L’ASCENSEUR

- Par l'auteur HDS Miss_Sexcret -
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Récit libertin : L’ASCENSEUR Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L’ASCENSEUR
Ce fantasme m' est venu suite a avoir regarder une vidéo japonaise dans laquelle 2 filles se faisait attraper par plusieurs mecs dans un ascenseur en panne.

L’ASCENSEUR

Le choc fut sec.

Un bruit sourd, métallique, suivi d’un grincement étouffé. Puis plus rien.

Le néon principal s’était éteint d’un coup, ne laissant qu’une petite veilleuse au-dessus du panneau de commande. Une lumière jaune, faible, presque sale, comme dans un vieux film d’horreur. Mais personne ne cria.

Nous étions cinq dans l’ascenseur. Moi, appuyée contre la paroi du fond, en jupe courte et chemisier noué au-dessus du nombril, comme toujours — légère, sensuelle sans le chercher, provocante sans le vouloir.

Juste en face de moi, une femme d’une cinquantaine d’années, assez ronde, peau pâle, pommettes rouges. Elle portait une robe moulante en jersey noir qui collait déjà un peu à sa poitrine généreuse. On sentait chez elle quelque chose d’archaïque et maternel, une chaleur, une sensualité contenue, presque involontaire.

À sa gauche, deux hommes d’une soixantaine d’années.

L’un était élégant, lunettes fines, costume d’été beige, le genre d’homme mûr dont le regard effleure les courbes sans jamais s’y attarder trop longtemps — sauf qu’ici, il n’avait rien d’autre à regarder.

L’autre était plus massif, chemise entrouverte sur un torse poilu, anneau à l’oreille, peau burinée. Un agent d’entretien peut-être. Il transpirait déjà, des gouttes perlaient à sa tempe.

Et puis il y avait le dernier.

Le plus jeune. Dix-huit ans à peine.

Un stagiaire en livrée bleue. Grand, mince, le visage encore plein d’acné et les yeux agrandis par la panique. Il tripotait la radio d’urgence, appelait dans un micro qui ne répondait pas. Ses mains tremblaient.

— Les pompiers sont en route, avait lâché l’homme au costume après avoir appelé lui aussi. Un incendie au sous-sol. Mais aucune fumée ici. Le sas est étanche. Ils prendront l’accès technique.

Tout le monde avait hoché la tête. L’air n’était pas encore irrespirable, mais la chaleur, elle, était déjà là.

Épaisse. Collante.

Une chape de plomb invisible qui faisait couler la sueur dans le dos, le long de la nuque, entre les seins.

Je crois que c’est moi qui ai enlevé ma veste la première.

Puis l’homme torse poilu a défait les deux boutons de sa chemise.

Et peu à peu, sans qu’on se dise un mot, les couches sont tombées.

La femme ronde a sorti un petit éventail de son sac.

Elle s’en servait avec lenteur, ses seins énormes roulant doucement sous la robe trempée, les aréoles presque visibles à travers le tissu détrempé.

Je n’arrêtais pas de croiser son regard.

Il y avait une forme de complicité étrange entre elle et moi. Comme si nous partagions un secret.

Le genre de secret moite et sensuel que seule la chaleur peut faire surgir des corps.

Le jeune homme avait les joues rouges.

Ses yeux passaient de l’une à l’autre, de nos poitrines humides à nos cuisses, puis se détournaient, honteux.

Il était mal. Vraiment mal.

Il s’assit dans un coin, la tête entre les genoux, puis releva brusquement les yeux, tremblant.

— Je veux pas crever ici… sanglota-t-il soudain. J’veux pas mourir, je suis encore vierge. Je veux au moins une fois sentir une bouche me sucer…

Un silence. Dense.

Tout le monde le fixa.

Et puis, doucement, la femme mûre tourna la tête vers moi.

Un sourire glissa sur ses lèvres rouges, presque maternel. Elle posa son éventail, se pencha vers le garçon, et sans un mot, commença à déboutonner sa chemise.

