L’épistolière : Le Modèle, épisode 4 – Absence et reprise.

Récit érotique écrit par Dyonisia [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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L’épistolière : Le Modèle, épisode 4 – Absence et reprise.
[Avertissement :
Modèle vivant, modèle nu de surcroît, voilà une proposition inattendue lorsqu’elle vous surprend à bien plus de quarante ans. J’en tiens le journal au fil de l’expérience et j’en ai dès le début informé mes plus proches amies. Mais après tout, pourquoi réserver à elles seules mes sentiments et mes émotions quand je peux les partager avec des lectrices désireuses de connaître le déroulement de cette aventure ? Rien n’empêche, bien sûr, des lecteurs de s’y intéresser aussi.
Pour la clarté de lecture, les lettres initiées par « Ma chérie » sont de moi, celles commençant par « Ma Chantal » sont de ma ou mes correspondante(s). Voici donc le quatrième volet de l’échange de lettres que je retranscris fidèlement : mi avril, j’eus un passage à vide, mais les séances reprirent, sur la scène et après.]
§§§
Ma chérie,
Comme je te le disais, pour les poses au nom de l'amour de l'art et de l'exhibition, il faudra attendre la fin du mois, la semaine prochaine. Mais, oui, Manon a pris la place de sa vicieuse de mère, samedi dernier. Elle en a été très mouillée, mais Aurore l'a détendue... Je suis jalouse, lol !
J’ai eu des précisions sur mes invitées de ce long week-end : j’en aurai bien deux de plus. C’est super ! Yuna a troqué son chéri blond pour Aïcha, une jeune Malienne si j'ai bien compris, étudiante dans la fac où elle est assistante. De son côté, Émilie s’est bien remise de sa rupture sentimentale. Sa nouvelle conquête est une femme plus près de l’âge de sa mère que son ex, je crois. En tout cas, elle a un joli prénom : Évelyne.
Du coup, j’ai affolé le hammam en avançant à dimanche la réservation d’une séance massage-épilation pour tout le monde ! En fait, la matrone était ravie : elle avait prévu une petite journée, elle va devoir embaucher des extras ! Je ne me fais pas de souci pour elle : entre nièces et copines beurettes, elle a de quoi réunir une équipe de nymphettes qui seront enchantées de triturer et de tartiner une smala de « roumies », lol. M'étonnerait pas qu'elle batte aussi le rappel de ses meilleures clientes pour qu'elles assistent au spectacle.
Tu vois, les quatre amoureuses et leurs coquines d'amies, y compris Jeanne, font une belle troupe de mécréantes ! Pour Pâques, c'est nous qui ferons les agneaux. (Enfin, les agnelles et les vieilles brebis…)
Baisers profonds dans tous tes trous.
§§§
Ma Chantal,
Je suis rentrée hier soir du week-end. Le programme du tien était chargé, lol ! Est-ce qu’il s’est bien passé ? J'espère que tu as profité de toutes les filles et que tu t’en remets bien.
Est-ce que la nouvelle copine de Yuna était sympathique ? Et est-ce que tu en sais plus sur la façon dont Aurore a détendu Manon, et Cynthia aussi, peut-être, après sa séance de poses ? Si tu as envie de m’en parler bien sûr.
Ma bouche sur tes seins pour sucer tes tétons.
§§§
Ma Chérie (tu peux les mordre aussi, mes tétons), j'émerge de mon long et fou week-end !
Non, ce n'est pas tout à fait vrai, lol. Nous avons passé une bonne partie de la journée avec Jeanne à remettre un peu d'ordre et faire du ménage dans nos maisons respectives, puis nous sommes allées prendre le vent et le soleil au bord de mer pour nous détendre (non, petite vicieuse, pas le genre de détente auquel tu penses !), pour nous changer les idées, quoi !
Andréa est partie ce matin. Elle a profité d'être ici pour faire une ou deux visites professionnelles dans la région (nous animerons peut-être ensemble une série de séminaires, en juin). Marianne et ses suivantes sont reparties dès lundi, et le quatuor de la coloc nous a quittées mardi. Tu me diras que j'aurais pu déjà faire propre dès avant hier, mais, d'abord je ne suis pas une obsédée du ménage, lol, et ensuite, je préférais accompagner Andréa dans sa tournée, et emmener Jeanne en promenade par la même occasion. Il faisait assez beau pour que nous nous accordions quelques petites haltes cochonnes dans des coins discrets. Voir Jeanne courir sans culotte comme Andréa et moi dans les broussailles était assez amusant... hi, hi, hi !
Pour le séjour, Andréa, Jeanne et moi, Manon, Cynthia, Yuna et Aïcha, Marianne, Émilie et Évelyne, si tu comptes bien, ça fait dix, lol. Tu imagines l'arrivée de cette troupe de nanas caquetantes et excitées au hammam !
[Passons sur une longue digression, hors sujet quoique instructive, décrivant les us et coutumes d’un hammam de province.]
Pour toutes les participantes, clientes régulières ou occasionnelles, employées permanentes ou extras, matrone ou invitées, ce fut une après-midi bien employée !
Mais je m’égare, ma Chérie. Tu voulais savoir comment s’était passé mon remplacement par Manon pour le cours de dessin où j’avais dû déclarer forfait comme modèle. Et en effet, Manon et Cynthia ont passé la soirée et la nuit chez Aurore.
Manon avait posé devant ses camarades du cours pour me remplacer, certes, mais pas toute nue, sauf que c'était tout comme : les seins à l'air, vu qu'elle porte rarement un soutien lolo (elle peut s'en passer, elle, sans que ses tétons visent le sol, grrr !), et en collant sans gousset, ni culotte selon son habitude. Donc les dames et les filles ont pu voir et dessiner ses formes du haut, du bas et du bas du dos, aussi bien que si elle avait été à poil. Et bien sûr, la tache à l'entrejambe était bien visible aussi à la fin de la pose, lol ! Aurore l'a invitée à dîner, avec Cynthia bien sûr, pour la remercier d'avoir remplacé sa maman haut-le-pied, et haut les fesses aussi ! Là, elles ont "débriefé" la séance et Manon a avoué son excitation (qu'elle n'aurait pu dissimuler à personne, d'ailleurs !), telle mère, telle fille, n'est-ce pas ?
