L'assistant sexuel

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : L'assistant sexuel Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'assistant sexuel

‌‌‌‌‌‌‌‌L'éjaculation précoce est un mal qui touche beaucoup plus d'hommes qu'on ne le croit, en particulier lorsqu'ils avancent en âge et que leur endurance faiblit naturellement. Les premières lésées sont évidemment leurs épouses ou compagnes, contraintes à un plaisir trop bref... quand il a le temps d'arriver. Bien sûr, il reste d'autres moyens de donner du plaisir à une femme : par la bouche, par le doigt, par les caresses. C'est mieux que rien mais cela reste un palliatif à une pénétration longue et vigoureuse pour toutes celles dont le plaisir passe par l'activité du pénis dans leur vagin.

Simon et Marie-Luce en étaient précisément à ce stade de leurs relations sexuelles. Mariés depuis vingt-cinq ans, ils avaient longtemps joui d'une sexualité épanouie, l'un et l'autre étant friands d'accouplements sous toutes ses formes, dans les registres les plus variés et des lieux les plus divers. Mais Simon avait pris un peu de poids sous l'effet d'une activité professionnelle intense autant que sédentaire alors que Marie-Luce, à la maturité blonde et élégante, avait conservé un physique attrayant quoique un peu BCBG, très cadre sup, ce qu'elle était d'ailleurs.

Bien que souvent sollicitée par des mâles amateurs de femmes mûres bien conservées, Marie-Luce avait toujours refusé de devenir une "cougar" et de tromper son mari. Ce n'était pourtant pas l'envie qui lui avait manqué parfois, tant ça chauffait dans son slip lorsqu'un jeune cadre dynamique lui faisait du gringue. Mais elle voyait toujours les complications que cette double vie risquait de provoquer. A dire vrai, elle n'aimait pas mentir.
Néanmoins, cette situation alertait de plus en plus Simon, pas dupe de l'intérêt suscité par son épouse. Il craignait qu'un jour ou l'autre, elle n'aille trouver son bonheur ailleurs. Passe encore pour une relation brève, mais si elle le quittait définitivement ?

Car il était bien conscient qu'il ne la satisfaisait plus au lit. Après avoir été bien échauffé, par la bouche ou la main, par une Marie-Luce à l'appétit vorace, parfois assisté d'un godemichet qu'il manipulait non sans dextérité, sa pénétration assez molle était suivie après trois ou quatre aller-retour par une expulsion d'un sperme un peu liquide qui le laissait confus, voire humilié, même si Marie-Luce s'efforçait de le rassurer et de le consoler. Ce qui était encore pire qu'une engueulade...

Aussi décida-t-il un jour de prendre le taureau par les cornes. Marie-Luce ne se satisferait pas éternellement d'un jouet en plastique. Il lui fallait une bite, une vraie bite, qui ne serait pas la sienne, hélas. Il finit par s'en ouvrir à son épouse, qui manifesta d'abord de l'incompréhension et même du rejet d'une pareille option. Faire l'amour avec un inconnu ? Impensable.
Aussi précisa-t-il son intention. Non, elle ne ferait pas l'amour : elle baiserait. Avec un type choisi par eux deux, et en présence de lui, Simon. Il voulait qu'elle retrouve le plaisir de l'orgasme, de l'introduction dans son intimité d'une bonne grosse bite bien raide et endurante. Pourquoi refuserait-elle une telle satisfaction s'il en était d'accord ? Qu'elle réfléchisse au moins un peu.
******
Simon passa une bonne partie des jours suivants à surfer sur internet afin de trouver l'oiseau rare. Il en sélectionna deux qui, à l'évidence, cherchaient ce genre de rapports non tarifés, exigence de Marie-Luce : un gars de tente ans, blanc de peau et brun de poil, mettant en exergue sa virilité, assez tatoué, et un plus jeune, couleur café, mince à coiffure rasta. Marie-Luce trouva celui-ci "mignon" mais sans engagement formel. Elle demandait une rencontre préalable autour d'un verre dans un bistrot. Le rendez-vous fut accepté et il eut lieu en fin d'après-midi, après le travail, sur une terrasse.
Le garçon prénommé Edson, Martiniquais d'origine, étudiant en histoire de l'art, était jovial, peu timide, riait beaucoup et ne cachait pas son attirance pour Marie-Luce, vêtue ce jour là d'un corsage ouvrant sur un soutien-gorge pigeonnant et d'une mini-jupe dévoilant généreusement ses cuisses fuselées. Elle avait pour une fois libéré son chignon et laissé ses cheveux teints en blond tomber sur ses épaules. Une certaine volupté émanait d'elle, à la satisfaction de son mari, pas peu fier d'être à ses côtés. Interrogé sur sa "motivation", Edson ne cacha pas qu'il saisissait toutes les bonnes occasions de "faire l'amour", en particulier avec les jolies femmes. Marie-Luce fut flattée. Son mari trouvait intéressant que cette première expérience se fasse avec un jeune homme, peu suspect de devenir un vrai rival conjugal, tout en étant en mesure de donner du plaisir physique à son épouse par sa vitalité et son corps parfait.
Le trio promit de se retrouver mais aucune date ne fut fixée.

