Le séjour d'Andréa – 2ème partie

- Par l'auteur HDS Dyonisia -
Récit érotique écrit par Dyonisia [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Le séjour d'Andréa – 2ème partie Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-06-2025 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Le séjour d'Andréa – 2ème partie
[Avertissement de l’auteure : le travail m’a rattrapée et j’ai pris du retard dans la transcription de mes lettres sur mon expérience de modèle nu. Voici la suite d’une autre, plus ancienne, mais qui, après relecture, m’a semblé pouvoir intéresser quelques autres coquines et coquins, et faire patienter celles et ceux qui languiraient des dessins sur le motif vivant.]


« Marraine Chantal à sa douce et tendre filleule chérie »


En te racontant la scène du massage au Sonia Parfum, j’ai évoqué une anecdote que je ne t’avais peut-être pas encore avouée. Elle s’est déroulée la dernière nuit de mon séjour dans la coloc de Manon lorsque je l’avais aidée à réaménager sa chambre. Andréa était repartie, Alida, la troisième coloc était revenue, et ni Manon ni Sandrine ne voulait lui montrer de but en blanc leur relation nouvelle. Chacune chez soi leur paraissait préférable dans un premier temps.

Je m’étais donc couchée avec Manon. Il faut que je te dise que quand elle était plus jeune, elle avait les tétons invaginés, ses mamelons faisaient des creux au bout des seins. Ça la gênait parce qu'on voyait tout de suite quand elle était excitée : les tétons sortaient ! Maintenant, il n'y a que le gauche qui a le bout un peu rentré, ce qui disparaît toujours avec l'excitation. Bref, quand on la connaît, on sait tout de suite, avant même que les deux durcissent. Eh bien, ce soir là c'était le cas, et les miens aussi étaient gonflés.

Nous étions allongées côte à côte, et nos tétons bandaient. Je m'en suis aperçue, elle aussi, c’était un peu gênant... Je lui ai confessé que je me languissais déjà de Andréa. Elle m’a confié que Sandrine lui manquait. J'aurais aimé m'isoler, elle aussi, mais ce n'était guère possible car il n’y avait que le salon de disponible. Que ce soit elle ou moi qui aille s’y branler, nous risquions d’être surprise. Par Sandrine, bien sûr, ce n’aurait pas été si grave, mais par Alida... Je ne la connaissais pratiquement pas, et Manon avait peur de la choquer.

Nous étions nues, c’est notre habitude pour dormir. Alors... Nous avons éteint la lumière et, oui, nous nous sommes caressées ensemble. Pas mutuellement, mais en nous masturbant l’une près de l’autre, comme deux collégiennes. J’en ai pourtant passé l'âge depuis longtemps ! J'ai joui à côté de Manon, elle a joui à côté de moi. J'aurais dû en avoir honte, elle aussi, je pense, mais ce sentiment ne nous a même pas effleurées dans l’orgasme. Au contraire, nous nous sommes étreint les mains, à son paroxysme.

Un bisou chaste ensuite et nous avons bien dormi. Il n’avait évidemment pas été question d'aller dans la salle de bain pour réveiller la maison. Nous ne sommes fontaine ni l'une ni l'autre, mais le drap était mouillé au matin. Disons que c'était la transpiration...

Cette nuit avait tout de même était particulière. La soirée après le Sonia Parfum l’avait été encore plus. Si, sur le moment, je m’étais écartée du ventre de Manon sans manifester trop visiblement ma confusion, le souvenir de l’instant m’était resté prégnant. Nous avions continué à nous caresser et à baiser, peut-être avec encore plus d’excitation et encore moins de pudeur. J’avais carrément doigté le trou du cul de Sandrine de l’index et du majeur pendant que Manon fourrait les siens dans son con et que Andréa lui tétait le clito. Son orgasme nous avait réjouies par les cris de plaisir qu’il lui avait arrachés.

Puis, nous avions échangé nos places et Andréa avait reçu les mêmes hommages. Ma bouche avait voisiné avec les doigts de Manon et ma langue avait léché sur eux la mouille sauvage de mon amie. J’avais éprouvé de la peur et du désir quand mes trois complices m’avaient assurée que c’était mon tour de livrer mes trous. Je tremblais que Manon me tète ou me doigte, mais je n’en mouillais que plus abondamment. J’avais repoussé l’échéance en plaidant pour l’alternance entre jeunes et vieilles.

