JENNY & BELLA ou L'initiation d'une Geek - Chapitre XIII

Récit érotique écrit par Miss_Sexcret [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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JENNY & BELLA ou L'initiation d'une Geek - Chapitre XIII
ET TOI, A MOI
Les garçons ont fini par se rhabiller, un à un. Quelques baisers, des regards en coin, une main qui s’attarde un peu trop longtemps sur une hanche, puis la porte qui claque doucement. Le silence retombe, moelleux, presque irréel. Il ne reste plus que Bella et moi.
Je suis toujours nue, allongée sur le canapé, la peau chaude, les jambes fléchies, encore marquée par tout ce qu’on vient de vivre. Bella s’est assise à mes pieds. Elle me regarde sans rien dire, les yeux brillants d’un éclat trouble, indéfinissable. Pas seulement du désir. Autre chose.
Elle se penche, fait courir le bout de ses doigts sur mon mollet, remonte doucement le long de ma cuisse. Des frissons me prennent instantanément, comme si mon corps, pourtant comblé, était encore prêt à s’ouvrir.
— T’as été incroyable, souffle-t-elle.
Je souris, un peu gênée, un peu fière. Elle remonte encore, sa paume chaude à présent, caressant mon ventre, dessinant des cercles autour de mon nombril. Puis elle s’étend sur moi, tout doucement, ses seins nus contre les miens, sa bouche à quelques centimètres.
— T’as envie qu’on s’endorme, ou qu’on recommence… mais à deux ?
Je ne réponds pas tout de suite. J’attrape son visage dans mes mains, l’observe. Son regard, son odeur, sa bouche entrouverte. Elle m’embrasse, et c’est différent. Moins brutal. Plus précis. Elle prend son temps, elle explore.
Quand sa main redescend entre mes jambes, c’est comme si tout repartait, mais autrement. Plus lent, plus intérieur. Juste elle et moi. Son souffle dans mon cou. Ses mots bas. Sa langue, douce, exacte. Je me laisse aller sans réfléchir.
La pièce est calme. La lumière a baissé. Le monde est flou. Il n’y a plus que nous deux, nues, mêlées, couvertes des traces des autres… mais en train de réécrire, juste entre nous, une autre fin.
Elle se lève, tend la main vers moi. Je la prends, docile. On se dirige vers la salle de bain, pieds nus, encore moites. Bella ouvre l’eau, laisse couler un moment. La lumière est douce, jaune, presque irréelle. Elle entre la première, me tire contre elle.
Sous la douche, nos corps glissent l’un contre l’autre. L’eau chaude emporte lentement la sueur, le sperme, les odeurs de sexe encore fraîches sur nos peaux. On se savonne l’une l’autre, sans pudeur, sans précipitation. Je la lave entre les jambes, elle rit doucement, puis elle fait de même avec moi. On se frotte, on se rince, on s’embrasse à pleine bouche. Je la plaque contre le carrelage tiède, elle gémit. Ses seins s’écrasent contre les miens, son bassin ondule. On aurait pu jouir là, l’une contre l’autre. Mais elle me prend la main et me dit simplement :
— Viens, on va dans mon lit.
Le lit est tiède, vaste, accueillant. On s’y glisse encore humides de la douche, les draps collent un peu à nos cuisses, mais on s’en fout. Elle se couche sur le dos, ses bras ouverts comme une invitation. Je m’allonge contre elle, son flanc contre mon ventre, ma cuisse glissée entre les siennes.
Nos bouches se cherchent à nouveau. C’est lent, profond. Elle gémit dès que je la touche sous le nombril. Je descends, explore, embrasse ses seins, sa peau salée, le pli de sa hanche, puis son sexe, sans prévenir. Ma langue la goûte d’un seul coup, large, mouillé, insistant. Elle écarte les jambes sans que je le lui demande.
Je l’embrasse là, vraiment. Je l’engloutis. Je prends son clito entre mes lèvres, je le lèche doucement, puis plus vite, je le titille du bout de la langue. Je sens son bassin onduler sous ma bouche, ses doigts se crisper sur le drap. Elle écarte encore plus les jambes.
— Ne t’arrête pas. Continue… continue…
Ma langue descend. Je passe sur son entrée, je lape sa mouille chaude, je joue avec. Je la pénètre d’un doigt, puis deux, lentement, en rythme. Elle gémit plus fort. Mon visage s’enfonce plus, ma langue remonte, puis redescend… Et là, je sens son corps se tendre quand je pousse un peu plus bas, à la base. J’approche, doucement. Elle lève un peu le bassin. Je comprends.
