L’AUTO-STOPPEUR
Récit érotique écrit par Miss_Sexcret [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 60 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Miss_Sexcret ont reçu un total de 186 553 visites.
Cette histoire de sexe a été affichée 4 558 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
L’AUTO-STOPPEUR
Prologue
Beaucoup d’hommes en rêvent. Deux femmes. Un corps d’homme entre elles. Le fantasme du trio MFF — ou plutôt HFF, soyons français — revient souvent dans les messages que je reçois. L’idée de devenir l’objet de deux désirs, de deux bouches, de deux sexes. L’envie de se perdre entre deux féminités différentes, complémentaires, dévorantes.
Jusqu’ici, je l’ai toujours raconté de l’extérieur. Du regard des femmes. Leur puissance, leur complicité, leur plaisir à deux… et à trois. Mais aujourd’hui, j’ai eu envie d’essayer autre chose. De me glisser dans la peau d’un homme. Un jeune homme de vingt ans. Encore un peu timide, pas tout à fait formé… mais curieux. Disponible. Ouvert au monde. Ouvert au plaisir.
C’est l’été, quelque part entre Cassis et les calanques. Deux femmes mûres, belles, libres, s’offrent un caprice. Et lui… Il va découvrir qu’on peut perdre bien plus que son t-shirt, quand on fait du stop au soleil.
Bonne lecture. Et que vos fantasmes deviennent des histoires…
— Kristina 💋
L’AUTO-STOPPEUR
Il faisait chaud. Un vent sec balayait la départementale entre Cassis et La Ciotat. Je marchais depuis vingt bonnes minutes avec mon sac en bandoulière et mon pouce levé, sans grande conviction. Personne ne s’arrêtait. Mon t-shirt collait à mon dos, et la bouteille d’eau dans mon sac était tiède depuis longtemps.
J’ai vingt ans, et c’est mon premier vrai été en solo. Je suis descendu en stop depuis Lyon pour explorer un peu la côte. Dormir sur les plages, manger des paninis, faire le plein d’images pour mon compte Insta. Et peut-être, secrètement, vivre une aventure.
La voiture s’est arrêtée dans un petit crissement de pneus. Un cabriolet noir, décapoté. Deux femmes à l’intérieur. Brunes toutes les deux.
— Tu vas où ? demanda la conductrice sans détour.
Je me suis approché, intimidé.
— Vers Cassis. Ou un coin pour me baigner.
— Monte, on t’embarque, dit elle. On va à la plage.
La conductrice portait des lunettes de soleil rondes et un chapeau de paille qui laissait filtrer quelques mèches sombres. Elle avait une beauté affirmée, un sourire en coin, une robe légère ouverte sur les cuisses et des bras hâlés.
Je grimpai à l’arrière. Elles sentaient bon. Une odeur de crème solaire, de sel et de vanille. Le cuir des sièges chauffait sous le soleil. Mon short était trempé de sueur.
— Moi c’est Clara, dit la conductrice, en me jetant un regard par le rétro.
Clara. Un prénom qu’elle prononça d’une voix claire, presque moqueuse. Elle avait quelque chose de félin dans le regard, une assurance naturelle. Le genre de femme qui vous trouble rien qu’en tournant la tête.
— Et elle, c’est Laure, ajouta l’autre, un sourire aux lèvres.
À côté d’elle, Laure mâchait un chewing-gum, le regard appuyé, presque langoureux. Sa robe fleurie moulait une poitrine généreuse, sans soutien-gorge, et dévoilait des épaules dorées. Elle avait une peau mate, des boucles brunes qui tombaient sur sa nuque, un grain de beauté juste au-dessus des lèvres. Plus pulpeuse que Clara. Plus douce aussi peut-être — mais avec cette même étincelle taquine dans les yeux. Le genre à rire à demi, mais à tout voir.
— Maxence. Merci de vous être arrêtées…
Elles se regardèrent en souriant, comme si elles s’étaient déjà dit quelque chose sans le dire.
— C’est normal, souffla Laure. On ne laisse pas un garçon mignon fondre au soleil.
Je sentis mes joues rougir. Le vent soulevait leurs cheveux, leurs robes légères laissaient deviner leurs jambes nues. Je détournais le regard, gêné, mais fasciné.
— Il est timide, chuchota Clara à l’attention de Laure, comme si je n’étais pas là. — Adorable, répondit Laure, en croquant dans son chewing-gum avec un clin d’œil à peine voilé.
— Tu fais souvent du stop ? demanda Clara, les yeux sur la route.
— C’est mon premier vrai trip, dis-je. J’avais besoin de bouger…
— Une envie de liberté ?
— Un peu… Et puis je voulais voir la mer. J’ai grandi à Lyon, alors…
— Tu la verras, la mer. Et bien accompagnée, en plus, souffla Laure en se tournant vers moi.
Ses seins étaient joliment moulés sous sa robe fluide, ses jambes croisées avec une nonchalance étudiée. J’avalai ma salive. Je les entendais rire doucement. Elles jouaient. Avec moi. Entre elles.
Clara reprit, sans me quitter du rétro des yeux :
— On connaît un coin isolé. Une calanque où peu de gens vont. Ça te dit ?
J’ai hoché la tête. C’était déjà plus qu’un rêve éveillé.
La voiture s’engagea sur une petite route sinueuse, à flanc de colline. Puis un chemin de terre. Elles connaissaient visiblement bien l’endroit.
Clara conduisait avec assurance, ses doigts fins jouant distraitement avec le volant. Ses lunettes de soleil reflétaient les éclats du soleil à travers les branches de pin. Laure, à ses côtés, laissait courir ses doigts le long de la portière ouverte, ses jambes croisées sous sa robe légère, dévoilant parfois la naissance de sa cuisse dorée. Elles se jetaient des regards complices, comme si tout cela — moi, le chemin, la lumière, le jeu — était orchestré d’avance.
On marcha dix minutes encore à pied, à travers les pins, les cigales stridentes, la poussière sèche. Clara ouvrait la marche, la silhouette féline, les hanches balançant sous sa robe noire. Laure suivait, plus pulpeuse, la peau brillante sous le soleil, un rire clair s’échappant de ses lèvres à chaque pierre manquée. Et puis, soudain, la vue : une crique turquoise, encaissée entre deux parois rocheuses. Personne.
— Parfait, dit Clara en posant son sac. Tu peux te mettre à l’aise, Maxence. Personne ne viendra ici.
Je posai mes affaires sur les rochers plats, le cœur battant, les doigts maladroits. La pierre était tiède sous mes paumes. Clara se déshabilla la première. Sa robe tomba à ses pieds dans un froissement de tissu, comme une mue. Elle ne portait qu’un maillot une pièce noir, échancré jusqu’aux hanches. Son dos nu se cambrait avec une lenteur étudiée. Sa peau brune luisait déjà de chaleur et d’huile solaire. Ses jambes longues et musclées semblaient faites pour marcher nue dans des forêts interdites. Elle me jeta un regard en coin, un sourire à peine esquissé aux lèvres, comme pour vérifier si je regardais.
Laure suivit. Elle ôta sa robe lentement, presque en dansant, comme si elle me testait. Son bikini rouge vif paraissait presque indécent tant il soulignait ses courbes généreuses : des seins lourds, hauts, libres sous le tissu, une taille fine et des hanches de sirène. Son ventre plat se contracta légèrement alors qu’elle s’étirait, ses cheveux bouclés retombant sur ses épaules. Elle me lança un regard en coin, les lèvres pincées dans un sourire presque moqueur, mordillant son chewing-gum.
Je détournai les yeux, le cœur battant, mais mes mains tremblaient.
— Et lui, il garde son short ? se moqua Clara, une main sur la hanche, son maillot tendu sur ses hanches larges.
— Tu es pudique ? demanda Laure en s’approchant, ses yeux traînant ostensiblement sur mon torse, puis plus bas.
— Non, non, c’est juste…
— Allez, va te baigner, dit-elle en me frôlant le bras du bout des doigts. L’eau est divine.
Je retirai mon t-shirt, puis mon short. J’étais en boxer. Elles me détaillèrent sans se cacher, leurs regards glissant sur moi comme une caresse. Laure siffla doucement.
— Mignon. Très mignon.
Je plongeai pour cacher mon trouble. L’eau était fraîche et pure. Un soulagement après la chaleur écrasante. Mais même dans l’eau, leur présence m’enveloppait. Elles me rejoignirent rapidement, riant, s’éclaboussant. Clara nageait bien, avec une élégance féline. Laure restait près de moi, flottant presque, son regard jamais très loin du mien, ses doigts frôlant ma main sous la surface.
— Tu as une copine, Maxence ?
— Non…
— Vraiment ? Avec ce corps ? murmura Clara.
— Je… J’ai eu quelqu’un. Mais c’est fini.
— Et tu aimes quoi, chez une femme ? demanda Laure, ses lèvres humides à quelques centimètres de mon oreille.
Je restai bouche bée. Elles éclatèrent d’un rire doux, complice.
— Il est adorable, dit Clara.
— On dirait qu’on va devoir l’apprivoiser, souffla Laure, taquine, en s’approchant encore. Sa main frôla la mienne sous l’eau, puis s’éloigna comme si de rien n’était.
Je me sentais frissonner, de froid, de trouble. De désir aussi. Elles me frôlaient souvent. Des gestes anodins, mais calculés, comme un jeu.
— Nous, dit Clara, on est deux vieilles copines. On a été mariées. Maintenant, on est… libres.
— Et gourmandes, ajouta Laure en me fixant dans les yeux, sa bouche humide entrouverte, sa langue effleurant ses dents.
On regagna le bord, ruisselants, leurs hanches ondulant sous les gouttes d’eau.
— Allonge-toi, dit Clara. Tu es tendu, non ?
Je m’étendis sur la serviette. Mon sexe tendait le tissu du boxer. J’espérais qu’elles ne le verraient pas, mais leurs regards étaient déjà posés dessus. Laure s’installa à côté de moi et posa sa main sur ma cuisse, en effleurant à peine.
— Tu es excité ?
Je hochai la tête, sans pouvoir parler.
— Tu peux nous dire. On ne va pas te manger…
— Enfin, pas tout de suite, souffla Clara, en se penchant au-dessus de moi, ses cheveux humides effleurant mon visage.
Leur rire se mêla au chant des cigales. Laure murmura :
— Et… comment tu nous trouves ? Honnêtement ?
Je me redressai sur un coude, rouge de gêne.
— Vous êtes magnifiques…
Le soleil avait presque disparu derrière les falaises, laissant la calanque dans une lumière dorée. L’air était plus frais, la pierre encore chaude sous mon dos. Et leurs silhouettes, deux sirènes en maillot, semblaient s’avancer vers moi comme pour m’avaler tout entier.
Clara s’agenouilla d’un côté, Laure de l’autre. Je me retrouvai allongé entre elles, le souffle court, le regard hésitant. Leurs peaux tièdes frôlaient la mienne, encore perlée d’eau. Le soleil déclinait lentement, dorant les courbes, les épaules, les seins qui frémissaient sous les tissus mouillés.
— Il a chaud, notre beau voyageur, souffla Clara en glissant un doigt le long de mon ventre.
— Il mérite qu’on le rafraîchisse, murmura Laure, ses yeux fixés sur mon torse.
Sans me quitter des yeux, Clara passa les mains dans son dos et détacha lentement son maillot. Les bretelles glissèrent sur ses bras, révélant une poitrine ferme, pleine, dorée par le soleil. Ses tétons étaient déjà tendus. Elle laissa tomber le maillot à côté d’elle, sans aucune gêne, puis se pencha vers moi pour m’embrasser doucement sur l’épaule.