De fil en aiguille, Aurore leur a dit qu'elle aimerait les croquer, comme elle avait croqué ma mounine, mais dans une pose érotique. Manon était partante et Cynthia ne s'est pas trop fait prier puisque c'était avec sa chérie. D'après ce que j'ai compris, la pose reprenait un tableau du XIXème qui avait, je crois, inspiré un des poèmes des Fleurs du mal à Baudelaire : une fille est allongée sur un lit, une main toute prête à caresser sa chatte, et l'autre est agenouillée au pied du lit, un bras caché sous elle et le visage tourné vers sa compagne. Dans mon souvenir, l'illustration qui accompagnait le poème montrait une fille à la peau blanche, sur le lit, et une fille à la peau brune, censée représenter une servante.
La pose a duré un bon moment, m'ont-elles dit, mais elle n'était pas fatigante du tout… Manon exposait sa craquette à Cynthia, et à Aurore quand elle venait observer un détail. Cynthia respirait à plein nez les effluves de ladite craquette et mouillait la sienne qui la démangeait de plus en plus comme tu peux l'imaginer. Quand Aurore a été satisfaite de son dessin, elle les a libérées de leur pose et leur a suggéré de se "détendre". Elle leur a gentiment proposé de les laisser seules, mais ni Manon ni Cynthia ne s'en est souciée : elles étaient déjà en train de se câliner, lol ! Aurore les a regardées se gougnotter et jouir sans participer. Par contre, elle avait baissé pantalon et culotte, et se masturbait en regrettant que sa sœur soit absente justement ce week-end-là !
Bref, de branlettes observées en branlettes exhibées, elles ont veillé tard toutes les trois. Manon et Cynthia ont profité du lit de Sandrine, et le lendemain elles ont vaqué à leur douche, leur pipi et leur petit-déjeuner comme trois vieilles copines. J’espère qu'Aurore est satisfaite de son dessin. Je devrais lui présenter Yuna et Aïcha, elle aurait les bons modèles pour copier le tableau !
Ah, au fait, je ne suis pas toute nue pour t'écrire. J'ai un vieux pull sur le haut et rien sur le bas. Si j'écarte les cuisses, tu peux venir m’embrasser : c'était l’hommage cérémonial que nous, les dames, les aînées, avions accepté de recevoir en guise de bonne nuit de la part de nos six jeunes compagnes. Sans exclusive d'autres hommages par la suite, bien sûr !
Bisous, ma Chérie. J’ai envie de te lécher le troufignon, et tu as les bisous d'Andréa, de Manon, de Jeanne et des autres en plus des miens.
§§§
Bonsoir ma Chantal
Je suis contente d’avoir des (bonnes) nouvelles de tout le monde. Et de savoir que tu vas pouvoir passer un peu de temps avec Andréa en juin. Combien de temps, d’ailleurs ?
Il commence à être tard mais je voulais venir t’embrasser, comme les filles, sur la mounine avant de dormir. Est-ce que tu dors dans cette tenue aussi ? Si oui, je glisse quand même les mains sous ton pull pour caresser tes seins et ton ventre pendant que tu t’endors (et peut-être que je te réveillerai en pinçant tes tétons…)
§§§
Ma Chérie,
Tu n'aurais pas eu besoin de me réveiller, mais tu aurais pu me pincer les tétons quand même : je ne dors pas avec le pull, mais avec un tee-shirt. D'ailleurs, il commence à faire chaud, bientôt le tee-shirt ne sera même plus nécessaire !
Un mot sur le week-end passé : partie samedi matin, je suis revenue dimanche soir. Du rapide ! Fin d'après-midi samedi, séances de poses nue ; soirée de samedi, pose avec Manon et Cynthia pour le croquis d'Aurore et le plaisir de Sandrine ; nuit de samedi à dimanche, détente à trois sur le canapé d'Aurore. (Oui, j'ai abandonné Jeanne, mais elle s'est consolée en regardant les rugbywomen françaises presque gagner leur tournoi, à deux points près !)
Avec Andréa, ce serait toute une semaine à former ensemble une vingtaine de jeunes diplômées et diplômés sur les pratiques de coopération et de conduite de projets dans des partenariats humanitaires ou de développement. Je te passe les détails, mais nous partagerons les interventions, les rétributions, et la chambre.
Mets-toi toute nue, ma Chérie, j’ai envie de te fesser.
§§§
Bonsoir ma Chantal.
Hier soir, je suis rentrée un peu trop tard pour te répondre. Alors oui, je mérite ta fessée et je t’embrasse doublement ce soir.
J’étais partie la journée avec une fille d’un autre labo (elle ne travaille pas avec moi d’habitude) dans la ville la plus proche. Ensuite elle m’a invitée chez elle pour regarder une série coréenne, lol !
Cette semaine, je prendrai quelques jours pour rédiger un rapport. Voilà, c’est pour te tenir un peu au courant de mes loisirs et de mon travail.
Imagine que je te raconte tout ça au lit, les doigts sous ton tee-shirt de nuit pour jouer avec tes tétons. Est-ce que tu vas toi aussi me raconter enfin ton week-end, pendant que je continue à frotter tes seins sous ton tee-shirt ?
Et puisque je n’aurai plus à parler, je pourrai aussi y glisser la tête pour les manger.
§§§
Ma Chérie,
Tu pourrais rester autant qu'il te plairait, toute la nuit si tu voulais, la tête sous mon tee de nuit, pour embrasser mes lolos et jouer avec, sucer et mordiller mes tétons ou les tordre, pour autant que ta main trifouille ma mounine et que tes ongles agacent ma fève.
Si j'ai bien compris, tu as fait une nouvelle touche parmi tes collègues, et celle-ci semble être une fille de ton âge. C'est très bien, ma chérie ! J'espère que vous n'en resterez pas au seul visionnage de séries ? (À moins que "série coréenne" ait un sens spécifique dans votre petit monde ? Lol !)