Manon avait ainsi été gougnottée et branlée par Andréa et Sandrine tandis que je la serrais dans mes bras, son dos sur mes seins et sa nuque contre mon cou, ses cuisses abandonnées à mes mains qui les tenaient ouvertes et renversées. J’avais communié avec elle, joue à joue, dans son orgasme et peu s’en était fallu que nos bouches ne se soudent. Mais je ne pouvais plus retarder de me livrer. Aucune des trois ne l’aurait compris, et moi-même m’en serais voulu.

J’avais cependant hésité sur la position à prendre mais Manon m’avait devancée. Elle s’était étendue et m’avait tendu les bras. C’est moi, alors, qui m’étais allongée dans son giron, lui offrant mon abandon en inversant nos rôles. C’est elle qui avait saisi et écarté mes cuisses pour donner mes trous à fourrer et manger. C’est moi qui avait reposé mon dos sur ses seins et ma nuque sur son cou. C’est elle qui m’avait bercée et embrassée la joue. C’est moi qui avais crié mon orgasme, ma tête contre la sienne.

Nous nous étions alanguies ensuite, corps en sueur sur corps en sueur, rassasiées de sexe et chattes pantelantes. Nous nous étions douchées, pèle mêle, sans le sentiment confus de gêne qui survient parfois après l’orgie. Et nous avions enfin rejoint nos chambres respectives, Manon et Sandrine de leur côté, Andréa et moi du nôtre. Mais le sommeil avait tardé à venir, pour elle comme pour moi.

Je lui ai dit mon trouble et la raison de celui-ci. Elle s'en était aperçue, comme les deux autres probablement d'après elle. Elle ne voyait pas pourquoi je devrais m'en sentir coupable, ce n'avait été qu'une péripétie dans une partie de cul entre adultes et qu'une coïncidence si ma bouche s'était trouvée près de la vulve de Manon. Ce aurait pu aussi bien être le contraire. Bref, pour Andréa, il n'y avait pas de quoi fouetter un chat. Elle est même allée plus loin en soutenant que si d'aventure la chose s'était produite et que nous en ayons eu du plaisir l'une et l'autre, il n'y aurait pas lieu d'y chercher malice.

C'était bien à ce plaisir que j'avais pensais, et c'était d'avoir regretté son absence qui m'effrayait. D'où ma "retraite" à la campagne avec Andréa.

La maison n'est pas aussi isolée que le gîte où nous étions allées, ou que le refuge de la Colette de ma série, mais assez pour prendre le soleil sans voile. Le jour y était aussi chaud que sur la Côte, mais les nuits plus fraîches, et quel délassement c'était que d'exposer son corps aux étoiles après l'avoir offert au soleil. Peut-être qu'une vraie piscine aurait ajouté au charme du lieu, mais nous avons su nous contenter de celle hors sol, bien suffisante pour nous tremper et bien plus facile à entretenir.

Nous profitions du matin pour la baignade et le bronzage, de l'après-midi pour la sieste et le farniente, et réservions la fin de journée aux promenades en simples robes légères, très légères. L'ombre du crépuscule nous protégeait des transparences qui eussent pu choquer d'éventuelles rencontres. Il aurait certes mieux valu sortir plus tôt, à l'aube, mais nous nous réveillions trop tard. À dormir nues, la fenêtre ouverte, on ressent forcément plus le froid du milieu de la nuit. Du coup, on se rapproche pour se tenir chaud et ça donne des idées...

Nous sommes restées cinq jours dans ce havre de paix, le temps que la jeunesse s'amuse et libère mon home. Mais nous n'avons pas fait que baiser. Nous nous masturbions seules aussi, au soleil ou dans l'eau, par exemple, l'une après l'autre pour le plaisir de s'exhiber devant celle qui regardait, ou mutuellement pour le plaisir de retrouver la sensation des doigts mélangeant des liquides différents dans un vagin consentant. Et, bien sûr, nous n'avons pu résister à l'attrait ineffable du pipi face à face, dans l'herbe ou dans l'eau.

