L’épistolière : Le Modèle, épisode 3 – Des séances et des suites.

- Par l'auteur HDS Dyonisia -
Récit érotique écrit par Dyonisia [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : L’épistolière : Le Modèle,  épisode 3 – Des séances et des suites. Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2025 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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L’épistolière : Le Modèle, épisode 3 – Des séances et des suites.
[Avertissement :
Modèle vivant, modèle nu de surcroît, voilà une proposition inattendue lorsqu’elle vous surprend à bien plus de quarante ans. J’en tiens le journal au fil de l’expérience et j’en ai dès le début informé mes plus proches amies. Mais après tout, pourquoi réserver à elles seules ses sentiments et ses émotions quand on peut les partager avec des lectrices désireuses de connaître le déroulement de cette aventure ? Rien n’empêche, bien sûr, des lecteurs de s’y intéresser aussi.
Pour la clarté de lecture, les lettres initiées par « Ma Chérie » sont de moi, celles commençant par « Ma Chantal » sont de ma ou mes correspondante(s). Voici donc le troisième volet de l’échange de lettres que je retranscris fidèlement : début avril, les séances se poursuivent, sur la scène et après.]

§§§

Coucou ma Chantal !

J'ai honte mais j'ai été débordée. Un week-end en Suisse pour le travail. Je t'écris demain.

Je n'ai pas lu ta lettre exprès : j'en mouille d'avance mais je réserve cette mouille bien épaisse et gluante à la langue de Sandra On va lire tout ça au lit. Ça va sentir la crevette…

Je t'embrasse en espérant que chez toi ça sente bien le pipi.

§§§

N'ai pas honte, ma Chérie. Si tu me laves la mounine pisseuse, tu es pardonnée ! En plus, tu ne croyais pas si bien dire : j'ai vraiment la chatte odorante. Je comptais faire une petite toilette en rentrant, mais j'ai vu ton mot avant. J'ai gardé ma moule dans son jus.

Puisque je t'ai, là, j'en profite pour t'informer. Olga m'incite vivement à faire un récit de cette expérience. Si je réunis nos échanges, ça peut faire en effet un sujet amusant. Est-ce que ça t'ennuierait que j'utilise tes lettres ? Dis-moi franchement.

Et gardez-moi un peu de crevette, ce soir !

§§§

Ma Chantal,

Que je te raconte. Comme je te l'avais dit, je n'avais pas lu ta lettre et nous avions décidé avec Sandra de nous la réserver pour le soir. Donc, petit repas vite fait et nous voilà dans le lit. Que tu saches, si je ne te l'avais pas déjà dit, que nous avons un lit style américain qui nous permet d'accueillir des invitées afin de leur offrir le meilleur confort possible. Le pire, c'est que nous n'utilisons pas la moitié de surface puisque nous dormons collées l'une contre l'autre.

Donc, bien calées contre des oreillers moelleux, toutes nues et bien sûr nos sexes pas lavés depuis le matin. C'est fou ce que nous aimons nos parfums intimes, comme on dit. Sandra est comme moi. J'ai eu une relation avec une fille qui passait son temps à se laver la chatte et qui voulait que j'en fasse autant. Elle faisait l'amour avec fougue mais ce parfum de femme me manquait.

Bref, on a entamé la lecture. La description du body à bouton nous a rappelé des souvenirs à toutes les deux. J'aime bien les body, et les boutons ne me gênent pas, voire au contraire si tu vois ce que je veux dire... Sandra ne les supporte pas mais j'ai un entrejambe plus large qu'elle. Il faut reconnaître aussi qu'avec ses énormes pastèques ce n'est pas la tenue la plus adaptée. J'en porte assez peu mais Sandra adore quand j'en mets, surtout un en dentelle et transparent. Donc, nous avons savouré ta séance de pose. Nous étions d'accord pour imaginer combien on aurait aimé voir et dessiner ton gros cul et tes cuisses grasses. A ce passage, Sandra a cru bon de me faire mettre sur le ventre en se demandant si ton cul et tes cuisses étaient aussi gros que les miennes. Elle en est arrivée à la conclusion que non, je devais gagner le concours. Tu vois le niveau ! Mais cela a grandement accentué le développement de clitounet.