D’accord, ma relation de ma reprise des séances de modèle vivant était vraiment courte ! Je vais la développer pour satisfaire ma petite curieuse préférée. Mais je t’assure que ces deux journées se sont déroulées au grand galop ! D’abord, le samedi je suis partie en hâte après une toilette minimale et sans avoir le temps de me faire rafraîchir la mounine par Jeanne. Je ne suis même pas arrêtée pour un petit pipi, mais malgré cela le trajet a duré beaucoup plus que prévu à cause de la circulation des retours de vacances. Avec la chaleur, la transpiration, et le reste, je te dis pas l’état de ma culotte à l’arrivée chez les filles, lol ! Vu le retard, j’avais le choix entre prendre une bonne douche et prendre le repas. J’avais la fringale, je me suis donc contentée d’un gant mouillé sous les aisselles et entre les cuisses, avant de confier mon pubis à Manon.
As-tu déjà fait raser ta vulve pendant que tu cassais la croûte ? Il faut savoir différencier les sensations de la glotte et du clito, et surtout avoir confiance dans celle qui s’occupe des alentours du second ! Avec Manon, je pouvais les lui abandonner les yeux fermés, d’autant que Cynthia tirait sur mes lèvres pour que le rasoir ne rate aucun poil sur la peau tendue. Par contre, que l’opération se fasse dans le salon de la coloc a permis à Yuna et à Lina de profiter du spectacle. Grâce au ciel, le chéri de Lina n’était pas là (ce n’est pas que ça m’aurait beaucoup gênée, mais quand même un peu…). Yuna n’avait pas sa chérie non plus, mais je l’ai autorisée à prendre une photo en gros plan pour que Aïcha ne se sente pas discriminée, lol ! Elle aura une drôle d’appréciation des Européennes quand elle reviendra dans son pays, si toutefois elle y retourne car le lesbianisme y est mal vu et il vaudrait mieux pour elle rester en France si elle veut vivre normalement sa sexualité.
En tout cas, ma vulve a été on ne peut mieux remise à neuf. Certes, l’eau du gant n’avait pas autant qu’il aurait fallu nettoyé ses humeurs. Manon et Cynthia en ont donc humé de près les effluves, d’autant que leurs soins attentionnés en avaient ravivé la source. Mais c’était le résultat qui comptait même si la dernière touche n’a pu être apportée, par manque de temps aussi bien que par crainte des débordements qu’aurait inévitablement entraîné un massage final pourtant si utile. Je me suis contentée, et ma mounine aussi, de la lingette gentiment passée par Manon entre les lèvres. Par contre, je n’ai pas remis ma culotte sale. Ma fille m’a proposé son string, mais la peau irritée par le feu du rasoir ne l’aurait pas supporté. Je suis partie cul nu, lol !
Du coup, nous étions en avance, le paradoxe ! J’aurais aussi bien pu me faire masser ou prendre une douche. Tant pis, quand on est mouillée, on ne craint plus la pluie ! Nous avons retrouvé Aurore en train d’installer les pupitres autour de mon piédestal de modèle. Nous l’avons aidée à terminer, et comme nous étions seules, les filles, elle et moi, j’ai directement passé le body de Sandrine qu’elle a sorti de son casier où il avait couvé pendant trois semaines. À dire vrai, il sentait toujours un peu la transpiration sous les bras et le coquillage à l’entrejambe. Aucune de nous n’a épilogué sur les fumets du linge, et heureusement car à peine en étais-je vêtue que le flot des élèves a poussé la porte. Je me fais peut-être des idées, mais j’ai cru voir des regards de satisfaction et d’autres de déception en me découvrant prête à poser, au lieu de Manon.
Aurore m’a fait prendre une attitude très banale, simple à tenir pour moi mais, paraît-il, difficile à restituer dans les bonnes proportions sur un dessin : assise bien en face des élèves, le cul sur la chaise et la chaise juchée sur l’estrade, je n’avais qu’à mettre mon pied droit sur mon genou gauche en veillant à ouvrir bien à plat la cuisse droite. Pour faciliter le maintien de cette position, ma main gauche retenait la cheville en place tandis que, le buste en biais, mon bras droit reposait négligemment sur le dossier de la chaise. C’était effectivement une pose facile qui ne m’obligeait à aucune pause et qui laissait aux élèves tout le temps utile pour étudier le motif sous tous les angles et en finaliser le dessin. J’aurais pu la garder indéfiniment n’eut été une envie de pipi qui m’avait saisi le ventre au bout d’un quart d’heure.
J’ai tenté de résister, mais dix minutes plus tard j’implorais la prof et ses élèves de m’accorder une interruption de séance pour raison pressante, lol ! S’il n’était pas très glorieux de courir vers les toilettes une main crispée sur la chatte, je me consolais en pensant que nous avons toutes connu le ridicule qu’impose un besoin urgent. Par contre, revers d’un body sans ouverture, j’ai dû relâcher le bas pour descendre le haut, juste un instant mais suffisant pour que quelques gouttes s’échappent. Fuite légère, heureusement, prémices d’un jet abondant correctement dirigé au bon endroit et d’un soulagement corrélatif autant que bienvenu. Sauf que, nouvelle déconvenue, nul papier toilette ne garnissait le rouleau, et mes lingettes étaient bien loin. Qu’à cela ne tienne ! Il m’a suffit de glisser les doigts entre mes lèvres pour essuyer celles-ci, et de sucer ceux-là pour les assécher. En renfilant le body, j’ai toutefois compris que son gousset humide plaquerait sur ma vulve avec assez de relief pour trahir ma double mésaventure. Et de fait, leur conséquence s’est à l’évidence affichée en reprenant ma pose.
Cette tache aussi incongrue qu’apparente n’a entraîné que des sourires amusés, et parfois l’ajout d’un détail supplémentaire sur leur dessin pour celles qui, comme Manon, voulaient se réclamer d’un « réalisme artistique ». La séance s’est continuée sans autre incident jusqu’à sa clôture par la maintenant traditionnelle question d’Aurore sur lesquelles suivraient le cours de nu intégral. J’ai eu le plaisir de constater le même nombre d’élèves qu’à ma deuxième prestation, augmenté de la présence de la dame mûre qui n’avait pu y assister. Pour les remercier de leur fidélité, et gagner du temps, j’ai quitté le body devant elles dès le départ de leurs camarades, dont hélas à nouveau la plus jeune.