Laure fit de même. Elle décrocha son haut d’un geste tranquille, laissant ses seins rebondir à l’air libre, plus lourds, plus généreux, la peau délicate mouchetée de fines gouttes. Elle passa une main dans ses cheveux, puis sur son propre ventre, traçant un chemin vers ses hanches, comme si elle oubliait que je la regardais.
— Il faut qu’il apprenne à regarder, non ? glissa Clara en effleurant le bras de Laure.
— Et à toucher aussi, répondit celle-ci avec un sourire en coin.
Elles se tournèrent alors légèrement l’une vers l’autre. Clara tendit la main et caressa le sein de Laure, doucement, avec une lenteur presque provocante. Le téton durcit sous ses doigts. Laure poussa un petit soupir, mais ne la quitta pas des yeux.
— Regarde, Maxence, chuchota Clara sans se retourner. Regarde comme c’est doux, entre nous.
Mes mains tremblaient. Je n’osais pas bouger.
Mais Laure prit doucement ma main droite et la posa sur sa hanche. Sa peau était brûlante. Puis elle la guida plus haut, sur sa taille, ses côtes, jusqu’à ce que mes doigts effleurent le bas de son sein nu. Je haletai.
— Tu peux, souffla-t-elle. Tu peux nous toucher. Si tu veux.
De l’autre côté, Clara s’était rapprochée. Ses lèvres frôlaient ma mâchoire, son souffle chaud me faisait tourner la tête.
— On est là pour toi. Et entre nous. On aime partager. S’offrir.
Leurs mains se croisèrent sur mon ventre. Laure effleura la ligne de mon boxer, Clara caressa ma cuisse en remontant.
— Il est tendu, notre garçon, souffla Laure.
— Il est dur, surtout, répondit Clara en mordillant l’intérieur de ma cuisse du bout des dents.
Je gémis. Mes mains s’agrippaient à leurs hanches. Leurs corps se penchaient sur le mien, seins contre ma poitrine, bouches près de ma peau. Elles étaient nues, offertes, brûlantes. Et moi, noyé de désir.
Clara releva lentement ma ceinture, dégagea mon sexe tendu de mon boxer trempé.
— Tu veux qu’on s’occupe de toi, bébé ?
Je hochai la tête, incapable de parler.
Laure lécha ses lèvres.
— Alors regarde. Ressens. Et laisse-toi faire.
Clara fut la première à s’emparer de moi. Sa bouche glissa lentement autour de ma verge, chaude, douce, joueuse. Elle commença par de longs coups de langue le long de la hampe, en remontant lentement jusqu’au gland, qu’elle suça avec une attention presque tendre. Sa main droite caressait ma base, et ses yeux, levés vers moi, brillaient d’un éclat malicieux.
Laure, de son côté, s’était penchée au-dessus de mon visage. Elle m’embrassa, d’abord sur la joue, puis sur la bouche, longuement. Nos langues se trouvèrent. En même temps, sa main s’était glissée entre mes jambes, caressant mes couilles avec une lenteur calculée, les roulant doucement dans sa paume, comme pour accompagner chaque va-et-vient de Clara.
Je grognais contre ses lèvres, haletant, écrasé de plaisir.
— Respire, bébé, souffla Laure en me mordillant la lèvre. Ce n’est que le début.
Puis elle se releva, d’un seul mouvement, et fit tomber le reste de son bikini. Son corps nu s’imposa dans la lumière dorée, silhouette sensuelle, hanches larges, seins lourds et fermes, ventre plat, cuisses pleines. Sa fente rasée brillait déjà, entrouverte. Elle s’approcha lentement, me dominant de sa hauteur, une main dans ses cheveux, l’autre glissant sur son ventre jusqu’à sa chatte.
Clara continuait, infatigable. Elle alternait coups de langue sur le gland et longues prises profondes, où je sentais ma verge glisser entre ses lèvres chaudes, jusqu’à sa gorge. Puis elle descendait lécher mes couilles, les aspirant doucement, les mordillant du bout des dents. Elle soufflait dessus, riait presque.
— Il est délicieux, ton sexe… Tendu, chaud… Tu veux le goûter, toi aussi ? lança-t-elle à Laure.
Mais Laure n’avait pas besoin d’invitation. Elle écarta lentement les cuisses et s’agenouilla au-dessus de moi, fente juste au-dessus de mon visage. L’odeur était enivrante : un mélange de sel, de chaleur, de désir pur. Elle m’effleura de sa main, puis s’abaissa, guidant mes lèvres vers sa vulve.
— Ouvre bien la bouche, Maxence. Et lèche-moi. Là.
Je n’ai pas hésité.
Ma langue trouva son pli humide, sa chair tendre. Elle gémit aussitôt, se cambra, et ondula lentement contre moi. Clara, en bas, reprenait ma queue dans sa bouche en rythme. Elles m’encerclaient, m’absorbaient, m’épuisaient. J’étais pris dans leurs corps, dans leurs voix, dans leurs goûts.
Laure s’agrippait à mes cheveux, gémissant en roulant des hanches sur ma langue, m’enseignant les gestes qu’elle aimait. Clara, penchée entre mes cuisses, me dévorait avec une gourmandise animale.
Je n’étais plus qu’un souffle entre elles.
Après quelques minutes de ce supplice délicieux, Laure se redressa, haletante, les joues rosies.
— À moi maintenant… souffla-t-elle d’une voix rauque. Laisse-moi goûter cette belle tige.
Clara releva la tête de mon sexe trempé, un sourire à peine contenu aux lèvres. Ses mains glissaient encore sur mes cuisses, mais elle se leva souplement. Dans un geste lent, elle attrapa les bretelles de son maillot et les fit glisser sur ses épaules. Le tissu noir se replia sous ses seins, dévoilant une poitrine ferme, haut placée, aux aréoles brunes et aux tétons déjà tendus. Elle poussa le maillot plus bas sur ses hanches, laissant apparaître son ventre plat, puis ses fesses pleines, sculptées. Enfin, elle s’en défit totalement, laissant son sexe nu, humide, luisant dans la lumière dorée.
Debout, nue, Clara était magnifique : cuisses longues et musclées, taille dessinée, hanches larges, dos cambré, peau brunie par le soleil, légèrement perlée de sel. Elle passa une main sur son sein, puis sur sa vulve, et se mordit la lèvre en me regardant.
— Profite… souffla-t-elle à Laure.
Laure, agenouillée entre mes jambes, s’empara de ma verge d’une main ferme, l’approcha de sa bouche et la prit lentement entre ses lèvres. Sa langue tournait autour du gland avant de le glisser plus profond, sa gorge chaude m’enveloppant d’un coup sec. Elle gémit à moitié, puis retira ma queue et la plaça entre ses gros seins. Ses mains pressèrent doucement ses seins lourds autour de ma hampe, les faisant glisser lentement de haut en bas, laissant la pointe ressortir à chaque mouvement pour qu’elle puisse la happer de la langue. Un mélange de salive et de chaleur me couvrait, chaque passage de ses seins serrés autour de moi me faisait gémir plus fort.
Clara, nue, s’approcha alors et se plaça à califourchon sur mon visage. Ses cuisses tièdes encadrèrent ma tête, sa peau salée sentait le soleil et l’huile. Elle se baissa légèrement, guidant son sexe vers ma bouche.
— Allez… lèche-moi, bébé.
Je tendis la langue. Sa vulve douce et chaude s’ouvrit contre ma bouche. Je la goûtai, d’abord timidement, puis plus profondément. Elle ondula contre moi, ses mains sur mes cheveux, m’imposant le rythme. Ses gémissements s’ajoutaient aux bruits mouillés de la gorge de Laure et aux claquements de ses seins serrés autour de ma verge.
Elles étaient sur moi, l’une m’enveloppant de sa bouche et de sa poitrine, l’autre se frottant à ma langue jusqu’à en perdre le souffle. Mon corps entier vibrait sous elles, entre elles, pris dans leur danse lente et sensuelle
J’étais toujours noyé sous Clara, ma langue perdue dans sa chaleur. Ses cuisses encadraient mon visage, son bassin ondulait contre ma bouche. J’entendais sa respiration, ses gémissements courts. Et soudain, un poids doux se posa sur moi, plus bas. Laure. Ses mains se posèrent sur mes hanches pour se stabiliser. Elle guida ma verge dressée entre ses cuisses humides et s’empala d’un coup, lentement, jusqu’à m’engloutir tout entier. Un râle m’échappa contre le sexe de Clara. La chaleur de Laure m’envahit, serrée, profonde, vibrante. Elle resta immobile une seconde, sa tête rejetée en arrière, avant de commencer à bouger.
Je sentais tout : le goût salé de Clara sur ma langue, la douceur brûlante de Laure autour de ma queue, ses hanches qui roulaient contre les miennes. Chaque va-et-vient faisait remonter un gémissement dans ma gorge, étouffé entre les cuisses de Clara.
Clara se redressa alors, lentement, me laissant respirer. Ses cuisses se décollèrent de ma tête. Elle se pencha vers Laure, nue, l’embrassa sur la bouche en plein mouvement. Laure gémissait contre mes lèvres, ses seins lourds ballottant au rythme de nos corps. Clara mordilla sa lèvre, puis descendit sur sa poitrine, léchant ses seins sous mes yeux, happant ses tétons dressés de sa bouche chaude.
Je voyais tout d’en bas : Laure qui se cambrait sur moi, Clara qui la suçait et la caressait. Puis Clara se glissa derrière son amie, son corps collé au sien, ses mains sur ses hanches, sa langue traçant des cercles sur sa nuque, son dos, puis plus bas, entre ses fesses. Elle écarta légèrement Laure et, dans le même mouvement, se mit à lécher ses fesses et mon sexe qui disparaissait et réapparaissait en elle, aspirant aussi mes couilles au passage.
Laure poussa un cri rauque. Ses mains agrippaient mes épaules pour garder l’équilibre. Elle ondulait plus vite maintenant, me chevauchant en petits cercles, ses seins lourds frôlant mon visage. Je tendis les mains, les pris dans mes paumes, les serrai doucement et les léchai, happant ses tétons l’un après l’autre pendant qu’elle me montait toujours plus profondément.
En bas, je sentais la langue de Clara glisser partout : sur mes couilles, sur la base de ma verge, entre les fesses de Laure. Ses doigts pinçaient les hanches de son amie, la guidaient sur moi, la faisaient rebondir un peu plus fort. Laure s’abandonnait complètement, secouée de frissons, la tête renversée en arrière.
Nous étions trois corps soudés : Laure me chevauchait, Clara la goûtait, me léchait, nous tenait, et moi je les sentais, l’une sur ma bouche, l’autre sur ma queue, comme si tout se mélangeait.
Les filles échangèrent un regard et s’écartèrent doucement, leurs corps brillants de sueur et de désir. Clara se laissa tomber sur la serviette, sur le dos, les jambes légèrement écartées. Elle me regardait avec un sourire de défi, une main glissée sur son ventre, l’autre ouverte, m’invitant à venir.
Je n’étais plus timide. Plus maintenant.
Je me plaçai entre ses cuisses, sentant la chaleur de son sexe contre le mien, et d’un mouvement sûr, je la pénétrai. Elle bascula légèrement la tête en arrière, ses lèvres entrouvertes, les yeux clos. Sa poitrine se soulevait à chaque coup de rein, et je les regardais danser sous moi, hypnotisé.
Je la prenais plus fort. Ses gémissements n’étaient plus discrets ; elle me guidait, ses mains dans mon dos, ses hanches qui répondaient aux miennes.
