommes. Trois paires d’yeux fixés sur moi.
Bella a refermé la porte derrière eux, puis s’est tournée vers moi avec ce sourire qui veut tout dire.
— Je ne t’ai pas tout dit… murmure-t-elle en s’approchant. Ce soir, on va pousser un peu plus loin ton initiation.
Je n’ai rien répondu. Pas besoin. Mon cœur battait plus fort, ma peau picotait, mes cuisses étaient déjà moites. Mon corps savait. Il voulait dire oui.
Bella m’a placée au centre du salon, face à eux, puis s’est reculée comme pour me céder la scène.
— Montre-leur, Jenny… donnes leur envie de te baiser.
Je suis restée un instant immobile, le menton légèrement relevé, laissant leurs regards glisser sur moi. Trois hommes, trois postures différentes, mais la même intensité dans les yeux.
Mes mains sont venues caresser mes hanches, glissant sur le tissu lisse de ma jupe moulante. Je l’ai fait descendre lentement, centimètre par centimètre, révélant la jarretière satinée de mes bas noirs autofixants et la fine bande de dentelle de mon string assorti. Le frottement du tissu sur mes cuisses me donnait l’impression de déjà m’effeuiller pour eux.
Quand la jupe a glissé jusqu’à mes chevilles, j’ai pris le temps de la repousser d’un geste de pied, le talon de mon escarpin claquant doucement sur le parquet. Je me suis tournée légèrement, leur offrant une vue pleine sur la courbe de mes fesses galbées par la dentelle et le nylon des bas.
Puis mes doigts ont trouvé les bretelles de mon soutien-gorge. Je les ai fait glisser lentement sur mes épaules, laissant les fines bandes de dentelle transparente descendre, jusqu’à ce que mes seins soient à demi libérés. Un crochet défait… puis l’autre. La dentelle a cédé, laissant apparaître mes tétons durcis, déjà offerts à l’air tiède et à leurs regards brûlants.
Je me suis avancée de quelques pas, ma démarche accentuée par la cambrure des talons, les bas épousant mes jambes jusqu’à mi-cuisse. Mes mains ont caressé la naissance de mes cuisses, puis je les ai passées derrière moi pour saisir l’élastique du string. J’ai tiré lentement, faisant rouler la dentelle sur mes hanches, dévoilant peu à peu ma peau nue, jusqu’à le faire glisser le long de mes jambes gainées de nylon.
Je l’ai laissé tomber à mes pieds et, d’un geste lent et précis, l’ai ramassé entre mes doigts avant de le poser sur l’accoudoir du canapé. Un petit trophée pour plus tard.
Debout devant eux, nue avec seulement mes bas et mes talons, je me suis laissée caresser du regard, savourant le silence lourd de désir qui emplissait la pièce. Je sentais leurs yeux sur moi comme des mains supplémentaires. Leurs regards buvaient chaque détail : la courbe de mes seins, le creux de mon ventre, la lueur humide déjà visible entre mes cuisses. Cette façon qu’ils avaient de me regarder… c’était comme s’ils se nourrissaient de mon corps avant même d’y toucher.
Bella est venue se placer derrière moi, ses mains sur mes hanches, ses lèvres près de mon oreille.
— Maintenant, messieurs… elle est à vous.
Darius a déboutonné son pantalon, a sorti sa queue massive. Je l’ai reconnue immédiatement, et elle m’a coupé le souffle. Khalil a suivi, dévoilant un sexe épais, légèrement courbé. Rafael, le plus jeune, l’a sorti d’un mouvement vif. Longue, veiné, dure.
Bella s’est agenouillée à côté de moi. Sans attendre, elle a pris Darius en bouche. L’aspiration était lente, glissante. Elle le goûtait comme on savoure une première gorgée de vin. Puis elle s’est tournée vers moi.
— À toi, blondinette.
J’ai pris Khalil en main. La chaleur m’a traversée la paume. Je l’ai léché d’abord, doucement, puis je l’ai pris dans ma bouche. Son odeur, son goût, la pression contre ma langue, tout m’a électrisée. Mon ventre s’est contracté. J’étais déjà humide, trempée, en feu.
Rafael s’est avancé, et j’ai tourné la tête pour l’accueillir. Sa queue glissait sur ma langue comme une barre chaude, vibrante. Bella m’aidait, nos langues se frôlaient parfois quand on se partageait une queue. On se relayait, se croisaient. Ma bouche était salive et sexe, ma gorge se remplissait à chaque mouvement.
Je gémissais, la bouche pleine. Je ne pensais plus. J’étais dans le moment. Une main dans mes cheveux, une autre sur mes seins, une autre encore qui caressait mes fesses.
Khalil s’est laissé tomber dans le canapé, jambes écartées, sa queue déjà dure et luisante dressée entre nous. Bella m’a attrapée par les hanches et m’a guidée vers lui.
— Allez ma salope… montre-lui comment tu t’empales, chuchote-t-elle à mon oreille.