Aurore n’a changé qu’un léger détail dans la pose précédente : ma cheville droite était à présent sous ma cuisse gauche, dégageant plus largement la vue sur mon pubis dont l’artiste voulait faire capturer par ses élèves le contraste entre le touffu et le glabre en plus des courbes et contre courbes de la silhouette générale. Pour le reste, je conservais la main gauche sur les orteils du pied droit et le bras droit rejeté derrière le dossier, les yeux levés vers le ciel (le plafond en l’occurrence, lol) comme si je méditais sur l’avenir de l’art… En réalité, je songeais surtout au plaisir d’exposer ma chatte entrouverte à hauteur des regards qui convergeaient vers moi. Sous l’acuité de leur concentration, officiellement motivée par le souci de ne manquer aucune spécificité des formes et des traits, je sentais mes tétons se durcir et ma vulve palpiter. Bientôt, des frémissements internes et une chaleur familière m’annoncèrent la proximité d’un débordement de cyprine qui, de fait, s’écoula tranquillement tout au long de la pose, sans que personne ni moi-même ne se préoccupât de l’éponger ou d’en remarquer les notables effluves.
Ce n’est que lorsque leur professeure eut estimé suffisants les efforts des apprenties artistes que Manon m’a obligeamment apporté le paquet de lingettes dont j’ai utilisé deux ou trois exemplaires sans changer de position. Outre la futilité de toute vergogne, je n’aurais pu trouver façon plus pratique d’essuyer mes lèvres, et d’autre part mes membres ankylosés m’incitaient à ne les bouger qu’avec prudence et lenteur. Leur massage vigoureux auquel m’ont aidée Cynthia et Manon m’a finalement rendu assez de souplesse et de liberté de mouvement pour m’ériger debout sur mon piédestal et recevoir les hommages des néophytes subjuguées par ma plastique… Non, j’exagère, lol ! Mais il est vrai que j’ai perçu dans l’amabilité des paroles une sincère reconnaissance pour avoir offert sans fard mon corps aux crayons et fusains.
Une fois rangés sièges, chevalets et matériel, tâche contraignante mais nécessaire à laquelle avaient collaboré professeure, modèle nu ou si peu voilé, et, pour cette fois, l’ensemble des élèves, j’ai échangé la blouse symbolique pour mes vêtements et tenté à nouveau d’emporter le body pour le laver. Aurore s’y est encore opposée sous prétexte de s’en occuper elle-même et s’est contentée de le serrer dans son casier où, curieusement, elle l’a oublié. Je n’y ai pas prêté attention sur le moment, partagée que j’étais entre les besoins contradictoires d’une petite toilette intime et de l’évacuation d’une tension tout aussi intime. Aussi ai-je accepté avec empressement l’invitation de l’artiste à terminer la journée chez elle. Les circonstances du trajet ne m’ont pas, hélas, autorisé la masturbation frénétique qui m’avait si bien réussi précédemment. C’est donc le ventre plein de papillons et les seins impatients que je suis arrivée chez Aurore, escortée de Manon et Cynthia parfaitement au courant et amusées de mon état.
J’étais heureuse de revoir Sandrine, j’aime sa blondeur et ses rondeurs sont proches des miennes alors que la fine silhouette d’Aurore me complexe toujours un peu. Elle nous a montré une autre de ses qualités en nous préparant à l’impromptu un large choix d’apéritifs agrémenté d’un copieux assortiment de biscuits salés et de toasts. J’ai honte de te le dire, mais je me suis jetée dessus et j’ai trinqué au whisky avant de solliciter la permission d’une douche, avec une petite arrière-pensée, je le confesse (j’adore ce verbe : confesser, con fessé ; confesse, con et fesses, lol !).
Sandrine m’a montré la salle de bain, et n’a pas fait mine de s’en aller ensuite. Ma foi, je me suis déloquée sans m’offusquer de sa présence, recueillant au passage un sourire complice devant mon absence de culotte, et installée sous le jet qu’elle a généreusement ouvert. Le contact brutal et froid de l’eau a déclenché la réaction habituelle de ma vessie que j’ai libérée jambes écartées, histoire de faire profiter mon hôtesse de la vue d’un beau jet bien dru. Ça l’a incitée à m’imiter, a-t-elle avoué, en relevant sa jupe sans plus de cérémonie pour chevaucher le bidet. Question manque de culotte nous étions à égalité, nous sommes-nous congratulées en riant. Mais ce qui m’a surtout surprise et, pour être honnête, excitée c’est qu’elle me suggère de me masturber si j’en éprouvais le besoin, sans pour autant quitter la faïence qu’elle enjambait. Mon dieu, j’ai suivi son conseil, et là aussi elle m’a imitée. N’est-ce pas le meilleur moyen de sceller une amitié ?
Nous sommes revenues guillerettes, les doigts bien léchés et nettoyés des senteurs de crevette, elle toujours en jupe et chemisier et moi dans son peignoir qu’elle m’avait prêté. Aurore et les filles parlaient des poses possibles pour des cours privés, et évoquaient celle du samedi précédent comme d’autres allant de l’érotisme avéré aux représentations crues d’actes sexuels. J’ai entendu Cynthia affirmer que sa belle-mère serait certainement partante pour poser dans des tableaux de scènes pornos, si c’était en privé. Elle n’a même pas rougi en me voyant à côté d’elle. Je suis parfaitement intégrée dans son univers affectif ! Il est vrai que, depuis le temps que nous nous découvrons mutuellement, je n’ai pas plus de secrets pour elle que pour Manon, et je crois que c’est réciproque.
Aurore nous a demandé si nous poserions pour elle, toutes les trois ensemble, pour ce genre de dessins très osés, a-t-elle précisé. J’ai regardé les filles, nous avons éclaté de rire. Mais avant de lui donner notre consentement (ben oui, pas que notre accord, je me doutais bien qu’il ne s’agirait pas que de faire semblant, lol !), j’ai demandé à l’artiste de m’accorder le même privilège dont avaient bénéficié Manon et Cynthia. Je n’avais pas eu le plaisir de la voir entièrement nue, moi ! D’ailleurs, la remarque valait également pour Sandrine. Et toc !
Je suis sûre que tu voudrais bien savoir si les deux sœurs ont accepté, hein, ma Chérie ? Et que tu es impatiente de connaître quelles poses cochonnes elles nous ont peut-être fait prendre, n’est-ce pas ? Eh bien, je vais laisser mijoter ta curiosité, tu n’auras les réponses que dans ma prochaine lettre, celle-ci est déjà bien assez longue et il commence à se faire tard, lol.