Sur ce dernier point, nous avons également expérimenté et apprécié le mixage des ciseaux et de la miction en piscine. Se frotter imbriquées chatte à chatte et pisser en même temps, procure une délicieuse impression. Essayer cette figure c'est l'adopter ! L'unique inconvénient de ces jeux de pipi dans l'eau, c'est que celle-ci doit être impérativement changée. Pour avoir négligé, un soir, par paresse, cette précaution, nous avons découvert le lendemain une mare fétide qui nous a obligées, malgré vidange et rinçage, à nettoyer soigneusement le tissu des bords pour en éliminer une odeur tenace.

Bien évidemment, nous n’allions pas nous limiter à ces jeux innocents, alors que nous étions libres de nous adonner à d’autres que j’ai jusqu’à présent évité de pratiquer devant Manon et ses amies. L’un de ceux que Andréa affectionne, réclame notamment le calme de la solitude à deux ou la présence d’un public averti. Si le lieu nous privait du plaisir de la seconde condition, il remplissait parfaitement la première.

Ainsi que l’exige la règle, Andréa s’est installée, à poil bien sûr, sur un fauteuil, une serviette sous les fesses et les cuisses sur les accoudoirs. Sa touffe rousse bien en vue, elle ouvrait sa chatte à deux mains en tirant sur ses lèvres charnues, sur ses nymphes, plus précisément, pour bien écarter la fente. Son gros bouton était déjà sorti de sa cachette, et la large entrée de son vagin était pleine de mouille tant l’attente de la suite l’excitait et faisait palpiter son trou à pipi.

Je me suis accroupie entre ses genoux et j’ai sorti de son emballage stérile la sonde urinaire que je lui ai enfilée dans l’urètre. Il faut être délicate pour faire entrer lentement ce petit tuyau, poser deux doigts sur la muqueuse autour du méat, et ne pas trembler quand le bout touche le trou. La copine infirmière qui lui procure les sondes m’avait montré comment procéder. Nous avions utilisé plusieurs exemplaires pour la démonstration et mes essais. Je n’avais pas blessé Andréa, heureusement, mais pendant deux jours elle avait eu des sensations de brûlure en pissant et mes léchouilles pour la calmer avaient dû être encore plus douces que d’habitude.

Depuis, j’ai fait des progrès – la copine dit que je pourrais me faire embaucher dans son service d’urologie - et c’est entré sans problème sur les premiers centimètres. Quand j’ai senti que la sonde butait sur l’anneau du sphincter urinaire, j’ai pris l’autre extrémité dans ma bouche avant de me mettre à quatre pattes. En le faisant, même seules, j’ai le réflexe de bien cambrer mes reins. Lorsque nous avons des témoins, ils peuvent ainsi voir à loisir ma foune épanouie, et mon exhibition ajoute au plaisir de Andréa d’être pénétrée à l’endroit le plus sensible de sa vulve. Ce soir là, j’ai en plus massé son clitoris avec mon pouce.

En même temps que j’obligeais la sonde à franchir l’obstacle, je maintenais dedans par l’autre bout une pression suffisante pour empêcher l’urine de s’écouler jusqu’à être sûre qu’elle était assez enfoncée. Alors, j’ai soufflé, comme dans une paille pour faire des bulles dans un verre. Andréa gémissait et souriait à cette sensation de l’air enflant son urètre et sa vessie. Pour la combattre, elle contractait les muscles internes de son ventre. Nous avons lutté un moment, moi soufflant, elle résistant. Puis, j’ai cédé.

La réaction de sa vessie a été immédiate et le pipi est sorti brusquement. La première fois, j’avais été surprise et failli m’étouffer. Maintenant, j’ai le réflexe de déglutir aussitôt qu’il emplit ma bouche. À force, j’ai pris l’habitude et j'avale presque tout. Bien sûr, quand il y en a trop, ça déborde de mes lèvres et ça coule sur mes seins. Ce fut le cas, à la grande joie de Andréa. Après, j’ai retiré la sonde et j’ai nettoyé sa chatte des gouttes qui avaient accompagné la sortie du tuyau. Elle en a fait de même pour celles qui roulaient encore sur ma poitrine et mon ventre.