Je me suis avancée à genoux sur l’assise, le tenant par la base. Son sexe était chaud, lourd, palpitant dans ma main. J’ai frotté ma fente contre sa hampe, humidifiant la peau déjà tendue, puis j’ai lentement baissé le bassin. La tête a écarté mes lèvres, glissé en moi… un gémissement rauque m’a échappé.
— Putain… t’es serrée… grogne Khalil, ses mains s’agrippant à mes hanches.
Je l’ai pris en entier, jusqu’à sentir nos bassins se coller. Un frisson a parcouru mon ventre. Il a aussitôt relevé la tête pour happer un de mes seins dans sa bouche, suçotant le téton avec avidité. Bella s’est placée de l’autre côté et a pris le second dans ses lèvres, jouant de sa langue en synchronisation avec lui.
Face à moi, Darius s’est approché, sa queue à la main. Bella a murmuré :
— Prends-le… avale tout.
J’ai ouvert la bouche et laissé le gland large et chaud glisser sur ma langue. L’odeur forte et virile m’a submergée. Il m’a guidé lentement jusqu’au fond, me forçant à étirer la gorge. J’ai respiré par le nez, les yeux relevés vers lui.
— Voilà… bonne fille, souffle-t-il.
Rafael a pris la place juste après, plus impatient. Il m’a attrapé par les cheveux, m’a forcée à ouvrir grand.
— Allez… fais-moi disparaître dans ta gorge…
Il est entré d’un coup plus profond, me déclenchant un réflexe, mais Bella a posé une main ferme dans mon dos.
— Respire… garde-le, ma belle…
Je les ai enchaînés l’un après l’autre, mes lèvres et ma gorge servant de relais à leur queue, la salive coulant sur mon menton et ma poitrine. Pendant ce temps, Khalil bougeait en dessous, me pilonnant la chatte à coups lents et puissants, son gland cognant contre mon col à chaque descente.
Bella a glissé une main entre mes fesses, a écarté doucement mes lèvres arrière et a commencé à me caresser le petit trou avec son doigt lubrifié.
— On va te préparer… soupire-t-elle. Tu vas les prendre tous les deux…
Par moments, elle retirait la queue de Khalil de mon sexe, je l'entendais la suçait goulûment avant de la guider à nouveau en moi, bien lubrifiée de sa salive. Cette alternance me rendait folle, chaque réinsertion plus intense que la précédente.
Quand elle a jugé que j’étais prête, Darius a craché directement sur ma raie, étalant le liquide avec son gland.
— Écarte-toi pour moi, ma jolie coquine…
Je me suis penchée légèrement vers l’avant, toujours chevauchant Khalil. Et j'ai écarté mes fesses de mes mains. La pression de Darius derrière a commencé, lente, ferme… La tête a franchi l’anneau, me faisant haleter fort.
— Putain… oui… encore…
— Tu l’ouvres bien, souffle Bella, sa voix trempée de plaisir à me voir ainsi.
Darius s’est enfoncé doucement jusqu’à être entièrement calé au fond, me forçant à écarter les jambes encore plus sur Khalil.
— Bordel… t’es étroite comme jamais, gronde Darius dans mon dos.
Le double rythme a commencé : Khalil dans ma chatte, Darius dans mon cul. Chaque coup de reins les faisait se rencontrer en moi, écrasant mon corps entre leurs bassins, la sensation d’être pleine de partout me faisait perdre tout contrôle. Bella, accroupie à côté, suçait Rafael à grands coups de langue bruyants.
Après quelques minutes, Darius s’est retiré lentement, laissant ma raie frémir de vide, et a tapoté la hanche de Rafael.
— À toi, frère.
Rafael a pris la place derrière, plus vif, plus profond, me faisant crier dès les premières poussées. Darius s’est assis à son tour sur le canapé voisin.
— Défoncez-la, les gars… grogne-t-il.
Rafael s’est penché vers mon oreille, sa respiration brûlante contre ma nuque.
— Bouge pas… je veux sentir ta chatte autour de moi aussi.
Il s’est retiré de mon cul, et d’un geste précis, a guidé sa queue vers l’avant. Khalil, déjà profondément enfoncé dans ma chatte, a grogné quand Rafael a appuyé.
— Putain… elle va exploser…
La tête de Rafael s’est glissée à côté de celle de Khalil, forçant mes lèvres à s’écarter encore plus. La brûlure et la pression m’ont fait hurler.
— Ohhh… oh putain… oui…
— Voilà… serre bien, ma belle… serre-nous, halète Rafael.
Les deux queues en moi bougeaient en alternance, parfois en même temps. Mon ventre se contractait à chaque coup, mes mains griffaient les cuisses de Khalil, et ma tête tombait en arrière dans un gémissement continu.
— Vous… vous me déchirez… ohhh… c’est… c’est trop bon…
Bella, accroupie à côté, caressait les seins, son sourire vicieux fixé sur mon visage tordu de plaisir.