Je glisse ma langue tout contre son anus, en cercle d’abord, puis plus franchement. Elle se cambre, elle murmure mon prénom. Je continue, alternant langue et doigts, en elle, autour d’elle, sur elle. Son corps se tend, se tord, elle râle, elle supplie, elle jouit dans un cri rauque, profond, comme arraché. Ses cuisses tremblent, son ventre se contracte, elle se relâche, ouverte, offerte.
Quand elle rouvre les yeux, elle me tire à elle.
— À ton tour.
Elle me fait basculer sur le dos, se place entre mes cuisses, son regard planté dans le mien. Sa bouche vient chercher mon sein, puis descend. Son souffle contre mon sexe me fait frémir. Elle m’embrasse doucement, me lèche, m’ouvre avec la langue, puis les doigts. Elle me prend avec une douceur animale. Elle me lèche longtemps, avec une patience presque cruelle. Puis elle enfonce deux doigts d’un coup, puis trois. Je me tends, je m’ouvre. Elle me pénètre, me regarde, m’écoute. Sa langue revient sur mon clito. Elle me baise de la bouche et des doigts. Je me perds. Je fonds. Je crie son nom quand je jouis contre sa langue.
Mais elle ne s’arrête pas. Elle remonte sur moi, nos corps collés, elle frotte sa chatte contre la mienne. Lentement d’abord, puis plus vite. Nos hanches s’alignent, nos souffles se mêlent. On se monte l’une sur l’autre, en rythme, jusqu’à se cogner, se heurter, glisser, râler, haleter. C’est moite, chaud, viscéral. Nos clitos frottent, se cherchent, se retrouvent. On jouit presque en même temps. En tremblant. En gémissant. En s’agrippant.
Puis on s’écroule. Enlacées. Collées. Le visage dans le cou de l’autre. Le cœur battant.
Et dans le silence du lit, encore moite, Bella me souffle, entre deux soupirs :
— Je crois que j’ai jamais joui comme ça, Jenny. T’es à moi ce soir.
Je souris, les yeux mi-clos.
— Et toi, à moi.
On s’endort ainsi, les cuisses emmêlées, les peaux encore tièdes, la chatte vibrante, le cœur un peu changé.
ÉPILOGUE – Merci pour cette initiation
Si on m’avait dit, il y a quelques mois, que ma vie d’étudiante sage et un peu geek prendrait ce tournant… j’aurais probablement ri derrière mes lunettes. Et pourtant, me voilà, le corps et l’esprit marqués par chaque étape de cette initiation que Bella a orchestrée avec la précision d’un chef d’orchestre et la gourmandise d’une amante insatiable.
Bella… la première à voir en moi autre chose qu’une intello timide. Celle qui a ouvert la porte, parfois en douceur, parfois d’un coup sec, mais toujours avec ce sourire de prédatrice tendre.
Darius… avec sa patience, sa chaleur et cette façon d’occuper tout l’espace en moi.
Samuel… discret mais déterminé, qui a laissé une empreinte inattendue.
Tim… provocateur, arrogant, mais qui a su me faire perdre le contrôle comme personne.
Alexandre et Léa… témoins silencieux ou acteurs indirects de certaines soirées, et qui font, à leur manière, partie de cette aventure.
Bruno, surprenant et intense, qui a su se faire une place dans cette initiation et me rappeler qu’on ne devine jamais vraiment de quoi un homme est capable avant de l’avoir goûté.
Et puis Khalil, Rafael, Monsieur Areski, et tous les autres… chacun ayant ajouté une note unique à cette partition charnelle.
Je leur dois à tous un morceau de cette transformation.
Je ne suis plus simplement Jenny, la fille sage qui révise le soir en buvant du thé. Je suis aussi celle qui sait ce que son corps veut, qui ose le dire, le montrer, le prendre.
Et ceci n’est qu’un début.
Parce que Bella et moi, nous avons encore mille idées, mille pièges à tendre, mille nuits à inventer. Et si vous pensez avoir tout vu…
Attendez de découvrir nos prochaines aventures...
Bisous
KRIS
Les garçons ont fini par se rhabiller, un à un. Quelques baisers, des regards en coin, une main qui s’attarde un peu trop longtemps sur une hanche, puis la porte qui claque doucement. Le silence retombe, moelleux, presque irréel. Il ne reste plus que Bella et moi.
Je suis toujours nue, allongée sur le canapé, la peau chaude, les jambes fléchies, encore marquée par tout ce qu’on vient de vivre. Bella s’est assise à mes pieds. Elle me regarde sans rien dire, les yeux brillants d’un éclat trouble, indéfinissable. Pas seulement du désir. Autre chose.