Laure s’était reculée, à genoux près de nous, observant la scène en se caressant lentement. Ses yeux brillaient. Puis, dans un geste lent et fluide, elle s’avança et s’installa à califourchon sur le visage de Clara. Elle posa ses mains sur ses seins, se cambra légèrement, les yeux fermés.
Je la vis se faire lécher par son amie, à quelques centimètres de mon visage. Ses seins lourds s’agitaient au rythme de ses hanches. Elle rouvrit les yeux et me fixa, haletante. Elle s’approcha de moi, encore montée sur Clara, et m’embrassa à pleine bouche, le goût de l’autre femme encore sur ses lèvres.
Le plaisir montait vite. Trop vite.
Et soudain, elles s’arrêtèrent. Laure se redressa. Clara me repoussa doucement.
— Debout, dit-elle en se mordant la lèvre.
Leurs regards me brûlaient. J’étais au bord, frustré, tendu comme jamais. Mais elles n’avaient pas fini.
Elles m’avaient stoppé juste avant la chute. Mon corps entier tremblait de frustration. Mon sexe palpitait, brillant, tendu à l’extrême. Laure me fit asseoir contre un rocher lisse, à l’ombre de la falaise, puis se mit à genoux entre mes cuisses. Clara vint se placer de l’autre côté. Leurs regards se croisèrent, presque amusés, complices comme deux prédatrices qui s’apprêtent à savourer leur proie.
— Il est à nous, souffla Clara en effleurant ma verge du bout des doigts. Tout à nous.
Elles commencèrent lentement. Leurs langues chaudes et humides glissèrent sur ma hampe, chacune de leur côté, en de longues léchées synchrones. Laure se concentra sur le gland, le suçotant tendrement, tandis que Clara parcourait toute la tige en spirale, en appuyant sa langue à chaque passage.
Je respirais plus fort, la tête renversée contre la pierre, les yeux entrouverts. Leurs bouches, leurs souffles, leurs regards… tout n’était que feu et tendresse entremêlés.
— Regarde-nous, murmura Laure en relevant les yeux, sa langue encore posée sur ma peau tendue. Regarde comme on te rend fou.
Elles reprirent, ensemble. Clara prit mon sexe en bouche, lentement, le faisant disparaître presque entièrement dans sa gorge, pendant que Laure suçait mes couilles avec application. Puis elles échangèrent. Laure m’avala profondément, avec une intensité gourmande, pendant que Clara me caressait les hanches, le ventre, les cuisses, et léchait doucement la base.
Quand elles se penchèrent toutes deux, leurs langues jouèrent sur mon gland comme deux serpents. Elles me prirent ensemble, m’embrassèrent en se passant ma verge entre leurs lèvres. Elles la massaient, la glissaient entre leurs seins, la léchaient à tour de rôle.
Je gémissais sans honte, perdu entre leurs bouches.
— Vas-y… viens pour nous, murmura Clara, le menton luisant de salive.
Laure caressa mes cuisses, remonta vers mes fesses, me soutint le bassin. Puis, à deux, elles m’avalèrent, se partageant mon sexe comme un trésor à savourer. Leurs bouches, leurs langues, leurs mains se mêlaient sans relâche.
La tension monta d’un coup. Je n’ai pas pu résister. Mon corps s’est raidi. Mes mains ont agrippé la pierre. Et j’ai joui.
Le premier jet fut puissant, profond, dans la gorge de Laure, qui l’avala sans ciller. Le deuxième éclaboussa les lèvres de Clara, qui le recueillit en souriant. D’autres suivirent, plus doux, sur leurs visages, leurs poitrines.
Elles se regardèrent, barbouillées, luisantes de ma semence. Clara tendit la langue vers le menton de Laure. Laure embrassa doucement le bout du nez de son amie. Puis, dans un geste tendre et incroyablement sexy, elles s’embrassèrent à pleine bouche, mélangeant salive et sperme, jusqu’à ce que tout disparaisse entre elles.
Elles me regardèrent, encore accroupies entre mes jambes, leurs bouches brillantes, leurs yeux brûlants.
— Tu étais prêt à exploser, souffla Clara.
— Et pourtant, on n’en est qu’au début, ajouta Laure, malicieuse.
Je haletais. Ma peau brillait. Mais mon sexe, lui, refusait de se détendre. Il palpitait encore entre elles, tendu, prêt pour la suite.
Le silence revint peu à peu, à peine troublé par le clapotis de l’eau sur les rochers. L’air était tiède, chargé de sel et de désir retombé. Nous étions tous les trois étendus sur la grande serviette, peau contre peau, encore humides, encore haletants. Clara s’était allongée sur le flanc, la tête posée contre mon torse, traçant de petits cercles du bout du doigt. Laure, nue et fière, s’était assise en tailleur, un genou contre ma hanche, ses seins lourds brillant de sueur, de salive et de sperme séché.
— Tu tiens bien le choc pour un garçon timide, souffla-t-elle avec un sourire.
J’esquissai un rire, encore un peu sonné.
— Je ne suis pas sûr d’être réveillé, murmurai-je.
Clara remonta doucement sa main vers ma gorge.
— Tu as déjà vécu quelque chose comme ça, Maxence ? demanda-t-elle doucement.
Je fis non de la tête.
— Jamais. Même pas approché.
— T’as eu beaucoup de filles ? enchaîna Laure, un peu plus directe, son regard ancré dans le mien.
— Deux… Enfin… trois peut-être. Mais c’était jamais comme ça. C’était... plus simple. Plus rapide. Moins... libre.
— Tu fantasmes souvent ? reprit Clara, la voix plus tendre.
Je rougis un peu.
— Comme tout le monde, je crois…
— Dis-nous, souffla Laure, en se penchant, les cheveux tombant sur ma poitrine. T’aimerais quoi ? On est curieuses.
Je les regardai, nues, belles, complices, posées comme deux déesses autour de moi. Mon cœur battait à nouveau plus vite.
— J’ai jamais osé vraiment dire. Parfois j’imagine… être pris en main. Être guidé. Apprendre.
— Comme aujourd’hui ? glissa Clara avec un clin d’œil.
Je hochai la tête.
— Et toi, t’as déjà fait… des trucs à deux ? Des plans à trois ? Avec deux femmes ? demanda Laure.
— Non. J’en ai rêvé, souvent. Mais c’était pas… réel.
— Ça l’est maintenant, murmura Clara en mordillant légèrement ma clavicule.
Un silence doux s’installa, fait de regards, de souffles, de promesses en suspens.
— Et si on continuait ton apprentissage ? proposa Laure en se penchant pour effleurer mon ventre du bout des lèvres.
Je n’ai pas répondu. Mon corps, lui, l’a fait pour moi.
Le silence flottait, charnel et suspendu, entre les trois corps encore noués par la moiteur du sexe et la lente retombée du plaisir. Clara jouait avec un brin d’herbe qu’elle faisait courir le long de mon ventre, comme une plume taquine. Laure, toujours assise à califourchon sur la serviette, caressait ses propres cuisses d’un geste paresseux.
— Tu penses à quoi, Maxence ? demanda-t-elle doucement.
Je déglutis. J’avais chaud. Pas de honte, mais un frisson de vulnérabilité. Elles étaient là, nues, confiantes, offertes. Moi, j’avais encore des zones d’ombre, des choses jamais dites, jamais faites.Et puis, sans réfléchir, j’ai parlé.
— Je peux vous dire quelque chose… ?
Elles ont levé la tête en même temps. Deux regards attentifs. Tendres. Curieux.
— Bien sûr, murmura Clara.
— Je… j’ai jamais… je veux dire… je n’ai jamais eu de rapport anal. Avec personne. Mais j’y pense depuis longtemps. C’est un vrai fantasme. Et là… avec vous… je sais pas. Ce serait…
Je n’ai pas fini ma phrase. Mes joues brûlaient. J’avais peur d’avoir cassé la magie, d’avoir dit un mot de trop.
Mais Laure a souri. Un sourire lent, complice.
— Tu veux que ta première fois, ce soit avec nous deux… ?
J’ai hoché la tête. C’était plus qu’un oui.
Clara a glissé une main entre mes jambes, doucement, comme pour sentir à quel point j’en avais envie encore. Mon sexe a réagi immédiatement. Elle m’a regardé, sérieuse cette fois.
— Tu nous fais confiance, Maxence ?
— Oui… complètement.
— Alors on va t’offrir ça. Tout en douceur. À notre façon. On va t’ouvrir… lentement. Et tu ne pourras plus jamais l’oublier.
Laure se redressa. Sa main alla chercher le petit flacon d’huile solaire dans son sac. Elle le secoua, s’installa derrière moi, et commença à m’embrasser le dos, les omoplates, la nuque. Clara s’approcha de mon visage, m’embrassa tendrement, comme une amante.
— Laisse-toi faire…
Le soleil avait disparu. Il ne restait que la chaleur du soir, le silence de la calanque, et mes deux déesses prêtes à me prendre. J’étais nu, offert, prêt.
Et elles allaient me guider.
Clara caressa ma joue du bout des doigts. — Tu veux apprendre ? J’ai hoché la tête, muet. Mon sexe était à nouveau dur. Mon souffle court.
Elle se tourna vers Laure, qui s’était déjà allongée sur le ventre, la tête tournée vers nous, le sourire aux lèvres. — Alors regarde bien…
Clara se plaça derrière elle, à califourchon sur ses cuisses. Elle écarta doucement ses fesses, révélant son intimité. Laure gémit doucement, frissonnante. Ses reins se creusèrent légèrement. — Un petit trou, ça ne se prend pas. Ça se prépare. Ça s’honore. D’abord, on le regarde. Elle ouvrit davantage, du bout des doigts. — On l’observe. Chaque corps est différent. Certains sont déjà détendus. D’autres demandent plus de temps. Il faut que la personne soit bien, excitée, en confiance.
Elle pencha son visage, souffla doucement sur l’anus de Laure, sans le toucher. Laure frissonna. — La première chose, c’est d’habituer la peau. La chaleur. La présence.
Puis Clara posa sa langue.
D’abord un simple effleurement. Juste le contact. Puis elle recommença. Un peu plus lent. Un peu plus large. Elle traçait des cercles, des spirales. Sa langue mouillée dessinait des formes invisibles. Laure gémit. Son corps ondulait à peine, offerte, soumise à cette caresse si précise.
— Tu vois, Maxence ? La langue, c’est magique. Ça fait tout fondre. Regarde-la… Elle adore ça.
Je ne pouvais pas détourner les yeux. Mes doigts serraient la serviette sous moi. J’avais envie de me toucher, mais je n’osais pas encore.
Clara continua. Sa bouche embrassait. Léchait. Parfois un petit coup de langue plus appuyé, qui faisait sursauter Laure. Puis elle laissa glisser un doigt, doucement, entre les fesses, jusqu’à l’entrée.
— Et ensuite, seulement ensuite, un doigt. Un seul. Lentement. Sans forcer. On tourne. On masse. Son index entrait et sortait, huilé, précis. — On laisse le muscle s’habituer. On écoute la respiration. On sent si c’est bon. Et quand c’est bon, on continue. On peut en mettre un deuxième. Puis trois. Mais jamais sans lubrifier. Et jamais sans regarder si la personne est bien.
Elle tourna la tête vers moi.
— Tu veux essayer sur elle ?
Mon cœur s’emballa.
Mais Laure, encore haletante, leva les yeux vers moi.
— Non. Pas maintenant. Bientôt… Pour l’instant, regarde.
Clara reprit, plus intensément. Deux doigts en elle. Puis trois. Sa langue sur le clitoris. Laure gémissait, râlait presque, le corps secoué de frissons. Ses mains griffaient la pierre.