*********

Au retour, Marie-Luce éprouva le besoin de "réfléchir". Certes, le garçon était attirant mais n'était-il pas un peu jeune ? Son âge, cinquante ans tout juste, susciterait-il vraiment son désir ? Et serait-elle à la hauteur ? Ces questions turbulaient dans sa tête et son amie et collègue Delphine s'en aperçut.
- Qu'est-ce qui te tracasse, Milu ? lui demanda-t-elle.
- Oh rien, une affaire entre Simon et moi.
- Vous vous êtes engueulés ?
- Non, non pas du tout mais...
- Allez, accouche !
Et Marie-Luce finit par lui avouer, car c'était une bonne amie, le projet qu'elle et son mari avaient envisagé.
- Oh les cochons ! s'exclama-t-elle.
- Eh, oh, tu peux parler, toi !
De fait, Delphine, divorcée depuis plusieurs années, menait depuis une vie sexuelle particulièrement agitée. Rousse à peau laiteuse, bénéficiant d'un corps pulpeux à souhaits, ses frasques avaient toujours épaté Marie-Luce, et même provoqué parfois une certaine envie.
- Si vous êtes d'accord avec Simon, pourquoi tu n'irais pas avec ce garçon ? D'après ce que tu dis, il a l'air sexy.
- C'est que... je ne sais pas trop où je vais.
- Ecoute, tu me le présentes et si ce que tu dis est vrai, je peux l'essayer. Je te dirai si ça vaut le coup ou pas.
- Tu ferais ça ?
- Bien sûr ! Si ce garçon ne perd pas une occasion de baiser, moi non plus !
Les deux amies se mirent d'accord, sans prévenir Simon, hors du coup. Marie-Luce prit contact avec Edson et lui dit qu'une amie aimerait le rencontrer. Bien entendu, l'autre ne fit aucune difficulté. Et rendez-vous fut pris.

*******

Quelques jours plus tard, Marie-Luce retrouva Delphine, dont l'air réjoui en disait long.
- Alors ? Comment ça s'est passé ?
- Super ! Ton Edson est une bête de sexe. Il est venu chez moi et en deux heures, on a fait le tour de la question. C'est fou ce qu'il recharge vite. On a beau dire mais la jeunesse, ça a du bon. En plus, il aime les rousses. Il a une très belle queue, longue et fine, très rigide. Des abdos, je te dis pas, une vraie tablette de chocolat. Et un petit cul, mmmmhhh. On a fait des choses pas très propres. Tu veux des détails ?
- Non, arrête ! Donc, je peux y aller ?
- Et comment ! Si c'est baiser que tu veux, tu vas baiser, crois-moi.
- Tu vas le revoir ?
- Peut-être. Mais après toi. Un étalon pareil, gratuit en plus, ça ne court pas les plumards. Surtout à notre âge.
Dès le lendemain, un rendez-vous fut convenu entre le couple et Edson.
*******