Mais pour t’aider à prendre patience, je te lèche le clitounet et le troufignon.
(À suivre)
Modèle vivant, modèle nu de surcroît, voilà une proposition inattendue lorsqu’elle vous surprend à bien plus de quarante ans. J’en tiens le journal au fil de l’expérience et j’en ai dès le début informé mes plus proches amies. Mais après tout, pourquoi réserver à elles seules mes sentiments et mes émotions quand je peux les partager avec des lectrices désireuses de connaître le déroulement de cette aventure ? Rien n’empêche, bien sûr, des lecteurs de s’y intéresser aussi.
Pour la clarté de lecture, les lettres initiées par « Ma chérie » sont de moi, celles commençant par « Ma Chantal » sont de ma ou mes correspondante(s). Voici donc le quatrième volet de l’échange de lettres que je retranscris fidèlement : mi avril, j’eus un passage à vide, mais les séances reprirent, sur la scène et après.]
§§§
Ma chérie,
Comme je te le disais, pour les poses au nom de l'amour de l'art et de l'exhibition, il faudra attendre la fin du mois, la semaine prochaine. Mais, oui, Manon a pris la place de sa vicieuse de mère, samedi dernier. Elle en a été très mouillée, mais Aurore l'a détendue... Je suis jalouse, lol !
J’ai eu des précisions sur mes invitées de ce long week-end : j’en aurai bien deux de plus. C’est super ! Yuna a troqué son chéri blond pour Aïcha, une jeune Malienne si j'ai bien compris, étudiante dans la fac où elle est assistante. De son côté, Émilie s’est bien remise de sa rupture sentimentale. Sa nouvelle conquête est une femme plus près de l’âge de sa mère que son ex, je crois. En tout cas, elle a un joli prénom : Évelyne.
Du coup, j’ai affolé le hammam en avançant à dimanche la réservation d’une séance massage-épilation pour tout le monde ! En fait, la matrone était ravie : elle avait prévu une petite journée, elle va devoir embaucher des extras ! Je ne me fais pas de souci pour elle : entre nièces et copines beurettes, elle a de quoi réunir une équipe de nymphettes qui seront enchantées de triturer et de tartiner une smala de « roumies », lol. M'étonnerait pas qu'elle batte aussi le rappel de ses meilleures clientes pour qu'elles assistent au spectacle.
Tu vois, les quatre amoureuses et leurs coquines d'amies, y compris Jeanne, font une belle troupe de mécréantes ! Pour Pâques, c'est nous qui ferons les agneaux. (Enfin, les agnelles et les vieilles brebis…)
Baisers profonds dans tous tes trous.
§§§
Ma Chantal,
Je suis rentrée hier soir du week-end. Le programme du tien était chargé, lol ! Est-ce qu’il s’est bien passé ? J'espère que tu as profité de toutes les filles et que tu t’en remets bien.
Est-ce que la nouvelle copine de Yuna était sympathique ? Et est-ce que tu en sais plus sur la façon dont Aurore a détendu Manon, et Cynthia aussi, peut-être, après sa séance de poses ? Si tu as envie de m’en parler bien sûr.
Ma bouche sur tes seins pour sucer tes tétons.
§§§
Ma Chérie (tu peux les mordre aussi, mes tétons), j'émerge de mon long et fou week-end !
Non, ce n'est pas tout à fait vrai, lol. Nous avons passé une bonne partie de la journée avec Jeanne à remettre un peu d'ordre et faire du ménage dans nos maisons respectives, puis nous sommes allées prendre le vent et le soleil au bord de mer pour nous détendre (non, petite vicieuse, pas le genre de détente auquel tu penses !), pour nous changer les idées, quoi !
Andréa est partie ce matin. Elle a profité d'être ici pour faire une ou deux visites professionnelles dans la région (nous animerons peut-être ensemble une série de séminaires, en juin). Marianne et ses suivantes sont reparties dès lundi, et le quatuor de la coloc nous a quittées mardi. Tu me diras que j'aurais pu déjà faire propre dès avant hier, mais, d'abord je ne suis pas une obsédée du ménage, lol, et ensuite, je préférais accompagner Andréa dans sa tournée, et emmener Jeanne en promenade par la même occasion. Il faisait assez beau pour que nous nous accordions quelques petites haltes cochonnes dans des coins discrets. Voir Jeanne courir sans culotte comme Andréa et moi dans les broussailles était assez amusant... hi, hi, hi !
Pour le séjour, Andréa, Jeanne et moi, Manon, Cynthia, Yuna et Aïcha, Marianne, Émilie et Évelyne, si tu comptes bien, ça fait dix, lol. Tu imagines l'arrivée de cette troupe de nanas caquetantes et excitées au hammam !
[Passons sur une longue digression, hors sujet quoique instructive, décrivant les us et coutumes d’un hammam de province.]
Pour toutes les participantes, clientes régulières ou occasionnelles, employées permanentes ou extras, matrone ou invitées, ce fut une après-midi bien employée !
Mais je m’égare, ma Chérie. Tu voulais savoir comment s’était passé mon remplacement par Manon pour le cours de dessin où j’avais dû déclarer forfait comme modèle. Et en effet, Manon et Cynthia ont passé la soirée et la nuit chez Aurore.
Manon avait posé devant ses camarades du cours pour me remplacer, certes, mais pas toute nue, sauf que c'était tout comme : les seins à l'air, vu qu'elle porte rarement un soutien lolo (elle peut s'en passer, elle, sans que ses tétons visent le sol, grrr !), et en collant sans gousset, ni culotte selon son habitude. Donc les dames et les filles ont pu voir et dessiner ses formes du haut, du bas et du bas du dos, aussi bien que si elle avait été à poil. Et bien sûr, la tache à l'entrejambe était bien visible aussi à la fin de la pose, lol ! Aurore l'a invitée à dîner, avec Cynthia bien sûr, pour la remercier d'avoir remplacé sa maman haut-le-pied, et haut les fesses aussi ! Là, elles ont "débriefé" la séance et Manon a avoué son excitation (qu'elle n'aurait pu dissimuler à personne, d'ailleurs !), telle mère, telle fille, n'est-ce pas ?