Je ne suis pas certaine que nous aurions aimé poser comme ça, mais nous sommes convaincues de l'excitation que cela doit procurer. Quand tu parles de tes tétons, les nôtres étaient tendus. L'idée que Manon et Cynthia te réconfortent sous la douche nous a définitivement fait perdre le fil de ta lettre. Il ne nous a pas paru raisonnable de poursuivre nos caresses dans le lit tant le risque réciproque de grosse "fuite" était important. Dans la salle de bain nous avons tiré au sort celle qui commencerait car l'autre n'était pas sûre de pouvoir se retenir. Sandra a gagné. J'ai pris ses lèvres inondées et gluantes entre mes lèvres et son bouton nacré et luisant au bout de ma langue. Le petit gland était dur, deux coups de langue et le jet de pipi est parti. J’étais presque noyée sans pouvoir tout déglutir. Elle a joui en tremblant de tout son corps et chaque spasme augmentait la fuite du liquide jaune et odorant. Je ne sais pas comment j'ai pu me retenir, accroupie, le visage enfoui entre ses cuisses.

Elle s'est assise épuisée de jouissance et je me suis dépêchée de m'installer au-dessus d'elle. Elle avait à peine saisi clitounet entre ses lèvres que je lâchais prise et que, à mon tour, je l'arrosais. Le visage couvert de pipi, elle serra si fort clitounet entre ses lèvres que cela déclencha une vive douleur et un orgasme dévastateur. Elle mordilla même un peu cette petite tige turgescente. Les spasmes me firent presque basculer.

Assises l'une en face de l'autre, on récupérait doucement, lol. Sandra dans un grand éclat de dire m’a dit « wir sind wirklich große Schweine »*. Je pense que tu feras facilement la traduction. Si je te dis que la vision de Sandra assise dans la douche les jambes écartées et les seins qui pendaient et s'agitaient dans les soubresauts du rire n'a pas calmé clitounet. Nous nous sommes masturbées rapidement l'une en face de l'autre. Clitounet était irrité et tendu, douloureux tellement je le frottais. De la main libre, je me suis pincée brutalement un téton, et hop nouvelle jouissance. En récupérant, je me demandais si tout ça était bien de notre âge.

Tu peux bien sûr utiliser mes lettres si tu veux, mais ne cite pas nos professions. Tu peux parler de clitounet : il n'y a que celles qui l'ont vu ou sucé qui pourraient reconnaître sa propriétaire. Les pastèques de Sandra sont plus voyantes, mais ici il y a beaucoup de femmes avec des poitrines comme ça.

Nous, on te lèche le con et le cul. Est-ce que Manon et Cynthia t'ont léchée ensemble ?
J'ai envie de sentir le parfum de ton sexe, la douce odeur de sous tes seins.

(* « nous sommes vraiment de grandes cochonnes »)

§§§

Ma Chérie,

J'ai bien aimé ces échanges de confidences sur le boutonnage ou non à l'entrejambes des bodys. Je te rejoins si c'est pour tourmenter la chatte, sinon je suis plutôt tendance Sandra. De toute manière, le résultat est en général le même : le gousset est trempé, si ce n'est de mouille, c'est d'un reste de pipi, lol ! Et pour vous confirmer ce que Sandra pense de vos pratiques, oui mes chéries, vous êtes deux grosses cochonnes ! Et c'est pour ça que je vous adore. Pas que moi d'ailleurs : Manon se délecte des échanges que je lui laisse lire, ça lui donne des idées à mettre en pratique avec Cynthia et/ou avec moi, lol !

Je me rends compte que ma dernière lettre a dû vous laisser un goût d’inachevé. Et pour cause : j’ai fait sauter le dernier paragraphe en te l’envoyant ! Oui, je sais, c’est une erreur impardonnable dont vous me punirez à votre convenance. J’accepte d’avance les sanctions que vous m’imposerez. En attendant, après qu’Aurore ait croqué ma chatte et que Sandrine m’ait présenté la sienne, voici la suite qui manquait.