Puis elle descendit à genoux.

Elle s’agenouilla devant lui avec une lenteur presque théâtrale.

— Maman va s'occuper de toi mon petit chérie, lui dit-elle.

La lumière de la veilleuse dessinait des ombres longues sur son décolleté.

Ses doigts tremblaient un peu, mais pas d’hésitation dans ses gestes.

Elle savait ce qu’elle faisait.

Le jeune stagiaire avait le souffle court, son regard planté dans le sien comme un gamin terrifié qu’on viendrait enfin rassurer — ou sacrifier. Il avait déjà débouclé sa ceinture.

Ses mains s’agrippaient aux parois métalliques, puis à sa propre chemise, et finalement à ses cheveux, quand elle sortit sa queue d’un seul geste.

— Doucement, souffla-t-elle, presque pour elle-même.

Et elle le prit en bouche.

D’abord avec douceur, en l’avalant à moitié, en le suçotant, en le goûtant comme on goûte une friandise volée.

Elle le suçait lentement, avec des mouvements amples, profonds, laissant sa langue tourner autour du gland, l’humidifier, le caresser.

Ses mains, elles, pressaient ses seins énormes, les remontaient, les massaient, les plaçaient de part et d’autre de la verge luisante.

— Oh putain…

Le garçon hoquetait, gémissait, incapable de rester en place.

La vieille faisait rouler sa poitrine en va-et-vient autour de sa queue pendant que sa bouche venait lui lécher le sommet, puis l’engloutir de nouveau.

C’était sale. Brillant. Mouillé.

Ses seins clapotaient contre son ventre.

Sa salive dégoulinait.

Sa bouche s’ouvrait grand, vorace, pendue à cette queue jeune et tendue à l’extrême.

Moi, je n’avais pas bougé, mais j’avais écarté les jambes sans m’en rendre compte.

Je respirais plus vite.

L’homme au costume s’était appuyé contre la paroi, sa main dans son pantalon. L’autre, le baraqué, avait ouvert son jean et sortait une queue massive, déjà bien dure.

La vieille accélérait.

Sa bouche faisait un bruit obscène, rythmée par les coups de reins désespérés du gamin.

Il gémissait comme un possédé, les fesses décollées du sol.

Il jouit d’un coup, brutalement.

Un geyser de foutre explosa dans sa bouche.

Elle ne broncha pas. Elle l’aspira.

Elle avala la moitié, en garda plein la langue, puis en fit couler le reste sur ses seins, qu’elle pressa avec un soupir presque extatique.

— Voilà, mon chéri… Tu ne mourras pas sans l’avoir goûtée…

Elle se retourna vers nous, les lèvres brillantes, les seins dégoulinants de sperme chaud.

Et là, quelque chose bascula.

Le baraqué s’approcha d’elle sans un mot, la fit se pencher, et glissa sa queue entre ses seins encore luisants.

L’homme en costume s’était déjà approché de moi, sa main sur ma cuisse.

Je n’ai pas dit non.

L’ascenseur entier était devenu une fournaise.

Les corps ruisselaient.

Les sexes jaillissaient.

Les mains exploraient, les bouches s’ouvraient, les chairs se mêlaient.

Et ce n’était que le début.

Le baraqué avait coincé sa queue entre les seins dégoulinants de la quinqua.

Il haletait, le visage trempé, la mâchoire serrée.

Ses mains calleuses pétrissaient sa poitrine comme de la pâte à modeler, remontant, tassant, la baisant à la verticale comme un sauvage en rut.

— Vas-y, grogna-t-il. Suce-la encore pendant que j’te bourre les seins, salope.

Elle s’exécuta. Elle lécha le gland qui dépassait à chaque va-et-vient, le happait entre ses lèvres, puis laissait les deux masses molles claquer à nouveau contre son torse.

Du sperme séché brillait déjà sur ses joues.

Je n’ai pas résisté.