D’ordinaire, pour me faire remercier, je me mets debout devant elle en dépiautant ma fève pour qu'elle la pince jusqu'à ce que je crie. Ensuite, elle me la tète pour me faire jouir. Là, elle s’est arrêtée avant. Elle m’a proposé d’échanger les rôles. Je ne suis pas aussi entraînée qu’elle aux jeux de trou à pipi. Je savais que ce serait un peu douloureux, mais j’ai accepté pour lui faire plaisir. Elle n’avait emporté qu’une sonde stérile et nous étions obligées de l’utiliser deux fois. Ce n’est pas conseillé, surtout sur deux personnes successivement, à cause des risques de contamination s’il y a une infection latente. Mais deux amantes partagent tout, n’est-ce pas ?

J’avais une appréhension, je l’avoue, en prenant sa place, les fesses sur la serviette mouillée. J’ai malgré tout offert ma moule bien ouverte, comme elle m’avait présenté la sienne. Elle s’est amusée à piqueter mes muqueuses au bord du vagin et autour du méat. De petites touches du bout arrondi du tuyau qui me tourmentaient délicieusement et augmentaient mon excitation. Je n’ai plus pensé à ma crainte de l’introduction, trop heureuse de me sentir mouiller de plus. Je n’ai même pas compris tout de suite que Andréa venait de forcer mon urètre. J’ai ressenti une vive douleur, brève mais aigue, quand la sonde a élargi le passage.

J’ai dû laisser échapper un cri, car Andréa m’a rappelé de me détendre. J’ai pris une grande inspiration et me suis concentrée sur les sensations qui me prenaient par ce chemin inhabituel. La douleur persistait, mais plus sourde. Je pouvais suivre la lente progression de la sonde à l’intérieur de moi. Le sphincter capitulait dans un éclair rayonnant. L’envie de pisser devenait irrépressible et impossible à la fois. Ma vessie semblait doubler de volume, au point d’envahir mon ventre. Andréa soufflait, je contractais mes muscles pour résister à cette pression et me libérer, une vraie inversion de situation, en effet.

Et soudain, un soulagement indicible, une satisfaction de pisser multipliée par dix, l’impression que je ne m’arrêterai jamais de couler, un frisson orgasmique dans tout mon corps, l’étrange sentiment d’être vidée au-delà du possible. Andréa ne se contentait pas d’avaler mon pipi, elle l’aspirait à travers la sonde, elle me pompait comme une vulgaire bouteille de soda. J’ai joui. J’ai joui sans toucher mes tétons ni mon clitoris. J’ai joui les doigts crispés sur les lèvres de ma vulve écartelée. J’ai joui de cette succion improbable.

Andréa était aux anges, moi aussi. J’ai encore eu un petit orgasme quand elle a retiré la sonde. Nous nous sommes embrassées, j’ai bu ma pisse sur ses lèvres. Nous nous sommes enlacées, nous nous sommes léchées partout. Je lui ai promis que nous recommencerions, mais pas trop souvent. J’étais épuisée dans tous les sens du terme, endolorie au plus intime de moi, et l’irritation sous jacente me promettait quelques mictions brûlantes. Mais dans mon coeur, bien plus que de cette jouissance extraordinaire, j’étais heureuse de cette nouvelle communion entre Andréa et moi.

La nuit a été calme et câline, comme toujours après nos excès. Au matin, j’ai découvert le texte d’une collègue adorée sur le site. Elle y décrivait la journée passée chez son hôtesse Paula. J’ai lu son récit en vitesse. La chatte d’Andréa avait ses exigences, la mienne aussi. Je lui ai donné ensuite mon cul pour une fessée carabinée dans le jardin. Ma vraie « punition » a été qu’elle cesse ses claques avant que j’aie joui sur mes doigts dans mon con. J’en ai été quitte pour un bain de siège dans l’eau encore fraîche.

Au retour de notre visite touristique – la seule du séjour – j’ai relu le fameux récit, à haute voix pour Andréa. Elle jouait à imiter l’une des protagonistes en me faisant remarquer que cette femme de l’histoire ne devait être guère plus âgée que nous. Elle me provoquait ouvertement en reproduisant dans son fauteuil les gestes lubriques des personnages. Pour me retenir, je jouais avec mes tétons, d'une main. L'autre faisait des va et vient entre mon clitoris et mon pad. La lecture finie, je lui ai sauté dessus pour un gougnottage éhonté suivi d’un chatte à chatte d’anthologie. Nous nous sommes promis de recommencer le lendemain, quand la suite serait publiée.