Il se présenta au domicile non avec un bouquet de fleurs mais avec un dessin à l'encre de Chine exécuté par ses soins. L'étudiant en histoire de l'art n'était pas dépourvu de talent et Marie-Luce le lui dit. Edson la remercia, l'embrassa sur la joue et la regarda avec intensité. Elle était vêtue d'une mini robe blanche à demi transparente que la décence aurait recommandé d'être complétée par un slip et un soutien-gorge de même couleur. Or, elle n'en portait pas et le jeune homme ne pouvait pas manquer le triangle brun du pubis et les pointes de seins roses sous la toile légère. Quand elle se retourna pour poser le dessin sur le buffet du salon, il découvrit la raie longue de ses fesses dont les hémisphères vibraient au rythme de la marche. Simon s'amusa de son regard fasciné et en conclut qu'il était déjà bien amorcé.

Marie-Luce avait préparé un apéritif dinatoire que le trio prit au salon. Edson remarqua un grand pouf recouvert d'un drap, complément du canapé. Ce serait donc là qu'aurait lieu leurs ébats. Marie-Luce tenait en effet à sanctuariser la chambre conjugale. Edson avait du mal à détacher son regard des genoux de son hôtesse assise devant lui pendant qu'il sirotait son whisky. Il guettait l'ouverture des deux cuisses généreusement découvertes par la mini-robe. Marie-Luce, avec un rien de perversité, retardait le moment où le jeune homme pourrait découvrir son minou. Simon observait son manège et bandait déjà sous son bermuda. C'est en posant négligemment son verre que le compas de Marie-Luce s'ouvrit, découvrant une vulve pulpeuse et poilue. Marie-Luce souriait d'un air mutin, provocatrice en diable.
- Qu'est-ce que tu attends ? Va la retrouver, lâcha Simon d'une voix rauque à l'invité.

Edson n'attendait que ce signal. Il vint s'asseoir à côté de Marie-Luce et l'embrassa goulûment et glissant sa main entre les cuisses de la quinquagénaire, qui s'écartèrent. L'exploration digitale rencontra une humidité croissante, jusqu'au moment où Marie-Luce s'empara du bas de sa robe et la fit passer par-dessus sa tête et se montra nue. Elle aida le jeune homme à se dévêtir à son tour, lâcha une exclamation de surprise à la vue de la tige étonnamment longue et rigide qui surgit du boxer sous un ventre superbement musclé, emboucha aussitôt le gland pour se régaler de sa consistance tandis que Simon baissait son bermuda pour entamer sa masturbation. C'est lui qui parla le premier en s'adressant à Edson tout en lui tendant un préservatif :
- Baise-la maintenant, elle est mûre.

De fait, Marie-Luce n'avait pas l'intention de prolonger les préliminaires, aussi agréables fussent-ils. Elle avait hâte d'être pénétrée par cette bite de rêve tant vantée par Delphine, et si différente de celle de son cher mari. Sa longueur et sa rigidité l'affolaient. Son vagin serait-il assez accueillant ?
- Vas-y doucement au début, murmura-t-elle à l'intention de son jeune amant, je suis un peu rouillée.

Elle s'allongea sur le grand pouf couvert du drap, juste à la dimension de son corps, se mit sur ses coudes, admira une nouvelle fois la plastique parfaite de ce jeune mâle à la peau ambrée, dépourvue de poils, mesurant sa chance d'être honorée par un si bel étalon. Elle observa, très ouverte, son entrée en matière, fixant la bite dans son introduction. Assis sur le côté, Simon ne perdait rien du spectacle. Il vit Marie-Luce se mordre les lèvres au contact des deux sexes, rejeter la tête en arrière au premier va et vient puis la relever, les yeux écarquillés, l'entendit lâcher un cri lorsque le Martiniquais fut complètement engagé, la découvrit se saisir les pieds pour s'écarteler pour un meilleur confort de pénétration. Quand le floc floc marqua les coups de boutoir du jeune homme et le vrai début de la baise de sa femme, Simon la dévora des yeux, fasciné par sa totale adhésion à un rapport sexuel inédit dans leur couple. Affalée sur le pouf, les chevilles croisées sur le dos de son jeune amant, elle accompagnait ses coups de bite par des roulements de hanches accentués et des jappements de plaisir que Simon n'avait encore jamais entendus dans sa bouche.