Manon et Cynthia se sont déculottées à leur tour (enfin, déculotté est un grand mot : Cynthia avait un string qu'elle a écarté et Manon des collants qu'elle a baissés sur les cuisses) et Aurore nous a gratifiées d'une rapide descente de son pantalon. Rien dessous en effet, ni linge ni poils ! Une vulve étroite, lèvres fines et fente fermée, plus en longueur qu'en largeur, si j'ose dire, tout comme sa silhouette, et très sombre de peau. Nous n'en avons pas vu plus, elle s'est vite rajustée, nous aussi et nous ne sommes pas allées plus loin. Je n'ai pas osé insister, et j'avoue qu'en y repensant je le regrette. Comme je regrette d'avoir décliné son offre de venir prendre l'apéritif samedi dernier. Je n'ai pas eu à m'en plaindre, grâce aux filles, mais elle avait peut-être l'intention de reprendre où nous en étions restées.

Que veux-tu, je fais mes premiers pas comme modèle. J'ai le respect de l'artiste et du prof, ça m'impressionne, ça me rend timide ! Je vous promets que je vais me soigner !

Je suis arrivée à la coloc des filles depuis peu. Demain, je pose ! J’ai vu ta lettre avant de me coucher. J'allais faire ma petite toilette, mais après t'avoir lue, j'en ai fait l'économie : le parfum de mon sexe t'enchanterait beaucoup plus avec le coup de neuf qu'il vient d'avoir. Manon se marre à côté de moi (elle a regardé par-dessus mon épaule, ça ne te gêne pas, j'espère ?) et, comme moi, elle reconnaît tes qualités de sybarite à la seule évocation de la douce odeur de sous les seins.

Je vous tiendrai informées des séances de dessin demain soir, si je ne suis pas trop épuisée. En attendant, mes chéries, je vous offre les craquettes de Manon et Cynthia à lécher (elles se sont un peu amusées entre elles pour tromper l'attente de mon arrivée). Quant à moi, je vais au dodo. Les filles sont d'accord aussi pour que je néglige encore la salle de bain avant de dormir avec elles. (Le lit n'est pas aussi immense que ceux que tu fréquentes, mais au moins nous ne risquons pas d'avoir froid.)

Ah, et pour finir en satisfaisant ta curiosité lubrique, oui, Manon et Cynthia me lèchent souvent ensemble, une le cul, une le con, sans exclusive attribuée. C'est l'avantage du trio : il y en a toujours une qui profite des langues des autres. Je ne me prive pas de faire équipe avec Manon ou avec Cynthia pour enchanter la réceptrice.

§§§

Ma Chantal,

Tu as de la chance de te faire lécher le con et le cul par deux petites jeunesses. Je pars tout à l'heure pour Londres quelques jours. Je trouve que je deviens trop vieille pour ce genre de chose imprévue, lol. En plus, Sandra ne peut pas venir.

Pour t'expliquer, tu sais que le week-end précédent on a été en Suisse. Lol ! La Suissesse a encore pris quelques kilos, ça lui va encore bien mais il ne faudrait pas que ça continue. Charlus était là avec "un ami" (lol) super sympa, et on a pu se rendre compte dans leur piscine que l'ami s'intéressait beaucoup au sexe de Charlus et inversement. Si je suis objective, l'ami a un super sexe, évidement épilé, très droit et long. Parfait pour l'anus ! Un peu comme mon ex. Tu vois que l’ambiance était décontractée, lol. En plus, une copine à la Suissesse est arrivée pour déjeuner, une superbe métisse genre mélange Europe et Amérique du Sud. Une artiste ou plutôt une protégée de la Suissesse. Elle a plus pris côté Sud Amérique que Europe.

On est retournés à la piscine avant de repartir et elle s'est mise à poil comme tout le monde. Des seins genre prothèses mais sans prothèses, lol. Avec des pointes énormes et presque noires. Elle ne quittait pas des yeux les pastèques de Sandra, petit combat de bonnet D contre F, lol. ET surtout un clitoris énorme, lol, une grave concurrence à clitounet. Quand elle a vu clitounet, elle est venue vers moi et a dit en rigolant qu'on avait un point commun. En fait, il y a un peu de différence : le sien est plus gros mais moins long, avec surtout un gland très développé qui s'épanouit vers les petites lèvres. Elle m'a expliqué qu'elle s'était faite opérer pour diminuer les petites lèvres qui étaient selon elle "envahissantes" et elle en avait profité pour faire un peu couper le capuchon ce qui faisait une sorte de "circoncision". Le gland était toujours exposé et elle me dit qu'elle adorait. Je dois dire que clitounet était mis à rude épreuve.