C’est ce que nous avons fait, mais au saut du lit, toutes parfumées des effluves de la nuit. Une lecture érotique à deux se savoure mieux dans les fragrances d’un vieux rut et sous la pression d’une vessie pleine. Quelques gouttes fuient et se mêlent aux coulées de cyprine. Les moules ont meilleur goût et leur frottement l’une sur l’autre est plus sensuel… De toute façon, c’était le dernier jour entier de notre « retraite ». Nous devions inspecter la maison et la remettre dans l’état où elle nous avait été prêtée afin de n’avoir qu’une serpillière à passer avant le départ.

Nous sommes sorties le soir pour marquer la fin du séjour par un resto conséquent et prolongé. En rentrant, nous avons jeté le superflu sur les sièges de la voiture et nous sommes accordées une longue balade nocturne, genre bain de minuit sans piscine ni lac, agrémentée de gros pipis sous les étoiles. Revenues délestées du trop plein d’alcool, l’amusant a été de trouver le message d’une copine nous racontant que sa chérie et elle venaient de fêter ce même soir une bonne nouvelle d’une manière similaire à la nôtre.

La douche a été négligée d’un cœur léger. Aucune importance puisque je remportais les draps. Nous l’avons prise le vendredi, ménage fait, avant le retour vers la Côte pour un dernier week-end de vacances en famille. Un voyage effectué sans problème autre qu’une circulation dense. La distance n’était pas très grande mais le trajet a été long et chaud. Même vêtues très léger, nous étions poisseuses de sueur, et aussi d’autre chose. Il fallait bien se distraire pendant les embouteillages ! L’arrivée a été surprenante.

Première surprise, la maison n’était pas en désordre. Deuxième surprise, Manon et sa copine n’étaient pas seules, une autre jeunesse était là, une certaine Mélanie. Troisième surprise, ces demoiselles étaient en culotte et faisaient le ménage. Pourquoi en culotte ? Je n’ai pas demandé, trop étonnée de les voir occupées à une telle tâche. Quatrième surprise, et celle-la était décevante, c’était la salle de bain qu’elles récuraient.

Les poils de nos aisselles gouttaient dans l’échancrure, nos culs étaient trempés, les tissus collaient à nos fesses et à nos seins, les robes entières étaient mouillées, devant comme derrière. Il était évident que nous devions nous décrasser. Se sont t’elles interrompues pour nous laisser la place ? Pas du tout !

Bon, eh bien, nous, on voulait prendre une douche, alors, ménage ou pas, on l’a prise. Mélanie ne s’est même pas détournée pendant que nous nous mettions à poil, je suppose que Manon l’avait briffée sur mon exhibitionnisme frénétique. Les trois sont restées à nous observer faire nos ablutions et notre pipi. Pas gênées, les coquines. Andréa en était ravie. Elle a poussé l’obligeance jusqu’à m’aider à pisser en m’écartant la chatte.

Certes, Manon m’a vue depuis longtemps, Sandrine m’avait surprise accroupie quelques jours avant. Qui va deux, va trois ! Je n’allais pas faire des manières à cause de Mélanie, hein ? La seule chose qui me chiffonnait c’était qu’elles soient en culotte, ce n’était pas correct ! D’ailleurs, Andréa leur en a fait la remarque. Elles ont rigolé, Manon leur avait fait lire les aventures de ma Marie la coquine et elles voulaient nous faire croire qu’elles aussi avaient leurs règles. Vérification faite, ce n’était pas le cas, bien sûr !

Du coup, j’ai été rassurée. J’avais un peu peur que Manon soit trop influencée par mon exemple, mais manifestement elle ne déteste pas les bites et prend ses précautions, comme Sandrine. Tant mieux, je préfère qu’elles soient bi et profitent à cent pour cent des plaisirs du sexe. Mélanie, c’est différent. Elle est lesbienne pure et dure depuis l’enfance (mais pas le genre camionneur, heureusement) et rêvait déjà, a-t-elle dit, de me voir à poil quand Manon et elle étaient au collège. Là, elle avait sous les yeux deux femmes mûres, pour le prix d’une. Nous avons satisfait sa curiosité en toute innocence, et contre réciprocité, bien sûr.