Et moi, à côté, je n’étais plus que tension. Je venais d’assister à la plus belle leçon de sexe de ma vie.
Puis Laure se tourna vers moi
— Pour bien comprendre il faut que tu le ressentes. Est-ce que tu as déjà vu du pegging, mon bébé ? Un homme qui se fait prendre par une femme ?
— Oui… mais j’ai jamais osé. Tout comme j’ai jamais… sodomisé une femme non plus. J’ai envie. Mais je veux que ce soit… beau. Consenti. Vrai.
— Tu veux qu’on t’encule, Maxence ? demanda Laure, avec ce sourire qui mélangeait douceur et puissance. Qu’on te montre que tu peux jouir autrement ?
Je respirai fort.
Clara s’était redressée, le visage entre les cuisses de Laure, les lèvres brillantes, les doigts encore plongés dans l’intimité frémissante de son amie. Laure haletait, allongée sur le ventre, offerte, les joues rouges, les yeux mi-clos.
Elles avaient oublié que j’étais là. Ou plutôt… elles savaient parfaitement que j’étais là, et jouaient de ma présence comme d’un miroir.
Puis Clara se tourna vers moi. Elle s’approcha, nue, assurée, les doigts luisants d’huile.
— Tu es encore plus beau quand tu regardes. Ton sexe parle pour toi, Maxence. — Je… — Chut. Tu n’as rien à dire maintenant. Écoute. Ressens.
Elle se plaça derrière moi, tandis que Laure se glissait contre mon flanc gauche, sa main sur mon torse, sa bouche près de mon oreille.
— On va te faire vivre ce que peu d’hommes osent demander. Tu veux t’ouvrir ? On va t’aider à le faire bien.
Clara effleura mes fesses, doucement. Je frémis.
— Mets-toi à genoux. Appuie-toi sur les avant-bras. Laisse ton corps se relâcher. Je ne ferai rien que tu ne désires pas.
Je me mis en position, tremblant un peu, mais excité au-delà du supportable. Mon sexe battait, suspendu sous moi. Ma peau frissonnait à chaque souffle.
Clara s’installa derrière moi. Je la sentais respirer, calme, concentrée.
Elle écarta mes fesses lentement. — D’abord, je regarde. Ton corps est magnifique. Si jeune. Tendu. Je vais le faire parler autrement.
Elle souffla d’abord. Un souffle chaud sur mon intimité. Puis elle y posa sa langue. Juste un baiser. Puis un second. Laure me caressait la nuque, les cheveux, me murmurait : — Respire avec elle. Laisse-la te goûter. Elle adore ça.
Clara léchait à présent mon anus par mouvements circulaires. Doux. Profonds. Hypnotiques. Je me sentais fondre. Ma verge était raide, gouttant déjà de plaisir. Mon souffle devenait plus court, plus saccadé.
Puis Clara introduisit un doigt. Lentement. Huilé. Tendre.
Je sursautai légèrement, elle ne bougea plus.
— C’est normal. Ton corps découvre. Accueille-le. Respire… Voilà. Oui, comme ça.
Elle tourna doucement en moi. Ses mouvements étaient lents, contrôlés, précis. Mon anus palpitait, s’habituait, s’adaptait. Je sentais tout : la chaleur, la pression, le trouble. Puis un deuxième doigt. Et mon bassin s’arqua malgré moi.
Laure m’embrassait dans le cou, me caressait les tétons, son souffle chaud contre mon oreille.
— Tu es sublime, Maxence. Tu t’ouvres. Tu brilles.
Clara continuait. Deux doigts. Puis trois. Elle les faisait danser en moi. Appuyait parfois contre un point plus profond. Chaque pression me faisait gémir. Mon corps s’abandonnait. J’étais en feu, à l’intérieur, mais un feu de tendresse, de confiance, de jouissance lente.
— Tu veux jouir comme ça ? murmura Clara.
Je n’ai pas eu besoin de répondre.
Laure glissa sa main sous moi, saisit ma verge, la caressa doucement.
Et là… tout s’est mélangé.
Le massage de Clara, en moi. La main de Laure, sur moi. Leurs souffles. Leurs voix. La lumière de la fin du jour. Le goût du sel sur mes lèvres. Et cette sensation unique : celle d’être complètement à elles.
J’ai joui une deuxième fois. Plus fort encore. Un orgasme profond, explosif, qui m’a traversé de la tête aux pieds. Mon corps s’est contracté, mon dos s’est cambré, mes cuisses ont tremblé. Clara ne s’est pas arrêtée. Elle m’a guidé jusqu’au bout. Jusqu’à ce que je me vide complètement dans la main de Laure.
Puis je me suis effondré, à genoux, haletant, le cœur battant.
Clara m’a embrassé dans le dos. Laure m’a soufflé :
— Tu es un homme maintenant. Un homme qui sait s’ouvrir.
Et j’ai su que je ne pourrais plus jamais revenir en arrière.
J’étais encore à genoux, le souffle court, la peau trempée de sueur et de foutre, mes muscles tremblants. Clara avait retiré doucement ses doigts de moi, et m’avait embrassé dans le dos comme un trophée. Laure m’avait pris contre elle, son sein contre ma joue, ses doigts glissant doucement sur ma nuque.
Je pensais être vidé. Brûlé. Mais non.
Mais après quelques minutes et devant ces deux beautés. Je bandais encore. Fort. Plein. Vivant.
Elles ont échangé un regard complice.
— Regarde-moi ça, souffla Clara. Vingt ans… une queue d’acier après deux orgasmes… — Vive la jeunesse ! Il est prêt à en donner, maintenant, murmura Laure en se mordant la lèvre.
Je me suis redressé, d’abord sur les genoux, puis debout. Mon sexe pointait fièrement, lourd, tendu, palpitant.
Je les regardais. Deux femmes magnifiques, offertes, détendues, les jambes luisantes, la peau encore moite de plaisir.
— Maintenant… c’est moi qui vais vous enculer. Ma voix était plus grave. Plus sûre.
Laure se pencha en avant, se mit à quatre pattes, fesses bien relevées, son anus encore luisant de salive et d’huile. Elle me regarda par-dessus l’épaule.
— Tu sais ce que tu fais ? — Je sais ce que je veux.
Je m’agenouillai derrière elle. Ma main sur ses hanches. Mon gland glissa entre ses fesses. Je frottais doucement contre son trou, huilé, déjà détendu par le plaisir qu’elle avait donné à Clara. Je poussai lentement. Elle soupira.
— Doucement, Maxence. Va doucement…
Je pressai. Son muscle céda. Ma queue s’enfonça. L’anus de Laure m’engloutit. Centimètre après centimètre. Elle grogna. Sa main s’agrippa à la serviette.
— Putain… Il est large. Il est bon.
Je la pénétrai lentement, profondément. Son cul était chaud, serré, vivant. Je la baisais à l’envers, les mains sur ses hanches, les yeux fixés sur cette vue magnifique : ses fesses pleines, ma queue disparaissant en elle, ses reins qui ondulaient à chaque coup de bassin.
Clara s’était allongée à côté de nous, se caressait en nous regardant, sa main entre ses jambes, ses doigts brillants.
— Prends-la bien. Elle aime ça. Montre-lui comment un garçon peut devenir un homme.
Je m’enfonçais plus vite. Laure gémissait. Son cul s’ouvrait autour de moi, m’avalait, me serrait.
Puis je me retirai lentement, et me tournai vers Clara.
— Ton tour maintenant.
Elle sourit. Se mit à genoux. Écartant ses fesses, s’offrant sans un mot.
J’étais déjà prêt. Je m’agenouillai derrière elle, plaçai mon gland contre son petit trou. Elle était plus serrée que Laure. Je dus insister. Lentement. En soufflant.
— Oui… comme ça… oui… vas-y, Maxence… Je la pénétrai entièrement. D’un coup plus fort. Elle cria de plaisir, cambrée, offerte.
Je la baisai fort. Brutal. Tendre. Profond. Je tenais ses hanches, je sentais son cul avaler ma queue, ses gémissements résonner dans le silence de la calanque.
Laure s’était allongée devant Clara, l’embrassait à pleine bouche pendant que je la sodomisais. Et moi, j’étais entre elles. Dans leurs culs. Dans leurs souffles. Dans leur plaisir.
Quand j’ai senti que j’allais jouir encore, je me suis retiré. Clara s’est tournée, s’est agenouillée avec Laure. Toutes les deux, les fesses contre mes hanches, dos cambrés, trous ouverts.
— Tu veux finir où, chéri ? — Sur nous ? — Entre nous ?
Je me suis masturbées au dessus de leur cul. Elles écartaient chacune leurs fesses. J’avais une vision magnifique de leurs trous ouverts. Et j’ai joui sur leurs deux culs. Long, fort. Un jet, puis deux, puis trois. Mon sperme a éclaboussé leurs reins, leurs fesses, et a rempli leur caverne.
Elles ont ri. Se sont embrassées. Puis se sont léchées mutuellement la fente et l’anus, recueillant chaque goutte sur leur langue.
Et moi, je suis tombé sur le dos.
La tête vide. Le cœur plein.
Après l’orgasme, après les gémissements, après la peau salée et les reins brûlants… il ne restait plus que l’eau.
Clara m’a pris par la main. Laure m’a souri, ses cheveux collés à son front, le dos encore luisant de foutre. On a marché jusqu’au bord de la crique, nus, les jambes un peu molles, encore frissonnants de sexe.
L’eau était tiède. Accueillante. Parfaite.
Nous nous sommes glissés dedans comme dans un bain sacré. Clara nageait à reculons, les seins à peine immergés, le regard doux. Laure s’est accrochée à mon cou, ses jambes autour de ma taille, riant doucement.
— Tu viens de te faire ouvrir et tu nous as enculées toutes les deux… — C’est officiel, ajouta Clara, t’as gagné ta place chez nous.
On s’est embrassés dans l’eau, lentement. Plus de rôle. Plus de tension. Juste le plaisir d’être ensemble, de se sentir lavés, liés, trempés du même feu.
On est restés un long moment dans cette crique secrète, à flotter nus sous les étoiles, entre les rochers, nos corps encore vibrants, nos mains qui se cherchaient, se caressaient à peine, comme pour prolonger l’onde.
Et puis la phrase est venue. Spontanée. — Je ne veux pas repartir.
Elles se sont regardées, puis m’ont souri ensemble.
— Alors reste.
Et je suis resté.
Je n’ai pas dormi sur la plage. Je n’ai pas mangé de paninis. Mon compte Insta est resté vide.
Mais j’ai passé le reste de mes vacances dans leur maison en haut de la colline, entre les volets mi-clos, les draps en lin, les matins moites et les nuits étouffantes.
Je les ai baisées matin et soir.
À tour de rôle, ou ensemble. Dans le lit, sur le canapé, sous la douche, contre le mur de la cuisine. J’ai appris leurs corps, leurs goûts, leurs limites et leurs demandes. J’ai été leur amant, leur jouet, leur récompense.
Et elles, mes déesses.
Je suis revenu bronzé, vidé, grandi. Personne ne m’a cru. Mais moi, je le sais.
Cet été-là, j’ai tout vécu.
Beaucoup d’hommes en rêvent. Deux femmes. Un corps d’homme entre elles. Le fantasme du trio MFF — ou plutôt HFF, soyons français — revient souvent dans les messages que je reçois. L’idée de devenir l’objet de deux désirs, de deux bouches, de deux sexes. L’envie de se perdre entre deux féminités différentes, complémentaires, dévorantes.