A un moment, elle était assise sur le bord les jambes pliées, genoux sous le menton. Tu vois un peu l'exposition du sexe… Et à côté, il y avait Sandra assise avec ses seins qui pendaient sur le ventre, lol ! Comme une gamine, j'ai pincé très fort clitounet (j'étais dans l'eau) juste pour avoir un petit orgasme pour me détendre. Sandra me regardait en riant.

On a aussi parlé boulot et l'ami de Charlus fait une ouverture de galerie à Londres. Donc je suis invitée à Londres, je ne voulais pas trop y aller mais Sandra m'y a poussée. Tout frais payé en plus, sauf le vol. Sandra me dit qu'il faudra pour la peine que je lui raconte le goût et l'odeur du gros clito, lol. Question de cela, nos sexes étaient parfaits ce matin…

On t'embrasse partout. Moi j'aime bien ton trou du cul et Sandra prend le con, lol ! Tu auras la suite demain.


§§§

Maud Chérie,

Je fais une entorse à mes traditions nocturnes parce que si je ne te réponds pas maintenant que j'ai un créneau, je vais repousser encore l'écriture de ma lettre !

Pour te situer le contexte : Jeanne a chopé un gros rhume, peut-être une bronchite. En rentrant, hier, je l'ai trouvée grelottant de fièvre, et température prise (si, si, dans le cul !), elle avait plus de trente-neuf. Je l'ai couchée, roulée à poil dans un drap, entre deux couettes, avec pilules et grog bien chaud. Ce matin, elle allait mieux, mais je suis restée chez moi pour faire la garde-malade, et je lui prends la température régulièrement.

J'ai enlevé ton prénom dans nos lettres que je retranscris. Je ne mets que "Ma chérie" et j'ai remplacé celui de ta compagne par « Sandra ». Je peux mettre un autre prénom à la place, si elle veut. Hildegarde, (von Bingen), par exemple ? Enfin, dites-moi ! J'éviterai de révéler vos professions, bien sûr.

(Un instant, je vais reprendre la température rectale de Jeanne. Il faut surveiller régulièrement, lol !)

Voilà, c'est fait ! (J'aime bien, et puis autant joindre l'utile à l'agréable, non ? Je la fais mettre à quatre pattes, ses gants de toilette pendouillent que c'en est un plaisir, et j'écarte ses fesses maigres pour amener au jour son troufignon - elle a un anus curieusement petit - et je lui enfonce le thermomètre. Ça la gêne toujours un peu d'être exposée et introduite ainsi, mais c'est une gêne excitante, lol ! Je lui ai promis de lui faire prendre sa température anale par Manon, si l'occasion se présente. Elle en a rougi, sans me le défendre, lol !)

Bon, où j'en étais ? Ah oui, je voulais te raconter mes séances de samedi. Mais d'abord, je veux te dire : j'écoutais France Culture entre midi et deux, il y avait une nana, pratiquement de mon âge mais lesbienne depuis ses cinq ans, lol, qui faisait un éloge du cunnilingus comme j'en ai rarement entendu ! "Les pieds sur terre" qu'elle s'appelle, l'émission. Là, c'était plutôt "les lèvres sur la foune", lol ! Ce qu'elle en disait était très poétique et très amoureux du sexe, qui que soit la femme. Une communion intime qui fait se livrer et s'approprier l'une l'autre. Elle en parlait très bien. J'ai juste regretté qu'elle n'évoque pas les odeurs, et le mélange de saveurs et parfums lorsqu'on s'embrasse à pleine bouche ensuite.

Donc, j'en viens au principal, ma deuxième série de poses. Il y a eu du bon et du moins bon pour ces séances...