De fil en aiguille, Aurore leur a dit qu'elle aimerait les croquer, comme elle avait croqué ma mounine, mais dans une pose érotique. Manon était partante et Cynthia ne s'est pas trop fait prier puisque c'était avec sa chérie. D'après ce que j'ai compris, la pose reprenait un tableau du XIXème qui avait, je crois, inspiré un des poèmes des Fleurs du mal à Baudelaire : une fille est allongée sur un lit, une main toute prête à caresser sa chatte, et l'autre est agenouillée au pied du lit, un bras caché sous elle et le visage tourné vers sa compagne. Dans mon souvenir, l'illustration qui accompagnait le poème montrait une fille à la peau blanche, sur le lit, et une fille à la peau brune, censée représenter une servante.
La pose a duré un bon moment, m'ont-elles dit, mais elle n'était pas fatigante du tout… Manon exposait sa craquette à Cynthia, et à Aurore quand elle venait observer un détail. Cynthia respirait à plein nez les effluves de ladite craquette et mouillait la sienne qui la démangeait de plus en plus comme tu peux l'imaginer. Quand Aurore a été satisfaite de son dessin, elle les a libérées de leur pose et leur a suggéré de se "détendre". Elle leur a gentiment proposé de les laisser seules, mais ni Manon ni Cynthia ne s'en est souciée : elles étaient déjà en train de se câliner, lol ! Aurore les a regardées se gougnotter et jouir sans participer. Par contre, elle avait baissé pantalon et culotte, et se masturbait en regrettant que sa sœur soit absente justement ce week-end-là !
Bref, de branlettes observées en branlettes exhibées, elles ont veillé tard toutes les trois. Manon et Cynthia ont profité du lit de Sandrine, et le lendemain elles ont vaqué à leur douche, leur pipi et leur petit-déjeuner comme trois vieilles copines. J’espère qu'Aurore est satisfaite de son dessin. Je devrais lui présenter Yuna et Aïcha, elle aurait les bons modèles pour copier le tableau !
Ah, au fait, je ne suis pas toute nue pour t'écrire. J'ai un vieux pull sur le haut et rien sur le bas. Si j'écarte les cuisses, tu peux venir m’embrasser : c'était l’hommage cérémonial que nous, les dames, les aînées, avions accepté de recevoir en guise de bonne nuit de la part de nos six jeunes compagnes. Sans exclusive d'autres hommages par la suite, bien sûr !
Bisous, ma Chérie. J’ai envie de te lécher le troufignon, et tu as les bisous d'Andréa, de Manon, de Jeanne et des autres en plus des miens.
§§§
Bonsoir ma Chantal
Je suis contente d’avoir des (bonnes) nouvelles de tout le monde. Et de savoir que tu vas pouvoir passer un peu de temps avec Andréa en juin. Combien de temps, d’ailleurs ?
Il commence à être tard mais je voulais venir t’embrasser, comme les filles, sur la mounine avant de dormir. Est-ce que tu dors dans cette tenue aussi ? Si oui, je glisse quand même les mains sous ton pull pour caresser tes seins et ton ventre pendant que tu t’endors (et peut-être que je te réveillerai en pinçant tes tétons…)
§§§
Ma Chérie,
Tu n'aurais pas eu besoin de me réveiller, mais tu aurais pu me pincer les tétons quand même : je ne dors pas avec le pull, mais avec un tee-shirt. D'ailleurs, il commence à faire chaud, bientôt le tee-shirt ne sera même plus nécessaire !
Un mot sur le week-end passé : partie samedi matin, je suis revenue dimanche soir. Du rapide ! Fin d'après-midi samedi, séances de poses nue ; soirée de samedi, pose avec Manon et Cynthia pour le croquis d'Aurore et le plaisir de Sandrine ; nuit de samedi à dimanche, détente à trois sur le canapé d'Aurore. (Oui, j'ai abandonné Jeanne, mais elle s'est consolée en regardant les rugbywomen françaises presque gagner leur tournoi, à deux points près !)
Avec Andréa, ce serait toute une semaine à former ensemble une vingtaine de jeunes diplômées et diplômés sur les pratiques de coopération et de conduite de projets dans des partenariats humanitaires ou de développement. Je te passe les détails, mais nous partagerons les interventions, les rétributions, et la chambre.
Mets-toi toute nue, ma Chérie, j’ai envie de te fesser.
§§§
Bonsoir ma Chantal.
Hier soir, je suis rentrée un peu trop tard pour te répondre. Alors oui, je mérite ta fessée et je t’embrasse doublement ce soir.
J’étais partie la journée avec une fille d’un autre labo (elle ne travaille pas avec moi d’habitude) dans la ville la plus proche. Ensuite elle m’a invitée chez elle pour regarder une série coréenne, lol !
Cette semaine, je prendrai quelques jours pour rédiger un rapport. Voilà, c’est pour te tenir un peu au courant de mes loisirs et de mon travail.
Imagine que je te raconte tout ça au lit, les doigts sous ton tee-shirt de nuit pour jouer avec tes tétons. Est-ce que tu vas toi aussi me raconter enfin ton week-end, pendant que je continue à frotter tes seins sous ton tee-shirt ?
Et puisque je n’aurai plus à parler, je pourrai aussi y glisser la tête pour les manger.
§§§
Ma Chérie,
Tu pourrais rester autant qu'il te plairait, toute la nuit si tu voulais, la tête sous mon tee de nuit, pour embrasser mes lolos et jouer avec, sucer et mordiller mes tétons ou les tordre, pour autant que ta main trifouille ma mounine et que tes ongles agacent ma fève.
Si j'ai bien compris, tu as fait une nouvelle touche parmi tes collègues, et celle-ci semble être une fille de ton âge. C'est très bien, ma chérie ! J'espère que vous n'en resterez pas au seul visionnage de séries ? (À moins que "série coréenne" ait un sens spécifique dans votre petit monde ? Lol !)
D’accord, ma relation de ma reprise des séances de modèle vivant était vraiment courte ! Je vais la développer pour satisfaire ma petite curieuse préférée. Mais je t’assure que ces deux journées se sont déroulées au grand galop ! D’abord, le samedi je suis partie en hâte après une toilette minimale et sans avoir le temps de me faire rafraîchir la mounine par Jeanne. Je ne suis même pas arrêtée pour un petit pipi, mais malgré cela le trajet a duré beaucoup plus que prévu à cause de la circulation des retours de vacances. Avec la chaleur, la transpiration, et le reste, je te dis pas l’état de ma culotte à l’arrivée chez les filles, lol ! Vu le retard, j’avais le choix entre prendre une bonne douche et prendre le repas. J’avais la fringale, je me suis donc contentée d’un gant mouillé sous les aisselles et entre les cuisses, avant de confier mon pubis à Manon.