Jusqu’ici, je l’ai toujours raconté de l’extérieur. Du regard des femmes. Leur puissance, leur complicité, leur plaisir à deux… et à trois. Mais aujourd’hui, j’ai eu envie d’essayer autre chose. De me glisser dans la peau d’un homme. Un jeune homme de vingt ans. Encore un peu timide, pas tout à fait formé… mais curieux. Disponible. Ouvert au monde. Ouvert au plaisir.
C’est l’été, quelque part entre Cassis et les calanques. Deux femmes mûres, belles, libres, s’offrent un caprice. Et lui… Il va découvrir qu’on peut perdre bien plus que son t-shirt, quand on fait du stop au soleil.
Bonne lecture. Et que vos fantasmes deviennent des histoires…
— Kristina 💋
L’AUTO-STOPPEUR
Il faisait chaud. Un vent sec balayait la départementale entre Cassis et La Ciotat. Je marchais depuis vingt bonnes minutes avec mon sac en bandoulière et mon pouce levé, sans grande conviction. Personne ne s’arrêtait. Mon t-shirt collait à mon dos, et la bouteille d’eau dans mon sac était tiède depuis longtemps.
J’ai vingt ans, et c’est mon premier vrai été en solo. Je suis descendu en stop depuis Lyon pour explorer un peu la côte. Dormir sur les plages, manger des paninis, faire le plein d’images pour mon compte Insta. Et peut-être, secrètement, vivre une aventure.
La voiture s’est arrêtée dans un petit crissement de pneus. Un cabriolet noir, décapoté. Deux femmes à l’intérieur. Brunes toutes les deux.
— Tu vas où ? demanda la conductrice sans détour.
Je me suis approché, intimidé.
— Vers Cassis. Ou un coin pour me baigner.
— Monte, on t’embarque, dit elle. On va à la plage.
La conductrice portait des lunettes de soleil rondes et un chapeau de paille qui laissait filtrer quelques mèches sombres. Elle avait une beauté affirmée, un sourire en coin, une robe légère ouverte sur les cuisses et des bras hâlés.
Je grimpai à l’arrière. Elles sentaient bon. Une odeur de crème solaire, de sel et de vanille. Le cuir des sièges chauffait sous le soleil. Mon short était trempé de sueur.
— Moi c’est Clara, dit la conductrice, en me jetant un regard par le rétro.
Clara. Un prénom qu’elle prononça d’une voix claire, presque moqueuse. Elle avait quelque chose de félin dans le regard, une assurance naturelle. Le genre de femme qui vous trouble rien qu’en tournant la tête.
— Et elle, c’est Laure, ajouta l’autre, un sourire aux lèvres.
À côté d’elle, Laure mâchait un chewing-gum, le regard appuyé, presque langoureux. Sa robe fleurie moulait une poitrine généreuse, sans soutien-gorge, et dévoilait des épaules dorées. Elle avait une peau mate, des boucles brunes qui tombaient sur sa nuque, un grain de beauté juste au-dessus des lèvres. Plus pulpeuse que Clara. Plus douce aussi peut-être — mais avec cette même étincelle taquine dans les yeux. Le genre à rire à demi, mais à tout voir.
— Maxence. Merci de vous être arrêtées…
Elles se regardèrent en souriant, comme si elles s’étaient déjà dit quelque chose sans le dire.
— C’est normal, souffla Laure. On ne laisse pas un garçon mignon fondre au soleil.
Je sentis mes joues rougir. Le vent soulevait leurs cheveux, leurs robes légères laissaient deviner leurs jambes nues. Je détournais le regard, gêné, mais fasciné.
— Il est timide, chuchota Clara à l’attention de Laure, comme si je n’étais pas là. — Adorable, répondit Laure, en croquant dans son chewing-gum avec un clin d’œil à peine voilé.
— Tu fais souvent du stop ? demanda Clara, les yeux sur la route.
— C’est mon premier vrai trip, dis-je. J’avais besoin de bouger…
— Une envie de liberté ?
— Un peu… Et puis je voulais voir la mer. J’ai grandi à Lyon, alors…
— Tu la verras, la mer. Et bien accompagnée, en plus, souffla Laure en se tournant vers moi.
Ses seins étaient joliment moulés sous sa robe fluide, ses jambes croisées avec une nonchalance étudiée. J’avalai ma salive. Je les entendais rire doucement. Elles jouaient. Avec moi. Entre elles.
Clara reprit, sans me quitter du rétro des yeux :
— On connaît un coin isolé. Une calanque où peu de gens vont. Ça te dit ?
J’ai hoché la tête. C’était déjà plus qu’un rêve éveillé.
La voiture s’engagea sur une petite route sinueuse, à flanc de colline. Puis un chemin de terre. Elles connaissaient visiblement bien l’endroit.
Clara conduisait avec assurance, ses doigts fins jouant distraitement avec le volant. Ses lunettes de soleil reflétaient les éclats du soleil à travers les branches de pin. Laure, à ses côtés, laissait courir ses doigts le long de la portière ouverte, ses jambes croisées sous sa robe légère, dévoilant parfois la naissance de sa cuisse dorée. Elles se jetaient des regards complices, comme si tout cela — moi, le chemin, la lumière, le jeu — était orchestré d’avance.
On marcha dix minutes encore à pied, à travers les pins, les cigales stridentes, la poussière sèche. Clara ouvrait la marche, la silhouette féline, les hanches balançant sous sa robe noire. Laure suivait, plus pulpeuse, la peau brillante sous le soleil, un rire clair s’échappant de ses lèvres à chaque pierre manquée. Et puis, soudain, la vue : une crique turquoise, encaissée entre deux parois rocheuses. Personne.
— Parfait, dit Clara en posant son sac. Tu peux te mettre à l’aise, Maxence. Personne ne viendra ici.
Je posai mes affaires sur les rochers plats, le cœur battant, les doigts maladroits. La pierre était tiède sous mes paumes. Clara se déshabilla la première. Sa robe tomba à ses pieds dans un froissement de tissu, comme une mue. Elle ne portait qu’un maillot une pièce noir, échancré jusqu’aux hanches. Son dos nu se cambrait avec une lenteur étudiée. Sa peau brune luisait déjà de chaleur et d’huile solaire. Ses jambes longues et musclées semblaient faites pour marcher nue dans des forêts interdites. Elle me jeta un regard en coin, un sourire à peine esquissé aux lèvres, comme pour vérifier si je regardais.
Laure suivit. Elle ôta sa robe lentement, presque en dansant, comme si elle me testait. Son bikini rouge vif paraissait presque indécent tant il soulignait ses courbes généreuses : des seins lourds, hauts, libres sous le tissu, une taille fine et des hanches de sirène. Son ventre plat se contracta légèrement alors qu’elle s’étirait, ses cheveux bouclés retombant sur ses épaules. Elle me lança un regard en coin, les lèvres pincées dans un sourire presque moqueur, mordillant son chewing-gum.
Je détournai les yeux, le cœur battant, mais mes mains tremblaient.
— Et lui, il garde son short ? se moqua Clara, une main sur la hanche, son maillot tendu sur ses hanches larges.
— Tu es pudique ? demanda Laure en s’approchant, ses yeux traînant ostensiblement sur mon torse, puis plus bas.
— Non, non, c’est juste…
— Allez, va te baigner, dit-elle en me frôlant le bras du bout des doigts. L’eau est divine.
Je retirai mon t-shirt, puis mon short. J’étais en boxer. Elles me détaillèrent sans se cacher, leurs regards glissant sur moi comme une caresse. Laure siffla doucement.
— Mignon. Très mignon.
Je plongeai pour cacher mon trouble. L’eau était fraîche et pure. Un soulagement après la chaleur écrasante. Mais même dans l’eau, leur présence m’enveloppait. Elles me rejoignirent rapidement, riant, s’éclaboussant. Clara nageait bien, avec une élégance féline. Laure restait près de moi, flottant presque, son regard jamais très loin du mien, ses doigts frôlant ma main sous la surface.
— Tu as une copine, Maxence ?
— Non…
— Vraiment ? Avec ce corps ? murmura Clara.
— Je… J’ai eu quelqu’un. Mais c’est fini.
— Et tu aimes quoi, chez une femme ? demanda Laure, ses lèvres humides à quelques centimètres de mon oreille.
Je restai bouche bée. Elles éclatèrent d’un rire doux, complice.
— Il est adorable, dit Clara.
— On dirait qu’on va devoir l’apprivoiser, souffla Laure, taquine, en s’approchant encore. Sa main frôla la mienne sous l’eau, puis s’éloigna comme si de rien n’était.
Je me sentais frissonner, de froid, de trouble. De désir aussi. Elles me frôlaient souvent. Des gestes anodins, mais calculés, comme un jeu.
— Nous, dit Clara, on est deux vieilles copines. On a été mariées. Maintenant, on est… libres.
— Et gourmandes, ajouta Laure en me fixant dans les yeux, sa bouche humide entrouverte, sa langue effleurant ses dents.
On regagna le bord, ruisselants, leurs hanches ondulant sous les gouttes d’eau.
— Allonge-toi, dit Clara. Tu es tendu, non ?
Je m’étendis sur la serviette. Mon sexe tendait le tissu du boxer. J’espérais qu’elles ne le verraient pas, mais leurs regards étaient déjà posés dessus. Laure s’installa à côté de moi et posa sa main sur ma cuisse, en effleurant à peine.
— Tu es excité ?
Je hochai la tête, sans pouvoir parler.
— Tu peux nous dire. On ne va pas te manger…
— Enfin, pas tout de suite, souffla Clara, en se penchant au-dessus de moi, ses cheveux humides effleurant mon visage.
Leur rire se mêla au chant des cigales. Laure murmura :
— Et… comment tu nous trouves ? Honnêtement ?
Je me redressai sur un coude, rouge de gêne.
— Vous êtes magnifiques…
Le soleil avait presque disparu derrière les falaises, laissant la calanque dans une lumière dorée. L’air était plus frais, la pierre encore chaude sous mon dos. Et leurs silhouettes, deux sirènes en maillot, semblaient s’avancer vers moi comme pour m’avaler tout entier.
Clara s’agenouilla d’un côté, Laure de l’autre. Je me retrouvai allongé entre elles, le souffle court, le regard hésitant. Leurs peaux tièdes frôlaient la mienne, encore perlée d’eau. Le soleil déclinait lentement, dorant les courbes, les épaules, les seins qui frémissaient sous les tissus mouillés.
— Il a chaud, notre beau voyageur, souffla Clara en glissant un doigt le long de mon ventre.
— Il mérite qu’on le rafraîchisse, murmura Laure, ses yeux fixés sur mon torse.
Sans me quitter des yeux, Clara passa les mains dans son dos et détacha lentement son maillot. Les bretelles glissèrent sur ses bras, révélant une poitrine ferme, pleine, dorée par le soleil. Ses tétons étaient déjà tendus. Elle laissa tomber le maillot à côté d’elle, sans aucune gêne, puis se pencha vers moi pour m’embrasser doucement sur l’épaule.
Laure fit de même. Elle décrocha son haut d’un geste tranquille, laissant ses seins rebondir à l’air libre, plus lourds, plus généreux, la peau délicate mouchetée de fines gouttes. Elle passa une main dans ses cheveux, puis sur son propre ventre, traçant un chemin vers ses hanches, comme si elle oubliait que je la regardais.
— Il faut qu’il apprenne à regarder, non ? glissa Clara en effleurant le bras de Laure.
— Et à toucher aussi, répondit celle-ci avec un sourire en coin.