D'abord, Aurore m'a fourni un justaucorps de sa sœur qui a un peu la même morphologie que moi. Il me moulait bien en détails de partout tout en étant moins transparent que mon body. Donc, les élèves voyaient les reliefs de ma poitrine et de mes formes intimes mais un peu comme si c'était sur un mannequin. Ensuite, Aurore a voulu me faire prendre une pose un peu compliquée pour moi : les bras en l'air pour tenir un ballon, le corps cambré et la jambe gauche relevée en arrière, comme si je courrai... Je n'ai pas pu tenir la pose plus de deux ou trois minutes, et encore, en tremblant ! Ou plus exactement en vacillant à la recherche de mon équilibre ! On a réessayé, mais à chaque fois ça a été un échec, je ne restais pas assez longtemps pour que les élèves puissent me "croquer". Finalement, elle m'a fait garder les deux pieds sur l'estrade et rester de profil, juste les bras en l'air avec le ballon au bout des doigts, bien cambrée pour faire ressortir mes seins et mes fesses. Là, j'ai pu tenir assez pour que ce soit profitable aux élèves, lol !

L'attrait de la nouveauté s'était peut-être éloigné car il y avait moins de monde que la première fois (les curiosités satisfaites ?) : à peine une douzaine de filles, toujours largement réparties entre différentes générations. Mais cette fois elles sont presque toutes restées pour la séance de nu intégral. Ne sont parties qu'une dame de mon âge (qui avait des obligations pour la soirée, s'est-elle excusée) et la plus jeune, qui pourtant s'était mise au premier rang pour le premier cours. Je parierais qu'elle brûle d'envie de voir ma vulve mais qu'elle n'ose pas rester... Elle ne va pourtant pas attendre d’être mariée pour regarder le sexe d'une dame de l'âge de sa mère ! J'ai suggéré à Aurore de lui parler, ça l'encouragerait, je pense.

C'est la plus vieille qui a pris sa place au premier rang devant moi. (J'avais l'impression que c'était Jeanne qui me regardait !) J'étais bien visible, de face, les mains croisées sur la nuque, les épaules en arrière et les jambes en oblique. C'était facile et c'était excitant. Je n'ai pas eu besoin de m'asseoir entre les poses (je m'habitue, lol !) mais je suis sûre que les plus proches ont vu que mes tétons étaient bandés et que mes petites lèvres étaient humides.
Ce qui est dommage c'est qu'on ne peut utiliser que cette estrade, et une chaise dessus à la rigueur. Ça limite les possibilités de positions pour les poses, c'est pratiquement toujours debout. Il faudrait un canapé ou un lit pour varier les approches du corps.

Côté discrétion sur nos relations entre les filles et moi, c'est fichu depuis avant le premier cours de ce samedi ! Manon, Cynthia et moi étions venues dans ma voiture. Je n'ai pas pris garde qu'une femme et quelques filles avaient aussi fait voiture commune et l'avaient garée pas loin de nous. Manon et Cynthia me parlaient librement quand les autres nous ont rattrapées. Maintenant, on sait que je suis la mère de Manon et que Cynthia est ma belle-fille, lol !

A la fin des séances je voulais emporter le justaucorps de Sandrine pour le laver, mais Aurore n'a pas accepté. Elle l'a vérifié et a trouvé que ça n'en valait pas la peine. Après tout, je ne l'avais porté qu'une heure et il n'y avait que quelques traces à peine mouillées sous les bras, sous les seins et entre les jambes. Il aura le temps de sécher ! Je suis quand même partie tout de suite après avoir aidé Aurore à ranger le matériel. Elle nous a proposé de venir prendre l'apéritif mais j'étais pressée de rentrer et de me détendre. J'hésite à te dire la suite...

Nan, c'est pas vrai, je mouille d'envie de te la raconter, lol ! Nous n'étions que nous trois à la coloc mais je n'ai pas pu attendre d'y être revenue. J'ai confié le volant à Manon et je me suis masturbée à côté d'elle pendant que Cynthia me pressait les seins libérés de ma robe depuis le siège arrière. Nous n'avons pas été coincées dans les embouteillages, heureusement ! Nous sommes allées manger une pizza et nous avons continué à nous détendre une fois couchées.