As-tu déjà fait raser ta vulve pendant que tu cassais la croûte ? Il faut savoir différencier les sensations de la glotte et du clito, et surtout avoir confiance dans celle qui s’occupe des alentours du second ! Avec Manon, je pouvais les lui abandonner les yeux fermés, d’autant que Cynthia tirait sur mes lèvres pour que le rasoir ne rate aucun poil sur la peau tendue. Par contre, que l’opération se fasse dans le salon de la coloc a permis à Yuna et à Lina de profiter du spectacle. Grâce au ciel, le chéri de Lina n’était pas là (ce n’est pas que ça m’aurait beaucoup gênée, mais quand même un peu…). Yuna n’avait pas sa chérie non plus, mais je l’ai autorisée à prendre une photo en gros plan pour que Aïcha ne se sente pas discriminée, lol ! Elle aura une drôle d’appréciation des Européennes quand elle reviendra dans son pays, si toutefois elle y retourne car le lesbianisme y est mal vu et il vaudrait mieux pour elle rester en France si elle veut vivre normalement sa sexualité.
En tout cas, ma vulve a été on ne peut mieux remise à neuf. Certes, l’eau du gant n’avait pas autant qu’il aurait fallu nettoyé ses humeurs. Manon et Cynthia en ont donc humé de près les effluves, d’autant que leurs soins attentionnés en avaient ravivé la source. Mais c’était le résultat qui comptait même si la dernière touche n’a pu être apportée, par manque de temps aussi bien que par crainte des débordements qu’aurait inévitablement entraîné un massage final pourtant si utile. Je me suis contentée, et ma mounine aussi, de la lingette gentiment passée par Manon entre les lèvres. Par contre, je n’ai pas remis ma culotte sale. Ma fille m’a proposé son string, mais la peau irritée par le feu du rasoir ne l’aurait pas supporté. Je suis partie cul nu, lol !
Du coup, nous étions en avance, le paradoxe ! J’aurais aussi bien pu me faire masser ou prendre une douche. Tant pis, quand on est mouillée, on ne craint plus la pluie ! Nous avons retrouvé Aurore en train d’installer les pupitres autour de mon piédestal de modèle. Nous l’avons aidée à terminer, et comme nous étions seules, les filles, elle et moi, j’ai directement passé le body de Sandrine qu’elle a sorti de son casier où il avait couvé pendant trois semaines. À dire vrai, il sentait toujours un peu la transpiration sous les bras et le coquillage à l’entrejambe. Aucune de nous n’a épilogué sur les fumets du linge, et heureusement car à peine en étais-je vêtue que le flot des élèves a poussé la porte. Je me fais peut-être des idées, mais j’ai cru voir des regards de satisfaction et d’autres de déception en me découvrant prête à poser, au lieu de Manon.
Aurore m’a fait prendre une attitude très banale, simple à tenir pour moi mais, paraît-il, difficile à restituer dans les bonnes proportions sur un dessin : assise bien en face des élèves, le cul sur la chaise et la chaise juchée sur l’estrade, je n’avais qu’à mettre mon pied droit sur mon genou gauche en veillant à ouvrir bien à plat la cuisse droite. Pour faciliter le maintien de cette position, ma main gauche retenait la cheville en place tandis que, le buste en biais, mon bras droit reposait négligemment sur le dossier de la chaise. C’était effectivement une pose facile qui ne m’obligeait à aucune pause et qui laissait aux élèves tout le temps utile pour étudier le motif sous tous les angles et en finaliser le dessin. J’aurais pu la garder indéfiniment n’eut été une envie de pipi qui m’avait saisi le ventre au bout d’un quart d’heure.
J’ai tenté de résister, mais dix minutes plus tard j’implorais la prof et ses élèves de m’accorder une interruption de séance pour raison pressante, lol ! S’il n’était pas très glorieux de courir vers les toilettes une main crispée sur la chatte, je me consolais en pensant que nous avons toutes connu le ridicule qu’impose un besoin urgent. Par contre, revers d’un body sans ouverture, j’ai dû relâcher le bas pour descendre le haut, juste un instant mais suffisant pour que quelques gouttes s’échappent. Fuite légère, heureusement, prémices d’un jet abondant correctement dirigé au bon endroit et d’un soulagement corrélatif autant que bienvenu. Sauf que, nouvelle déconvenue, nul papier toilette ne garnissait le rouleau, et mes lingettes étaient bien loin. Qu’à cela ne tienne ! Il m’a suffit de glisser les doigts entre mes lèvres pour essuyer celles-ci, et de sucer ceux-là pour les assécher. En renfilant le body, j’ai toutefois compris que son gousset humide plaquerait sur ma vulve avec assez de relief pour trahir ma double mésaventure. Et de fait, leur conséquence s’est à l’évidence affichée en reprenant ma pose.
Cette tache aussi incongrue qu’apparente n’a entraîné que des sourires amusés, et parfois l’ajout d’un détail supplémentaire sur leur dessin pour celles qui, comme Manon, voulaient se réclamer d’un « réalisme artistique ». La séance s’est continuée sans autre incident jusqu’à sa clôture par la maintenant traditionnelle question d’Aurore sur lesquelles suivraient le cours de nu intégral. J’ai eu le plaisir de constater le même nombre d’élèves qu’à ma deuxième prestation, augmenté de la présence de la dame mûre qui n’avait pu y assister. Pour les remercier de leur fidélité, et gagner du temps, j’ai quitté le body devant elles dès le départ de leurs camarades, dont hélas à nouveau la plus jeune.