Il courut dans la salle de bain chercher un miroir assez grand, genre format A4, et attrapa son téléphone portable. Il voulait à la fois que Marie-Luce profite d'angles de vision différents et fixer les ébats en vue d'une vidéo future. Il orienta le miroir de telle façon que son épouse puisse visualiser les mouvements rotatifs du petit cul d'Edson et le ballottement de ses couilles afin de stimuler son plaisir visuel. Il se mit ensuite sur le côté pour le renvoi d'image de la bite dans ses entrées et sorties, que Marie-Luce constata en tournant la tête dans un miaulement de plaisir. Son extase se traduisit par une agitation de ses pieds nus que Simon s'empressa de filmer avec son téléphone en se focalisant dessus. Il enregistra leur agitation plantes vers le plafond, fixa les orteils rétractés, zooma sur les chevilles croisées sur le dos du jeune homme tout en enregistrant les gargouillis et les exclamations de son épouse en pleine régalade. Jamais il ne l'avait vue dans un état pareil.

Quand Edson la retourna pour la prendre par derrière, Simon, bien qu'en face d'elle, eut la conviction qu'elle ne le voyait même plus. Tout son corps était concentré sur sa fouille intime. Il filma son rictus, sa langue entre les lèvres, ses yeux clos, l'agitation de son cul et de ses seins et enregistra un étonnant "oh putain que c'est bon !" qui ne lui ressemblait pas. Marie-Luce baisait comme elle n'avait jamais baisé et découvrait son corps à cinquante balais.
- Retiens-toi encore, dit Simon au jeune homme, elle en a besoin.
Edson se retira et Marie-Luce ouvrit les yeux, comme au sortir d'un rêve. Elle sourit alors à son mari et lui dit :
- Oh merci chéri, c'est génial.
Puis vérifia l'état de la queue du Martiniquais, qu'elle branla amoureusement, comme témoignage de sa reconnaissance de femelle. Elle la tapota, la suçota, la renifla, la flatta, ravie de sa rigidité intacte. Sa passion pour l'organe mâle était éclatante, en tout cas celui d'Edson, et Simon comprit qu'elle allait encore s'en gaver.

- Couche-toi, elle va venir sur toi maintenant, ordonna Simon à l'étalon.
Le pénis pointait vers le plafond et Marie-Luce vint s'y empaler en gémissant. Son plaisir vaginal , intense, se complétait d'un plaisir visuel en considérant les pectoraux et les abdominaux de son jeune amant, qu'elle caressait tout en poursuivant les mouvements giratoires de son cul.
- Mets-lui la main aux couilles !
L'injonction de Simon fut aussitôt suivie d'effets et Marie-Luce glissa sa main dans son dos à la recherche de la source de son bonheur. Cette fois, c'est Edson qui gémit. Cette femme était décidément une dévoreuse. Sa réputation était en jeu et il lui fallait à tout prix retenir son sperme. Voir ses nichons s'agiter, son nombril virevolter, son visage passer de l'illumination à la concentration, sa bouche lâcher des onomatopées de plaisir et pire encore un "quelle est bonne ta bite" particulièrement inattendu, tout incitait à ce qu'il éjacule. Heureusement, la position couchée retardait l'échéance. Simon le savait et laissa son épouse profiter pleinement de la situation. Il tendit même sa queue à sa bouche pour qu'elle constate son excitation, si bien que Marie-Luce pratiqua une fellation à son mari tout en ondulant, pratique totalement inédite dans leur couple, ce dont elle ne se rendit même pas compte sur le moment.