Le salon se prêtait plus confortablement que la salle de bain à cet échange. Donc, fini le ménage et place à l’éducation de la jeunesse. Sandrine et Manon ont voulu lui donner un côté récréatif (à la réflexion, j’imagine qu’elles avaient préparé leur coup) et ont proposé de nous bander les yeux pour la démonstration. L’idée nous a séduites. Elle ajoutait en effet une touche érotique à une banale séance didactique, n’est-ce pas ?

Je récapitule, pour que tu visualises bien. La rousse plantureuse et la blondinette rondelette debout au milieu de la pièce, les mains sur la nuque (tant qu’à faire esclave !) et les jambes écartées, entre trois jeunesses qui leur tournaient autour en examinant et commentant leurs hanches, fesses et lolos. Manon n’était pas la dernière à faire remarquer à Mélanie détails et défauts de nos morphologies respectives, bien aidée en cela par Sandrine.

C’était déjà troublant de les entendre décrire ce que les unes montraient et ce que l’autre voyait. Mais que dire de l’émotion en sentant ses seins palpés, son cul écarté ou sa chatte ouverte sans savoir à qui appartiennent les doigts qui le font ? Pour Andréa, qu’il s’agisse de Sandrine ou de Manon, c’était égal et, m’a-t-elle confirmé ensuite, très excitant. Pour moi… autant te dire que j’ai choisi de ne pas essayer de deviner.

J’ai même fermé les paupières sous mon bandeau pour ne pas être tentée de chercher à apercevoir ne serait-ce qu’une ombre. Alors, qui a soupesé nos doudounes, pressé et tété nos tétons ? Qui a retroussé la capuche du gros clito d’Andréa et qui a dépiauté ma fève ? Qui a fourré et ramoné nos cons et nos troufignons ? Mystère ! J’ai opté pour Mélanie, ou, au pire, Sandrine. Je veux le croire, mais rien n’est moins sûr.

Parce que, tu t’en doutes, elles n’en sont pas restées qu’au visuel. Mélanie souhaitait une exploration complète et comparative par le toucher, l’odeur et le goût. Elle a eu l’ouïe en prime. Tu pourrais rester de marbre, toi, dans ces conditions ? Moi non. Andréa s’est laissée aller, et j’ai suivi. Un joli concert de petits cris, en stéréo…

Il paraît que le spectacle était charmant. Je l’espère, bien que je craigne n’avoir démontré rien d’autre qu’une nature de grosse cochonne. En tous cas, c’était gentil à Manon de le dire. Mais charmante ou non, la représentation des dames était terminée. C’était au tour de Mélanie de se prêter à l’examen intime de son anatomie. Elle n’y a pas fait obstacle, remarque !

Il faut quand même que je te décrive d’abord un peu sa silhouette. J’avais gardé le souvenir d’une gamine quelconque que je n’ai pas reconnue dans le visage fin aux grands yeux noirs en amande et à la bouche sensuelle sous un nez bien dessiné. C’est une grande fille, châtain foncé, cheveux courts, totalement épilée, avec une poitrine haut placée, la taille fine, des hanches étroites, des mollets musclés et de longues cuisses sous un fessier rond et ferme. La demoiselle est sportive, pratique l’équitation et a une préférence pour les sports collectifs, à savoir notamment le football.

Nous avons tripoté ses seins, de belles poires bronzées aux tétons marron sur des aréoles plissées réduites aux mamelons en forte pointe, et aussi durs que longs. Soyeux en bouche, pourtant, quand Andréa ou moi ne nous amusions pas à les faire vibrer d’une pichenette. Le ventre plat et les fesses cambrées nous ont enchantées par la douceur de leur peau, bronzée là aussi, inutile de le préciser. Bref, nous l’avons palpée et caressée des pieds à la tête, avant de demander aux deux autres de la renverser sur le canapé et de lui ouvrir les jambes.

Ben oui, tiens ! Vu ce qu’elle avait enfilé dans nos chattes et nos culs, nous avions bien le droit d’en faire autant, il me semble. Nous nous sommes extasiées devant sa vulve plus lisse qu’une joue de bébé, et d’un grain aussi fin. Ses amantes doivent en redemander ! Cela dit, son épilation n’est pas une affaire de goût ou de mode, d’après elle, mais une exigence pratique pour ne pas avoir à se préoccuper d’un éventuel débordement sous un string dans les vestiaires. Ma grand-mère aurait dit « pour ne pas risquer que le persil sorte du sac ».