Aurore n’a changé qu’un léger détail dans la pose précédente : ma cheville droite était à présent sous ma cuisse gauche, dégageant plus largement la vue sur mon pubis dont l’artiste voulait faire capturer par ses élèves le contraste entre le touffu et le glabre en plus des courbes et contre courbes de la silhouette générale. Pour le reste, je conservais la main gauche sur les orteils du pied droit et le bras droit rejeté derrière le dossier, les yeux levés vers le ciel (le plafond en l’occurrence, lol) comme si je méditais sur l’avenir de l’art… En réalité, je songeais surtout au plaisir d’exposer ma chatte entrouverte à hauteur des regards qui convergeaient vers moi. Sous l’acuité de leur concentration, officiellement motivée par le souci de ne manquer aucune spécificité des formes et des traits, je sentais mes tétons se durcir et ma vulve palpiter. Bientôt, des frémissements internes et une chaleur familière m’annoncèrent la proximité d’un débordement de cyprine qui, de fait, s’écoula tranquillement tout au long de la pose, sans que personne ni moi-même ne se préoccupât de l’éponger ou d’en remarquer les notables effluves.
Ce n’est que lorsque leur professeure eut estimé suffisants les efforts des apprenties artistes que Manon m’a obligeamment apporté le paquet de lingettes dont j’ai utilisé deux ou trois exemplaires sans changer de position. Outre la futilité de toute vergogne, je n’aurais pu trouver façon plus pratique d’essuyer mes lèvres, et d’autre part mes membres ankylosés m’incitaient à ne les bouger qu’avec prudence et lenteur. Leur massage vigoureux auquel m’ont aidée Cynthia et Manon m’a finalement rendu assez de souplesse et de liberté de mouvement pour m’ériger debout sur mon piédestal et recevoir les hommages des néophytes subjuguées par ma plastique… Non, j’exagère, lol ! Mais il est vrai que j’ai perçu dans l’amabilité des paroles une sincère reconnaissance pour avoir offert sans fard mon corps aux crayons et fusains.
Une fois rangés sièges, chevalets et matériel, tâche contraignante mais nécessaire à laquelle avaient collaboré professeure, modèle nu ou si peu voilé, et, pour cette fois, l’ensemble des élèves, j’ai échangé la blouse symbolique pour mes vêtements et tenté à nouveau d’emporter le body pour le laver. Aurore s’y est encore opposée sous prétexte de s’en occuper elle-même et s’est contentée de le serrer dans son casier où, curieusement, elle l’a oublié. Je n’y ai pas prêté attention sur le moment, partagée que j’étais entre les besoins contradictoires d’une petite toilette intime et de l’évacuation d’une tension tout aussi intime. Aussi ai-je accepté avec empressement l’invitation de l’artiste à terminer la journée chez elle. Les circonstances du trajet ne m’ont pas, hélas, autorisé la masturbation frénétique qui m’avait si bien réussi précédemment. C’est donc le ventre plein de papillons et les seins impatients que je suis arrivée chez Aurore, escortée de Manon et Cynthia parfaitement au courant et amusées de mon état.
J’étais heureuse de revoir Sandrine, j’aime sa blondeur et ses rondeurs sont proches des miennes alors que la fine silhouette d’Aurore me complexe toujours un peu. Elle nous a montré une autre de ses qualités en nous préparant à l’impromptu un large choix d’apéritifs agrémenté d’un copieux assortiment de biscuits salés et de toasts. J’ai honte de te le dire, mais je me suis jetée dessus et j’ai trinqué au whisky avant de solliciter la permission d’une douche, avec une petite arrière-pensée, je le confesse (j’adore ce verbe : confesser, con fessé ; confesse, con et fesses, lol !).
Sandrine m’a montré la salle de bain, et n’a pas fait mine de s’en aller ensuite. Ma foi, je me suis déloquée sans m’offusquer de sa présence, recueillant au passage un sourire complice devant mon absence de culotte, et installée sous le jet qu’elle a généreusement ouvert. Le contact brutal et froid de l’eau a déclenché la réaction habituelle de ma vessie que j’ai libérée jambes écartées, histoire de faire profiter mon hôtesse de la vue d’un beau jet bien dru. Ça l’a incitée à m’imiter, a-t-elle avoué, en relevant sa jupe sans plus de cérémonie pour chevaucher le bidet. Question manque de culotte nous étions à égalité, nous sommes-nous congratulées en riant. Mais ce qui m’a surtout surprise et, pour être honnête, excitée c’est qu’elle me suggère de me masturber si j’en éprouvais le besoin, sans pour autant quitter la faïence qu’elle enjambait. Mon dieu, j’ai suivi son conseil, et là aussi elle m’a imitée. N’est-ce pas le meilleur moyen de sceller une amitié ?
Nous sommes revenues guillerettes, les doigts bien léchés et nettoyés des senteurs de crevette, elle toujours en jupe et chemisier et moi dans son peignoir qu’elle m’avait prêté. Aurore et les filles parlaient des poses possibles pour des cours privés, et évoquaient celle du samedi précédent comme d’autres allant de l’érotisme avéré aux représentations crues d’actes sexuels. J’ai entendu Cynthia affirmer que sa belle-mère serait certainement partante pour poser dans des tableaux de scènes pornos, si c’était en privé. Elle n’a même pas rougi en me voyant à côté d’elle. Je suis parfaitement intégrée dans son univers affectif ! Il est vrai que, depuis le temps que nous nous découvrons mutuellement, je n’ai pas plus de secrets pour elle que pour Manon, et je crois que c’est réciproque.
Aurore nous a demandé si nous poserions pour elle, toutes les trois ensemble, pour ce genre de dessins très osés, a-t-elle précisé. J’ai regardé les filles, nous avons éclaté de rire. Mais avant de lui donner notre consentement (ben oui, pas que notre accord, je me doutais bien qu’il ne s’agirait pas que de faire semblant, lol !), j’ai demandé à l’artiste de m’accorder le même privilège dont avaient bénéficié Manon et Cynthia. Je n’avais pas eu le plaisir de la voir entièrement nue, moi ! D’ailleurs, la remarque valait également pour Sandrine. Et toc !
Je suis sûre que tu voudrais bien savoir si les deux sœurs ont accepté, hein, ma Chérie ? Et que tu es impatiente de connaître quelles poses cochonnes elles nous ont peut-être fait prendre, n’est-ce pas ? Eh bien, je vais laisser mijoter ta curiosité, tu n’auras les réponses que dans ma prochaine lettre, celle-ci est déjà bien assez longue et il commence à se faire tard, lol.
Mais pour t’aider à prendre patience, je te lèche le clitounet et le troufignon.
(À suivre)
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Les avis des lecteurs
Toujours aussi intimiste et excitant, ma chère!