Elles se tournèrent alors légèrement l’une vers l’autre. Clara tendit la main et caressa le sein de Laure, doucement, avec une lenteur presque provocante. Le téton durcit sous ses doigts. Laure poussa un petit soupir, mais ne la quitta pas des yeux.
— Regarde, Maxence, chuchota Clara sans se retourner. Regarde comme c’est doux, entre nous.
Mes mains tremblaient. Je n’osais pas bouger.
Mais Laure prit doucement ma main droite et la posa sur sa hanche. Sa peau était brûlante. Puis elle la guida plus haut, sur sa taille, ses côtes, jusqu’à ce que mes doigts effleurent le bas de son sein nu. Je haletai.
— Tu peux, souffla-t-elle. Tu peux nous toucher. Si tu veux.
De l’autre côté, Clara s’était rapprochée. Ses lèvres frôlaient ma mâchoire, son souffle chaud me faisait tourner la tête.
— On est là pour toi. Et entre nous. On aime partager. S’offrir.
Leurs mains se croisèrent sur mon ventre. Laure effleura la ligne de mon boxer, Clara caressa ma cuisse en remontant.
— Il est tendu, notre garçon, souffla Laure.
— Il est dur, surtout, répondit Clara en mordillant l’intérieur de ma cuisse du bout des dents.
Je gémis. Mes mains s’agrippaient à leurs hanches. Leurs corps se penchaient sur le mien, seins contre ma poitrine, bouches près de ma peau. Elles étaient nues, offertes, brûlantes. Et moi, noyé de désir.
Clara releva lentement ma ceinture, dégagea mon sexe tendu de mon boxer trempé.
— Tu veux qu’on s’occupe de toi, bébé ?
Je hochai la tête, incapable de parler.
Laure lécha ses lèvres.
— Alors regarde. Ressens. Et laisse-toi faire.
Clara fut la première à s’emparer de moi. Sa bouche glissa lentement autour de ma verge, chaude, douce, joueuse. Elle commença par de longs coups de langue le long de la hampe, en remontant lentement jusqu’au gland, qu’elle suça avec une attention presque tendre. Sa main droite caressait ma base, et ses yeux, levés vers moi, brillaient d’un éclat malicieux.
Laure, de son côté, s’était penchée au-dessus de mon visage. Elle m’embrassa, d’abord sur la joue, puis sur la bouche, longuement. Nos langues se trouvèrent. En même temps, sa main s’était glissée entre mes jambes, caressant mes couilles avec une lenteur calculée, les roulant doucement dans sa paume, comme pour accompagner chaque va-et-vient de Clara.
Je grognais contre ses lèvres, haletant, écrasé de plaisir.
— Respire, bébé, souffla Laure en me mordillant la lèvre. Ce n’est que le début.
Puis elle se releva, d’un seul mouvement, et fit tomber le reste de son bikini. Son corps nu s’imposa dans la lumière dorée, silhouette sensuelle, hanches larges, seins lourds et fermes, ventre plat, cuisses pleines. Sa fente rasée brillait déjà, entrouverte. Elle s’approcha lentement, me dominant de sa hauteur, une main dans ses cheveux, l’autre glissant sur son ventre jusqu’à sa chatte.
Clara continuait, infatigable. Elle alternait coups de langue sur le gland et longues prises profondes, où je sentais ma verge glisser entre ses lèvres chaudes, jusqu’à sa gorge. Puis elle descendait lécher mes couilles, les aspirant doucement, les mordillant du bout des dents. Elle soufflait dessus, riait presque.
— Il est délicieux, ton sexe… Tendu, chaud… Tu veux le goûter, toi aussi ? lança-t-elle à Laure.
Mais Laure n’avait pas besoin d’invitation. Elle écarta lentement les cuisses et s’agenouilla au-dessus de moi, fente juste au-dessus de mon visage. L’odeur était enivrante : un mélange de sel, de chaleur, de désir pur. Elle m’effleura de sa main, puis s’abaissa, guidant mes lèvres vers sa vulve.
— Ouvre bien la bouche, Maxence. Et lèche-moi. Là.
Je n’ai pas hésité.
Ma langue trouva son pli humide, sa chair tendre. Elle gémit aussitôt, se cambra, et ondula lentement contre moi. Clara, en bas, reprenait ma queue dans sa bouche en rythme. Elles m’encerclaient, m’absorbaient, m’épuisaient. J’étais pris dans leurs corps, dans leurs voix, dans leurs goûts.
Laure s’agrippait à mes cheveux, gémissant en roulant des hanches sur ma langue, m’enseignant les gestes qu’elle aimait. Clara, penchée entre mes cuisses, me dévorait avec une gourmandise animale.
Je n’étais plus qu’un souffle entre elles.
Après quelques minutes de ce supplice délicieux, Laure se redressa, haletante, les joues rosies.
— À moi maintenant… souffla-t-elle d’une voix rauque. Laisse-moi goûter cette belle tige.
Clara releva la tête de mon sexe trempé, un sourire à peine contenu aux lèvres. Ses mains glissaient encore sur mes cuisses, mais elle se leva souplement. Dans un geste lent, elle attrapa les bretelles de son maillot et les fit glisser sur ses épaules. Le tissu noir se replia sous ses seins, dévoilant une poitrine ferme, haut placée, aux aréoles brunes et aux tétons déjà tendus. Elle poussa le maillot plus bas sur ses hanches, laissant apparaître son ventre plat, puis ses fesses pleines, sculptées. Enfin, elle s’en défit totalement, laissant son sexe nu, humide, luisant dans la lumière dorée.
Debout, nue, Clara était magnifique : cuisses longues et musclées, taille dessinée, hanches larges, dos cambré, peau brunie par le soleil, légèrement perlée de sel. Elle passa une main sur son sein, puis sur sa vulve, et se mordit la lèvre en me regardant.
— Profite… souffla-t-elle à Laure.
Laure, agenouillée entre mes jambes, s’empara de ma verge d’une main ferme, l’approcha de sa bouche et la prit lentement entre ses lèvres. Sa langue tournait autour du gland avant de le glisser plus profond, sa gorge chaude m’enveloppant d’un coup sec. Elle gémit à moitié, puis retira ma queue et la plaça entre ses gros seins. Ses mains pressèrent doucement ses seins lourds autour de ma hampe, les faisant glisser lentement de haut en bas, laissant la pointe ressortir à chaque mouvement pour qu’elle puisse la happer de la langue. Un mélange de salive et de chaleur me couvrait, chaque passage de ses seins serrés autour de moi me faisait gémir plus fort.
Clara, nue, s’approcha alors et se plaça à califourchon sur mon visage. Ses cuisses tièdes encadrèrent ma tête, sa peau salée sentait le soleil et l’huile. Elle se baissa légèrement, guidant son sexe vers ma bouche.
— Allez… lèche-moi, bébé.
Je tendis la langue. Sa vulve douce et chaude s’ouvrit contre ma bouche. Je la goûtai, d’abord timidement, puis plus profondément. Elle ondula contre moi, ses mains sur mes cheveux, m’imposant le rythme. Ses gémissements s’ajoutaient aux bruits mouillés de la gorge de Laure et aux claquements de ses seins serrés autour de ma verge.
Elles étaient sur moi, l’une m’enveloppant de sa bouche et de sa poitrine, l’autre se frottant à ma langue jusqu’à en perdre le souffle. Mon corps entier vibrait sous elles, entre elles, pris dans leur danse lente et sensuelle
J’étais toujours noyé sous Clara, ma langue perdue dans sa chaleur. Ses cuisses encadraient mon visage, son bassin ondulait contre ma bouche. J’entendais sa respiration, ses gémissements courts. Et soudain, un poids doux se posa sur moi, plus bas. Laure. Ses mains se posèrent sur mes hanches pour se stabiliser. Elle guida ma verge dressée entre ses cuisses humides et s’empala d’un coup, lentement, jusqu’à m’engloutir tout entier. Un râle m’échappa contre le sexe de Clara. La chaleur de Laure m’envahit, serrée, profonde, vibrante. Elle resta immobile une seconde, sa tête rejetée en arrière, avant de commencer à bouger.
Je sentais tout : le goût salé de Clara sur ma langue, la douceur brûlante de Laure autour de ma queue, ses hanches qui roulaient contre les miennes. Chaque va-et-vient faisait remonter un gémissement dans ma gorge, étouffé entre les cuisses de Clara.
Clara se redressa alors, lentement, me laissant respirer. Ses cuisses se décollèrent de ma tête. Elle se pencha vers Laure, nue, l’embrassa sur la bouche en plein mouvement. Laure gémissait contre mes lèvres, ses seins lourds ballottant au rythme de nos corps. Clara mordilla sa lèvre, puis descendit sur sa poitrine, léchant ses seins sous mes yeux, happant ses tétons dressés de sa bouche chaude.
Je voyais tout d’en bas : Laure qui se cambrait sur moi, Clara qui la suçait et la caressait. Puis Clara se glissa derrière son amie, son corps collé au sien, ses mains sur ses hanches, sa langue traçant des cercles sur sa nuque, son dos, puis plus bas, entre ses fesses. Elle écarta légèrement Laure et, dans le même mouvement, se mit à lécher ses fesses et mon sexe qui disparaissait et réapparaissait en elle, aspirant aussi mes couilles au passage.
Laure poussa un cri rauque. Ses mains agrippaient mes épaules pour garder l’équilibre. Elle ondulait plus vite maintenant, me chevauchant en petits cercles, ses seins lourds frôlant mon visage. Je tendis les mains, les pris dans mes paumes, les serrai doucement et les léchai, happant ses tétons l’un après l’autre pendant qu’elle me montait toujours plus profondément.
En bas, je sentais la langue de Clara glisser partout : sur mes couilles, sur la base de ma verge, entre les fesses de Laure. Ses doigts pinçaient les hanches de son amie, la guidaient sur moi, la faisaient rebondir un peu plus fort. Laure s’abandonnait complètement, secouée de frissons, la tête renversée en arrière.
Nous étions trois corps soudés : Laure me chevauchait, Clara la goûtait, me léchait, nous tenait, et moi je les sentais, l’une sur ma bouche, l’autre sur ma queue, comme si tout se mélangeait.
Les filles échangèrent un regard et s’écartèrent doucement, leurs corps brillants de sueur et de désir. Clara se laissa tomber sur la serviette, sur le dos, les jambes légèrement écartées. Elle me regardait avec un sourire de défi, une main glissée sur son ventre, l’autre ouverte, m’invitant à venir.
Je n’étais plus timide. Plus maintenant.
Je me plaçai entre ses cuisses, sentant la chaleur de son sexe contre le mien, et d’un mouvement sûr, je la pénétrai. Elle bascula légèrement la tête en arrière, ses lèvres entrouvertes, les yeux clos. Sa poitrine se soulevait à chaque coup de rein, et je les regardais danser sous moi, hypnotisé.
Je la prenais plus fort. Ses gémissements n’étaient plus discrets ; elle me guidait, ses mains dans mon dos, ses hanches qui répondaient aux miennes.
Laure s’était reculée, à genoux près de nous, observant la scène en se caressant lentement. Ses yeux brillaient. Puis, dans un geste lent et fluide, elle s’avança et s’installa à califourchon sur le visage de Clara. Elle posa ses mains sur ses seins, se cambra légèrement, les yeux fermés.
Je la vis se faire lécher par son amie, à quelques centimètres de mon visage. Ses seins lourds s’agitaient au rythme de ses hanches. Elle rouvrit les yeux et me fixa, haletante. Elle s’approcha de moi, encore montée sur Clara, et m’embrassa à pleine bouche, le goût de l’autre femme encore sur ses lèvres.