— Regarde-toi, Jenny… deux bites dans ta chatte et tu cries comme une vraie salope…
Les coups se sont faits plus lourds, la sensation de les sentir frotter l’un contre l’autre à l’intérieur de moi me rendait folle. Je n’étais plus qu’un corps secoué, ouvert au maximum, à la merci de leur rythme.
Bella m’a fait signe d'arrêter.
— Tourne-toi… et encule toi sur Darius ma belle... donne-lui ton cul.
Je me suis levée à moitié, me suis retournée et ai reculé jusqu’à sentir la queue lubrifiée de Darius glisser entre mes fesses. Je me suis abaissée doucement, empalant mon petit trou sur lui. Son sexe épais me forçait à ouvrir grand, me tendant délicieusement.
Bella, accroupie juste devant, a glissé ses mains sur mes cuisses, les écartant un peu plus. J'ai senti son souffle chaud sur mon sexe quand elle a enfoui son visage entre mes jambes. Sa langue est venue effleurer ma chatte en feu, recueillant le mélange de salive et de foutre qui la recouvrait.
— Putain… t’es brûlante… soupire-t-elle contre ma peau.
Elle a aspiré mon clito gonflé, envoyant une décharge électrique qui m’a fait cambrer le dos sur Darius. Puis sa bouche a glissé plus bas, ses lèvres se refermant sur les couilles lourdes et pleines de Darius, qu’elle suçait en rythme avec ses va-et-vient en moi.
— Ohhh… merde… continue… grogne Darius en la sentant jouer avec ses bourses.
Je gémissais sans fin, incapable de savoir si le feu qui me consumait venait de la langue de Bella, de la queue massive de Darius dans mon cul, ou de la combinaison des deux.
Puis Khalil est revenu devant, s’agenouillant entre mes cuisses pour me pénétrer par devant, remplissant ma chatte d’un coup ferme.
Rafael, debout au-dessus, m’a saisi par les cheveux et m’a fait lever le menton.
— Ouvre… et prends-moi jusqu’aux couilles.
J’ai avalé sa queue tendue pendant que les deux autres me martelaient en rythme. Mes seins bondissaient, mes cuisses tremblaient, ma gorge brûlait de plaisir et d’effort. Bella, accroupie à côté, caressait mon clito à deux doigts, accélérant encore ma montée.
— Regarde-les… t’es leur pute, souffle Bella à mon oreille. Dis-le.
— Oui… je suis votre pute… baisez-moi… fort…
Les coups s’intensifiaient, mes cris se noyaient contre la queue de Rafael, mes mains s’accrochant à ses hanches pour tenir. Je sentais les trois rythmes converger vers un point de rupture.
— Je vais jouir… grogne Darius, les mains serrées sur mes hanches.
— Moi aussi… souffle Khalil en me plantant plus profond.
Rafael a retiré sa queue de ma bouche, la branlant à toute vitesse.
Darius a déchargé le premier, inondant mon cul d’une chaleur brûlante. Khalil a suivi en me remplissant la chatte jusqu’à ce que ça déborde. Rafael, penché sur moi, a arrosé mes seins et mon ventre.
Je suis restée là, haletante, trempée de sueur et de foutre, le corps encore traversé de secousses, pendant que Bella me soutenait et m'embrassait.
Je reste immobile quelques secondes, le front penché, le souffle haché. Les mains de Darius se desserrent enfin sur mes hanches, glissant lentement le long de mes cuisses comme pour vérifier que je suis encore là. Khalil s’est reculé, mais je sens toujours la chaleur diffuse sur ma peau, comme une empreinte qui ne veut pas disparaître.
Bella est la première à bouger. Elle m’attire doucement vers elle, ses doigts venant écarter une mèche collée à ma joue. Ses lèvres effleurent ma tempe dans un geste qui a plus de tendresse que d’ardeur. Son parfum, mêlé à celui des autres, me donne presque le vertige.
Rafael s’assoit, dos au mur, reprenant son souffle. Ses yeux me suivent, un léger sourire aux lèvres, comme s’il gardait en mémoire chaque seconde. Khalil m’aide à me relever, son regard planté dans le mien, sans un mot, mais avec cette intensité muette qui vaut plus que n’importe quelle phrase.
Nous restons tous là, dans cette bulle épaisse où le temps semble suspendu. La pièce est saturée de chaleur, d’odeurs et de murmures à peine audibles. Bella, toujours près de moi, me caresse distraitement le bras, comme si elle voulait encore me garder dans cet état flottant.
Elle m’a embrassée en goûtant la sueur sur mes lèvres.
— Tu vois… ce soir, t’étais pas juste leur salope… t’étais la mienne aussi.
Peu à peu, nos souffles ralentissent, mais les regards ne se lâchent pas. On dirait que personne n’a envie de briser ce moment. Comme si nous savions tous que, quoi qu’il arrive après, il y aura toujours cet instant précis — encore accroché à nos peaux, à nos corps, à nos mémoires.
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