Dimanche après-midi, j'ai laissé Cynthia et Manon partir seules en balade. (Pour ne pas être obligée de rentrer chez moi avant hier, j'avais apporté un dossier à finir.) En fait, elles ont rencontré Aurore et sa sœur en chemin et ont fini l'après-midi avec elles. Ma peste de fille leur a raconté mes exploits au retour des séances, ça a beaucoup amusé leur prof, parait-il, lol ! Tu vois où ça mène la confiance entre elle et moi !

Je vous mordille le clito, mes chéries. Ton clitounet est trop tentant, et tu m'as expliqué que le bouton nacré de Sandra était juste à portée de dents... Mais n'hésitez pas à pisser si la douleur vous l'impose, il ne faut jamais perdre une occasion de trinquer à la santé des amies.

§§§

Ma Chantal,

Je dois dire que Sandra et moi avons pensé à ta séance de pose en t'imaginant exposant ton sexe aux regards, mais pas du tout debout avec un ballon entre les mains !

Après avoir lu ta lettre hier soir nous n'avions pas de ballon sous la main et nous avons tenté la reproduction de tes poses en tenant une petite mappemonde ancienne à bout de bras. Pour faire encore plus vrai Sandra a voulu monter sur un petit repose pieds afin que je puisse l'admirer d'en bas ! A part nous exciter mutuellement je n’ai pas trouvé que nous aurions été de bon modèles.

Nous pouvions nous voir dans un miroir de l'entrée et nous n'avons ni l'une ni l'autre été convaincues par cette position académique. Sandra en a profité pour constater que ses seins ne remontaient pas plus que ça en levant les bras et que les pointes regardaient toujours vers le bas. Moi j'étais, tu l'imagines, troublée par ces deux masses de chair qui pendaient et s'agitaient à chaque mouvement. Rien que d'y penser… Manon est-elle attirée par les grosses poitrines ?

[Ici, un intéressant développement sur une nuit londonienne, mais sans rapport avec le sujet.]

Que feras-tu finalement des lettres que tu retranscris ? Et puis, arrête de prendre la température de Jeanne !

On te lèche profondément

§§§

Maud Chérie,

À mon tour de sourire en vous imaginant Sandra et toi vous essayer à cette pose acrobatique, et vous représenter tenant au bout des doigts la petite mappemonde m'a fait penser à une scène d'un célèbre film de Chaplin.

Eh non, cette attitude n'a rien de commode, mais ne vous désolez pas vous ne deviez pas avoir l'air plus ridicule que moi. Aurore a dû croire que mes rondeurs et ma cellulite donneraient plus de facilité à ses élèves de reproduire une scène à réserver plutôt aux sylphides de son acabit. Quand elle me l'a montrée, la pose était élégante. Quand je l'ai prise... D'où les deux pieds sur l'estrade, ce qui, évidemment, faisait moins aérien !

Mais au moins, vous, vous l'avez reproduite à poil, choix qui laissait vos lolos libres de ballotter au gré de vos mouvements et libres de vous inspirer des pensées libidineuses. Les miens contraints dans le justaucorps affichaient plus de lourdeur qu'ils n'inspiraient l'érotisme. Aurore aurait dû me la faire répéter pour la séance de nu intégral, ça n'aurait pas été pire que d'exposer aux filles et aux dames le W de ma vulve lisse entre les capitons de mes cuisses écartées.

Je reconnais cependant que, sur les plans de la largeur du popotin comme du diamètre des cuisses, je dois m'avouer sans doute moins bien pourvue que toi. Manon s'est fait une projection de toi d'après ce qu'elle a pu en lire, et, sans dédaigner ton opulence, elle m'a assuré préférer que je sois moins enrobée que ma chérie Andréa. Elle aimerait malgré tout que j'ai plus de poitrine, celle d'Andréa lui semble à peine convenable. Donc, tu vois, Sandra aurait ses chances auprès d'elle !

Autant te dire aussi, qu'à sa demande et à celle de sa chérie à elle, j'ai repris le soir la pose au ballon sur une chaise, sans ballon et sans rien d'autre. Le résultat n'était guère plus convaincant mais, ô surprise, je tenais sur un pied et l'autre en l'air, la mounine bien dégagée. C'était sans doute l'entrejambes du justaucorps qui l'empêchait de se sentir à l'aise pendant la séance "tout public" et compromettait de ce fait mon équilibre.