Le plaisir montait vite. Trop vite.
Et soudain, elles s’arrêtèrent. Laure se redressa. Clara me repoussa doucement.
— Debout, dit-elle en se mordant la lèvre.
Leurs regards me brûlaient. J’étais au bord, frustré, tendu comme jamais. Mais elles n’avaient pas fini.
Elles m’avaient stoppé juste avant la chute. Mon corps entier tremblait de frustration. Mon sexe palpitait, brillant, tendu à l’extrême. Laure me fit asseoir contre un rocher lisse, à l’ombre de la falaise, puis se mit à genoux entre mes cuisses. Clara vint se placer de l’autre côté. Leurs regards se croisèrent, presque amusés, complices comme deux prédatrices qui s’apprêtent à savourer leur proie.
— Il est à nous, souffla Clara en effleurant ma verge du bout des doigts. Tout à nous.
Elles commencèrent lentement. Leurs langues chaudes et humides glissèrent sur ma hampe, chacune de leur côté, en de longues léchées synchrones. Laure se concentra sur le gland, le suçotant tendrement, tandis que Clara parcourait toute la tige en spirale, en appuyant sa langue à chaque passage.
Je respirais plus fort, la tête renversée contre la pierre, les yeux entrouverts. Leurs bouches, leurs souffles, leurs regards… tout n’était que feu et tendresse entremêlés.
— Regarde-nous, murmura Laure en relevant les yeux, sa langue encore posée sur ma peau tendue. Regarde comme on te rend fou.
Elles reprirent, ensemble. Clara prit mon sexe en bouche, lentement, le faisant disparaître presque entièrement dans sa gorge, pendant que Laure suçait mes couilles avec application. Puis elles échangèrent. Laure m’avala profondément, avec une intensité gourmande, pendant que Clara me caressait les hanches, le ventre, les cuisses, et léchait doucement la base.
Quand elles se penchèrent toutes deux, leurs langues jouèrent sur mon gland comme deux serpents. Elles me prirent ensemble, m’embrassèrent en se passant ma verge entre leurs lèvres. Elles la massaient, la glissaient entre leurs seins, la léchaient à tour de rôle.
Je gémissais sans honte, perdu entre leurs bouches.
— Vas-y… viens pour nous, murmura Clara, le menton luisant de salive.
Laure caressa mes cuisses, remonta vers mes fesses, me soutint le bassin. Puis, à deux, elles m’avalèrent, se partageant mon sexe comme un trésor à savourer. Leurs bouches, leurs langues, leurs mains se mêlaient sans relâche.
La tension monta d’un coup. Je n’ai pas pu résister. Mon corps s’est raidi. Mes mains ont agrippé la pierre. Et j’ai joui.
Le premier jet fut puissant, profond, dans la gorge de Laure, qui l’avala sans ciller. Le deuxième éclaboussa les lèvres de Clara, qui le recueillit en souriant. D’autres suivirent, plus doux, sur leurs visages, leurs poitrines.
Elles se regardèrent, barbouillées, luisantes de ma semence. Clara tendit la langue vers le menton de Laure. Laure embrassa doucement le bout du nez de son amie. Puis, dans un geste tendre et incroyablement sexy, elles s’embrassèrent à pleine bouche, mélangeant salive et sperme, jusqu’à ce que tout disparaisse entre elles.
Elles me regardèrent, encore accroupies entre mes jambes, leurs bouches brillantes, leurs yeux brûlants.
— Tu étais prêt à exploser, souffla Clara.
— Et pourtant, on n’en est qu’au début, ajouta Laure, malicieuse.
Je haletais. Ma peau brillait. Mais mon sexe, lui, refusait de se détendre. Il palpitait encore entre elles, tendu, prêt pour la suite.
Le silence revint peu à peu, à peine troublé par le clapotis de l’eau sur les rochers. L’air était tiède, chargé de sel et de désir retombé. Nous étions tous les trois étendus sur la grande serviette, peau contre peau, encore humides, encore haletants. Clara s’était allongée sur le flanc, la tête posée contre mon torse, traçant de petits cercles du bout du doigt. Laure, nue et fière, s’était assise en tailleur, un genou contre ma hanche, ses seins lourds brillant de sueur, de salive et de sperme séché.
— Tu tiens bien le choc pour un garçon timide, souffla-t-elle avec un sourire.
J’esquissai un rire, encore un peu sonné.
— Je ne suis pas sûr d’être réveillé, murmurai-je.
Clara remonta doucement sa main vers ma gorge.
— Tu as déjà vécu quelque chose comme ça, Maxence ? demanda-t-elle doucement.
Je fis non de la tête.
— Jamais. Même pas approché.
— T’as eu beaucoup de filles ? enchaîna Laure, un peu plus directe, son regard ancré dans le mien.
— Deux… Enfin… trois peut-être. Mais c’était jamais comme ça. C’était... plus simple. Plus rapide. Moins... libre.
— Tu fantasmes souvent ? reprit Clara, la voix plus tendre.
Je rougis un peu.
— Comme tout le monde, je crois…
— Dis-nous, souffla Laure, en se penchant, les cheveux tombant sur ma poitrine. T’aimerais quoi ? On est curieuses.
Je les regardai, nues, belles, complices, posées comme deux déesses autour de moi. Mon cœur battait à nouveau plus vite.
— J’ai jamais osé vraiment dire. Parfois j’imagine… être pris en main. Être guidé. Apprendre.
— Comme aujourd’hui ? glissa Clara avec un clin d’œil.
Je hochai la tête.
— Et toi, t’as déjà fait… des trucs à deux ? Des plans à trois ? Avec deux femmes ? demanda Laure.
— Non. J’en ai rêvé, souvent. Mais c’était pas… réel.
— Ça l’est maintenant, murmura Clara en mordillant légèrement ma clavicule.
Un silence doux s’installa, fait de regards, de souffles, de promesses en suspens.
— Et si on continuait ton apprentissage ? proposa Laure en se penchant pour effleurer mon ventre du bout des lèvres.
Je n’ai pas répondu. Mon corps, lui, l’a fait pour moi.
Le silence flottait, charnel et suspendu, entre les trois corps encore noués par la moiteur du sexe et la lente retombée du plaisir. Clara jouait avec un brin d’herbe qu’elle faisait courir le long de mon ventre, comme une plume taquine. Laure, toujours assise à califourchon sur la serviette, caressait ses propres cuisses d’un geste paresseux.
— Tu penses à quoi, Maxence ? demanda-t-elle doucement.
Je déglutis. J’avais chaud. Pas de honte, mais un frisson de vulnérabilité. Elles étaient là, nues, confiantes, offertes. Moi, j’avais encore des zones d’ombre, des choses jamais dites, jamais faites.Et puis, sans réfléchir, j’ai parlé.
— Je peux vous dire quelque chose… ?
Elles ont levé la tête en même temps. Deux regards attentifs. Tendres. Curieux.
— Bien sûr, murmura Clara.
— Je… j’ai jamais… je veux dire… je n’ai jamais eu de rapport anal. Avec personne. Mais j’y pense depuis longtemps. C’est un vrai fantasme. Et là… avec vous… je sais pas. Ce serait…
Je n’ai pas fini ma phrase. Mes joues brûlaient. J’avais peur d’avoir cassé la magie, d’avoir dit un mot de trop.
Mais Laure a souri. Un sourire lent, complice.
— Tu veux que ta première fois, ce soit avec nous deux… ?
J’ai hoché la tête. C’était plus qu’un oui.
Clara a glissé une main entre mes jambes, doucement, comme pour sentir à quel point j’en avais envie encore. Mon sexe a réagi immédiatement. Elle m’a regardé, sérieuse cette fois.
— Tu nous fais confiance, Maxence ?
— Oui… complètement.
— Alors on va t’offrir ça. Tout en douceur. À notre façon. On va t’ouvrir… lentement. Et tu ne pourras plus jamais l’oublier.
Laure se redressa. Sa main alla chercher le petit flacon d’huile solaire dans son sac. Elle le secoua, s’installa derrière moi, et commença à m’embrasser le dos, les omoplates, la nuque. Clara s’approcha de mon visage, m’embrassa tendrement, comme une amante.
— Laisse-toi faire…
Le soleil avait disparu. Il ne restait que la chaleur du soir, le silence de la calanque, et mes deux déesses prêtes à me prendre. J’étais nu, offert, prêt.
Et elles allaient me guider.
Clara caressa ma joue du bout des doigts. — Tu veux apprendre ? J’ai hoché la tête, muet. Mon sexe était à nouveau dur. Mon souffle court.
Elle se tourna vers Laure, qui s’était déjà allongée sur le ventre, la tête tournée vers nous, le sourire aux lèvres. — Alors regarde bien…
Clara se plaça derrière elle, à califourchon sur ses cuisses. Elle écarta doucement ses fesses, révélant son intimité. Laure gémit doucement, frissonnante. Ses reins se creusèrent légèrement. — Un petit trou, ça ne se prend pas. Ça se prépare. Ça s’honore. D’abord, on le regarde. Elle ouvrit davantage, du bout des doigts. — On l’observe. Chaque corps est différent. Certains sont déjà détendus. D’autres demandent plus de temps. Il faut que la personne soit bien, excitée, en confiance.
Elle pencha son visage, souffla doucement sur l’anus de Laure, sans le toucher. Laure frissonna. — La première chose, c’est d’habituer la peau. La chaleur. La présence.
Puis Clara posa sa langue.
D’abord un simple effleurement. Juste le contact. Puis elle recommença. Un peu plus lent. Un peu plus large. Elle traçait des cercles, des spirales. Sa langue mouillée dessinait des formes invisibles. Laure gémit. Son corps ondulait à peine, offerte, soumise à cette caresse si précise.
— Tu vois, Maxence ? La langue, c’est magique. Ça fait tout fondre. Regarde-la… Elle adore ça.
Je ne pouvais pas détourner les yeux. Mes doigts serraient la serviette sous moi. J’avais envie de me toucher, mais je n’osais pas encore.
Clara continua. Sa bouche embrassait. Léchait. Parfois un petit coup de langue plus appuyé, qui faisait sursauter Laure. Puis elle laissa glisser un doigt, doucement, entre les fesses, jusqu’à l’entrée.
— Et ensuite, seulement ensuite, un doigt. Un seul. Lentement. Sans forcer. On tourne. On masse. Son index entrait et sortait, huilé, précis. — On laisse le muscle s’habituer. On écoute la respiration. On sent si c’est bon. Et quand c’est bon, on continue. On peut en mettre un deuxième. Puis trois. Mais jamais sans lubrifier. Et jamais sans regarder si la personne est bien.
Elle tourna la tête vers moi.
— Tu veux essayer sur elle ?
Mon cœur s’emballa.
Mais Laure, encore haletante, leva les yeux vers moi.
— Non. Pas maintenant. Bientôt… Pour l’instant, regarde.
Clara reprit, plus intensément. Deux doigts en elle. Puis trois. Sa langue sur le clitoris. Laure gémissait, râlait presque, le corps secoué de frissons. Ses mains griffaient la pierre.
Et moi, à côté, je n’étais plus que tension. Je venais d’assister à la plus belle leçon de sexe de ma vie.
Puis Laure se tourna vers moi
— Pour bien comprendre il faut que tu le ressentes. Est-ce que tu as déjà vu du pegging, mon bébé ? Un homme qui se fait prendre par une femme ?
— Oui… mais j’ai jamais osé. Tout comme j’ai jamais… sodomisé une femme non plus. J’ai envie. Mais je veux que ce soit… beau. Consenti. Vrai.