Elle se penche, fait courir le bout de ses doigts sur mon mollet, remonte doucement le long de ma cuisse. Des frissons me prennent instantanément, comme si mon corps, pourtant comblé, était encore prêt à s’ouvrir.
— T’as été incroyable, souffle-t-elle.
Je souris, un peu gênée, un peu fière. Elle remonte encore, sa paume chaude à présent, caressant mon ventre, dessinant des cercles autour de mon nombril. Puis elle s’étend sur moi, tout doucement, ses seins nus contre les miens, sa bouche à quelques centimètres.
— T’as envie qu’on s’endorme, ou qu’on recommence… mais à deux ?
Je ne réponds pas tout de suite. J’attrape son visage dans mes mains, l’observe. Son regard, son odeur, sa bouche entrouverte. Elle m’embrasse, et c’est différent. Moins brutal. Plus précis. Elle prend son temps, elle explore.
Quand sa main redescend entre mes jambes, c’est comme si tout repartait, mais autrement. Plus lent, plus intérieur. Juste elle et moi. Son souffle dans mon cou. Ses mots bas. Sa langue, douce, exacte. Je me laisse aller sans réfléchir.
La pièce est calme. La lumière a baissé. Le monde est flou. Il n’y a plus que nous deux, nues, mêlées, couvertes des traces des autres… mais en train de réécrire, juste entre nous, une autre fin.
Elle se lève, tend la main vers moi. Je la prends, docile. On se dirige vers la salle de bain, pieds nus, encore moites. Bella ouvre l’eau, laisse couler un moment. La lumière est douce, jaune, presque irréelle. Elle entre la première, me tire contre elle.
Sous la douche, nos corps glissent l’un contre l’autre. L’eau chaude emporte lentement la sueur, le sperme, les odeurs de sexe encore fraîches sur nos peaux. On se savonne l’une l’autre, sans pudeur, sans précipitation. Je la lave entre les jambes, elle rit doucement, puis elle fait de même avec moi. On se frotte, on se rince, on s’embrasse à pleine bouche. Je la plaque contre le carrelage tiède, elle gémit. Ses seins s’écrasent contre les miens, son bassin ondule. On aurait pu jouir là, l’une contre l’autre. Mais elle me prend la main et me dit simplement :
— Viens, on va dans mon lit.
Le lit est tiède, vaste, accueillant. On s’y glisse encore humides de la douche, les draps collent un peu à nos cuisses, mais on s’en fout. Elle se couche sur le dos, ses bras ouverts comme une invitation. Je m’allonge contre elle, son flanc contre mon ventre, ma cuisse glissée entre les siennes.
Nos bouches se cherchent à nouveau. C’est lent, profond. Elle gémit dès que je la touche sous le nombril. Je descends, explore, embrasse ses seins, sa peau salée, le pli de sa hanche, puis son sexe, sans prévenir. Ma langue la goûte d’un seul coup, large, mouillé, insistant. Elle écarte les jambes sans que je le lui demande.
Je l’embrasse là, vraiment. Je l’engloutis. Je prends son clito entre mes lèvres, je le lèche doucement, puis plus vite, je le titille du bout de la langue. Je sens son bassin onduler sous ma bouche, ses doigts se crisper sur le drap. Elle écarte encore plus les jambes.
— Ne t’arrête pas. Continue… continue…
Ma langue descend. Je passe sur son entrée, je lape sa mouille chaude, je joue avec. Je la pénètre d’un doigt, puis deux, lentement, en rythme. Elle gémit plus fort. Mon visage s’enfonce plus, ma langue remonte, puis redescend… Et là, je sens son corps se tendre quand je pousse un peu plus bas, à la base. J’approche, doucement. Elle lève un peu le bassin. Je comprends.
Je glisse ma langue tout contre son anus, en cercle d’abord, puis plus franchement. Elle se cambre, elle murmure mon prénom. Je continue, alternant langue et doigts, en elle, autour d’elle, sur elle. Son corps se tend, se tord, elle râle, elle supplie, elle jouit dans un cri rauque, profond, comme arraché. Ses cuisses tremblent, son ventre se contracte, elle se relâche, ouverte, offerte.
Quand elle rouvre les yeux, elle me tire à elle.
— À ton tour.