Je n’ai pas noté de différence de couleur sensible entre la peau nue du pubis et celle du reste du corps. L’exposition au soleil de Mélanie doit faire des ravages sur les plages (une pensée apitoyée pour les adonis que son exhibition fait donc bander sans espoir…) à la vue de sa fente longue, bordée, il faut le signaler, de grandes et de petites lèvres quasiment égales. Là, en raison de l’excitation sans doute, leurs plis ménageaient une fissure rose qui tranchait sur le mat des environs immédiats.

La chatte de Mélanie mérite que l’on s’y attarde. Sa fente rejoint presque la raie du cul, réduisant le périnée à la portion congrue. Ses nymphes sont si épaisses que l’on dirait presque qu’elle a quatre grandes lèvres... C’est surprenant, ça lui fait une grosse moule. J’ai cru que c’était à cause de l’excitation pour m’avoir tripotée sous toutes les coutures, mais non, c’est sa forme normale. Je suppose qu’elle évite les corsaires et les joggings moulants. Mais ça donne de quoi masser et mâchouiller !

On imaginerait que le clitoris serait en rapport. Ce n’est pas le cas. Il n’est ni très gros, ni très petit, mais son capuchon doit pâtir de la proximité des nymphes : il laisse le bout découvert. Sa taille, sa forme et sa couleur m’ont évoqué un berlingot. Idéal pour sucer… (Je n’ai pas essayé de l’étirer ou de le pincer, je ne connaissais quand même Mélanie que depuis quelques heures.) Par contre, le goût de son bonbon n’est pas sucré. Sa mouille est légère et acide, avec une note marine à l’odeur. Le pipi a des caractéristiques comparables, si j’en juge par les petites gouttes que j’ai léchées…

Pour son cul, la raie est profonde et les fesses sont très musclées mais elles se laissent facilement ouvrir. La rosette est rose, en étoile finement plissée qui s’écarte sans problème sur un doigt ou deux. Sa fragrance secrète est douce et à peine poivrée. Voilà, nous n’allions pas nous priver de découvrir les intimités de notre jeune invitée, dont le souvenir me fait me caresser en les décrivant. La chatte de Mélanie est un morceau de choix. Nous nous la disputions avec Andréa, et nous n'étions pas les seules. D'ailleurs, il parait qu'elle a eu beaucoup de succès lors de la réunion de copines organisée pendant notre absence…

Comme tu t’en doutes, après les observations nous sommes passées aux travaux pratiques. Autant dire que la fin d’après-midi et la soirée ont été émaillées de diverses figures de broute minous, de mêle croisées de cuisses, de tète tétons, de suce boutons et autres lèche trous entre différentes partenaires. Et là, je l’avoue, j’ai dû deux ou trois fois dépasser les limites. Dans le feu de l’action, tu ne sais pas toujours où se posent tes doigts ou tes lèvres.

Bref, nous n’avons que grignoté et avalé quelques bricoles solides et liquides pendant les courtes pauses nécessaires pour reprendre haleine et nous sustenter un minimum. La nuit a été relativement réduite mais le sommeil profond. Le lendemain matin, lui, a été fortement embaumé dans l’une et l’autre chambre…

C’est en allant rafraîchir nos moules qui sentaient vraiment la marée avancée que Andréa et moi sommes tombées sur nos trois coquines alignées sur le canapé devant la télé, les yeux fixés sur l’écran et la main entre les cuisses. Mélanie est passionnée de football féminin, ainsi que je le disais, et samedi il y avait la retransmission de la demi finale Australie/Suède. Je ne sais plus qu’elle est la joueuse Suédoise dont elle est fan, mais elle tenait absolument à la voir jouer et avait convaincu ses deux copines.

Elles étaient mignonnes, tiens ! Manon, une jambe sur un accoudoir, Sandrine une jambe sur l’autre, et Mélanie au centre, les cuisses sur celles de ses voisines, en train de se branler le clito en commentant le match, ou plus exactement les relations entre joueuses, du genre qui est l’amante de qui et avec qui elle était avant. Bien sûr, sa branlette avait été communicative, d’où la jolie scène que nous découvrions.