C'est elle-même qui décida de se relever. Une inspiration lui était venue : être prise par derrière devant le miroir de la salle de bains. Elle prit son jeune amant par la main et le conduisit vers la pièce d'eau, où un vaste miroir surmontait les deux lavabos. Edson comprit son intention et la pénétra les jambes légèrement fléchies en la fixant via la glace. La dame se révélait décidément une vraie salope. Elle voulait du cul ? Elle allait en avoir. Après l'avoir bien ramonée et observé l'intensité de son plaisir avec le mari en arrière-plan, il se mit accroupi, écarta ses fesses replètes et lui mit la langue dans l'anus. Il l'entendit gémir et passa aussitôt à l'action. Il se releva, la fixa à nouveau via le miroir et entreprit de s'introduire dans son anneau intime. La bouche de Marie-Luce s'ouvrit tellement grand qu'il put même apercevoir sa glotte. Mais la résistance faiblit. Il s'engagea peu à peu et il enregistra avec satisfaction un mouvement de hanches qui ne laissa pas place au doute : Marie-Luce adhérait. Et c'est un visage tantôt douloureux et tantôt extasié que lui renvoya le miroir de la salle de bains, où le choc des peaux se mêlait aux exclamations féminines. Jusqu'à devenir plus crue :
- Oh putain ! Oh la vache !
Ce cri du coeur... et du ventre eut cette fois raison de la résistance du jeune homme. Il lâcha tout dans sa capote, la retira, prit Marie-Luce par les épaules, la força à s'accroupir et finit de gicler sur elle. Avait-elle joui ?
- Ah oui, plutôt deux fois qu'une, finit-elle par lui avouer.
*******
Cet épisode marqua un tournant dans la vie de ce couple de quinquagénaires. Simon décida de changer de travail pour une activité moins stressante, fit un régime, s'inscrivit dans une salle de sports et perdit dix kilos. Son ardeur sexuelle en fut la principale bénéficiaire, ce dont Marie-Luce profita pleinement. Néanmoins, ils recevaient Edson une fois par mois pour s'éclater car Marie-Luce était une véritable droguée de sa queue. Jusqu'au jour où le jeune homme leur annonça qu'il avait trouvé l'âme soeur et qu'il devrait interrompre ses visites, malgré le plaisir qu'il y prenait. Une fois la déception évacuée, le couple se mit en recherche d'un remplaçant car ils avaient pris goût à ce qui était devenu un véritable trio amoureux. Le couple avait même osé la double pénétration anale-vaginale, avec succès, pratique qui nécessitait évidemment d'être à trois. Mais au-delà, c'était l'excitation qu'il prenait à cette pratique relevant moins du candaulisme que de la fantaisie sexuelle, car Marie-Luce ne voulait pas d'un deuxième mari. Un nommé Barnabé, à la peau aussi sombre que son prédécesseur, fut l'heureux élu, ce qui permit à Marie-Luce de passer d'une bite longue et fine à un braquemard qui la rendit plus chienne que jamais. A cette différence près que l'engin n'avait pas accès à son cul, mais ce n'est qu'un détail. De toute façon, l'endroit était devenu la privauté du mari. Une conquête sexuelle, en quelque sorte...

Les avis des lecteurs

En vous lisant, on a vraiment le sentiment d'assister à la scène. En tout cas tout le monde y trouve son compte et c'est bien là l'essentiel.

Histoire Libertine
et oui, comme disait ma cousine Lætitia: "c'est plus facile de rester la bouche ouverte que le bras tendu.

Belle histoire classique bien racontée.
J'aurais aimé une petite surprise à la fin, une pirouette...enfin l'heureux élu ne doit pas regretter

Histoire Libertine
Magnifique histoire très excitante, Micky toujours experte...un trio avec double vaginale et une double anale/vaginale, j'ai connu çà, merveilleux souvenirs.
Bises

Que c'est beau cette complicité au sein de ce couple. Le candaulisme a sauvé leur union
C'est si bien raconté!
Un seul regret, j'aurais tant aimé donné une note, maximale bien entendu



Texte coquin : L'assistant sexuel
Histoire sexe : Une rose rouge
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