Elle me fait basculer sur le dos, se place entre mes cuisses, son regard planté dans le mien. Sa bouche vient chercher mon sein, puis descend. Son souffle contre mon sexe me fait frémir. Elle m’embrasse doucement, me lèche, m’ouvre avec la langue, puis les doigts. Elle me prend avec une douceur animale. Elle me lèche longtemps, avec une patience presque cruelle. Puis elle enfonce deux doigts d’un coup, puis trois. Je me tends, je m’ouvre. Elle me pénètre, me regarde, m’écoute. Sa langue revient sur mon clito. Elle me baise de la bouche et des doigts. Je me perds. Je fonds. Je crie son nom quand je jouis contre sa langue.
Mais elle ne s’arrête pas. Elle remonte sur moi, nos corps collés, elle frotte sa chatte contre la mienne. Lentement d’abord, puis plus vite. Nos hanches s’alignent, nos souffles se mêlent. On se monte l’une sur l’autre, en rythme, jusqu’à se cogner, se heurter, glisser, râler, haleter. C’est moite, chaud, viscéral. Nos clitos frottent, se cherchent, se retrouvent. On jouit presque en même temps. En tremblant. En gémissant. En s’agrippant.
Puis on s’écroule. Enlacées. Collées. Le visage dans le cou de l’autre. Le cœur battant.
Et dans le silence du lit, encore moite, Bella me souffle, entre deux soupirs :
— Je crois que j’ai jamais joui comme ça, Jenny. T’es à moi ce soir.
Je souris, les yeux mi-clos.
— Et toi, à moi.
On s’endort ainsi, les cuisses emmêlées, les peaux encore tièdes, la chatte vibrante, le cœur un peu changé.
ÉPILOGUE – Merci pour cette initiation
Si on m’avait dit, il y a quelques mois, que ma vie d’étudiante sage et un peu geek prendrait ce tournant… j’aurais probablement ri derrière mes lunettes. Et pourtant, me voilà, le corps et l’esprit marqués par chaque étape de cette initiation que Bella a orchestrée avec la précision d’un chef d’orchestre et la gourmandise d’une amante insatiable.
Bella… la première à voir en moi autre chose qu’une intello timide. Celle qui a ouvert la porte, parfois en douceur, parfois d’un coup sec, mais toujours avec ce sourire de prédatrice tendre.
Darius… avec sa patience, sa chaleur et cette façon d’occuper tout l’espace en moi.
Samuel… discret mais déterminé, qui a laissé une empreinte inattendue.
Tim… provocateur, arrogant, mais qui a su me faire perdre le contrôle comme personne.
Alexandre et Léa… témoins silencieux ou acteurs indirects de certaines soirées, et qui font, à leur manière, partie de cette aventure.
Bruno, surprenant et intense, qui a su se faire une place dans cette initiation et me rappeler qu’on ne devine jamais vraiment de quoi un homme est capable avant de l’avoir goûté.
Et puis Khalil, Rafael, Monsieur Areski, et tous les autres… chacun ayant ajouté une note unique à cette partition charnelle.
Je leur dois à tous un morceau de cette transformation.
Je ne suis plus simplement Jenny, la fille sage qui révise le soir en buvant du thé. Je suis aussi celle qui sait ce que son corps veut, qui ose le dire, le montrer, le prendre.
Et ceci n’est qu’un début.
Parce que Bella et moi, nous avons encore mille idées, mille pièges à tendre, mille nuits à inventer. Et si vous pensez avoir tout vu…
Attendez de découvrir nos prochaines aventures...
Bisous
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
"mais en train de réécrire, juste entre nous, une autre fin" C'est là votre art, de superposer les récits et les jouissances. De les faire tourbillonner les uns dans les autres (propre-figuré) dans un élan de toujours plus mais mesuré. "L'amour réalisé du désir demeuré désir". L'accomplissement est toujours à venir. L'amour ne se pavane pas, il se creuse, s'impatiente, mais se tend encore et encore. Xavier.
(j'ai eu la curiosité de lire votre instagram, j'ai une demande d'acceptation en cours:)
De plus, je trouve amusante cette synchronicité, que la date de publication de votre chapitre XIII, soit celle de ma découverte de votre écriture et de ce que doit être un écrivain de l'érotisme. Comme vous l'avez écrit vous-même, "ce qui est juste". Merci à vous.
(j'ai eu la curiosité de lire votre instagram, j'ai une demande d'acceptation en cours:)
De plus, je trouve amusante cette synchronicité, que la date de publication de votre chapitre XIII, soit celle de ma découverte de votre écriture et de ce que doit être un écrivain de l'érotisme. Comme vous l'avez écrit vous-même, "ce qui est juste". Merci à vous.