— Tu veux qu’on t’encule, Maxence ? demanda Laure, avec ce sourire qui mélangeait douceur et puissance. Qu’on te montre que tu peux jouir autrement ?
Je respirai fort.
Clara s’était redressée, le visage entre les cuisses de Laure, les lèvres brillantes, les doigts encore plongés dans l’intimité frémissante de son amie. Laure haletait, allongée sur le ventre, offerte, les joues rouges, les yeux mi-clos.
Elles avaient oublié que j’étais là. Ou plutôt… elles savaient parfaitement que j’étais là, et jouaient de ma présence comme d’un miroir.
Puis Clara se tourna vers moi. Elle s’approcha, nue, assurée, les doigts luisants d’huile.
— Tu es encore plus beau quand tu regardes. Ton sexe parle pour toi, Maxence. — Je… — Chut. Tu n’as rien à dire maintenant. Écoute. Ressens.
Elle se plaça derrière moi, tandis que Laure se glissait contre mon flanc gauche, sa main sur mon torse, sa bouche près de mon oreille.
— On va te faire vivre ce que peu d’hommes osent demander. Tu veux t’ouvrir ? On va t’aider à le faire bien.
Clara effleura mes fesses, doucement. Je frémis.
— Mets-toi à genoux. Appuie-toi sur les avant-bras. Laisse ton corps se relâcher. Je ne ferai rien que tu ne désires pas.
Je me mis en position, tremblant un peu, mais excité au-delà du supportable. Mon sexe battait, suspendu sous moi. Ma peau frissonnait à chaque souffle.
Clara s’installa derrière moi. Je la sentais respirer, calme, concentrée.
Elle écarta mes fesses lentement. — D’abord, je regarde. Ton corps est magnifique. Si jeune. Tendu. Je vais le faire parler autrement.
Elle souffla d’abord. Un souffle chaud sur mon intimité. Puis elle y posa sa langue. Juste un baiser. Puis un second. Laure me caressait la nuque, les cheveux, me murmurait : — Respire avec elle. Laisse-la te goûter. Elle adore ça.
Clara léchait à présent mon anus par mouvements circulaires. Doux. Profonds. Hypnotiques. Je me sentais fondre. Ma verge était raide, gouttant déjà de plaisir. Mon souffle devenait plus court, plus saccadé.
Puis Clara introduisit un doigt. Lentement. Huilé. Tendre.
Je sursautai légèrement, elle ne bougea plus.
— C’est normal. Ton corps découvre. Accueille-le. Respire… Voilà. Oui, comme ça.
Elle tourna doucement en moi. Ses mouvements étaient lents, contrôlés, précis. Mon anus palpitait, s’habituait, s’adaptait. Je sentais tout : la chaleur, la pression, le trouble. Puis un deuxième doigt. Et mon bassin s’arqua malgré moi.
Laure m’embrassait dans le cou, me caressait les tétons, son souffle chaud contre mon oreille.
— Tu es sublime, Maxence. Tu t’ouvres. Tu brilles.
Clara continuait. Deux doigts. Puis trois. Elle les faisait danser en moi. Appuyait parfois contre un point plus profond. Chaque pression me faisait gémir. Mon corps s’abandonnait. J’étais en feu, à l’intérieur, mais un feu de tendresse, de confiance, de jouissance lente.
— Tu veux jouir comme ça ? murmura Clara.
Je n’ai pas eu besoin de répondre.
Laure glissa sa main sous moi, saisit ma verge, la caressa doucement.
Et là… tout s’est mélangé.
Le massage de Clara, en moi. La main de Laure, sur moi. Leurs souffles. Leurs voix. La lumière de la fin du jour. Le goût du sel sur mes lèvres. Et cette sensation unique : celle d’être complètement à elles.
J’ai joui une deuxième fois. Plus fort encore. Un orgasme profond, explosif, qui m’a traversé de la tête aux pieds. Mon corps s’est contracté, mon dos s’est cambré, mes cuisses ont tremblé. Clara ne s’est pas arrêtée. Elle m’a guidé jusqu’au bout. Jusqu’à ce que je me vide complètement dans la main de Laure.
Puis je me suis effondré, à genoux, haletant, le cœur battant.
Clara m’a embrassé dans le dos. Laure m’a soufflé :
— Tu es un homme maintenant. Un homme qui sait s’ouvrir.
Et j’ai su que je ne pourrais plus jamais revenir en arrière.
J’étais encore à genoux, le souffle court, la peau trempée de sueur et de foutre, mes muscles tremblants. Clara avait retiré doucement ses doigts de moi, et m’avait embrassé dans le dos comme un trophée. Laure m’avait pris contre elle, son sein contre ma joue, ses doigts glissant doucement sur ma nuque.
Je pensais être vidé. Brûlé. Mais non.
Mais après quelques minutes et devant ces deux beautés. Je bandais encore. Fort. Plein. Vivant.
Elles ont échangé un regard complice.
— Regarde-moi ça, souffla Clara. Vingt ans… une queue d’acier après deux orgasmes… — Vive la jeunesse ! Il est prêt à en donner, maintenant, murmura Laure en se mordant la lèvre.
Je me suis redressé, d’abord sur les genoux, puis debout. Mon sexe pointait fièrement, lourd, tendu, palpitant.
Je les regardais. Deux femmes magnifiques, offertes, détendues, les jambes luisantes, la peau encore moite de plaisir.
— Maintenant… c’est moi qui vais vous enculer. Ma voix était plus grave. Plus sûre.
Laure se pencha en avant, se mit à quatre pattes, fesses bien relevées, son anus encore luisant de salive et d’huile. Elle me regarda par-dessus l’épaule.
— Tu sais ce que tu fais ? — Je sais ce que je veux.
Je m’agenouillai derrière elle. Ma main sur ses hanches. Mon gland glissa entre ses fesses. Je frottais doucement contre son trou, huilé, déjà détendu par le plaisir qu’elle avait donné à Clara. Je poussai lentement. Elle soupira.
— Doucement, Maxence. Va doucement…
Je pressai. Son muscle céda. Ma queue s’enfonça. L’anus de Laure m’engloutit. Centimètre après centimètre. Elle grogna. Sa main s’agrippa à la serviette.
— Putain… Il est large. Il est bon.
Je la pénétrai lentement, profondément. Son cul était chaud, serré, vivant. Je la baisais à l’envers, les mains sur ses hanches, les yeux fixés sur cette vue magnifique : ses fesses pleines, ma queue disparaissant en elle, ses reins qui ondulaient à chaque coup de bassin.
Clara s’était allongée à côté de nous, se caressait en nous regardant, sa main entre ses jambes, ses doigts brillants.
— Prends-la bien. Elle aime ça. Montre-lui comment un garçon peut devenir un homme.
Je m’enfonçais plus vite. Laure gémissait. Son cul s’ouvrait autour de moi, m’avalait, me serrait.
Puis je me retirai lentement, et me tournai vers Clara.
— Ton tour maintenant.
Elle sourit. Se mit à genoux. Écartant ses fesses, s’offrant sans un mot.
J’étais déjà prêt. Je m’agenouillai derrière elle, plaçai mon gland contre son petit trou. Elle était plus serrée que Laure. Je dus insister. Lentement. En soufflant.
— Oui… comme ça… oui… vas-y, Maxence… Je la pénétrai entièrement. D’un coup plus fort. Elle cria de plaisir, cambrée, offerte.
Je la baisai fort. Brutal. Tendre. Profond. Je tenais ses hanches, je sentais son cul avaler ma queue, ses gémissements résonner dans le silence de la calanque.
Laure s’était allongée devant Clara, l’embrassait à pleine bouche pendant que je la sodomisais. Et moi, j’étais entre elles. Dans leurs culs. Dans leurs souffles. Dans leur plaisir.
Quand j’ai senti que j’allais jouir encore, je me suis retiré. Clara s’est tournée, s’est agenouillée avec Laure. Toutes les deux, les fesses contre mes hanches, dos cambrés, trous ouverts.
— Tu veux finir où, chéri ? — Sur nous ? — Entre nous ?
Je me suis masturbées au dessus de leur cul. Elles écartaient chacune leurs fesses. J’avais une vision magnifique de leurs trous ouverts. Et j’ai joui sur leurs deux culs. Long, fort. Un jet, puis deux, puis trois. Mon sperme a éclaboussé leurs reins, leurs fesses, et a rempli leur caverne.
Elles ont ri. Se sont embrassées. Puis se sont léchées mutuellement la fente et l’anus, recueillant chaque goutte sur leur langue.
Et moi, je suis tombé sur le dos.
La tête vide. Le cœur plein.
Après l’orgasme, après les gémissements, après la peau salée et les reins brûlants… il ne restait plus que l’eau.
Clara m’a pris par la main. Laure m’a souri, ses cheveux collés à son front, le dos encore luisant de foutre. On a marché jusqu’au bord de la crique, nus, les jambes un peu molles, encore frissonnants de sexe.
L’eau était tiède. Accueillante. Parfaite.
Nous nous sommes glissés dedans comme dans un bain sacré. Clara nageait à reculons, les seins à peine immergés, le regard doux. Laure s’est accrochée à mon cou, ses jambes autour de ma taille, riant doucement.
— Tu viens de te faire ouvrir et tu nous as enculées toutes les deux… — C’est officiel, ajouta Clara, t’as gagné ta place chez nous.
On s’est embrassés dans l’eau, lentement. Plus de rôle. Plus de tension. Juste le plaisir d’être ensemble, de se sentir lavés, liés, trempés du même feu.
On est restés un long moment dans cette crique secrète, à flotter nus sous les étoiles, entre les rochers, nos corps encore vibrants, nos mains qui se cherchaient, se caressaient à peine, comme pour prolonger l’onde.
Et puis la phrase est venue. Spontanée. — Je ne veux pas repartir.
Elles se sont regardées, puis m’ont souri ensemble.
— Alors reste.
Et je suis resté.
Je n’ai pas dormi sur la plage. Je n’ai pas mangé de paninis. Mon compte Insta est resté vide.
Mais j’ai passé le reste de mes vacances dans leur maison en haut de la colline, entre les volets mi-clos, les draps en lin, les matins moites et les nuits étouffantes.
Je les ai baisées matin et soir.
À tour de rôle, ou ensemble. Dans le lit, sur le canapé, sous la douche, contre le mur de la cuisine. J’ai appris leurs corps, leurs goûts, leurs limites et leurs demandes. J’ai été leur amant, leur jouet, leur récompense.
Et elles, mes déesses.
Je suis revenu bronzé, vidé, grandi. Personne ne m’a cru. Mais moi, je le sais.
Cet été-là, j’ai tout vécu.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Miss_Sexcret
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ta prose érotique est de plus en plus subtile... et bandante !
Une histoire délicieuse et - comme toujours- très originale.
Tu décris parfaitement les sentiments de ces deux magnifiques femmes matures, belles, sexy, en recherche de plaisirs érotiques qu'elles atteindront rapidement avec ce très beau jeune homme qui découvre -enfin- les vrais délices de la chair, la sensualité, allant jusqu'à la sodomie active et passive avec un immense plaisir...
Encore un MUST, 1000 bravos !
Philippe
Une histoire délicieuse et - comme toujours- très originale.
Tu décris parfaitement les sentiments de ces deux magnifiques femmes matures, belles, sexy, en recherche de plaisirs érotiques qu'elles atteindront rapidement avec ce très beau jeune homme qui découvre -enfin- les vrais délices de la chair, la sensualité, allant jusqu'à la sodomie active et passive avec un immense plaisir...
Encore un MUST, 1000 bravos !
Philippe
Génial! J'ai adoré !