Je reconnais que les joueuses étaient de belles filles dont on pouvait aisément imaginer les fesses sous les shorts. Dommage qu’elles soient obligées de porter maillot et short, d’ailleurs. Je suis certaine qu’elles seraient plus à l’aise sans. Entre spectacle à la télé et spectacle sur le canapé, nous avons oublié notre toilette qui ne paraissait plus aussi indispensable, et nous nous sommes installées sans façon à côté des spectatrices. Voilà la vérité.

Les gamines aussi avaient négligé l’hygiène. Je suppose que Mélanie ne voulait pas rater le début de la diffusion. Il régnait donc un parfum, prononcé, dirais-je, dans le salon et notre arrivée ne l’a pas adouci. Je t’avouerais qu’au début, ce n’est pas l’écran que j’ai regardé. Elles étaient trop mignonnes à se tripoter la foufoune en se prenant parfois de leur main libre. J’avais eu tout loisir, la veille, de me régaler de leurs seins et de leurs chattes, mais que veux-tu, je ne m’en lassais pas !

Sans compter, que voir une fille se masturber te donne immédiatement envie de l’imiter, alors trois… L’ennui, c’est qu’elles occupaient les meilleures places, et que nous mettre sur des chaises aurait rompu le charme d’une communion de plaisirs. Nous nous sommes mises sur les accoudoirs. Heureusement, le canapé est solide ! Et puis, comme ça, nous pouvions suivre le match nous aussi.

Manon et Sandrine ont relevé leur cuisse pour nous permettre de nous asseoir et l’ont reposée sur la notre ensuite. C’est tombé que j’étais du côté de Manon. C’était encore plus troublant d’avoir sa cuisse sur la mienne, et de me dire qu’elle devait renifler mon odeur de marée à plein nez puisque j’étais assise un peu plus haut qu’elle… Mais bon, l’envie était trop forte ! L’ambiance nous excitait, jeunes et moins jeunes. Même Mélanie ne suivait pas toujours les évolutions de ses chères joueuses. Elle était partagée entre sa passion du foot féminin et l’émulation du concours de branlette, la gamine ! Je reconnais qu’il y avait de quoi voir et de quoi humer.

Nous avons constaté que les branleuses se rangent en deux catégories : celles qui frottent et celles qui fouillent. Manon et moi faisons parties de la première (le mimétisme, ou l’atavisme, peut-être), comme Mélanie. Andréa et Sandrine sont de la seconde. Enfin, pour commencer, parce que après on est toutes frotteuses et fouilleuses ! Et puis, on n’a pas tout le temps les deux mains occupées. Je pense que c’est un réflexe commun, quand on se branle côte à côte, d’avoir sa main libre attirée par sa voisine. La mienne s’est parfois égarée sur les seins de Manon. J’ai senti, et vu, la sienne sur ma touffe, trifouillant et caressant. Je n’ai rien dit, je le confesse. Je ne sais pas ce que j’aurais fait si elle était allée jusqu’à me toucher consciemment le clitoris…

Bref, nous avons bien joui, toutes les cinq, plusieurs fois. Le match a été gagné par l’équipe favorite de Mélanie et son idole a marqué un but. Elle était aux anges, a assuré que c’était parce que nous avions porté chance à la Suède, et nous a gratifiées d’une gentille léchouille de chatte.

J’ai aéré le salon pendant que prenions l’apéro pour nous réhydrater…

Les filles sont parties dans l’après-midi, Sandrine et Manon pour rentrer à leur coloc où elles envisagent de se mettre ensemble pour de bon, Mélanie vers la ville voisine où elle travaille. Je l’ai assurée qu’elle serait toujours la bienvenue, présence de Manon ou pas. Andréa m’a tenu compagnie une nuit de plus. Nous avons baisé tendrement et à satiété pour faire le plein d’amour et mieux supporter la séparation jusqu’à notre nouvelle réunion. Heureusement, la technique nous permet d’atténuer le chagrin de l’absence.


Fin

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Texte coquin : Le séjour d'Andréa – 2ème partie
Histoire sexe : Une rose rouge
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