Mon chemisier était trempé. Je l’ai ouvert.

Sous la lumière malade de la veilleuse, ma peau brillait comme huilée, mes seins ruisselaient, mes tétons durs comme la pierre.

L’homme en costume, le regard voilé de désir, s’agenouilla devant moi sans dire un mot.

Il écarta ma culotte déjà humide et enfouit son visage dans mon sexe.

— Mmmmh…

Sa langue était lente, précise.

Il me léchait comme un connaisseur, savourant chaque frémissement, chaque tremblement de mes cuisses.

Je me suis agrippée à ses cheveux, j’ai roulé mon bassin sur sa bouche, mes reins en feu, ma gorge sèche.

Ses doigts me pénétraient doucement, puis plus fort.

Je gémissais, yeux clos, sentant les vagues monter…

Pendant ce temps, le jeune stagiaire, assis et adossé à la paroi, regardait la scène bouche ouverte, sa queue déjà durcie de nouveau, dressée dans sa main tremblante.

Je me suis tournée vers lui, les jambes écartées, et je l’ai fixé en me caressant lentement, ma main luisante glissant entre mes lèvres entrouvertes.

— Tu veux encore, petit ? Tu veux goûter à moi maintenant ?

Il hocha la tête sans oser parler.

Je m’approchai à quatre pattes, le regard planté dans le sien, et je me suis empalée sur lui d’un seul coup.

— Aaaah…

Il cria presque, les yeux révulsés.

Je le chevauchais, violemment, mon cul claquant contre ses cuisses, mes seins balançant dans l’air suffocant.

Je sentais sa queue vibrer en moi, jeune, dure, frénétique.

Je me suis offerte entièrement, sans retenue.

Derrière moi, l’homme en costume me pénétra de ses doigts.

Il s’agenouilla, écarta mes fesses et glissa deux doigts dans mon anus, avant d’y enfoncer sa queue bien droite.

Je me retrouvai prise des deux côtés, empalée, compressée, délirante.

— Putain, elle est incroyable…

— Foutez-la moi bien !

Le baraqué, de son côté, éjacula à grands jets blancs sur les seins et le visage de la femme mûre, qui en redemanda, haletante, s’en barbouillant la bouche et le cou.

Elle s’agenouilla à nouveau pour prendre la queue du dernier homme en bouche — celle du costume — qui avait abandonné mon cul.

Des râles, des gémissements, des claquements humides résonnaient dans l’ascenseur comme une cérémonie tribale.

La chaleur était insupportable.

Le sol glissant de foutre.

Les murs tremblaient sous les coups de reins.

Et l’on jouit.

Encore.

Et encore.

Sur moi.

En moi.

Sur ses seins.

Dans sa bouche.

Dans ma chatte, sur mon cul, mon ventre.

Une orgie animale. Une transe sexuelle. Un abandon total.

Et puis… un bruit sourd.

Un crissement métallique.

La lumière vive des pompiers.

Un visage choqué.

Des cris.

Mais nous, nus, ruisselants, marqués de sperme, ne bronchions plus.

Épuisés. Repus. Offerts. Unis dans une moiteur indécente.

Les pompiers ne disaient rien.

Ils clignaient des yeux.

Un d’eux avala sa salive bruyamment.

Un autre détourna les yeux, les joues rouges sous le masque.

Mais aucune de nous deux n’a cherché à se cacher.

Aucune honte.

Juste cette moiteur, cette lenteur, cette lascivité post-orgasmique qui collait à la peau.

Je me suis léchée les doigts lentement, plantant mon regard dans celui d’un jeune pompier, pas plus vieux que le stagiaire.

Il m'a dévisagée, figé, incapable de détourner les yeux.

J'ai sourit souri.

Presque tendrement.

— Vous avez mis le temps…

Les avis des lecteurs

Les odeurs sont très présentes
Le stupre coule de partout, inonde la cabine
Il fait très chaud
On en sort lessivé
Merci pour ce moment

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