Quant aux prises de température dans le cul de Jeanne, je les ai arrêtées hier matin, d'une part parce qu'elle allait beaucoup mieux, et d'autre part parce qu'elle m'avait collé son virus. C'est donc elle qui s'est occupée de me sonder entre les fesses, et qui s'est fait un plaisir de renouveler ce soin quand Andréa m'a appelée pour avoir des nouvelles. Manon en a bénéficié aussi, mais elle a dû se contenter de la description et du son.

J'ai repris du poil de la bête ce soir, mais mon état m'a fait annuler les séances prévues ce samedi. C'est ennuyeux parce que la semaine d'après le cours de dessin fera relâche pour cause de Pâques. Report de l'exhibition jusqu'à fin Avril donc. (D'ailleurs, j'aurais dû me méfier : en avril ne te découvre pas d'un fil, dit le proverbe, non ?) Mais en compensation, et c'est largement plus que ça, je recevrai toute ma tribu d'amie, d'amante, de fille, de belle-fille, et peut-être d'amie de ces deux ci, pour un très long week-end, à Pâques justement. J'ai même bon espoir que Marianne et Émilie se joignent à nous. J'attends confirmation avant de retenir une journée au hammam pour toute la smala. La matrone sera ravie de voir autant de roumies donner à ses nymphettes de quoi employer pleinement leurs mains agiles. (Et en plus, ça lui fait de la pub auprès de sa clientèle locale.)

J'adore être léchée, devant et derrière, mais sous les seins et les bras aussi. J'aimerais bien avoir le pied de l'une dans la chatte et sucer les orteils de l'autre pendant que vous me pisseriez toutes les deux dessus, mes cochonnes de grosses marmottes lisses chéries.

PS J'ai oublier de te dire : les lettres sur "le modèle", je m'en servirai pour faire un récit sur mon expérience de poses nues que Olga m'encourage à publier sur HDS.
Baisers mouillés et odorants

PPS : je m'aperçois que je ne t'ai rien dit de l'expertise des filles question rafraîchissement de mounine ! Mais je suis en charrette : j’ai eu confirmation de l'arrivée de ma tribu augmentée de Marianne, Émilie, et une autre fille, lol. Même en se serrant bien, ça fera beaucoup de corps à caser en un seul lit. Nous ferons des rotations d'hébergements et de couples entre la maison de Jeanne et la mienne. J'ai préparé un tableau Excel, lol ! Et j'ai affolé la matrone en lui réservant huit massages-épilations pour dimanche prochain. Trop fière !

§§§

Ma Chantal,

Je savais que nous avions quelques points communs, lol, mais cette impression s'accentue : je viens d'être terrassée par un virus.

Enfin j'exagère un peu dans le mot terrassée, disons un brin fébrile et mal foutue. Bien que de nature partageuse, je n'ai pas refilé la chose à Sandra, elle est d'une résistance qui m'étonne toujours. Je n'ai pas été bien brutalement et j'ai guéri tout aussi brutalement.

Huit massages épilations, lol ! J’imagine la tête de ma matrone à moi si je faisais cette demande. Tu vas privatiser le Hammam ? J'imagine le mélange des odeurs d'eucalyptus et de romarin avec le parfum de huit sexes de femmes ouverts et bien coulants. Rien qu'à l'idée clitounet est déjà tout chose. Enfin tout chose... je le sens vouloir perforer le collant.

Pour en revenir à Londres, le vernissage devait avoir lieu le soir. Nous avions donc quartier libre pour la journée et j'ai choisi de retourner aux musées. On ne s'en lasse pas.

[Les passages suivants décrivent les intéressantes aventures de ma correspondante durant son séjour, mais son histoire ne m’appartenant pas je ne les ai pas retranscrites. Peut-être le ferons-nous ensemble, un jour. Qui le sait ?]

Finalement je suis rentrée, pas épanouie mais pas mécontente de ma soirée. Je n'ai pas fait le tour pour renseigner les uns et les autres de mon départ. Une fois dans la chambre, j'ai retiré ma robe et libéré mes seins d'un soutif un peu serré. Comme une gamine, je suis restée un moment devant le grand miroir juste en Tanga, bas et porte-jarretelles. J’ai même remis les chaussures. Lol ! Je faisais un peu pute comme ça, mais finalement j'en suis arrivée à la conclusion que si je me rencontrais moi-même, j'aurais envie de moi…

Je suis restée dans cette tenue, moins la culotte et moins les chaussures, et je me suis allongée pour une longue masturbation qui m'apporta un orgasme de dingue. Lol !

À midi, j'ai eu un texto de Sandra qui m'informait que Hanna était de nouveau "célibataire" et évidemment dévastée par cette rupture. Donc Hanna venait passer la nuit à la maison et comme d'habitude ça finirait par des cochonneries au lit entre les deux sœurs qui en plus adoraient ça. J’ai pris un avion en fin d'après midi. Juste le temps de passer prendre mon sac à l'hôtel et j'étais à la maison vers 21h. Autre endroit autre ambiance ! Hanna était là, avec les yeux au milieu de la figure et Sandra toute contente de me voir qui levait les yeux au ciel.

J'avais envie de faire l'amour avec Sandra mais je sentais bien la chose compliquée, lol. Pas compliquée pour le sexe, mais pour l'intimité. Et en effet, comme prévu, nous nous sommes retrouvées à trois dans le grand lit avec Hanna qui commençait à geindre. Sandra a pris les choses en main, si j'ose dire, et commença à caresser sa sœur pour l'apaiser. Les caresses ont rapidement pris une tournure prévisible sur quelques zones sensibles, lol. Hanna oublia assez vite ses jérémiades pour les remplacer par des soupirs plus voluptueux, lol. Sandra avait pris une place stratégique entre Hanna et moi, une main pour chacune entre nos cuisses largement écartées. Le frottement des lèvres produisait un délicieux petit clapotis qui traduisait l'excitation de chairs gluantes.

Pour ma part, je malmenais violemment les seins de Sandra qui aime de plus en plus ce genre de caresse appuyée. Hanna se redressa brusquement sous un plaisir manifestement intense, elle laissa passer un petit temps et s'installa entre les cuisses de sa sœur pour la caresser avec un de ses gros seins. Elle frottait la vulve de toute la surface de son énorme aréole et de son petit téton. Sandra explosa rapidement et sans attendre Hanna me fit sucer son sein couvert d'une bonne couche de la cyprine de Sandra, épaisse et odorante, un délice. Sandra redoubla d'intérêt pour mon sexe, tapota de plus en plus vivement ma vulve comme si elle fouettait clitounet et je jouis. J’aurais crié si je n'avais pas été bâillonnée et à moitié étouffée par la masse de chair douce du gros nichon d' Hanna...

Voilà mon retour à la maison. Et en t'écrivant ça clitounet est encore tout chose, lol, et je sais que je tache mon collant déjà bien imbibé. Sandra aussi a mis un collant ce matin, je suis sûre que nous allons en profiter ce soir. Hanna est retournée chez elle.

Je lèche tes orteils et je remonte vers ton sexe tout doucement.

(À suivre)

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L’épistolière : Le Modèle, épisode 2 – Premières séances - Récit érotique publié le 09-05-2025
L’épistolière : Le Modèle (épisode 1) - Récit érotique publié le 22-04-2025
L’épistolière : Les salopes de Pâques -3 - Récit érotique publié le 20-05-2024
L’épistolière : Les salopes de Pâques -2 - Récit érotique publié le 13-05-2024
L’épistolière : Les salopes de Pâques -1 - Récit érotique publié le 04-05-2024
LA TOMBOLA DU REVEILLON – 5/5 : Toilettages divers et autres plaisirs - Récit érotique publié le 11-04-2024
LA TOMBOLA DU REVEILLON – 4/5 : Comparaisons et punition - Récit érotique publié le 02-04-2024
LA TOMBOLA DU REVEILLON – 3/5 : « Honneur aux dames » - Récit érotique publié le 25-03-2024
LA TOMBOLA DU REVEILLON – 2/5 : Repas de choix et cadeaux du sort - Récit érotique publié le 20-03-2024